FR2476456A1 - Dispositif pour determiner une pointure de chaussure correspondant a un pied - Google Patents

Dispositif pour determiner une pointure de chaussure correspondant a un pied Download PDF

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FR2476456A1
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housing
radiation
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FR8103583A
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Rolf Baumann
Dieter Baumann
Pierre Bidegain
Georges Clement Bidegain
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BIDEGAIN SA
Original Assignee
BIDEGAIN SA
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    • G01BMEASURING LENGTH, THICKNESS OR SIMILAR LINEAR DIMENSIONS; MEASURING ANGLES; MEASURING AREAS; MEASURING IRREGULARITIES OF SURFACES OR CONTOURS
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    • G01B11/02Measuring arrangements characterised by the use of optical techniques for measuring length, width or thickness
    • AHUMAN NECESSITIES
    • A43FOOTWEAR
    • A43DMACHINES, TOOLS, EQUIPMENT OR METHODS FOR MANUFACTURING OR REPAIRING FOOTWEAR
    • A43D1/00Foot or last measuring devices; Measuring devices for shoe parts
    • A43D1/02Foot-measuring devices
    • GPHYSICS
    • G01MEASURING; TESTING
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Abstract

DISPOSITIF POUR LA DETERMINATION D'UNE POINTURE DE CHAUSSURE CORRESPONDANT A UN PIED. AU POSTE DE LECTURE PRINCIPAL DU RESULTAT DE MESURE SONT ASSOCIES DE FACON FIXE D'AUTRES POSTES DE LECTURE SE PRESENTANT SOUS FORME DE FENETRES 282, ET, POUR RECEVOIR LES MARQUES REPERES CORRESPONDANT AUX POSTES DE LECTURE, IL EST PREVU DANS LE VOISINAGE DE CES DERNIERS UN PORTE-DIAGRAMME 18 MOBILE ACCOUPLE A LA DEUXIEME EXTREMITE DU METRE A RUBAN 9 DESTINE A MESURER LA PERIPHERIE DU PIED. UTILISATION NOTAMMENT POUR LA MESURE DU PIED D'UN PETIT ENFANT.

Description

24?6456
La présente invention a pour objet un dispositif pour déterminer la pointure de chaussure correspondant à un pied, notamment au pied d'un petit enfant comportant:
- un logement de pied de forme allongée destiné à re-
cevoir le pied à mesurer;
- un mètre à ruban s'étendant transversalement par rap-
port au logement de pied qui, par sa première extrémité, peut être fixé par rapport au logement de pied, forme par dessus ce logement une boucle et peut se déplacer par sa deuxième
extrémité par rapport au logement de pied pour tirer et ten-
dre la boucle autour de la périphérie du pied à mesurer, et
- un poste de lecture qui est fixe par rapport à la pre-
mière extrémité du mètre à ruban et est disposé en face de marques repères, lesquelles sont disposées mobiles en même
temps que la deuxième extrémité du mètre à ruban.
Alors que, lorsqu'on confectionne une chaussure sur me-
sure, celle-ci est adaptée avec la plus grande précision pos-
sible à la forme du pied à chausser, en utilisant par exemple comme forme un moulage du pied qui permet de transférer à la chaussure pratiquement toutes les mesures du pied, on cherche, lorsqu'il s'agit de chaussures de confection, à se contenter
d'un nombre aussi réduit que possible de mesures particuliè-
rement représentatives pour la forme du pied, et d'un éche-
lonnement de pointures correspondant à ces mesures.
La dimension essentielle est la longueur du pied qui doit
être déterminée en tout état de cause et à laquelle correspon-
dent les pointures usuelles du commerce. Mais il est également important de déterminer la périphérie du pied au niveau de 1'
articulation métatarsophalangienne, et par conséquent obli-
quement par rapport à l'axe longitudinal du pied; cette di-
mension sera désignée couramment ci-après sous le nom de
"périphérie du pied".
La plupart du temps, lorsqu'il s'agit de chaussures pour adultes, on ne tient pas compte de la périphérie du pied, en
comptant qu'après avoir été portée un certain temps, la chaus-
sure va s'adapter d'elle-même au pied. Mais, lorsqu'il s'agit de chaussures de confection de qualité plus fine, notamment de chaussures d'enfant et tout particulièrement de chaussures pour petits enfants, il est indispensable de tenir compte de
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la périphérie du pied. Dans ce cas, on associe à chaque poin-
ture caractérisant la longueur de chaussure une deuxième gran-
deur qui caractérise la périphérie du pied. Alors qu'on peut associer de façon univoque à chaque dimension de longueur de chaussure une fourchette de longueurs de pied, on a réduit notablement le nombre de grandeurs caractéristiques pour la périphérie du pied, ceci afin d'éviter une multiplicité embarrassante de désignations; toutefois, il a fallu admettre qu'on ne peut
plus associer de façon univoque à chaque grandeur caractéris-
tique un groupe déterminé de grandeurs de périphérie de pied,
mais qu'il est indispensable de recourir pour cela à la lon-
gueur de pied. Il est évident qu'une grandeur caractéristique pour une périphérie de pied "moyenne" doit, pour un pied court, se reférer à une autre mesure de longueur que pour un pied
long.
La détermination de la périphérie du pied est de la plus grande importance pour les chaussures d'enfant et, tout particulièrement, de petit enfant. C'est justement chez le
petit enfant que la structure du squelette du pied est fle-
xible et se déforme facilement sous l'effet d'influences ex-
térieures. A titre d'exemple, un petit enfant ne ressentira pas comme désagréable une chaussure trop étroite, mais, par ailleurs, cette chaussure exerce un effet de déformation sur le pied du petit enfant et, en mettant les choses au pis, ces déformations sont durables. De façon analogue, une chaussure trop large n'offre pas au pied du petit enfant le maintien latéral nécessaire de sorte qu'une chaussure de ce genre, mal
adaptée, peut également provoquer des déformations du pied.
A l'échelon artisanal, la mesure de la périphérie du pied s'effectue à l'aide d'un mètre à-ruban que l'on fait
passer autour du pied à hauteur de l'extrémité avant ant2érieu-
re des métatarses. Mais, bien souvent, on ne peut effectuer -
une telle mesure avec le soin nécessaire sur de petits enfants car il arrive que des petits enfants s'opposent de toutes leurs forces à une telle mesure parce qu'ils sont troublés par l'environnement inhabituel et qu'ils ont peur du vendeur de chaussures qui est pour eux un étranger. Or, il ne faut pas
perdre de vue qu'en raison de la flexibilité et de la souples-
se du pied de petit enfant, la mesure doit être effectuée avec une grande précision pour éviter de graves erreurs de mesure.
Pour faciliter la mesure, on a déjà proposé un disposi-
tif qui est formé par une planchette formant un logement de pied destiné à recevoir le pied à mesurer. A l'emplacement
de la mesure, un mètre à ruban est fixé par sa première ex-
trémité à la planchette et forme une boucle au dessus de la planchette; la deuxième extrémité du mètre à ruban passe
dans une fente ménagée dans la planchette de sorte que, lors-
qu'on exerce une traction sur la deuxième extrémité du mètre à ruban, on peut tendre la boucle. Le mètre à ruban porte des marques repères pour la périphérie réelle du pied qui est mesurée, tandis que la fente dans laquelle passe le mètre à
ruban est associée à la planchette en tant que poste de lec-
ture fixe.
On introduit le pied de l'enfant dans la boucle que l'on a au préalable détendue de façon que cette boucle se trouve
exactement à l'emplacement de mesure. Puis on tire sur la bou-
cle pour la tendre de sorte que le mètre à ruban entoure de tous les côtés le pied du petit enfant, mais sans comprimer le pied. Enfin, on lit au poste de lecture la marque repère
qui s'y trouve.
Indépendamment de cette opération de mesure on-détermine également la longueur du pied. Puis on cherche dans un tableau la dimension de périphérie qui, associée à la longueur du pied,
correspond à la périphérie mesurée.
S'il est vrai qu'en principe le dispositif et la façon
de procéder qui viennent d'être décrits permettent de déter-
miner sans ambigulté la grandeur caractéristique de la péri-
phérie du pied, les choses ne sont pas si simples dans la pra-
tique. Non seulement le vendeur doit effectuer les mesures, mais il faut qu'il retienne bien en mémoire la valeur lue sur le dispositif en même temps que la longueur déjà déterminée auparavant, tout en retirant le pied de l'enfant du dispositif, puis qu'ensuite il choisisse dans le tableau, sans se tromper
la grandeur de périphérie correspondant à ces valeurs. Pen-
dant ces opérations le-vendeur doit continuer à s'occuper du petit enfant qui manifeste sa peur, et il est également obligé éventuellement de répondre aux questions de ses clients, de sorte que, dans la pratique, les défauts de mémoire et les
erreurs dans la consultation des tableaux de mesure sont iné-
vitables. Naturellement, le vendeur ne prend pas conscience de ces erreurs lorsque la valeur obtenue finalement est de celle qui, compte tenu de l'expérience du vendeur, pourrait parfaitement convenir, de sorte que l'acheteur n'a aucune raison de faire répéter éventuellement le mesurage. On a donc constaté que, dans la pratique, l'utilisation du dispositif
connu entraîne un élargissement important de la zone de tolé-
rance dans la détermination de la grandeur caractéristique pour la périphérie du pied, alors que, comme il a déjà été dit plus haut, c'est justement avec les petits enfants qu'il est particulièrement important de déterminer avec la plus
grande précision possible cette grandeur caractéristique.
