CH621882A5

CH621882A5 -

Info

Publication number: CH621882A5
Application number: CH1324177A
Authority: CH
Inventors: Edwin Rudolph Thompson
Original assignee: Forox Corp
Priority date: 1976-11-01
Filing date: 1977-10-31
Publication date: 1981-02-27
Also published as: JPS5722373B2; CA1101709A; US4102029A; GB1595322A; DE2748676A1; JPS5381118A; DE2748676C2

Description

La présente invention concerne un procédé et une machine automatique pour le montage de diapositives dans des cadres préassemblés.

Les machines actuellement utilisées pour le montage des diapositives ont l'inconvénient d'être compliquées, coûteuses et volumineuses. La complexité des mécanismes employés est en outre préjudiciable à la productivité de ces machines. Enfin, dans la plupart des cas, l'opérateur ne peut pas contrôler visuellement la position de la diapositive dans son cadre au moment du montage.

Le procédé selon l'invention et la machine pour sa mise en œuvre sont définis respectivement aux revendications 1 et 9.

Ce procédé permet de monter économiquement et rapidement des diapositives dans leurs cadres avec des mécanismes relativement simples. La machine permet une haute productivité, comporte des dimensions et une masse réduites et est d'une grande simplicité d'emploi. Les diapositives peuvent être montées dans des cadres en carton ou en matière plastique selon les désirs du client.

Dans la suite de la description, l'expression cadre préassemblé désigne un cadre pour diapositive qui est constitué de deux épaisseurs de carton, ou de matière plastique, partiellement fixées l'une à l'autre pour former une poche destinée à recevoir la diapositive. Les deux épaisseurs de carton, ou de matière plastique, peuvent être assemblées par collage, par soudage thermique ou ultra-sonique, ou par toute autre technique de fixation appropriée.

Le procédé présente les avantages suivants. La première diapositive peut être coupée du film avant son insertion complète dans le cadre. Le cintrage transversal du film permet d'augmenter sa rigidité longitudinale et de l'utiliser comme poussoir pour l'engagement de la diapositive coupée dans le cadre ouvert. La masse et l'inertie des pièces mobiles sont donc très faibles. Le remplacement du poussoir par l'extrémité du film élimine radicalement les problèmes d'usure. C'est le mouvement du cadre préassemblé en position de montage qui écarte les lèvres de la fente d'introduction. Un seul et même mouvement réalise ainsi deux fonctions distinctes. L'ouverture de la fente peut être assurée par une paire de coins fixes disposés de part et d'autre du passage de la diapositive coupée qui est poussée dans le cadre ouvert par l'extrémité du film non coupé.

Les dessins annexés représentent, à titre d'exemple, un mode de réalisation de l'objet de l'invention.

La fig. 1 est une vue en perspective d'une machine à monter les diapositives qui fonctionne selon le procédé de l'invention.

La fig. 2 est une vue en plan de dessus et en coupe partielle dans le plan 2-2 des fig. 3 et 4.

La fig. 3 est une coupe verticale dans le plan 3-3 de la fig. 4.

La fig. 4 est une coupe verticale dans le plan 4-4 de la fig. 2.

La fig. 5 est une coupe fragmentaire agrandie, dans le plan 5-5 de la fig. 2, montrant le système de guidage et d'éclairage du film.

La fig. 6 est une vue en perspective à grande échelle du dispositif de découpage du film et du poste de chargement dont les couvercles transparents ont été omis pour la clarté de l'illustration.

La fig. 7 est une vue en plan à grande échelle montrant l'introduction de la diapositive coupée dans son cadre.

La fig. 8 est une coupe très agrandie, dans le plan 8-8 de la fig. 7, montrant comment le film cintré peut pousser la diapositive coupée.

La fig. 9 est une coupe verticale à grande échelle, dans le plan 9-9 de la fig. 7, montrant l'interaction des coins et d'un cadre préassemblé.

