FR2572062A1 - Depileur (ou margeur, ou alimenteur) automatique pour presse a imprimer, vernisseuse ou presse a faconner les matieres en feuilles, avec changeur automatique de pile - Google Patents

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Abstract

L'INVENTION CONCERNE UN DEPILEUR AUTOMATIQUE MUNI D'UN SYSTEME POUR REMPLACER AUTOMATIQUEMENT LES PILES. IL EST CONSTITUE D'UN BATI A SUPPORTANT LES ORGANES USUELS DE SEPARATION, DE LEVEE ET DE TRANSPORT DES FEUILLES ET COMPORTANT, POUR SUPPORTER LA PILE, DEUX PLATES-FORMES SUPERPOSEES B ET 1 POUVANT ETRE LEVEES OU BAISSEES CHACUNE PAR SON PROPRE SYSTEME DE MOTEURS H ET 8, REDUCTEURS, ROUES ET CHAINES C ET 3. LORSQUE LA PILE EST SUPPORTEE PAR LA PLATE-FORME SUPERIEURE 1, ELLE RESPOSE SUR UNE GRILLE OU FOURCHE 2 ESCAMOTABLE SOUS L'ACTION DE VERINS 20 POUR PERMETTRE LE CHARGEMENT D'UNE NOUVELLE PILE SUR CETTE PLATE-FORME EN PASSANT AU TRAVERS DE CELLE-CI. LES VERINS REPOUSSENT ENSUITE LA FOURCHE 2 SOUS LA PILE. LA FOURCHE 2 EST CREUSE ET ALIMENTEE EN AIR SOUS PRESSION POUR SOUFFLER DES COUSSINS D'AIR LUBRIFIANT SON MOUVEMENT ET PROTEGEANT LES FEUILLES. LE CHANGEMENT DE PILE S'EFFECTUE EN SEQUENCE AUTOMATIQUE DE PHASES, COMMANDEE PAR UNE UNITE CENTRALE. CE DEPILEUR EST DESTINE AUX INDUSTRIES DE L'IMPRIMERIE ET DE L'EMBALLAGE METALLIQUE.

Description

La présente invention concerne un dépileur automatique destine à alimenter une machine travaillant des matériaux en fouilles (papier, métal, carton matière plastique, etc...) à des vitesses de l'ordre de 80 à 150 feuilles à la minute, ou plus, dépileur caractérisé par le fait que le changement de pile n'exige aucune intervention manuelle.
On connait les dépileurs automatiques couplés à des presses à imprimer, à déoouper, à cisailler, etc... ou à vernir ou à peindre le papier, le carton, le fer blanc ou l'aluminium, ou certaines matières plastiques. Ces appareils, désignés également sous le nom d'alimenteurs ou de "margeurs" sont réalisés pour recevoir sur une plate-forme ou sur une planche une pile de feuilles du matériau à travailler, pour prélever automatiquement la feuille située au dessus de la pile et pour la transporter vers des organes de la machine qui l'amèneront dans une position très précise avant de la présenter aux outils de façonnage ou aux formes imprimantes ou analogues.Un mécanisme fait monter automatiquement la pile de manière que la première feuille à prélever se trouve à distance à peu près constante des "élévateurs" qui la saisiront et la transporteront.
Ces dépileurs remplissent parfaitement leur office mais présentent l'inconvénient de ne pas supprimer, voire parfois d'amplifier le caractère discontinu, par piles de feuilles, de leur chargement. Après épuisement d'une pile, son remplacement par une autre pile interrompt l'alimentation de la machine automatique couplée au dépileur, ce qui, pour des opérations très sensibles, telles que des impressions délicates, risque de rompre un équilibre entre facteurs qui ne s'établit qu'après plusieurs dizaines de secondes de marche.
D'autre part, lorsque les machines alimentées sont rapides et que, pour une raison quelconque liée à l'épaisseur ou au poids unitaire des feuilles, la hauteur de la pile est limitée, le temps passé, même par un personnel très entrainé, pour changer la pile devient excessif puisqu'il peut atteindre jusqu'à 10 à 15% de la capacité théorique de production d'une ligne de fabrication et grever lourdement les coûts.
En vue de limiter ces défauts, ont été imaginés des artifices tels que des plateaux intermédiaires, des broches ou des fourches supportant les dernières feuilles d'une pile en voie d'épuisement pendant qu'est chargée la pile suivante. Mais ces systèmes exigent toujours des interventions manuelles peu pratiques et présentent des risques poux les feuilles, de sorte qu'ils ne sont pas régulièrement utilisés, surtout sur les lignes à grand rendement ou ils seraient cependant les plus indiqués.
Le système de changement automatique de pile selon l'invention a pour but de supprimer cet invonvénient.
Un dépileur automatique avec un changeur selon l'invention est repré senté à titre d'exemple dans les planches suivantes, ou l'on trouvera:
en Figure 1, une coupe longitudinale du dépileur avec tous ses organes classiques tels qu'élévateurs, séparateurs, guides, soufflettes, etc...
en Figure 2, une perspective cavalière de la partie centrale d'un dépileur selon l'invention,
en Figures 3 et 4, des vues de l'arrière et du dessus d'un dépileur selon l'invention, sans les organes classiques ci-dessus,
en Figures 5 à 29, des vues de detail de la réalisation, dont celle de la fourche rétractable (Fig 16 à 18), celle de la palette (Fig 22 et 23),
en Figures 30 à 41, les coupes longitudinales d'un dépileur conforme à l'invention, aux différentes phases du cycle automatique de changement de pile,
en Figure 42, la Figure pour l'abrégé.
Dans ces dessins et la description qui suit, les organes ou pièces d'un dépileur classique portent, pour références, des lettres, ceux propres à l'invention sont références par des chiffres. En outre, le sens normal de déplacejnent des produits en cours de déplacement est, sur les figures, de droite à gauche. Le terme "arrière" employé dans la description correspond à la droite ou au bas de la figure, le terme "avant" à la gauche ou au haut.
Un dépileur classique comporte un bâti (A) - constituant une cage qui contient un système de lève-piles composé d'une plate-forme (B) suspendue à quatre chaines (C) s'enroulant autour de quatre pignons (D), montés sur deux arbres (E) entrainés en synchronisation par un arbre (F) par l'intermédiaire de deux réducteurs à vis (G). L'arbre (F) est lui-mêreentrainé par un moteur (H). Un capteur de niveau de pile (J) agit, par un circuit électrique approprié, sur le moteur (H) pour amener la feuille située en haut de la pile à distance à peu près constante des organes de séparation et de transport du dépileur.
Ces organes, représentés uniquement en Figure 1, se composent des élévateurs pneumatiques arrière, ou "séparateurs", (K). < comportant une ventouse dans laquelle l'air est aspiré par une pompe à vide (tuyaux et pompe non representes), qui soulèvent l'arrière de la feuille et le font passer au dessus de l'air soufflé par les buses (L), des élévateurs pneumatiques avant (M) oscillant autour de l'arbre (N), qui présentent la feuille entre les galets d'embarquement (O) et (P). Ces derniers amorcent le transport de la feuille vers la table de positionnement propre à la machine alimentée.
Les feuilles de la pile sont maintenues en place dans le plan horizontal, du cité des galets d'embarquement, par un tablier solidaire du bâti (B), constitué par des bandes (T), à gauche et à droites par des guides latéraux (R) et, à l'arrière, par les guides (S). Si les feuilles de la pile sont en métal ferreux, de puissants aimants permanents sont incorporés aux guides (R) pour favoriser la séparation des premières feuilles à etre saisies par les élévateurs.
En complément à oes pièces habituelles, un depileur conforme au principe de l'invention comporte un châssis en forme de cadre, dont l'ouverture peut être obture ou libérée par une fourche mobile. Lorsque cette fourche obture son ouverture, ce châssis sert de leve-piles principal. Lorsque la fourche la libère, le châssis et la fourche peuvent descendre en entourant une pile jusqu'à ce que, l'ensemble étant arrive en dessous de la pile, la fourche puisse reprendre sa position de fermeture pour supporter les feuilles de cette pile.
A partir de ce principe, les Figures 1 à 42 représentent, à titre d'exemple, une réalisation d'un dépileur à changeur de piles automatique conforme à l'invention, des variantes de détail ne faisant pas sortir l'appareil, auquel ces variantes seraient appliquées, du champ de l'invention.
Dans cette réalisation à titre d'exemple, le châssis (1) est réalise à partir de profilés robustes disposés pour former un cadre dont l'ouverture (passage) est un peu plus grande que les plus grandes feuilles prévues à la spécification de l'appareil.Ce châssis est suspendu à quatre brins de chaine (3) s'enroulant autour des roues (4) calées deux à deux sur deux arbres (5) commandés en synchronisation par les réducteurs à vis (6), l'arbre (7) et le moteur (8). Ce système de montée et de descente est commandé, par l'intermédiaire de circuits appropries, par le capteur de niveau de pile (J) qui, sauf pendant trois phases du cycle de changement de pile, n'a plus aucune action sur le moteur (H).
