FR2589049A1 - Chaussure et son procede de fabrication - Google Patents
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Abstract
L'INVENTION CONCERNE LES CHAUSSURES, NOTAMMENT LES CHAUSSURES POUR DAMES. ELLE SE RAPPORTE A UNE CHAUSSURE DANS LAQUELLE LA PREMIERE 32 A ETE FENDUE DANS LA PARTIE CORRESPONDANT A LA VOUTE ET AU TALON, EN DEUX COUCHES 22, 24, UN ORGANE DE RENFORCEMENT ETANT PLACE ENTRE LES DEUX COUCHES AVANT INJECTION D'UNE MATIERE PLASTIQUE. LAPARTIE DE LA VOUTE ET CELLE DU TALON ONT AINSI UNE SURFACE SUPERIEURE CONCAVE PERMETTANT LE LOGEMENT DU PIED ET SON MAINTIEN AFIN QUE L'AXE DE LA JAMBE SOIT BIEN ALIGNE SUR L'AXE DU TALON DE LA CHAUSSURE. APPLICATION AUX CHAUSSURES DE SOIREE POUR DAMES.
Description
La présente invention concerne un perfectionnement des chaussures et notamment des chaussures de soirée de dames, ainsi que leur procédé de fabrication.
Avant la mécanisation, lorsque les chaussures étaient fabriquées à la main, un artisan prenait directement les mesures du pied d'un client afin qu'il réalise une "forme" ayant la configuration exacte du pied. Une première de cuir était humidifiée et placée sur la forme afin que, après séchage, la première possede toutes les caractéristiques du pied.
Une empeigne était fixée à la première et la chaussure résultante avait une forme bien adaptée à la configuration du pied-.
Des techniques de fabrication en série ont remplacé de nombreuses opérations manuelles utilisées antérieurement pour la fabrication des chaussures. Ces techniques réduisent les courts et augmentent le rendement, mais les machines ne peuvent pas reproduire parfaitement les opérations manuelles qu'elles remplacent, et, étant donné les limitations propres à la mécanisation, les chaussures produites à la machine n'ont pas l'ajustement et le confort de chaussures fabriquées à la main.
Les figures la à le représentent le procédé moderne de fabrication des chaussures de soirée pour dames. Les éléments essentiels initiaux sont un flan 14 de première et une empeigne 18 préalablement mise en forme, comme représenté sur la figure la. Ces éléments sont montés sur une forme normalisée 10, dont un exemple est représenté sur les figures la et lb. La forme de la figure la peut pivoter autour du tronçon 12 afin que la forme 10 puisse être retirée de la chaussure, à une étape ultérieure de la fabrication.
La première 14 est découpée ou poinçonnée dans un morceau plat d'un matériau, avec la configuration de la partie inférieure du pied. De préférence, ce matériau est de type artificiel et non de cuir, c'est-à-dire qu'il est de qualité pour trépointe, résistant à l'eau et reativement élastique (c'est-à-dire non déformable de manière permanente). Des matériaux sous forme de plaques de fibres ou de similicuir sont connus comme possédant des propriétés qui conviennent et sont réalisés par imprégnation de fibres d'acétate de cellulose par un caoutchouc de néoprène. Des matériaux de ce type sont vendus sous les marques de fabrique "Bontex" et "Texin".
Le morceau plat 14 de première est placé à la surface inférieure 16 de la forme et y est maintenu par des points de colle ou des agrafes. L'empeigne 18 mise préalablement en forme est déplacée par la machine sur la forme 10 et le bord inférieur 20 de l'empeigne 18 est étiré, à 900 (parallèlement à la face inférieure 16 de la forme > sur les bords inférieurs correspondants de la première 14, endroit auquel elle est collée, par exemple par une colle, sur la première.
On se réfère à la figure lc ; une semelle extérieure 21 est collée à la face inférieure de la chaussure partiellement terminée, afin qu'elle constitue la surface avant de contact avec le sol. Normalement, les faces inférieures de la premiere et de l'empeigne sont dépolies préalablement afin que l'adhérence soit meilleure. Lorsque ces opérations ont été terminées, la forme 10 est retirée et un talon 23 est cloué ou vissé.-
Dans la chaussure terminée, un organe de revêtement de première (non représenté) de type décoratif, est placé sur la première de similicuir.
Dans la chaussure terminée, un organe de revêtement de première (non représenté) de type décoratif, est placé sur la première de similicuir.
