FR2528079A1 - Machine portative a coudre les sacs a pompe et lubrification automatique - Google Patents

Abstract

L'INVENTION CONCERNE UNE MACHINE PORTATIVE A COUDRE LES SACS. ELLE SE RAPPORTE A UNE MACHINE PORTATIVE AYANT UN SYSTEME DE LUBRIFICATION QUI COMPORTE UN RESERVOIR 40 ET UNE POMPE 121. L'HUILE EST CHASSEE DANS LES COUSSINETS 106 DANS LESQUELS TOURNE L'ARBRE PRINCIPAL 102 D'ENTRAINEMENT. L'HUILE EST A LA FOIS TRANSMISE PAR DES TUBES, CHASSEE PAR PROJECTION LORS DU DEPLACEMENT DES DIFFERENTS ELEMENTS, PROJETEE PAR UNE BUSE 630 SUR L'ENSEMBLE 146 DE DEPLACEMENT D'AIGUILLE, ET TRANSMISE PAR DES MECHES 180 AUX DIFFERENTS ELEMENTS. DE CETTE MANIERE, TOUS LES ELEMENTS MOBILES SONT BIEN LUBRIFIES. APPLICATION A LA COUTURE DES SACS DE CONDITIONNEMENT DES MATERIAUX EN VRAC.

Description

La présente invention concerne les machines por-

tatives à coudre les sacs et plus précisément un circuit de lubrification, commandé manuellement et destiné à une

telle machine portative à coudre les sacs.

On utilise des machines portatives à coudre les sacs dans des opérations d'emballage dans lesquelles les sacs pleins produits et qui doivent être fermés ne sont pas fabriqués d'une manière continue et lorsque des machines

fixes lourdes ne sont pas disponibles ou commodes en prati-

que Souvent, les sacs qui doivent être fermés contiennent

des matériaux granulaires, fibreux ou abrasifs et la ma-

chine portative doit pouvoir fonctionner efficacement pen-

dant de longues périodes en présence de beaucoup de pous-

sière et souvent dans des conditions très sévères de mani-

pulation Dans certaines applications, les machines porta-

tives sont utilisées pratiquement de façon continue dans des lignes de fabrication ou dans des installations de quai d'expédition, et il est pratiquement impossible de protéger toutes les pièces mobiles de la machine contre les matériaux abrasifs poussiéreux présents dans la zone

de travail.

Une lubrification régulière de la machine est primordiale afin que le fonctionnement puisse être continu,

sans interruption, dans ces conditions.

La demande de brevet français no 81 06 458 et le brevet belge N O 888 206 décrivent une machine portative à coudre les sacs à lubrification automatique, ayant un circuit très fiable de lubrification convenant

dans les conditions normales-d'utilisation de ces machines.

On a cependant constaté que, dans des conditions particu-

lièrement sévères, lorsque les machines sont utilisées dans des atmosphères abrasives et poussiéreuses de façon

inhabituelle, pendant de longues périodes, il est souhai-

table que les machines aient une possibilité plus importante de lubrification et que certaines parties des machines à coudre nécessitent une application plus fréquente d'huile

et de plus grandes quantités d'huile que io Ls d'un fonction-

nement normal Les régions dans lesquelles de l'huile doit être ajoutée sont notamment les coussinets supérieur et inférieur de l'arbre principal d'entraînement et l'ensemble

d' entraînement d'aiguille.

Comme la manoeuvre des machines portatives de ferniture de sacs est souvent confiée à des employés peu expérimentés et nouvellement embauchés, n'ayant qu'une faible appréciation de la nécessité d'une lubrification régulière des machines, il est souhaitable que le fonctionnement du circuit de lubrification soit simple et peu compliqué afin que son fonctionnement puisse être compris avec un temps minimal d'entraînement et d'instruction L'invention

concerne une machine présentant ces avantages.

Plus précisément, l'invention concerne une machine

portative à coudre les sacs ayant un circuit de lubrifica-

tion automatique qui met en oeuvre diverses techniques

de distribution d'huile comprenant le pompage direct, l'écou-

lement par gravité, la projection centrifuge d'huile, le dépôt d'huile d'un brouillard formé dans la machine, un effet capillaire et la conservation d'huile dans des tubes, dans des mèches et dans des garnitures poreuses afin que l'huile puisse ensuite être disposée sur les parties mobiles,

le moment venu L'incorporation de ces techniques de lubrifi-

cation assure une distribution fiable de l'huile sur toutes les parties mobiles de la machine et augmente la durée

utile de celle-ci, pratiquement dans les conditions d'embal-

lage les plus abrasives et les plus difficiles.

L'invention met en oeuvre une pompe commandée

manuellement et un réservoir d'huile adjacent dont le ni-

veau peut être facilement inspecté afin qu'il puisse être observé de temps en temps L'huile part du réservoir et rejoint la pompe afin qu'elle soit ensuite injectée dans un collecteur d'huile qui communique avec la chambre qui

contient le train d'entraînement, dans la machine.

La pompe chasse l'huile dans le collecteur et l'huile est ensuite dirigée vers les coussinets supérieur et inférieur de l'arbre principal d'entraînement et vers

l'ensemble d'entraînement de l'aiguille Les deux cous-

sinets ont des canaux internes de circulation d'huile qui

facilitent la répartition régulière de l'huile dans le cous-

sinet L'excès d'huile des coussinets s'égoutte progressi-

vement et pénètre dans la chambre adjacente du train d'en-

trainement dans laquelle elle subit une distribution sup-

plémentaire. La plus grande partie de l'huile introduite dans la chambre contenant le train d'entraînement, à partir du coussinet supérieur, parvient sur un collier excentrique rotatif et sur une came rotative de bouclage qui tourne à grande vitesse et projette les gouttelettes d'huile vers l'extérieur entre les parois internes de la chambre du

train d'entraînement afin que les gouttelettes se fragmen-

tent contre les parois en formant un brouillard d'huile dans toute la chambre L'huile projetée par le collier et la came arrose aussi les divers éléments mobiles placés dans la chambre et assure la lubrification directe de ces éléments. Un tube est placé entre le collecteur d'huile et le coussinet inférieur, et ce tube conserve de l'huile afin que celle-ci s'écoule progressivement par gravité dans le coussinet inférieur, l'huile étant ainsi transmise

directement et de façon continue au coussinet inférieur.

Un tube supplémentaire part du collecteur et rejoint l'ensemble d'entraînement d'aiguille et il aboutit à une buse destinée à projeter l'huile sur le levier de commande de l'aiguille afin qu'une quantité supplémentaire d'huile soit transmise dans une région de la chambre du train d'entraînement dont la lubrification est normalement difficile. Divers canaux de circulation d'huile, mèches, rigoles d'accumulation d'huile et analogues conservent et dirigent l'huile dans toute la chambre afin que tous les éléments mobiles et toutes les surfaces de portée soient lubrifiés. L'huile dispersée dans la chambre d'eutra I Thrlenrt atteint finalement le fond de celle-ci et s'écoule dans la chambre de la griffe d'avance, placée sous la chambre du train d'entraînement Cette huile se -répartit alors dans cette chambre de la griffe, à la fois par écoulement par gravité et grâce à l'action d'un brouillard d'huile formfé dans cette chambre du fait de la projection vers

l'extérieur des gouttes d'huile par un bloc à griffe d'avan-

ce qui se déplace rapidement.

En plus de son utilité particulière dans le do-

maine de la couture des sacs, la machine portative à coudre à lubrification automatique est utile dans de nombreuses autres applications dans lesquelles différents matériaux tels que des feutres ou des étoffes, doivent être raccordés,

et ces applications sont effectuées souvent dans des condi-

tions de travail dans lesquelles la lubrification régulière des machines à coudre est primordiale Ainsi, une telle

machine à coudre à lubrification automatique a des applica-

tions qui sortent de beaucoup du domaine de la fermeture

des sacs.

D'autres caractéristiques et avantages de l'inven-

tion ressortiront mieux de la description qui va suivre,

faite en référence aux dessins annexés sur lesquels la figure 1 est une perspective d'une machine portative à coudre les sacs à lubrification automatique, en coupe partielle, après enlèvement du couvercle avant montrant plus clairement l'intérieur de la chambre du train d'entraînement; la figure 2 est une perspective de la pompe et

du réservoir d'huile qui sont combinés, du collecteur d'hui-

le et des tuyauteries souples et de la buse qui transmettent l'huile à l'intérieur de la machine, le boîtier et certaines parties internes étant représentés en traits mixtes; la figure 3 est une coupe de la combinaison de la pompe et du réservoir d'huile de la machine, suivant le plan de coupe 3-3 de la figure 2; la figure 4 est une coupe du collecteur d'huile et du coussinet supérieur de l'arbre principal d'entraînement, par le plan 4-4 de la figure 2

la figure 5 est une coupe d'une partie du bol-

tier, représentant le coussinet inférieur de l'arbre prin-

cipal d'entraînement de la machine, par le plan 5-5 de la figurez,; la figure 6 est une perspective en coupe partielle du coussinet supérieur de l'arbre principal d'entraînement utilisé dans la machine; la figure 7 est une coupe d'une partie de la chambre du train d'entraînement et de la chambre de la griffe d'avance de la machine à coudre de la figure 1 là figure 8 est une coupe en plan du collier excentrique et de la bielle de liaison, par le plan de coupe 8-8 de la figure 7; la figure 9 est une élévation frontale d'une

partie de la chambre du train d'entraînement de la ma-

chine à coudre de la figure 1, avec des parties en coupe

et en traits mixtes montrant comment une partie de l'en-

semble d'entraînement d'aiguille est réalisée et lubrifiée, et montrant aussi une partie de l'ensemble à pied presseur et la structure qui le lubrifie; la figure 10 est une coupe par le plan 10-10 de la figure 9, représentant la structure de lubrification de l'ensemble à pied presseur; la figure 11 est une vue de dessous d'une came de bouclage, en coupe par le plan 11-11 de la figure 7; la figure 12 est une perspective de l'arrière

d'une partie inférieure de la chambre du train d'entraîne-

ment de la machine à coudre de la figure 1, le boîtier de la machine étant partiellement arraché; la figure 13 est une perspective du coussinet de l'arbre de bouclage dans lequel un canal interne de transmission d'huile est représenté en partie en traits interrompus; la figure 14 est une vue de dessous de la chambre de la griffe d'avance représentant l'interaction de la griffe d'avance, de dispositif à came de bouclage, et des ensembles d'entraînement d'aiguille et de découpe de fil la figure 15 est une perspective du coussinet

inférieur de l'arbre principal d'entraînement, représen-

tant le canal interne de circulation d'huile en traits interrompus; la figure 16 est une perspective du coussinet

de la griffe d'avance, le canal interne d'huile étant repré-

senté en traits interrompus;

la figure 17 est une perspective éclatée de l'ar-

rière de l'ensemble à gridde d'avance et de l'ensemble

de découpe de fil, le bottier de la machine étant partiel-

lement arraché ou représenté en traits mixtes;

la figure 18 est une élévation arrière des en-

sembles de coupe de fil et à griffe d'avance de la figure 17; la figure 19 est une vue de dessous de la chambre

de la griffe d'avance de la machine de la figure 1, repré-

sentant l'interaction de l'ensemble à griffe d'avance, de l'ensemble de bouclage, de l'ensemble d'entraînement d'aiguille et de l'ensemble de coupe de fil; la figure 20 est une élévation latérale, en coupe par le plan 20-20 de la figure 14, représentant le trajet du dispositif de bouclage et l'interaction de l'ensemble de bouclage et de l'aiguille; la figure 21 est une de dessous de la chambre de la griffe d'avance, représentant le fonctionnement de

la griffe d'avance, du dispositif de bouclage, et des en-

sembles d'entraînement d'aiguille et de découpe de fil;

la figure 22 est une coupe d'une partie du boî-

tier et du coussinet supérieur de l'arbre principal d'en-

tra Inement, par le plan de coupe 22-22 de la figure 4;

la figure 23 est une élévation latérale du dis-

positif de bouclage, représentant son interaction avec l'aiguille et le fil, en coupe par le plan 23-23 de la figure 21; et

la figure 24 est une coupe de la pompe et du ré-

servoir en combinaison, par le plan 24-24 de la figure 3,

représentant le montage du réservoir sur la poignée.

On se réfère d'abord à la figure 1 qui repré-

sente une machine portative 10 à coudre les sacs à lubri-

fication automatique qui comprend un bottier protecteur rigide 12 ayant une chambre 14 de forme générale en U, ayant un train interne d'entraînement, et une chambre 260 d'une griffe d'avance Le boîtier 12 a aussi des plaques convenables 292, 342 et 338 formant couvercle Le bottier

12 comporte aussi une poignée 16 placée à la partie supé-

rieure de la machine 10 et un organe protecteur rigide 18 fixé à la poignée 16 par un boulon 20 et un écrou 22

et destiné à protéger un opérateur contre un contact ac-

cidentel avec le pignon 126 décrit dans la suite du pré-

sent mémoire.

