FR2529518A1 - Vehicule equipe de systemes de manutention pour conteneurs ou caisses mobiles et equipement de stockage mecanise - Google Patents

Abstract

L'INVENTION A POUR OBJET DES EQUIPEMENTS A PLACER SUR DES VEHICULES OU DANS DES INSTALLATIONS DE STOCKAGE MECANISEES POUR TRANSBORDER LATERALEMENT DES CHARGES ET POUR LES GERBER. DEUX EQUIPEMENTS IDENTIQUES SONT PLACES DEVANT ET DERRIERE LA CHARGE, ILS SONT FIXES SUR LE VEHICULE OU LA PLATE-FORME; ILS COMPORTENT DES POUTRES FIXES ET REPLIABLES QUI, UNE FOIS ALIGNEES, FORMENT LE CHEMIN DE ROULEMENT DE CHARIOTS AUTOMOTEURS EQUIPES DE MOYENS DE LEVAGE DE LA CHARGE. DES APPLICATIONS SONT LA MANUTENTION DES CONTENEURS DES CAISSES MOBILES ET LE STOCKAGE MECANISE, LES ENGINS EQUIPES SONT AU GABARIT ROUTIER HABITUEL.

Description

La présente invention a pour objet des véhicules équipés de dispositifs de chargement ou déchargement de conteneurs,latéralement et sans incliner la charge oTOut ce qui suit est applicable aux caisses mobiles ou à toute charge que l'on peut lever par ses quatre coins inférieurseCes manoeuvres peuvent s'effectuer vers le sol,un quai, un autre véhicule ,un wagon de chemin de fer ou en gerbage sur un autre conteneurCet engin au gabarit routier peut manutentionner les conteneurs 20t à 40' à pleine charge4
Le même équipement placé sur une plate forme mobile élévatrice peut être utilisé en stockage mécanisé des conteneurs ou caisses mobiles
I1 consiste,comme le montre la figure I en une semi-remorque (7) ou tout véhicule sur lequel on place deux équipements identiques devant et derrière la charge,leur écartement est réglable en fonction de la charge;chaque équipement se compose de: - Une poutre centrale (I) fixée au véhicule.

- De chaque coté une poutre latérale (2) articulée en (6),alignée avec la poutre centrale pour la manutention ou relevée en position verticale sur route.

- A l'extrémité supérieure de chaque poutre latérale est accroché un pied d'appui au sol (3) qui reste toujours sensiblement vertical, ce pied a une hauteur variable ce qui permet de décharger sur un quai ou de régler lthorieontalité de la poutre latéraibverrouillée et alignée avec la poutre centrale pendant la manoeuvre.

- Cet ensemble de poutreS constitue avec ses deux rails un chemin de roulement pour le chariot (4) équipé de boggies,ce chariot est muni de treuils qui lèvent les channes (9). - Un palonnier (5) est suspendu à ces chaSnessil comporte,à ses extrémités des plots d'accrochage dans les coins standards des conte neufs.

Les poutres,figures 2 et 3,comportent un rail supérieur (I0)
et une zone de roulement (I3)inclinée de telle manière que les galets (I2) ont leur axe qui passe le plus près possible du milieu de la partie du haut du rail (IO)oLes zones de roulement (10) et (I3) sont le plus espacées possible,le rail supérieur (I0) est le plus prés possible de la chargeaI' inclinaison de la zone (I3) empêche le chariot (4) de remonter suite au basculement autour du rail (I0) en charge,ce qui n'est pas le cas avec des galets d'axes perpendiculai res.Pur les poutres latéralessfigure 31elles se composent d"un caisson (14) avec un rail supérieur (I0) et la tole inférieure est re pliée de manière à constituer la zone de roulement (I)) à l'intérieur de laquelle roule le galet (I2),l'axe de ce galet passant toujours le plus près possible du milieu de la partie supérieure de ce rail (IO).J)e cette façon,le galet est soumis à un effort perpendiculaire à son axe,en augmentant un peu l'inclinaison de cet axe ,on compense le relèvement à forte charge de la zone de roulement ,des entretoises (17) empêchent le pli de s'ouvrir,l'espacement des galets (12) répartit l'effort sur une plus grande longueur de poutre.

Cette structure avec caisson fermé donne à la fois une bonne résistance à la flexion et à la torsion. Il est possible de réaliser un montage symétrique avec le rail (I0) à la partie inférieure,du coté opposé à la charge et une zone de roulement inclinée (I3),côté charge à la partie supérieure;l1axe du galet passant toujours le plus près possible du milieu de la partie supérieure du rail (IO).La figure I8 de la planche 6 représente ce montage qui est surtout utilisable pour les modèles simplifiés avec une faible charge et à hauteur de levage réduite.