La semelle extérieure peut rejoindre le talon comme représenté. Dans une variante, elle peut être placée sous le talon ou elle peut redescendre à la face avant du talon. Dans ce dernier cas, l'ordre de fixation de la semelle et du talon peut être inversé. Une chaussure terminée est représentée sur la figure ld. D'autres détails de la fabrication de l'em- peigne et du procédé de montage ne sont pas donnés car ils sont bien connus des hommes du métier.
L'utilisation d'un morceau de première tel que décrit précédemment, facilite beaucoup la fabrication d'une chaussure à la machine. Comme la première est plate, son matériau, le similicuir, peut être réalisé sous forme d'une feuille, les morceaux individuels de premiere étant découpés ou poinçonnés dans la feuille à la dimension de la chaussure voulue. Les morceaux de première peuvent être- mis en place facilement et rapidement, après découpe, directement sur la surface de montage d'une forme. Cette surface de montage est formée à plat ou au moins pratiquement à plat en direction transversale, afin auelle soit en bon contact avec la première plate, mais simultanément, elle doit avoir un certain profil en direction longitudinale afin qu'elle donne une courbure progressive vers le haut à la première.En conseuen- ce, le morceau plat de la première peut être directement placé sur la formee et mis longitudinalement au profil de la chaussure à talon haut. L'empeigne peut être facilement montée à la machine sur la forme et la première
La première 14, dans une chaussure terminée à la machine, est représentée sur les figures lc et le Bien que la première puisse être courbée progressivement vers le haut de la pointe vers le talon (c'est-à-dire longitudinalement3 à la configuration d'une chaussure à talon haut, comme décrit précédemment, en direction transversal, la surface supérieure de la première 14 reste plate ou au moins pratiquement plate.
La première 14, dans une chaussure terminée à la machine, est représentée sur les figures lc et le Bien que la première puisse être courbée progressivement vers le haut de la pointe vers le talon (c'est-à-dire longitudinalement3 à la configuration d'une chaussure à talon haut, comme décrit précédemment, en direction transversal, la surface supérieure de la première 14 reste plate ou au moins pratiquement plate.
Une surface plate de première donne le profil voulu à la partie avant du pied, la surface plate de support forme dans le talon, en particulier dans les chaussures à talons hauts, n'assure pas un bon support du pied, si bien que les chaussures ne donnent pas un bon confort lorsqu'elles sont portées. En outre, la, région plate du talon ne donne pas un bon centre de gravité au talon, si bien que les chaussures ont tendance à basculer d'un côté ou de l'autre. Certains fabricants, introduisent un élément orthopédique ou support dans la chaussure après sa fabrication afin que ce problème soit résolu. Ceci donne aux chaussures un aspect orthopédique et ne résout pas le problème de manière satisfaisante.
La présente invention concerne une chaussure perfectionnée, en particulier une chaussure pour dame, qui est construite afin qu'elle donne un excellent support du pied, en particulier dans la région du talon.
Une chaussure selon l'invention est réalisée à l'aide d'une première mise en forme préalablement, ayant un profil correspondant à la configuration du talon, afin qu'elle assure un positionnement stable et un support latéral. La première a de préférence une configuration permettant une réorientation du talon vers une orientation verticale afin que le centre de gravité soit réglé. En outre, la première de la chaussure a de préférence, en direction longitudinale, un profil assurant un ancrage du talon au dos de la chaussure.
Une chaussure réalisée selon l'invention donne un bon support et est confortable alors qu'elle est portée pendant de longues périodes. Ces avantages sont particulièrement importants dans les chaussures à talons hauts et font partie de la construction fondamentale de la chaussure et ne sont pas des éléments rapportés, comme lors de l'utilisation d'un support de voûte plantaire.
Plus précisément, une chaussure selon l'invention comporte une première, une empeigne fixée sur la première et destinée à délimiter un espace de logement de pied, ainsi qu'une semelle extérieure et un talon fixé à la face inferieure de la première et de l'empeigne afin qu'une surface de marche ou de contact avec le sol soit délimitée. La première est préalablement mise en forme afin que sa face supérieure, au moins dans la partie du talon, et de préférence dans les parties du talon et de la voûte plantaire, soit arrondie transversalement a une configuration correspondant au talon de la chaussure.
