CH680038A5 - Slide clasp fastener that rolls up one side - Google Patents

Description

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Description

La présente invention est relative aux dispositifs de fermeture à glissière tels que ceux équipent des pièces d'habillement ou autres articles utilisés notamment dans le domaine du sport ou des loisirs, comme par exemple des gants, des sacs de sport et des chaussures.

Ces dispositifs ont pour but de rapprocher et maintenir dans cette position deux éléments pour réaliser la fermeture de l'article concernè pour son utilisation et de permettre une ouverture aisée de la partie fermée pour autoriser l'accès vers l'intérieur du vêtement ou du sac, et/ou l'enlèvement du gant ou la libération du pied de la chaussure.

De nombreuses adaptations de dispositifs de ce genre sont bien connues. On peut citer à titre d'exemple les fermetures à glissière décrites dans les brevets GB 531 776 et GB 380 909, US 2 970 390, la demande de certificat d'utilité FR 2 549 701 et le modèle d'utilité KR 84-2311, appliquées à des chaussures, ou la fermeture décrite dans le document DE 3 604 103 A1 et qui concerne un gant. Ces documents enseignent des adaptations de fermetures à glissière qui, lors de la manœuvre d'ouverture, libèrent simultanément les deux éléments qui étaient maintenus rapprochés et sur lesquels est montée la glissière, cette libération se faisant dans la limite du déplacement d'un curseur le long de la glissière. La libération des deux éléments autorise l'accès vers l'intérieur de l'article concerné. Les éléments ainsi désolidarisés restent cependant la plupart du temps en position rapprochée l'un de l'autre, et l'utilisateur, pour avoir accès vers l'intérieur par l'ouverture ainsi réalisée, est amené à écarter et à maintenir écartés, pour son intervention, les deux éléments, ce qui peut parfois être malaisé et rend la main de l'utilisateur au moins partiellement indisponible pour une autre opération.

Ce sont ces inconvénients que la présente invention vise à éliminer.

Ses caractéristiques et certains avantages apparaîtront à la lumière de la description qui suit et pour l'intelligence de laquelle on se référence aux dessins, dont:

- la fig. 1 montre un dispositif de fermeture à glissière selon l'invention, en état de fermeture,

- les fig. 2 et 3 illustrent deux stades successifs de l'opération d'ouverture du dispositif de la fig. 1, et 3a à 3e montrant des variantes.

- les fig. 4 et 5 montrent un vêtement du genre blouson équipé sur le devant dans sa partie supérieure d'une fermeture à glissière selon l'invention, en état fermé à la fig. 4 et ouvert à la fig. 5,

- les fig. 6 et 7, de la même manière, représentent un sac de sport auquel est appliquée l'invention,

- les fig. 8 et 9 illustrent de même une application de l'invention à un gant, et

- les fig. 10 et 11, l'application de l'invention à une chaussure.

La fermeture à glissière 3 représentée à la fig. 1, hormis ce qui est spécifique à l'invention et apparaîtra plus loin, peut être de tout type courant. Elle sert à maintenir rapprochés en les rendant momentanément solidaires deux éléments 1, 2 sur lesquels elle est montée.

Selon l'invention, une tirette 5 attachée au curseur 4 de la fermeture à glissière 3, est reliée 7 par une languette souple 6 à la partie d'extrémité de l'élément 1 assujetti à la glissière 3. La liaison 7 de la languette souple 6 sur l'élément 1 est localisée à une certaine distance dans le sens longitudinal dans ie sens de l'ouverture de l'axe de pivotement du curseur 4 et dans le sens transversal au moins à la limite de la glissière 3 mais de préférence à une certaine distance de celle-ci. De la sorte, la languette souple 6 pourra aisément fléchir lors des manœuvres de la tirette 5 pour déplacer dans un sens ou l'autre le curseur 4 dans la glissière 3.