On se réfère maintenant aux figures 1 et 7 qui indiquent qu'un cordon d'alimentation électrique 24 pénètre dans la poignée 16 et est connecté électriquement à un commutateur 26 à bouton-poussoir qui, lorsqu'il est enfoncé par un opérateur, peut être utilisé pour la fermeture d'un circuit permettant au courant électrique d'aller d'une

alimentation 23 au cordon 24 par l'intermédiaire du commu-

tateur 26, puis par un cordon 28 au moteur 30 qui est monté à demeure sur le bottier 12 par un support 32 Le moteur et le bottier 12 sont de préférence mis à la masse dle manière connue, à l'aide d'une prise 34 à trois broches ayant une connexion 36 de masse Dans une variante, un carter à double isolement peut être utilisé comme le savent

les hommes du métier.

La poignée 16 a de préférence une fente 38 formée en retrait comme indiqué clairement sur la figure 24 afin

que le boîtier 39 de la pompe et du réservoir d'huile com-

binés puisse être logé et transporté commodément Bien que le bottier 39 puisse être fixé au boîtier 12 ou porté par celui-ci de toute manière connue, le boîtier 39 est représenté (sur les figures 2 et 24) comme monté de façon amovible sur la poignée 16 par une vis 42 de montage qui passe dans une ouverture 43 formée dans la fente 38, etest

vissée dans un logement 44 formé dans la paroi 46 du boî-

tier 39.

Le bottier combiné 39 du réservoir et de la pompe est formé d'une matière qui résiste aux huiles, une matière plastique ou analogue, transparente ou translucide, étant avantageuse Le boîtier 39 est moulé en une seule pièce avec une chambre 47 formant réservoir d'huile et une cham- bre '48 de pompage, ces chambres communiquant par une entrée

49 de pompe, de section circulaire, ayant un segment concen-

trique agrandi 50 qui est élargi et dans lequel un clapet 51 de retenue d'entrée d'huile est emmanché à force ou retenu d'une autre manière, par tout dispositif connu dans

la technique.

Le clapet 51 de retenue de la pompe comprenant un manchon 52 de laiton ayant un siège annulaire 53 à une

première extrémité Un ressort 55 est placé entre l'épau-

lement 56 du segment 50 et la bille 57 du clapet et exerce une faible force de retenue contre cette bille 57 afin que le clapet 51 reste en position normalement fermée par contact de la bille avec le siège 53 comme indiqué sur

la figure 3.

La chambre 47 formant réservoir d'huile a une extrémité ouverte destinée à être fermée ultérieurement par une paroi latérale 58 facilement l'introduction du clapet 51 Après installation de ce clapet 51, la paroi latérale 58 est scellée sur le boîtier 39 par collage ou

de toute autre manière connue La paroi 58 est de préfé-

rence formée d'une matière translucide ou transparente

permettant à l'opérateur d'inspecter visuellement le ni-

veau d'huile 60 dans la chambre 47 Un capuchon amovible

61 est destiné à fermer l'ouverture 62 de remplissage d'hui-

le qui permet une addition facile de l'huile le cas échéant.

La paroi arrière 46 de la chambre 47 est prolongée vers

l'arrière par rapport au reste du boîtier 39 et a un pro-

fil lui permettant de se loger étroitement dans la fente

38 de la poignée 16 Une vis 42 de montage passe par l'ouver-

ture 43 formée dans la fente 38 et est vissée dans un loge-

ment 44 formé dans la paroi 46 du réservoir 40, si bien que le réservoir est retenu étroitement et est protégé

dans la fente 38 de la poignée.

On se réfère maintenant à la figure 3 qui indique

que la chambre 48 de pompage a une partie supérieure circu-

laire ouverte 64 qui, après le montage de la pompe, est fermée par un couvercle circulaire 65 collé en permanence surfila paroi latérale 66 de la chambre 48 et formant un joint permanent Le couvercle 65 a une ouverture circulaire central 67 permettant le coulissement d'un bouton 68 d'un plongeur Celui-ci peut coulisser dans l'ouverture 67,

vers le bas et vers le haut comme indiqué par les réfé-

rences 69 et 69 a Un épaulement annulaire 70 placé près de la base du bouton 68 est au contact du fond du couvercle et constitue une butée empêchant un déplacement excessif

du bouton 68 dans le sens 69 a.

Le bouton 68 a un trou vertical central 71 des-

tiné à retenir une tige 73 orientée verticalement et dont l'extrémité inférieure est vissée afin qu'elle retienne

de façon réglable une coupelle 74 de retenue du ressort.

Des garnitures supérieure et inférieure 75 et 76 d'étanchéité formées de néoprène sont disposées entre

le fond 72 du bouton 68 et la partie supérieure de la cou-

pelle 74 et sont séparées par une rondelle 77 de "Nylon", ces joints étant en contact intime étanche avec la paroi latérale cylindrique 66 de la chambre 48 de pompage afin que l'huile ne puisse pas s'échapper de la chambre vers

le haut.

Un ressort hélicoïdal 78 a une extrémité supé-

rieure retenue dans la coupelle 74 et une extrémité infé-

rieure supportée autour d'un embout 79, le ressort 78 étant comprimé afin qu'il repousse la coupelle 74, la tige 73 et le bouton 68 vers le haut, vers leur position de repos dans laquelle l'épaulement 70 est au contact du fond du

couvercle 65.

Le bouton 68, la tige 73, les garnitures 75 et 76, la rondelle 77 et la coupelle 74 forment collectivement un plongeur coulissant 63 qui peut se déplacer vers le

haut ou vers le bas dans la pompe 43 et qui pcut e _i-

lisé pour le pompage de l'huile de la chambre 48.

L'embout vertical 79 a un passage central 80 qui aboutit à un siège 81 Une bille 82 est retenue en

position fermée représentée sur la figure 3 par un res-

sort hélicoïdal comprimé 83 placé entre la bille 82 et le fond 84 a de la chambre 84 de sortie.

La chambre 84 de sortie communique avec un rac-

cord mâle 86 de tuyauterie souple dirigée vers le bas et qui forme la sortie de la pompe et sur lequel un tube ou

une tuyauterie souple 88 de connexion est emmanché à force.

Comme indiqué clairement sur les figures 2 et 4, la tuyau-

terie souple est disposée jusqu'à l'embout 90 du collecteur

d'huile 89.

Ainsi, la chambre 48 de pompage, le plongeur 63, le ressort 78, les clapets d'entrée et de sortie, et la sortie 86 forment collectivement une pompe 121 qui peut être commandée sélectivement et qui peut être utilisée selon l'invention à intervalles réguliers par un opérateur

en cours d'utilisation.

Comme l'indiquent les figures 2, 4 et 22, un collecteur 89 d'huile comprend un collecteur supérieur 600 et un collecteur inférieur 602, le collecteur supérieur 600 étant placé à l'extérieur du bottier 12 et à la partie supérieure de celui-ci, le collecteur inférieur 602 étant placé sous le collecteur supérieur 600 et dans la chambre

du train d'entraînement.

Le collecteur supérieur 600 peut être formé de tout matériau capable de supporter et contenir de l'huile

et il a une lumière 604 d'entrée de collecteur dans la-

quelle peut se loger de façon étanche le raccord 90 Une première lumière de sortie de collecteur est délimitée par un raccord 610 de laiton qui est emmanché à force dans

l'ouverture 606 et qui communique avec une chambre cylin-

drique sensiblement verticale 608 dans laquelle l'huile est distribuée par la lumière 604 d'entrée Le raccord 610 de laiton est disposé latéralement jusqu'à un trou 96 de passage d'huile d'un bossage 92, comme décrit plus en détail dans la suite du présent mémoire Une fente annulaire 612 entoure la lumière 606 de sortie et loge un joint torique

614 d'étanchéité qui, lorsqu'il est comprimé entre le col-

lecteur 600 et le bossage 92, forme un joint étanche entre eux. % Un trou 616 de distribution d'huile est formé

à travers la partie supérieure du boîtier 12 près du bos-

sage 92 et communique directement avec la chambre cylin-

drique 608 en direction axiale comme représenté clairement sur la figure 4 Une fente annulaire 618 est formée à la

partie inférieure du collecteur supérieur 600 concentri-

quement à la chambre 608 et loge un joint torique 620 qui, lorsqu'il est comprimé entre le boîtier 12 et le collecteur

supérieur 600, f Qrme un joint étanche résistant à l'huile.

Le collecteur inférieur 602 a une chambre cylin-

drique verticale centrale 622 qui communique avec le trou 616 et la chambre supérieure 608 Un trou taraudé 624 coaxial aux chambres supérieure et inférieure 608 et 622 retient l'extrémité inférieure d'une vis 626 passant par un trou formé à-la partie supérieure du collecteur supérieur et par le trou 616 avant vissage dans le trou 624 Les chambres 608 et 622 ont un diamètre supérieur à celui de la vis 626 afin qu'il reste suffisamment d'espace pour que l'huile puisse s'écouler du collecteur supérieur 600 au collecteur inférieur 602 Lorsque la vis 626 est vissée dans le trou taraudé 624, les joints toriques 620 et 614

sont comprimés contre le boîtier 12 et le bossage 92 respec-

tivement et assurent l'étanchéité La disposition du collec-

teur supérieur 600 dans la fente 628 formée dans le bottier

12 et mieux représentée sur la figure 22, assure une protec-

tion et une stabilité supplémentaires au collecteur supé-

rieur et assure aussi une meilleure étanchéité entre les

joints toriques et le boîtier.

On se réfère maintenant à la figure 22 qui indi-

que que la chambre 622 communique aussi directement avec une seconde lumière 631 de sortie du collecteur qui est reliée à une tuyauterie 632 de distribution C'huiie r-ttab

du coussinet inférieur 106 de l'arbre principal d'entraî-

nement Une troisième lumière de sortie du collecteur relie la chambre 622 à une buse 630 qui dépasse vers l'extérieur, latéralement et au-dessus de l'ensemble d'entraînement d'aiguille afin que de l'huile parvienne directement sur celui-ci. La tuyauterie 632 descend du collecteur inférieur 602 dans la chambre 16 du train d'entraînement, jusqu'à

un rebord 262 comme indiqué clairement sur la figure 7.

Une ouverture est formée dans le rebord 262 afin que la

tuyauterie souple 632 puisse y passer et puisse être rac-

cordée à l'embout 634 qui est retenu par vissage dans un trou taraudé 636 rejoignant l'ouverture 100 du coussinet inférieur 106 de l'arbre principal d'entraînement Ainsi, la tuyauterie souple 632 distribue directement l'huile au coussinet inférieur de l'arbre principal d'entraînement

afin que le coussinet soit lubrifié, et en outre, il con-

serve de l'huile quiipeut s'égoutter vers le bas dans le coussinet La structure interne du coussinet inférieur

est décrite plus en détail dans la suite du présent mémoire.

Les collecteurs supérieur et inférieur d'huile, la buse 630 qui leur est fixée, les tuyauteries souples 88 et 632 et les embouts 610 et 634 forment collectivement un dispositif de distribution d'huile destiné à transmettre l'huile du collecteur 89 aux coussinets 104 et 106 et à l'ensemble d'entraînement d'aiguille Bien que ces éléments

identifiés spécifiquement soient représentés à titre pure-

ment illustratif, il faut noter que d'autres types de dis-

positif de transmission, ayant la même fonction, peuvent

les remplacer dans le cadre de l'invention.

Un embout 86 dépasse à l'extérieur du boîtier

72 de la pompe et communique avec la chambre 84 de sortie.

Un tube ou une tuyauterie souple 88 est emmanché à force sur l'embout 86 et transmet le courant d'huile du clapet 68 à un second embout 90 (figure 5) qui est vissé dans

le bossage 92 du boîtier 12.

Comme l'indique la figure 4, le bossage 92 est

moulé en une seule pièce avec le boîtier 12 et a une con-

figuration générale cylindrique, une ouverture 94 d'ap-

pui étant percée axialement sur sa longueur Le tube 610

de laiton qui forme une première lumière de sortie du col-

lecteur se loge dans un trou 96 de distribution d'huile quicommunique avec l'ouverture 94 et permet à l'huile

de s'écouler du collecteur 89 à l'ouverture 94 Cette der-

nière a un axe central longitudinal 98 et une seconde ou-

verture 100 (figure 1) de portée est placée coaxialement à l'ouverture 94 afin que les ouvertures 94 et 100 puissent se loger coaxialement le premier et le second coussinet 104 et 106 de l'arbre principal d'entraînement qui sont alignés et qui permettent ainsi la rotation de l'arbre

principal 102 d'entraînement qui est vertical.

