FR2535064A1 - Dispositif de controle automatique de specimens electroniques - Google Patents

Abstract

DISPOSITIF DE CONTROLE AUTOMATIQUE DU GENRE DE CEUX UTILISES POUR LE CONTROLE OU LA MESURE DE SPECIMENS ELECTRONIQUES. IL 10 PRESENTE UN GRAND NOMBRE DE TRES MINCES TIGES DE CONTACT ELECTRIQUEMENT CONDUCTRICES ET AXIALEMENT ELASTIQUES 17, 20 QUI SONT DISPOSEES DANS DES PERFORATIONS, ELECTRIQUEMENT ISOLEES, D'UN SUPPORT RIGIDE 11, 12, MUNI DE PLAQUES D'ESPACEMENT 13. CHAQUE TIGE DE CONTACT 17 EST UN FIL METALLIQUE QUI, EN VUE D'UNE ELASTICITE AXIALE PROPRE, PRESENTE AU MOINS UNE PARTIE COURBEE 22. LA TIGE DE CONTACT EST DISPOSEE DANS LE SUPPORT 11, 12 DE FACON PROTEGEE CONTRE UNE ROTATION.

Description

L'invention concerne un dispositif de contrôle automatique de spécimens électroniques, spécialement des plaquettes à circuits imprimés ou des spécimens similaires, ayant un grand nombre de tiges de contact très minces, axialement élastiques et électriquement conductrices, insérées dans des perforations, électriquement isolées, d'un support rigide et dont les extrémités de palpage mobiles, axialement élastiques servant à entrer en contact avec les spécimens dépassent d'un premier côté du support, alors que les extrémités opposées de connexion des tiges de contact servent à leur connexion électrique.

Des dispositifs de contrôle automatique de ce genre sont déjà connus (KRUGER: "Moyens de contrôle pour le contrôle électrique des cartes de circuits imprimés de montres", annuaire de la société allemande de Chronométrie, volume 30, 1979, pages 269 à 276).

Ces dispositifs de contrôle servent à vérifier les plaquettes de circuits imprimés du d'autres éléments de construction électroniques de l'industrie électronique afin de pouvoir vérifier ou mesurer avant leur insertion, de façon simple et rapide, les plaquettes de circuits imprimés concernées, venant d'être fabri quées, ou des éléments similaires, quant à leur absence de défauts, en soumettant le spécimen simulta nément, à plusieurs et en général en de très nombreux endroits, à un palpage électrique à l'aide des tiges de contact du dispositif de contrôle automatique.

Les points de contrôle sont souvent dans ce cas très rapprochés les uns des autres et en fait d'autant plus rapproches, plus les conducteurs sont étroits et plus les écartements entre les conducteurs des spécimens sont faibles.

Et, en effet, les dispositifs de contrôle automatique de ce genre servent en premier lieu à vérifier les pistes conductives des plaquettes de circuits imprimés quant à des courts-circuits entre des pistes conductives contiguës ou quant à d'autres défauts des pistes conductives tels que des interruptions ou des défauts similaires, avant que ces plaquettes soient équipées d'autres composantes électroniques. On peut aussi employer ces dispositifs de contrôle automatique, non seulement pour les contrôles ci-dessus décrits, mais également pour des mesures, le cas échéant pour des mesures de plaquettes de circuits imprimés déjà insérées ou d'autres éléments de construction électonique, par exemple pour des mesures de résistance et des mesures similaires.

Jusqu'à présent on a muni ces dispositifs de contrôle automatique présentant généralement des tiges de contact extrêmement nombreuses, composées de plusieurs parties, dans lesquelles, dans des fils à ressort séparés, sont logées,axialement déplaçables, des douilles contenant des fils droits de contact commandés par ressort. Mais la fabrication de ces tiges de contact est très onéreuse. De même, les entr'axes des tiges de contact contiguës ne peuvent pas être réalisés de manière aussi petite qu'il serait souhaitable dans de nombreux cas. Avec les tiges de contact à ressort connues ayant des douilles rigides, les entr'axes des tiges de contact contiguës ne peuvent pas être réalisés avec des écartements inférieurs à environ 0,8 mm.Des entr'axes à écartements encore plus petits, allant jusqu'à environ 0,4 mm, n'ont pu être obtenus jusqu'à présent sur de tels dispositifs de contrôle automatique qu'à l'aide de palpeurs à ondes sur lesquels les tiges de contact à ressort présentent une gaine dans laquelle se trouve un piston à ressort ayant une pièce de fonction filiforme guidée à l'intérieur d'une canule. Ces palpeurs sont également d'un prix très élevé et leur grandeur est limitée.

La tache de l'invention consiste donc à créer un dispositif de contrôle automatique du type énoncé dans le concept général exposé tout au début de cette description sur lequel les tiges de contact, de forme plus simple, sont de construction moins onéreuse et dont les entr'axes, entre les extrémités des palpeurs des tiges de contact contiguës, peuvent être particulièrement petits.

Cette tache sera résolue selon l'invention par un dispositif de contrôle automatique caractérisé par le fait que la tige de contact est un fil métallique élastique qui, en vue de l'élasticité axiale de sa pointe de contact présente au moins une partie flexible qui est, de ce fait, élastique de telle manière que cette partie courbée permet la mobilité axiale de la pointe de contact par la flexion elasti- que de cette partie courbée et que la tige de contact est disposée dans le support de façon protégée contre sa-rotation.

Etant donné que les tiges de contact sont des fils métalliques élastiques, leur fabrication est simple et relativement peu onéreuse. Ainsi, ces tiges de contact peuvent être des éléments de construction d'une seule pièce. Le fil métallique peut être de préférence un fil métallique massif. Dans des cas spéciaux, on peut imaginer l'emploi de tiges de contact à fils métalliques creux. L'invention permet un abaissement considérable des frais de fabrication du dispositif de contrôle automatique.En outre, on peut obtenir des entr'axes particulièrement faibles entre les extrémités des palpeurs contigus des tiges de contact, ainsi par exemple en disposant les tiges de contact aux points de la grille d'un réseau à écartements extrêmement petits, qui peuvent sans difficultés être même plus petits que 0,4 mm, par exemple des écartements de 0,2 à 0,3 mm et même encore plus petits. I1 en résulte aussi de nouvelles possibilités d'emploi de ces dispositifs de contrôle automatique sur des spécimens, en particulier sur ceux à pistes conductives particulièrement étroites et particulièrement rapprochées les unes des autres.Etant donné que les tiges de contact sont disposées de façon à ne pouvoir tourner, on peut empêcher un contact involontaire des tiges de contact contiguës ayant de faibles écartements entre elles, et garantir le fonctionnement du dispositif de contrôle automatique, même dans des circonstances défavorables, en raison du fait qu'il ne peut se produire de confusion ni d'endommagements réciproques entre les parties courbées des tiges de contact. A cet effet, la partie courbée des tiges de contact peut de préférence être plane et ces parties planes courbées des tiges de contact des diverses rangées de ces tiges de contact peuvent s'étendre dans le plan de la rangée de tiges de contact en question ou à angles par rapport à celle-ci et par la garantie contre toute rotation, elles ne peuvent pas s'écarter, ou ne pas s'écarter d'une façon perturbatrice, du plan prévu pour elles. De même, les tiges de contact sont à même d'avoir des forces de contact axiales relativement importantes, allant pour chaque tige de contact de préférence de 10 à 100 grammes ou encore plus, ce qui est avantageux et même généralement nécessaire pour un contact sûr de faible résistance.

L'invention permet aussi de concevoir le support de manière à pouvoir monter les tiges de contact de façon simple et rapide et aussi de les échanger facilement et à peu de frais. A cet effet, on peut avantageusement envisager que le support présente deux plaques perforées rigides de préférence parallèles l'une par rapport à l'autre. Lors de l'insertion des tiges de contact dans les perforations à travers l'espace intermédiaire entre elles, ces tiges de contact peuvent être disposées dans leurs perforations aux écartements possibles l'une par rapport à l'autre, les faces extérieures des deux plaques opposées l'une par rapport à l'autre formant en l'occurence ou formant en même temps la face avant et la face arrière du support.