La course du châssis est guidée par des galets (9) montés sur des axes fixés à l'extrémité des longerons (10) et se déplaçant dans deux coulisses verticales (11) solidaires du bâti (A), ainsi que par des patins enTFLON (12) ou autre matière à faible coefficient de frottement, solidaires des longerons (10) et glissant le long des coulisses (11).
La fourche (2),servant à obturerl'ouverture du châssis, est constituée par des profilés creux (13), assemblés à une double traverse (14), et bouchés vers l'avant par des nez de renforcement robustes (15) et vers l'arrière par des plaquettes (16). L'ensemble constitué par les repères (13) à (16) est construit pour former une enceinte étanche, dans laquelle de l'air sous pression peut être introduit par la pipe (17) pour ressortir par des trous percés dans la partie horizontale des profilés (13), trous particulièrement visibles dans les
Figures 2 et 16.
La mise sous pression de cette enceinte a pour but de créer deux coussins d'air volant respectivmeflt la fourche des feuilles qu'elle supporte ou/et du plancher de la palette ou de la pile sur laquelle elle doit se déplacer. Ces coussins d'air sont importants pour un bon fonctionnement du changeur.
Leur présence est contrôlée indirectement par le capteur de pression (mercolde) (143) placé sur la traverse (14).
L'air comprime provient soit d'un compresseur, soit d'un circuit de distribution d'air auquel est reliée la pipe (17) par une vanne magnétique VM5, le tuyau flexible (144) soutenu par les colliers (145) glissant le long de la tringle (146).
L'obturation de l'ouverture du châssis (1) se fait par translation de la fourche dans un plan horizontal et, dans la réalisation figurée à titre d'exemple, selon l'axe avant-arrière de l'appareil. Ce déplacement est guidé par les barres re-ctifiees (18) roulant dans les douilles à circulation de billes (19) montées à l'intérieur des longerons (10) et assemblées à la traverse de fourche (14) par des éléments tels que des douilles d'appui (138).
La translation de la fourche a lieu sous l'action de deux vérins pneumatiques à double effet (20) fixés au cadre, à coté des longerons (10). Le mouvement des tiges de vérin (21) est transmis par assemblage direct à la traverse de fourche (14) a l'aide de nouvelles douilles d'appui (138).
Les barres rectifiées (18) et les tiges de vérin (21) sont rendues solidaires de la travers de fourche (14) par des douilles d'appui (138) et des épingles (22), dont la présence est constatée par les contacts (23). Ces douilles constituent un moyen d'assemblage rapide et simple. Elles comportent une bague (135) collée sur une tige de vérin, une bague épaulée (136) goupillée sur cette tige, une douille (138) poussée par un ressort (137). Le même système est utilisé pour la fixation des barres rectifiées. L'emploi d'autres systèmes plus classiques ne ferait ; pas sortir l'appareil du domaine de l'invention.
Si la fourche est démontée pour un motif quelconque (entretien, exécution d'un petit tirage d'une seule pile sur palette standard du commerce, etc) son absence est automatiquement signalée par les contacts (23) 8u centre de commande (processeur par exemple), qui bloque certains automatismes en vue d'éviter des accidents.
Le guidage de la translation de la fourche est amélioré par deux crémaillères (24) solidaires de la traverse de fourche (14) et dont les dents engrenent dans deux pignons (25).
Ces pignons (25) sont calés aux deux extrêmites de l'arbre (26) par des tourillons s'engageant dans un alésage. L'arbre (26) tourne à l'intérieur de la traverse (27) du châssis (1), l'ensemble ayant pour but d'éviter que la fourche ne prenne du travers dans sa course. Deux joues (28) enserrent chaque cré maillère (24). Elles sont supportées par des galets (29) montés par l'intermé- diaire d'axes excentrés (30) sur des entretoises (32) disposées entre les longerons (10) et (52), le système ayant pour but de supporter le porte-à-faux de la crémaillère lorsque la fourche est rentrée.
Dans leur course, les profilés (13) de fourche sont supportés par des galets (33) tournant autour des axes (34) montés dans des coussinets (35) fixés dans la traverse (36) . Ces galets seront de préférence recouverts de-TÉFLON' et tourneront sur des douilles d'aiguilles.
Lorsque la fourche est en position "rentrée" pour obturer l'ouverture du châssis (1) et supporter une pile, les nez de fourche (15) reposent sur des supports 37, montés sur la traverse (38). La largeur et l'entr'axe de chaque profilé de fourche ont été choisis pour que ces profilés viennent se loger entre deux galets d'embarquement (O) et entre deux bandes (T).
Les deux positions de fin de course de la fourche (2) sont contrôlées respectivement par les contacts (39) et 41) montés sur la traverse (36). Le contact (39) est actionné par une petite came (40) fixée sur une joue (2a) de crémaillère. Le contact (41) est actionné directement par la traverse (14).
Sur l'un des supports de nez de fourche (37) est fixé un contact de fin de course selon Figures 19, 20 et 21, pour arrêter la montée d'une nouvelle pile lorsqu'elle atteint le dessous des profilés de fourche (13). L'organe sensible en est une palette de métal mince (124) fixée à l'extrémité d'une biellette (122) pouvant pivoter autour d'un axe (123), fixé lui-meme sur une platine (121) vissée sur un support (37). En position de repos, la palette dépasse vers l'arrière le plan d'appui formé par les bandes (T). Lorsque la pile, en montant, repousse la palette (124), elle repousse aussi le levier (122), qui vient appuyer sur le contact (129), à condition que la fourche soit en position rentrée.
En effet, ce contact est fixé sur une pièce (125) pouvant pivoter autour d'un axe (126) fixé sur la même platine (121). Le pivotement de (125) est provoqué par le nez de fourche (15) appuyant sur le galet (127), tournant autour de l'axe (128), solidaire de (125). Si le nez de fourche n'est pas en place, le ressort (130) écarte le contact (129) du levier (122). Le contact (129) ne peut etre actionné que si, à la fois, le nez de fourche appuie sur le galet (127) et la palette (124) a été repoussée par la pile. L'action du ressort (130) est limitée par l'équerre formant butee sur le levier (122) et par les écrous (134).
cette disposition a pour but de limiter l'effet du contact (129) à la huitieme phase du cyle (Figure 37), ou la plate-forme (B) monte une nouvelle pile sous la fourche. Dans d'autres phases, ce contact ne doit pas interrompre la descente de l'ensemble châssis/fourche, alors que cette derniers, sortie, doit impérativement venir au niveau ou elle peut être poussée sous la pile. Un bouclage par le contact (41) contrôlant si la fourche est rentrée serait moins stlr. Cependant, ce bouclage est conservé pour s'assurer que le contact (129) est bien en position pour arrêter la levée de pile.
Dans la réalisation décrite et représentée à titre d'exemple, les informations sur le niveau atteint par l'ensemble chEssis/fourche sont obtenues à l'aide d'un programmateur électronique à diodes (42) disposé sur le bâti (A) non loin d'une extrémité de l'arbre (5) dont la rotation, par le jeu des roues (4) et des chaines (3) provoque la montée ou la descente de cet ensemble.
Un train d'engrenages (43)-(44) lie la rotation du plateau (45) du programmateur (42) à celle de l'abre (5), le rapport des nombres de dents étant établi pour que, à toute la course en hauteur possible de l'ensemble châssis/fourche, corresponde moins d'une révolution du plateau (45). Le niveau de cet ensemble pourrait être contrôlé par d'autres moyens usuels, tels que des contacts à action mécanique ou des contacts de proximité sans faire sortir l'appareil du domaine de l'invention.
Dans la réalisation choisie à titre d'exemple, les informations sur le niveau de l'ensemble châssis/fourche sont obtenues à l'aide de cinq diodes photo-sensibles (50.1) à (50.5) réparties sur un arc d'environ 330 degrés d'une rainure circulaire (49) ménagée dans le corps du programmateur (45). Ces diodes, protégees par un diaphragme linéaire, ne sont éclairées par la lumière d'une ampoule (47), conduite par un rond de plexiglas transparent coudé et extérieurement noirci, (46) que lorsque l'extrémité de ce rond opposée à l'ampoule (47) leur est juste amenée en regard par la rotation du plateau (45). La position angulaire du rond (46) répète ainsi sans ambiguité la position de l'ensemble châssis/fourche dans les limites de sa course en hauteur. Les cinq diodes equivalent à cinq contacts mecaniques (ou inductifs) disposés directement dans la cage du dépileur.
Le calages angulaire des diodes (50) dans la rainure circulaire est choisi pour que:
la diode(50.1) indique la limite mécanique basse de la course de
l'ensemble châssis/fourche,
la diode (50.5) indique la limite mécanique haute de cette course,
la diode 50.2 indique la position de l'ensemble permettant l'in
troduction dans la cage du dépileur d'une pile de la hauteur maxi
male prévue dans la spécification de l'appareil,
la diode 50.3 indique une position de ensemble telle que, à la
vitesse moyenne de dépilage, toutes les opérations automatiques du
chargement d'une nouvelle pile puissentêtre exécutées avant que la
pile en cours n'ait été entièrement épuisée. Cet arrangement a pour
but d'éviter une interruption involontaire de l'alimentation.