Pour simplifier les mesurages du pied, notamment pour les petits enfants, il a déjà été proposé par la demande de brevet non encore publiée P 2912038.5, déposée le 27 Mars 1979; d'explorer le pied par un procédé électronique, par exemple au moyen de rayons optiques, et ceci également à l'emplacement de la largeur de pied maximale qui se trouve
également là o doit être mesurée la périphérie du pied.
Etant donné que, pour les pieds d'adulte valides, cette lar-
geur de pied est dans une relation toujours sensiblement
constante avec la périphérie du pied, une telle mesure de lar-
geur peut être utilisée également pour déterminer la périphé-
rie du pied. Mais, pour les pieds de.petit enfant, il n'y a pas cette relation fixe entre largeur du pied et périphérie du pied. C'est ainsi, par exemple, que la largeur du pied d' un petit enfant varie en fonction de la charge à laquelle est
soumise ce pied, c'est-à-dire qu'elle est donc différente sui--
vant que le petit enfant est debout ou assis quand il pose le
pied sur le logement de pied du dispositif.
On pourrait donc imaginer, en affinant la méthode de mesure électronique, de déterminer par exemple non seulement la largeur du pied à l'emplacement de la mesure mais également la hauteur de ce pied et, en traitant les résultats de mesure
ainsi obtenus, de fournir une valeur plus précise de la péri-
phérie du pied.
Bien qu'il soit possible de s'engager dans cette voie, un dispositif de mesure électronique ainsi amélioré serait fort
compliqué et coûteux.
Devant le problème ainsi posé, l'invention se propose de
permettre de la façon la plus simple possible une détermina-
tion suffisamment exacte de la pointure du pied.
Ce résultat est obtenu par l'invention avec le disposi-
tif connu frâce au fait que des postes de lecture supplémen-
taires sont associés de façon fixe au poste de lecture prévu et que, pour recevoir les marques repères, il est prévu dans le voisinage de tous les postes de lecture un porte-diagramme
mobile, couplé à la deuxième extrémité du mètre à ruban.
On obtient ainsi la possibilité d'associer un poste de lecture à chaque valeur de longueur de pied en question et de disposer les marques repères sur le porte-diagramme de telle sorte que, lorsque ce dernier se déplace en fonction de la
façon dont est tendu le mètre à ruban autour du pied à mesu-
rer, il est associé de façon univoque à chaque poste de lectu-
re et, par conséquent, à chaque grandeur de pied ou pointure la grandeur valeur de longueur de pied valable. Si la valeur de la longueur de pied est connue, on peut ainsi, lors de la mesure de la périphérie du pied, lire directement la grandeur
de périphérie de pied souhaitée; il est donc inutile d'utili-
ser un tableau, ce qui élimine toutes les possibilités d'er-
reur résultant d'une telle utilisation.
En outre, lorsqu'on mesure le pied d'un petit enfant, il est possible en tendant plus ou moins fortement le mètre à ruban de constater si les inexactitudes inévitables lors de
la mesure se trouvent à l'intérieur d'une grandeur de péri-
phérie de pied ou à la zone limite de celle-ci; dans ce der-
nier cas, on peut éventuellement, en mesurant l'autre pied, s'assurer de la grandeur de périphérie de pied dont il est réellement question. Le dispositif selon l'invention permet donc, non seulement, de mesurer une valeur élémentaire, mais également de balayer toute une zone de mesure ce qui n'est pas possible en pratique avec le dispositif connu parce qu'il faudrait alors retenir en mémoire toute une série de valeurs
mesurées qu'il faudrait rechercher isolément dans le tableau.
L'invention permet donc de mesurer rapidement et simplement la périphérie du pied, en particulier pour les petits enfants,
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avec une précision de beaucoup supérieure -àcelle qu'on pou-
vait avoir jusqu'à présent.
En principe, il est-possible de faire sortir hors du dispositif la deuxième extrémité du mètre à ruban formant alors extrémité libre; on peut ainsi, de la façon indiquée ci-dessus, éliminer des sources d'erreur consistant en ce que
chaque personne qui effectue les mesures tire et tend de fa-
çon différente le mètre-à ruban. Mais, pour simplifier encore-
plus le mesurage, et pour éliminer ainsi une autre source d' erreur, il est proposé selon un développement avantageux de l'invention d'accoupler à la deuxième extrémité du mètre à
ruban un dispositif tendeur commandable. Grâce à cette méca-
nisation de l'opération de tension on peut rendre celle-ci plus régulière et uniforme ce qui améliore la reproductibilité de
l'opération de mesure.
D'une part pour simplifier le dispositif de mesure et,'-
d'autre part, pour éliminer des erreurs de mesure qui peuvent
résulter de l'accouplement entre le porte-diagramme et le mè-
tre à ruban, il est proposé que le porte-diagramme soit asso-
cié à une partie du dispositif tendeur; dans le cas o l'ac-
couplement mécanique au mètre à ruban présente un certain jeu, ce jeu prend toujours une valeur limite définie lorsque le dispositif tendeur est en action, et il est tenu compte de cette valeur lors de l'ajustement du dispositif de sorte que
le jeu ne porte pas de tort à la précision de mesure.
Selon un autre mode de réalisation particulièrement sim-
ple de l'invention, le dispositif tendeur comporte un tambour enrouleur pour le mètre à ruban qui est disposé coaxialement à un cylindre gradué formant le porte-diagramme, et est- de préférence venu d'une pièce-avec lui.-Ce-mode de réalisation
selon l'invention, particulièrement simple, permet une asso-
ciation sans défaut au porte-diagramme, la possibilité de mon-
ter sur paliers de façon particulièrement simple le cylindre gradué permettant d'éliminer d'autres sources d'erreur. Par ailleurs, bien que de dimensions relativement réduites, un cylindre gradué fournit une grande surface de réception pour un diagramme largement différencié, de sorte que le dispositif selon l'invention peut être très léger et très compact tout
en permettant néanmoins une lecture sans erreur. Cette struc-
ture compact du dispositif permet de l'appuyer sans contrain-
te contre le pied d'un petit enfant même lorsque ce dernier tient son pied d'une façon qui rend difficile l'opération de mesure; des erreurs de mesure qui pourraient en résulter sont ainsi éliminées. Selon un autre mode de réalisation de l'invention qui
permet de rendre le dispositif encore plus compact et, fina-
lement d'éliminer d'autres sources d'errieurs de mesure, il est prévu de monter à l'extrémité du cylindre gradué située à l'opposé du tambour enrouleur une commande d'entraînement; le
cylindre gradué forme ainsi lui-même l'élément de transmis-
sion de force placé entre organe d'entraînement et tambour en-
rouleur qui serait autrement nécessaire.
Selon un autre mode de réalisation avantageux de l'in-
vention, il est prévu entre la commande d'entraînement et le cylindre gradué un multiplicateur; on diminue ainsi-le couple d'entraînement ce qui permet de régler de façon fine
la tension du mètre à ruban et augmente par conséquent la pré-
cision de la mesure. La commande d'entraînement se présente notamment sous la forme d'une roue à main ou bouton à molette et le multiplicateur permet d'égaliser les différences dans
la façon dont chaque servant de l'appareil manipule ce dernier.
Selon un autre mode de réalisation de l'invention amé-
liorant encore la reproductibilité de l'opération de mesure,
le dispositif de mesure comporte un agencement de limitation.
de tension; lorsqu'on utilise une roue à main, il est prévu pour limiter la force de tension des gorges creuses aplaties sur la périphérie de la roue à main qui sont disposées au dessous d'une plaquette de recouvrement de façon qu'un seul segment de la roue à main apparaît à l'extérieur en passant par une fente ménagée dans la plaquette de recouvrement. Grâce à cette forme donnée à la circonférence de la roue à main et grâce au fait que la roue à main, se présentant sous la forme d'un bouton à molette, n'est que partiellement accessible, le doigt du servant de l'appareil ne peut exercer qu'une force
limitée sur la roue à main; par rapport à d'autres disposi-
tifs limiteurs de force, comme par exemple un accouplement pa-
tinant, ce dispositif-offre non seulement l'avantage d'une -
plus grande simplicité de construction, mais aussi celui qui consiste en ce qu'après une longue durée d'usage, ou après
être resté longtemps sans être utilisé, il n'y a pas de modi-
fication dans la caractéristique de transmission de force qui
risquerait de fausser le résultat de mesure.
Il est fondamentalement possible de fixer la première extrémité du mètre à ruban à la plaque, sur la face formant le logement du pied et à côté de ce dernier et de le faire passer dans une fente prévue dans la plaque pour le faire
ressortir en dessous, du côté opposé au logement du pied.
Mais, selon un autre mode de réalisation préféré de l'in-
vention, le mètre à ruban est fixé par sa première extrémité du côté du logement du pied situé à l'opposé de la boucle, puis il passe dans une fente oblongue percée dans celui-ci pour former la boucle et est ensuite ramené en arrière pour aboutir au point d'accouplement avec le portediagramme; de cette façon, le mètre à ruban n'entoure pas seulement une partie du pied, mais il entoure exactement la totalité de la périphérie du pied, la boucle prenant une position légèrement
oblique par rapport à l'axe longitudinal du pied. En choisis-
sant de façon appropriée la largeur du mètre à ruban, on peut régler cette position oblique de façon que la périphérie du
pied soit entourée exactement aux extrémités des métatarses.