La fig. 10 est une coupe partielle à grande échelle, dans le plan vertical 10-10 de la fig. 7, montrant l'ouverture du cadre par les coins et l'introduction de la diapositive.

La fig. 11 est une vue en perspective du mécanisme de découpage du film.

La fig. 12 est une vue fragmentaire à grande échelle du mécanisme de transport du film qui est également visible à une échelle plus réduite sur la fig. 3.

La fig. 13 est une coupe fragmentaire très agrandie dans le plan 13-13 de la fig. 12.

La fig. 14 est une vue en plan d'un cadre pour diapositive avant son repliage.

La fig. 15 est une coupe très agrandie, dans le plan 15-15 de la fig. 14, montrant le cadre refermé sur une diapositive.

La fig. 16 est une coupe fragmentaire, dans le plan 16-16 de la fig. 14, montrant la charnière du cadre en position ouverte.

La fig. 17 est une coupe analogue à celle de la fig. 16, mais montrant la charnière du cadre en position fermée.

Le procédé et la machine automatique de montage de diapositives dans des cadres préassemblés vont maintenant être décrits en regard des fig. 1 à 4. La vue en perspective de la fig. 1 illustre l'aspect général de la machine 10 qui comprend une platine avant 11, un boîtier arrière 12 contenant le moteur 13 (fig. 3) et un mécanisme de coupe 14. Le film en bande S est entraîné de gauche à droite (sur les fig. 1 et 3) entre la platine 11 et un couvercle transparent articulé 15, qui permet de voir les diapositives. Le film en bande S peut être fourni à la machine 10 par une bobine ou un distributeur classique.

La machine 10 comprend également un magasin vertical 16 qui contient une pile 17 de cadres préassemblés M. La pile 17 est nettement plus haute que le magasin 16 et comporte un dispositif de guidage central constitué par une barre 18 à section rectangulaire qui s'engage verticalement dans les fenêtres des cadres, comme illustré sur la fig. 3. La barre de guidage 18 est suspendue à une potence amovible 19. Une ouverture verticale 20 est découpée sur le devant du magasin 16 pour que l'opérateur sache quand la pile de cadres 17 a besoin d'être réapprovisionnée.

Lorsque la machine de montage 10 fonctionne, les cadres préassemblés M sont poussés un par un du bas du magasin 16 à

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un poste de montage situé sur la platine 11 sous un second couvercle transparent 21. L'opérateur peut ainsi contrôler visuellement la mise en place du film dans le cadre qui est au poste de montage. Cette opération sera décrite en détail dans la suite. Une source lumineuse 22 (fig. 3) éclaire des écrans translucides disposés sous le chemin de transport du film S et sous le poste de montage. Cette source lumineuse peut être un tube fluorescent s'étendant sur toute la longueur de la machine, de gauche à droite sur la fig. 3.

L'avance du film S, le transport des cadres en position de montage et le découpage du film en diapositives sont commandés en synchronisme par un même mécanisme 23 visible sur la fig. 2. Dans le mode de réalisation illustré, le mécanisme 23 est un système de leviers qui oscille horizontalement autour d'un axe géométrique fixe 24. En pratique, l'axe géométrique 24 est représenté par un axe vertical rotatif 26 visible sur la fig. 4. L'axe 26 tourillonne dans des paliers supérieur et inférieur 27 (fig. 4)

montés dans un tube vertical 28 qui est fixé par une bride de montage 29 sur un châssis intérieur 30. Le châssis 30 peut être une simple tôle pliée pour former des pattes 31 qui sont fixées au fond 32 de la machine (fig. 3). Le moteur 13 est également fixé verticalement sur le châssis intérieur 30.