Dans la réalisation conforme à l'invention, la diode 504 a été prévue de maniere à donner un signal pour le retrait de fourche en connaissance exacte du nombre de feuilles de la dernière pile qui retomberont sur la suivante. Le calage de cette diode est laissé à-la diligence du conducteur, qui l'effectuera en fonction de son expérience pratique et du genre de matériau dépilé habituellement par l'entreprise.
Si les matériaux depilés sont très variés, ce calage devra être renouvele pour chaque classe de travail.
Ce dispositif est completé par un contact de fin de course (51) monté sur un longeron (52) du châssis et actionné si ces longerons reposent sur les traverses (53) du porte-piles (B).
Dans la réalisation proposée à titre d'exemple, l'introduction d'une nouvelle pile dans la cage du dépileur se fait par un convoyeur à rouleaux
(mcelius) comportant deux sections (54) et (56). Les rouleaux de chaque section sont entrainés par des moteurs séparés, (55) pour le moelius (54) et (57) pour l'autre.Dans l'axe de ces convoyeurs sont montés à certaines places des galets de centrage (64). Chaque galet (64) est monté sur un support (66) solidaire du convoyeur (54 ou 56) par l'intermédiaire d'un axe (65), l'ensemble de ces galets ayant pour but d'amener les palettes portant les piles exactement dans l'axe de la ligne, par action commune avec les rampes (63) des palettes (58).
La section (54) comporte également une barre de retenue de pile (67) ainsi que jeu de chaines (80) destiné à- évacuer les palettes vides.
Les piles sont supportées par des palettes (58) présentant des particularités propres à l'invention: la hauteur de la palette vide est en relation précise avec l'épaisseur du châssis (1) pour que, lorsque les longerons (52) reposent sur les traverses (53) du porte-piles (B) ou sur les rouleaux du convoyeur (54), le plan superieur des barres de fourche (13) soit quelques frac
tions de millimètre plus bas que la feuille la plus basse de la pile. Le plan
cher habituel d'une palette est complété par des barreaux ménageant des passa
ges pour les profilés (13) de la fourche et le plancher est renforcé par un
doublage entre ces barreaux (65).
D'autre part, entre les barreaux (59) de la palette t58), est disposée une cale épaisse sur laquelle est fixée une coulisse robuste (62) comportant à chaque extrêmité dans ra;es de centrage (63). L'espace laissé entre les barreaux (5QE et la coulisse (?; est suffisant pour y introduire commo- dément les fourches d'un gerbeur. La largeur et la profondeur de la rainure de la coulisse (62) sont choisies pour qu'elle reçoive avec un jeu latéral minime les galets de centrage (64). La coulisse comporte deux rampes pour conserver plusieurs axes de symétrie et ne pas obliger à observer une orientation déterminée au moment de charger la pile sur la palette.
Ce système de centrage a pour but d'amener les piles dans une position sensiblement uniforme par rapport aux guides latéraux (R), condition nécessaire à un bon fonctionnement du dépileur et de son changeur automatique.
Généralement, les feuilles sont livrées à ltusine de transformation sur des palettes non récupérables Si le travail comporte plusieurs opérations, les feuilles seront dépilées et réempilées à plusieurs reprises, le réempilage ayant lieu sur ce même type de palette Le fonctionnement du changeur automatique exige que ces piles reposent sur les palettes particulieres (58) selon l'invention. Le transfert des piles sur ces palettes (58) se fera dans un retourneur de piles, engin de manutention bien connu dont disposent presque tou tes les fabriques d'emballages et beaucoup d'imprimeries. Cet engin comporte deux plate-formes disposées de manière à realiser une presse pivotante-autour d'un axe horizontal. Sur la plate-forme basse sera déposée la pile livrée sur une palette ordinaire et, par dessus, une palette (58) retournée.Les plateformes sont rapprochées. L'ensemble est retourné de sorte que la pile repose sur une palette adaptée au changeur de piles automatique.
Vu les obligations de centrage, le chargement de la pile et de la palette dans le retourneur exigera une certaine attention et pourra être assisté par des centreurs disposés dans le retourner
La section (56) du convoyeur à rouleaux est d'un modèle ordinaire, entrainé par un moteur (57)- à un seul sens de marche. Elle ne sert qu'à transporter vers le dépileur les piles, sur palettes (S8), déposées en attente par un gerbeur. L'emploi de chariots de manutention à main conduirait à modifier légèrement les rouleaux du convoyeur et à disposer ensemble dans une fosse, de manière à ce que le plan supérieur des rouleaux affleure le sol. Cette variante ne ferait pas sortir une telle execution du domaine de l'invention.
La section (54) fait partie intégrante du dépileur. Si l'emploi de chariots de manutention à main a fait placer la section (56) en fosse, cette disposition sera évidemment étendue à la section (54).
Cette section est entrainée par un moteur à couple constant (55) tournant dans les deux sens et dont les bobinages auront été calculés pour ne pas souffrir de rester immobiles sous tension pendant une minute.
Cette section comporte à son entrée une barre d'arrêt ou de retenue (67) ainsi qu'un jeu de chaines et de glissières pour l'évacuation des palettes vides. Le rôle de la barre de retenue est double: d'une part réguler l'arrivée des nouvelles piles dans la cage du dépileur (plusieurs piles peuvent etre disposées l'une derrière l'autre en attente sur la section (56) du convoyeur et seule l'une d'entre elles doit parvenir en position de chargement).
D'autre part, la barre (67) arrête les palettes vides ramenées en arrière par le convoyeur (54) dont le sens de marche a été inversé, l'arrêt se faisant à une position telle que des entraineurs montés sur des chaines fassent glisser sur le coté ces palettes vides, en vue de laisser le chemin libre pour la pile suivante.
Cette barre de retenue (67) est montée à l'extrêmité de deux manivelles (68) solidaires d'un arbre (69) pouvant tourner dans deux paliers (70) fixés au sol ou au châssis du convoyeur (54). La position normale de la barre (67) est celle d'arrêt, au dessus du plan supérieur des rouleaux, comme la représente la Figure 24 de la planche 8. Sous l'action d'un vérin pneumatique (71) à ressort de rappel incorporé agissant par la manivelle (72) pour faire tourner l'arbre (69), la barre de retenue peut s'effacer sous le plan des rouleaux du convoyeur (54) pour laisser libre passage aux palettes. Dès que la pression n'est plus apppliquée au vérin (71), le ressort de rappel qu'il contient ramene l'ensemble dans la position de travail de la Figure 24.
Deux contacts 77.1 et 77.2 sont montés sur la barre (67) pour signaler qu'une palette est en pression contre elle. La Figure 24. représente le contact 77.1 signalant l'arrêt d'une palette vide ramenée en arrière. Chaque dispositif se compose d'un corps (74) fixé sur un plat usiné dans la barre (67) et comportant un bossage percé d'un trou dans lequel coulisse un piston (75) terminé par un champignon recevant la poussée de la palette. Ce piston est constamment sollicité contre la palette par un ressort (76), mouvement limité par une bague (79). Poussé par son ressort, le doigt d'un contact (77) s'engage dans la saignée du piston (75) si-une palette comprime le ressort (76), de sorte qu'un signal électrique est émis si une palette vide transportee vers l'ar rière par le convoyeur (54) est arrêtée par la barre (67).
Le dispositif jumeau est tourné vers l'arrière, pour donner un signal si une palette et sa pile, transportées par le convoyeur (56) viennent en butée contre la barre (67) (contact (77.2)).
La hauteur et le centrage de toute pile en attente derriere la barre (67) sont vérifiés par deux dispositifs montés sur des potelets (116) soutenant des grilles de protection qui prolongent la cage du dépileur.
L'emplacement des potelets (116) a été choisi pour que, entre autres considérations, une pile arrêtée par la barre (67) soit déjà engagée entre eux.
Avant d'arriver en butée contre la barre (67), les palettes et les piles qu'elles supportent auront été centrées par les galets (64), disposés dans l'axe du convoyeur et qui auront été engagés dans les coulisses des palettes.
Une barrière photo-électrique (119), composée d'un projecteur et d'un récepteur classiques, est montées sur les potelets (116) à une hauteur telle qu'une pile de la hauteur maximale prévue aux spécifications, constituée sur une palette (58), n'interrompt pas le faisceau lumineux lorsqu'elle passe ou sa ticnneentre les potelets. L'interruption du faisceau signale tout dépassement en hauteur pouvant provenir d'un trop grand nombre de feuilles ou bien de l'oubli d'un objet (chiffon, outil, palette vide retournée, etc...). Outre les ennuis de dépilage que ceci peut entrainer, l'ensemble trop haut ne peut pas passer sous l'ensemble châssis/fourche lorsqu'il est acheminé dans le dépileur.
Ce contrôle pouvant être précieux même pour des piles ne devant pas atteindre la hauteur maximale, la hauteur du faisceau lumineux peut être réduite par le conducteur. Dans ce but, le projecteur et le récepteur sont fixés sur des coulisseaux (107) pouvant être déplacés dans des coulisses (106) fixées sur les potelets (116). Ce réglage peut être bloqué par un levier (110).