Les poutres latérales,figures 3 et 4,sont articulées en (6) et (6') de même axe.le palier côté charge est décalé le plus pos- sible du coté de la charge comme le montre la figure 3 en (6),ce décalage à pour but de reporter l'effort le plus près possible de la zone normale d'appui des conteneurs sur le véhicule,par exemple vers les verrous de fixation des remorques porte-conteneurs,et d'écarter les points d'appui (6) et (6')ce qui donne un meilleur couple de torsionOSur les remorques routières de 40' peu rigides,il est nécéssaire de renforcer les longerons avants aUne plaque transversale (I5) assure une meilleure transmission de l'effort de torsion de la poutre latérale (2) à la poutre centrale (I) et au chassis du véhicule.En principe tout l'effort de torsion est retransmis par ces paliers (6) et (6'), l'autre extrémité de la poutre latérale (2),grâce au jeu en rotation de la rallonge (8) ne transmet au pied (3) que des efforts verticaux
La poutre centrale,vue en coupe figure 2 est caractérisée par le fait que le rail supérieur (I0) est supporté par une plaque (I6) inclinée reliée à sa partie supérieure au rail(IO) et à sa partie inférieure à la plaque de base de la poutre centrale de telle manière qu'elle soit le plus près possible de la charge,ce montage incliné permet de transmettre 11 effort le plus près possible de la zone normale d'appui du conteneur sur le véhicule,pour ne pas sur charger les longerons (7),et en même temps guider la charge quand elle descend vers les verrous de blocage de cette charge sur le véhicule pendant le transport.

La limitation courante de la hauteur des véhicules routiers à 4 mètres et sen plus la possibilité de décharger sur un wagon sans s'appuyer dessai(portée supérieure à 3 mètres ) et de lever les charges à plus de 2,5 mètres de hauteur pour le gerbage conduit à adopter des poutres latérales avec rallonge.

Les engins décrits par les documents KASSB0ERER (DE 1963912),SIECK (DE I7550)7)ntont pas la possibilité d'enjamber les wagons;les engins DOUGLAS (GB 859759),MARIAGE (CH 29I706)sSUNGER (DE I53I990) prennent appui sur le wagon même,enfin le modèle décrit par BLBTCHI tORD ( FR 7608469) prévoit un pied de forme orthogonale qui enjambe le wagon mais il ne peut se monter que sur le côté droit ou gauche du véhicule et pas les deux à la fois comme pour cet engin. Le document CUISINIER (FR 2463701) montre un engin haut de 4,40 mètres qui ne peut pas décharger sur un wagon en l'enjambant,mais peut le faire en prenant appui dessus.

Il était donc nécessaire de prévoir une rallonge et un montage tel que le pied,en position verticale dépasse le moins possible en hauteur,la rallonge étant un point faible,il est préférable de ne pas l'utiliser pour compenser la torsion importante due au levage de la charge en porte-à-faux.

A l'extrémité de la poutre latérale (2) coulissez l'intérieur du caisson (14),une rallonge (o) constituée par 4 plaques de toles soudées entre elles,cette rallonge est commandée par un vérin électrique ou hydraulique,elle est completement rentrée pour les manoeu- vres vers le sol,un quai ou le gerbage sur un autre conteneur,elle est complètement sortie pour la manoeuvre sur wagon. Le chariot ne roule que sur la poutre latérale ou centrale position de circulation routière la rallonge est complètement rentrée.

A l'extrémité de cette rallonge sont montées,des deux cotés et verticalement, des plaques en forme de triangle (di) avec une extrémité verticale quand la poutre latérale (2) est horizontaleO(Figure 9).

Ces plates peuvent être des plaques rapportées et soudées sur celles de la rallonge.

L'extrémité de ces plaques triangulaires est percée d'un trou oblong par ou passent les axes (o0) de rotation des bâtis fixes de pied (o 2) ,ce qui permet à ce bâti de tourner et de se déplacer la téralement sur quelques centimètres,ce qui permettra un mouvement de translation pour le verrouillage du pied en position perpendiculaire à la rallonge et la rotation du pied pour qu'il reste toujours sensiblement vertical quand il n'est plus bloqué.

Le pied (3) comporte une partie- extérieioemunie à à la partie inférieure d'une semelle d'appui au sol et à la partie supérieure d'une plaque horizontale (87) qui porte une vis de mtme longueur que le pied,cette vis suspendue à la plaque est bloquée en rotation; la liaison entre la semelle et la plaque supérieure (ó7) est faite par une tôle (86) en forme de Uo Un bâti fixe (82) coulisse à l'intérieur de la tôle en U (B6),il est traverse par la vis,un écrou (85)surmonté d'une butée est placé sous la plaque supérieure du bâti (82).

En vissant ou dévissant cet écrou on déplace relativement le bâti par rapport à la partie extérieure du pied
Cet écrou (85) est entrainé par un moto-réducteur placé dans le btti.

Les axes de rotation jbO) et plaques de guidage (83) sont solidai- res du bâti fixe (82).