Dés lors, il est clair, comme l'illustrent les fig. 2 et 3, que la manœuvre de la tirette 5 pour déplacer le curseur 4 dans le sens de l'ouverture, va avoir pour effet d'entraîner par la languette 6 l'extrémité de l'élément 1 et, en même temps que le curseur 4, la partie correspondante de la glissière 3. On a donc un effet d'enroulement de l'élément 1 sur lui-même, comme on le voit bien à la fig. 3 en particulier. L'élément 1 s'écarte donc complètement de l'autre élément 2, donnant accès direct sans autre manœuvre à l'intérieur de l'espace qui était fermé par la glissière 3.

Dans l'exemple représenté aux fig. 1 à 3, l'élément 2 est une partie fixe ou relativement peu déforma-ble, ou est rattaché à une telle partie de l'article considéré à une distance de la glissière 3 relativement courte. L'élément 1 par contre, comme le montre bien la fig. 3, doit pouvoir s'enrouleur sur lui-même, aussi doit-il avoir la souplesse nécessaire et ne pas être entravé dans sa déformation par des parties rigides ou peu déformables de l'article considéré, notamment au niveau de sa bordure 10 qui s'étend à partir de l'extrémité 13, (comme représenté aux fig. 3a à 3e), d'ouverture de la glissère 3 et transversalement à cette dernière jusqu'au point extrême 18 de limite supérieure de sa zone de raccordement 8 avec de telles parties de cet article. Plusieurs solutions destinées à faciliter l'enroulement de l'élément 1, ou au moins de sa partie 1', destinée à être plus particulièrement le siège de l'enroulement, sont possibles et peuvent consister;

(a) à obtenir l'élément 1 ou au moins sa partie l'assujettie à la glissière 3, en un matériau extensible et/ou déformable, tel que représenté dans les fig. 3a et 3b,

(b) à rendre variable la position du point extrême 18 de la zone de raccordement 8 dans le sens du déplacement du curseur 4 sur la glissière 3, en le rendant dépendant de la position du dit curseur 4, tel qu'illustré à la fig. 3c,

(c) à positionner le point extrême 18 de la zone de raccordement 8 par rapport à l'orientation longitudinale de la glissière 3, de sorte que la partie de l'élément 1 et/ou sa bordure 10 ne soit pas soumise à extension pour un déplacement donné du curseur 4 sur la dite glissière 3,

(d) à combiner au moins deux des solutions précédentes.

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Pour l'exemple de la solution (a) représentée par la fig. 3a, qui montre le dispositif de fermeture vu en plan, on constate que la partie 1 ' de l'élément 1 assujettie au curseur 4 sur la glissière 3 correspond à un triangle variable. Ce triangle est déterminé par l'extrémité 13 d'ouverture de la glissière, le point extrême 18 de sa zone de raccordement 8 et la position relative du curseur 4 sur la glissière 3. Les côtés du triangle sont matérialisés l'un, par la longueur d'ouverture de la glissière (longueur variable comprise entre l'extrémité 13 de la glissière et la position du curseur 4 sur cette dernière), l'autre, par la bordure 10 d'élément 1 (comprise entre l'extrémité 13 de la glissière et le point extrême 18 de la zone de raccordement 8) tandis que le troisième côté, ou côté d'enroulement, de longueur variable, est défini par la droite 10' joignant le point extrême 18 au curseur 4 pour chaque position de ce dernier su la glissière, cette droite se superposant à la bordure 10 subordonnée à la position du dit curseur. Dans cet exemple de la fig. 3a, la partie l'de l'élément 1 a la forme d'un triangle rectangle variable et s'enroule en cornet depuis la point 18 autour d'une ligne qui est médiane à l'angle au sommet défini par la bordure 10 considérée en position initiale (côté 18-13 du triangle) puis en position d'ouverture (droite 10', côte 18-4 du triangle). Le point extrême 18 de raccordement étant fixe, en position, on s'aperçoit que la bordure 10 qui constitue l'un des côtés de l'angle droit du triangle (18, 13, 4) constitue également l'hypoténuse (droite 10') de ce triangle en position d'ouverture et donc, doit nécessairement être prévue élastique-ment déformable pour accepter cette variation de longueur.