L'interruption du faisceau lumineux bloque l'abaissement de la barre (67), ce qui empêche l'amenage d'une pile trop haute.
Sur les potelets (116) se trouve également monté un gabarit de centrage des piles, composé de deux tiges verticales sensitives (98) dont l'écart peut être modifié selon la "largeur" des feuilles à dépiler, c'est-à-dire la dimension des feuilles qui est perpendiculaire & leur sens de déplacement.
Chaque tige (98) est montée dans l'oeillet d'un support (99) pouvant être déplace le long d'un rail (100) en faisant tourner un volant (103) qui entraine une vis (101), montée dans deux paliers (102). Ces paliers et le rail (100) sont fixés sur une traverse (115.1) joignant les deux potelets (116). Par rapport à l'axe longitudinal du dêpileur, la partie de la vis situee à droite est taillée "pas à droite". L'autre côte de la vis est taillé "pas à gauche".
Ainsi, en tournant le volant (103), on éloigne ou rapproche les supports (99) d'une distance égale de cet axe, qui reste au milieu de la distance entre tiges.
Chaque tige (98) comporte une saignée qui sert à la soutenir dans l'oeillet du support (99) par quatre vis pointeau (105).
Sous l'action d'une faible poussée latérale, chaque tige (98) peut s'écarter de la verticale Tout écart est constaté par la détente d'un capteur (104.1 ou 104.2) fixé Sur le support (99) dans le prolongement de cette tige, de manière à n'être actionné que si celle-ci est rigoureusement verticale.
Bien que la palette soit centrée par rapport au convoyeur (56) par les galets (64), la pile peut ne pas avoir eté bien centrée sur la palette lors de son transfert dans le retourneur. Une feuille peut aussi déborder de la pile.
Les bords poussent alors l'une des tiges (98). Un des contacts (104) est relia ché. Il en résulte un blocage de la barre (67) et un signal de défaut sur l'armoire qui appelle le conducteur pour remédier à cette situation.
Une deuxième barrière photo-électrique est montée entre les potelets (116), au dessous de la barrière (119). Son faisceau est normalèment interrompu par une pile en arrêt devant la barre (67). Il est rétabli lorsque cette pille est passée. Cette impulsion sert à commander le convoyeur (56) et un compteur.
La section (54) du convoyeur est entrainée par un moteur -(55) à deux sens de marche et à couple constant. Il est en effet important pour un fono- tionnement sans défaut du changeur automatique que les feuilles de la pile soient bien l'une au dessus de l'autre et que les lignes de centre de l'ensemble se trouvent aussi pres que possible de leur position théorique. Cette condition ne peut être remplie que si le moteur (55) maintient la pile en appui contre les bandes de tablier (T) pendant toutes les opérations antérieures à la montée des feuilles en position de dépilage.
Dans ce but, deux butées (92) sont montées aux extrêmités d'un arbre (93) pouvant tourner dans les côtes droit et gauche du bâti (A) . ces butées sont rappelées dans la direction d'arrivée des palettes par un ressort incorporé à un vérin pneumatique (94), monté entre un axe (95) fixé sur le bâti (A) et l'extrêmité d'une manivelle (96) calée sur l'arbre (93). Un contact électrique (97), monté sur le bâti (A) et actionné par une came fixée en bout de la manivelle (96) signale le moment ou la pile a repoussé les butées (92) et est en appui contre les bandes de tablier (T).
La force exercée par le ressort de rappel incorporé au vérin doit être assez bien équilibrée au couple du moteur (55) pour que la pile soit freinee sans à-coup et que les feuilles restent bien alignées, mais que l'appui des feuilles contre les bandes (T) soit bien assuré à l'arrêt, et cela pendant les trois phases suivantes du cycle. Aucune pression n'est appliquée à ce me.- ment au vérin (94), qui n'est prévu que pour rappeler les butées (92) de l'autre côté du plan des bandes (T) et dégager la descente des palettes vides dans des phases ultérieures.
Un dépileur selon l'invention comporte également un système pour évacuer les palettes devenues vides après que les piles qu'elles soutenaient ont été chargées dans 1- de pileur Ce systeme est monté dans la partie arriere du convoyeur (54, et se compose de quatre chaines (80), d'arbres (81), de roues (82), de paliers 83) d'un moteur (84) et de glissières (87). A titre d'exemple est également representé en Figures 3 et 4 une fraction d'un deuxième convoyeur (88), monté parallèlement au convoyeur principal (54-56) en vue de transporter vers l'arrière les palettes vides.
Deux jeux de deux chaines (80) sont montés entre les rouleaux du convoyeur (54), parallelement à l'axe de ces derniers. Chaque chaine comporte un entraineur (86). Les quatre chaines ont exactement le même pas et le même nombre de maillons. Elles sont montées sur des roues de même diamètre (82), calées elles-même sur un unique arbre d'entrainement (81), entrainé par le moteur (84) par l'intermédiaire d'un joint souple (85).
Les chaines sont tendues par des roues de renvoi (89), montées folles sur des axes et des paliers (90) disposés entre les rouleaux de convoyeur. Dans la réalisation proposée à titre d'exemple, où la place disponible entre rouleaux est limitée, l'un de ces axes est maintenu dans un des paliers (70) dans lequel pivote l'arbre des manivelles de la barre de retenue (67)-.
Le montage des chaines surales roues (82) est réalisé pour que les deux entraineurs (86) du premier jeu de chaines arrivent ensemble à la verti cdle de l'arbre (81) et que les deux entraineurs du deuxieme jeu de chaines arrivent avec une dent de retard sur les premiers.
Les palettes vides, ramenées en arrière par le convoyeur (54) sont arrêtées par la barre (67) et compriment le ressort du piston (75). Le signal émis sert à mettre en marche le moteur (84). Les deux entraineurs du premier jeu de chaines (80) passent au dessus du plan des rouleaux, appuient sur la coulisse (62) de la palette vide et la ripent sur le côté.
Arrivés à la verticale de l'arbre (81), les deux premiers entraineurs (86) s'escamotent sous le plan des rouleaux. Les deux entraineurs du deuxième jeu de chaines prennent le relais etcontinuent à pousser la palette vide sur les glissières (87), puis sur les rouleaux du convoyeur (88). Arrivés à leurs roues de renvoi (89), ils basculent en dessous du plan des rouleaux et entament leur course de retour jusqu'à ce qu'ils passent à côté du contact de proximité (91) qui arrete le moteur (84) avant qu'ils ne repassent par dessus les rouleaux.
En s'escamotant sous les rouleaux, les seconds entraineurs (86) ont laissé la palette vide sensiblement dans l'axe du convoyeur (88).
L'absence d'un évacuateur de palette vide ou sa réalisation à l'aide d'autres moyens, tels que des vérins pneumatiques par exemple, ne ferait pas sortir l'appareil ainsi réalisé du domaine couvert par l'invention.
Les profilés formant l'ossature du convoyeur (54) sont crénelés de manière à permettre aux traverses (53) du porte-piles (B) de dégager le plan supérieur des rouleaux pour laisser libre passage aux palettes et aux piles.
Un contact de fin de course (112) signale l'arrivée de la plate-forme (B) en fin de course de descente.
Dans plusieurs des phases du cycle de changement de pile, les vérins pneumatiques (20) font jaillir la fourche (2) de la cage du dépileur constituée par le bàti (A), le tablier (T) et les colonnettes (W). Ceci présente un risque pour le personnel. Dans une réalisation de l'invention donnee à titre d'exemple, et en vue d'interdire l'accès de la zône dangereuse pendant la marche de llap- pareil, cette cage est allongée vers l'arrière du dépileur par des grilles de protection (113) et (114) ainsi que par une traverse horizontale double (115).
Ces derniers éléments sont soutenus par les colonnettes (W) et par deux potelets (116).
Pour que le personnel d'entretien ou de réglage puisse conserver un accès à la partie arrière du dépileur, les grilles de protection sont montées sur charnières (117). Mais leur ouverture est immédiatement signalée par des contacts (118) qui interrompent l'alimentation de tous les circuits de puissance si elles ne sont pas fermées.
Le cycle de changement automatique de pile comporte douze phases pendant lesquelles les grands éléments du dépileur prennent les positions in tiquées par les Figures 30 à 41. Le chargement de la première pile d'un travail détermine occupe les six premières phases. Le cycle automatique de changement de pile proprement dit, qui est répétitif, occupe les six autres phases. La fin de production ne provoque qu'une variante des précédentes. Ces phases sont exécutees en séquence automatique, sans chevauchement, le constat de fin d'une phase déclenchant, sous réserve que rien ne s'y oppose, le début de la phase suivante.
Dans la réalisation décrite à titre d'exemple, trois modes de fonctionnement sont possibles: un automatisme intégral (I), où, comme dit plus haut, la fin de chaque phase est constatee par un capteur électrique qui provoque, sous certaines conditions, le départ de la phase suivante; un semi-automatisme (I I), dont le cycle, similaire au précédent, est interrompu pour les mouvements horizontaux de la palette, le conducteur étant appelé par des signaux de manière à les effectuer en appuyant lui-meme sur les touches appropriées; un mode entièrement manuel (III) pour des opérations de maintenance ou des travaux de faible ampleur, qui ne comporteraient par exemple qu'une seule pile. Le choix du mode de fonctionnement se fait par un sélecteur (148) disposé sur l'armoire (147) de commande du changeur.