Le dispositif selon l'invention présentant ce mode de réalisa-
tion permet ainsi d'effectuer pratiquement avec toute la pré-
cision voulue au point de vue orthopédique la mesure de la périphérie significative; le déplacement latéral de la partie
du mètre à ruban qui entre et qui sort, déplacement technique-
ment inévitable dans ce cas, est aussi réduit que possible et s'effectue dans la zone du logement de pied; étant-donné qu'à cet endroit le pied doit reposer parfaitement à plat sur le logement de pied afin d'effectuer la mesure, il ne peut pas y avoir, même avec le pied facilement déformable d'un petit enfant, de pliage des métatarses susceptible d'entraîner une erreur de mesure car, à l'endroit du décalage du mètre à ruban,
le pied est supporté totalement par le logement de pied.
Pour assurer un bon guidage du mètre à ruban à l'inté-
rieur de la partie mécanique du dispositif, il est fondamen-
talement désirable que ce mètre soit aussi rigide que possi-
ble. En outre, une rigidité propre élevée dans la zone de la
boucle, obtenue en utilisant un mètre à ruban en matériau fai-
sant ressort faciliterait l'ouverture de la boucle avant le
début d'une mesure. Pour éviter que, lorsque la mesure s'ef-
fectue sur des petits enfants, un mètre à ruban relativement rigide ne s'enfonce dans le pied, ne le déforme et ne fournis-
se donc qu'un résultat de mesure inexact, il est proposé se-
lon un autre mode de réalisation de l'invention que la partie du mètre à ruban qui forme la boucle soit plus mince que le
reste du mètre.
Il est en principe possible d'utiliser un mètre à ruban constitué par un mètre à ruban connu en métal flexible ou par une bande de matériau textile renforcé, c'est-à-dire fait de
matériaux qui sont habituellement utilisés à l'échelon arti-
sanal. Mais, pour obtenir une mesure précise, il faut utiliser
un mètre à ruban présentant des propriétés mécaniques exacte-
ment définies; il doit donc être fait avec un matériau aussi
homogène que possible et de façonnage aussi précis que possi-
ble. Ce résultat est obtenu avec un mode de réalisation de 1' invention suivant lequel le mètre à ruban est fait en matière thermoplastique non extansible, en particulier en polyamide, par exemple celle qui est connue sous le nom commercial de "nylon". Un tel matériau thermoplastique permet de fabriquer économiquement le mètre à ruban avec une très grande précision et sous une structure homogène de sorte que tous les mètres à ruban ainsi fabriqués présentent des propriétés mécaniques exactement identique. Etant donné le faible prix de revient, on peut, dans des conditions économiquement acceptables remplacer à intervalle régulier le mètre à ruban dans les dispositifs de mesure selon l'invention de sorte que des détériorations qui pourraient résulter de manipulations maladroites ou de
nettoyage ne risquent pas de conduire à la longue à des résul-
tats de mesure faux.
Etant donné qu'avec ce prix de revient économique, on ne peut éliminer totalement les tolérances et, par conséquent, des écarts de valeur mesurée, il est proposé selon l'invention de prévoir un dispositif d'ajustement. Il serait naturel d' associer ce dispositif- directement au porte-diagramme afin de corriger la position de ce dernier par-rapport à la deuxième
extrémité du mètre à ruban.
2476456-
Toutefois, selon un autre mode de réalisation de l'inven-
tion, il est proposé de monter la première extrémité du mètre à ruban sur le dispositif d'ajustement qui, de son côté, est
fixé au logement de pied. De la sorte, le dispositif d'ajus-
tement n'est pas relié aux dispositifs d'indication et de tension associés à la deuxième extrémité du mètre à ruban, de sorte que ceux-ci peuvent être aussi simples que possible, ce
qui est très favorable à la précision de mesure. Pour effec-
tuer l'ajustage, il n'est pas non plus nécessaire d'interve-
nir dans les dispositifs en question, de sorte qu'on ne risque
pas de les détériorer par suite d'un ajustage maladroit.
Selon un autre mode de réalisation de l'invention, la première extrémité du mètre à ruban entoure un écrou lequel est vissé sur une tige filetée d'ajustement qui est montée
sur le logement de pied, libre en rotation mais calée en dé-
placement axial. On réalise ainsi de façon simple un ajuste-
ment continu longitudinal du mètre à ruban le dispositif d'
ajustement pouvant être logé dans une boite dont la face su-
périeure forme le logement de pied, ce qui exclut tout risque de déréglage involontaire du dispositif d'ajustement, ce dernier étant néanmoins accessible en tout temps grâce à un
trou percé dans la paroi de la boite ce qui permet un réajus-
tément par exemple au moyen d'une clé coudée pour vis à six
pans creux ou d'un tourne-vis.
Pour effectuer l'ajustement, on peut utiliser un simple
gabarit qui représente une périphérie de pied déterminée.
Après avoir mis en place le gabarit et avoir tendu le mètre
à ruban, on fait tourner la tige filetée ou la vis d'ajuste-
ment jusqu'à ce qu'une certaine marque-repère du porte-
diagramme se trouve en face d'un poste de lecture déterminé.
Cette opération d'ajustement particulièrement simple peut être
effectuée facilement par l'utilisateur de l'appareil à des in-
tervalles de temps réguliers, pour compenser des décalages de valeur mesurée qui pourraient être causés par l'usure. On
voit ainsi que, finalement, cette forme particulièrement sim-
ple et judicieuse donnée au dispositif d'ajustement contribue à ce que le dispositif selon l'invention fournisse de façon
constante des valeurs de mesure précises et sûres pendant tou-
te sa durée d'utilisation.
Comme il a déjà été dit, il ne faut pas que, pendant la mesure d'un pied de petit enfant, le mètre à ruban soit trop
tendu autour du pied car, dans ce cas, le pied cède à la pres-
sion et la valeur mesurée obtenue est fausse. Mais, d'autre part, il faut qu'il soit suffisamment tendu pour éviter que
le ruban ne fléchisse en s'affaissant, ce qui fausserait éga-
lement la mesure. Pour ne pas avoir à tendre ce ruban il est proposé selon l'invention que le mètre à ruban soit disposé au moins en partie dans un canal de guidage à l'extérieur de la boucle. En outre, grâce à ce canal de guidage, le mètre à ruban peut être déplacé depuis sa deuxième extrémité pour élargir la boucle sans s'écarter latéralement, de sorte qu'en introduisant et en tirant à l'extérieur la deuxième extrémité
du mètre à ruban, on peut effectuer plusieurs fois des mesu-
res les unes après les autres, rapidement et sans peine; ceci est particulièrement important quand il s'agit de mesurer un
pied de petit enfant car, en effectuant successivement plu-
sieurs mesures, on peut naturellement compenser les erreurs
provoquées par une mesure unique.
Selon un autre mode de réalisation qui s'applique lors-
qu'on utilise un dispositif tendeur à tambour enrouleur, le canal de guidage est un canal annulaire s'étendant tout autour
de la périphérie du tambour enrouleur, une paroi annulaire é-
tant alors disposée à une certaine distance de sa périphérie extérieure; l'écartement n'est pas sensiblement supérieur à l'épaisseur du mètre à ruban à cet endroit. Ainsi, à son
emplacement de fixation, le mètre à ruban ne peut pas s'écar-
ter librement du tambour enrouleur ce qui permet d'éviter une
tolérance non définie lors de la mesure.
Etant donné qu'à l'emplacement de fixation, il est pra-
tiquement impossible d'éviter un certain écartement, le mètre à ruban serait en tout cas appliqué et serré contre la paroi
annulaire, ce qui donnerait naissance à cet endroit à un emî-
placement de friction faisant obstacle à la transmission de
force entre tambour enrouleur et mètre à ruban. Selon un dé-
veloppement de l'invention, il est donc proposé que, pour fa-
ciliter le mouvement du mètre à ruban dans le canal annulaire,
le tambour enrouleur présenté une circonférence qui, en par-
tant du point de fixation du tambour enrouleur et du mètre à
* ruban, va en s'élargissant en forme de spirale dans sa direc-
tion; cette disposition permet bien d'éviter l'écartement du mètre à ruban à l'emplacement de fixation et, par conséquent, l'effet de frottement par rapport à la paroi annulaire, mais la hauteur de la boucle reste en permanence définie par la paroi annulaire, de sorte qu'une telle mesure a pour résultat d'éviter les erreurs de mesure qui pourraient résulter du
frottement ou de l'écartement.
Ainsi qu'il a été dit plus haut, les différents postes
de lecture du dispositif selon l'invention sont associés cha-
cun à une dimension de longueur de pied qui doit être déter-
minée par la mesure de la périphérie. Pour éviter tout défaut de mémoire à l'utilisateur de l'appareil, il est prévu'selon
un développement de l'invention que les postes de lecture com-
portent un dispositif de signalisation réglable qui peut être formé par un curseur ou élément analogue. Selon sa destina-
tion, ce dispositif de signalisation est réglé à la main ou automatiquement après réalisation de la mesure de la longueur
du pied et exclut donc de façon sûre tout défaut de mémoire.