Les coussinets supérieur et inférieur 104 et

106 sont retenus dans les ouvertures 94 et 100 respecti-

vement par une ou plusieurs vis 108 d'arrêt passant dans des ouvertures taraudées 110 comme représenté clairement sur les figures 1, 4 et 5 En outre, les coussinets 104

et 106 sont disposés de manière qu'ils aient un axe longi-

tudinal central commun 98 et qu'ils logent l'arbre principal d'entraînement 102 en permettant sa rotation, cet arbre étant retenu en position verticale comme représenté sur

la figure 1.

On se réfère maintenant aux figures 4 et 6 qui

indiquent que le coussinet supérieur 104 a une configura-

tion cylindrique, formant une ouverture longitudinale cen-

trale 112 dans laquelle se loge l'arbre principal 102 d'en-

traînement Ce coussinet 104 a une lumière 114 de circula-

tion d'huile disposée radialement vers l'extérieur depuis la périphérie interne 113 jusqu'à la périphérie externe 115, et le coussinet 104 est orienté de manière que la lumière 114 communique avec le trou 96 de distribution d'huile et le tube 610 du collecteur 89 De préférence, la lumière 114 a une partie élargie externe 118 (figure 4) simplifiant

l'alignement de la lumière 114 sur l'orifice 116.

On se réfère maintenant à la figure 6 qui inli ue que le coussinet 114 en une seule pièce a des extrémités supérieure et inférieure 123 et 124 respectivement et a un canal continu 120 de circulation d'huile, de forme ovale,

à sa périphérie interne 113.

Le canal ovale 120 est formé à la périphérie interne 113 du coussinet 104 de manière que l'huile se

déplace latéralement par rapport à la lumière 114 et com-

munique avec cette lumière L'huile transmise au canal

s'égoutte le long de la périphérie interne 113 du cous-

sinet et s'écoule lentement par l'extrémité inférieure

124 du coussinet Le fonctionnement du canal 120 de circu-

lation d'huile est décrit plus en détail dans la suite

du présent mémoire.

Comme l'indiquent les figures 1 et 7, une poulie 126 est fixée rigidement à l'arbre 102 à son extrémité supérieure, par tout dispositif connu tel qu'une ou plu-

sieurs vis d'arrêt 128, afin que cette poulie 126 tourne

* avec l'arbre 102 Une courroie 130 passe sur le bord ex-

terne de la poulie 126 et sur une poulie 132 qui est fixée à l'arbre du moteur 30 Ce dernier, les poulies 132 et 126, la couroie 130 et l'arbre principal moteur 102 forment ensemble un dispositif d'entraînement destiné à faire tourner l'arbre principal lorsque le moteur 30

est alimenté.

Un collier fendu 133 (figures 1 et 7) est fixé rigidement à l'arbre 102 par une vis 134 de serrage et -constitue un dispositif commode de réglage du jeu laissé à l'arbre 102 Une rondelle 136 exerçant une force de poussée est placée juste au-dessus du collier fendu 133 et elle est au contact de l'extrémité supérieure 123 du coussinet 104 afin que les bords rugueux éventuels du collier 133 n'usent pas ou n'entaillent pas le coussinet 104. Comme indiqué sur les figures 1 et 7, un collier

excentrique 138 d'entraînement d'aiguille est fixé ri-

gidement à l'arbre 102 près du coussinet 104 par une vis d'arrêt qui se loge dans une cavité annulaire 142 de

l'arbre 102 L'excentrique 138 peut tourner dans une pre-

mière extrémité 144 (figures 7 et 8) d'une bielle 146 d'entraînement d'aiguille et a une saillie 148 qui dépasse

au-dessus de la bielle et le long de l'arbre 102.

Comme indiqué sur les figures 1 et 8, la bielle

146 a une seconde extrémité 150 munie d'un raccord uni-

versel 152 qui loge une première extrémité 154 du levier 156 d'entraînement d'aiguille qui est monté de manière à

pouvoir pivoter afin qu'il puisse basculer de façon al-

ternative dans la direction 478 autour du montant 158 lors-

que la rotation de l'arbre 102 provoque le déplacement al-

ternatif de la bielle 146 dans la direction 162 Le mon-

tant 158 est fixé au boîtier 12 et en dépasse en porte-à-

faux Le levier 156 d'entraînement d'aiguille est retenu sur le montant 158 par une pince 160 formant un collier fendu. Une gorge annulaire 139 d'accumulation d'huile formée entre le collier 138 et la bielle 146, a tendance à accumuler l'huile s'égouttant sur la partie supérieure 141 de l'excentrique et la guide à la périphérie externe 143 du collier excentrique afin que la lubrification soit convenable entre le collier et la bielle Un ou plusieurs

trous 137 de circulation d'huile sont formés dans le col-

lier 138 de la face supérieure 141 à la face inférieure , les deux trous représentés permettant la circulation de l'huile par gravité de la face supérieure 141 à la face

inférieure 145 du collier 138 si bien que l'huile se dé-

place vers le bas à proximité de l'arbre 102.

La rotation du collier 138 a tendance à repousser l'huile portée par ce collier vers l'extérieur de l'arbre

102 si bien que l'huile est chassée radialement vers l'ex-

térieur contre les parois internes de la chambre du train moteur et directement sur le raccord universel 152 qui est ainsi lubrifié de la manière nécessaire L'huile 458

chassée vers l'extérieur de l'excentrique arrose les élé-

ments mobiles de la chambre 14 et elle est aussi projetée contre les parois internes de la chambre 14; lorsqu'elle frappe ces parois, elle se fragmente pratiquement en de nombreuses fines gouttelettes qui créent un brouillard d'huile dans la chambre du train moteur comme indiqué sur

la figure 9.

Comme indiqué sur les figures 1 et 9, le levier 156 d'entraînement d'aiguille a sa seconde extrémité 152

qui porte un manchon allongé 162 ayant une ouverture in-

terne allongée 184 formant coussinet, permettant le lo-

gement de l'arbre longitudinal 164 Le côté 166 du levier 156 a une lumière 168 de circulation d'huile, élargie

comme indiqué par la référence 170 afin qu'un orifice re-

lativement large soit formé pour la réception d'huile

comme décrit plus en détail dans la suite La surface in-

terne 172 du coussinet du levier 156 a une fente annulaire 174 placée contre le plot 158 et communiquant avec la lumière 168 si bien que l'huile introduite dans la lumière

168 atteint la fente annulaire 174 et lubrifie la sur-

face 172 de portée et le plot 158 Le trou élargi 170 est placé près de l'arbre 102, du collier 138 et de la came 176 et en face de ceux-ci, si bien que l'huile 458 chassée radialement vers l'extérieur par la came rotative 176 et le collier 138, comme décrit plus en détail dans la suite, arrose le levier 156, pénètre directement dans le trou

élargi 170 ou sur les portées du levier 156 et les gout-

telettes qui s'accumulent au-dessus du trou 170 y pénètrent et atteignent ainsi la fente 174 De l'huile de la buse 630

entre aussi dans le trou 170 en descendant le long de la face 166.

Comme indiqué aussi sur les figures 1 et 9,

l'arbre longitudinal 164 a un axe central 165 et un pas-

sage axial 178 dans lequel est placé un tronçon d'une

mèche 180 de transmission d'huile, ayant une longue par-

tie 181 qui dépasse jusqu'à une pince 188 La mèche 180

qui dépasse du passage interne 178 de l'arbre 164 redes-

cend et s'enroule autour de l'extrémité inférieure 186 de l'arbre 164 et entre les deux parties de la pince 188 si bien que l'huile de la mèche lubrifie l'articulation de l'arbre 164 et de la pince 188 et peut aussi s'écouler par gravité jusqu'à l'arbre 191 La mèche 180 est formée

d'une matière fibreuse capable d'absorber l'huile, collec-

tant facilement l'huile provenant de l'intérieur de la chambre 14 et la transmettant le long d'elle afin que l'huille puisse s'étaler vers l'extérieur le long de la mèche et être transmise aux différents éléments, selon

un principe bien connu dans la technique.

L'arbre longitudinal 164 a un ou plusieurs trous radiaux 182 qui traversent la paroi cylindrique de l'arbre 164 afin que l'huile transmise dans le passage axial 178 soit libérée à l'extérieur par les orifices 182 et soit appliquée à l'ouverture interne 184 de portée du manchon

163, la lubrification entre l'arbre 164 et le tronçon al-

longé 163 étant ainsi convenable.

L'extrémité inférieure 186 de l'arbre 164 est articulée sur une pince 188 en forme de fourche (figure 1), ayant un trou 190 dans lequel est disposé l'arbre 191 d'entraînement d'aiguille Une vis 193 d'arrêt fixe la pince 188 à l'arbre 191 afin que le basculement du levier

156 autour du montant 158 provoque le glissement de l'ar-

bre 191 dans les directions 192 et 484, le long de son

axe 194 et dans des coussinets 488 (figures 1 et 19).

L'arbre longitudinal 164 et la pince 188 forment collec-

tivement une pince de barre à aiguille utile pour la

transformation du basculement du levier 156 en un coulis-

sement nécessaire de l'arbre 191 Un mandrin 196 de ser- rage d'aiguille est monté à une première extrémité de l'arbre 191 afin qu'il loge et retienne une aiguille 198 à coudre relativement grosse, ayant un chat 200 Il est souhaitable que les coussinets 488 dans lesquels coulisse l'arbre d'entraînement d'aiguille soient lubrifiés et cette lubrification est assurée par un brouillard ou des gouttes d'huile tombant sur l'arbre 191 et pénétrant alors

dans les coussinets 488 -

Le collier 138, la bielle 146, le levier 156 articulé sur le montant 158, l'arbre 164, la pince 168 et l'arbre coulissant 191 avec son mandrin associé 196 et

l'aiguille 198 forment collectivement un ensemble d'en-

trainement d'aiguille utilisable avec la machine portative

de fermeture de sacs.

La mèche 180 décrite précédemment en référence à l'arbre longitudinal 164 est aussi enroulée autour du montant 158 afin qu'elle facilite la transmission d'huile

à l'interface 202 (figure 1) du levier 156 et de la sur-

face annulaire du boitier 12 entourant immédiatement le montant 158 Comme indiqué sur les figures 1 et 9, une quantité supplémentaire d'huile atteint l'interface 202 en provenance du courant descendant 508 d'huile formé le

long de la paroi interne de la chambre 14 et par pulvérisa-

tion d'huile 458 par la came 176 et le collier 138 L'huile éjectée par la buse 630 lubrifie ainsi l'interface 202 et le brouillard cr 6 c pendant le fonctionnement accumule encore

de l'huile dans cette région.

Comme indiqué sur les figures 1, 9 et 10, un

levier 204 de soulèvement d'un pied presseur a son extré-

mité supérieure 206 articulée sur un montant 208 disposé en porte-à-faux et retenu sur le boîtier 12 par une vis 210 Un coussinet 212 est monté entre une ouverture 214 du levier et le montant 208, et une rondelle 216 de feutre

absorbant l'huile est placée entre le bottier et un élé-

ment 213 rapporté du levier de soulèvement, à alignement automatique La mèche 180 est enroulée sur le montant 208 trèe près de l'extrémité supérieure 206 et de la rondelle 216 afin que l'huile de la mèche imprègne la rondelle de

feutre et transmette ainsi l'huile au coussinet Le cous-

sinet 212 a aussi de l'huile des gouttelettes 508 coulant le long de la paroi du boîtier 12, de l'huile du courant de la buse

630 et de l'huile 458 pulvérisée par la came 176 et le collier 138.

La présence du brouillard dans la chambre 14 au cours du fonctionnement assure un dépôt supplémentaire d'huile sur

le montant 208, la mèche 180 et la rondelle 216.

Le levier 204 de soulèvement a un arbre longitu-

dinal creux 218 disposé vers le bas et ayant des orifices 220 de circulation d'huile traversant la paroi de l'arbre 218 diamétralement, aux côtés périphériques opposés de l'arbre 218 afin que l'huile descendant à la périphérie externe de-l'arbre 218 trouve son chemin vers les orifices 220 et lubrifie la périphérie interne de l'arbre 218 Une bielle 222 se loge dans l'arbre 218 et peut coulisser dans

celui-ci La présence des orifices 220 assure la lubrifi-

cation convenable dans l'arbre 218 si bien que la bielle

222 s'y déplace librement.

L'extrémité inférieure 224 de la bielle 222 est articulée sur une pince fourchue 226 qui est elle-même rigidement serrée sur l'arbre 228 du pied presseur Cet arbre est monté de manière qu'il coulisse suivant son axe longitudinal dans deux coussinets tels que ceux qui sont

utilisés pour l'arbre 191 et il porte un pied presseur 230.