Les cadres préassemblés M sont empilés dans le magasin 16 au-dessus d'un poste de distribution A (fig. 2). Du poste A, les cadres sont entraînés individuellement vers le poste de montage B où ils reçoivent une diapositive coupée. Le cadre et la diapositive montée sont ensuite transportés vers un poste C où les indications usuelles sont imprimées sur le cadre. On peut, par exemple, imprimer la date du traitement et une numérotation séquentielle des diapositives issues d'un même film, ainsi que d'autres indications. Après l'opération d'impression, les diapositives montées sortent par l'avant de la machine dans le sens de la flèche 34 de la fig. 2. A la sortie de la machine, les diapositives peuvent être empilées ou entraînées vers une machine de conditionnement.

Le mécanisme à leviers 23 comprend un premier bras de commande 36 (fig. 2) qui fait avancer les cadres d'un poste au suivant, et un second bras de commande 38 qui fait avancer le film S le long d'un chemin de guidage 40. Sur la coupe à grande échelle de la fig. 5, on voit que le chemin de guidage 40 est formé par deux rails parallèles 41 et 42 ayant chacun une section en L. Chaque rail forme une surface de contact inférieure 43, sur laquelle glisse le bord du film, et une surface de contact latérale 44 servant à guider la tranche du film. On voit, sur la fig. 5, que les surfaces 43 et 44 sont perpendiculaires, mais inclinées, respectivement par rapport à l'horizontale et à la verticale. En pratique, les surfaces 43 peuvent avoir un dévers extérieur de 6 à 12° par rapport à l'horizontale. Les surfaces 44 sont donc inclinées de 6 à 12"' par rapport à la verticale.

Le couvercle 15 est en une matière transparente et rigide, telle que le polyméthacrvlate de méthyle, et comporte une charnière 45 dont l'axe est parallèle au chemin de guidage 40. Ainsi, en relevant le couvercle 15 vers l'arrière, on peut facilement mettre le film S en place entre les guides 41 et 42. La partie centrale 46 du couvercle 15 est plus épaisse que le reste et forme deux nervures espacées 47 qui viennent plaquer les bords du film contre les surfaces 43 lorsque le couvercle est fermé. La géométrie du dispositif de guidage est telle que le film S se cintre transversalement dans un évidement 48 du couvercle 15 formé entre les deux nervures 47,

Un diffuseur translucide 50 est monté dans une ouverture allongée 52 de la platine 11 qui s'étend sur toute la longueur du chemin de guidage 40. Le diffuseur 50 est illuminé par la source lumineuse 22 et assure un éclairage uniforme du film S. On voit, sur la fig. 5, que la partie épaisse 53 du diffuseur s'adapte dans l'ouverture 52 de la platine 11 et que ses bords sont maintenus par des pièces de fixation 54. Le cintrage transversal du film S lui confère une bonne rigidité longitudinale, comme on le verra dans la suite.

En revenant à la fig. 2, on remarque que le premier bras de commande 36 du mécanisme 23 porte à son extrémité libre un axe 56 et un galet 58 qui est emprisonné entre deux pattes 60 repliées perpendiculairement sous un poussoir 62 (fig. 4). Le poussoir 62 est une plaque sensiblement rectangulaire (fig. 2),

dont la largeur est égale à celle d'un cadre préassemblé M. Une ouverture en H 59 est découpée dans la plaque 62 à proximité de son bord avant pour former les deux pattes 60 qui sont repliées à l'équerre vers le bas (fig. 4) et reçoivent entre elles le galet 58. Le galet 58 peut ainsi se déplacer librement dans le sens transversal. Le poussoir 62 est une pièce légère qui est animée d'un mouvement alternatif sur un chemin de guidage 64 (fig. 3) par les oscillations du bras de commande 36 du mécanisme 23. Le chemin de guidage 64 est formé d'une plaque mince 65 fixée sur la platine 11 et de deux rails latéraux parallèles 66, 67 espacés de la largeur du poussoir 62. Une ouverture allongée 70 (fig. 2) est découpée dans la plaque 65 et la platine 11 pour permettre les mouvements des pattes 60 et du galet 58. Un troisième couvercle transparent 71 (fig. 2) recouvre le poussoir alternatif 62 à l'arrière du magasin 16. Le second couvercle transparent 21 recouvre les postes de montage B et d'impression C en avant du magasin 16. Le couvercle 21 est articulé sur une charnière 68 (fig. 3) qui permet de le relever à volonté.