De préférence, la première est formée préalablement a partir d'un morceau plat d'un matériau relativement élastique de première (c'est-à-dire qu'il n'est pas déformable de façon permanente), par exemple un carton de pâte (ou "plaque de fibres") imprégné de latex (tel que le matériau "Bontex" produit par la Société des Etats-Unis d'Amérique "Georgia Bonded Fibers, Inc.", Newark, New Jersey, ou le matériau similaire "Tnin"), par séparation des parties du talon et de la volte en couches supérieure et inférieure opposées, par injection d'une matière plastique entre les couches séparées, et par moulage des parties séparées et de la matière plastique, afin que la couche supérieure prenne une forme correspondant à la partie du talon du pied, c'est-à-dire que la partie du talon de la première est notablement concave, en coupe, afin qu'elle corresponde à la partie inférieure arrondie du talon.
De préférence, les parties du talon et de la voûte de la première préalablement mise en forme, sont relativement rigides alors que la partie avant reste souple lors de la marche. Le cas échéant, une tige métallique peut être introduite entre les couches supérieure et inférieure séparées du morceau formant la première avant l'injection de la matière plastique de manière que la rigidité soit accrue.
Les chaussures réalisées selon les procédés connus basculent souvent d'un côté ou de l'autre étant donné le défaut d'alignement entre le pied et l'axe central du talon de la chaussure. La partie de la première voisine du talon et mise en forme préalablement selon l'invention, a de préférence un profil tel qu'elle est plus haute du côté interne de la chaussure, c'est-à-dire du côté tourné vers le pied adjacent, par rapport au côté externe. Comme la première est plus haute du côté interne de la chaussure, ce défaut d'alignement entre le talon et la chaussure est corrigé, le pied a une meilleure verticalité et est aligné sur l'axe central du talon et la chaussure présente une stabilité et un confort plus grands.
Une radiographie de la partie inférieure du talon représentée un os dépassant vers le bas et protégé par du muscle. De préférence, la couche supérieure de la première déli- mite une partie évidée de logement de talon et la couche supérieure est légèrement plus haute juste en avant de la partie évidée de logement de talon de manière qu'elle loge cette partie du talon. Ce profil permet un ancrage du talon et en particulier, dans les chaussures à talons hauts, facilite la prévention du glissement du talon vers l'avant dans la chaussure.
Une chaussure est réalisée par fixation d'une première préalablement mise en forme sur une empeigne. La partie inférieure de la forme a une configuration qui correspond à la surface profilée supérieure de la première et, dans la chaussure résultante, l'espace de logement du pied suit la configuration du pied. Plus le talon est haut et plus la structure formée a d'importance et le confort est accru. Cette augmentation du confort est assurée car les chaussures sont réalisées avec une meilleure configuration interne et non avec des éléments correcteurs rapportés.
D'autres caractéristiques et avantages de l'inven tion seront mieux compris à la lecture de la description qui va suivre d'exemples de réalisation, faite en référence aux dessins annexés sur lesquels
la figure la est une perspective d'un ensemble connu illustrant les étapes initiales de la fabrication de chaussures pour dames ;;
la figure lb est une élévation représentant l'ar rière de la forme représentée sur la figure la
la-figure lc est une élévation latérale de l'ensemble représenté sur la figure la, à un stade ultérieur du montage
la figure ld est une élévation latérale d'une chaussure terminée réalisée selon la technique antérieure
la figure le est une coupe suivant la ligne le-le de la figure ld, représentant une chaussure de la technique antérieure
la figure 2a est une élévation latérale d'un morceau destiné à former une première, selon l'invention
la figure 2b est une élévation latérale du morceau représenté sur la figure 2a, la partie arrière ayant été séparée en une partie supérieure et une partie inférieure
la figure 3a est une coupe en élévation latérale d'un appareil de moulage d'une première terminée, représentant la première de la figure 2b en position
la figure 3b est une coupe suivant la ligne 3b-3b du moule de la figure 3a
la figure 4 est une élévation latérale d'une première terminée
les figures 5 et 6 sont des coupes suivant les lignes 5-5 et 6-6 de la figure 4, respectivement
la figure 7 est une vue en plan de la première représentée sur la figure 4
les figures 8 et 9 sont respectivement une élévation latérale et une vue de l'arrière d'une forme destinée à être utilisée dans la fabrication des chaussures selon l'invention ;;
la figure 10 est une élévation latérale illustrant les premières étapes du montage d'une chaussure selon l'invention
la figure 11 représente l'arrière d'une chaussure terminée selon l'invention ,
la figure 12 est une coupe de la chaussure repré- sentee sur la figure 11
les figures 13a et 13b sont des élévations schéma- tiques représentant le talon dtune chaussure selon la technique antérieure et selon l'invention respectivement, et
la figure 14 est une coupe longitudinale d'une chaussure partiellement terminée selon l'invention, et elle représente la structure de la première.