Comme le montre la figure 9,l'axe de pied (80) est placé de telle manière,par rapport au centre de gravité du pied (3) et aux trous oblongs des plaques triangulaires (81), que le pied se trouve déja perpendiculaire à la rallonge quand la poutre latérale (2) se trouve à une dizaine de degrés de la position horizontale,ceci permet quand elle est horizontale d'avoir un pied appuyé contre des butées perpendiculairement à la rallonge ,avec une certaine pression
Quand le pied appuie sur un obstacle,la pince extérieure du pied (o6) descendant,jusqu-1au contact avec cet obstacle,le bâti fixe (82) remonte par rapport à la rallonge et les pièces triangulaires (81) pénètrent entre les butées (83) qui les guident,ceci bloque le pied en position perpendiculaire à la rallonge.

Ces mêmes pièces triangulaires (81) en rentrant entre les butées (83)poussent une tige qui déplace le pignon (84) du moto-réducteur et l'enclenche pour la petite vitesse,cette opération commande aussi par un contact électrique,le passage en régulation automatique d'assiette qui commande la manoeuvre du pied pour que l'ensemble poutre latérale - poutre centrale reste a' peu près horizontal.

InversemenW,quand on relève la poutre latérale ou que l'on remonte la partie exterieure du pied (86),les triangles (bi) sortent des butées (83) le pied n'est plus verrouillé,il peut tourner,cette manoeuvre commande aussi le passage en grande vitesse du réducteur.

Quand la poutre latérale (2) est relevée à la verticale,le pied en pivotant autour des axes (0) reste sensiblement vertical.

Quand le chariot roule en charge sur les poutres,la réaction exercée sur le véhicule varie,pour éviter une inclinaison trop forte et une vitesse excessive du chariot il est souhaitable de rétablir dans la mesure du possible une position horizontale du chemin de roulement;ceci est commandé par un régulateur d'inclinaison dit"régula teur d'assiette 4 (Figure I2 ).

Il est constitué par un tube cylindrique (50) fixé à la poutre latérale ,avec possibilités de réglage de son inclinaison par rapport à la poutre l'intérieur de ce tube c.oulissent deux tubes cylindriques identiques (55) que l'on bloque après réglage par rapport au tube (50) e Une bille (57) roule très librement à l'intérieur de ces tubes et selon l'inclinaison appuie éventuellement sur un des microrupteurs (3) et commande la manoeuvre de pied.

Les tubes ont une épaisseur suffisante pour empêcher la bille ,si elle est sur le tube (50) de monter sur le tube (53) pour une inclinaison trop faible qui ne permettrait pas d'actionner correctement le micro-rupteur. Le réglage de sensibilité au départ de la bille est effectué en écartant plus ou moins les tubes (53)oui dispositif analogue peut être monté sur le palonnier,dans le sens de l'axe du véhicule, pour que sa face supérieure reste à peu près horizontale il commande les moteurs de levage en faisant démarrer en premier ceux qui correspondent aux points les plus baso
Quand la poutre latérale est relevée et le pied baissé en position de route,un dispositif ,figure II,ramène le pied verticalement et le verrouille,pour éviter qu'il ne s'écarte dans les virages par la force centrifuge. Il est constitué d'une tige (60) poussée, à son coté inférieur 1par le fond de la poutre centrale,mais libre quand la poutre latérale n'est plus verticale,cette tige,à sa partie supérieure est décalée et inclinée et pénètre dans un trou de la semelle(6I)O A l'inverse,quand on abaisse la poutre latérale,cette tige rappelée par un ressort, libère la semelle et permet au pied de prendre une position verticaleO
Quand le chariot se déplace en charge de la poutre centrale vers une poutre latérale ,ce chemin de roulement est analogue à un pont entre le pied et le milieu du chassis,il est donc indispensable de verrouiller les poutres entre elles,ceci est assuré par les axes (6) et par le verrou ( 24 sur les figures 5 et 6 )
La commande de relevage des poutres latérales,figure * est effectuée par un moteur (26) avec réducteur qui fait déplacer la vis (25) bloquée en rotation;;à l'extrémite de cette vis (25),et solidaire avec elle est fixée une pièce (21) percée d'un trou oblong par ou passe l'axe (a2 sur la figure 5 ) fixé à la poutre latérale,on voit sur la figure s qu'en tirant la vis on fait relever la poutre latérale qui pivote autour de ses axes (6).Quand la poutre latérale est baissée en butée dans sa position alignée avec la poutre centrale,la vis continuant à avancer grâce au trou oblong pousse par sa came (23) le verrou (24) qui traverse le flanc vertical de la poutre latérale et 11 extrémité d'une pièce solidaire de la poutre centrale donc du chassis du véhicule,l'ensemble de poutres est ainsi verrouilléha figure 6 ,vue de dessus de la figure 5 montre la came (23) en position dtavance maximum de la vis (25)Pour le relevage de la poutre latérale,la vis en reculant libère par le recul de la came le verrou rappelé par un ressort représenté sur la figure 6 ,la poutre est deverrouillée et la vis continuant a reculer ,la pièce (21) atteint le fond du trou oblong ce qui fait relever la poutre.

