FR2566828A1 - Dispositif d'entrainement pour l'ouverture et la fermeture d'une porte, notamment de la porte d'une cabine d'ascenseur - Google Patents

Abstract

L'ENTRAINEMENT PAR ENVELOPPEMENT DE L'INVENTION, DESTINE NOTAMMENT A L'OUVERTURE ET A LA FERMETURE D'UNE PORTE DE CABINE D'ASCENSEUR, COMPREND DES BRINS 9, 10 SE CROISANT MUTUELLEMENT, DONT L'UN 9 PRESENTE DES LANGUETTES 20 SITUEES EN DEHORS DU PLAN MEDIAN DEFINI PAR LES DEUX BRINS. L'AUTRE BRIN 10 EST SITUE DANS LE PLAN MEDIAN DANS LA REGION DE CETTE SECTION. ON OBTIENT AINSI FACILEMENT UN CROISEMENT DES BRINS DE L'ENTRAINEMENT PAR ENVELOPPEMENT A ADAPTATION DES FORMES SANS QUE LES BRINS AIENT BESOIN D'ETRE TORDUS OU VRILLES.

Description

Dispositif d'entraînement pour l'ouverture et la fermeture d'une
porte, notamment de la porte d'une cabine d'ascenseur.

L'invention concerne un dispositif d'entraînement pour ouvrir et fermer une porte, notamment une porte de cabine d'ascenseur, selon le préambule de la revendication 1.

En règle générale, les portes automatiques d'ascenseurs sont réalisées actuellement sous forme de portes coulissantes se déplaçant horizontalement. Du fait de la nécessité de maintenir un rapport optimal entre la largeur d'ouverture de la porte et la masse nécessaire de l'ensemble pour les panneaux de la porte en position ouverte, on a recours des systèmes à un ou plusieurs panneaux. Les mouvements des panneaux de la porte peuvent alors être dans le même sens ou en sens contraires par rapport à un plan de symétrie. On fait donc la différence entre les portes s'ouvrant sur un côté et les portes s'ouvrant par le milieu; pour un nombre prédéterminé de n panneaux de porte, les portes d'ascenseurs sont constituées sous forme télescopique de (n-l) éléments ou de (n/2 - 1) éléments.Les portes s'ouvrant par le milieu dans lesquelles les panneaux se déplacent en sens contraires par rapport au plan de symétrie présentent, par rapport aux portes s'ouvrant sur un côté, l'avantage de permettre d'obtenir en la moitié de temps la même ouverture de porte pour la même vitesse des bords de fermeture.

La réalisation du mouvement de coulissement linéaire des panneaux de la porte s'obtient, dans les systèmes connus, dans une partie d'entraînement primaire au moyen d'un mécanisme a manivelle, alors que les panneaux de la porte, lorsqu'il s'agit de systèmes à plusieurs panneaux, sont entrainés mutuellement par un câble. En dehors des panneaux de la porte de la cabine, il convient également d'actionner les panneaux de la porte de la cage de l'ascenseur. En règle générale, un panneau de la porte dela cage et un panneau de la porte de la cabine sont accouplés respectivement l'un à l'autre par l'intermédiaire d'un dispositif d'accouplement.Lorsqu'il s'agit de portes importantes, s'ouvrant par le milieu ou en deux fois de façon télescopique, ce dispositif a l'inconvénient de constituer un accouplement relativement élastique des panneaux de porte entrainés en série. Ceci provoque un mouvement qui n'est pas net et l'oscillation des panneaux. Dans de tels cas, il convient de chercher à obtenir une ramification de la chaine cinématique aussitôt que- possible pour réduire l'élasticité. Dans les portes connues, on obtient ce résultat en transmettant de façon séparée à la cage les directions de mouvement en sens contraires réalisées à partir du moteur d'entrainement dans la cabine. Mais ceci exige que l'accouplement entre le côté cage et le côté cabine s'effectue de façon séparée pour chaque moitié de porte.Dans les portes d'ascenseurs connues, le dispositif d'accouplement et son verrouillage sont réalisés simultanément par une manivelle d'entraînement qui constitue une pièce du moteur d'entrainement. Comme les panneaux de la porte se déplacent en sens contraires, on prévoit également deux manivelles d'entrainement. Pour qu'il ne soit pas nécessaire d'avoir recours à deux moteurs d'entrainement pour l'actionnement des deux moitiés de la porte, ces moteurs devant dans ce cas être synchronisés l'un par rapport à l'autre mécaniquement pour les directions opposées, l'entratnement des deux manivelles s'effectue par l'intermédiaire d'un mécanisme inverseur synchrone sans glissement.Une telle inversion de la direction est possible au moyen d'un nombre pair de roues dentées engrenant les unes avec les autres. De toute manière, il n'est pas possible de choisir l'entraxe des roues dentées, indépendamment de leur diamètre, selon une valeur importante quelconque. C'est pourquoi on utilise également pour l'inversion du sens de rotation des entrainements par enveloppement en tant que mécanismes inverseurs, présentant l'avantage de permettre de choisir une valeur d'importance quelconque pour l'entraxe entre les roues de renvoi de l'entratnement par enveloppement. L'inversion des directions quand il s'agit d'entrainements par enveloppement est obtenue habituellement par croisement des brins dudit entrainement -par enveloppement.Comme les brins de l'entraRnement par enveloppement se croisent mutuellement, on utilise en tant qu'entraînement par enveloppement des mécanismes quelconques à câble ou à enveloppement fonctionnant par un entrainement positif ou par friction. Mais les entraînements par enveloppement de ce type sont soumis à une forte usure quand ils sont utilisés du fait que les brins se touchent dans la région de croisement, car les deux brins frottent l'un contre l'autre lorsqu'on actionne I'entraînement par enveloppement. En outre, le danger que I'entranement par enveloppement glisse sur les roues ou galets de renvoi de l'entrainement est très important, notamment après une longue durée d'utilisation du mécanisme d'entraînement.Il y a alors un glissement qui fait que l'entrainement fiable des panneaux de la porte en vue d'ouvrir et de fermer cette porte n'est plus assure.