C'est également vrai dans l'exemple de la fig. 3b, où la partie 1' de l'élément 1, assujettie au curseur 4 sur la glissière 3 forme un triangle variable quelconque (18,13, 4) dont le plus grand côté, ou côté d'enroulement, est celui défini par la droite 10' qui s'étend du point extrême 18 de raccordement jusqu' au curseur 4, pour chaque position de ce dernier sur la glissière 3.

A la lumière de l'explication précédente en référence aux fig. 3a et 3d, on s'aperçoit qu'il suffit de rendre mobile et/ou variable ia position du point extrême 18 de raccordement pour autoriser également l'enroulement de la partie 1' d'élément 1 (solution (b) évoquée précédemment); en effet, comme on le voit dans l'exemple de la fig. 3c la variation de la position du point 18 sensiblement dans ia direction du curseur 4 selon la flèche 20 évite l'extension de la partie 1 ', et notamment de sa bordure 10. Il va de soi que la mobilité relative du point 18 doit être au moins correspondant à la différence de la longueur du côté 18, 4 (droite 10') du triangle rectangle (fig. 3a) ou du triangle quelconque (fig. 3b), moins la longueur du côté 18,13 (bordure 10) desdits triangles.

Egalement, tel que visible sur les fig. 3d et 3e, toujours pour éviter l'extension de la partie V d'élément 1 lors de l'ouverture de la glissière 3, il est concevable de positionner le point extrême 18 de raccordement par rapport à l'orientation longitudinale de la glissière 3, de manière à ce que le triangle formé par la partie 1 ' d'élément 1 présente un côté d'enroulement 18, 4, ou droite 10', de longueur inférieure

à celle du côté 18,13, ou bordure 10, ou au maximum égale à ce dernier et ce, pour un déplacement donné du curseur 4. Une telle disposition correspond à la solution (c) évoquée précédemment, et consiste à situer le point extrême 18 longitudinalement à la glissière 3, en deçà de l'extrémité 13 d'ouverture de cette dernière.

Une première illustration d'une telle réalisation est visible à la fig. 3d. Dans cet exemple, la partie 1' d'élément 1 représente, en position d'ouverture maximum, un triangle isocèle 13,18,4 dont le côté 18, 13, correspondant à la bordure 10, est de longueur égale au côté 18, 4, correspondant à la droite 10' ou côté d'enroulement, tandis que le côté 13, 4, constituant la base dudit triangle isocèle, correspond à la longueur d'ouverture de la glissière 3. Le point extrême 18 servant de pivot à la bordure 10, puisque fixe en position, on s'aperçoit que ladite bordure subira un certain relâchement pour toutes les positions intermédiaires d'ouverture de la glissière 3. Par ailleurs, la position du point extrême 18, longitudinalement à la glissière 3, et par rapport à l'extrémité d'ouverture 13 de cette dernière, est située à la moitié de la longueur de déplacement maximum du curseur 4 sur la glissière.

Une deuxième illsustration de la solution (c) est visible sur la fig. 3e, et montre un positionnement du point extrême 18 tel que la partie de l'élément 1 en ouverture maximum, définit un triangle rectangle dont le côté 18, 13 (bordure 10) constitue l'hypoténuse de ce dernier, alors que le côté 18, 4, ou côté d'enroulement (droite 10'), constitue l'un des côtés de l'anlge droit. Dans ce cas de construction, la bordure 10 (hypoténuse 18, 13) vient se superposer à la droite 10' (côté 18, 4) en ouverture maximum de la glissière 3 et subit donc un relâchement constant.

Il va de soi que le dispositif de fermeture à glissière selon l'invention peut combiner plusieurs des solutions d'adaptation qui viennent d'être enseignées en référence aux fig. 3a à 3c. Ainsi, par exemple, on peut prévoir d'autoriser l'enroulement de la partie Y d'élément 1 sans extension jusqu'à une certaine valeur d'ouverture de la glissière 3 au moyen du curseur 4, tel qu'en fig. 3d ou 3e, puis avec extension, tel qu'en fig. 3a.

Egalement, il est possible de combiner une ouverture avec relâchement de ia partie l'd'élément 1, tel qu'en fig. 3d et 3e, puis avec déplacement du point extrême 18 de raccordement, tel qu'en fig. 3c.