Un ressort hélicoïdal 232 est porté sur l'arbre 228 entre le bottier 12 et la pince 226 afin qu'il repousse l'arbre du pied dans le sens 192 et repousse fermement le pied 230 contre la plaque 322 délimitant la gorge de passage,

en vue de son interaction avec la griffe d'avance 234.

Le levier 204 de soulèvement, le montant 208,

la bielle télescopique 222, la pince 226 qui permet l'ar-

ticulation de la bielle 222, l'arbre coulissant 228, le

pied 230 et le ressort 232 forment collectivement un en-

semble à pied presseur destiné à retenir un sac entre le

pied 230 et la grille d'avance 234 au cours du fonction-

nement de la machine. Comme indiqué sur les figures 1 et 7, une came fermée sensiblement circulaire 176 est montée rigidement sur l'arbre 102 par une ou plusieurs vis 236 d'arrêt qui prennent appui contre une partie évidée 238 de l'arbre 102 afin que la came 176 tourne avec l'arbre 102, avec la même vitesse angulaire La came 176 a un capuchon 240 dirigé vers le haut et placé directement au-dessous des trous 137 de passage d'huile du collier 138 et recevant ainsi

l'huile par gravité si bien que, pendant la rotation nor-

male de la came 176, cette huile peut être chassée radia-

lement vers l'extérieur de la came comme indiqué claire-

ment sur la figure 9, les gouttelettes d'huile formées arrosant les autres éléments placés dans la chambre 14 et

frappant les parois internesde la chambre 14 en étant pul-

vérisées contre les parois afin que les gouttelettes se

fragmentent et forment un brouillard d'huile dans la cham-

bre du train moteur Ce brouillard s'étale sur toutes les parties de la chambre 14 et a tendance à s'infiltrer dans les articulations et les surfaces de portée de la chambre du train moteur, et il se dépose sur les diverses parties et arbre mobiles en assurant la lubrification nécessaire dans la chambre Il faut noter que l'ensemble de la came 176 et non seulement le capuchon 240, participe à la projection d'huile radialement vers l'extérieur, et les hommes du métier peuvent noter que, lorsque la machine

fonctionne, la vitesse de l'arbre 102 augmente progres-

sivement de O jusqu'à sa vitesse normale de fonctionnement

qui est d'environ 1 000 à 1 500 tr/min, la vitesse dimi-

nuant progressivement jusqu'à une vitesse nulle lors de l'arrêt Pendant les changements de vitesse occasionnés par l'arrêt et la mise en route, la vitesse angulaire de la came 176 et évidemment de l'excentrique 138 varie si bien que la force centrifuge créée et appliquée à l'huile par l'excentrique et la came varie et provoque parfois la projection de l'huile en direction presque horizontale vers l'extérieur et parfois, lorsque la vitesse angulaire est} plus faible, suivant une trajectoire courbe descen- dante Le résultat de ces variations de vitesse est tel que l'huile projetée vers l'extérieur ne suit pas toujours la même trajectoire et, comme dans un appareil d'arrosage de jardin, le trajet des gouttelettes d'huile dépend beaucoup de la force avec laquelle elles sont chassées vers l'extérieur Cette variation de vitesse provoque une projection des gouttelettes dans une grande zone, les gouttelettes tombant avec une faible vitesse et étant chassées presque horizontalement vers l'extérieur avec

une grande vitesse.

Comme indiqué sur les figures 7 et 11, la came 176 a un tronçon inférieur 242 de grand diamètre

ayant des faces supérieure et inférieure 250 et 251 res-

pectivement, une fente continue 244 de toucheau de came étant formée à la face inférieure 251 afin qu'elle loge un toucheau 246 Des trous 247 et 248 de circulation d'huile sont formés verticalement dans le tronçon 242, à partir de la face supérieure 250 et directement dans la fente 244 du toucheau si bien que l'huile est transmise à cette fente et assure la lubrification convenable au

contact de la fente et du toucheau 246.

Comme indiqué sur les figures 1, 7 et 12, le toucheau 246 est supporté par un bras 252 dont il dépasse vers le haut et qui est rigidement fixé à l'arbre 254 de

la came fermée afin qu'il se déplace avec cet arbre 254.

Un collier fendu 256 est monté entre la face inférieure du bras 252 et l'extrémité supérieure 257 du coussinet 258 de l'arbre de bouclage t Jn second collier fendu non représenté est serré sur l'arbre 254 près de l'extrémité inférieure 280 du coussinet 258 et au-dessus du support 282 afin que le déplacement axial de l'arbre le '

soit limité.

Le coussinet 258 de l'arbre de bouclage se loge dans une ouverture allongée 259 formée dans le bottier 12 et son axe longitudinal 272 est incliné par rapport à

l'axe 98 de l'arbre 102 L'ouverture 259 est disposée en-

tre, la chambre 14 et la chambre 260 de la griffe d'avance. Comme l'arbre 252 oscille suivant un arc 270 lors de la rotation de la came 176, il est souhaitable qu'une lubrification convenable soit assurée entre le coussinet 258 et l'arbre 254 Comme indiqué sur la figure 12, la chambre 14 formée dans le boitier 12 a une tablette sensiblement horizontale 262 en saillie à l'arrière du coussinet 258 et des parois internes adjacentes de la chambre 14 si bien que l'huile 460 s'écoulant le long

des parois internes de la chambre 14 atteint cette ta-

blette 262 Une rigole 264 d'accumulation d'huile est formée dans la tablette 262 et elle est inclinée vers le bas de l'extrémité 266 vers le coussinet 258, avant de se

terminer contre ce coussinet, ce dernier obstruant l'ex-

trémité inférieure de la rigole 264.

Le coussinet 258 a un orifice 268 d'huile placé en face de la rigole 264 et communiquant avec celle-ci, cet orifice étant formé entre les périphéries interne et

externe 276 et 263 du coussinet afin que l'huile s'accu-

mulant dans la rigole 264 descende dans l'orifice 268

et dans le coussinet 258.

Comme indiqué sur la figure 13, le coussinet 258 a un canal continu 274 de circulation d'huile formé

entièrement autour de la périphérie interne 276 du cous-

sinet et communiquant avec l'orifice 268 Les trois boucles

en huit du canal 274 de circulation sont placées entière-

ment à la périphérie interne 276 du coussinet 258 et, comme l'extrémité inférieure 278 du canal est distante de l'extrémité inférieure 280 du coussinet, l'huile ne

peut pas s'échapper à l'extrémité inférieure 280 Le cous-

sinet 258 encourage ainsi l'entrée de l'huile dans le canal 274 et son maintien, sans passage facile dans le coussinet et vers la chambre 260 de la griffe, placée au-dessous. Comme indiqué sur les figures 14 à 19, l'arbre 254 du dispositif de bouclage dépasse sous le coussinet

258 dans la chambre 260 et l'extrémité inférieure de l'ar-

breporte un support 282 fixé rigidement à l'arbre et portant le dispositif 284 de bouclage dont le crochet 286

peut décrire un arc de cercle 270 pendant son fonction-

nement Comme il n'y a pas de déplacement relatif du sup-

port 282 et de l'arbre 254, il n'est pas essentiel que l'huile parvienne à ce support Une partie de l'huile s'égoutte hors du coussinet 258 et lubrifie efficacement l'interface de l'extrémité inférieure 280 du coussinet et

du collier fendu (non représenté) fixé à l'arbre 258 au-

dessus du support du dispositif de bouclage.

La came 176 du dispositif de bouclage, le tou-

cheau 246, le bras 252, l'arbre rotatif 254, le support 282 et le dispositif de bouclage 284 forment collectivement un ensemble de bouclage dont le fonctionnement est décrit

plus en détail dans la suite du présent mémoire.

Plusieurs trous 287 et 288 d'égouttage (figures 1 et 7) sont formés dans le fond 290 de la chambre 14 afin que l'excès d'huile pouvant s'accumuler au fond de la chambre puisse descendre par les trous 287 et 288 dans la

chambre 260 et puisse y être réparti et utilisé comme dé-

crit dans la suite du présent mémoire Une plaque 292 formant couvercle ferme l'orifice avant de la chambre 14 et est rigidement fixée au bottier 12 par des boulons 296 passant dans la plaque et dans des trous 294 comme indiqué

sur les figures 1 et 9 Cette plaque, lorsqu'elle est bou-

lonnée contre le boîtier 12, fait partie du bottier et coopère avec les parois internes indiquées de la chambre

14 pour la délimitation de celle-ci.

L'arbre principal 102 descend dans la chambre 14 le long d'un ouverture 299 et dans la chambre 260 et

tourillonne dans le coussinet inférieur 106 lors du pas-

sage entre les chambres Le coussinet 106 comme indiqué sur les figures 5 et 15, a une lumière 298 d'entrée ayant un lamage et placée directement en face du trou 636

formé dans le boîtier 12 et avec lequel elle communique.

Le coussinet inférieur 106 a des extrémités supé-

rieure et inférieure 309 et 310 respectivement et un canal 304 de circulation d'huile, formé à sa périphérie interne 306 'et communiquant avec la lumière 298 Le canal a une forme de huit telle que la lumière 298 recoupe la jonction

des boucles supérieure et inférieure de la forme en huit.

Le canal 304 reçoit l'huile de la lumière 298 et la répartit à la périphérie interne 306 du coussinet, en assurant ainsi la lubrification de la périphérie interne et de l'arbre 102 Le canal 304 évacue l'excès d'huile qui pénètre par

une sortie 308, cet excès étant dirigé vers la chambre 260.

Comme indiqué sur les figures 7 et 17, l'arbre 102 a un excentrique décalé 312 à son extrémité inférieure et tourillonnant dans un coussinet 314 de griffe d'avance retenu dans l'ouverture 321 du bloc 316 de griffe La face suprieure 318 de l'excentrique 312 est placée légèrement au- dessous de la face supérieure 320 du bloc de griffe afin qu'une rigole 322 de collecte d'huile du bloc soit formée dans celui-ci très près de l'arbre principal et autour de celui-ci Cette rigole d'accumulation peut aussi

être formée par un chanfrein 333 formé à l'extrémité supé-

rieure 335 du coussinet 314, le chanfrein 333 s'inclinant de la périphérie externe 325 à la périphérie interne 317

comme indiqué sur la figure 16.

L'huile qui s'accumule dans la rigole 322 descend entre la périphérie 317 du coussinet 314 et la périphérie

externe 324 de l'excentrique 312 en assurant la lubrifica-

tion nécessaire entre l'excentrique et le cous-

sinet 314 Cette descente de l'huile est favorisée par formation dans le coussinet 314 d'un canal interne 326 en huit tronqué usiné à la périphérie interne 317 du coussinet 314 comme indiqué sur la figure 16 Le canal 326, a des entrées doubles 330 commençant à l'extrémité supérieure 335 du coussinet, communiquant avec la rigole 322 et recevant l'huile destinée à descendre le long du canal 326 Il faut noter que l'extrémité inférieure 332 du canal 326 est distante de l'extrémité inférieure 334

du coussinet afin que la retenue de l'huile dans celui-

ci soit facilitée et que l'extraction de l'huile à l'ex-

trémité inférieure 334 soit réduite Comme le bloc 316

estla partie mobile la plus basse qui doive être lubri-

fiée, il n'est pas nécessaire que l'huile s'écoule au-

dessous du bloc à griffe.

Comme indiqué sur les figures 1 et 17, le boitier

12 comprend la chambre 260 de griffe d'avance et une pla-

que perforée 338 formant le fond à l'extrémité inférieure

du boitier 12 et recouvrant le fond ouvert 336 de la cham-

bre 260 lors du fonctionnement normal, la plaque 338 étant maintenue par une vis 340 Le boitier comprend aussi une plaque 342 fixée aux côtés de la chambre par des vis passant dans des trous 344 et délimitant une gorge, les

plaques 342 et 338 délimitant avec le boitier 12 la cham-

bre 260.

Comme indiqué sur les figures 1, 14 et 17, un coulisseau 346 est destiné à se déplacer alternativement dans les sens 356 et 357 le long de la bielle 348 passant dans l'ouverture 359 du coulisseau et fixée rigidement sur les parois latérales 350 et 352 de la chambre 260 par des

vis 354 pénétrant dans les extrémités de la bielle 348.

Une tige fixe 360 de section circulaire est

montée en porte-à-faux sur le côté d'une oreille 358 dé-

passant au-dessus du coulisseau.