L'invention a pour but de constituer le dispositif d'entranement du type indiqué de manière que grâce à une constitution simple sur le plan constructif du dispositif inverseur, les panneaux de la porte qui doivent se déplacer en sens contraires soient fiablement entraînés pendant toute la durée de fonctionnement du dispositif d'entralnement.

Selon l'invention, ce but est atteint par un dispositif d'entraînement pour ouvrir et fermer une porte, notamment la porte d'une cabine d'ascenseur, qui comprend au moins deux panneaux se déplaçant en sens contraires, et pour ltentraînement desquels est prévu un moteur d'entralnement qui entrains un panneau de porte par un élément d'entraînement, de préférence une manivelle, et qui a une liaison d'entraînement avec l'autre panneau de la porte par l'intermédiaire d'un entraînement par enveloppement se présentant sous la forme d'un entraînement inverseur actionnable par le moteur d'entraînement, caractérisé en ce que l'on prévoit pour ltentrainement inverseur un entraînement par enveloppement à interengagement des formes.

Dans le dispositif d'entraînement selon l'invention, on utilise en tant que mécanisme inverseur un entraînement par enveloppement à liaison positive. Contrairement à l'entraînement par enveloppement connu fonctionnant par entraînement forcé ou par frottement, on obtient grâce à ltentraînement par enveloppement de l'invention à interengagement des formes un entraînement fiable des panneaux de la porte. Du fait de la liaison positive ou mécanique, les panneaux de la porte sont entraînés sans glissement, même après une longue durée d'utilisation du dispositif d'entraînement selon l'invention, pour ouvrir et fermer la porte, et cette dernière peut donc continuer à être manoeuvrée de façon fiable. En tant qu'entraînement par enveloppement à liaison positive, on utilise de préférence un entraînement à chaîne.

Une roue à chaîne d'entraînement du mécanisme à chaîne peut être montée sur un arbre sur lequel est en outre montée une roue dentée qui engrène avec une roue dentée montée sur l'arbre du moteur d'entraînement. Grâce à une constitution de ce type, le mouvement en sens contraires des panneaux de la porte est transmis de la roue dentée montée sur l'arbre moteur et de la roue de la chaîne de renvoi du mécanisme à chaîne. Les brins du mécanisme à chaîne sont dans ce cas parallèles l'un à l'autre et n'ont donc pas à se croiser.

