FR2544257A3 - Structure essentielle, a coiffe, faite d'une chaine a anneaux, particulierement a caler sur les pneumatiques des roues, pour augmenter l'adherence sur les sols glissants, enneiges et glaces - Google Patents

Abstract

LE SYSTEME A COIFFE, SUIVANT LA PRESENTE INVENTION, EST CONSTITUEE PAR DEUX CHAINES 1 ET 2 EGALES ET SYMETRIQUES A MAILLONS FERMES PAR LES ANNEAUX 11, 13, 21, 23, 24, LES ANNEAUX 11 ET 21 ETANT RELIES PAR LE BOUT DE CHAINE 41, LES ANNEAUX 13 ET 23 A LA CHAINE 3 PLUS LONGUE QUE LA CHAINE 41 ET L'ANNEAU 24 A LA TIGE RIGIDE 6 DESTINEE A L'ACCROCHAGE FINAL; EN OUTRE, UN ELEMENT 7 INDEPENDANT PERMET DE METTRE LE TOUT EN TENSION EN ACCROCHANT DANS LES MAILLONS DES CHAINES LES CROCHETS 71, 72, 73 ET 74.

Description

L'objet de la presente invention est une structure essentielle, à coiffe, faite d'une channe à anneaux, particulibrement à caler sur les pneumatiques des roues, pour augmenter l'adhérence sur les sols glissants, enneigés et glacés.

En l'état actuel de la technique, il existe de très nombreux dispositifs à channes à monter sur les pneumatiques des roues pour augmenter l'adhérence. Ces dispositifs ont cependant l'inconvEnient ou d'être trop coûteux ou d'être d'une constructîon compliques et surtout d'être d'un montage incommode. A la vérité, il existe des ragions caractérisées par d'abondantes chutes de neige, dans lesquelles l'utilisation des chaînes, en saison froid, justifie soit un coOt élev6, soit un montage laborieux, parce qu'on le fait en somme une seule fois au commencement de la saison et qu'on laisse ensuite les channes montées pour le reste du temps nécessaire.Au contraire, dans les ruions dans lesquelles les chutes de neige sont peu abondantes -et peu fréquentes, ces dispositifs représentent une charge trop onéreuse pour l'usager potentiel, lequel.décide généralement, entre deux désagréments, d'affronter celui de la neige plutôt que celui des chaînes. Avec le progrès des services publics d'entretien des routes, ces désagréments tendent à s'annuler surtout quand on s'engage sur une route à grands circulation.

Tout ce qui reste à résoudre est quelque petite intervention pour vaincre une rampe enneigée ou glacée, surtout lorsque le conducteur se trouve seul et/ou dans l'incapacité d'effectuer le montage des channes connues. Il y a ensuite le problème d'affronter des voyages dont le parcours comprend des parties, mêmes courtes, dans lesquelles l'utili- sation des chaînes ou du moins leur disponibilitd s'impose et qui, par suite, ne peuvent être effectués par des person nes qui une sont pas à même de monter et ddmonter les chaînes.

I1 y a encore un autre problème, à savoir : que le maintien des channes montées quand elles ne servent pas ou ne servent presque jamais endommage les pneumatiques, la route et une des chaines elles-mêmes, outre que celles-ci produisent des bruits et des vibrations nuisibles pour le véhicule et péni"- bles pour les personnes qui s'y trouvent.

Le but de la présente invention est diéliminer les inconvénients précités et d'offrir, en outre, divers avantages. L'inventeur, partant des considérations qui précèdent, a conçu une coiffe extrêmement économique faite d'une chaîne dont la simplicité élementairs la rend utilisable par des opérations pratiquement instinctives et naturelles par tout individu, en particulier par des femmes, comme celles qui se répètent par lesquelles une n ère habille un enfant.Le ca ractère féminin de l'équipement est encore renforce par la présence d ' un élément qui-caracterise la pressente invention et qui assume la consistance d'une aiguille à coudre et sert à piloter, à distance, l'accrochage final De cette manière, l'opération de montage et de démontage des chaînes n'est plus un drame et peut être exécutée pour ainsi dire comme un amusement et susciter la fierté des dames désireuses de montrer au sexe fort qu'elles sont capabies d'exécuter ce genre de travail sur une voiture automobile.

Dans la pratique, lorsqutelle assume une consistance et une disposition tridimensionnelss, la structure essentielle est organises pratiquement comme les pans d'un parallélépipède à bases carrées et est faite de bouts de chaîne, d'anneaux passants et de crochets, outre l'élément à Çonsis- tance d'aiguille. L'inventeur a, en effet, considéré qu'il suffit - et il en a expérimenté les résultats - de quatre traverses dans le sens axial de la bande de roulement pour toutes les occurrences qui peuvent se présenter dans les régions de climat méditerranéen éventuellement à parcours en hautes et basses collines.Dans la pratique, l'inventeur a constaté que pour sortir d'une rampe enneigea de plusieurs dizaines de mètres, il faut de quatre à cinq minutes depuis qu'on ouvre le coffre pour prendre les deux chaînes jusqu'au moment où on le referme, les ayant remises en place, après avoir surmonte ltobstacle et cela en prenant simplement une position accroupie.