Pour favoriser une bonne préhension par l'utilisateur, la tirette 5 se prolonge avantageusement sensiblement au-delà de la languette 6 et du curseur 4. On peut lui associer un moyen de retenue pour maintenir, en état de fermeture quand le curseur 4 est verrouillé, cette tirette 5 plaquée sur l'article équipé du dispositif selon l'invention. Ce moyen de retenue peut être constitué par un ressort, un bouton-pression, un emboîtement élastique, etc ... ou un tissu à structure d'accrochage, par exemple du type connu boucles-crochets, coopérant avec un tissu complémentaire disposé sur le deuxième élément 2 ou toute autre partie de l'article concerné.

L'invention telle qu'elle vient d'être décrite jusqu'à présent s'applique sans problème particulier à des fermetures à glissière disposées de façon

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classique sur l'article concerné quand la zone appelée plus haut zone de raccordement de l'élément 1 sur une partie consistante de l'article est relativement éloignée de la glissière 3 et/ou dont le point extrême de raccordement est variable en position tel que visible à la fig. 3c pour permettre l'enroulement de l'élément 1 par traction sur la tirette 5.

C'est le cas par exemple pour une application à un sac de sport du type illustré aux fig. 6 et 7, ou un gant comme celui des fig. 8 et 9. Dans ces exemples, la glissière 3 est disposée dans une direction classique sensiblement longitudinale par rapport à l'article considéré. Pendant l'ouverture, le sommet du cornet d'enroulement, constitué par le point extrême de raccordement 18 se trouve entre la glissière 3 et la zone de raccordement 8 évoquée plus haut et tend, au moins en fin d'opération d'ouverture, à se localiser en position d'équilibre dans cette zone.

Par contre, pur des articles dans lesquels la zone de raccordement 8 et/ou le point extrême 18 de raccordement de la bordure 10 de l'élément 1 ne serait pas libre, ou pas suffisamment libre de s'enrouler comme décrit si la glissière était disposée de façon classique, c'est-à-dire selon une direction générale longitudinale, il y a lieu, pour que l'ouverture de la glissière 3 selon l'invention, soit possible sans détérioration du matériel, de trouver une disposition de la glissière 3 inclinée suffisamment par rapport à la direction longitudinale usuelle pour que l'enroulement de l'éiément 1 reste possible dans des conditions acceptables. Cette disposition inclinée de la glissière 3 consiste à situer le point extrême 18 de raccordement de l'élément 1 par rapport à la dite glissière de la même manière que cela a été exposé précédemment en référence aux fig. 3d et 3e. Une telle disposition est réalisée dans l'exemple du vêtement de type blouson, illustré par les fig. 4 et 5, vêtement dans lequel une glissière centrale ne pourrait permettre qu'une ouverture de très faible amplitude du fait de la forme de ce dernier, incompatible avec un enroulement de l'élément 1 dont le point de raccordement pourrait aller au-delà approximativement de la zone de la clavicule correspondante. Aussi, la glissière 3 est-elle disposée avantageusement en diagonale sur le torse, le bord libre de l'élément 1 pouvant courir d'une clavicule à l'autre, donc selon une amplitude nettement suffisante pour obtenir un bon enroulement de l'élément 1.

Dans l'exemple de la chaussure des fig. 10 et 11, il est de même clair qu'avec une glissière axiale classique disposée sur le cou-de-pied, l'élément 1 ne pourrait connaître qu'une amorce d'enroulement insuffisante pour l'ouverture. Aussi la glissière 3 est-elle disposée sur l'empeigne de la chaussure pour courir sur le pied depuis la zone d'articulation méta-tarso-phalangienne d'un côté du pied vers la zone de la malléole opposée. De préférence, l'articulation métatarso-phalangienne sera celle qui correspond au gros orteil. L'élément 1 pourra ainsi sans problème s'enrouler sur le cou-de-pied, la sommet du cornet constitué par le point extrême 18 de raccordement pouvant se déplacer entre la zone du coude-pied vers la zone de la malléole opposée à la glissière 3, comme le montre bien la fig. 11.