On peut également concevoir un support de forme differente, par exemple celui-ci peut ne présenter qu'un seul percement par tige de contact à monter, dans lequel cette dernière sera insérée, cas dans lequel ce percement peut prendre dans la zone de la courbure de la tige de contact une forme similaire à une fente garantissant la tige dé contact contre tout mouvement de rotation et, après insertion de la tige de contact dans ce percement, celle-ci sera verrouil lée à l'aide d'un bouchon. présentant un forage axial à travers lequel passera l'extrémité droite de la tige de palpage en question.

Il est particulièrement avantageux si la ou les parties courbées de la tige de contact, courbure servant à l'élasticité axiale propre à la tige de contact, soient situées dans un plan géométrique comportant aussi les axes longitudinaux des extrémités de contact et de connexion de la tige de contact.

Etant donné que toutes les tiges de contact peuvent être conçues utilement de la même façon, ce fait permet, malgré la courbure, des entr'axes particulièrement faibles entre des tiges de contact contiguës, et ainsi des écartements de la grille du réseau particulièrement petits, ceci au cas où la disposition des tiges de contact aurait un reseau pour base. Et il est en effet possible de disposer aussi les tiges de contact non pas selon un réseau, mais en d'autres dispositions compte tenu de chaque cas en présence.

S'il n'est pas nécessaire de ménager des écartements du réseau particulièrement petits, on peut également envisager que la courbure ou les courbures des diverses tiges de contact ne se situent pas dans un même plan mais sont à forme tridimensionnelle, par exemple afin de modifier de ce fait la propriété de l'élasticité axiale des tiges de contact.

Sur le dessin sont représentoe les modèles d'exécution de l'invention:
figure 1, représente une vue en plan, en représentation rompue d'un dispositif de contrôle automatique selon un modèle d'exécution de l'invention;
figure 2, représente une vue latérale du dispositif de contrôle automatique selon la figure 1, vu dans la direction de la flèche A, en une représentation rompue et partiellement en coupe.

figure 3, représente une vue latérale du dispositif de contrôle automatique selon la figure 1, dans la direction de la flèche B, en représentation rompue;
figure 4, représente un détail d'un dispositif de contrôle automatique en vue latérale selon un autre modèle d'exécution de l'invention;
figure 5, représente une coupe partielle à travers le dispositif de contrôle automatique de la figure 4, vue le long de la ligne de coupe 5-5;
figure 6, représente une coupe partielle rompue à travers le dispositif de contrôle automatique selon la figure 4, vue le long de la ligne de coupe 6-6;
figure 7, représente une vue latérale d'un dispositif de contrôle automatique selon un autre modèle d'exécution de l'invention, en représentation rompue;;
figure 8, représente une vue latérale d'un détail du dispositif de contrôle automatique selon la figure 7, dans la direction de la flèche C;
figure 9, représente un détail, vu en plan, du dispositif de contrôle automatique selon la figure 7;
figures 10 à 16, représentent des coupes partielles à travers des dispositifs de contrôle automatique selon d'autres modèles d'exécution de l'invention;
figure 17, représente une vue frontale d'un dispositif de contrôle automatique selon un autre modèle d'exécution de l'invention.

Le dispositif de contrôle automatique 10 selon les figures 1 à 3 présente un support 14 en forme de cadre composé de deux plaques perforées 11, 12 parallèles, planes, rectangulaires et deux plaques d'espacement laterales 13 tenant écartées l'une de l'autre les deux plaques perforées 11, 12. Les deux plaques perforées peuvent être fabriquées à l'aide d'une matière synthétique à haute rigidité, électriquement isolante, ayant de bonnes propriétés de glissement synthétique commercialisée par les Ets du Pont aux
Etats-Unis sous la dénomination commerciale "DELRTN" qui est une résine acétate à partir de formaldéhyde polymérisé (polyoxyméthyles). Chacune des plaques perforées 11, 12 est munie d'un grand nombre de perforations 15, 16 disposees conformément aux points de la grille d'un réseau prédéterminé, chaque perforation 15 de la plaque perforée supérieure 11 étant en ligne avec la perforation 16 de la plaque perforée inférieure 12. Le côté 24 de la plaque perforée 12 forme une première face plane du support 14, que l'on peut également désigner comme face avant. Dans ce modèle d'exécution, le côté 23 du support 14 forme alors sa face arrière.

Les points de la grille du réseau qui déterminent les axes longitudinaux des perforations peuvent correspondre aux intersections d'un réseau quadrillé géométrique ayant des champs de grille carres. Les points de la grille du réseau peuvent, mais ne sont pas obligés d'être tous perforés en rapport avec les perforations 15, 16 dans les plaques perforées 11, 12, les perforations étant à effectuer selon le domaine d'emploi de ce dispositif de contrôle automatique 10.

L'entr'axe des perforations contiguës 15 ou 16 de la plaque perforée individuelle 11 ou 12 peut de préférence être très petit, en particulier inférieur à 0,8 mm, par exemple de 0,2 à 0,4 mm, et le cas échéant encore plus petit. La forte densité de perforations en résultant peut donc, selon l'invention, être très élevée, ainsi ce dispositif de contrôle automatique se prête au contrôle et, le cas échéant, à la mesure d'éléments de construction électronique, en particulier de plaquettes à circuits imprimés ayant de très faibles écartements entre conducteurs, (la densité des perforations est égale au nombre de perforations des diverses plaques perforées et, par conséquent, au nombre possible de tiges de contact par unité de superficie).

Les perforations 15 de la plaque perforée supérieure 11 sont des perforations oblongues très étroites en rapport avec la protection contre la rotation (expliquée encore plus en détail dans ce qui suit) des tiges de contact 17 insérées dans les paires de perforations 15, 16 des plaques perforées 11, 12, alors que les perforations 16 de la plaque perforée inférieure 12 ont des sections rondes. En rapport avec les faibles entr'axes pouvant être obtenus entre les perforations contigus dans la plaque perforée individuelle, les perforations peuvent avoir des sections extrêmement petites, par exemple, dans le cas des perforations rondes 16 (plaque perforée inférieure 12), des sections d'un diamètre de 0,1 à 0,3 mm. Le cas échéant ces entr'axes peuvent aussi être encore plus faibles ou aussi plus importants. L'avantage particulier de l'invention réside dans le fait qu'elle permet des perforations à dimensions très petites et des entr'axes très faibles entre les perforations contiguës des diverses plaques perforées 11 ou 12, ceci en raison de la conception de-s tiges de contact 17 réalisées chacune à l'aide d'un seul fil à ressort.

Les deux perforations 15 et 16 de la plaque perforée inférieure et supérieure 11 et 12, perforations en ligne l'une par rapport à l'autre et servant à l'insertion d'une seule tige de contact 17, seront toujours désignées dans ce qui suit comme une paire de perforations.

Le support peut de préférence être muni d'un très grand nombre de paires de perforations, par exemple de 100 à 100 000 paires de perforations ou, le cas échéant, encore de plus et dans des cas spéciaux, aussi de moins.

Mentionnons encore à cet egard que toutes les paires de perforations ne devront pas obligatoirement être occupées par une tige de contact 17. Dans la pratique, il y a des cas où il est utile d'occuper toutes les paires de perforations avec des tiges de contact 17, et d'autres cas où seule une partie des paires de perforations devront être occupées.

Les tiges de contact 17 sont toutes de même conception et dépassent par leurs extrémités 20, 21 les faces extérieures 23, 24 du support 14, faces formées par les plaques perforées il, 12, parallèles l'une par rapport à l'autre, ces tiges de contact étant réalisées en un fil métallique à ressort de haute qualité par exemple en alliage de cuivre-béryllium, de cuivre-zirconium, en acier à ressort, en argentan, en alliages de métaux précieux durcissables ou en d'autres matériaux métalliques similaires de haute qualité présentant une bonne conductivité électrique et des propriétés élastiques.

Les tiges de contact 17 d'une seule pièce peuvent de préférence être constituées d'un fil métallique massif qui, sur demande, peut être recouvert galvaniquement, chimiquement ou d'une autre manière en totalité ou en partie par un métal non corrodant ou à contact spécialement bon et/ou résistant à l'usure tel que l'or, l'iridium, le rhodium, le palladium, le nickel, l'argent ou des métaux similaires, ceci en particulier sur les pointes de contact 19 et à l'extrémité de connexion 20.