Dans le mode de fonctionnement manuel, la fourche doit être démontée du châssis. Sinon elle s'oppposerait au passage des feuilles. Ce démontage se fait en enlevant les épingles (22). Démontée, la fourche n'a pas à être décon nectée de l'armoire electrique ni de l'alimentation en air comprimé. Elle peut être accrochée par exemple à la tringle (146).
Le déroulement automatique de la séquence de changement de pile implique une unité centrale de commande qui peut être un programmateur à cames, ou une commande séquentielle par circuits électo-mécaniques, ou par circuits logiques ou bien par un automate programmable intégré ou non à un ensemble informatique de gestion de ligne, ou bien encore par un processeur. Dans la réalisation choisie à titre d'exemple, les commandes et contrôles du changeur automatique sont confiés à un automate programmable, programmé en mode automatique suivant le tableau I (3 pages) et dans les autres modes suivant les tableaux II et III de la page suivante. La réalisation de la commande par l'un quelconque des moyens cités-plus haut ne ferait pas sortir l'appareil du domaine de l'inventin.
Les tableaux I et II indiquent les conditions à réunir pour que le signal émis par l'un des 22 capteurs répartis dans le changeur et dans le dépileur soit transforme en une impulsion donnée à un appareil de puissance en vue d'une action matérielle déterminée.
Ces tableaux comportent 26 colonnes, dont la première indique le numéro de ligne (1 à 65 et 1 à 56), chaque ligne correspondant à une instruction, la deuxième indique le numéro de la Figure (30 à 41) représentant le dépileur en début de la phase considérée et la troisième le mode de fonctionnement (I à III).
A chacune des 22 colonnes suivantes correspond l'un des capteurs ou des contacts montés dans le changeur automatique (20 capteurs) ou dans le dépileur (deux des divers contacts propres à un dépileur classique).
Les contacts sont des capteurs "tout ou rien" qui ne peuvent occuper que deux positions, notées A (actionné)- ou N (non-actionné) dans la colonne du capteur ou du contact, cette notation ayant pour but de dissocier le principe du programme de son mode de réalisation. Selon ce mode, à la position A pourra correspondre indifféremment un contact ouvert ou fermé, une tension O ou 1, etc...
Pour un contact mécanique, A signifie qu'il est soumis à une action tendant à faire rentrer sa tige dans le corps de l'appareil. Pour les diodes (50.1 à 50.5) et pour les barrières photo-électriques (119 et 120), A signifie qu'elles sont atteintes par le faisceau lumineux qui les pilote. Pour le contact de proximité, A signifie que l'entraineur contrôlé se trouve à la plus petite distance possible de l'élément sensible. Tous les cas contraires sont désignés par N. Dans chacune de ces 22 colonnes, le contact ou le capteur sont repérés en clair par leur emplacement ou la fonction qu'ils contrôlent, ainsi que par leur référence dans les planches 1 à 10.
Dans la colonne 26 figurent, sous une forme abrégée, les "instructions" résultant de la combinaison des positions ou des états des contacts ou des capteurs surveillés. Ces abréviations sont expliquées en haut de colonne.
Pour le fonctionnement en mode automatique, 1 tétant de chaque capteur au début du travail (position de la Figure 30) est indiqué en ligne 2 du tableau I. Tout changement provoque par une action mecanique (ou lumineuse, ou magnétique) est indiqué par la notation, dans la colonne du capteur, du nouvel état A ou N qu'il a pris à la suite de cette action. A partir de ce nouvel état, une impulsion est donnée à automate qui, compte tenu de l'état des autres capteurs, la transforme en une instruction aux organes de puissance. La relation entre le changement du capteur, les conditions et l'instruction est indi quée dans les tableaux par une ligne tiretée à suivre de gauche à droite.
L'ordre chronologique des phases et des instructions est à lire de haut en bas.
Toute condition exigée pour permettre le depart d'une nouvelle phase reste condition de la poursuite de cette phase.
Dans une réalisation conforme à l'invention, le déroulement du cycle est surveillé en allouant à chaque phase une duree précise et en contrôlant si, à l'issue du temps alloué, le contact ou capteur déterminant le passage à la phase suivante est passé à l'état attendu. Dans les tableaux, ceci permet de mettre en évidence le capteur dont le changement d'état donne l'impulsion pour le saut d'une phase à l'autre.
Sauf exception, cette impulsion provient du circuit de temporisation à travers un capteur dont le signal sera transformé en instruction simple ou multiple. Cette instruction dépendra généralement de l'état où se trouvent d'autres capteurs informant si une condition necessaire à l'exécution de l'instruction est remplie. Cette combinaison est concrétisée par une ligne horizontale tiretée, reliant plusieurs lettres A ou N et aboutissant dans la colonne de droite à l'instruction appropriée à cette combinaison.
Une même impulsion peut conduire à des commandes ou des blocages opposés, selon qu'un des capteurs surveillés occupe un état ou l'autre. Une commande "autorisée" en début de phrase peut être interdite si, pendant cette phase, un des capteurs surveillés cange d'état.
Dans les tableaux ne figurent que les verrouillages propres au cnas- geur automatique, verrouillages qui ont pour but d'eviter les accidents ou des dommages au matériel ou aux feuilles. Les differents systèmes de sécurité montés sur le dépileur (contrôle de paquets de feuilles, de désymchromisation ou de bourrage) ou sur la ou les machines en ligne montées en aval sont sans effet sur le changeur dont la fonction se limite a une opération très indirec- tement liée au rythme de production. Un ralentissement ou un arrêt de la ligne, commandés par les systèmes en question, n'ont pas à être et-dus au changeur.Réciproquement, un défaut dont l'origine serait dans le changeur pas à agir directement sur le dépileur ou les autres machines, eaf il sera immé- médiatemen décelé par ces systèmes, qui agiront en conséquence enn temps ntile-
Si l'état d'un capteur interdit le lancement de la phase suivante, une indication de défaut apparait sur l'armoire de commande (figure 29)~
Un retard dans l'exécution d'une phase ne fait qu'alluner un voyant lumineux de la colonne (151), à la même hauteur que le voyant de la colomme (150), qui est allumé pendant l'exécution de la phase.
Un défaut risquant d'entrainer un arrêt de l'alinemtation classe "A" dans les tableaux I et II), provoque une information lwsnense en clair dans l'une des fenêtres (152) et l'appel d'un avertisseur sonore
Un défaut risquant d'entrainer des dommages matériels, note "R" dans les tableaux I et II, provoque une information lumineuse en clair et l'pel d'num avertisseur vigoureux (gyrophare par exemple).
L'armoire est complétée par une touche d'extinction de signal (154).
un bouton d'avance d'un pas (155), un arrêt d'urgence (156) et mn compteur (157).
La description d'un dépileur avec changeur de pile automatique elle achevée et le principe de programmation d'un automate de commande restant posé. la séquence des phases du cycle automatique sera exposée dans les lignes stivantes ainsi que dans les Figures 30 à 41.
La Figure 30 représente un depileur conforme à l'invemtion em posi- tion de prise de travail. Sur le convoyeur (56) sont représentées deux piles en attente, nombre qui n'est limite que par la longueur de ce convoyeur. lapre- miere pile à acheminer dans la cage du dépileur est arrêtée par la barre de retenue. Comme elle est de hauteur "autorisée", elle coupe le faisceau lumi- neux de la barriere photo-électrique basse (120), mais non oelui de la barrière haute et, comme elle est centrée, elle passe entre les tiges (98) sans les déplacer, donc sans faire passer les contacts 104 en position non-actiommée.
Le châssis, avec sa fourche, est en fin de course haute. la fourche est rentrée
La plate-forme (B) est en fin de course basse, descendue sous le plan des rou- leaux du convoyeur (54). Les butées sont en position d'accueil.
Dans cette position, les capteurs et contacts sont dans l'état indiqué ligne 2 du tableau I.
Pour eharger une première pile destinée à être changée en mode automatique, le conducteur, après avoir vérifié que les voyants d'ouverture de barrière et de démontage de fourche sont éteints, amène le sélecteur de mode en position I = automatisme intégral. Si les capteurs et contacts sont bien dans l'état de la ligne 2, l'automate met sous tension pour 3 secondes la vanne magnétique VM3, qui commande l'arrivée d'air comprimé au vérin (71), met sous tension sans limitation de durée la bobine de contacteur de marche du moteur du convoyeur (56), celle de contacteur de marche avant du convoyeur (54)
L'instruction notée en abrégé dans la colonne de droite du tableau I, ligne 2, est: MA (3")-VM3 + MA-MOT57 + MAV-MOT55 + TEMP 10".