Un système analogue peut 8tre réalisé avec un vérin hydraulique ,la tige du piston remplaçant la viso
Cet équipement doit pouvoir 8tre monté sur tout type de remorque ou véhicule plat,sans que des pièces ,en cours de manoeuvre ne descendent plus bas que le fond de la poutre centrale.D'autre part sur les engins dont les charges peuvent avoir des longueurs différentes,les poutres centrales sont montées sur des glissières se déplaçant le long des longerons,il ne peut donc y avoir de pièces descendant plus bas que le dessus des longeronsOPour ces raisons et compte tenu de la position assez basse des axes de poutre (6), il est prévu un rail de liaison articulé au bout des poutres centrales comme le montre la figure 7 et la vue de dessus 8e wu bout du rail (I0) de la poutre latérale (3) est monté sur un axe horizontal (42) un rail de liaison de forme triangulaire (4I);il se déplace dans le plan vertical,passant par les rails (IO) des poutres latérales et centrales mais il ne peut que se lever au dessus de la position horizontale représentée sur la figure 7 ,il ne peut pas descendre plus bas,l1angle O( ne peut dépasser I80 O,Ceci permet de faire rouler les galets quand la poutre est horizontale
Le rail est guidé fermement de chaque caté ,surtout du côté de la charge o
Quand la poutre latérale est relevée le rail de laison pivote autour de son axe (42) et tourne en se relevant quand son extrémité.glisse.

sur le fond de la poutrecentrale (44) la figure 7 représente en pointillé différentes positions de ex rails Par mesure de sécurité en raison des fortes charges qui roulent sur ce rail de liaison,un verrou (43) est tiré par un cable accroché à la vis (25)il passe sous l'extrémité du rail de liaison,coté poutre centrale,un ressort le rappelle quand la vis a reculé d'extrémité du rail de liaison étant en biseau comme celle du rail (I0) de la poutre centrale verrouillage supplémentaire renforce la rigidité de l'ensemble poutre latérale et poutre centrales
Pour la manutention des charges sur des wagons placés sur une voie ferrée électrifiéesous tension,des fins de course empêchent de relever la poutre latérale au dessus d'un certain angle si la rallonge n'est pas rentrée ou de trop lever la charge.Ces sécurités peuvent être supprimées par une clé.

Le chariot de levage roule sur les chemins de roulement cons tituéspar les poutres centrales et latérales qui ne sont déployées que du côté de la charge. Il comporte,comme montré sur les figures I3 vue de face et 14 vue de côté,un chassis équipé de deux boggies (71; ,l1inclinaison des boggies permet de compenser la flexion du rail en charge ainsi que des différences d'inclinaison; des butées empêchent une rotation excessive et reportent ainsi sur les galets extrèmes des efforts excessifs dus au balancement de la chargeo
Un des boggies a deux galets moteurs,la transmission de la translation s'effectue par l'intermédiaire d'un pignon satellite monté sur l'axe du boggie,.ntre le moto-réducteur et les pignons placés sur l'axe des galets.

Chaque chariot comporte deux systèmes de levage couplés mécaniquement entre euxo Un brin fixe de chaîne type ancre marine est fixé dans le haut du chariot au maximum de porte-à-faux vers la charge et le caté extérieur1une poulie de renvoi placée dans le palonnier renvoya la chaine à la noix d'entratnement,en haut du chariot.

Un système de moteurs-freins et de réducteurs entraine ces noix.

Il est possible de lever la charge nettement au dessus d'un conteneur posé sur le sol. (Conteneurs hauts de ò' et subit
Ce système évite l'emploi de vérins qui,s'ils agissent directement travaillent en porte-à-faux et doivent etre télescopiques pour une course de plus de 2,5 mètres dans le cas du gerbage ou 1,7 mètre sans gerbage.L'emploi de vérins avec des chaînes qui amplifient le déplacement des vérins revient à utiliser des vérins de gros diamètre ou à les coupler
Sur un modèle perfectionné le contrôle de l'intensité absorbée après la période de démarrage commande le passage éventuel en grande vitesse des moteurs de levage o
Les palonniers comportent sur leur face verticalesctté charge deux têtons fixes qui pénètrent dans les trous des coins standard des conteneurs ou de certaines caisses mobiles, a l'extrémité de chaque côté du palonnier se trouve un volet (75) d'axe vertical,rabattable perpendiculairement comme représenté sur la figure 16 ,ce volet est muni d'un toton qui pénètre dans le trou de l'autre caté du coin.

Ceci a pour effet de lier fermement le palonnier et le conteneur et de déplacer vers le chariot le point d'application de la charge par effet de levier.