Les tiges de contact 17 sont de préférence massives, ce qui leur donne une plus grande rigidité, une plus grande résistance et de plus fortes pressions de contact et sont en plus sensiblement moins chères que les fils creux. Ces derniers peuvent néanmoins être prévus pour des cas spéciaux, s'ils sont souhaités par des raisons quelconques.

La tige de contact individuelle 17 présente deux extrémités droites 20, 21, en ligne l'une par rapport à l'autre, entre lesquelles elle présente une seule courbure 22 en forme d'un "U" plat et allongé, dont la longueur est sensiblement plus grande que sa profondeur. L'extrémité droite superieure 20 de la tige de contact 17 est aplatie et présente une section à peu près rectangulaire qui correspond à la section intérieure de la perforation oblongue 15 de la plaque perforée supérieure 11 à travers laquelle elle s'insère, avec la différence que sa section est légèrement plus petite que celle de la perforation oblongue 15, de telle manière que cette section servant à la connexion électrique de l'extrémité de connexion 20 de la tige de contact 17 possède le jeu de paliers à glissement nécessaire pour son insertion, lors du montage de la tige de contact, dans cette perforation oblongue 15, pour qu'elle soit guidée axialement en ligne droite dans cette perforation oblongue et dont la section allongée, qu'elle remplit par son jeu de paliers à glissement, la dispose de manière à la protéger mécaniquement contre toute rotation. L'autre extrémité droite 21 de la tige de contact 17 forme son extrémité de palpage et présente à son extrémité libre la pointe de palpage conique 19, dénommée aussi pointe de contact, pointe qui passe à travers la perforation ronde 16 de la plaque perforée 12, qu'elle dépasse vers le bas pour venir en contact avec les spécimens, de manière à pouvoir se déplacer axialement dans la perforation 16 suite aux forces axiales exercées par les spécimens sur la pointe de contact 19 avec déformation élastique de la courbure 22 qui imprime ainsi une force de rappel nécessaire pour le retour de l'extrémité de palpage 21 dans sa position de repos.Sur la partie de l'extrémité 20 de connexion dépassant la face extérieure 23 du support 14, on peut par exemple mettre en place une douille électrique de connexion d'un conducteur électrique et il existe encore d'autres possibilites de connexion électrique entre autres le soudage ou le brasage d'un conducteur électrique ou d'un fil conducteur.Mentionnons encore à cet égard qu'en général seule une partie du nombre total des diverses tiges de contact 17 devra être connectée par leurs extrémités de connexion 20 avec des conducteurs électriques à prolongement, en fait uniquement les tiges de contact qui, sur un certain spécimen, sont destinées à palper électriquement les endroits prédéterminés du spécimen quant à son bon fonctionnement ou à l'absence de défauts, par exemple en ce qui concerne la conductivité d'une piste conductive ou à effectuer d'autres contrôles similaires.

La partie courbée 22 de la tige de contact 17 est plus longue que l'extrémité droite de palpage 21 et l'extrémité droite 20 de connexion et correspond dans sa longueur à peu près à la somme des longueurs des extrémités 20, 21. La courbure 22 s'étend librement de tous côtés dans tout l'espace intérieur existant entre les deux plaques perforées 11, 12 de la perforation 15 à la perforation 16 de la paire de perforations concernée, de telle manière que de ce fait la tige de contact 17 soit maintenue insérée dans sa position de repos axiale et peut néanmoins, par pression sur la pointe de palpage 19, par déformation de sa courbure 22, être comprimée axialement de façon élastique par le fait que I'extrémité de palpage 21 est déplacée vers le haut dans la direction de la double flèche E.L'extrémité de connexion 20 ne peut pas, dans ce cas, se déplacer axialement étant donné qu'elle en est empêchée par la courbure 22.

Sur la tige de contact 17 détendue et celleci n'étant pas encore insérée dans le support 14, la longueur de la courbure 22 peut être un peu plus importante que l'écart intérieur entre les deux plaques perforées 11, 12, de manière que la courbure 22, lors de l'insertion de la tige de contact 17 dans le support 14, soit comprimée un peu axialement de façon élastique et qu'elle soit ainsi précontrainte afin d'obtenir de cette manière une fixation particulièrement bonne, précise, axiale et sans jeu de la tige de contact 17 lors de sa position de repos dans le support 14.

Le montage de la tige de contact 17 peut être effectué de façon simple en l'insérant, avec une courbure convenable, par son extrémité de palpage 21 et son extrémité de connexion 20 dans les deux perforations 15, 16 destinées à les recevoir.

La mise en place des tiges de contact 17 s'effectuera utilement de manière que les courbures 22 de toutes les tiges de contact 17 soient disposées parallèlement les unes par rapport aux autres ainsi que le montre la figure 3 pour deux tiges de contact 17.

Autrement dit, l'écartement réciproque entre les tiges de contact 17 d'une rangée de paires de perforations insérées dans des paires de perforations 15, 16 contiguës doit, sur toute la longueur de tiges de contact 17, être à chaque niveau à peu près de même importance, afin d'obtenir une protection optimale contre une entrée en contact involontaire des tiges de contact 17, même si les écartements entre les tiges de contact 17 sont très faibles.

Si, dans certaines circonstances, il devait néanmoins exister un risque d'entrée en contact de tiges de contact 17 contiguës, si seulement une des deux courbures 22 des tiges de contact 17 contiguës se trouvant dans le même plan géométrique est axialement comprimée de façon élastique lors du contrôle d'un spécimen, mais que l'autre n'aura pas été comprimée, on peut alors prévoir, au moins dans les zones dans lesquelles le risque d'une entrée en contact de tiges de contact 17 contiguës pourrait éventuellement se produire, de les munir de revêtements électrique- ment isolants ou de disposer à angle les plans des parties courbées 22 des tiges de contact 17 des diverses rangées de tiges de contact par rapport au plan déterminé par les extrémités de palpage 21 de cette rangée de tiges de contact.

Par suite de la courbure 22 de la tige de contact 17, sa pointe de contact 19 peut se déplacer axialement de façon élastique dans la direction de la double flèche E, par le fait que la courbure 22 se déforme de façon élastique. Lors du contrôle d'un spécimen, le déplacement de la pointe de contact 19 est très réduit par rapport à la longueur de la partie courbee 22, aussi, lors du déplacement axial de l'extrémité de palpage par un spécimen, la partie courbée ne se déformera tout au plus latéralement que très peu par rapport à la situation de la courbure dans la position de repos de la tige de contact 17.

Pour cette raison, tout au moins dans de nombreux cas, on pourra renoncer à munir la partie courbée 22 des tiges de contact 17 de revêtements électriquement isolants, même si la densité des perforations est extrêmement élevée.

Sur le dispositif de contrôle automatique 10' selon les figures 4 à 6, on obtient une protection contre un mouvement de rotation des tiges de contact 17, toujours constituées par des fils métalliques massifs et élastiques, par des lamelles planes 27, electrique- ment isolantes parallèles l'une par rapport à l'autre, que l'on glisse, à formes conjuguées, dans des rainures longitudinales de section à forme carrée des plaques perforées 11, 12. Et, en effet, les tiges de contact 17 présentent, dans des plans parallèles par rapport aux lamelles 27, des courbures 22 qui, ainsi que le montre la figure 4, sont constituées de deux demi-ondulations courbées en sens opposés. De ce fait, la propriété élastique axiale des tiges de contact peut encore être améliorée.La partie courbée 22, formée par les courbures à deux demi-ondulations, de la tige de contact 17 s'étend encore de la plaque perforée 11 à la plaque perforée 12 et en état inséré de la tige de contact 17, elle sera de préférence précontrainte.

I1 s'y ajoute en haut une extrémité de connexion droite 20 et en bas une extrémité de palpage 21 également droite et d'une seule pièce qui, avec du jeu de palier à glissement, passent à travers les perforations 15,16, en ligne l'une par rapport à l'autre, de la paire de perforations concernée et dépassent à travers ces perforations 15, 16, vers l'extérieur Dans ce modèle d'exécution, la tige de contact 17 peut présenter d'un bout à l'autre une section ronde, elle peut donc être courbée avec du fil rond. La pointe de contact 19 est taillée en cône. Les perforations 15, 16 des plaques perforées 11, 12 ont également des sections rondes.