Une ouverture transversale 364 loge la tige 360 afin que le bloc 316 puisse coulisser axiale:nent De long de la tige 360 Ainsi, le coulisseau 346, lorsqu'il est

monté sur la tige 348 et lorsque la tige 360 en porte-à-

faux passe dans l'ouverture 364 du bloc, supporte et guide ce bloc 316 lorsqu'il se déplace à la suite de la rotation

de l'excentrique 312 sous la commande de l'arbre 102 Lors-

que l'arbre 102 tourne dans le sens 366, le bloc 316 dé- crit un trajet elliptique et plus précisément circulaire lorsqu'il coulisse axialement le long de la tige 360 et lorsque le coulisseau 346 se déplace avec le bloc le long de la tige 348 Le trajet parcouru par le bloc est décrit

plus en détail dans la suite avec la description du fonc-

tionnement de l'ensemble à dispositif de bouclage.

Une griffe d'avance 234 ayant des dents est fixée rigidement au bloc 316 avec lequel elle se déplace et elle prend appui par intermittence contre le pied presseur 230 au cours du fonctionnement Comme le bloc se déplace lors de la rotation de l'arbre 102, il suit un trajet circulaire à une vitesse qui est par exemple

comprise entre 1 000 et 1 500 tr/min Lorsque les gout-

telettes d'huile 370 (figure 17) tombent du trou 288 sur le trajet du bloc 316, celui-ci qui se déplace rapidement frappe les gouttelettes 370 et en projette les restes 466 dans toutes les directions en créant un brouillard d'huile dans la chambre Les gouttelettes 372 qui tombent du trou 287 frappent la tige 348 et, lorsque le bloc 326 et le

coulisseau 346 se déplacent, ce dernier projette les gout-

telettes 372 et accroit encore le brouillard d'huile.

Une garniture ou rondelle poreuse 426 formée d'une matière compressible et d'absorption d'huile, par exemple de feutre, de cuir ou analogue, est placée sur la tige 360 entre l'oreille 358 et le bloc 316 de manière que l'excès d'huile parvenant à la tige 360 soit absorbé et conservé par la rondelle 426 en vue d'une transmission ultérieure La rondelle 426 est réalisée de manière qu'elle soit légèrement comprimée à chaque fois que le bloc se

déplace vers l'oreille 358 si bien qu'une certaine quan-

tité d'huile est libérée sur la tige 360 chaque fois que

la rondelle 426 est comprimée.

Le coulisseau 346, les tiges 348 et 360, le bloc

316 portant la griffe 234 forment collectivement un en-

semble à griffe d'avance utilisable avec la machine por-

tative 10.

Le bloc 316 a un rebord 374 formé en retrait à sa partie supérieure 320 comme indiqué sur les figures

17 et 18 et un organe combiné de transmission de mouve-

ment et d'huile est fixé rigidement au rebord 374 par un

boulon 378.

L'organe 376 a une partie 380 de montage qui se loge étroitement contre le rebord 374 et un segment replié

382 qui descend du segment 380 de montage, perpendiculai-

remn-' à celui-ci est disposé latéralement par rapport au bloc Le segment replié 382 a des surfaces avant et arrière 384 et 386 respectivement qui, comme décrit dans la suite, ont un rôle de transmission de mouvement et de transmission d'huile.

Un support 388 de couteau est placé essentiel-

lement dans la chambre 260 et peut pivoter autour d'un axe 380 formé par un pivot, par exemple un ensemble 392

à coussinet cylindrique (figure 18) passant dans l'ouver-

ture 394 du support de couteau et dépassant vers l'intérieur à partir du boitier 12 Un ressort hélicoïdal 396 (figure 14) est monté entre le support 388 et une saillie 398 du bottier afin que le couteau 404 soit repoussé vers un

couteau fixe 408.

Comme indiqué sur la figure 17, le support 388 du cwi-

teau est monté de façon mobile par articulation autour c'e l'axe 390 et le support 388 a un bras 400 qui dépasse vers l'extérieur et qui a une extrémité repliée 402 qui porte le couteau mobile 404 L'extrémité 402 passe dans une partie dégagée 406 du bottier afin qu'elle pivote autour de l'axe 390 en arc de cercle Le couteau mobile 404 est fixé sur le support par des vis 405 vissées dans des trous 407 Un couteau 408 est monté sur le bottier et t-copère avec le uteau mobile 404 pendant le pi votemen-, du support de couteau Les deux couteaux 404 et 408 A)rt (Je préférence

des bords aiguisés 410 de coupe.

Le ressort hélicoïdal 396 repousse le support 388 à distance de la saillie 398 et provoque la mise en contact du bord 410 de coupe du couteau mobile 404 avec le couteau fixe 408 pendant la coupe. Le support 388 a un prolongement 412 en L placé au-dessus de l'ouverture 394 autour de laquelle pivote le

support Le prolongement 492 a un bras en forme de four-

che ayant une première et une seconde partie 414 et 416.

La première partie fourchue 414 est en face de la surface avant 384 alorsque la seconde partie fourchue est en face de la surface arrière 386 si bien que les composantes du mouvement du bloc à griffe dans les sens 418 et 420 provoquent le contact du segment incliné 382 avec l'une

ou l'autre des deux parties 414 et 416 si bien que le sup-

port de couteau tourne autour du pivot 392 suivant l'arc

de cercle 422, le couteau mobile 404 pivotant vers le cou-

teau fixe 408 et coupant la chaine de filsformée entre eux.

Il faut noter que le bloc à griffe ne se déplace pas sui-

vant un trajet rectiligne, comme indiqué par les flèches 418 et 420 mais suivant un trajet circulaire Cependant, il faut noter que, bien qu'il se déplace suivant un trajet

circulaire fixé par l'excentrique 312, le bloc a des com-

posantes dans les directions 418 et 420 Ces composantes sont utilisées pour le déplacement du support 388 suivant

l'arc de cercle 422.

Il faut noter que le bloc à griffe se déplace

suivant un trajet circulaire lors de la rotation de l'ar-

bre 102 et de l'excentrique solidaire 312, mais que cer-

taines composantes du mouvement circulaire sont dirigées suivant l'axe 390 dans les sens 356 et 357 Tout mouvement

du bloc 316 dans les sens 356 et 357 provoque un déplace-

ment du segment replié 382 par rapport aux parties de

fourche 416 et 418 en provoquant alternativement le con-

tact de l'une des parties de fourche avec la surface avant ou arrière 384, 386 Ce contact des parties de fourche et

* des surfaces avant et arrière du segment replié 382 pro-

voque l'accumulation de l'huile sur les surfaces avant ou arrière des parties de fourche L'huile du segment 382 provient de l'huile qui a pénétré dans la chambre du bloc à griffe par le trou 388 ou qui s'est égouttée le long de l'arbre 102 ou de l'arbre 254, la plus grande

partie de cette huile atteignant finalement la face supé-

rieure 320 du bloc La rotation rapide de l'arbre 102 et le déplacement correspondant du bloc à griffe ont tendance à provoquer la poussée de la plus grande partie de cette huile en direction radiale vers l'extérieur le long de la

partie supérieure du bloc sous l'action de la force cen-

trifuge, une partie de cette huile chassée vers l'extérieur atteignant l'organe 376 et s'écoulant vers le bas le long du segment replié 382 Naturellement, une partie de l'huile

i S accumulée sur le segment replié est due aussi à la pré-

sence d'un brouillard d'huile dans la chambre correspon-

dante.

Ainsi, les composantes du mouvement du bloc pa-

rallèlement à l'axe 390 ne provoquent pas le déplacement du support 388 mais provoquent l'accumulation d'huile sur les

parties de fourche 414 et 416 Cette huile accumulée des-

cend le long du prolongement 412 jusqu'au segment 424 du

support et continue à s'écouler jusqu'à là vis 392 de pi-

votement, si bien que l'ensemble correspondant est lubri-

fié Ainsi, l'effet de raclage des parties de fourche 414 et 416 assure la saisie d'une quantité suffisante d'huile pour que le segment incliné 382 crée un courant descendant

vers la vis d'articulation et assure la lubrification né-

cessaire entre la vis 392 et le support 388.

L'organe 376, le support 388, l'ensemble 392, le couteau 404 et le couteau 408 forment collectivement un

dispositif de coupe de chaîne de fils utilisé dans la ma-

chine 10 pour la découpe des fils restants lorsque la

couture d'un sac a été terminée.

Lors du fonctionnement, la machine portative

à coudre 10 à lubrification automatique est saisie ferme-

ment par l'opérateur, à l'aide de sa main qui entoure la

poignée 16, et elle est portée dans la position représen-

tée de travail de la figure 1 dans laquelle la poignée 16 se trouve en haut et l'aiguille 198 en bas L'opérateur regarde d'un coup d'oeil le réservoir 40 d'huile afin de déterminer que le niveau 60 de l'huile à l'intérieur est convenable et, le cas échéant, il ajoute de l'huile dans

le réservoir 40 par l'ouverture 62 de remplissage L'ins-

pection est très simplifiée par la paroi transparente ou translucide 58 du réservoir qui permet à l'opérateur de déterminer facilement le niveau interne de l'huile par

inspection visuelle de temps en temps.

L'opérateur enfonce le bouton 68 dans le sens 69 comme indiqué sur la figure 3 Lorsque le bouton 68 descend, les joints 72 et 73 du plongeur 63 descendent

aussi dans la chambre 48 de pompage, en coopérant de ma-

nière étanche par glissement contre la paroi latérale 66 pendant ce déplacement La garniture inférieure 76 chasse

l'huile qui se trouve au-dessous vers le bas, dans un pas-

sage 80, la pression créée par la descente de-la garniture -20 76 provoquant la descente de la bille 82 du clapet de sortie malgré la force exercée par le ressort 83, si bien qu'une ouverture annulaire est formée autour du siège 81 et permet la descente de l'huile dans la chambre 84 de sortie et sont évacuation par la sortie 86 Lorsque le plongeur 63 remonte dans le sens 69 a sous l'action de la force 78 de compression du ressort, dirigée vers le haut, la pression dans la chambre 48 diminue et le ressort 83 ramène la bille 82 dans la position de fermeture sur le siège 81 si bien que l'huile ne peut plus descendre dans la chambre 84, tant que le plongeur 63 n'est pas à nouveau enfoncé -Cette action de blocage de la bille 82 assure la transmission à la chambre du train moteur d'une quantité convenable

mais non excessive d'huile.

Lorsque le plongeur 68 se déplace dans le sens 69 a dans la chambre 48 de pompage, au cours de son retour vers la position de repos indiquée sur la figure 3, la

pression réduite régnant à la partie inférieure de la cham-

bre 48 provoque l'ouverture du clapet 51 d'entrée La pres-

sion élevée dans le réservoir 47 provoque le déplacement de la bille 57 vers la chambre de pompage, avec une force suffisamment élevée pour que la bille passe en position d'ouverture malgré la force de rappel du ressort 55 si bien que l'huile peut quitter le réservoir 42, s'écouler dans le manchon 52 puis dans le canal 49 pour parvenir à la chambre 48 de pompage dans laquelle elle est conservée jusqu'à llenfoncement ultérieur du plongeur 63 Lorsque ce dernier remonte vers la position de repos indiquée sur la figure 3 et lorsque l'huile s'écoule dans la chambre 48, la différence de pressions entre la chambre 48 et le réservoir 40 diminue et la bille 57 se déplace vers la position représentée de fermeture, contre le siège 53, si bien que le courant d'huile allant du réservoir à la

pompe ne peut pas être excessif.

L'huile chassée hors de la chambre 48 et intro-

duite dans la chambre 84 de sortie descend dans la direc-

tion 428 du fait de la pression exercée par la pompe ainsi que par gravité, l'huile s'écoulant le long de la tuyauterie

souple 88 puis dans l'embout 90 (figure 4) et dans le col-

lecteur 89 Cette huile pénètre alors dans les chambres centrales 608 et 622 et une partie de l'huile sort par la première lumière 610 et pénètre dans la lumière 114

du coussinet supérieur 104 de l'arbre principal d'entrai-

nement Cette huile qui pénètre dans le coussinet 104 s'écou-

le le long du canal ovale 120 formé dans le coussinet et

assure ainsi la lubrification de ce dernier L'huile pré-

sente dans le coussinet 104 se fraie progressivement un chemin vers le bas en s'égouttant entre l'arbre 102 et la périphérie interne 113 du coussinet, l'huile sortant

finalement à la partie inférieure 124 du coussinet.

Etant donné le pompage assuré par le plongeur 63 qui peut être commandé deux fois ou plus par un opérateur

avant la mise en oeuvre de la machine à coudre, la tuyaute-

rie souple 88 et les chambres 608 et 622 sont remplies d'huile, et l'huile présente dans la tuyauterie 88 s'écoule dans le collecteur 89 et est ensuite lentement évacuée par les lumières de sortie du collecteur L'huile passant

en dérivation par rapport à la lumière 610 de sortie s'écou-

le du collecteur supérieur 600 vers le bas dans l'ouverture 616 formée dans le boîtier 12 et dans la chambre 622 du collecteur inférieur 602 Les bagues 612 et 618 d'étanchéité qui sont au contact de l'extérieur du boîtier 12, forment un joint étanche entre le collecteur supérieur et le boîtier et empêchent ainsi l'égouttage de l'huile à l'extérieur

du boîtier.