Les postes de lecture peuvent par exemple se présenter sous forme de marques repères sur une partie fixe du bâti, qui sont disposées à côté du porte-diagramme mobile. Mais, pour éviter des erreurs de lecture toujours possibles dans ce cas, il est prévu selon un développement de l'invention que le porte-diagramme est muni d'un couvercle fixe par rapport
au logement de pied qui comporte des.fenêtres ou voyants for-
mant les postes de lecture. Dans ce cas, le dispositif de si-
gnalisation peut avantageusement se présenter sous la forme
d'un élément coulissant qui recouvre tous les postes de lec-
ture à l'exception d'un seul, celui qui correspond à la lon-
gueur de pied mesurée. Pour améliorer la précision de la me-
sure, on peut associer un repère de lecture à chaque voyant
ce qui exclut pratiquement tout risque d'erreur dans la lec-
ture de la valeur sur le porte-diagramme. Grâce à cette mesu-
re, l'utilisateur de l'appareil peut porter toute son atten-
tion sur l'opération de mesure proprement dite qui, comme il
a été déjà dit plus haut à plusieurs reprises, est particu-
lièrement difficile à effecteur sur les petits enfants de sor-
te que ce mode de réalisation qui vient d'être décrit contri-
bue en plus à la précision des résultats de mesure.
Lorsqu'on utilise une roue moletée qui ne fait saillie que partiellement hors d'une plaquette de recouvrement et qui est actionnée à la main comme commande de tension du mètre à ruban, il est prévu de préférence que les fenêtres ou voyants
sont disposés dans la plaquette de recouvrement qui se pro-
longe au delà du cylindre gradué,-ce qui permet de donner une
forme encore plus compacte au dispositif.
La mesure de la longueur de pied qui s'effectue avant la mesure de la périphérie peut, en principe, être faite à 1' extérieur du dispositif selon l'invention; mais, selon un mode de réalisation préféré, le dispositif est doté.en plus d'un dispositif de mesure des longueurs de pied de sorte qu'
un seul appareil est nécessaire pour la détermination néces-
saire d'une pointure convenant à un pied. Selon un mode de
réalisation préféré, le dispositif pour la mesure de la lon-
gueur du pied est associé au premier logement de pied pour la
mesure de la périphérie, afin d'abréger l'ensemble de l'opé-
ration de mesure. Mais, selon l'invention, il est particuliè-
rement avantageux de prévoir dans le dispositif selon l'in-
vention un deuxième logement de pied pour effectuer la mesure de longueur et d'équiper celui-ci d'une butée fixe pour le
pied. Cette mesure simpIfle ca na dê-raTblmoe t la meSure- dE-
longueur de pied, ce qui réduit encore les erreurs de mesure.
Pour mesurer la longueur de pied, un dispositif électronique opérant sans contact, comme il en a été fait état au début, est particulièrement facile à loger dans le dispositif selon
l'invention et apte à commander le dispositif de signalisa-
tion. Le dispositif de signalisation comporte de préférence des
diodes à émission de lumière qui forment directement elles-
mêmes les postes de lecture ou bien sont associées individuel-
lement et de façon biunivoque aux différents postes de lectu-
re. Une telle diode à émission de lumière est de-préférence placée à côté d'une fenêtre par laquelle on peut voir,.après qu'est terminée la mesure de périphérie, la zone du diagramme qui contient le résultat de la mesure. Un tel dispositif est
si simple à utiliser que les fausses manoeuvres et-les er-
reurs de lecture sont pratiquement éliminées.
Selon un mode de réalisation préféré de l'invention, le système électronique pour la mesure des longueurs de pied comporte des paires de source de rayons/unité-de réception disposées les unes à côté des autres dans le sens de points de trame de mesure successifs, les sources de rayons et unités de réception élémentaires associées par paires étant situées
respectivement l'une en face de l'autre par rapport au loge-
ment de pied. Les surfaces des sources de rayonnement et celles des unités de réception correspondantes sont telles que, dans le sens des points-de trame de mesure successifs, elles sont plus petites ou de même grandeur que la distance entre des points de trame de mesure de longueur directement voisins. En même temps, au moins à l'intérieur des paires de
source de rayonnement/unité de réception immédiatement voi-
sines, les sources de rayonnement et les unités de réception sont associées l'une à l'autre de façon biunivoque (de façon réversiblement univoque ou bijective) en ce qui concerne les signaux transmis de l'une à l'autre la distance entre deux points de trame de mesure de longueur correspond alors à la distance entre deux intervalles de pointure de chaussure. Les mesures qui viennent d'être décrites permettent d'augmenter la précision de mesure,-le dispositif restant aussi simple,
et la mesure est, de plus, effectuée automatiquement. Notam-
ment:, les mesures ci-dessus décrites augmentent la précision de mesure par rapport à d'autres appareils de mesure de pied connus, par exemple les appareils de.mesure de pied pour la détermination d'une pointure de chaussure décrits par les brevets américains 3 328 882, 3 457 647 et le brevet anglais 1 489 181. La mesure indiquée ci-dessus suivant laquelle les surfaces émettrices des sources de rayonnement et celles des surfaces réceptrices des unités de réception formant paires
sont limitées à la distance entre des points de trame de me-
sure de longueur immédiatement voisins, ainsi que la subordi-
nation biunivoque entre sources de rayonnement et unités de réception associés par paires, en ce qui concerne les signaux
transmis, ont pour suite que les erreurs de mesure géométrico-
optiques existant avec les appareils de mesure de pied connus
sont totalement absentes de l'appareil de-mesure selon l'in-
vention. En effet, avec les appareils de mesure de pied connus cités cidessus, plusieurs unités de réception reçoivent des rarons d'une seule et même source de rayonnement par suite de
la divergence du rayonnement à l'intérieur du plan de rayon-
nement. On n'a donc qu'une subordination univoque entre les sources de rayonnement et les unités de-réception. De ce fait,
il peut se produire une augmentation ou une diminution appa-
rentes de la longueur du pied. Grâce à la subordination bi-
univoque prévus par l'invention, ce défaut est totalement supprimé. De plus, sont également totalement supprimées en pratique les inexactitudes de mesure des appareils.de mesure de pied connus qui se produisent du point de vue de la nature ondulatoire d'un rayonnement. En effet, suivant le principe de Huygens, chaque point d'une surface ondulatoire peut être
considéré comme point de départ d'une onde sphérique ou cir-
culaire. En conséquence, tout obstacle se trouvant sur le par-
cours de propagation de l'onde entraîne une diffraction, et, par conséquent, la trajectoire du rayonnement s'écarte de la ligne droite. Or les pieds représentent par définition un obstacle à l'intérieur des dispositifs de mesure de grandeur de pied. Ils sont donc la source de phénomènes de diffraction qui, dans les appareils de mesure de grandeur de pied connus n'autorisent cette fois encore qu'une subordination univoque
entre les sources de rayonnement et les éléments de réception.
Comme c'était le cas pour les erreurs de mesure géométrico-
optiques dont il a été question plus haut, les phénomènes de diffraction ont pour suite une augmentation ou une diminution apparentes de la longueur du pied. Il en résulte de fausses indications, l'erreur étant fonction de la forme du pied mais aussi du fait que la mesure est effectuée sur le pied droit ou le pied gauche. En effet, dans les dispositifs de mesure de grandeurs du pied, l'un des deux pieds est toujours plus
éloigné de la source de rayonnement que l'autre pied. Par con-
tre, la mesure enseignée par l'exemple de réalisation préféré empêche que des paires immédiatement voisines de sources de rayonnement et d'éléments de réception puissent s'influencer
l'une l'autre et, par conséquent, entraîher des erreurs de me-
sure systématiques. Grâce à cette mesure préférée, on réalise
donc un dispositif comportant des barrières de signaux élé-
mentaires, pouvant être distinguées sans ambiguïté l'une de l'autre, dans la mesure de trame des pointures de chaussure disponobles.
Pour marquer les postes de lecture, les sorties des élé-
ments de réception sont de préférence-reliées à des diodes à émission de lumière prévues aux postes de lecture. On obtient ainsi un marquage correct automatique du poste de lecture
auquel doit être lu le porte-diagramme.
De préférence, les sources de rayonnement sont des diodes
émettant des rayons et les- éléments de réception sont des pho-
totransistors. De tels composants électroniques se distinguent par une grande simplicité, une facilité de contrôle éminente
et, par conséquent, une très grande précision de mesure.
Selon un mode de réalisation préféré, la subordination biunivoque entre les sources de rayonnement et les éléments de réception est obtenue au moyen d'un ensemble multiplex à base de temps que met en action successivement (par paires) au moins les paires de sources de rayonnement et d'éléments de réception immédiatement voisines. Grâce à cette mesure, les paires de sources de rayonnement et éléments de réception immédiatement voisines ne peuvent transmettre en même temps des rayons ou signaux. Il n'est donc pas possible qu'il y ait interaction entre les signaux de paires voisines de sources
de'rayonnement et d'éléments de réception.
Lorsqu'il y a n-paire de sources de rayonnement et d' éléments de réception, pour pouvoir déterminer entre quelle
paire de ce genre a été transmis le signal de mesure nécessai-
re pour déterminer la pointure de chaussure nécessaire, il est prévu de préférence de monter à la suite de chaque élément de réception deux éléments OU exclusif de telle façon que 1' élément de réception active exactement une entrée de chacun des deux éléments OU exclusif et que les deux autres entrées
des deux éléments OU exclusif sont activées par les deux au-
tres éléments de réception disposés de part et d'autre du pre-
mier élément de réception. Ce dispositif permet de façon par-
ticulièrement simple de déterminer de façon précise la paire de source de rayonnement/élément de réception qui se trouve au seuil situé entre la partie mise dans l'obscurcissement par
le pied et la partie non obscurcie. Selon un mode de réalisa-
tion préféré augmentant encore la sélectivité entre les diffé-
rentes paires de source de rayonnement/élément de réception,
il est proposé de monter en avant de chaque élément OU exclu-
sif un commutateur à valeur seuil, celui-ci étant lui-même précédé d'un intégrateur. On peut ainsi éliminer pratiquement totalement les influences perturbatrices, notamment celles
qui sont dues aux rayons lumineux extérieurs.