L'effet pratique de ces branchements est d'abaisser pour 3 secondes la barre de retenue 67, temps paraissant nécessaire au démarrage d'une palette chargée d'une pile d'un poids maximal (2,5 tonnes dans certains cas), et de mettre en marche avant les convoyeurs (54) et (56). Apres 3 secondes, la vanne VM 3 n'est plus alimentée et coupe l'alimentation du vérin (71). Le ressort de rappel qu'il contient pousse vers le haut la barre (67), mouvement qui peut être contrarie si la première palette n'est pas encore passée. Ceci est sans importance. La barre (67) ne doit remonter au dessus des rouleaux du convoyeur qu'en temps utile pour arrêter la palette portant la pile suivante.
Le passage de la premiere pile rétablit le faisceau lumineux frappant la cellule (120). Ce signal est exploité pour arrêter le convoyeur (56) après une temporisation de l'ordre de 15 secondes et pour faire avancer d'une unité le compteur de piles de l'appareil. La durée de 15 secondes ci-dessus est suffisante pour amener la pile suivante en butée contre la barre (67)
La première pile ayant pénétré dans la cage du dépileur poursuit son avance jusqu'aux butées (92). La série de galets (64) disposés entre les derniers rouleaux du convoyeur (54) achèvent le centrage de la pile avant l'arrêt verse aux butées (92), centrage .amorcé sur la section (56) du convoyeur.
Si la pile avaité été trop haute, ou si un objet étranger s'était trouvé sur elle, la barrière (119) serait passée dans l'état non-actionné. La première phase n'aurait pas démarré et un signal de défaut A aurait été donné.
De même, si le contact (77.2) n'est pas actionné, c'est qu'aucune palette n'a été placée sur le convoyeur (56) ou que celui-ci n'a pas démarré.
La premiere phase ne peut pas démarrer et un signal de défaut A est donné.
De même, si la pile avait été mal centrée sur sa palette, la première phase n'aurait pas démarré.
Aucun autre point ne fait l'objet d'une surveillance particulière pendant le déroulement de la phase 1, qui s'achève lorsque la palette, après avoir repoussé les butées (92), est venue, avec la pile, en appui contre le tablier (T). Dans ce cas, le contact (97) change d'état et émet un signal qui servira à déclencher la phase 2. Le dépileur se trouve dans la position de la
Figure 31-.
Si, après ecoulement de la temporisation de 10 secondes choisie comme durée maximale pour la phase 1, le contact (97) est toujours dans l'état N, un signal de défaut C est donné. Un tel signal n'arrête pas la phase en cours. Il n'a pour rôle que d'informer le conducteur d'une difficulte modeste, à étudier.
Si l'ensemble châssis/fourche est en position haute, la diode (50.5) se trouve dans l'état (A) et le changement d'état du contact (97) déclenche le passage à la phase suivante Dar mise sous tension de la vanne magnétique VM 1, d'un contacteur et d'une boucle de temporisation. Les vérins (20) font reculer la fourche (2) en position "sortie". La fourche est alimentée 'en air comprimé, soit à la suite de la mise en marche d'un compresseur, soit par ouverture d'une vanne (VM 5).
En fin de course de fourche, le contact (39) est actionné par la came (40) et ce changement d'état donne le depart de la troisieme phase, sous réserve que le capteur de pression contrôlant la présence de coussins d'air ait été actionné.
La seule surveillance de la phase 2 est celle du temps alloué.
Cette phase s'achève lorsque les longerons (52) du châssis touchent les rouleaux du convoyeur et que la diode (50.1) passe en état A. Grâce au contrôle des tiges (98) et au maintien en appui de la pile contre les bandes (T), de bonnes conditions sont assurées pour la rentrée des barres (13) de la fourche sous une pile correctement centrée. Le dépileur se trouve dans la position de la Figure 33.
Sous réserve que la fourche soit bien sous pression d'air comprimé et que les feuilles soient toujours poussées contre le tablier (contacts (143) et (97) actionnés), la phase 5 commence par la fermeture de la vanne VM 1 et l'ouverture de la vanne VM 2 ainsi que l'ouverture d'une boucle de temporisation. La pression d'air est appliquée contre les autres faces des pistons des vérins (20), qui forcent la fourche sous la pile, entre les feuilles, le doublage du plancher et les planches de la palette.Ce mouvement ne s'arrête que lorsque le contact (41) est actionne. I1 serait interrompu en cas de diminution de la pression d'air dans la fourche, diminution constatée par le mercoide (143), car les coussins d'air sont indispensables pour limiter les frottements et éviter que les feuilles ne soient marquées ou abimées.
Après la rentrée de la fourche, le dépileur se trouve dans la position représentée en Figure 34
Le changement d'état du contact (41) détermine le passage en phase 6, c'est-à-dire l'élévation de la pile par montée de l'ensemble châssis/fourche sous l'action du moteur 8. Le compresseur pour le coussin d'air (ou la vanne magnétique VM 5) et le moteur (55) du convoyeur (54) sont arrêtés, les vérins (20) sont mis au repos. La montée de la pile s'arrête lorsque les premières feuilles atteignent leur position de dépilage et actionnent le capteur de niveau de pile (J). La palette vide reste en attente d'évacuation sur les rouleaux du convoyeur (54)
Avec la fin de cette phase, s'achève la préparation du dépileur à la production.Le dépileur se trouve dans la position de la figure 35, position tout-à-fait classique, dans laquelle le capteur de niveau de pile change d'état des qu'un certain nombre de feuilles ont été dépilées et, par des mises en marche et des arrêts successifs du moteur (8), maintient la feuille du dessus de pile à distance approximativement constante des élévateurs (K) et (M) et toujours 10 à 15 mm en dessous des extrémités hautes des bandes (T).
Le signal donné par le capteur (J) est également exploité pour évacuer la palette vide, restée sur le convoyeur (54) après que la fourche ait enlevé la pile qu'elle supportait. Dans une ligne parallèle d'automatismes, commandéepar le meme automate, le moteur du convoyeur (54) est mis en marche arrière jusqu'à ce que la palette soit arrêtée par la barre de retenue (67) et comprime le ressort du piston (76), ce qui change l'état du contact (77.1). Ce signal détermine l'arrêt du moteur (54) et la mise en marche du moteur (83), c'est-à-dire le démarrage des chaines d'évacuation (80). Les entraineurs (86) viennent successivement en appui contre la coulisse (62) de la palette vide et la ripent vers le côté droit, sur les rouleaux des convoyeurs (54) et (88) et sur les glissières (87) disposées entre ces derniers.Lorsque la palette vide est à peu près dans l'axe du convoyeur (88), les entraineurs s'escamotent sous le plan des rouleaux et retournent en position de départ, vers le contact de proximité (91) qui arrêtera ce mouvement avant qu'ils ne repassent au dessus du plan des rouleaux. Il est important que les entraineurs restent en dessous de ce plan, à l'abri du passage des palettes chargees en acheminement vers le dépi leur.
En cours de production, le cycle de changement de pile commence par l'approvisionnement d'une nouvelle palette, dont le signal est donné par le changement d'6Lat de la dieds t50.2). Cette diode est calée dans le programmateur (42i de mars erse à donnet ce zonal lorsqu'une pile de hauteur maximale peut venir en butée contre ies bandes (T) en passant juste en dessous des longerons (52) du châssis, sans les toucher.
La phase d'approvisionnement de la pile suivante est la septième de cette description, mais, en fait, la première du cycle répétitif de changement de pile, cycle qui se renouvellera pendant la production jusqu'à épuisement des piles de la tâche en cours ou jusqu'à suspension du travail.
Cette septième phase se déroule comme la première, décrite en page
Elle est soumise aux mêmes contrôles. Toutefois, la signalisation de l'absence de pile est amplifiée pour que le conducteur agisse sans délai car, ou bien le cariste a oublié de déposer de nouvelles palettes sur le convoyeur (56), et cette négligence doit être rapidement corrigée, ou bien la pile en cours d'opération est la dernière du tirage, et l'automate doit en être averti pour se conformer à de nouvelles -instructions.
En tout état de cause, si aucune palette ne vient pousser les butées (92), l'état du contact (97) ne sera pas modifié et la-hauteur de pile continuera à être régulée par l'action du capteur (J) sur le moteur (8), jusqu'à epuisement des feuilles supportées par la fourche. Dans une telle situation, les contrôles propres au dépileur déterminent les mesures appropriées.
Apres la phase 7, le dépileur se trouve dans la position représentée par la Figure 36.
Dans l'une des phases suivantes, la fourche va être reculée et les dernières feuilles qu'elle soutenait, maintenues en appui contre les bandes (T) par les guides (S), vont retomber sur les premières feuilles de la pile suivante. Bien que cette chute soit amortie par le coussin d'air soufflé au dessus et au dessous des profilés de fourche (13), il est préférable de limiter le nombre de feuilles retombant sur la nouvelle pile. C'est à ce souci que correspond le calage de la diode (50.3) dans la rainure du programmateur (42).
iLa position de cette diode est choisie pour qu'elle détermine la levée de la nouvelle pile pour qu'elle arrive sous la fourche alors qu'un paquet de 10 mm environ de la pile en cours reste à dépiler. L'arrêt de la montée de la nouvelle pile est commandé par un signal du contact (129), mais la fin de cette phase ne coincide pas avec le debut de la phase suivante.