Le mouvement alternatif du mécanisme 23 est commandé par un levier 72 s'étendant horizontalement sous le moteur 13 (fig. 3). L'arbre 73 du moteur est muni d'une manivelle 74, qui porte à son extrémité libre un galet 75. Le galet 75 est engagé dans une gouttière 76 qui est formée sur le dessus du levier 72 par deux rebords longitudinaux 77. Ainsi, la rotation de la manivelle 74 et du galet 75 est convertie en une oscillation du levier 72 autour du point 24 sur un arc 78 (fig. 2). Le levier 72 est fixé à l'extrémité inférieure de l'axe vertical 26 par l'intermédiaire d'un bloc 79, qui peut être vissé ou rivé entre les rebords 77 du levier 72. Le bas de l'axe 26 est fixé par des goupilles 81 dans un trou du bloc 79.

Chaque cycle opératoire de la machine 10 correspond à un tour complet de l'arbre moteur 73 et de la manivelle 74. Le moteur 13 peut être alimenté de manière intermittente avec arrêt à chaque tour, ou de manière continue avec arrêt au bout d'un nombre déterminé de tours.

Pour ce type de fonctionnement, on peut avantageusement utiliser un moteur synchrone, par exemple un moteur SLO-SYN fabriqué par Superior Electric Company, Bristol, Connecticut. Pour faire exactement un tour complet à chaque cycle opératoire de la machine, le moteur 13 est commandé par un interrupteur 82 qui est actionné par une came 83 montée sur la partie supérieure de son arbre, comme illustré sur la fig. 3. Pour réaliser un fonctionnement continu, on peut utiliser un second interrupteur branché en parallèle avec l'interrupteur 82 et actionné par un compteur de tours. Ce système élimine les courroies, les embrayages, les freins et autres organes mécaniques généralement nécessaires dans les machines automatiques.

Les bras 36 et 38 du mécanisme 23 sont fixés sur un moyeu 84 (fig. 4) qui est lui-même fixé à la partie supérieure de l'axe vertical 26. Un palier de poussée 85 est interposé entre le moyeu 84 et le support tubulaire 28. Sur la fig. 2, la manivelle 74 et son galet 75 sont représentés dans leur position initiale correspondant à la rétraction complète du poussoir de cadres 62 et à l'avance maximale du second bras 38. On remarquera que la rotation de la manivelle 74 et du galet 75 produit une accélération et une décélération progressives du mouvement oscillant du bras 72.

Un mécanisme de transport 88 fait avancer le film S par intermittence sur son chemin de guidage 40. Le mécanisme 88, qui est visible sur les fig. 3 et 12, est actionné par un galet 90 monté à l'extrémité du second bras 38. Le galet 90 est reçu entre les joues 92 (fig. 12) d'une pièce en forme de bobine 94 qui déplace un chariot mobile 96 porté par des tiges 98 et 98'. La pièce 94 est reliée par une goupille 99 à une pièce filetée 100, qui est vissée dans un trou taraudé du chariot 96 (fig. 13). Le filetage 101, qui

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peut avoir plusieurs filets et un pas relativement grand, permet de régler la position relative de la pièce filetée 100 et du chariot 96. En faisant tourner la pièce filetée 100, on peut déplacer le chariot 96 et la griffe d'entraînement 103 qu'il porte.