Naturellement, pour des services plus performants et/ou spphistiqués sont prévues des traverses à direction axiale, simples ou complexes, qui soutiennent et ne compromettent pas les prérogatives d'utilisation pratique et de simplicité de la structure de base.

Pour mieux expliquer les caractéristiques de la présente invention, on se réfère aux dessins annexés, lesquels montrent trois formes possibles de réalisation prati que', de manière schématique.

La fig. 1 représente, en perspective, la structure à coiffe, dans la forme la plus simple, selon la présente invention, pratiquement délacée et appliquée sur une roue caout choutée en traits et points, c'est-à-dire qui représente pratiquement une premibre phase du montage simple; deux parties de la structure sont pratiquement éclatées et plus précisément l'organe conformé en aiguille et l'organe élastique de laçage.

La fig. 2 est pratiquement une répétition de la fig. 1, mais dans l'acte dans lequel, après avoir pilote l'aiguille avec ltextrémité munie d'un crochet (reproduction en hachures) pour enjamber la portion de la roue prenant appui sur le sol, la crochet est rendu disponible pour l'accrochage.

La fig. 3 est pratiquement une répdtition des- fig.

1 et 2, mais à un moment suivant, c'est-à-dire après que l'organe de chaîne libre et de fermeture du système a passé dans un anneau qui remplit les fonctions de registre de la longueur de la channe et de sa tension.

La fig. 4 représente en perspective une roue avec, calée suivant les règles de l'art, une coiffe selon la présente invention avec l'emprise de l'organe annulaire élastique qui, avec les crochets dont il est muni, sollicite élastiquement la partie centrale des côtés dans la direction centripède jusqu'à leur faire assumer la consistance d'une rose des vents.

La fig. 5, similaire à la fig. 1, représente en perspective la structure à coiffe suivant une variante de la présent invention, comme décrit selon la fig. 1.

La fig. 6 est pratiquement une répétition de la fig. 5, comme décrit selon la fig. 2.

La fig. 7 est pratiquement une répétition des fig. 5 et 6, comme décrit selon la fig. 3
La fig. 8 représente an perspective une roue avec, calée suivant les règles de l'art, une coiffe selon la variante des fig. 5, 6 et 7 de la prdsente invention avec l'emprise de l'organe annulaire élastique qui, avec les crochets dont il est muni, sollicite elastiquement la partie centrale des côtés dans la direction centripète jusqu'à leur faire assumer la consistance d'une entoile à sept pointes.

La fig. 9, similaire à la fig. 1, repressnte en perspective la structure à coiffe suivant une autre variante de la présente invention, comme décrit à la fig. 1.

La fig. 10 est pratiquement une rXpétition de la fig. 9, comme décrit selon la fig. 2.

La fig. 11 est pratiquement une répétition des fig. 9 et 10, comme décrit selon la fig. 3.

La fig. 72 représente en perspective une roue avec, calée suivant les règles de l'art, une coiffe suivant la variante des fig. 9, 10 et ll de la présente invention, comme décrit selon la fig. 8.

En se référant aux dessins, le système à coiffe selon la présente invention est constitué par deux chastes 1 et 2 égales et symétriques à maillons fermées sur soi pour ainsi dire et de chacune font saillie respectivement quatre anneaux 11, 12, 13, 14 et 21, 22, 23, 24, de pré férence plus grands que les maillons des charnels constitutives. Au moins l'un de ces anneaux, de préférence l'anneau 13, est de dimensions telles par rapport à le chaîne constitutive et en particulier par rapport à la petite chaîne de fermeture 3 et son crochet 30 qu'il en permet le passage et le glissement, comme on l'explique par la suite.Deux paires de ces anneaux, à savoir : les anneaux 11, 21 et 12, 22 sont reliées entre elles respectivement par les deux bouts de chaîne 41 et 51 pratiquement d'une longueur gale, tandis que les autres anneaux sont reliés entre eux deux à deux. Plus précisément, les anneaux 13 et 23 sont reliés à la petite chaîne 3 qui est beaucoup plus longue que la chaîne correspondante 41 coplanaire opposée. Les anneaux 14 et 24, au contraire, sont reliés à une tige 6 à consistance d'aiguille ayant pratiquement une longueur égale à celle de la chaîne 51. Cette aiguille présente une extrémité propre 61 oeillétonnée et enchaSnee à l'anneau 24 et l'autre extrémité pour ainsi dire libre munie d'un crochet 64 accroché à l'anneau 14. Levsystime à coiffe comprend enfin un élément 7 pratiquement indépendant.Cet élément est constitué par un anneau élastique .70 présentant quatre crochets 71, 72, 73 et 74. oeilletonnés avec l'oeillet enchaîné à accouplement glissant à l'anneau 7.