la figure la est une perspective d'un ensemble connu illustrant les étapes initiales de la fabrication de chaussures pour dames ;;
la figure lb est une élévation représentant l'ar rière de la forme représentée sur la figure la
la-figure lc est une élévation latérale de l'ensemble représenté sur la figure la, à un stade ultérieur du montage
la figure ld est une élévation latérale d'une chaussure terminée réalisée selon la technique antérieure
la figure le est une coupe suivant la ligne le-le de la figure ld, représentant une chaussure de la technique antérieure
la figure 2a est une élévation latérale d'un morceau destiné à former une première, selon l'invention
la figure 2b est une élévation latérale du morceau représenté sur la figure 2a, la partie arrière ayant été séparée en une partie supérieure et une partie inférieure
la figure 3a est une coupe en élévation latérale d'un appareil de moulage d'une première terminée, représentant la première de la figure 2b en position
la figure 3b est une coupe suivant la ligne 3b-3b du moule de la figure 3a
la figure 4 est une élévation latérale d'une première terminée
les figures 5 et 6 sont des coupes suivant les lignes 5-5 et 6-6 de la figure 4, respectivement
la figure 7 est une vue en plan de la première représentée sur la figure 4
les figures 8 et 9 sont respectivement une élévation latérale et une vue de l'arrière d'une forme destinée à être utilisée dans la fabrication des chaussures selon l'invention ;;
la figure 10 est une élévation latérale illustrant les premières étapes du montage d'une chaussure selon l'invention
la figure 11 représente l'arrière d'une chaussure terminée selon l'invention ,
la figure 12 est une coupe de la chaussure repré- sentee sur la figure 11
les figures 13a et 13b sont des élévations schéma- tiques représentant le talon dtune chaussure selon la technique antérieure et selon l'invention respectivement, et
la figure 14 est une coupe longitudinale d'une chaussure partiellement terminée selon l'invention, et elle représente la structure de la première.
On se réfère à la figure 2a qui représente un morceau d'un matériau élastique de première qui peut être identique au matériau du morceau 14 de première représenté à plat sur la figure la, c'est-a-dire un morceau de "Bontes" ou de "Texin" découpé ou poinçonné dans une feuille , le morceau ayant une partie 15a destinée a former un talon, une partie 15b correspondant à la voûte et une pointe ou partie avant 15c (voir figure la). Les parties du talon et de la voûte g5a, 15b sont séparées, c'est-à-dire fendues, en une couche supé- rieure 22 et une couche inférieure opposée 24 de la manière représentée sur la figure 2b.
Comme l'indiquent les figures 3a et 3b, le morceau fendu 14 de première est placé a l'intérieur d'un moule ayant une partie inférieure 26 et une partie supérieure 28 afin que la couche supérieure 22 et la couche inférieure 24 du morceau 20 soient en appui contre les parties respectives de moule et laissent une cavité 30 entre elles Comme l'indiquent les figures 3a et 3b, la partie avant du moule, qui loge la partie avant non séparée 15c du morceau 14 de la première, est plate, alors que la partie arrière du moule, qui loge la partie formant le talon du morceau 14, est profilée et donne la configuration décrite dans la suite en référence aux figures 4 à 7 et 14.
De préférence, une tige ou languette métallique 31 de forme convenable est placée dans le moule, entre les couches 22,24, dans l'espace 30, afin que les couches restent séparées. Comme l'indique la figure 3b, la tige 31 n'est pas placée de préférence sur toute la largeur du moule. La tige est supprimée sur la figure 3a, par raison de clarté, mais elle peut être placée pratiquement sur toute la longueur de la separation des couches 22, 24, à distance des bords, afin qu'elle ne soit pas visible dans le produit final.
Lorsque le morceau 14 est introduit dans le moule et lorsque le moule est fermé, le matériau destiné à former une matiere plastique est injecté sous pression dans l'espace 30 et s'écoule autour de la tige métallique 31, en écartant les parties supérieure et inférieure 22, 24 l'une de l'autre afin qu'elles prennent la configuration du moule. Après durcissement, la première résultante, dans les parties de la volte et du talon qui contiennent la matière plastique, est sous forme d'une première stratifiee rigide mise en forme comme indiqué sur les figures 4 à 7 et 14.