Selon un autre mode de réalisation permettant d'éliminer encore mieux les influences perturbatrices, il est prévu un
interrupteur à minuterie qui maintient en action le disposi-
tif multiplex à base de temps jusqu'à ce que celui-ci ait activé rythmiquement un certain nombre de fois pré-déterminé, supérieur à 2, la totalité des paires de source de rayonnement/ unité de réception, et il est prévu de plus une résistance,
montée en parallèle à l'intégrateur, dont la valeur de résis-
tance est adaptée au commutateur à minuterie de façon que 1' intégrateur n'émette un signal dépassant la valeur seuil qu'
en cas de réception du nombre d'impulsions pré-donné.
Le dispositif multiplex à base de temps peut comporter essentiellement un oscillateur de rythme auquel fait suite un
compteur comportant au moins deux sorties alimentées succes-
sivement, les deux entrées de commande pour la source de rayonnement et pour l'élément de réception d'une paire de source de rayonnement/élément de réception étant reliées à la même sortie de compteur tandis que les entrées de commande
de paires de source de rayonnement/élément de réception immé-
diatement voisines sont reliées à des sorties de compteur différentes. Selon un développement préféré de cette mesure, les sorties de compteur sont associées de façon biunivoque aux paires de source de rayonnement/élément de réception, c'est-à-dire qu'à chaque sortie de compteur est associée de façon précise une paire de source de rayonnement/élément de réception, tandis qu'à chaque paire de source de rayonnement/
élément de réception est associée uniquement cette seule sor-
tie de compteur.
Avec l'exemple de réalisation préféré de l'invention dé-
crit ci-dessus, on a l'assurance d'avoir une séparation de canaux particulièrement rigoureuse grâce au fonctionnement du multiplex à base de temps, et une sécurité particulièrement
élevée à légard'des perturbations grâce au commutateur à va-
leur seuil précédé de l'intégrateur et suivi de l'élément OU-
exclusif. Par ailleurs, il est fait expressément renvoi, pour le reste des explications concernant le dispositif pour la mesure électronique de la longueur du pied, à la demande de brevet allemand P 29 12 038.5 déposée le 27 Mars 1979 par le même
demandeur. Il est donc expressément fait référence au contenu-
de cette demande de brevet.
Les caractéristiques et avantages de l'invention ressor-
-10 tiront d'ailleurs de la description qui va suivre, à titre
d'exemple, en référence-au dessin annexé dans lequel - la figure 1 est une vue par dessus schématique d'un dispositif selon l'invention pour la mesure du pied; - la figure 2 est identique à la figure 1 mais montre la plaque de recouvrement en partie en rompu; - la figure 3 est une coupe effectuée suivant la ligne III-III de la figure 2
- la figure 4 est une vue à plus grande échelle du dé-
tail IV;
- la figure 5 est le schéma-bloc d'un exemple de réali-
sation pour celui des dispositifs destinés à la mesure élec-
tronique de la longueur du pied qui comporte un élément mul-
tiplex à base de temps intégrant; - la figure 6 représente le schéma-bloc de principe d'un canal de mesure isolé déterminé par une paire de source de
rayonnement et d'élément de réception.
La figurel est une vue par dessus d'un dispositif de mesure 1 selon l'invention qui comporte une boite plate 2 dont la paroi avant, la paroi arrière et la paroi latérale droite (sur le dessin), sont disposées jointives à angle
droit les unes par rapport aux autres tandis que la paroi la-
térale gauche est, dans sa moitié avant, dirigée parallèlement
à la paroi latérale droite et, dans sa moitié arrière, diri-
gée obliquement vers la paroi latérale droite de sorte que,
dans son ensemble, la boite va en se rétrécissant vers l'ar-
rière. Tous les bords sont arrondis afin d'éviter que le dis-
positif de mesure 1 ne vienne heurter douloureusement le pied
à mesurer.
La boite 2 possède une face supérieure 3 plate qui forme
dans la moitié droite une plaque de recouvrement 4 et pré-
sente dans sa moitié gauche une partie en creux allant en se rétrécissant vers l'arrière qui est ouverte en direction du côté avant de la boite 2. La paroi de limitation arrière du creux en question forme une surface d'appui 6. Le fond de la partie creuse est formé par une plaque de fond 5 plane. La face supérieure de la boîte 3, la plaque de recouvrement 4 et la plaque de fond 5 sont venues d'une pièce
et forment ensemble une partie supérieure de boîte.
A l'extrémité avant du creux, la plaque de fond 5 forme un premier logement de pied 7 figuré en traits interrompus tandis que, dans son extrémité arrière, cette même plaque de fond 5 comporte un deuxième logement de pied 8 limité par la
surface d'appui 6.
Au côté avant du deuxième logement de pied 8 sont subor-
donnés, placés sur les parois latérales du creux, d'un côté des diodes émettrices de rayons lumineux 164 et, de l'autre côté, des phototransistors 166, dont quelques uns seulement sont représentés aux figures 1 et 2 pour rendre ces figures
plus claires.
Sur le premier logement de pied 7 est disposé un mètre à ruban 9 qui, partant de la plaque de fond 5, et revenant à cette dernière, forme une boucle. Comme le montre la ligne médiane représentée à la figure 2, le mètre à ruban 9 est disposé de telle sorte que la boucle qu'il forme entoure un
pied se trouvant sur le logement de pied 7 exactement à l'em-
placement o se terminent les métatarses. Cet endroit du pied
est caractéristique pour la mesure de la périphérie du pied.
Le mètre à ruban sera d'ailleurs décrit plus en détail ci-
dessous en relation avec la figure 3.
La plaque de recouvrement 4 possède une échancrure o passe un bouton moleté 10 monté à l'intérieur de la boîte 2 qui fait ainsi saillie par un segment au dessus de la face supérieure 3 de la boîte. Le bouton moleté 10 est aligné par son axe longitudinal parallèlement au séns longitudinal du dispositif de mesure 1 et il est monté tournant autour de cet axe longitudinal. Pour simplifier le dessin, le montage du
bouton dans la boite 2 n'a pas été représenté.
Comme le montre la figure 3, le boulon moleté 10 ne fait que légèrement saillie hors de la plaque de recouvrement 4;
en outre, il est muni sur sa périphérie de rainures longitu-
dinales 11 peu profondes de sorte que, lorsqu'on fait tour-
ner à la main le bouton moleté 10, on ne peut exercer sur lui qu'une force périphérique limitée, relativement faible.
La plaque de recouvrement 4 comporte de plus des fené-
tres ou voyants 282 qui s'étendent transversalement par rap-
port à l'axe longitudinal de la boite 2 et sont disposés les uns derrière les autres le long d'une ligne de lecture 12 qui est marquée de façon visible sur la plaque de recouvrement 4 et s'étend parallèlement à l'axe du bouton moleté 10, mais est décalée vers le côté droit de la boite par rapport audit bouton. En avant des fenêtres 12, dans le même alignement que
celles-ci et de même forme qu'elles sont disposées trois pas-
tilles de couleur 13 présentant chacune une couleur différen-
te, qui sont munies chacune d'une marque caractéristique pour
trois dimensions différentes de la périphérie d'un pied de pe-
tit enfant.
Sur le côté avant de la plaque de recouvrement 4 est
prévue une case fonctionnelle 14 adaptée à recevoir l'inter-
rupteur général, le contrôleur de batterie, et autres élé-
ments analogues, (voir figure 5). A gauche de chaque fenêtre ou voyant 282 se trouve une marque numérique 15 portant un nombre caractéristique pour une longueur de pied (il s'agit
dans le cas présent de longueurs de pied de petits enfants).
Les fenêtres 282, les marques numériques 15 et les diodes à
émission de lumière correspondantes 280 se correspondent mu-
tuellement par alignement dans le sens longitudinal de-la fe-
nêtre, et la largeur des fenêtres 282 mesurée dans le sens
longitudinal de la boîte 2 ainsi que la distance qui les sé-
pare les unes des autres sont choisies de telle façon qu'il soit toujours possible d'avoir toujours et sans peine une subordination biunivoque entre diode et émission de lumière
280, marque numérique 15 et fenêtre correspondante 282.
Comme le montre la figure 2, le bouton moleté 10 comporte
sur son côté avant une roue dentée 16 qui engrène avec un pi-
gnon 17 plus petit prévu sur un cylindre gradué 18 disposé coaxialement au bouton moleté 10. L'axe médian du cylindre
gradué 18 se trouve exactement en dessous de la ligne de lec-
ture 12 qui forme la ligne médiane commune de toutes les
fenêtres 282.
La périphérie du cylindre gradué 18 porte des zones de couleur 19 limitées par des lignes en gradin, dont les cou- leurs, se succédant dans le sens longitudinal du cylindre gradué 18, correspondent aux couleurs des pastilles colorées 13 se succédant dans le même sens. Comme le montre la figure
1, on peut voir ainsi apparaître par les fenêtres 282 les zo-
nes de couleur 19 ou leurs limites réciproques, de cette fa-
çon, suivant qu'une telle limite se trouve à droite ou à gauche de la ligne de lecture 12, on détermine si le pied
mesuré doit être associé à une grandeur de périphérie qui cor-
respond à l'une ou à l'autre couleur des zones de couleur 19.