Quand, par l'action d'un spécimen, une pointe de contact 19 est axialement déplacée avec déformation élastique de la partie courbée 22 du fil, les deux courbures en forme de demi-ondulations de la partie bilatéralement courbée de la partie plane 22 de la tige de contact 17 sera, de façon élastique, encore un peu plus déformée des deux côtés dans le plan de la courbure, mais seulement faiblement, de telle manière que même avec de très faibles écartements des tiges de contact, il n'existera pas de risque d'entrée en contact entre des tiges de contact contiguës ou si, avec des écartements extrêmement faibles, ce risque devait néanmoins se présenter, on pourra, comme déjà decrit, munir les parties en question des tiges de contact 17 de revêtement électriquement isolants.

Les lamelles 27 peuvent par exemple être réalisées à l'aide de plaques de verre, de matières synthétiques ou de matières similaires électriquement isolantes, qui ont une résistance'propre suffisante, pas nécessairement très élevee.

La courbure bilatérale de la tige de contact 17 dans le plan de la courbure (voir figure 4) a, par rapport à la courbure d'un seul côté, comme le montrela tige de contact 17 sur la figure 3, l'avantage que la courbure ultérieure de la tige de contact 17 sera un peu plus faible lors de la remontée axiale de sa pointe de contact sous l'action d'un spécimen.

La partie courbée 22 peut aussi présenter plus de deux demi-ondulations, de telle manière que dans un seul plan elle peut prendre aussi une forme en serpentin.

Un autre modèle d'exécution d'un dispositif automatique 10", conforme à l'invention, est illustré par les figures 7 à 9. Sur ce modèle, la plaque perforée supérieure 11 du support 14, dans ce cas d'une seule pièce, présente également des rainures longitudinales 30 à sections rectangulaires, qui toutefois ne servent pas à la mise en place de lamelles, mais sur lesquelles, à la face interne du fond, aboutissent les perforations 15 de la plaque perforée supérieure 11 destinées au guidage des extrémités 21 des tiges de contact 17. Chaque tige de contact 17 a dans la zone de la rainure 30 concernée un coude 31 par lequel elle est protégée mécaniquement contre une rotation dans la rainure 30. Ce coude 31 crée ensemble avec un second coude 32 la courbure 22 de la tige de contact 17 servant à l'élasticité axiale de l'extrémité de palpage 21.Le coude supérieur 31 de la tige de contact 17 réalise aussi la protection mécanique contre tout mouvement de rotation de la tige de contact 17. Cette courbure 22 réalise en outre aussi la fixation de la tige de contact 17 dans le support 14 comportant les deux plaques perforées 11, 12, de telle manière qu'elles ne puissent se déplacer dans sa totalité, mais qu'elles puissentseuîementêtre compriméesaxialement de façon élastique par déformation de la courbure. La zone courbée 22 peut encore utilement être précontrainte déjà dans la position de repos de la tige de contact 17 insérée dans le support 14.

Sur ce modèle d'exécution, chaque tige de contact est encore constituée par un fil métallique massif rond et la largeur des rainures 30 est légère- ment supérieure au diamètre de ces fils ronds.

L'invention permet de nombreuses variations.

Ainsi, par exemple, au lieu d'assurer la position de repos axiale de la tige de contact 17 dans le support 14 par la courbure 22, on peut prévoir que par exemple, selon la figure 10, la partie courbée 22 n'occupe qu'une partie de cette zone de l'espace intermédiaire intérieur entre les deux plaques perforées 11, 12 du support 14 et que, de ce fait, la position de repos axiale de la tige de contact 17 soit assurée d'une autre manière, par exemple par de petits élargissements aplatis 33, 34 de la tige de contact 17 qui viennent se placer directement sur les orifices, se faisant face, des perforations 15, 16 de la paire de perforations concernée des plaques perforées 11, 12 telles que la figure 10 l'illustre par un modèle sur lequel la partie courbée 22 de la tige de contact 17 a, selon la représentation, une forme rectangulaire de faible largeur et de faible profondeur et qui n'est réalisée qu"à partir d'une certaine distance des aplatissements 33,34. La forme de la courbure 22 représentée a, entre autres, l'avantage que l'élasticité axiale de la tige de contact 17 ne produit pas un écart latéral de la courbure 22, mais est réalisée par les deux branches longitudinales de la courbure 22 qui se rapprochent cnune l'indique la ligne en pointillé. Ainsi, tout risque d'entrée en contact de tiges de contact conti guès se trouvant dans la rangée est évitee avec certitude par cette forme de la partie courbée 22.La protection contre une rotation de la tige de contact 17 est réalisée dans ce cas par l'élargissement 33 pro che de l'extrémité de connexion 20, par le fait que celui-ci engrène mécaniquement dans une rainure 30 de la plaque perforée 15 pour empêcher toute rotation.

Les dispositifs de contrôle automatique représentés ont des tiges de contact d'un cout de construction fort avantageux, étant donné que cellesci sont réalisées à l'aide de fils métalliques courbés élastiques et de préférence massifs. De même, la mise en place de ces tiges de contact est extrêmement simple par le fait qu'elles peuvent être insérées dans les perforations 15, 16 à partir de l'intérieur du support 14, de manière que l'échange de tiges de contact 17 endommagées contre de nouvelles tiges de contact 17 est également possible de façon simple.

Le support 14 lui-même peut être rigide et les deux plaques perforées 11, 12 peuvent être fixées de façon mobile ou non mobile sur les parois latérales d'écartement 13. I1 est également possible d'assembler les deux plaques perforées dans le genre de platines, seulement à l'aide de tubes d'écartement traversés par des tiges filetées d'assemblage. Le support 14 peut éventuellement être fabriqué également d'une seule pièce, par exemple par coulage et usinage ultérieur.

I1 est également possible de composer le dispositif de contrôle automatique à l'aide de plusieurs ou de nombreux éléments de construction, chacun d'eux formant séparément un dispositif de contrôle automatique et plusieurs de ces dispositifs de contrôle automatique sont alors assemblés pour former un grand dispositif de contrôle automatique. L'élément de construction individuel peut, dans ce cas, avoir des dimensions relativement réduites par exemple une surface de 20 x 20 mm ou de 40 x 40 mm.

Ceci facilite la mise en place et l'échange des tiges de contact et réduit le coût de fabrication de grands dispositifs de contrôle automatique, par le fait que ceux-ci peuvent être assemblés d'un cas à l'autre aux dimensions souhaitées à l'aide de petits dispositifs de contrôle automatique préfabriqués que l'on peut désigner comme éléments de construction de ces grands dispositifs. Un tel élément de construction peut aussi être employé comme sonde palpeuse, par conséquent remplacer une sonde palpeuse comme celle figurant dans l'annuaire de la société allemande de
Chronométrie mentionné ci-dessus et décrite à la page 273 et suivantes, en accomplissant la même fonction cet élément serait alors d'un coût sensiblement plus avantageux.

Au lieu de prévoir l'assurance de la position de repos axiale de la tige de contact 17 dans le support 14 à l'aide d'une seule partie courbée 22 de longueur convenable telle que celle-ci est illustrée par les figures 1 à 9, on peut prévoir aussi par exemple cette assurance de la position de repos axiale à l'aide de deux parties courbées disposées l'une par rapport à l'autre avec un écartement longitudinal, par exemple à l'aide de deux parties similaires à la partie 22 de la tige de contact 17 de la figure 10, cas dans lequel l'une des parties touche la perforation supérieure 15 de la plaque perforée 11 et l'autre la perforation inférieure 16 de la plaque perforée 12 à la place des aplatissements 33, 24 représentés sur la figure 10.

Sur les modèles d'exécution représentés par les figures 1 à 9, les écartements entre les tiges de contact 17 contiguës ont été représentés pour plus de clarté de façon relativement grande. Mais on se rend bien compte sans difficultés qu'ils peuvent être réali sés plus petits que ceux représentés. Expliquons encore ce fait sur l'exemple du dispositif de contrôle automatique selon les figures 7 à 9 par un exemple numérique. Par exemple, avec ce dispositif de contrôle automatique 10", le fil rond de la tige de contact 17 peut avoir un diamètre de 0,10 mm. La tige de contact 17 peut avoir par exemple une longueur d'environ 30 mm.