Sur les figures 4 à 7 et les figures restantes, la première mise en forme (terminée) porte la référence 32 et la tige 31 est supprimée par raison de clarté. Comme l'indiquent les figures 4 à 7, la première 32 est profilée dans la direction de la longueur, afin qu'elle corresponde à une chaussure à talon haut, et les parties du talon et de la voûte, en coupe, ont une configuration sensiblement concave, destinée à correspondre a la partie inférieure du talon et de la voûte du pied. La partie avant de la première 32, comme indiqué sur la figure 6, reste plate et relativement souple.
Sur la figure 5, les couches supérieure et inférieure 22, 24 de la première, sont séparées par une couche de matière plastique 25. La tige métallique 31 (non représentée) est aussi placée de préférence dans cet espace 25 et est entourée dans la matière plastique afin qu'elle donne une certaine rigidité. La matière plastique (et la tige métalli- que le cas échéant) de la couche 25 assurent ensemble le support de la couche supérieure 22 afin qu'elle forme une surface supérieure sensiblement convexe pour le logement du talon. Comme l'indique la figure 5, la partie arrière 33 de l'élément rapporté est courbée de manière analogue vers le haut, vers le bord arrière 35. Le profil de la partie arrière 33 apparaît plus clairement sur la figure 14 qui est décrite dans la suite du présent mémoire.
Les figures 8 et 9 représentent une forme 34 destinée à être utilisée selon l'invention. La forme a une partie avant 38 de semelle qui peut être analogue à la partie avant de la forme 10 de la figure la. La partie 36 dru talon et la partie 37 de la voûte, comme indiqué sur la figure 9, sont arrondies en direction transversale, à la configuration de la première 32 qui a été mise en forme. La partie 36 du talon et la partie 37 de la voûte de la forme 34 correspondent à espace résultant de logement du pied dans une chaussure terminée réalisée à partir de la première profilée selon l'invention et, comme l'indique la figure 9, elles correspondent plus étroitement à la configuration du pied humain que les parties correspondantes du talon et de la voûte de la forme représentée sur la figure la.
Comme l'indique la figure 10, lors du montage d'une chaussure selon l'invention, une première 32 préalablement mise en forme est placée sur la forme 34 afin que la partie formant le talon de la première 32 s'ajuste autour de la partie 36 du talon de la forme. La première 32 peut être fixée temporairement sur la forme 34, par des procédés connus. Ensuite, une empeigne 38 préalablement mise en forme est placée sur la forme 34, et les parties 20 des bords de l'empeigne 18 sont tendus sur la première 32.
Comme expliqué précédemment, des machines classiques déplacent le bord 20 sur la première, perpendiculairement la forme. Dans ce cas, la machine destinée à positionner l'empeigne doit déplacer les bords 20 en direction inclinée afin que la courbure des parties 36, 37 de la cheville et du talon soit compensée. Ceci peut être réalisé avec une modifcation du dessin des machines existantes, d'une manière facile pour un homme du métier.
Lorsque les bords 20 ont été placés sur la première 32, ils sont fixés et collés, par exemple à l'aide d'un adhésif, sur la première 32. Une semelle extérieure est alors placée sur la partie formant les bords 20 et sur la première 32, de manière connue.
Lorsque la forme est retirée, un talon est fixé.
Comme l'indiquent les figures 11 et 12, il faut noter que le talon, du côté de la partie interne 40a du pied, est légère- ment plus haut que du côté de la partie externe 40b. Les figures 11 et 12 représentent des vues de l'arrière d'une chaussure gauche, et, comme représenté, le talon est plus haut d'un côté parce que la partie du côté interne 42a de la semelle 32 remonte un peu plus haut que la partie externe 42b, et la partie interne 40a du talon remonte un peu plus haut que la partie externe 40b afin que le côté plus haut 42a de la première 32 soit compensé. En outre, la face supérieure du talon doit être concave afin qu'elle corresponde à la surface inférieure convexe de la première 32.
Sur les figures 11 et 12, la première est moulée de manière que la partie tournée vers l'intérieur soit légère- ment plus haute que la partie tournée vers l'extérieur. Dans une variante, le moule 26, 28 peut être réalisé afin qu'une plus grande quantité de matière plastique soit injectée du côté interne 42a de la partie du talon de la première, afin que la surface supérieure soit soulevée, la surface inférieure restant au niveau de la première. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire que le talon utilisé ait un côté surélevé.