On voit donc que, le cylindre gradué 18 étant réglé en posi-
tion, et la diode à émission de lumière-280 étant éclairée, on peut facilement lire la dimension valable de longueur de
pied et de périphérie de pied.
A l'extrémité frontale du cylindre gradué 18 voisine du
côté avant de la boite 2 est fixé à ce cylindre un tambour en-
rouleur 20 de circonférence légèrement plus faible dans la périphérie duquel est prévue une fente 21 dans laquelle est
accrochée la deuxième extrémité 22 du mètre à ruban 9. La pé-
riphérie du tambour enrouleur 20 est entourée par une paroi
annulaire qui est située à une distance dudit tambour corres-
pondant sensiblement à la largeur du mètre à ruban 9; pour
simplifier la figure, on n'a représenté ni cette paroi annu-
laire ni le montage du tambour enrouleur.
Comme le montre la figure 4, la deuxième extrémité 22 du mètre à ruban 9 forme une coudure à angle droit par rapport audit mètre à ruban et est munie de creux arrondis s'adaptant
aux creux arrondis de la fente 21 prévue dans le tambour en-
rouleur, ce qui permet d'éviter dans une large mesure que le mètre à ruban 9 ne s'écarte lors de l'enroulement. Pour que
le mètre à ruban 9soit mieux guidé entre la circonférence ex-
térieure du tambour enrouleur 20 et la paroi annulaire non re-
présentée, le tambour.enrouleur 20 présente sur le côté de la
fente 21 voisin du mètre à ruban 9 une épaisseur de paroi ré-
duite dont le contour extérieur se raccorde progressivement avec la circonférence extérieure. La figure 4 montre avec
précision tous les détails de cette disposition.
Comme on peut le'voir à la figure 3, la plaque de fond-5 comporte une fente 23 par laquelle le mètre à ruban 9 passeé en venant du tambour enrouleur 20 et par le bas, pour sortir sur la face supérieure de la plaque de fond 5; puis, en formant une boucle, il est ramené vers l'arrière et repasse par la fente 23 pour arriver à la face inférieur de la plaque de fond o il forme la première extrémité. La partie du mètre à ruban voisine de la première extrémité passe par la partie
avant de la fente 23 tandis que la partie voisine de la deu-
xième extrémité passe dans la partie arrière de la fente 23, située du côté du deuxième logement de pied 8. De cette façon, comme on peut le voir à la figure 2, la boucle du mètre à
ruban 9 présente la position oblique nécessaire pour la pré-
cision de la mesure.
On peut voir de plus à la figure 3 que l'épaisseur d du mètre à ruban dans la zone de la boucle formée au dessus de la plaque de fond 5 est notablement inférieure à l'épaisseur
D de la partie terminale du mètre à ruban 9.
A la première extrémité du mètre à ruban 9, il est prévu
un élément de fixation 24 destiné à recevoir un élément file-
tê; cet élément de fixation peut être par exemple un écrou
fileté dans lequel passe une vis d'ajustage 25 qui est dis-
posée-coaxialement à la première extrémité du mètre à ruban et est calée dans le sens axial par rapport au boîtier 2 mais peut tourner librement. Pour simplifier le dessin, le point
de fixation n'est indiqué que schématiquement à la figure 3.
Une ouverture 26 ménagée dans la paroi latérale gauche du boîtier 2 est alignée sur la vis d'ajustage 25 de façon que
cette vis soit accessible au moyen d'un outil introduit par 1'.
ouverture 26 afin de.régler la longueur du mètre à ruban 9.
Le côté inférieur du boîtier 2 comporte une surface de pose plane parallèle au côté supérieur de boîtier 3, dans laquelle est ménagé un creux de prise 27 permettant de saisir
d'une main le boîtier 2 de façon que le pouce puisse facile-
ment manoeuvrer le bouton moleté 10.
La boîte 2 est partagée en deux sensiblement à hauteur
de l'ouverture 26 mais, pour simplifier la figure, cette sé-
paration n'a pas été montrée.
Toutes les parties du mètre à ruban 9 qui se trouvent à l'intérieur du bottier 2 passent dans un canal dont le côté supérieur et le côté inférieur sont respectivement formés par les deux moitiés du bottier. Pour simplifier le dessin, on
n'a pas représenté non plus ce canal.
Le bottier 1 comporte de plus tous les éléments et compo-
sants électriques et électroniques qui sont-nécessaires au
deuxième logement de pied 8 pour mettre en oeuvre le disposi-
tif de mesure de longueur du pied. La figure 1 montre une opération de mesure; la diode à émission de lumière 280 qui
correspond à la longueur de pied "22" dans l'échelle numéri-
* que 15 est allumée et, dans la fenêtre 282 qui se trouve à
côté, on peut voir la zone de couleur dont la teinte corres-
pond à la grandeur de périphérie de pied V (pastille de cou-
leur antérieure 13).
La figure 5 montre un schéma-bloc d'un exemple de réali-
sation pour un dispositif de mesure de longueur électronique
à ensemble multiplex à base de temps intégrant. Dans l'exem-
ple de réalisation représenté, il est prévu comme interrup-
teur de service 110 un interrupteur à deux positions. Une
diode à émission de lumière 112 indique que l'appareil de me-
sure est en état de service. Un bouton poussoir de mise en marche 114 est monté en série avec l'interrupteur de service
110. Le bouton poussoir de mise en marche 114 n'est actionné.
que lorsque le pied est en position correcte pour la mesure
de longueur. Lorsque le bouton poussoir est actionné, il en-
clenche une minuterie 117 qui, pendant une durée t1 prédonnée, actionne, c'est-à-dire alimente en tension, un oscillateur de rythme 180 branché à la suite. De son côté, l'oscillateur de rythme opère sur un compteur 162, le laps de temps t1 étant choisi tel que le compteur soit entièrement parcouru
au moins deux fois.
Le compteur 162 possède n sorties qui activent succes-
sivement des canaux de mesure élémentaires, chaque canal de mesurecomportant une barrière lumineuse qui est constituée par une paire de source de rayonnement/élément de réception 164, 166. Les n canaux de mesure sont identiques et seront
décrits en détail à la figure 6..
Selon la figure 5, il est prévu à la suite des n barriè-
res lumineuses formées par les n paires de source de rayonne-
ment/élément de réception 164, 166, respectivement n intégra-
teurs 261, n interrupteurs à valeur seuil 262 et n éléments OU exclusif. Chacun des n éléments OU exclusif active exac- tement l'une de n diodes à émission de lumière 280, lesdites
diodes à émission de lumière étant disposées à côté des pos-
tes de lecture 282. A la figure 5, on a indiqué à droite à côté des différentes diodes à émission de lumière 280, les postes de lecture 282 pour la lecture du porte-diagramme 18
(figure 1 et 2).
Les composants indiqués ci-dessus sont branchés les uns à la suite des autres dans le sens d'écoulement du signal, ce sens étant symbolisé par les flèches de grande largeur
et la lettre n portée à l'intérieur des flèches larges indi-
quant le nombre des barrières lumineuses formées par les pai-
res 164, 166 de source de rayonnement/élément de réception,
et, par conséquent, le nombre de canaux de mesure.
La figure 6 montre le schéma de principe des connexions d'un canal de mesure élémentaire. Selon la figure 6, chacune des n sorties de compteur active un transistor de commutation 163 dont la sortie de commande est reliée en même temps à la borne positive de la source de rayonnement 164 affectant la forme d'une diode émettrice de lumière, et le collecteur de
l'élément de réception 166 qui est un phototransistor n-p-n.
Le rayonnement émis par la diode 164.émettrice de lumière est
dirigé sur la base du phototransistor 166 et active ce der-
nier. L'émetteur du phototransistor 166 est mis à la terre par l'intermédiaire d'une résistance extérieure. Le signal obtenu au moyen de ce dispositif peut être déjà utilisé en principe pour amorcer les diodes lumineuses 280 prévues à
côté des postes de lecture 282.
Le dispositif qui vient d'être décrit fonctionne de la façon suivante. Le compteur 162 compte les impulsions rythmées de l'oscillateur de rythme 180. Chacune des sorties 1 à n du compteur 162 active exactement l'un des n canaux de mesure ou
barrières lumineuses, constituées par les sources de rayon-
nement 164 et les éléments de réception 166. Il en résulte que les barrières lumineuses sont mises en service pendant la durée d'activation d'une sortie de compteur. Etant donné que
chaque sortie de compteur active exactement un canal de mesu-
re, il y a subordination biunivoque entre les sorties de comp-
teur et les canaux de mesure. Du fait de cette subordination biunivoque, les barrières lumineuses ou canaux de mesure sont
mis en service successivement suivant la succession des sor-
ties de compteur, en partant de la plus petite longueur de pied ou pointure correspondant à cette longueur, jusqu'à la plus grande. Grâce à une telle mesure, on a la certitude que,
pour mesurer la longueur de pied, il n'y a jamais qu'une seu-
le paire de source de rayonnement/élément de réception 164, 166 qui est activée alors que les autres paires restent hors
service. A la première barrière lumineuse qui n'est pas inter-
rompue par le pied (en supposant que le talon du pied est appliqué contre une butée fixe prévue sur le logement de pied 8); il se forme à l'émetteur du phototransistor 166 un signal positif. Ce signal peut être utilisé pour activer directement les diodes à émission de lumière (280) prévues à côté des postes de lecture 282, chaque canal de mesure étant dans ce
cas également associé de façon biunivoque à une diode à émis-
sion de lumière 280. Etant donné que les canaux de mesure sont rythmiquement activés les uns après les autres dans le sens
de la longueur de pied croissante, et que les diodes à émis-
sion de lumière 280 sont disposées suivant le même ordre de
succession, on voit que, dans l'exemple de réalisation de dis-
positif représenté de façon simplifiée, toutes les diodes à
émission de lumière qui sont associées aux barrières lumineu-
ses ou canaux de mesure qui ne sont plus interrompus s'allu-
ment. La première diode à émission de lumière 288 qui s'allu-
me, dans le sens croissant des points de trame de mesure de
longueur de pied, représente donc la pointure de chaussure né-
cessaire. Naturellement, les diodes à émission de lumière 280
peuvent également être activées de façon que s'allument tou-
tes les diodes à émission de lumière qui sont associées aux
barrières lumineuses interrompues par le pied tandis que tou-
tes les autres diodes à émission de lumière restent obscures.