L'ordre n'est lancé aux vérins 120) de reculer la fourche que lorsque la diode (50.4) vient en état A, le calage de cette diode correspon dant à une hauteur de fourche où ne restent que peu de feuilles sur elle. Ce calage est accessible au personnel de service et dépend de la "tenue" d'une feuille et de sa résistance à l'action des élévateurs. Si le matériau dépilé est rigide (carton, métal et analogue), le nombre de feuilles restant sur la fourche au moment de son retrait peut être réduit à cinq ou six. Pour un papier de 60 grammes, susceptible de s'abaisser entre les barres de la fourche, ce nombre pourra etre porté à cinquante, par exemple.
Le recul de la fourche n'est ordonné que si elle est sous pression d'air, afin que deux coussins d'air se forment bien entre les barres (13) et les feuilles. Ces coussins sont nécessaires pour amortir la chute des feuilles et lubrifier le mouvement de la fourche. La chute est bien visible en Figure 2.
Après la chute, la perte de hauteur provoquée par le retrait de la fourche est compenséepar une montée de la nouvelle pile sous l'action du moteur (H), les signaux de sortie de la régulation sous contrôle du capteur de niveau (J) étant, au moment du recul de la fourche, détournés du moteur (8) et dirigés sur le moteur (H) pendant les phases 9, 10 et 11.
La phase suivante est déclenchée par le contact (39) qui constate que la fourche est reculée. L'ordre est alors donné au moteur (8) de faire descendre l'ensemble ch ssis/fourche en position de chargement de la nouvelle pile. Cette descente n'est commandée que si la fourche est sous pression d'air. Elle prend fin lorsque les longerons (52) touchent les traverses (53) de la plate-forme (B), ce qui est signalé par un changement d'état du contact (51).
Le dépileur est alors dans la position représentée par la Figure 39.
Le signal émis par le contact (51) est exploité pour faire rentrer la fourche sous la nouvelle pile, à condition qu'elle soit toujours sous pression d'air.
Lorsque la fourche est complètement rentrée, le contact (41) émet un signal qui est exploité pour mettre les vérins (20) au repos et ramener sur le moteur (8) les commandes de régulation du capteur (J), dont la fonction s'est poursuivie pendant les phases 9, 10 et 11, mais par action sur le moteur (H).
Les feuilles du dessus de pile sont donc restées à même distance des élévateurs (K) et (M), sauf pendant le bref instant de la chute des dernières feuilles sur la pile suivante, soit pendant quelques fractions de seconde, sans arrêter la production et sans effet sur celle-ci.
Le signal du contact (41) sert aussi à déterminer la descente de la plate-forme (B) et la séquence d'évacuation de la palette vide (cf. page 19).
Le changement de pile est achevé et le dépileur reprend l'aspect des
Figures 35 et 41, jusqu'à un nouveau cycle enchainant les phases 7 à 12.
Dans le mode de fonctionnement semi-automatique, les phases du cycle restent les mêmes et continuent à s'enchainer sans intervention du conducteur, sauf à deux endroits du programme ou la séquence est interrompue.
Lorsque la fourche a décharge une pile, l'évacuation de la palette n'a pas lieu automatiquement. Le conducteur est appelé par un vibreur pour enlever la palette vide à la main, ou en appuyant sur une touche du coffret de commande pour actionner les convoyeurs en séquence non automatique.
De même, l'acheminement d'une nouvelle pile dans le dépileur n'est pas commandé automatiquement. Là aussi, le conducteur est appelé par un vibreur pour appuyer lui-même sur la touche qui fera réaliser l'instruction de la ligne 33 du tableau II (passage de la nouvelle pile).
Dans ces deux cas, l'automate reste actif. Il continue à vérifier si les conditions requises pour l'exécution d'une instruction sont remplies et à signaler, le cas échéant, les défauts. Il enchaine automatiquement les opérations suivantes.
Dans le mode de fonctionnement manuel, les circuits de l'automate sont isolés des circuits classiques d'un dépileur, lesquels ont subsisté de toute maniere et concernent la commande du moteur (H) par une ou plusieurs boites à boutons, la régulation de la hauteur de la pile par le capteur (J) et le moteur (H) et la commande par boites à boutons des convoyeurs (54) et (56).
Dans le mode manuel, seul des circuits d'automatisme restera actif le contrôle de hauteur des piles par la barrière photo-électrique (119), précieux d'une manière tout-à-fait générale.
Les modes semi-automatique et manuel sont prévus pour les travaux de faible durée qui ne justifient pas le temps de réglage propre au changeur de pile ainsi que le transfert des piles sur palettes spéciales. Ils sont utiles si la qualité de l'empilage est médiocre et provoque des arrêts fréquents en mode automatique, par le jeu des tiges (98). Dans ce dernier cas, le conducteur sera appelé de toute maniere pour prendre les dispositions appropriées.
Dans tous les autres cas, et notamment pour les travaux de longue haleine, l'alimentation de la ligne de production peut être assurée sans interruption ni ralentissement, sans intervention du personnel de service et au seul prix de l'attention à apporter à constituer des piles correctes, bien centrées sur des palettes propres au système.
Le changeur de pile selon l'invention et tout dépileur automatique auquel un tel changeur est incorporé sont plus particulièrement destinés aux industries de l'imprimerie, de l'emballage métallique et du travail des métaux en feuilles à très haute cadence.

Claims (10)

PwEVENDICATIONS
1) Pileur (ou alimenteur, ou margeur) automatique pour machine travaillant les matières en feuilles, telles que presses à imprimer ou à façonneur, ou machines à vernir pour papier, carton, métal ou matières plastiques, caractérisé en ce qu'il comporte deux plate-formes (B) et (1) pouvant supporter les feuilles, lesdites plate-formes étant disposees l'une au dessus de l'autre et pouvant être levees ou abaissées par deux systèmes indépendants composés de chaines (C) et (3), de roues (D) et (4), d'arbres (E) et (5), de reducteurs (F) et (6) et de moteurs (H) et (8), la plate-forme supérieure (1) etant constituée par un châssis horizontal formant un cadre dont l'ouverture peut laisser passer les plus grandes feuilles à- dépiler et d'un élément (2), mobile par rapport au châssis (1), tel qu'une grille ou une fourche, ledit élément mobile reposant sur les côtés du châssis (1), mais pouvant être glissé par l'action de moteurs ou de vérins (20) pour dégager l'ouverture du cadre et permettre ainsi la descente dudit cadre dont les montants entourent une pile ou bien la montée d'une pile à travers le cadre, l'un ou l'autre de ces mouvements étant suivi du retour de la fourche ou de la grille (2) sous l'action de ces moteurs ou vérins (20) en une position où elle obture à nouveau le cadre (1) et peut supporter une pile, cette disposition ayant pour but d'introduire sous une nouvelle pile le support (2) retiré auparavant de .dessous les dernières feuilles de la pile precédente et de pouvoir ainsi remplacer d'une manière totalement automatique une pile en voie d'épuisement par une nouvelle pile.
2) Dépileur automatique selon revendication 1 caractérisé en ce qu'il comporte une fourche ou une grille (2) pour obturer l'ouverture d'un cadre (1), ladite fourche ou grille etant réalisée à partir de profilés creux (13) et de traverses creuses (14) assemblés de manière à constituer une enceinte unique alimentée par une pipe (17) en air en surpression ne pouvant.s'echapper de cette enceinte que par de très nombreux trous (153) de faible diamètre percés dans les parties horizontales ou presque horizontales des profilés (13), lesdits coussins d'air s'interposant entre les profilés (13) et les feuilles de la pile ou entre ces profilés et le plancher d'une palette (58) supportant la pile, en vue de réduire les frottements entre surfaces en regard et de ménager la surface des feuilles.
3) Dépileur automatique selon revendications 1 et 2 caractérise en ce qu'il comporte des systèmes constitues de galets (64) montes par l'intermédiaire d'axes (65) sur des supports (66) solidaires du bâti (A) du dépileur ou du convoyeur à rouleaux (54) or encore du sol, lesdits galets s'engageant dans une rainure (62) par des rampes (63) disposées sous une palette (58), constitués d'autre part de tiges (98) verticales sensitives disposées comme gabarit de part et d'autre du chemin de la pile et donnantpar un capteur (104) un signal si elles sont touchées par une pile mal centrée ou par des feuilles débordant d'une pile mal faite, et enfin de branchements électriques maintenant le bord avant de la pile en appui contre le tablier du depileur formé de bandes (T) rendues solidaires du bâti (A) par des supports (U) et des barres (V), l'ensemble de ces parties du système faisant en sorte que les feuilles d'une nouvelle pile soient amenées exactement en dessous des dernières feuilles en cours de dépilage.