Dans un système à accrochage automatique , le palonnier est attiré vers le conteneur par des électro-aimants dés que des palpeurs ontdétecté qu'il était au niveau convenablesla commande des volets latéraux (75) s'effectue par des vérins.

En commande manuelle du verrouillage un dispositif verrouille les volets latéraux dés que le palonnier,donc eventuellement la charge sont soulevés; les figures I6 et I7 montrent le mécanisme (78) de verrouillageOLa tige inférieure ue ce mécanisme,quand elle n1 est pas poussée par le sol reste dans sa position basse et la barre qui lui est soudée perpendiculairement rentre dans une encoche de la -plaque (77) solidaire du volet; qui est bloquécinversement si le palonnier repose sur le sol,la tige est levée et le verrou dégagé.

En commande automatique,l'axe des poulies de renvoi des channes passe dans des trous oblongs des deux cotés verticaux du palonnier, en tendant les chatnes,il remonte et par un contact (79) commande les vérins qui poussent les verrous des volets (75)-
Pour compenser le levage en porte-à-faux,on peut placer des galets sous le rail de roulement (ÀINTE-IAR1E FR 71 20374) ou prévoir des galets roulant entre les ailes supérieures et inférieures d'une même traverse comme dans le document BLATCEF0RD (FR 76 08469 ...)
Ces systèmes n'écartent pas assez les deux galets agissant en sens inverse pour compenser le couple de torsion,ils sont donc soumis à des efforts considérables surtout si l'on est obligé d'espacer les dispositifs de levage pour charger sur des terrains en pente ou si l'engin est susceptible d'être chargé par des grues ou portiques pour lesquels la charge se balance et peut heurter les chariots c Enfin pour cette dernière raison il est utile de prévoir un système de basculement du chariot avec retour automatique en cas de choc dans le sens charge vers l'extérieurODans le document CUISINIER (FR 80 I9 oo4) les galets de compensation sont montés rigidement par rapport au chariot sce qui fait que la zone ou ce chariot peut basculer en arrière,sous l'effet d'un choc,est limitée aux zones ou le contre rail,opposé à la zone de roulement par rapport as ce galet,doit être mobile avec des ressorts.Dans ce document il est décrit un dispositif de compensation qui peut accepter des chocs sur toute la zone de roulement,l'inclinaison du chariot peut atteindre 130.

Chaque chariot comporte un ou deux dispositifs de compensation.

On voit sur la figure I5 un bâti fixe (90) soudé au chariot et constitué par des barres ou cornières montés en V,un bras mobile (72) articulé vers son milieu en (93) sur le bâti fixe grâce à un axeo
Ce bras mobile (72) est équipé à sa partie inférieure de galets de compensation (I2) qui rouleront sur la zone (I3 de la figure 3 O
A sa partie supérieuresle bras est percé pour le passage du boulon (91) de réglagetce boulon est retenu de l'autre côté par une équerre (92) soudée au chariot;;ce boulon empêche le bras de dépasser la distance réglée entre l'équerre et le brasil commande ainsi l'inclinaison du chariot quand il est en charge,il sera réglé avec une légère pente du coté opposé à la charge pour compenser la flexion en charge des poutres et du chariot,d'un côté au moins le passage de la vis a un jeu suffisant pour qu'elle puisse se déplacer librementssans cependant laisser passer la tete de vis ou I! écrou.

Un ressort est placé autour du boulon,entre le bras (72) et l'équerre (92).

Quand le chariot est soumis à un effort vers le côté opposé à la charge et dans sa partie supérieure,il pivote autour du rail (in), le ressort placé autour du boulon (91) est comprimé et le galet (I2) descend en glissant le long de la zone (13);quand ce galet ne peut plus descendre,le chariot se soulève en pivatant autour du galet (I2) et le ressort continue à se comprimer. Inversement,quand l'effort latéral a dîsparu,le chariot sous l'effet de son poids redescend, le ressort en se détendant le ramène en position normale.

Il est prévu des opérations complémentaires comme une ouverture partielle des bras pendant les chargements avec balancement de la charge,par exemple dans le chargement par portique portuaire par grand vent;il faut noter à ce sujet que cet engin est très peu sensible au vent latérale
Le temps global d'opération est voisin de celui des chariots élévateurs de ports,par rapport aux parcs de stockage desservis par des chariots frontaux sur deux hauteurs,le gain de surface avec ces engins est de l'ordre de I/3,la rapidité de déplacement,comme un camion normal et la possibilité de circuler normalement sur route permettent un stockage à plus grande distance,le poids d'environ 2 500 kg en plus de celui du véhicule permet d'utiliser une infrastructure plus légère qu'avec circulation de chariots ou grues d'un poids nettement plus élevée
Dans les ports qui manquent d'espace de stockage,le stockage mécanisé sur grande hauteur permet de placer un plus grand nombre de conteneurs (gerbables sur 2 à 3 hauteurs dans un stockage normal) ou de caisses mobiles (non gerbables) pour une même surface.Il s'y ajoute un gain de temps car il n'est pas nécéssaire de déplacer un conteneur pour prendre celui du dessous. Ce stockage mécanisé est réalisable à partir des mêmes éléments.