Avec le dispositif représenté de façon simplifiée, le poste de lecture est donc marqué par le fait que se trouve à
cet emplacement la première diode à émission de lumière allu-
mée ou la première diode obscure dans le sens croissant des-
points de trame de mesure de longueur de pied.
Selon les figures 5 et 6, dans chacun-des n canaux de-
mesure, il est branché à la suite de chaque barrière lumineu-
se formée par la paire de source de rayonnement/élément de réception 164, 166 un intégrateur 260 lui-même suivi d'un interrupteur à valeur seuil 262. Les impulsions émises. par le phototransistor 166 sont transformées par intégration dans 1' intégrateur 260 en une tension en gradins, en admettant que,
pour une mesure de longueur de pied, toutes les barrières lu-
mineuses sont parcourues au moins deux fois. Si elles ne sont
parcourues que deux fois, l'escalier" de la tension en gra-
dins comporte exactement deux gradins. L'interrupteur à va-
leur seuil 262 monté en aval est par exemple un trigger de Schmidt. L'intégrateur 260 est constitué essentiellement par un condensateur 150 et une résistance 152 montée en parallèle avec le condensateur 150. Une borne du condensateur 150 et de la résistance 152 est mise à la terre. Les autres bornes sont
reliées à la sortie du phototransistor 166 par l'intermédiai-
re d'une diode. On donne à la résistance 152 une valeur telle que le signal de sortie de l'intégrateur 260 ne dépasse le seuil de déclenchement du trigger de Schmidt, c'est-à-dire
de l'interrupteur à valeur seuil 262, que si lui sont trans-
mise pendant une opération de mesure la totalité des impul-
sions de rayonnement émises par la source de rayonnement 164 qui lui est associée à l'intérieur du canal de mesure. Grâce
à cette disposition, on peut éliminer les signaux perturba-
teurs, notamment ceux qui proviennent de rayons lumineux ex-
térieurs. Cette disposition augmente par conséquent la'préci-
sion de la mesure.
On peut encore augmenter la précision de la mesure en
évitant les erreurs de lecture, au moyen d'éléments OU exclu-
sif 270 qui, comme le-montrent les figures 5 et 6, sont bran-
chés aux canaux de mesure. A chaque canal de mesure est alors
branché un élément OU exclusif 270.
La sortie de l'interrupteur à valeur seuil 260 est agen-
cée de façon à prendre un potentiel zéro en cas de franchisse-
ment du seuil de déclenchement. Ce potentiel parvient à l'élé-
ment OU exclusif 270 monté à la suite.
Les éléments OU exclusif 270 sont branchés à la suite de chaque interrupteur à valeur seuil 262 de façon que la sortie d'un interrupteur à valeur seuil 267 active une sortie de chacun des deux éléments OU exclusif 270 branchés à la suite; et que les deux autres entrées des deux éléments OU
exclusif 270 soient activées par les deux autres interrup-
teurs à valeur seuil 262 disposés des deux côtés du premier
interrupteur à valeur seuil 262.
En admettant que le canal m représenté à la figure 6 est
le premier canal dont la barrière lumineuse ne soit pas inin-
terrompue par le pied, la situation d'ensemble aux éléments
OU exclusif se présente de la façon suivante.
La totalité des canaux m - 1, m -- 2, etc., qui se trou-
vent sous ce canal et dont les barrières lumineuses sont in-
terrompues par le pied ont un potentiel positif à la sortie de leurs interrupteurs à valeur seuil 262. En raison de ce fait, c'est également un potentiel positif qui est appliqué aux deux entrées des deux éléments OU exclusif 279 branchés à la suite. Les sorties de ces éléments OU exclusif 279 sont donc au potentiel zéro. La totalité des canaux m + 1, m + 2,
etc. qui se trouvent au dessus du canal m dans le sens ascen-
dant des points de trame de mesure de longueur de pied ont,
à la sortie de leurs interrupteurs à valeur seuil 262, un po-
tentiel zéro qui est appliqué aux deux entrées des éléments OU exclusif 270 branchés à la suite. Seul l'élément OU exclusif 27 du canal m représenté dans le cas présent, c'est-à-dire du
premier canal dont la barrière lumineuse n'est pas interrom-
pue, présente à ses deux entrées un potentiel différent et, par conséquent, présente à sa sortie un potentiel positif. En conséquence, grâce au montage représenté, un seul élément OU exclusif 270 présente en permanence à sa sortie un potentiel positif, tous les autres éléments OU exclusif 270 ont par contre à leur sortie un potentiel zéro. L'élément OU exclusif 270 qui présente un potentiel positif à sa sortie correspond exactement à la barrière lumineuse qui n'est pas interrompue
par le pied.
Les éléments OU exclusif 270 sont disposés l'un derrière l'autre dans le sens ascendant des points de trame de mesure de longueur de pied et sont en même temps associés de façon
biunivoque aux diodes à émission de lumière 280 qui sont dis-
posées également dans le sens ascendant des points de trame
de mesure de longueur de pied. Le résultat de cette disposi-
tion est que, lorsqu'on mesure une longueur de pied, une seu-
le diode à émission de lumière 280 est en permanence éclairée,
à savoir celle qui correspond à la pointure de chaussure as-
sociée à la longueur de pied.
Au total, avec le dispositif de mesure qui vient d'être décrit, l'activation des différentes paires de source de
rayonnement/élément de réception 164, 166 qui se déroule suc-
cessivement dans le temps dans l'ensemble multiplex à base de temps assure la subordination biunivoque entre les sources de rayonnement 164 et les éléments de réception 166 en ce qui concerne le rayonnement transmis de l'un à l'autre. Il en résulte que sont éliminées, au moins dans une large mesure, les erreurs de mesure géométrico-optique et opto- ondulatoire qui se produisent avec les appareils connus décrits dans 1'
introduction à la description. Le dispositif branché à la
suite de la barrière lumineuse et constitué par l'intégrateur 260 et l'interrupteur à valeur seuil 262 sert à éliminer les signaux perturbateurs, notamment ceux qui proviennent des rayons lumineux étrangers. Répondant au but de l'invention, ce dispositif permet donc d'augmenter encore la précision de la mesure. Les éléments OU exclusif 270 prévus à l'extrémité de chaque canal de mesure, y compris leur connexion avec les autres parties constitutives des canaux de mesure, permettent de différencier clairement des autres canaux de mesure le premier canal de mesure dans le sens ascendant des points de
trame de mesure dont la barrière lumineuse n'est pas in-ter-
rompue par le pied. En liaison avec la combinaison entre les éléments OU exclusif 270 et les diodes à émission de lumière, cette mesure aboutit également à une nouvelle augmentation de la précision de mesure qui répond entièrement au but de l'invention. La mesure électrique de la longueur du pied au moyen de barrières lumineuses disposées les unes après les autres dans le sens des points de trame de mesure successifs, dont les
sources de rayonnement et les éléments de réception sont as-
sociés entre eux de façon biunivoque, a pour autre avantage que la mesure de la longueur du pied peut être effectuée en même temps que la mesure de la périphérie du pied décrite au
début. En effet, lorsqu'on utilise le dispositif électroni-
que, il n'est pas nécessaire qu'une extrémité du pied, en général le talon, soit appliquée contre une butée fixe. Avec le dispositif qui vient d'être décrit, on obtient un signal de sortie élevé à l'un des éléments OU exclusif chaque fois que l'on a des potentiels différents aux sorties de deux canaux de mesure ou barrières lumineuses placés l'un à côté
de l'autre et associés à un élément OU exclusif. Par consé-
quent, au moyen du dispositif qui vient d'être décrit, on peut mesurer avec précision également les emplacements des
deux extrémités d'un pied, c'est-à-dire des orteils et du ta-
lon, grâce au changement qui s'effectue à ces endroits entre
les barrières lumineuses interrompues par le pied et les bar-
rières lumineuses non interrompues par le pied. En l'occuren-
ce, on peut associer de façon univoque à la longueur de pied et,.par conséquent, à la pointure, le nombre d'éléments OU exclusif qui se trouvent entre les deux éléments OU exclusif à potentiel de sortie élevé. Ce nombre peut être déterminé
de façon électronique à l'aide du dispositif compteur ou dif-
férentiel. Dans un tel dispositif électronique, les sorties des éléments OU exclusif ne sont pas reliées directement aux diodes à émission de lumière 280, mais le sont d'abord au
compteur ou au différentiel. La sortie de cet ensemble dif-
férentiel active alors la diode à émission de lumière oerres-
pondant à la pointure. Bien que le dispositif qui vient d'être décrit en dernier ait pour avantage de permettre d'effectuer la mesure de la longueur du pied en même temps que la mesure de la périphérie du pied, il se caractérise par rapport au
dispositif décrit précédemment par une augmentation de la dé-
pense électronique. Cette dépense résulte du fait qu'il faut
prévoir plusieurs barrières lumineuses. En effet, avec un dis-
positif dans lequel l'une des extrémités du pied, par exemple le talon, est appliquée contre une butée fixe, ce n'est que dans la zone des orteils ou du thénar qu'il est nécessaire de
prévoir des barrières lumineuses. La distance entre les-bar-
rières lumineuses peut alors être égale à la distance entre deux pointures de chaussure. Par contre, lorsque la mesure
-3. -_30
de la longueur du pied s'effectue sans qu'il y ait d'emplace-
ment de mesure prédonné de façon fixe pour le talon, il faut
que la distance entre les barrières lumineuses soit plus pe-
tite que la distance entre deux pointures qui se suivent im-
médiatement.