De ce qui a été décrit jusqu'ici, le fonctionnement devrait être évident. Quoi qu'il en soit, on en donnera ciaprès une brève explication.

Devant monter la coiffe sur le pneumatique 8 de la roue 8D, on s'approche de front de la roue à "habiller" et on place d'en haut, comme indiqué aux fig. 1,d5 et 9, le quadrilatère sur la partie supérieure du pneumatique. Ensuite, comme indiqué aux fig. 2, 6 et 10, on pilote à la main 100 (représentée seulement à la fig. 2), toujours dans la m8ms position approchée, l'extrémité de l'aiguille 6 jusqu'à lui faire atteindre largement l'appui 88 de la roue
Puis, avec l'autre main 101 (fig. 2), on accroche le crochet 64 dans l'anneau 14. Toujours dans la même position approchée, on enfile la petite channe 3 avec le crochet 30 dans l'anneau 13 enregistrant la longueur et la tensions comme l'indique la fig. 3. On met enfin le tout en tension avec l'organe 7 en accrochant dans les maillons des chaR- nes les crochets 71, 72, 73 et 74.

La description ci-dessus est commune aux trois versions.

La version des fig. 5 à 8 prévoit additionnellew ment trois traverses 01, 02, 04 radiales simples du pneumatique partant d'anneaux ol, o2, o4 au centre de trois des quatre cordes (la corde 3 exclue) et réunies aux anneaux o5, o6, o8 au centre des cordes axialement opposées.

La version des fig 9 à 12 prévoit également les mêmes éléments 01, 02, 04 pour couples d'anneaux centraux ol, lo, o2, 20, o42 40 et les anneaux oS, o6p o8. Cet ultime accrochage a la conformation de 1I Y Wç

Claims (9)

REVENDICATIONS

1. Structure essentielle, à coiffe, faite d'une- chaste à anneaux, particulièrement à caler sur les pneumatiques des roues, pour augmenter l'adhérence sur les sols glissants, enneigés et glacés, caractérisée en ce que la mise en place sur une roue (80) munie d'un pneumatique (8) assume pratiquement la conformation tridimensionnelle des pans d'un parallélépipède à bases carrées dans les surfaces frontales de la roue, lesquelles représentent huit cordes orthogonales ( 1, 2, 41, 3 - 1, 2, 51, 6 j et les quatre autres pans représentent des éléments transversaux au sens de la marcha ( 1,2 - 1, 2 ).

2. Structure suivant la revendication 1, caractérisée en ce qu'au moins l'un des éléments à disposition à corde assume la consistance d'un élément rigide à aiguille (6) piloté d'une partie à l'autre de la roue appuyée.

3. Structure suivant la revendication -1, caractérisée en ce qu'au moins l'un des éléments à disposition à corde assume la consistance d'une petite chaîhe (3) d'une longueur supérieure à la corde (41) et en ce que l'élément qui en soutient l'extrémité pratiquement libre est représenté par un anneau (13), dont le trou de passage est plus grand que la section de la petite chaîne.

4. Structure suivant les revendicatlons 2 et 3, caractérisée en ce que les cordes représentées par l'élément rigide (6) et par la longue petite chaîne (3) sont coin- cidantes comme position angulaire et opposées.

5. Structure suivant la revendication 4, caractérisée en ce que les cordes parallèles et opposées (51 et 41) à l'élément rigide (6) et à la petite chaîne (3) sont reliées d'une manière fixe aux éléments axiaux transversaux à la roue.

6. Structure suivant l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu'elle comprend au moins un élément de sous-tension (7) apte à conférer une flbche aux quatre cordes coplanaires qui se localisant à 11 extérieur de la roue, ainsi qulå conférer à celleswci la consistance d'une étoile à plusieurs pointes.

7. Structure suivant la revendication 6, caractérisée en cé que l'élément de sous tension (7) assume la con-sistance d'un anneau élastique (70) porteur enchaînant les oeillets au moins des quatre crochets (71, 72, 73 et 74).

8. Structure suivant l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce quelle assume la consistance de deux chaînas égales ( 1 et 2 ) fermées par des anneaux reliés entre eux par des éléments transversaux sous-tendus ou susceptibles d'être sous-tendus et des anneaux (11,21, 13, 23 et 12, 22, 14, 24) distribués sur les chaînes, de manière à être entre eux comme las sommets d'un rectangle.

9. Structure suivant l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu'entre la partie centrale de trois des quatre cordes ( 41, 2, 1 ) et les cordes respectivement opposées ( S1, ls 2 ) sont connectés des éléments de chaîne semblables eux éléments sous-tendus par les extrémités de la mtme corde et/ou conformés selon ll y