L'huile qui se trouve dans la chambre inférieure

626 s'écoule latéralement; une partie de cette huile quit-

tant le collecteur inférieur par la buse 630 et formant un jet directement projeté 650 (figure 9) parvient sur l'ensemble d'entraînement d'aiguille à partir de cette buse L'huile projetée 650 provenant de la buse 630 se fraie un chemin en coulant par gravité et elle est aussi

chassée vers l'extérieur du fait du déplacement de l'ensem-

ble d'entraînement d'aiguille Il faut aussi noter que, pendant la mise en route et l'arrêt de la machine à coudre, l'ensemble d'entraînement d'aiguille a une vitesse qui augmente et diminue progressivement Ces variations de vitesse provoquent la projection vers l'extérieur avec

des forces variables de l'huile qui se trouve sur l'ensem-

ble d'entraînement d'aiguille, si bien que l'huile se ré-

partit sur une très grande étendue et permet la lubrifica-

tion des autres éléments internes de la machine à coudre.

L'huile présente dans le collecteur inférieur

602 est aussi chasséehors de la chambre 622 par la tuyau-

terie 632 qui la canalise vers le coussinet inférieur 106 et l'arbre principal d'entraînement comme indiqué sur les

figures 22 et 5.

Après manoeuvre de la pompe, l'huile est aussi conservée dans la tuyauterie 632 afin qu'elle s'écoule progressivment avec retard vers le coussinet inférieur

106 L'huile quittant la tuyauterie 632 pénètre dans l'em-

bout 634 et s'égoutte lentement par le trou 636 vers l'entrée 298 d'huile formée dans le coussinet inférieur 106 L'huile pénètre alors lentement dans le canal 304 ayant une forme en huit comme indiqué clairement sur la figure 15, afin que l'arbre 102 d'entraînement subisse la lubrification nécessaire L'excès d'huile provenant du canal 304 se fraie un chemin vers le bas par écoulement entre l'arbre 102 et la périphérie interne 306 du coussinet, l'huile quittant

ce dernier à son extrémité inférieure 310.

Lorsque le moteur 30 commence à tourner à la suite de l'enfoncement du commutateur à bouton-poussoir 26 par l'opérateur, la faible vibration du moteur facilite l'écoulement de l'huile de la chambre 84 de sortie à la buse 630 et aux coussinets principaux 104 et 106, si bien que l'huile peut s'écouler depuis l'intérieur de la chambre

84, vers le bas, dans la direction 428, dans le tube 88.

Lorsque l'huile s'écoule lentement hors du réservoir 40, l'air ambiant pénètre dans celui-ci par l'ouverture évent 119, et traverse un filtre (non représenté) afin que le

réservoir soit à la pression atmosphérique, l'huile s'écou-

lant de façon continue à partir du réservoir chaque fois que le clapet 51 est ouvert L'utilisation du filtre empêche la pénétration dans le réservoir de saleté, de poussière et d'autres éléments étrangers qui pourraient provoquer

un bouchage ou une usure dans la machine.

On se réfère maintenant aux figures 1, 4 et 22 qui indiquent que le courant d'huile s'écoule du collecteur

89 dans la partie élargie 118 de la lumière 114 du cous-

sinet supérieur 104 Lorsque l'arbre 102 d'entraînement est fixe, l'huile s'écoule à partir de la lumière 114 et descend essentiellement le long du canal ovale 120 comme indiqué clairement sur la figure 5, l'huile quittant le coussinet 104 à son extrémité inférieure 124 et s'égouttant

vers le bas comme indiqué par les gouttes d'huile 432 (fi-

gure 7) Les gouttes 432 descendent normalement le long

du collier excentrique 138 lorsque l'arbre 102 est fixe.

Les gouttes d'huile 432 qui sortent à l'extré-

mité inférieure 124 du coussinet 104 s'écoulent sur la saillie 148 (figures 7 et 8) du collier 138 et, surtout lors de l'arrêt du moteur 30, l'huile descend le long de la surface 141 de l'excentrique et dans la gorge 139 d'accumulation afin qu'elle s'égoutte vers le bas entre les surfaces 143 et 441 en assurant la lubrification et

en facilitant la rotation libre de l'excentrique par rap-

port à la surface 441 Une partie de l'huile de cette sur-

face descend par des trous 137, si bien que des gouttes 454 tombent sur la came 176 comme décrit plus en détail

dans la suite.

Les gouttelettes d'huile telles que 454 quittant

le trou 137 de l'excentrique tombent sur la saillie supé-

rieure 240 dela came et descendent vers la surface 250, une partie de l'huile tombant par le trou 247 dans la fente 244 afin qu'elle soit prélevée par le toucbeau 246 et assure la lubrification, les gouttelettes 455 d'huile s'étalant aussi autour de la fente 244 et se répartissant dans celle-ci sous la commande du toucheau 246 si bien que la lubrification entre le toucheau et sa fente est convenable.

Lorsque l'opérateur enfonce le bouton du commu-

tateur 26, le moteur 30 est alimenté et commence à tourner.

La rotation de la poulie 132 par l'arbre du moteur en-

traine la courroie 130 si bien que la poulie 126 tourne et entraine l'arbre 102 dans le sens 366 avec une vitesse d'environ 1 000 à 1 500 tr/min, suivant la charge exercée

par la machine, son âge et son état.

Lorsque l'arbre 102 tourne, la force centrifuge

due au collier 138 et à la came 176 et les forces d'iner-

tie de la bielle 146 ont tendance à chasser une grande partie de l'huile portée par ces structures en direction

radiale vers l'extérieur par rapport à l'axe 98 de l'ar-

bre 102 et vers les parois internes de la chambre 14.

Lorsque la vitesse de l'excentrique et de la came augmente et diminue lors de la mise en route et de l'arrêt, la force centrifuge appliquée aux gouttelettes d'huile

varie si bien que le trajet d'aiguille chassée est par-

fois presque horizontal, comme indiqué par les gouttelet-

tes 458 (figure 9) et parfois sous forme hyperbolique comme indiqué pour les gouttelettes 458 de lafigure 7, si

bien que l'huile est pulvérisée et est bien répartie.

L'huile 458 chassée à l'extérieur du collier 138 et de la came 176, si elle n'est pas interceptée par les éléments internes de la machine, frappe les parois internesde la

chambre 14 et se fragmenteen de nombreuses fines gout-

telettes d'huile formant un brouillard dans la chambre,

ce brouillard pénétrant pratiquement dans toutes les par-

ties mobiles et recouvrant toutes les surfaces qui sont exposées, Comme une fine couche d'huile s'accumule sur les différentes parties mobiles et les coussinets, l'huile

tend à pénétrer dans les coussinets et les chambres in-

ternes, les passages et les canaux par effet capillaire et par gravité L'interaction des différents procédés de lubrification décrits précédemment tels que la gravité, la pulvérisation, la création d'un brouillard, l'effet de mèche, l'effet capillaire, assurent collectivement une

lubrification composite plus efficace que les lubrifica-

tions utilisées jusqu'à présent avec les machines porta-

tives à coudre les sacs.

Les gouttelettes d'huile chassées vers les pa-

rois de la chambre 14 non seulement forment le brouillard voulu mais aussi ont tendance à s'accumuler sur les parois

de la chambre 14 et finalement à se rassembler en gout-

telettes plus grosses 460 qui descendent vers la tablette 262 et la surface 302 comme représenté clairement sur la

figure 12.

Les gouttelettes 460 s'accumulent sur la ta-

blette 262 et descendent dans la rigole 264 de l'arbre du dispositif de bouclage, la rigole étant inclinée vers l'orifice 268 d'entrée d'huile afin que l'écoulement vers cet orifice soit facilité Lorsque l'huile pénètre par

l'orifice 268, elle s'écoule à travers la paroi du cous-

sinet 258 et pénètre dans le canal 274 formé dans ce cous-

sinet comme indiqué clairement sur la figure 13 L'huile

s'écoule alors le long des canaux 273 par gravité et lu-

brifie la périphérie interne 276 du coussinet, assurant

ainsi une rotation régulière entre l'arbre 254 et le cous-

sinet 258 Comme l'extrémité inférieure 278 du canal 274

ne communique pas avec l'extrémité inférieure 280 du cous-

sinet, l'huile quitte celui-ci relativement lentement et

par égouttement faible et progressif.

L'huile transmise par la tuyauterie souple 632

vers le coussinet inférieur 106 de l'arbre principal pé-

nètre dans l'orifice 298 du coussinet 106 et s'écoule dans

cet orifice vers le canal 304 (figure 15) formé à la péri-

phérie interne 306 de ce coussinet L'huile s'écoule dans le canal 304 et lubrifie l'arbre 102 qui tourne facilement dans le coussinet, l'huile s'évacuant par le fond 310 et descendant le long de l'arbre 102 comme indiqué clairement par la gouttelette 462 sur la figure 7 Les gouttelettes 462 de la périphérie externe de l'arbre 102 descendent et alimentent le bloc 316 lorsque l'arbre est fixe mais, si le moteur 30 fonctionne, la rotation rapide de l'arbre 102 tend à projeter les gouttelettes 462 vers l'extérieur comme indiqué par la référence 464, contre les parois de la chambre 260, les gouttelettes étant ainsi projetées contre la chambre et formant un brouillard d'huile dans cette chambre 260 Le brouillard a tendance à pénétrer pratiquement dans toutes les parties mobiles à l'intérieur

de la chambre 260.

Les gouttelettes provenant de la sortie 308 du coussinet inférieur 106 ou descendant par le trou 288 ou se déposant à partir du brouillard, s'accumulent finalement sur la face supérieure 320 du bloc 316 (figure 17) et les gouttelettes s'accumulent dans la rigole 322 lorsque le moteur 30 ne fonctionne pas et lorsque le bloc 316 iest fixe L'huile qui se trouve dans la rigole 322 passe par les entrées 330 vers l'extrémité supérieure 335 du coussinet 314 (figure 16) et se déplace le long

du canal 326 formé dans le coussinet en assurant la lubri-

fication de l'excentrique 312 de manière qu'il tourne librement dans le coussinet 314 Le canal 326 du coussinet

314 se termine à une faible distance de l'extrémité infé-

rieure 334 du coussinet si bien que l'huile du canal 326 est retenue dans le coussinet pendant longtemps et ne s'échappe que lentement par infiltration Il n'y a aucune raison qui favorise cette infiltration de l'huile vers le bas et sa sortie par l'extrémité inférieure du coussinet 314 puisqu'il n'y a pas de parties mobiles au-dessous du

coussinet, pouvantnécessiter une lubrification.

Lorsque le moteur 30 est commandé alors qu'une certaine quantité d'huile est retenue dans la rigole 322, cette huile 464 (figure 7) est chassée vers l'extérieur par la force centrifuge appliquée au bloc 316 et s'écoule radialement vers l'extérieur de l'arbre 102 vers les bords externes du bloc 316 et la plus grande partie de l'huile

est projetée contre les parois de la chambre 260 et ac-

croit la densité du brouillard formé dans cette chambre.

Comme indiqué sur les 7 et 17, l'huile qui s'ac-

cumule près du fond de la chambre 14 est évacuée de cette chambre par les trous 287 et 288 L'huile 370 descendant par le trou 288 a tendance à être interceptée par le bloc 316

lors du fonctionnement normal, sous la commande de l'ex-

centrique rotatif 312 Lorsque les gouttelettes 370 sont interceptées par le bloc 317 qui se déplace radialement, elles sont pulvérisées comme indiqué par la référence 466

et augmentent la densité du brouillard formé dans la cham-

bre 260 Si le bloc est fixe lorsque l'huile 370 tombe, elle s'accumule sur la surface 320 du bloc et atteint finalement la rigole 322 o elle est chassée finalement

vers l'extérieur lorsque la machine est commandée ulté-

rieurement. De manière analogue, les gouttelettes 372 d'hqile du trou 287 ont tendance à venir sur la tige

348 ou à être interceptées par le coulisseau 346 Lors-

qu'elles sont interceptées par ce coulisseau, les gout-

telettes 372 ont tendance à être projetées vers l'exté-

rieur et contribuent à la densité du brouillard formé

dans la chambre Si la machine ne fonctionne pas, la gout-

telette 372 parvient sur la tige 348 et lubrifie celle-ci

en facilitant le coulissement du coulisseau 346 Naturel-

lement, les trous 287 et 288 empêchent aussi de façon

habituelle une accumulation superflue de l'huile à la par-

tie inférieure de la chambre du train moteur.