Le rôle de l'arrangement du talon représenté sur les figures 11 et 12 est illustré par les figures 13a et 13b.
Ces deux figures représentent schématiquement un pied droit et un pied gauche, portant les références R et L respectivement, placés sur les talons des chaussures droite et gauche.
Sur la figure 13a, les référence 14L et 24L désignent la première et le talon respectivement d'une chaussure gauche classique alors que les références 14R et 24R désignent respectivement la premiere et le talon d'une chaussure droite classique.
La référence "CF" désigne l'axe central du pied gauche et du pied droit, alors que l'axe "CS" désigne lsaxe central de la chaussure. Comme l'indique la figure 13a, lorsqu'un pied est en appui sur la semelle plate diune chaussure classique, le poids du pied est appliqué en direction inclinée par rapport à la chaussure. En conséquence, les chaussures à talons hauts peuvent souvent présenter un basculement ou un vacillement lorsqu'elles sont portées.
La figure 13b représente schématiquement une construction de chaussure selon l'invention. L'axe central "CS" de la première 32L et du talon 40L gauches et liaxe central "CS" de la première 32R et du talon 40R droits, sont alignés sur les axes centraux respectifs "CF" des pieds gauche et droit.
Comme l'indique la figure 12, on a constaté que la partie interne 42a pouvait remonter au minimum d'environ 4,5 mm environ au-dessus du point milieu de la première, au point M de la figure 12, afin que le pied soit convenablement orienté par rapport à la verticale.
Comme l'indiquent les figures 5 et 12, la configura- tion du tronçon superieur 22 de la première 32, en coupe, est essentiellement concave, c'est-à-dire forme une cavité destinée à loger la partie du talon du pied. Comme l'indique la figure 14 qui est une coupe longitudinale d'une chaussure partiellement terminée, comprenant la première 32 et l'empeigne 18, la partie arrière 33 de la première 32 remonte de manière analogue afin qu'elle délimite la cavité 48 de logement du talon. En outre, juste en avant de la cavité 48 la partie supérieure est légèrement plus haute en 46 que la cavité 8
Comme décrit précédemment, le talon d'un pied a un os qui dépas- se vers le bas et qui est entouré par du muscle. Dans la con- figuration représentée sur la figure 14, cette partie en saillie vers le bas du talon se loge dans l'espace évidé 48 et y est maintenue sans pouvoir glisser vers l'avant, par la partie 46. Contrairement aux chaussures normales à talons hauts, lorsque tout le poids du pied glisse ver l'avant sur les phalanges, dans la partie de la semelle avant de la chaussure, la zone 46 en saillie selon l'invention retient la partie du talon qui se trouve derrière la voute et facilite le support de cette partie dans la chaussure tout en encaissant une partie du poids.
Comme décrit précédemment, le talon d'un pied a un os qui dépas- se vers le bas et qui est entouré par du muscle. Dans la con- figuration représentée sur la figure 14, cette partie en saillie vers le bas du talon se loge dans l'espace évidé 48 et y est maintenue sans pouvoir glisser vers l'avant, par la partie 46. Contrairement aux chaussures normales à talons hauts, lorsque tout le poids du pied glisse ver l'avant sur les phalanges, dans la partie de la semelle avant de la chaussure, la zone 46 en saillie selon l'invention retient la partie du talon qui se trouve derrière la voute et facilite le support de cette partie dans la chaussure tout en encaissant une partie du poids.
Comme l'indique la figure i1, la ligne 50 désigne schématiquement le raccord arrière de l'empeigne, tel qu'il est présent couramment dans la plupart des chaussures. La hauteur de l'empeigne le long du raccord 50 doit être suffisamment grande pour que la chaussure reste sur le pied lors de la marche. Selon l'invention, comme le talon est placé plus bas à l'intérieur de la chaussure, par rapport à llempei- gne, la hauteur mesurée suivant la ligne 50 peut être réduite si bien que la chaussure peut être plus attrayante. Par exemple, dans un exemple de chaussure, la hauteur de la partie arrière est d'environ 52 mm. Selon l'invention, on a constaté que la hauteur pouvait être réduite à 45 mm environ, la chaussure restant cependant convenablement sur le pied.