La largeur de la rainure 30 et le diamètre des perforations 15, 16 peuvent mesurer environ 0,11 mm et les coudes 31, 32 peuvent avoir une longueur par exemple de 0,18 mm. L'entr'axe des extrémités de palpage 21 dans la rangée de tiges de contact 17 contiguës et par conséquent l'entr'axe des perforations contiguës 16 ou 15 peut alors être dans la rangée en question d'environ 0,30 mm et l'entr'axe des rangées contiguës de tiges de contact peut éventuellement être encore plus petit, par exemple de 0,2 mm.

Comme déjà expliqué, on peut souvent aussi prévoir utilement, au lieu de disposer les courbures planes des tiges de contact d'une rangée de tiges de contact dans le plan détermine par ses extrémités de palpage (plan de rangée), de disposer les courbures planes à angles par rapport au plan de la rangée, afin d'obtenir des entr'axes particulièrement petits.entre les extrémités de palpage contiguës ou pour diminuer ou éliminer le risque d'une entrée en contact de courbures de tiges de contact contiguës.Dans ce cas, les plans des courbures peuvent être disposés parallèlement l'un par rapport à l'autre ou être disposés avec des tiges de contact contiguës à différents angles d'inclinaison par rapport au plan de la rangée. I1 est aussi possible, si les courbures 22 n'occupent qu'une partie de la hauteur intérieure entre les plaques- perforées, telle qu'elle est par exemple représentée sur la figure 10, de décaler l'une par rapport à l'autre les courbures de tiges de contact contiguës dans le sens longitudinal de la tige de contact de telle manière qu'elles ne peuvent, par principe, entrer en contact les unes avec les autres.

Les courbures 22 servant à l'élasticité axiale propre des tiges de contact 17 donnent à ces tiges de contact 17 la propriété de ressorts de flexion, les courbures 22 étant situées pour cette raison de façon utile entre les plaques perforées 11, 12 comme sur les modèles d'exécution.

Alors que sur les précédentes figures 1 à 10, les tiges de contact 17 sont tracées en lignes doubles, elles sont représentées par mesure de simplification en lignes simples sur les autres figures 11 à 17. De même, dans ces modèles d'exécution, le fil métallique élastique de chaque tige de contact 17 inséré dans les perforations 15, 16 des deux plaques perforées 11, 12 du support 14, le guidant, est également guidé axialement avec du jeu de palier à glissement, comme sur les précédents modèles d'exécution, de telle manière que chaque tige de contact 17 insérée pour sa mise en place dans les perforations 15, 16 destinées à la recevoir peut, en cas d'entrée en contact avec un spécimen, être déplacée axialement par celui-ci dans la perforation 16 contiguë à sa pointe de contact 19 par déformation élastique de la partie courbée 22 de la tige de contact qui sur ces modèles d ' exécution se trouve toujours dans la zone de la tige de contact 17 située entre les deux plaques perforées 11, 12. Pour mieux les distinguer, les perforations 15, 16 guidant les tiges de contact 17 ont été représentées de façon excessivement grossies sur les figures Il à 17. En réalité, elles insèrent les tiges de contact 17 avec du jeu axial de palier glissant, par conséquent avec un faible jeu latéral.

Sur le modèle d'exécution selon la figure 11, la courbure 22 réalisant l'élasticité axiale propre du fil métallique de la tige de contact 17 est formée par un enroulement circulaire sur 360" de ce fil métallique. Cet enroulement est conçu de façon similaire à celui d'un ressort à boudin, toutefois, sur ce modèle d'exécution, il n'est pas circulaire mais allongé.

A la place d'un seul enroulement, on peut prévoir éventuellement aussi plusieurs enroulements, mais normalement il est largement suffisant et avantageux de ne prévoir qu'un seul enroulement sur la tige de contact. Cet enroulement se trouve encore entre les deux plaques 11, 12 mais à distance de celles-ci.

Afin d'assurer la position axiale de l'extrémité de connexion 20 de cette tige de contact 17 contre un déplacement axial, cette dernière est, sur ce modèle d'exécution, aplatie en un disque 40 à l'extrémité de connexion 20 dépassant sur la face arrière 23' de la plaque perforée 11, par compression du fil métallique à section ronde au moyen d'un outil. Le diamètre de ce disque plat 40 sera plus grand que le diamètre de la perforation 15 de la plaque perforée 11.Ce disque plat 40 s'introduit, avec un faible jeu latéral, à la face arrière dans une rainure longitudinale 26' de la plaque perforée 11 afin de protéger la tige de contact 17 contre une rotation, et il est en outre assuré contre des mouvements en direction de l'axe longitudinal de la perforation 15 à l'aide d'une plaque à fiche 41 dont la face arrière forme la face arrière 23 du support 14, par le fait que cette plaque à fiche appuie d'en haut sur le disque 40 avec un contact à fiche 42 y encastré, et appuie ainsi ce disque 40 sur le fond de la rainure 25' de la plaque perforée 11. La rainure 26' peut éventuellement être encastrée aussi dans la plaque à fiche 40.Cette tige de contact élastique 17 peut être mise en place de telle manière qu'avec une extrémité de connexion 20 non encore aplatie qui, par conséquent, a alors encore le diamètre du reste du fil métallique de la tige de contact 17, elle soit insérée, à partir de l'espace intermédiaire entre les deux plaques perforées 11, 12, dans les perforations 15, 16 de la paire de perforations concernée, comme sur les précédents modèles d'exécution. On aplatit ensuite en un disque 40 l'extrémité de connexion 20 à l'aide d'un outil.Avec une flexibilite suffisante de cette tige de contact 17, sa mise en place peut également être effectuée de manière que son extrémité de connexion soit aplatie en un disque 40 déjà avant la mise en place et que l'on introduit ensuite le-fil métallique avec la pointe de contact 19 tout d'abord d'en haut dans la perforation 15 et qu'on le passe après à travers la perforation 15 en tirant sur l'enroulement, et que l'on passe à la suite encore ce fil métallique à travers la perforation 16, l'enroulement 22 se reformant ensuite, après décharge, de la façon représentée.

Sur les précédents modèles d'exécution selon les figures 1 à 11, les deux perforations 15, 16, chaque paire de perforations servant à l'insertion d'une tige de contact 17, sont en ligne l'une par rapport à l'autre. Mais il est aussi possible de disposer ces deux perforations 15, 16 de la paire individuelle de perforations hors ligne ce qui, entre autre, a l'avantage que déjà de ce fait la protection contre une rotation de la tige de contact 17 sera obtenue et qu'aucune autre mesure de protection contre la rotation sera nécessaire. Les figures 12 à 17 montrent quelques modèles d'exécution sur lesquels les courbures 22 servant à l'élasticité axiale propre des tiges de contact se trouvent chaque fois par flexion, librement dégagées de tous côtés, dans l'espace intermédiaire entre deux plaques perforées 11, 12.

Sur le modèle d'exécution selon la figure 12, les perforations 15, 16 de chaque paire de perforations des deux plaques perforées 11, 12 ayant leurs axes longitudinaux latéralement déplacés l'un par rapport à l'autre, sont disposées parallèlement aux axes, chaque perforation individuelle 15 ou 16 se développant verticalement par rapport aux faces avant et arrière planes 23', 24 des plaques perforées 11, 12. Ces faces 23', 24 sont parallèles l'une par rapport à l'autre.

La courbure 22 de la tige de contact 17, similaire à celle de la figure 11, est formée par un enroulement du fil métalliquede la tige de contact 17. Sur ce modèle d'exécution, une pièce séparée formant une tête métallique 40' est solidement disposée sur l'extrémité de connexion 20 du fil métallique de la tige de contact 17, pièce qui par exemple peut être soudée. Les têtes 40' des tiges de contact 17 sont encore appuyées sur la plaque perforée 11 au moyen d'une plaque à fiches 41 munies de contacts les connectant, plaque qui pour chaque tige de contact peut présenter un contact à fiche et dont les contacts à fiche sont électriquement isolés les uns par rapport aux autres, les extrémités de connexion 20 étant ainsi à nouveau empêchées de se déplacer axialement.Cette plaque à fiches 41 n'est indiquée sur les figures 12, 13 et 16 que par une ligne en pointillés. Cette plaque à fiches 41 est solidement raccordée à la plaque perforée 11. On peut aussi prévoir éventuellement de l'appuyer élastiquement sur les têtes 40 ou 40' (figure 12) des tiges de contact 17 par un moyen à ressort et la guider droit parallèlement à la direction d'appui.