Les poutres centrales,latérales,le chariot et le palonnier sont identiques,il n'y a plus de rallonge ni de pied,la poutre latérale prenant appui sur la charpente la figure 19 montre un chariot entré avec sa charge dans un casier de stockage,la poutre centrale (I) est placée sur une plateforme élévatrice (I023 montée sur un portique (I05) pouvant se déplacer latéralement sur les rails tu04) et ainsi desservir les casiers placés à droite ou à gauche à un étage quelconqueo L'operation de rangement consiste à amener les poutres (I) centrales à la bonne hauteur,puis a baisser les poutres latérales (2) tà déplacer le chariot (4) avec son palonnier (5) lié à la charge,une fois la translation achevée,la charge est baissée sur les butées (I05) fixées à la charpente des casiers de stockage (I06) eLe chargement à partir d'un véhicule ou d'un transporteur se fait dans le bas de l'allée centrale,la plate forme (I02) ne descend pas au dessous du premier étage pour permettre le passage des véhicules,les palonniers descendent plus bas que dans un engin nor malle positionnement,la recherche et l'accrochage des charges sont automatiques,l'opérateur donnant simplement l'emplacement de stoc kageo Une telle installation sur 5 niveaux permet de doubler le nombre de charges stockées pour une même surface
Dans le cas d'un engin à commandes hydrauliques,les manoeuvres de levage des poutres latérales,de déplacement des rallonges,des pieds,d'espacement des poutres centrales pour adaptation à la longueur des charges sont commandées par des vérins simples.La translation du chariot est effectuée à l'aide d'un moteur hydraulique rotatif. Le levage de la charge s'effectue soit directement pour un engin non gerbeur,soit par l'intermédiaire de chaînes ou cables avec moteurs pour un engin gerbeur comme l'électro-mecanique décrit ci-dessuso
Pour le levage simple,figure 20,le cylindre du levage est suspendu en haut du chariot en (20L),l'extrémité de la tige de piston est articulée en (202) au palonnier.

Pour le levage avec gerbage,pour obtenir un déplacement de palonnier de l'ordre de 2,6 mètres sur un chariot dont la hauteur limite est -de l'ordre de 2 mètres(pour ne pas dépasser 4 mètres de hauteur d'engin )l'emploi d'un vérin imposerait un système à 3 brins très complexeflil est préférable d'utiliser un moteur hydraulique c
a transmission hydraulique permet d'obtenir un engin moins cher ;plus souple,plus rapide par son adaptation à la charge mais il sera moins fiable que l'électro-mécanique type machine-outil et le levage du pied sera limité à environ 0,80 mètre contre I,4 mètre c

Claims (10)

REVENDICAIONS. I Véhicule équipé de moyens de manutention latérale de conteneurs ou d1 autres charges constitué de deux ensembles identiques comportant une poutre centrale (I) et une ou deux poutres latérales (2) articulées sur des axes (6) à leurs extrémités,ces poutres latérales se relèvent à la verticale en position "route".Cet ensemble de poutres verrouillées entre elles et alignées constitue un chemin de roulement pour un chariot automoteur équipé de moyens de levage de la charge par l'intermédiaire d'un palonnier fixé à la partie inférieure de cette charge et est caractérise' en ce que les poutres latérales (2) sont munies à leur extrémité d'un rail de liaison aved la poutre centrale (I) en forme de triangle dont le grand c8té porte un rail de roulement principal qui assurera la liaison entre les rails (io) et dont le petit coté s'ap puie,quand la poutre latérale (2) est horizontale,sur le bord vertical de cette poutre.Ce rail de liaison (4I) pi vote autour de son axe (42) et peut seulement se relever au dessus de la position alignée avec le rail (10) de la poutre latérale (2) ce qui permet au rail de liaison, quand on relève la poutre latérale de glisser sur le fond de la poutre centrale en se relevant. Un système analogue d'axe aussi horizontal équipe l'autre zone de roulement inclinée (13) des galets de compensation. Des guidages verticaux, surtout côté de la ch rge,ne permettent à ce rail de liaison qulun déplacement vertical dans le plan des rails (10).
1. 2 - Véhicule selon la revendication -précedente caractérisé en ce que les poutres latérales (2) sont constituées d'un caisson (14),avec à sa partie supérieure co-té charge,un rail principal (10) et du coté opposé, à la partie inférieure,une zone de roulement inclinée (13) obtenue en pliant la tôle du bas du caisson prolongée et telle que l'axe du galet (12) de compensation de levage en porte-à-faux passe le plus près possible du milieu de la face supérieure du rail (10).
2. 3 - Véhicule selon l'une des revendications précédentes,mais de montage symétrique à la revendication 2 et réservé aux faibles charges caractérisé en ce que les poutres latérales (3) sont constituées d'un caisson (I4)

   avec,à sa partie inférieure,côté opposé à la charge,un rail principal (10) et coté charge,à la partie supérieure une zone de roulement inclinée (13) obtenue en pliant la tôle verticale du caisson (I4) prolongée et dont l'inclinaison est telle que l'axe du galet de compensation (12) passe le plus près possible du milieu de la face supé.