4) Dépileur automatique selon l'ensemble des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comporte une unité centrale de commande du cycle de changement de pile automatique, ladite unité centrale pouvant être réalisée à partir de circuits logiques, ou d'un automate programmable ou d'un processeur ou d'un ordinateur et commandant le début de chacune des phases du cycle à partir des signaux émis par les capteurs disposés dans le dépileur, lesdits capteurs réagissant au changement de position ou d'état des principaux organes du depileur en début et en fin de phase du cycle, l'ordre de passer à la phase suivante n'etant donné qu'après avoir vérifie si la position des organes du dépileur est bien celle qui assure un déroulement sans défaut de ladite phase.
5) dépileur automatique selon l'ensemble des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comporte un capteur surveillant directement ou indirec-- tement l'épaisseur du paquet de feuilles restant à dépiler, de manière à ne commander le retrait de la fourche ou de la grille (2) qu'après reduction de ladite épaisseur à une valeur choisie pour limiter le nombre de feuilles de l'ancienne pile retombant sur les premières feuilles de la nouvelle pile au minimum compatible avec leur rigidité ou avec leur resistance mécanique.
6) Dépileur automatique selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comporte une unité centrale de commande contenant un dispositif de commutation automatique de l'ordre de levée de pile pour regulation du niveau de la première feuille à dépiler sur l'un ou sur l'autre des moteurs (H) ou (8) respectifs des systèmes de lève-pile propres à chaque plate-forme (B) ou (1), ladite commutation étant commandée par l'unité centrale selon la phase du cycle de changement de pile
7) Dépileur automatique selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comporte une unité centrale de commande contenant les appareils et les circuits de temporisation propres à contrôler le déroulement du cycle de changement de pile automatique par surveillance de temps alloués, en faisant débuter, avec toute phase du cycle un circuit de temporisation de la durée du temps alloué et en vérifiant Si, à l'issue de cette durée, les capteurs surveillant les mouvements des organes du dépileur ont enregistré la fin de ladite phase.
8) Dépileur automatique selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comporte un système tel qu'une tige sensitive ou une barriere photo-électrique (119) composée d'un émetteur et d'un récepteur classiques, ledit système étant disposé à l'entrée de la cage du dépileur en vue de déceler toute hauteur de pile excessive ou tout corps étranger se trouvant par mégarde sur une pile de hauteur autorisée et d'arrêter l'acheminement de cette pile vers le dépileur en stoppant le ou les moteurs d'entrainement des convoyeurs.
9)Dépileur automatique selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comporte un système d'évacuation automatique des palettes vides, système constitué des chaines (80), d'un moteur (83) et d'entraineurs (86) montés sur ces chaines, l'ensemble ayant pour but de faire sortir du dépileur toute palette venant d'être déchargée de la pile qu'elle supportait et de libérer la voie à l'arrivée d'une nouvelle pile.
10) Palette appropriée au changement de pile dans un dépileur selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que son plancher comporte des planches en relief supportant la pile de feuilles, lesdites planches étant disposées pour laisser entre elles des espaces où peuvent être introduits les profilés (13) d'une fourche (2), ladite palette étant d'une hauteur liée à celle du châssis (1) vis-à-vis duquel se déplace la fourche (2), de manière que ladite fourche peut être introduite sous la pile reposant sur la palette et soulever cette pile ultérieurement, ladite palette comportant en outre des éléments tels: :qu'une double rampe (63) une coulisse (62) centrale ou externe, lesdits éléments montés sur la palette concourant avec des éléments fixes tels que des galets (64) tournant autour d'axes (65) solidaires de supports (66) montés dans la cage du dépileur ou devant cette cage pour que ladite palette et la pile qu'elle supporte arrivent, en fin de course, centrées dans l'axe du dépileur.
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Tableau I
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Tableau I (suite)
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<SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5 <SEP> 6 <SEP> 7 <SEP> 8 <SEP> 9 <SEP> 10 <SEP> 11 <SEP> 12 <SEP> 13 <SEP> 14 <SEP> 15 <SEP> 16 <SEP> 17 <SEP> 18 <SEP> 19 <SEP> 20 <SEP> 21 <SEP> 22 <SEP> 23 <SEP> 24 <SEP> 25
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Tableau I (fin)
<tb>
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<tb> <SEP> 56 <SEP> A <SEP> STOP-MOT <SEP> 55 <SEP> + <SEP> MA-MOT <SEP> 84 <SEP> + <SEP> TEMP <SEP> 10"
<tb> <SEP> 55 <SEP> I <SEP> TEMP <SEP> 10" <SEP> LIGNE <SEP> 54 <SEP> N <SEP> DÉFAUT <SEP> A <SEP> "RETOUR <SEP> PALETTE"
<tb> <SEP> 54 <SEP> A <SEP> STOP-MOT <SEP> H <SEP> + <SEP> MAR-MOT <SEP> 55 <SEP> + <SEP> STOP-VM <SEP> 4 <SEP> + <SEP> TEMP <SEP> 10"
<tb> <SEP> 53 <SEP> I <SEP> TEMP <SEP> 5" <SEP> LIGNE <SEP> 52 <SEP> N <SEP> RETARD <SEP> 12
<tb> <SEP> 52 <SEP> 40 <SEP> I <SEP> TEMP <SEP> 10" <SEP> LIGNE <SEP> 50 <SEP> MAR-MOT <SEP> H <SEP> + <SEP> MA-VM <SEP> 4 <SEP> + <SEP> TEMP <SEP> 5"
<SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5 <SEP> 6 <SEP> 7 <SEP> 8 <SEP> 9 <SEP> 10 <SEP> 11 <SEP> 12 <SEP> 13 <SEP> 14 <SEP> 15 <SEP> 16 <SEP> 17 <SEP> 18 <SEP> 19 <SEP> 20 <SEP> 21 <SEP> 22 <SEP> 23 <SEP> 24 <SEP> 25
Tableau II Tableau III
<tb>
<tb> <SEP> LE <SEP> CAPTEUR <SEP> DE <SEP> NIVEAU <SEP> DE <SEP> PLUE <SEP> (J)
<tb> <SEP> A <SEP> BOUTOHS <SEP> HASITUELLES <SEP> ET <SEP> PAR <SEP> LE <SEP> CAPTEUR <SEP> (112)ET
<tb> <SEP> MOTEURS <SEP> (55) <SEP> ET <SEP> (57)) <SEP> SONT <SEP> ACTIONNÉS <SEP> PAR <SEP> LES <SEP> BOITES
<tb> <SEP> LES <SEP> ORGANES <SEP> DE <SEP> PUISSANCE <SEP> DU <SEP> DÉPILEUR <SEP> (MOTELUR <SEP> (H),
<tb> <SEP> LA <SEP> BARRIÈRE <SEP> PHOTO-ÉLECTRIQUE <SEP> 119 <SEP> RESTE <SEP> ACTIVE
<tb> <SEP> 1 <SEP> III <SEP> A <SEP> N <SEP> AUTOMATE <SEP> ISOLÉ <SEP> DES <SEP> CIRCUITS <SEP> CLASSIQUES <SEP> DU <SEP> DrPILEUR
<tb> <SEP> M <SEP> O <SEP> D <SEP> E <SEP> M <SEP> A <SEP> N <SEP> U <SEP> E <SEP> L
<tb> <SEP> 56 <SEP> II <SEP> STOP-VIBREUR
<tb> <SEP> 55 <SEP> II <SEP> STOP-MOT <SEP> H <SEP> + <SEP> MA-VIBREUR <SEP> APPEL <SEP> CONDUCTEUR
<tb> <SEP> II <SEP> LIGNES <SEP> 34 <SEP> A <SEP> 54 <SEP> INCLUSE:<SEP> MEME <SEP> PROGRAME <SEP> QUE <SEP> POUR <SEP> LIGNES <SEP> 33 <SEP> A <SEP> 53 <SEP> DU <SEP> MODE <SEP> AUTOMATIQUE
<tb> <SEP> 33 <SEP> II <SEP> MA-MOT <SEP> 57 <SEP> + <SEP> MAV-MOT-55 <SEP> + <SEP> MA(3")-VM <SEP> 3 <SEP> + <SEP> STOP-VIBREUR <SEP> + <SEP> TEMP <SEP> 10"
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<tb> <SEP> 21 <SEP> II <SEP> TEMP <SEP> 10" <SEP> LIGNE <SEP> 19 <SEP> A <SEP> STOP-MOT <SEP> 8 <SEP> MA-VIBREUR <SEP> APPEL <SEP> CONDUCTEUR
<tb> <SEP> 7 <SEP> II <SEP> LIGNES <SEP> 7 <SEP> A <SEP> 20 <SEP> INCLUSE <SEP> HÉME <SEP> PROGRAME <SEP> QUE <SEP> POUR <SEP> NODE <SEP> AUTOMATIQUE
<tb> <SEP> 6 <SEP> A <SEP> A <SEP> A <SEP> N <SEP> A <SEP> MA-MOT <SEP> 57 <SEP> + <SEP> MAV-MOT <SEP> 55 <SEP> + <SEP> MA(3")-VM <SEP> 3 <SEP> + <SEP> TEMP <SEP> 10"
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FR2680771A1 (fr) * 1991-09-02 1993-03-05 Heidelberger Druckmasch Ag Dispositif de reunion d'un reste de pile et d'une pile principale de feuilles.

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