Les contacts 42 de la plaque 41 peuvent éventuellement être aussi d'autres contacts que des fiches, par exemple des douilles et/ou des rails de contact ou des systèmes similaires, cette plaque 41 pouvant d'une façon générale, être désignée comme plaque de contact.

Sur le modèle d'exécution selon la figure 13, les perforations droites 15 se trouvant dans la plaque perforée 11 contiguë à l'extrémité de connexion 20, ne sont plus disposées, en vue de la protection contre une rotation des tiges de contact 17, verticalement par rapport au plan de la plaque perforée 11, comme sur les précédents modèles d'exécution, mais sont inclinées obliquement par rapport à ce plan, alors que par contre les perforations 16 se trouvant dans l'autre plaque perforée 12 sont toujours forées verticalement par rapport à cette plaque perforée 12. Chaque tige de contact est constituée d'un fil métallique à section ronde, mais qui, de même que sur le modèle d'exécution selon la figure 1 et pour la même raison, présente une tête 40 élargie par aplatissement, tête qui forme l'extrémité de connexion 20 et qui est appuyée sur la plaque perforée 11 à l'aide d'une plaque de contact. Le fil métallique à ressort de la tige de contact 17 est courbé élastiquement, comme repré senté, en une courbure 22 dans la zone entre les deux plaques perforées 11, 12, courbure 22 qui à nouveau rend possible son élasticité axiale propre par un genre de ressort à flexion.Cette courbure 22 se réalise automatiquement même si le fil métallique élastique de la tige de contact 17 est droit avant son insertion dans les plaques perforées 11, 12, ceci par suite de la disposition hors ligne, représentée, des deux perforations 15, 16 le guidant avec un jeu axial de palier à glissement, en combinaison avec l'élargissement aplati 34, qui correspond techniquement à l'élargissement 34 de la tige de contact 17 sur la figure 10. Au cas où la précontrainte constante ainsi introduite par cette tige de contact rendrait le frottement de celle-ci dans la perforation trop fort, on pourra aussi prévoir que cette tige de contact 17 presente déjà, à l'état non contraint, la partie 22 à peu près sous forme d'une demi-ondulation de manière telle que le frottement dans la perforation 16 soit faible.Les courbures 22 des tiges de contact 17 sont dans ce cas des courbures ouvertes alors que sur les modèles d'exécution selon les figures 11 et 12, elles peuvent être désignées comme des courbures 22 fermées
Le modele d'exécution selon la figure 14 est similaire à celui de la figure 13 avec la différence que les perforations 15, inclinées obliquement vers le plan de la plaque perforée 11, sont sur cette plaque perforée 11 plus fortement décalées latéralement par rapport aux perforactions 16 de la plaque perforée 12 et que la tige de contact 17 ne présente pas une déformation à demi-ondulation mais seulement une déformation approximativement sous la forme d'un V. Selon la représentation, les branches de ce V renferment un grand angle. De même, dans ce cas, il n'existe pas non plus d'élargissement 34 de la tige de contact 17.Comme dans le cas de la figure 11, la protection des tiges de contact 17 contre un déplacement axial de son extrémité de connexion 20 est assurée par une plaque de contact 41 en combinaison avec les têtes élargies 40. En outre, sur ce modèle d'exécution, non seulement l'écartement des deux plaques perforées 11, 12 est réglable, mais également leur position relative l'une par rapport à l'autre est aussi réglable en position dans le sens des plans de leurs plaques. A cet effet, la plaque perforée 11 présente à son bord extérieur des fentes longitudinales telles que 45 qui, par la fixation de cette plaque perforée 11, sont traversées par des vis de fixation telles que 46 sur les plaques latérales 48 du support 14.En desserrant la vis 48, on peut déplacer la plaque perforée 11 à gauche ou à droite et régler ainsi aussi bien la force de ressort des tiges de contact 17 que la hauteur de leurs extré- mités de palpage 21 au-dessus de la plaque- perforée 12.

En plus, on peut encore régler la hauteur des extrémités de palpage 21 au-dessus de la plaque perforée 12 indépendamment de la force de ressort, par le fait que la plaque perforée 12 est fixée sur les plaques latérales, telles que 48, au moyen de vis de fixation, telles que 47, qui traversent des fentes longitudinales telles que 49 dans des liteaux verticaux 50 fixés sur la plaque perforée 12. Après desserrement des vis de fixation 47, on peut régler la plaque perforée 12 vers le haut et vers le bas par rapport à la plaque perforée 11 et la fixer dans la position souhaitée par rapport à la plaque perforée 11 en serrant cette vis de fixation 47. Ainsi que l'on s'en aperçoit facilement, l'insertion des tiges de contact 17 peut être effectuée dans les deux perforations 15, 16 à partir de la face arrière 23' de la plaque perforée 11.

Sur le modèle d'exécution selon la figure 15, les tiges de contact 17 ont encore des courbures en forme d'un V, les deux perforations 15, 16 de chaque paire de perforations dans les deux plaques perforées 11, 12 recevant chacune une tige de contact 17 étant inclinées sur ce modèle d'exécution, en sens opposés, obliquement par rapport aux plaques perforées 11, 12.

Les angles d'inclinaison de ces perforations 15, 16 par rapport aux plans des plaques perforées 11 et 12 en question peuvent être de même grandeur ou de grandeurs différentes. La protection des tiges de contact 17 contre un déplacement axial de leurs extré- mités de connexion 20 est assurée comme sur le modèle d'exécution selon la figure 11.

Sur les modèles d'exécution exposés jusqu'à présent, les perforations 15, 16 dans les deux plaques perforées coordonnées aux tiges de contact 17 conti guës ont des écartements de même grandeur les unes des autres, de manière telle que les deux plaques perforées 11, 12 présentent toujours sur ces modèles d'exécution des types de perforations identiques, cette formulation s'entendant en l'occurence dans le sens que pour le type de perforation, seule importe la position des orifices des perforations se trouvant d'un côté et non pas l'inclinaison des perforations par rapport à la plaque perfore éventuellement existante.

Mais l'invention crée aussi de façon simple la possibilité de réaliser les types de perforations de façon non identique, donc de varier les uns par rapport aux autres et ceci. aussi bien par leur géométrie que par leur grandeur. Ainsi, la figure 16 montre un détail d'un dispositif de contrôle automatique 10 sur lequel les écartements entre les perforations 16 contiguës de la plaque perfore 12 représentées, sont sensiblement plus petits que les écartements des perforations 15 contiguës les unes des autres, de la plaque perforée 11 proche des extrémités de connexion 20 des tiges de contact 17. Par ce fait, les écartements des extrémités de connexion 20 peuvent être agrandis les uns par rapport aux autres, ou les écartements des extrémités de palpage 21 des tiges de contact peuvent être diminués, ce qui est avantageux.D'autre part, les deux plaques perforées 11, 12 sont similaires à celles de la figure 14, de même les tiges de contact 17. En l'occurence, on peut aussi prévoir qu'une ou quelquesunes des nombreuses paires de perforations existantes au total dans les plaques perforées 11, 12 soient en ligne les unes par rapport aux autres. Les tiges de contact 17 varient dans leur forme les unes par rapport aux autres.

La figure 17 représente de façon simplifiée un modèle d'exécution d'un tel dispositif de contrôle automatique 10 sur lequel les types de perforations des deux plaques perforées 11, 12 sont de grandeurs différentes. En fait, sur les deux plaques perforées 11, 12 seul un carré de perforations 15, 16 a chaque fois été tracé. En réalité, chaque plaque perforée présente à l'intérieur de ces deux carrés de perforations encore de nombreuses autres perforations en dispositions également carrées ou en d'autres dispositions. Le type de perforation de la plaque perforée 12 est une réduction du type de perforation de la plaque perforée 11. Chaque tige de contact 17 est insérée dans une perforation 15 de la plaque perforée 11 et dans une perforation 16 de la plaque perforée 12.