Bien entendu, diverses modifications peuvent être apportées par l'homme de l'art aux chaussures et aux procédés qui viennent d'être décrits à titre d'exemples non limitatifs, sans sortir du cadre de l'invention.
Claims (21)
1. Chaussure comprenant une première (32), une empeigne (18) fixée à la première afin qu'elle délimite un espace de logement d'un pied, et une semelle extérieure (21) et un talon (23) fixés à l'empeigne et à la première afin qu'une surface de contact avec le sol soit délimitée, ladite chaussure étant caractérisée en ce que la première (32) est un organe préalablement mis en forme à partir d'un morceau plat (14) d'un matériau pour première, par séparation d'une partie de talon au moins en couches supérieure et inférieure opposées (22, 24), par injection d'une matière plastique entre les couches séparées, et par moulage des couches et de la matière plastique afin que la couche supérieure prenne une forme correspondant à la partie formant le talon du pied.
2. Chaussure selon la revendication 1-, caractérisée en ce que la couche supérieure (22) de la première a une forme sensiblement concave en coupe.
3. Chaussure selon la revendication 2, caractérisée en ce que la première (32) a une face interne tournée vers le pied adjacent et une face externe tournée à l'opposé, et la couche supérieure (22) de la première a, dans la partie du talon, un profil tel qu'elle est plus haute du côté interne que du côté externe afin que l'orientation du pied soit réalignée vers la verticale.
4. Chaussure selon la revendication 1, caractérisée en ce que la première (32) a un tronçon évidé (48) de logement de talon, la couche supérieure étant légèrement plus haute juste en avant du tronçon de logement de talon afin qu'elle assure une retenue supplémentaire du talon.
5. Chaussure selon la revendication 1, caractérisée en ce que les couches supérieure et inférieure (22, 24) sont disposées, non seulement vers la partie formant le talon mais aussi vers une partie coopérant avec la voûte de la première, et la couche supérieure est moulée afin que sa configuration corresponde à celle d'une voûte et d'un talon correspondants.
6. Chaussure selon la revendication 5, caractérisée en ce que la première (32) est relativement rigide dans les parties de la voûte et du talon.
7. Chaussure selon la revendication 6, caractérisée en ce que la première (32) a un organe d'armature placé entre les couches et contenu dans la matière plastique.
8. Chaussure à talon haut pour dame, caractérisée en ce qu'elle comprend une première (32) préalablement mise en forme, ayant une partie avant relativement souple, et une partie de voûte et de talon relativement rigide, la première étant formée dans un morceau plat (14) d'un matériau pour première, par séparation de ces parties correspondant à la voûte et au talon en couches supérieure et inférieure (22, 24), par injection d'une matière plastique entre les parties séparées, et par moulage des couches et de la matière plastique afin que la couche supérieure ait une configuration qui corresponde a celle d'un talon, la chaussure comprenant en outre une empeigne (18) fixée à la première afin.qu'elle délimite un espace de logement de pied, et une semelle extérieure et un talon haut fixés à l'empeigne et à la première de manière qu'une surface de contact avec le sol soit délimitée.
9. Chaussure selon la revendication 8, caractérisée en ce que-la première (32) a une face interne tournée vers le pied adjacent et une face externe tournée vers l'opposé, et la couche supérieure (22) de la première a un profil, dans la partie du talon, tel qu'elle est plus haute du cOté interne que du côté externe afin que l'orientation du pied soit réalignée vers la verticale.
10. Chaussure selon la revendication 8, caractérisée en ce que la première (32) comporte un tronçon évidé (48) de logement de talon, la couche supérieure (22) étant légèrement plus haute juste en avant du tronçon de logement de talon afin qu'elle assure un maintien supplémentaire du talon.
11. Chaussure selon la revendication 8, caractérisée en ce que la première (32) est relativement rigide dans les parties de la voûte et du talon.
12. Procédé de fabrication d'une chaussure, notamment une chaussure pour dame, caractérisée en ce qu'il comprend les étapes sUisJantes
la formation d'une première élastique (32) ayant la configuration de la partie inférieure dun pied,
la disposition d'un dispositif de renforcement au moins dans la partie du talon de la première (32) et la mise de la partie du talon à une configuration correspondant à celle du talon d'un pied, puis
la fixation d'une empeigne (18) à la première afin qu'un espace de logement de pied soit délimité, et
la fixation d'une semelle extérieure (21) et d'un talon (23) à l'empeigne et à la première afin qu'une surface de contact avec le sol soit formée.