L'orifice 560 de lubrification de la face supé-

rieure du coulisseau 346 communique avec l'ouverture 359 de ce coulisseau et introduit l'huile à l'interface de

l'ouverture 359 et de la tige 348 L'huile atteint l'ori-

fice 560 parce qu'elle est pulvérisée vers l'extérieur lors du déplacement du bloc 316 ou parce qu'elle provient du brouillard formé dans la chambre 260, et elle descend

dans le trou.

Lorsque le moteur 30 fonctionne et provoque la rotation de l'arbre 102 dans le sens 366 comme indiqué

sur la figure 17, le mouvement de l'excentrique 312 pro-

voque un déplacement du bloc 316 suivant un trajet circu-

laire centré sur l'axe 98 dellarbre Lorsque le bloc suit le trajet circulaire indiqué par l'excentrique 312, il

entraîne avec lui le coulisseau 346 dont la tige 360 cou-

lisse dans l'ouverture 364 formant coussinet Lorsque le bloc 316 coulisse alternativement dans les sens 418 et 420 le long de la tige 360, le coulisseau 346 se déplace

aussi dans les sens 356 et 357 afin qu'il suive le mou-

vement du bloc Ainsi, le coulisseau 346 qui coulisse sur la tige 348 supporte le bloc 316 et diverses positions

de fonctionnement du bloc et du coulisseau 346 sont repré-

sentées sur les figures 14, 19 et 21 Sur la figure 19, le coulisseau 346 est proche de l'extrémité gauche de la tige 348 et de la paroi 352 Lorsque l'excentrique 312 tourne du fait de la rotation de l'arbre 102, le bloc se déplace vers la droite comme indiqué sur les figures 14,

19 et 21, et déplace le coulisseau 346 dans le sens 357.

Comme le bloc se déplace suivant un trajet circulaire dont le plan est perpendiculaire à l'axe 98 de l'arbre 102, la griffe 234 suit aussi un trajet circulaire et se déplace alternativement dans la direction 420 afin qu'elle prenne appui contre le pied presseur 230 et dans la direction 418 en s'éloignant du pied presseur lorsque le sac 494

suit son trajet 495 dans la machine 10 Ce type de dépla-

cement circulaire ou elliptique du bloc à griffe existe dans la plupart des machine à coudre et on l'utilise pour l'avance de l'étoffe ou du sac cousu Comme le déplacement fondamental du bloc destiné à provoquer l'avance d'un sac ou d'une étoffe dans la machine est bien connu, on ne le

décrit pas plus en détail.

Lors du déplacement du bloc 316 suivant son tra-

jet circulaire, le bloc coulisse le long de la tige 360

en se rapprochant et en s'éloignant de l'oreille 358 Pen-

dant ce mouvement, le bloc vient en appui contre la garni-

ture annulaire 426 et provoque la libération d'huile con-

servée par la garniture, sur la tige 360 si bien que la

lubrification est améliorée De manière analogue, lors-

que la garniture 426 n'est plus comprimée, elle aspire l'huile en excès de la tige 360 et la conserve en vue

d'une utilisation ultérieure.

Il faut noter que le trajet circulaire suivi par le bloc 316 lors de la rotation de l'excentrique 312 est centré sur l'axe 98 et provoque un déplacement total d'un côté à l'autre de l'ordre de 6 à 12 mm Ainsi, le déplacement du segment replié 382 dans le sens 356 ou 357 est tel que l'une des parties de fourche 414, 416

coopère toujours pratiquement avec le segment 382 Pen-

dant le déplacement circulaire du bloc 316, des compo-

santes de déplacement dans des sens 418 et 420 provoquent le pivotement du support 388 sous la commande du segment replié 382 Ainsi, lorsque le bloc (figure 17) se déplace dans le sens 420, la surface 386 du segment incliné est au contact de la partie 416 et fait pivoter le support 388 autour de l'ensemble 392, le prolongement 402 du bras

400 dépassent vers le couteau fixe 408 Ce mouvement pro-

voque la descente du couteau 404 dont le bord 410 de coupe vient en coopération avec le bord de coupe du couteau fixe

408, si bien que la chaîne de fils est coupée.

Lorsque le bloc 316 se déplace dans le sens 418 lors de son déplacement suivant son trajet circulaire, la surface 382 prend appui contre la partie de fourche 414, le support 388 pivotant autour de l'axe 390 et éloignant la partie 402 en L du couteau fixe 408 si bien que le couteau mobile 404 pivote en s'écartant en vue d'une coupe ultérieure.

Lorsque le bloc, du fait de son déplacement sui-

vant un trajet circulaire, se déplace dans le sens 356 ou 357, le segment replié 382 a tendance à repousser la partie de fourche 414 ou 416 avec sa surface 483 ou 386 si bien que l'huile en excès de l'une des surfaces est

raclée sur la partie correspondante de fourche 414 ou 416.

L'huile prélevée par raclage ou essuyage du segment replié 382 contre les parties de fourche s'accumule et descend le long des surfaces 424 si bien qu'elle parvient à l'ensemble 392 et lubrifie convenablement l'interface du support 388

et de l'ensemble 392.

La partie inférieure de la chambre 260 est fermée

par une plaque perforée amovible 338 (figure 1), les per-

forations permettant la sortie d'huile en excès qui pour-

rait s'accumuler dans la chambre, mais il faut noter que l'huile venant sur la plaque 338 a peu d'utilité

pour la lubrification des différents éléments placés au-

dessus si bien qu'on peut permettre son égouttage ou son

évaporation à l'atmosphère.

Comme indiqué sur les figures 1, 7 et 11, la

rotation de la came 176 du dispositif de bouclage pro-

voque un déplacement du toucheau 246 de façon continue le long de la voie 244 de came, à la face inférieure de la came 176 Ainsi, la rotation de la came 176 provoque le pivotement alternatif du bras 252 en arc de cercle 270

{figures 14, 19 et 20) si bien que l'arbre 254 et le dis-

positif 284 de bouclage pivotent en arc de cercle 270,

le crochet 286 suivant un trajet 468 passant près de l'ai-

guille 198 Le fonctionnement du dispositif de bouclage en coopération avec l'aiguille et la griffe d'avance, est

décrit plus en détail dans la suite du présent mémoire.

Comme indiqué sur les figures 1 et 8, lorsque

l'arbre 102 tourne autour de son axe longitudinal, le col-

-lier 138 tourne avec lui et provoque un déplacement alter-

natif de la bielle 146 dans la direction 162 Une partie de l'huile déposée sur la bielle 146 et le raccord 152 par la buse 630 est secouée et projetée contre les parois de la chambre pendant le déplacement de la bielle Elle se dépose sur d'autres pièces mobiles ou se fragmente sur les parois et accroît le brouillard dans la chambre Bien que l'extrémité 474 se déplace dans la direction 476, cela n'a pas d'importance, seul ledéplacement dans la direction

162 ayant un rôle pour la commande du levier 156; ce dé-

placement de l'extrémité 474 dans la direction 476 facilite cependant la projection de l'huile vers les parois de la chambre 14 Ainsi, le déplacement longitudinal dans la direction 162 est transmis par le raccord universel 152 au levier 156 qui pivote autour du montant 158 suivant

un petit arc de cercle 178.

Comme indiqué sur la figure 9, l'huile 650 de la buse 630 et les gouttelettes 458 projetées par l'arbre 102, l'excentrique 138 et la came 176 dans la direction 470 lubrifient directement ou indirectement les parties

mobiles de l'ensemble d'entraînement d'aiguille et de l'en-

semble à pied presseur L'huile 650 et les gouttelettes 458 frappant la région du raccord universel 152 lubrifient directement celui-ci alors que les gouttelettes 458 cnri qe

fragmentent contre la paroi interne de la chambre 14 se bri-

sent en minuscules gouttelettes de brouillard qui se dépo-

sent directement sur toutes les parties présentes dans la chambre 14.

La mèche 180 placée près de l'articulation 202 (figure 1) du boîtier 12 et du levier 156 absorbe l'huile de la chambre 14 et libère l'huile dans l'articulation 202 qui

est'ainsi lubrifiée, par une combinaison d'un effet capil-

laire et d'un écoulement par gravité Le basculement du le-

vier 156 suivant l'arc de cercle 478 facilite aussi la répar-

tition plus régulière de l'huile à l'interface ou à l'arti-

*culation 202.

Comme indiqué sur la figure 9, l'huile de la buse 630 coule le long du levier 156 dans la partie 170 De plus, des gouttelettes 458 frappent directement la partie élargie 170 et pénètrent dans le trou 168 avant de pénétrer dans la fente

annulaire 172 en lubrifiant l'arbre 158 et le levier 156.

Les gouttelettes pulvérisées 472 qui s'accumulent sur le le-

vier 156 descendent et s'écoulent naturellement dans le trou

élargi 170 en accroissant la lubrification de l'arbre 158.

Lorsque le levier 156 pivote autour du montant 158, l'arbre 164 se déplace longitudinalement dans la direction

480 en pivotant autour de l'axe 82 et en provoquant le dépla-

cement de l'arbre 191 dans les sens 192 et 484 afin que l'ai-

guille 198 soit déplacée.

Comme indiqué sur la figure 9, l'huile est intro-

duite à l'intérieur 178 de l'abre creux 164 par la mèche imprégnée d'huile L'huile libérée par la mèche sort par le trou radial 182 et lubrifie l'interface de l'arbre 164 et de la surface-184 du coussinet Naturellement, l'huile se dépose aussi à la face externe de l'arbre 164, dépassant hors du manchon 163, étant donné le brouillard d'huile existant

dans la chambre Cette huile est aussi utilisée pour la lu-

brification de l'interface Le montage articulé de l'arbre

164 et de la pince 188 est lubrifié par l'huile qui se dé-

pose du brouillard et en outre par l'huile provenant de la

mèche 180 et qui passe près de l'articulation.

L'arbre 191 glisse dans ces coussinets 488 et doit y être lubrifié, l'huile du brouillard et des gouttelettes 458 tombant sur l'arbre-191 se frayant un chemin dans les coussinets.

Comme indiqué sur les figures 9 et 10, l'extré-

mité supérieure 206 de l'ensemble formant pied presseur est lubrifiée par l'huile provenant de la rondelle de feutre 216, s'écoulant directement sur les parois de la chambre 14 ou transmise par la mèche 180 Cette huile pénètre à l'interface du coussinet 212 et de l'élément

rapporté 213 d'alignement automatique retenu sur le mon-

tant 208 afin qu'elle assure la lubrification et permette

le pivotement libre du levier 204 autour du montant 208.

La bielle 222 pénètre dans l'arbre 218 et l'interface de

la bielle et de l'arbre est lubrifiée par l'huile péné-

trant par les ouvertures doubles 220, cette huile prove-

nant des gouttelettes 486 qui descendent à l'extérieur du levier 204 et pénètrent dans les trous 220 L'extrémité inférieure 224 (figure 1) de la bielle 222 est articulée sur une pince 226 en forme de fourche et l'articulation reçoit une lubrification convenable du fait du brouillard

créé dans la chambre et qui se dépose sur l'articulation.

L'arbre 228 du pied presseur est lubrifié par dépôt d'huile du brouillard et par pulvérisation dans la

chambre 14 et l'huile qui se dépose pénètre dans les cous-

sinets 490 dans lesquels coulisse l'arbre du pied presseur.

Comme indiqué sur les figures 14 et 21, le pied presseur 230 exerce une force réelle dans la direction de la plaque 492 délimitant la gorge afin que le sac 494 soit maintenu en contact étroit avec la griffe 234 et le

pied 230 coopère avec la griffe en permettant le dépla-

cement du sac dans le sens 496, lors du fonctionnement.

Les spécialistes peuvent noter quela position de l'arbre

191 et de l'arbre 254 et l'orientation angulaire de l'ex-

centrique de l'arbre 102 doivent être bien coordonnées

pour que les différents éléments de la machine fonction-

nent convenablement La synchronisation et l'interaction convenables de l'arbre de commande d'aiguille, de l'arbre du dispositif de bouclage et de la griffe d'avance sont facilement réalisées par disposition convenable du collier excentrique 138 et de la came 176 sur l'arbre 102 Comme cette mise en position est bien connue des hommes du

métier, on ne décrit pas en détail les relations angu-

laires nécessaires.

% Lors de la couture d'un sac 494 à l'aide d'un fil 498 provenant d'une bobine 503, le sac se déplace dans le sens 496 entre le pied presseur 230 et la griffe 234 comme indiqué sur les figures 14 et 21 L'arbre 191

portant l'aiguille passe par l'ouverture du pied pres-

seur et introduit l'aiguille 198 dans le sac et dans des ouvertures alignées de la plaque 492 de la gorge et du pied 234, le fil 498 pénétrant bien à l'intérieur de la chambre de la griffe, comme représenté clairement sur les figures 14 et 20 Lorsque l'aiguille 198 se trouve bien à l'intérieur de la chambre de la griffe, l'arbre

254 et le dispositif 284 de bouclage pivotent vers l'ai-

guille, comme indiqué par la flèche 501, suivant le tra-

jet 468, si bien que le crochet 286 se déplace tangen-

tiellement à la périphérie circulaire de l'aiguille.