I1 a été exposé que l'insertion des tiges de contact 17 peut être effectuée dans les deux plaques perforées 11, 12 à partir de l'espace intermédiaire entre ces deux plaques perforées 11, 12, ou, dans certains cas, aussi à partir de l'extérieur comme décrit en relation avec les figures 11 et 14. Dans la dernier cas, les écartements entre les deux plaques perforées 11 et 12 peuvent être plus petits que si les tiges de contact 17 étaient insérées dans les perforations 15, 16, à partir de l'espace intermédiaire entre ces plaques perforées 11, 12.

Si l'on a parlé, ci-dessus, de la protection des tiges de contact 17 contre une rotation, il résulte déjà des modèles d'execution qu'il est absolument compréhensible que les protections contre une rotation ne sont en fait destinées qu'à éviter un pivotement trop marqué des tiges de contact 17 De faibles mouvements de pivotement des tiges de contact 17 sont absolument admissibles. La protection contre une rotation n'a pas obligatoirement à être une protection qui empêcherait même le plus faible mouvement de pivotement des tiges de contact, bien que cela pourrait aussi être réalisé sur demande.

Tous les modèles d'exécution sont munis de protections contre la rotation des tiges de contact 17, protections que l'on peut désigner comme des protections mécaniques contre la rotation, protections qui sont particulièrement avantageuses, entre autres, aussi par le fait qu'elles permettent normalement de procéder à l'échange de tiges de contact en cas de detérioration ou pour d'autres raisons. En outre, les plaques perforées fort coûteuses en raison de leur grand nombre de très fines perforations peuvent être équipees par d'autres types de tiges de contact étant donné que les perforations 15, 16 ne doivent pas obligatoirement être occupées par des tiges de contact 17.Dans certains cas, il est aussi possible de prévoir des protections contre la rotation par un systeme d'adhérence, par exemple la face arrière de la plaque perforée 11 peut, après insertion et alignement des tiges de contact 17, être revêtue d'une mince couche d'adhe- sif à travers laquelle passeraient les extrémités de connexion 20 des tiges de contact 17. Les tiges de contact sont de ce fait maintenues non amovibles et sont ainsi proteées contre une rotation. Mais comme déjà mentionné, il est plus avantageux que les tiges de contact 17 soient disposées de façon amovible.

Mentionnons en outre encore, en ce qui concerne le modèle d'exécution selon la figure 7 qu'il est dans de nombreux cas particulièrement utile que les centres des deux plaques perforées 11, 12 ne se trouvent pas verticalement superposées, afin d'éviter de ce fait que dans les centres des plaques se situent des perforations 15, 16 en ligne servant à l'insertion de tiges de contact. Si toutefois de telles perforations 15, 16 en ligne devaient exister, on pourrait alors concevoir les tiges de contact en question par exemple selon le modèle d'exécution des figures 1 à 3.

Les plaques perforées peuvent utilement être réalisées en des matières indéformables, électriquement très isolantes, telles que des matières synthétiques, du verre ou de la céramique. En tant que céramique il s'agit, comme entrant en ligne de compte, particulièrement de la porcelaine ou de céramique oxydée ayant des valeurs très élevées d'isolation électrique. Le verre et la céramique se distinguent aussi par une indéformabilité particulièrement forte. D'autres matières indéformables entrent aussi en ligne de compte.

L'aluminium est également approprié, sa surface est aussi électriquement isolée dans les perforations 15, 16 au moyen d'oxydation métallique. D'autres metaux peuvent également être utilisés pour les plaques perforées à condition que leurs surfaces soient électriquement isolées de façon suffisante à l'aide de vernis isolant ou d'une autre façon. Des matieres minérales entrent en ligne de compte pour les plaques perforées 11, 12, de préférence une matière minérale commercialisée sous la marque "STENAN" par les Ets Rosenthal à
Selb . (Bavière).

Etant donné que les perforations des plaques perforées ont de faibles dimensions et doivent être forées avec une grande précision, les forages pouvant entrer en ligne de compte pour leur fabrication sont, outre le forage mécanique, aussi le forage au laser, le forage par rayon d'électrons, le forage par ultrasons ou des forages similaires.

Dans les modèles d'exécution représentés, les plaques perforées 11, 12 et, en cas de présence, aussi la plaque de contact 41, sont planes et parallèles les unes par rapport aux autres, ce qui est déjà particulièrement utile étant donné que, de ce fait, les tiges de contact 17 peuvent être réalisées toutes de façon identique. I1 est éventuellement aussi possible de ne pas disposer les deux plaques perforées 11, 12 et éventuellement aussi la plaque de contact 41 parallèlement l'une par rapport à l'autre, au cas où cela serait souhaité pour des raisons quelconques.

Dans ce cas, les tiges de contact seraient à concevoir de façon différente.

Mentionnons encore en ce qui concerne la figure 13 qu'il n'est pas utile que la tige de contact individuelle 17 présente, lors de sa mise en place, déjà l'élargissement 40 et, de ce fait, elle sera insérée dans les perforations 15, 16 à partir de l'espace intermédiaire entre les deux plaques perforées 11, 12, et son extrémité de connexion 20 sera ensuite aplatie comme tête 40. L'élargissement 34 de la tige de contact limite le mouvement axial de son extrémité de palpage vers le bas.

Claims (47)

REVENDICATIONS

1. Dispositif de contrôle automatique pour contrôler ou mesurer des spécimens électroniques, spécialement des plaquettes à circuits imprimés ou des spécimens similaires, ayant un grand nombre de tiges de contact très minces, axialement élastiques et électriquement conductrices, insérées dans des perforations, électriquement isolées, d'un support rigide et dont les extrémités de palpage mobiles, axialement élastiques servant à entrer en contact avec les spécimens dépassent d'un premier côté du support, alors que les extrémités opposées de connexion des tiges de contact servent à leur connexion électrique, caractérisé par le fait que la tige de contact (17) est un fil métallique élastique qui, en vue de l'élasticité axiale de sa pointe de contact (19) présente au moins une partie flexible (22) qui est, de ce fait, élastique de telle manière que cette partie courbée (22) permet la mobilité axiale de la pointe de contact (19) par la flexion élastique de cette partie courbée (22) et que la tige de contact est disposée dans le support (14) de façon protégée contre sa rotation.

2. Dispositif de contrôle automatique selon la revendication 1, caractérisé par le fait que la ou les parties courbées (22) de la tige de contact (17) sont situées dans un plan géométrique comportant les axes longitudinaux de l'extrémité de palpage (21) et de l'extrémité de connexion (20).

3. Dispositif de contrôle automatique selon les revendications 1 ou 2, caractérisé par le fait que les tiges de contact (17) formées de fils métalliques sont toutes conçues de façon identique.

4. Dispositif de contrôle automatique selon les revendications 2 ou 3, caractérisé par le fait que les parties courbées (22) des tiges de contact d'une rangée droite de tiges de contact sont situées dans un plan déterminé par les extrémités de palpage (21) et les extrémités de connexion (20) de la rangée de tiges de contact et que les courbures de ces tiges de contact disposées au même niveau, sont courbées dans le même sens.

5. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé par le fait qu'au moins un grand nombre de tiges de contact (17), est disposé aux noeuds prédéterminés d'une grille d'un réseau géométrique dont les noeuds sont disposés dans des rangées droites, parallèles les unes par rapport aux autres, les écartements des noeuds de la grille dans les rangées pouvant correspondre dans ce cas de préférence aux écartements des rangées contiguës.

6. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé par le fait que l'extrémité de palpage (21) et l'extrémité de connexion (20) de la tige de contact (17) sont droites et en ligne l'une par rapport à 1' autre.

7. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé par le fait que le support (14) présente deux plaques perforées rigides qui sont disposées de préférence de façon parallèle l'une par rapport à 1 'autre.

8. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé par le fait que chaque tige de contact (17) est guidée dans des perforations (15,16) disposées à distance l'une de l'autre dans le support (14), dont l'une (16) est contiguë à l'extrémité de palpage (21) et l'autre (15) est contiguë à l'extrémité de connexion (20) et qu'au moins l'une des parties courbées (22) de la tige de contact (17) se trouve dans la zone située entre les deux perforations (15, 16).