13. Procédé selon la revendication 12, caractérisé en ce que l'étape de mise d'un dispositif de renforcement et de mise en forme est réalisée par
séparation de la partie du talon au moins en couches superieure et inférieure opposées (22, 24),
injection d'une matière plastique entre les couches séparées et
moulage des couches et de la matière plastique afin que la couche supérieure prenne une forme correspondant à celle du talon d'un pied.
14. Procédé selon la revendication 12, caractérisé en ce que la première (32) a une face interne tournée vers le pied adjacent et une face externe tournée de l'autre côté et, au cours de l'étape de mise en forme, la partie du talon est profilée de façon qu'elle soit plus haute du côté interne que du côté externe afin que l'orientation du pied soit réaligné vers la verticale.
15. Procédé selon la revendication 12, caractérisé en ce que la première (32), au cours de l'opération de mise en forme, est munie d'un tronçon évidé (48) de logement de talon et est légèrement plus haute juste en avant du tronçon de logement de talon de manière qu'elle assure un maintien supplémentaire du talon.
16. Procédé selon la revendication 13, caractérisé en ce que la première (32) est séparée dans une partie corres pondant à la voûte, en plus de la partie correspondant au talon.
17. Procédé selon la revendication 16, caractérisé en ce qu'il comprend la disposition d'un organe de renforcement entre les couches séparées (22, 24) avant l'injection de la matiere plastique, puis l'injection d'une matière plastique autour de l'organe de renforcement.
18. Chaussure, caractérisée en ce qu'elle comprend
une première (32) formée d'un matériau relativement élastique, ayant une partie avant, une partie correspondant à la voûte, une partie correspondant au talon, et une face supérieure et une face inférieure, et comprenant un dispositif de renforcement et de mise en forme au moins dans la partie formant le talon afin que celle-ci corresponde à la surface superieure de la configuration correspondante du talon d'un pied, la première étant souple dans sa partie avant,
une empeigne (18) ayant des parties de bord fixées à la face inférieure de la premiere afin qu'un espace de logement de pied soit délimité, et
une semelle extérieure (21) recouvrant la première et les parties des bords de l'empeigne afin qu'une surface de contact avec le sol soit délimitée.
19. Chaussure selon la revendication 18, caractérisée en ce que le dispositif de renforcement et de mise en forme est placé dans les parties du talon et de la voûte afin qu'un tronçon relativement rigide de talon et de voûte en une seule pièce soit formé, et il donne à la première une configuration longitudinale telle qu'une partie de talon en saillie est délimitée, et la chaussure comporte en outre un talon (23) fixé à la partie de coopération avec le talon afin qu'une chaussure à talon haut soit formée.
20. Chaussure selon la revendication 19, caractérisée en ce que la première (32) a, dans la partie du talon, un profil tel qu'elle est plus haute du coté interne du pied que du côté externe afin que le pied soit réorienté vers la verticale.
21. Chaussure selon la revendication 19, caractéri sée en ce que la première (32) comporte une partie évidée (48) de logement de talon et est légèrement plus haute juste en avant du tronçon de logement de talon afin qu'elle assure un maintien supplémentaire du talon.
Applications Claiming Priority (1)
Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
---|---|---|---|
US79084085A | 1985-10-24 | 1985-10-24 |
Publications (1)
Publication Number | Publication Date |
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FR2589049A1 true FR2589049A1 (fr) | 1987-04-30 |
Family
ID=25151893
Family Applications (1)
Application Number | Title | Priority Date | Filing Date |
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FR8614841A Withdrawn FR2589049A1 (fr) | 1985-10-24 | 1986-10-24 | Chaussure et son procede de fabrication |
Country Status (5)
Country | Link |
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AU (1) | AU6380786A (fr) |
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-
1986
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- 1986-10-16 IT IT22030/86A patent/IT1205316B/it active
- 1986-10-22 BR BR8605164A patent/BR8605164A/pt unknown
- 1986-10-24 JP JP61253548A patent/JPS62167501A/ja active Pending
- 1986-10-24 FR FR8614841A patent/FR2589049A1/fr not_active Withdrawn
Also Published As
Publication number | Publication date |
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IT1205316B (it) | 1989-03-15 |
JPS62167501A (ja) | 1987-07-23 |
BR8605164A (pt) | 1987-07-21 |
AU6380786A (en) | 1987-04-30 |
IT8622030A0 (it) | 1986-10-16 |
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