   rieure du rail (10).
3. 4 - Véhicule selon l'une des revendications pré cédantes caractérisé par le fait que la poutre latérale (2) est équipée d'une rallonge (8) coulissant à l'intérieur du caisson (14) et dont l'extrémité est munie de plaques de forme triangulaires terminées par une partie droite (8I),percées de trous oblongs dans lesquels passent les axes (80) liés au bEti (82) du pied fixe. La position de ce trou,par rapport à la rallonge et au cen tre de gravité du pied est telle,lorsque le pied est suspendu et libre et que l'on baisse la poutre latérale, qu'il se trouve en butée,perpendiculairememt à la rallonge un peu avant quelle ne soit horizontale.Quand la poutre latérale est relevée à la verticale,le pied pivotant autour de l'axe (80) se met,par son propre poids parallèle à la poutre (2)o
4. 5 - Véhicule selon l'une des revendications précédentes caractérisé par le fait que quand le pied touche le sol,il fait remonter la partie fixe du pied (82) et les extrémités droites des plaques triangulaires des rallonges sont guidées et pénètrent entre les deux plaques de guidage et de verrouillage (83),l'axe se déplacent dans le trou oblong (80),ceci assure le blocage du pied en position perpendiculaire.à la rallonge;;en même temps, pour les équipements électro-mécaniques,une extrémité des plaques (81) pousse une tige qui déplace un pignon du réducteur de vitesse de l1entra1Aneent du pied1il le fait passer en petite vitesse et commande un contact électri ce ui met en service le régulateur automatique d'assied te.Inversement,le relèvement du pied ou de la poutre latérale dégage la pièce triangulaire (81) des butées (83),libère le pied en rotation ,fait passer en gronde vitesse et passe la manoeuvre du pied en corzrrnde nor .ale,sans régulation.
5. 6 - Véhicule selon l'une des revendications précédentes pour lequel la manoeuvre de relevage des poutres latérales (2) est effectuée à l'aide d'un vérin hydraulique ou électrique et est c ractérisée en ce que ltextrémi- té du vérin ou de la tige filetée (.5) est fixée à une pièce (21) percée d'un trou oblong par ou passe l'axe (22 solidaire de la poutre latérale (2),quand la poutre latérale est en butée en position horizontale,la vis ou tige (25) continuant à avancer pousse par la came (23) fixée à la pièce (21) un verrou (24) perpendiculairement,il traverse le flan vertical de la poutre latérale (2) et en même temps une plaque liée à la poutre centrale (I), ce qui,avec l'axe de rotation (6 et 6') de la poutre latérale assure un blocage ferme des poutres alisnées;inver- sement,en tirant sur la tige ou la vis (25),on dégage d'abord le verrou (24) en reculant la came (23) la poutre latérale est libérée en rotation,en arrivant au bout du trou oblong, la tige (25) fait relever la poutre.

   7 Véhicule selon l'une des revendications précédentes dans lequel la poutre centrale (I) est caractérisée en ce que le rail principal (IO) est soutenu par une t81e inclinée (I6) telle que sa partie supérieure est soudée sur ce rail et que la partie inférieure qui s'appuie sur la plaque de base posée sur les longerons du véhicule est aussi proche que possible de la charge quand elle est posée sur le véhicule,cette plaque inclinée (I6) permet de reporter 11 effort le plus près possiblc des points d'appui normaux et assure de plus le guidage de la charge,à la descente,vers les verrous de fixation sur le véhicule.

   Pour les mêmes raisons,le palier (6) support de la poutre latérale (2) est décalé vers la charge,le plus possible, ceci augmente aussi la distance entre les paliers (6) et 6'),une plaque transversale (15) améliore la transmission de l'effort de torsion transmis intégralement à la poutre centrale par la poutre latérale.
6. 8 - Véhicule selon l'une des revendications précédentes dans lequel la position horizontale de 11 ensemble des poutres latérales et centrales,alignées et verrouillées entre elles est contrôlé par un correcteur d'assiette qui commande automatiquement le moteur de pied,ou son vérin hydraulique et en le faisant monter ou descendre permet d'obtenir une position sensiblement horizontale pour éviter au chariot d'être entraîné par la charge si le rail est en pente et caractérisé en ce que ce correcteur,fixé à la rallonge ou a' une poutre latérale ou centrale est constitué par un manchon cylindrique (50) dans lequel coulissent deux tubes cylindriques (53) que l'on peut écarter ou rapprocher et bloquer après réglage;;une bille (57) circule librement dans les tubes et selon l'in clinison peut actionner l'un des micro-rupteurs (55) placés aux extrémités des tubes (53).L'épaisseur des tubes (53) doit titre suffisante pour qu'unie bille étant posée sur le manchon (50) ne puisse monter sur ces tubes que pour une inclinaison suffisante telle que la bille,en prenant de la vitesse dans le tube (53) après entre montée sur le bord inférieur,ait une énergie suffisante pour actionner le micro-rupteur.