Comme indiqué sur les figures 21 et 23, lorsque l'aiguille 198 se retire de la chambre, le fil 498 déjà introduit dans la chambre laisse une boucle 500 qui est immédiatement capturée par le crochet 286 du dispositif 284 de bouclage, lors de son déplacement vers la paroi

352 Lorsque l'aiguille 178 est totalement retirée (fi-

gure 19), le crochet 286 termine son avance dans le sens 356 et, comme il retient la boucle 500, étale Celle-ci sur les côtés opposés 502 et 504 d'une rampe 506 portée par la plaque 492 (figures 20 et 21) Lorsque la boucle 500 est étalée par coopération du crochet 286 avec la

rampe 506, l'aiguille 198 descend à nouveau vers la cham-

bre 260 et à travers le sac 94; à la fin de sa descente, l'aiguille passe dans la boucle 500 et le dispositif de bouclage revient vers son point de départ, à distance de

l'aiguille comme indiqué sur la figure 14 Avant la des-

cente de l'aiguille en vue de la saisie de la boucle 500, la griffe 234 se déplace dans le sens 357 et fait avancer

le sac 494 d'une distance prédéterminée afin que la des-

cente suivante de l'aiguille s'effectue à un nouvel em-

placement du sac pour la formation d'un nouveau point.

Comme l'aiguille passe à travers le sac 494 et la boucle 500, le crochet 286 libère la boucle et le déplacement de l'aiguille provoque le serrage de la boucle 500 qui forme un point Lorsque l'aiguille commence à remonter, l'arbre 254 pivote à nouveau dans le sens 501 et saisit

la nouvelle boucle, le procédé de bouclage recommençant.

Comme le sac 494 est fermé par couture et lors-

qu'il quitte la machine, une chaîne de fils ou de points est formée à partir du bord du sac jusqu'à l'aiguille et

doit être coupée afin que le sac soit libéré de la machine.

L'opérateur qui veut couper la chaîne fait pivoter la ma-

chine de manière que la chaîne de fils soit repoussée entre

le couteau fixe 408 et le couteau mobile 404.

Il est bien entendu que l'invention n'a été dé-

crite et représentée qu'à titre d'exemple préférentiel et qu'on pourra apporter toute équivalence technique dans ses éléments constitutifs sans pour autant sortir de son cadre.

Claims (10)

REVENDICATIONS

1 Machine portative à coudre les sacs, à lubrifi-

cation automatique, destinée à être alimentée par une source d'énergie et à utiliser un fil pour la couture d'un sac, caractérisée en ce qu'elle comprend: 1 un boîtier ( 12) ayant une chambre interne ( 14) de train d'entraînement, le boîtier ayant une poignée ( 16) de transport de la machine, un premier et un second coussinet ( 104, 106) de l'arbre principal moteur, chaque coussinet ayant un axe central, les deux coussinets étant portés par le boîtier

et étant disposés sensiblement coaxialement, chaque cous-

sinet ayant une périphérie interne et une périphérie externe

ainsi qu'une extrémité supérieure et une extrémité infé-

rieure,

un dispositif d'entraînement destiné à être con-

necté sélectivement à la source d'énergie, porté par le boîtier et comprenant un moteur ( 30) et un arbre principal ( 102) d'entraînement monté dans le premier et le second coussinet afin qu'il puisse tourner autour de son axe

longitudinal, l'arbre principal d'entraînement étant dis-

posé dans la chambre du train d'entraînement et étant rac-

cordé au moteur afin que l'arbre tourne lorsque le moteur est alimenté, un ensemble d'entraînement d'aiguille, comprenant une aiguille ( 198) qui a un axe longitudinal, cet ensemble étant raccordé pendant le fonctionnement au dispositif d'entraînement afin que l'aiguille ( 198) soit déplacée suivant son axe longitudinal dans un mouvement alternatif lorsque le dispositif d'entraînement est alimenté, un ensemble à griffe d'avance porté par le boîtier ( 12) et raccordé, lors du fonctionnement, au dispositif d'entraînement afin que cet ensemble soit commandé et coopère

avec l'ensemble d'entraînement d'aiguille lorsque le disposi-

tif d'entraînement est alimenté, un ensemble à pied presseur porté par le boîtier ( 12) et prenant appui sélectivement contre l'ensemble à griffe d'entraînement et coopérant avec cet ensemble de manière qu'il repousse le sac contre l'ensemble à griffe d'entraînement et facilite ainsi le déplacement du sac le long-d'un trajet passant en face de l'aiguille ( 198), un ensemble de bouclage porté par le boîtier < 12) et raccordé au dispositif d'entraînement pendant le fonctionnement, cet ensemble de bouclage coopérant avec 1 'aiguille à déplacement alternatif afin qu'ils forment une couture avec le fil si bien que le sac peut être cousu lorsqu'il se déplace le long dudit trajet, un réservoir ( 40) d'huile destiné à conserver de l'huile et porté par le boîtier, une pompe ( 121) commandée sélectivement et ayant une entrée et une sortie, l'entrée de la pompe étant reliée au réservoir ( 40) d'huile afin qu'elle puisse recevoir l'huile de ce réservoir, et un dispositif de distribution d'huile raccordé à la sortie de la pompe ( 121) et monté sur le boîtier ( 12) afin qu'il dirige l'huile dans la chambre ( 14) du train

d'entraînement et dans l'un au moins des coussinets princi-

paux ( 104, 106) afin qu'il soit lubrifié, ce dispositif provoquant l'évacuation de l'excès d'huile du coussinet sur l'arbre principal d'entraînement afin que l'huile soit dispersée par projection par l'arbre sur au moins l'un

des ensembles pendant la rotation de l'arbre moteur.

2 Machine selon la revendication 1, caractérisée en ce que le palier ( 104, 106) comporte une lumière ( 114) de circulation d'huile formée entre les périphéries interne et externe, et il comporte en outre un canal ( 120) de forme ovale formé à la périphérie interne pour la circulation

d'huile et communiquant avec le trou de circulation d'huile.

3 Machine selon la revendication 1, caractérisée en ce que le coussinet ( 106) comporte une lumière ( 298)

de circulation d'huile disposée entre les périphéries in-

terne et externe, et il comporte en outre un canal ( 304) en forme de huit, formé à la périphérie interne pour la

circulation d'huile et communiquant avec le trou d'huile.

4 Machine selon la revendication 1, caractérisée

en ce que: -

le dispositif de distribution d'huile comprend un collecteur ( 89) porté par le boîtier ( 12), le collecteur ( 89) a un orifice d'entrée rac- cordé à la sortie de la pompe ( 121), le collecteur ( 89) comporte une première et une seconde lumière de sortie, la première lumière de sortie du collecteur est reliée au premier coussinet ( 104) de l'arbre d'entraînement afin que celui-ci reçoive de l'huile, et la seconde lumière de sortie du collecteur est reliée au second coussinet ( 106) de l'arbre principal afin

que ce second coussinet reçoive de l'huile.

5 Machine selon la revendication 4, caractérisée en ce que le dispositif de distribution d'huile comporte une première tuyauterie souple ( 88) montée entre la sortie de la pompe et le collecteur ( 89) d'huile afin qu'elle transporte l'huile et conserve une quantité prédéterminée d'huile afin que celle-ci puisse être répartie par gravité

avec un certain retard sur le premier coussinet.

6 Machine selon la revendication 4, caractérisée en ce que le collecteur d'huile comporte en outre: une troisième lumière de sortie d'huile, et une buse ( 630) raccordée à la troisième lumière de sortie d'huile et dirigée vers l'ensemble d'entraînement d'aiguille afin que de l'huile soit évacuée directement

sur cet ensemble lorsque la pompe est commandé.

7 Machine selon la revendication 4, caractérisée en ce que le dispositif de distribution d'huile comporte

une seconde tuyauterie souple ( 632) montée entre le collec-

teur d'huile ( 89) et le second coussinet ( 106) et destinée à transmettre de l'huile au second coussinet ( 106) et à

conserver une quantité prédéterminée d'huile dans la se-

conde tuyauterie souple afin-que l'huile soit répartie

par gravité avec un certain retard sur le second coussinet.

8 Machine selon la revendication 1, caractérisée en ce que: la poignée ( 16) a une fente formant une cavité, la pompe ( 121) et le réservoir ( 40) d'huile sont contigus et combinés sous forme d'un corps unique ( 39), et ce corps unique est porté par la poignée ( 16) dans la fente afin que la pompe puisse être manoeuvrée

commodément par un opérateur.

9 Machine selon la revendication 1, caractérisée en ce que la pompe ( 121) comporte un premier clapet de

retenue ( 82) placé près de la sortie de la pompe et des-

tiné à s'ouvrir lorsque de l'huile est refoulée par la

pompe et à rester fermé le reste du temps afin que le dé-

bit d'huile transmis par la pompe soit dosé.

Machine selon la revendication 1, caractérisée

en ce que la pompe ( 121) comporte un second clapet de rete-

nue ( 51) placé près de l'entrée de la pompe et destiné

à doser le courant d'huile transmis du réservoir à la pompe.

11 Machine portative à coudre les sacs, à lubrifica-

tion automatique, destinée à être alimentée par une source d'énergie et à utiliser un fil pour la couture des sacs, caractérisée en ce qu'elle comprend: un boîtier ( 12) ayant une chambre interne ( 14) d'un train d'entraînement et une poignée ( 16) de transport de la machine, un premier et un second coussinet ( 104, 106) d'un arbre principal d'entraînement, ayant chacun un axe central, les deux coussinets étant portés par le boîtier et étant disposés de manière sensiblement coaxiale, chaque coussinet ayant une périphérie interne et une périphérie

externe, et une extrémité supérieure et une extrémité infé-

rieure,

un dispositif d'entraînement destiné à être rac-

cordé sélectivement à la source d'énergie, porté par le boîtier et comprenant un moteur ( 30) et un arbre principal

d'entraînement ( 102) monté afin qu'il tourne dans le pre-

-mier et le second coussinet, autour de son axe longitudinal, cet arbre principal d'entraînement étant disposé dans la chambre du train d'entrairement et étant raccordé au moteur

afin que celui-ci fasse tourner l'arbre lorsqu'il est ali-

menté, un ensemble d'entraînement d'aiguille comprenant une aiguille ( 198) qui a un axe longitudinal, l'ensemble d'entraînement d'aiguille étant raccordé au dispositif

d'entraînement afin que, pendant le fonctionnement, l'ai-

guille ( 198) se déplace suivant son axe longitudinal, pen-

dant un mouvement alternatif lorsque le dispositif d'en-

traînement est alimenté, un ensemble à griffe d'avance porté par le bottier ( 12) et raccordé au dispositif d'entraînement afin que

cet ensemble fonctionne et coopère avec l'ensemble d'entraî-

nement d'aiguille lorsque le dispositif d'entraînement est alimenté, un ensemble à pied presseur porté par le boîtier ( 12) et placé sélectivement en appui contre l'ensemble à griffe d'avance afin qu'il coopère avec cet ensemble et repousse le sac contre l'ensemble à griffe d'avance en facilitant ainsi le déplacement du sac le long d'un trajet en face de l'aiguille ( 198), un ensemble de bouclage porté par le boîtier ( 12) et raccordé au dispositif d'entraînement, cet ensemble de bouclage coopérant avec l'aiguille alternative lors de la formation d'une couture avec le fil si bien que le sac peut être fermé par couture lorsqu'il se déplace le long dudit trajet, un réservoir ( 40) destiné à conserver de l'huile et porté par le boîtier ( 12), une pompe ( 121) commandée sélectivement, portée par le boîtier ( 12) et ayant une entrée et une sortie, l'entrée étant raccordée au réservoir d'huile ( 40) afin qu'elle reçoive de l'huile du réservoir, et un dispositif de distribution d'huile, raccordé à la sortie de la pompe ( 121) et monté sur le boîtier ( 12) afin qu'il dirige de l'huile dans la chambre ( 14) du train d'entraînement et sur l'ensemble d'entraînement d'aiguille

et assure ainsi la lubrification de cet ensemble d'entraîne-

ment d'aiguille, l'ensemble de distribution provoquant

aussi la dispersion de l'excès d'huile déposé sur l'ensem-

ble d'entraînement d'aiguille dans le boîtier ( 12) par projection vers l'extérieur de l'ensemble d'entraînement d'aiguille pendant le mouvement de celui-ci au cours du fonctionnement.