Claims (25)

REVENDICATIONS
1. Dispositif pour déterminer la pointure de chaussure correspondant à un pied, notamment au pied d'un petit enfant, comportant: - un logement de pied de forme allongée destiné à rece- voir le pied à mesurer;
- un mètre à ruban s'étendant transversalement par rap-
port au logement du pied qui, par sa première extrémité, est fixé en position par rapport au logement du pied, forme par dessus ce logement une boucle et peut se déplacer par sa deuxième extrémité par rapport au logement du pied pour tirer et tendre la boucle autour de la périphérie du pied à mesurer, et
- un poste de lecture qui est fixe par rapport à la pre-
mière extrémité du mètre à ruban et est disposé en face de marques repères, lesquelles sont disposées mobiles en même temps que la deuxième extrémité du mètre à ruban, caractérisé en ce qu'il est associé de façon fixe au poste de lecture d'autres postes de lecture supplémentaires (fenêtres ou voyants 282) et en ce qu'il est prévu pour recevoir les
marques repères, dans le voisinage de tous les postes de lec-
ture, un porte-diagramme (18) mobile couplé à la deuxième ex-
trémité du mètre à ruban (9).
2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'un dispositif tendsur (10,20) commandable est accouplé
a la deuxième extrémite du mètre à ruban (9).
3. Dispositif selon la revendication 2, caractérisé en ce que le portediagramme (18) est associé à une partie (20)
du dispositif tendeur (10,20).
4. Dispositif selon la revendication 3, caractérisé en
ce que le dispositif tendeur (10, 20) comporte un tambour en-
rouleur (20) pour le mètre à ruban (9) qui est relié coaxiale-
ment à un cylindre gradué (18) formant le porte-diagramme et
est notamment venu d'une pièce avec ledit cylindre.
5. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce qu'un élément d'entraînement (10) est prévu à l'extrémité
du cylindre gradué (18) située à l'opposé du tambour enrou-
leur (20).
6. Dispositif selon la revendication 5, caractérisé en ce qu'il est prévu un multiplicateur (16) entre l'élément d' entraînement qui affecte notamment la forme d'un volant ou
bouton à main moleté (10) et le cylindre gradué (18).
7. Dispositif selon la revendication 6, caractérisé en ce que le dispositif tendeur (10,20) comporte un dispositif
pour la limitation de la force de tension et en ce que, lors-
qu'il est fait appel à une roue à main ou bouton moleté (10), ce dernier comporte sur sa périphérie des gorges creuses (11) de faible profondeur et est monté en dessous d'une plaque de recouvrement (4) de telle façon qu'un seul secteur du bouton
moleté apparaît à l'extérieur en passant dans une fente ména-
gée dans ladite plaque.
8. Dispositif selon une quelconque des revendications
1 à 7, caractérisé en ce que le mètre à ruban (9) est fixé par sa première extrémité sur le côté du logement de pied (7)
situé à l'opposé de la boucle, passe dans une fente longitu-
dinale (23) de ce logement pour former la boucle, est ramené en arrière pour repasser dans cette fente puis arrive au point
d'accouplement (fente 21) avec le porte-diagramme (18).
9. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce que la partie du mètre à ruban (9) qui forme la boucle est plus mince (épaisseur d) que le reste du ruban (épaisseur D).
10. Dispositif selon la revendication 8 ou 9, caractéri-
sé en ce que le mètre à ruban (9) est fait en matériau thermo-
plastique inextensible, notamment en.polyamide.
11. Dispositif selon une quelconque des revendications
8 à 10, caractérisé en ce que la première extrémité du mètre à ruban (9) est accouplée à un dispositif d'ajustement-(24,25)
qui est fixe au logment de pied (7).
12. Dispositif selon la revendication 11, caractérisé en ce que la première extémité du mètre à ruban (9) entoure un écrou fileté (fixation 24) qui est vissé sur une tige filetée d'ajustement (25) laquelle est montée sur le logement de pied
(7) libre en rotation mais calée en déplacement axial.
13. Dispositif selon une quelconque des revendications
8 à 12, caractérisé en ce qu'à l'extérieur de la boucle, le mètre à ruban (9) est disposé au moins en partie dans un canal de guidage dont les parois sont disposées parallèlement aux
grands côtés du mètre à ruban et à proximité de ce dernier.
14. Dispositif selon la revendication 4 ou 13, caracté-
risé en ce que le canal de guidage comporte un canal annulai-
re qui est limité par une paroi annulaire entourant à dis-
tance le tambour enrouleur (20).
15. Dispositif selon la revendication 14, caractérisé en ce que, pour faciliter le déplacement du mètre à ruban
(9) dans le canal annulaire, le tambour enrouleur (20) pré-
sente une périphérie qui, à partir du point de fixation (21) entre tambour enrouleur et mètre à ruban, va en s'élargissant
en spirale dans le sens du ruban.
16. Dispositif selon une quelconque des revendications
1 à 15, caractérisé en ce que les postes de lecture (fenê-
tres 282) possèdent un dispositif de signalisation réglable
(diodes à émission de lumière 280).
17. Dispositif selon une quelconque des revendications
1 à 16, caractérisé en ce que le porte-diagramme (18) comporte un élément de recouvrement (4) muni de fenêtres ou voyants
(282) qui forment les postes de lecture.
18. Dispositif selon une quelconque des revendications
1 à 17, caractérisé en ce qu'il est prévu un dispositif sup-
plémentaire, notamment électronique, pour la mesure de la
longueur de pied qui active le dispositif de signalisation.
19. Dispositif selon la revendication 18, caractérisé en ce que le dispositif de signalisation comporte des diodes à émission de lumière (280) qui sont associées aux postes de lecture de façon biunivoque de façon réversiblement univoque
ou bijective.
20. Dispositif selon une quelconque des revendications
18 oul9, caractérisé en ce que le dispositif destiné à la
mesure électronique de la longueur de pied comporte des pai-
res (164, 166) de source de rayonnement/élément de réception, disposées les unes à côté des autres dans le sens des points
de trame de mesure de longueur successifs, dans chacune des-
quelles la source de rayonnement (164) et l'élément de récep-
tion (166) sont placés l'un en face de l'autre par rapport au logement de pied correspondant (8), en ce que la dimension
dans le sens des points de trame de mesure successifs des sur-
faces émettrices de rayonnement des sources de rayonnement (164)
et celle des surfaces des éléments de réception (166) réagis-
sant aux rayonnements est inférieure ou égale à la distance entre points de trame de mesure immédiatement-voisine, et en ce qu'au moins à l'intérieur des paires (164, 166) de source de rayonnement/élément de réception immédiatement voisines, les sources de rayonnement (164) et les éléments de réception (166) sont associées respectivement les unes aux autres de façon biunivoque (réversiblement univoque ou bijective) en ce
qui concerne les signaux transmis de l'une à l'autre.
21. Dispositif selon la revendication 20, caractérisé en
ce que les sorties des éléments de réception (166) sont re-
liées aux diodes à émission de lumière (280).
22. Dispositif selon la revendication 21, caractérisé en ce que les sources de rayonnement (164) sont des diodes émettrices de rayonnement et les éléments de réception (168)
sont des phototransistors.
23. Dispositif selon une quelconque des revendications
21 à 22, caractérisé en ce que le dispositif comporte un en-
semble multiplex à base de temps (162,180) adapté à activer
rythmiquement de façon successive dans le temps au moins les.
paires de source de rayonnement/élément de réception (164,166)
immédiatement voisines.
24. Dispositif selon une quelconque des revendications
à 23, caractérisé en ce qu'à la suite de chaque élément de réception (166) , il est branché deux éléments OU exclusif (270) de telle façon que l'unité de réception (166) active exactement une entrée de chaque élément OU exclusif (270) tandis que les deux autres entrées sont activées par les deux autres éléments de réception (166) disposés de part et-d'autre du premier élément de réception (166>, et en ce qu'à chaque élément OU exclusif (270) est branché un intégrateur (260) à la suite duquel est branché un interrupteur à valeur seuil
(262). -
25. Dispositif selon la revendication 24, caractérisé en
ce que le dispositif comporte une minuterie (117) qui main-
tient en état de marche l'ensemble multiplex à base de temps (162, 168) jusqu'à ce que celui-ci ait activé rythmiquement un certain nombre entier de fois prédonné, supérieur à deux, la totalité des paires de source de rayonnement/élément de
réception (164, 166) et en ce qu'il est-prévu, montée en pa-
rallèle avec l'intégrateur (260), une résistance (152) dont la valeur ohmique est choisie telle que l'intégrateur (268) n'émet un signal dépassant la valeur seuil que lorsqu'a été reçu le nombre entier prédonné d'impulsions.
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