Selon un mode de réalisation préféré, l'entraînement par enveloppement à interengagement des formes est cependant muni de brins qui se croisent. Dans le cas d'un entraînement par enveloppement à interengagement des formes, il faut que le plan médian délimité par les brins et le plan médian des roues d'entraînement et de renvoi soient situés dans un plan commun de façon que des torsions ne soient pas possibles. Selon l'invention, l'un des brins de l'entraînement par enveloppement à interengagement des formes est muni sur une partie de sa longueur d'une section située en dehors du plan médian par lequel passe le brin alors que l'autre brin est, dans la région de cette section, situé dans le plan médian.L'un des brins est donc prévu avec une section décalée latéralement par rapport au plan médian, ce qui fait que l'autre brin, traversant, est disposé dans cette région dans le plan médian. Sur le plan constructif, ceci permet de croiser très simplement les brins d'un entraînement par enveloppement à adaptation des formes sans que les brins aient besoin d'être tordus ou vrillés.

Dans la région du croisement, les deux brins passent l'un contre l'autre sans se toucher, ce qui fait que les brins ne frottent pas l'un contre l'autre et ne s'usent pas.

D'autres caractéristiques de l'invention sont indiquées dans les autres revendications et la description, et montrées sur le dessin.

L'invention va être maintenant décrite plus en détail à l'aide de deux modes de réalisation représentés sur le dessin dans lequel:
la figure 1 est une représentation schématique d'un dispositif d'entraînement selon l'invention comprenant un entraînement par enveloppement à interengagement des formes pour constituer le mécanisme inverseur, la porte à actionner étant en position fermée,
la figure 2 représente le dispositif d'entraînement selon la figure 1 alors que la porte est en position ouverte,
la figure .3 est une vue en plan de l'entraînement par enveloppement à interengagement des formes dans la région de croisement,
la figure 4 est une représentation schématique d'un second mode de réalisation d'un mécanisme inverseur utilisant un entraînement par enveloppement à interengagement des formes.

Aux figures 1 à 4 est représenté un dispositif d'entraînement d'une porte de cabine d'un ascenseur. La porte de cabine est constituée sous forme d'une porte s'ouvrant par le milieu et comprend au moins deux panneaux 1, 2 pouvant être actionnés en sens contraires, qui ne sont pas représentés sur le dessin et qui se déplacent en sens contraires à partir d'un plan de symétrie 3. A la figure 1, les deux panneaux 1, 2 de la porte sont dans leur position fermée dans laquelle leurs bords de fermeture (non représentés) sont appliqués l'un contre l'autre dans le plan de symétrie 3. La porte ferme la cabine, c' est-à-dire une nacelle, d'un ascenseur. Les panneaux 1, 2 de la porte sont chacun guidés dans un rail de guidage (non représenté) au moyen d'un chariot porteur.

L'entraînement des panneaux 1, 2 de la porte est obtenu au moyen d'un moteur d'entraînement (non représenté) sur l'arbre 4 duquel est montée une manivelle 5. A l'extrémité libre de la manivelle 5 est raccordée une extrémité d'une bielle 6 dont l'autre extrémité est raccordée de façon articulée au panneau 2 de la porte.

Sur l'arbre 4 du moteur est en outre montée, solidaire en rotation, une roue d'entraînement 7 d'un entraînement par enveloppement à interengagement des formes 8. Ce dernier comprend des brins 9, 10 se croisant mutuellement et une roue de renvoi 11 qui est solidarisée en rotation d'un arbre entraîné 12. Ce dernier est parallèle à l'arbre 4 du moteur et support également un bras de manivelle 13 à l'extrémité libre duquel est articulée une extrémité d'une bielle 14 dont l'autre extrémité est reliée de façon articulée au panneau 1 de la porte.

Quand il faut ouvrir la porte de l'ascenseur (traits mixtes à la figure 1) on fait tourner l'arbre 4 du moteur dans le sens de la flèche 15. Le bras de manivelle 5 est alors amené dans la position représentée à la figure 2 autour de l'axe de l'arbre 4 du moteur. La bielle 6 est entraînée par la manivelle 5 et déplace le panneau 2 de la porte vers la position ouverte représentée en traits continus à la figure 2. Pour fermer la porte, on inverse le sens de rotation de la roue d'entraînement 7 et de la roue de renvoi 11. Le moteur d'entraînement est alors inversé de façon que désormais l'arbre 4 du moteur tourne dans le sens de rotation 17 (figure 2), qui est le sens contraire des aiguilles d'une montre.La manivelle 5 est ramenée en arrière dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, et entraîne avec elle la bielle 6, qui amène le panneau 2 de la porte dans la position fermée représentée à la figure 2 par des positions en traits mixtes. La roue de renvoi 11 est entraînée en rotation dans le sens des aiguilles d'une montre dans le sens de la flèche 18 par l'entraînement par enveloppement 8 et les brins 9, 10 qui se croisent mutuellement. La manivelle 13 est également ramenée en arrière dans le sens des aiguilles d'une montre et entraîne avec elle la bielle 14 qui amène le panneau 1 de la porte en position fermée. Ainsi, les deux panneaux 1, 2 de la porte sont déplacés en synchronisme de leur position ouverte vers leur position fermée.