   La commande de sensibilité s' effectue en espaçant plus ou moins les deux tubes (53).
7. 9 - Véhicule selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce que le chariot (4) est équipé de dispositifs compensant le levage de la charge en port e-à- faux et constitués par un bEti fixe (90) solidaire dv. chariot et un bras mobile (72) pivotant autour d'un axe (93)

   fixé à 11 extrémité inférieure du bSti fixe;l'extrémité inférieure de COB bSCtS porte les galets (I2) d'axes incli- nés;ltextrémité supérieure est retenue par un boulon tenu de l'autre coté par une équerre fixée at chassis du cas riot de telle manière qu'en vissant ou dévissant ce boulon on incline plus ou moins la partie supérieure du chariot.

   Un ressort placé autour du boulon (91),entre ces deux points d'appui maintient écarté le bras (72) de l'équerre (92);la tige du boulon passe avec assez de jeu à l'un au moins des points d'appui ce qui permet d'avoir éventuellement une distance plus courte entre l'équerre et le bras mobile. Quand on pousse le haut du chariot vers le côté opposé à la cherge,ce qui peut arriver au cours d'un chargement par une grue directement sur l'engin,il pivote autour des rails (IO) ét le ressort ci-dessus est comprimé le galet.(12) descend,quand il est au fond du rail,c'est le chariot qui se soulève.
8. 10 - Véhicule selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce que le chariot de levage (4) est équipé de deux bogies à deux galets chacun,montés en porteà faux pour qu'ils soient le plus près possible de la charge et que la distance entre ces galets principaux (II) roulant sur les rails (I0) et les galets de compensation (12) soit la plus-grande possible.Une butée limite la rotation du boggie complet et permet de reporter sur le galet le plus en avant ou le plus en arrière une charge excessive due à un balancement de la charge.

   II - Véhicule selon lJune des revendications précédentes caractérisé en ce que le guidage puis le verrouillage des pieds en position verticale- de circulation est assuré par une tringle (60) dont l'extrémité supérieure,incli- née et décallée pénetre dans un trou de la semelle (6I) du pied,cette tringle coulisse-dans deux guides fixés à la poutre latérale,quand celle-ci est relevée,la tringle s'appuie sur une butée du fond de la poutre centrale et remonte en assurant le verrouillage du pied.

   I2 - Véhicule selon l'une des revendications précédentes comportant un palonnier caractérisé en ce qu'il se place contre le bas de la charge,des ergots fixes rentrent dans les trous des coins standards '11.S.O." et deux volets latéraux (75),à chaqque extrémité du palonnier,pivotant au tour d'un axe vertical,pénètre dans les autres trous des coins "I. S.0." quand ils sont rabattus perpendiculairement au palonnier.Le verrouillage en position fermée stef- fectue à l'aide d'une tige (78) entrant dans la fente des plaques (77) liées au volet (75),quand elle n1 est plus soulevée par son appui sur le sol ,en commande manuelle.
9. 13 - Véhicule selon l'une des revendications précédentes et pour un palonnier sans verrouillage manuel caractérisé en ce que ,pour un verrouillage automatique,5es axes des poulies de renvoi de channe ou les axes d'accro chage des chaînes simples se déplacent dans des trous oblongs ce qui leur permet quand les chastes sont tendues de remonter légèrement et d'actionner un contact (79) qui commande la fermeture des volets latéraux (75) par des vé- rins hydrauliques ou électriques.

   I4 - Véhicule selon l'une des revendications précédentes ,dans le cas d'un engin à commande hydraulique,sans gerbce,caractrisé par le fait que des vérins peuvent titre suspendus,librement en (20au sommet du chariot et que le palonnier est suspendu par l'intermédiaire de rotules aux extrémités des tiges de ces vérins (202).
10. 15 - équipement de stockage mécanisé selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce que le dme équipement,mais sans les rallonges et les pieds est monté sur une plate-forme (I02) mobile en hauteur dans une cage qui peut se déplacer horizontalement sur des rails (I04) et tel que 12 plate-forme se trouvant à bonne hauteur,on baisse les poutres latérales (2) qui s'appuient sur des butées (I05),ce qui permet de déposer un conteneur ou une caisse mobile sur les charpentes de stockage (106).