Claims (18)

Revendications

1. Dispositif du fermeture à glissière (3) entre deux éléments (1, 2) d'un article, munie d'un curseur

(4) à tirette (5), caractérisé par le fait que l'un des éléments (1, 2) est susceptible de pouvoir être enroulé sur lui-même en état d'ouverture par l'intermédiaire de la tirette (5) à laquelle il est relié au moyen d'une languette souple (6) dont la liaison (7) avec cet élément (1) est disposée de manière que la monœuvre de déplacement du curseur (4) sur la glissière (3) à l'aide de la tirette (5) entraine la partie libérée (1 ') de l'élément (1 ) à s'enrouler sur elle-même dans le sens de l'ouverture et à se dérouler dans le sens de la fermeture de la glissière (3).

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait que la liaison (7) de la languette (6) sur l'élément (1 ) est localisée du côté opposé à la tirette

(5) par rapport au curseur (4).

3. Dispositif selon la revendication 1 ou la revendication 2, caractérisé par le fait que la liaison (7) de la languette (6) sur l'élément (1) est localisée dans le sens transversal par rapport à la glissière (3) au moins à la limite de celle-ci (3).

4. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé par le fait qu'à la tirette (5) est associé un moyen de retenue de celle-ci sur l'article concerné, en état de fermeture de la glissière (3).

5. Dispositif de fermeture selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que la partie libérée (1') de l'élément (1) s'étend, transversalement à la glissière (3), à partir de l'extrémité (13) d'ouverture de cette dernière jusqu'à un point extrême (18) de limite d'une zone de raccordement (8) avec l'élément (1) et, longitudinalement à ladite glissière (3), à partir de l'extrémité (13) d'ouverture de celle-ci jusqu'au curseur (4), pour chacune des positions de ce dernier sur la glissière (3) et représente un triangle variable (13,18,4).

6. Dispositif de fermeture selon la revendication

5, caractérisé par le fait que le point extrême (18) est situé, longitudinalement à la glissière (3), en-de-ça de l'extrémité (13) d'ouverture de cette dernière.

7. Dispositif de fermeture selon la revendication

6, caractérisé par le fait que le point extrême (18) est en-deça de l'extrémité (13) d'une valeur correspondante au moins à la moitié de la longueur du déplacement du curseur (4) sur la glissière (3).

8. Dispositif de fermeture selon l'une quelconque des revendications 5 à 7, caractérisé par le fait que la position du point extrême (18) est dépendante de celle du curseur (4) sur la glissière (3).

9. Dispositif de fermeture selon l'une quelconque des revendications 5 à 8, caractérisé par le fait que la partie libérée (1') d'élément (1), au moins, est élas-tiquement déformable.

10. Gant comportant un dispositif de fermeture selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que le dispositif est utilisé pour sa fermeture.

11. Sac comportant un dispositif de fermeture selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que le dispositif est utilisé pour sa fermeture.

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12. Gant ou sac selon la revendication 10, caractérisé en ce que le dispositif de fermeture est disposé au moins approximativement axialement par rapport au sac ou gant.

13. Vêtement comportant un dispositif de fermeture selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que le dispositif est utilisé pour sa fermeture.

14. Vêtement selon la revendication 13, caractérisé en ce qu'il est du genre blouson.

15. Vêtement selon la revendication 14, caractérisé en ce que le dispositif de fermeture est disposé diagonalement sur le torse, au moins approximativement à partir de la zone d'une clavicule du porteur.

16. Chaussure comportant un dispositif de fermeture selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisée en ce que le dispositif est utilisé pour sa fermeture.

17. Chaussure selon la revendication 16, caractérisée en ce que le dispositif de fermeture est disposé diagonalement sur l'empeigne de la chaussure au moins approximativement de la zone de l'articulation métatarso-phalangienne à la zone de la malléole opposée.

18. Chaussure selon la revendication 17, caractérisée en ce que la zone de l'articulation métatarso-phalangienne est celle correspondant au gros orteil.

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