Dans l'exemple de réalisation, l'entraînement par enveloppement 8 est constitué par un entraînement à chaîne. A la place d'un entraînement à chaîne, on peut également utiliser un autre entraînement par enveloppement à interengagement des formes tel qu'un entraînement à courroie dentée. Pour permettre, malgré l'entraînement par enveloppement à interengagement des formes, le croisement mutuel des brins 9, 10, le brin 9 est muni dans la section 20 de languettes 20 situées à l'extérieur du plan médian 19 (figure 3) délimité par les brins 9, 10 dans la région de la section 20, et l'autre brin 10 est situé dans le plan médian 19. La section 20 est formée par deux languettes constituant un cadre de forme rectangulaire par l'ouverture 21 duquel passe le brin 10. Les languettes 20 sont intercalées dans le brin 9 et leur longueur est un multiple des éléments constituant le brin 9.La constitution en forme de cadre de la section 20 a l'avantage que la partie restante 22 du brin 9 peut être raccordée à la section 20 dans le plan médian 19. Comme le montre la figure 3, la partie restante 22 du brin est fixée de façon amovible par des boulons 23 et des écrous 24 au côté étroit 25 de la section en forme de cadre 20. Sur le côté étroit opposé 26, la partie restante 22 du brin est raccordée à la section 20 de façon analogue, ceci n'étant cependant pas montré à la figure 3. I1 en résulte la possibilité de serrer les brins'9, 10 au moyen des boulons 23.Des forces exercées sur la section en forme de cadre 20 par les autres parties 22 du brin s'appliquent donc du fait de la constitution qui vient d'être décrite dans le plan médian 19, ce qui empêche un basculement ou une distorsion de la section en forme de cadre, et ce qui fait que le brin 20 peut passer fiablement et sans frotter au travers de l'ouverture 21 du cadre. Naturellement, la section 20 du brin 9 qui est décalée latéralement par rapport au plan médian 19 peut présenter également une autre forme. I1 suffit qu'elle soit constituée de manière que dans la région du croisement elle ne soit pas située sur le parcours de l'autre brin 10 de l'entraînement par enveloppement 8.

Comme il ressort des figures 1 et 2, l'entraînement par enveloppement 8 est constitue de manière que la section 20 ne parvienne pas jusqu'à la roue d'entraînement 7 ou jusqu'à la roue de renvoi 11 dans les deux positions d'extrémité des panneaux 1 et 2 de la porte. En outre, la section 20 est suffisamment longue pour que dans les deux positions d'extrémité des panneaux 1, 2 de la porte, le brin 10 soit situé dans la région de la section 20. Un vrillage des brins 9, 10 est donc exclu.

Dans le mode de réalisation de la figure 4, les brins 9a, 10a de l'entraînement par enveloppement 8a ne doivent pas se croiser. Mais pour obtenir un mouvement en sens contraires des panneaux I, 2 de la porte, la roue d'entraînement 7a de l'entraînement par enveloppement 8a n'est pas monté sur l'arbre 4a du moteur mais sur un arbre intermédiaire 27 parallèle à ce dernier. Sur ce dernier est montée une roue dentée 28 dans la région proche de la roue d'entraînement 7a, cette roue dentée engrenant avec une roue dentée 29 montée solidaire en rotation sur l'arbre 4a du moteur. Sur l'arbre 4a du moteur est également montee la manivelle 5 (non représentée) au moyen de laquelle la bielle 6 déplace le panneau 2 de la porte.La roue de renvoi 11a est reliée à la manière décrite pour les figures 1 et 2 à l'autre panneau 1 de la porte par l'intermédiaire de la manivelle 13 et de la bielle 14.