9. Dispositif de contrôle automatique selon la revendication 8, caractérisé par le fait que la tige de contact (17) est disposée avec un jeu de palier à glissement dans les deux perforations (15,16) la guidant.

10. Dispositif de contrôle automatique selon les revendications 8 ou 9 caractérisé par le fait que dans la position de repos non chargée de la tige de contact (17) sa partie courbée (22) s'étend, en vue de l'assurance de la position de repos axiale de la tige de contact, de la perforation (15) à la perforation (16) ou qu'à chacune de ces perforations comemnce une partie courbée de la tige de contact, et que la partie courbée (22) est précontrainte dans la position de repos de la tige de contact.

11. Dispositif de contrôle automatique selon les revendications 8 ou 9, caractérisé par le fait que l'extrémité de connexion (20) de la tige de contact (17) est munie d'une tête métallique élargie (40) qui, en vue de l'assurance contre un déplacement axial, est maintenue entre deux plaques (11, 12) du support (14), de préférence entre une plaque perforée (11) et une plaque de contact (41).

12. Dispositif de contrôle automatique selon la revendication 11, caractérisé par le fait que la tête élargie (40, 40') est une section aplatie du fil métallique de la tige de contact (17) ou une partie métallique séparée qui est fixée sur le fil métallique de la tige de contact.

13. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé par le fait que les extrémités de palpage (21) des tiges de contact (17) dépassant au-dessus du premier côté du support sont parallèles les unes par rapport aux autres.

14. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé par le fait que la tige de-contact (17) engrène, en vue de la protection contre sa rotation, avec une partie courbée (22) dans un creux (30), en forme de rainure ou de fente, du support (14).

15. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 1 à 13, caractérisé par le fait que la tige de contact engrène, en vue de la protection contre sa rotation, à l'aide d'un aplatissement (30,40) dans un creux (30, 26), en forme de rainure ou de fente, du support (14).

16. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 14 et 15, caractérisé par le fait que la rainure (30) est disposee sur la face intérieure de la plaque perforée, de préférence sur la plaque perforée (11) contiguë aux extrémités de connexion des tiges de contact.

17. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 7 à 13, caractérisé par le fait qu'en vue de la protection contre la rotation des tiges de contact entre les deux plaques perforées (11, 12), sont disposées des lamelles (27), parallèles les unes par rapport aux autres, qui entre elles laissent ouvertes des fentes étroites dans le plan desquelles s'étendent les parties courbées (22) des tiges de contact en question afin d'assurer la protection contre la rotation.

18. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 1 à 13, caractérisé par le fait que le support (14) présente une plaque perforée (11), ou un système similaire, qui est munie de perforations oblongues (15) (figures 1 à 3) assurant un guidage à formes conjuguées des tiges de contact (17) les traversant, afin de protéger les tiges de contact (17) contre la rotation.

19. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 7 à 18, caractérisé par le fait que les perforations (15,16) du support guidant la tige de contact (17) sont disposées en ligne l'une par rapport à l'autre.

20. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 7 à 18, caractérisé par le fait que les deux perforations (15, 16) du support guidant la tige de contact (17) sont disposées de façon non alignée.

21. Dispositif de contrôle automatique selon la revendication 20, caractérisé par le fait que les perforations (15, 16) guidant la tige de contact sont disposées à axes parallèles l'une par rapport à l'autre.

22. Dispositif de contrôle automatique selon la revendication 20, caractérisé par le fait que les perforations (15, 16) guidant la tige de contact sont disposées de façon inclinée l'une par rapport à l'autre.

23. Dispositif de contrôle automatique selon l'unè ou l'autre des revendications 20 à 22, caractérisé par le fait que l'axe longitudinal de la perforation (16) contiguë à l'extrémité de palpage (21) de la tige de contact (17) est disposé obliquement par rapport au plan du côté (24) du support (14) contigu à cette extrémité de palpage.

24. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 20 à 23, caractérisé par le fait que l'axe longitudinal de la perforation (15) contiguë à l'extrémité de connexion (20) de la tige de contact (17) est disposé obliquement par rapport au plan du côté (23') du support, contigu à cette extrémité de connexion, ou de la plaque perforée (11) en question.

25. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 8 à 24, caractérisé par le fait que les axes longitudinaux des perforations (15, 16) contiguës aux extrémités de palpage (21) et/ou de celles contiguës aux extrémités de connexion (20) du support (14), sont disposés verticalement par rapport au plan des ces (24,23,23') du support, contigus aux perforations en question, ou de la plaque ou des plaques perforées en question.

26. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé par le fait que la tige de contact présente une ou plusieurs courbures (22) ouvertes.

27. Dispositif de contrôle automatique selon la revendication 26, caractérisé par le fait que la tige de contact (17) presente au moins une courbure en forme d'un V.

28. Dispositif de contrôle automatique selon la revendication 26, caractérisé par le fait que la tige de contact (17) présente au moins une courbure (22) en forme d'un U.

29. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 1 à 25, caractérisé par le fait qu'au moins une partie courbée (22) de la tige de contact est formée d'au moins un enroulement de son fil métallique.

30. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 7 à 29, caractérisé par le fait que les types de perforation des deux plaques perforées sont identiques.

31. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 7 à 29, caractérisé par le fait que les types de perforations des deux plaques perforées (11,12) sont de grandeurs différentes, et que de préférence la plaque perforée (12) contiguë aux pointes de contact (19) des tiges de contact (17) présente le type de perforation le plus petit.

32. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé par le fait que le fil de la tige de contact est un fil rond massif.

33. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 1 à 31, caractérisé par le fait que le fil de la tige de contact est un fil plat massif.

34. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé par le fait que les tiges de contact présentent dans la zone située entre les perforations du support qu'elles traversent, -des revêtements électriquement isolants afin d'empêcher un contact électrique en cas de contact par inadvertance de tiges de contact contiguës.

35. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé par le fait que le côté avant (24) et le côté arrière (23) du support sont parallèles l'un par rapport à l'autre.

36. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé par le fait que les zones présentant des perforations pour les tiges de contact sont réalisées en matière synthétique électriquement isolante.

37. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 1 à 35, caractérisé par le fait que les zones du support présentant des perforations pour les tiges de contact sont réalisées en verre électriquement isolant.

38. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 1 à 35, caractérisé par le fait que les zones du support présentant des perforations pour les tiges de contact sont réalisées en aluminium dont la surface est rendue électriquement isolante par oxydation métallique.

39. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 1 à 35, caractérisé par le fait que les zones du support présentant des perforations pour les tiges de contact sont réalisées en matière minérale électriquement isolante, de préférence en "STENAN".

40. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 1 à 35, caractérisé par le fait que les zones du support présentant des perforations pour les tiges de contact sont réalisées en céramique.

41. Dispositif de contrôle automatique selon la revendication 40, caractérisé par le fait que la céramique est de la porcelaine ou de la céramique oxydée.

42. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 1 à 10 et 14 à 41, caractérisé par le fait que les extrémités de connexion (20) des tiges de contact (17) dépassent la face arrière (23) du support.

43. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 7 à 42, caractérisé par le fait que l'écartement des deux plaques perforées (11, 12) est réglable l'une par rapport à l'autre et/ou qu'elles sont ajustables en position relativement l'une par rapport à l'autre dans le.sens des plans des plaques.

44. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications 7 à 43, caractérisé par le fait que les deux plaques perforées (11, 12) sont disposées, lors de l'insertion des tiges de contact dans leurs perforations à partir de l'espace intermédiaire entre elles, avec un écartement rendu possible l'une par rapport à l'autre.

45. Dispositif de contrôle automatique selon l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisé par le fait que les tiges de contact (17) sont disposées de façon amovible dans le support (14).

46. Dispositif de contrôle automatique selon la revendication 1, caractérisé par le fait que laprotection contre la rotation de la tige de contact dans le support est une protection mécanique à formes conjuguées.

47. Dispositif de contrôle automatique selon la revendication 1, caractérisé par le fait que la protection contre la rotation de la tige de contact dans le support est une protection par adhérence.