Pour ouvrir et fermer la porte, on commence par faire tourner l'arbre 4a du moteur dans le sens des aiguilles d'une montre 15, comme cela a été décrit en référence à la figure 1. La manivelle 1 qui est montée sur l'arbre 4a du moteur est alors tournée également dans le sens des aiguilles d'une montre vers la position ouverte représentée à la figure 2. Du fait de l'engrènement de la roue dentée 28 avec la roue dentée 29, l'entraînement par enveloppement est entraîné dans le sens des aiguilles d'une montre > ce qui fait que la roue de renvoi Ila tourne dans le sens indiqué par la flèche 16, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, Le panneau 1 de la porte est donc poussé vers sa position ouverte représentée à la figure 2 par l'intermédiaire de la manivelle 13 et de la bielle 14.Les deux panneaux 1, 2 de la porte sont donc déplacés en synchronisme et en sens contraires vers leur position fermée selon la figure 1 lorsque le sens de rotation de l'arbre 4a du moteur est inversé.

Dans les deux modes de réalisation, les manivelles 5, 13 sont constituées de manière à actionner également un dispositif d'accouplement (non représenté) constitué sous- forme d'une diagonale d'ecartement au moyen de laquelle la porte de la cabine peut etre accouplée ou désaccouplée de la porte correspondante de la cage de l'ascenseur. De ce fait, lorsque la porte de l'ascenseur s'ouvre ou se ferme, la porte de la cage s'ouvre ou se ferme également. Les dispositifs d'accouplement pour ascenseur de ce type sont connus.

Quand on utilise un entraînement à chaîne pour constituer l'entraînement par enveloppement à interengagement des formes, la section 20 remplace alors un ensemble de maillons de la chaîne d'entraînement. La longueur de la section 20 peut être dans ce cas un multiple quelconque du pas de la chaîne. Comme la section 20 est reliée de façon amovible par les boulons 23 et les écrous 24 à la partie restante 22 du brin 9 de la chaîne, il suffit de remplacer la section en cas d'usure et/ou de dégâts et l'ensemble de ltentraInement à chaîne n'a donc pas besoin d'être remplacé.

Claims (8)

REVENDICATIONS

1. Dispositif d'entraînement pour ouvrir et fermer une porte, notamment la porte d'une cabine d'ascenseur, qui comprend au moins deux panneaux se déplaçant en sens contraires, et pour l'entraînement desquels est prévu un moteur d'entraînement qui entraîne un panneau de porte par un élément dlentralnement, de préférence une manivelle, et qui a une liaison d'entraînement avec l'autre panneau de la porte par l'intermédiaire d'un entraînement par enveloppement se présentant sous la forme d'un entraînement inverseur actionnable par le moteur d'entraînement, caractérisé en ce que l'on prévoit pour l'entraînement inverseur (8, 8a) un entraînement par enveloppement à interengagement des formes.

2. Dispositif d'entraînement selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'entraînement par enveloppement (8, 8a) est un entraînement à chaîne.

3. Dispositif d'entraînement selon la revendication 1 ou 2, dans lequel l'entraînement par enveloppement comprend des brins se croisant mutuellement, caractérisé en ce qu'un brin (9) comprend des languettes (20) dans une section déterminée (20) et à l'extérieur du plan médian (19) délimité par les brins (9, 10), et en ce que l'autre brin (10) est situé, dans la région de cette section (20),-dans le plan médian (19).

4. Dispositif d'entraînement selon la revendication 3, caractérisé en ce que la section (20) est formée par deux languettes qui sont intercalées dans un brin (9) et dont la longueur représente un multiple des éléments constituant le brin.

5. Dispositif d'entraînement selon la revendication 4, caractérisé en ce que les languettes (20) constituent un cadre rectangulaire par l'ouverture (21) duquel passe l'autre brin (10).

6. Dispositif d'entraînement selon l'une quelconque des revendications 3 à 5, caractérisé en ce que la section (20) est reliée de façon amovible à la partie restante (22) du brin (9), de préférence par des boulons (23).

7. Dispositif d'entraînement selon la revendication 1 ou 2, dans lequel l'entraînement par enveloppement comprend une roue d'entraînement et une roue de renvoi, caractérisé en ce que la roue d'entraînement (7a) de l'entraînement par enveloppement (8a) est reliée à entraînement par l'intermédiaire d'engrenages (28, 29) à un arbre (4a) du moteur d'entraînement.

8. Dispositif d'entraînement selon la revendication 7, caractérisé en ce que les engrenages (28, 29) sont constitués par deux roues dentées engrenant l'une avec l'autre, dont une roue dentée (28) est montée sur un arbre intermédiaire (27) sur lequel la roue entralnée (7a) est montée de façon solidaire en rotation.