Le levier 38 communique un mouvement de va-et-vient à la pièce 94, à la pièce 100 et au chariot 96. Les tiges 98 et 98' sont également solidaires de la pièce filetée 100. La tige 98 est ronde et peut coulisser dans un support fixe 102 (fig. 12). La tige 98' est carrée et peut coulisser dans un trou carré 105 d'un manchon 104 qui est porté par deux paliers 106.

Grâce à la section carrée de la tige 98', la rotation du manchon 104 est transmise à la pièce filetée 100 pour régler la position relative du chariot 96, comme décrit plus haut. Le manchon 104 est solidaire d'un pignon 108 dont la denture hélicoïdale à 45° est en prise avec une denture correspondante d'un second pignon 110 qui est claveté sur un arbre 112. Le rapport d'engrenage des pignons 110 et 108 permet de multiplier par deux la vitesse de rotation de l'arbre 112. Sur la fig. 4, on voit que l'arbre 112 tourillonne dans des supports fixes 114 et porte, à son autre extrémité, un pignon à denture droite 116. Un second pignon à denture droite 118, en prise avec le pignon 116, dépasse légèrement de la platine 11 par une ouverture 120 (fig. 4). Ainsi, en agissant avec le pouce sur le pignon 118, l'opérateur peut régler la position longitudinale de la griffe 103 d'entraînement du film. Un jonc d'arrêt 119 limite la course du chariot 96 sur la pièce filetée 100.

Le chariot 96 doit être maintenu dans une position verticale sur la pièce filetée 100 et comporte une tige stabilisatrice 120 (fig. 13) qui glisse entre deux guides parallèles 122. La griffe d'entraînement 103 est l'extrémité d'une pièce 123 qui est articulée sur un axe 124 du chariot 96 et qui est sollicitée vers le haut par un ressort 130 (fig. 12 et 13). On voit clairement, sur la fig. 12, qu'une fente 132 est découpée dans la platine 11 pour laisser passer la griffe 103 qui vient s'engager dans les perforations latérales 126 du film S. Le réglage de la position longitudinale de la griffe 103 à l'aide du mécanisme précédemment décrit est nécessaire, car les perforations 126 sont indépendantes du cadrage des clichés sur le film S.

Pendant la première partie de chaque tour effectué par la manivelle 74, le galet 75 tourne dans le sens de flèche 134 de sa position initiale N à une position intermédiaire N', comme indiqué sur la fig. 2. Pour le mécanisme illustré, l'arc N-N' représente environ 220° de la rotation de l'arbre 73. Le mouvement correspondant du levier 72 est un pivotement dans le sens des aiguilles d'une montre autour de son point fixe 24 (fig. 2) et le mécanisme 23 fait avancer le poussoir 62 pour transférer le premier cadre M de la pile au poste de montage B. En même temps, le cadre, qui se trouvait au poste B, est poussé au poste C et celui qui se trouvait au poste C est poussé vers la sortie 34. Simultanément, le levier 38 fait reculer le chariot d'entraînement 96 vers la gauche sur la fig. 3. Dès que le chariot 96 atteint sa position de rétraction complète, la griffe 103 remonte et s'engage dans l'une des perforations 126 du film S.

Le galet 75 tourne à vitesse constante, mais en atteignant les points N et N', sa vitesse tangentielle est momentanément orientée parallèlement à la longueur du levier 72. Ce point est important, car les mouvements du mécanisme 23 commencent par une phase d'accélération et finissent par une phase de décélération évitant les à-coups préjudiciables à la régularité du fonctionnement. Les positions N et N' sont les points extrêmes de la trajectoire circulaire du galet 75, vue du point fixe 24 et, dans ces positions, la manivelle 74 est perpendiculaire à l'axe longitudinal du levier 72.

Pendant la seconde partie de chaque révolution de la manivelle 74, le galet 75 est ramené de sa position intermédiaire N' à sa position initiale N, soit un arc d'environ 140°. Le mouvement correspondant du levier 72 est un pivotement en sens inverse des aiguilles d'une montre autour de son point fixe 24. En réponse à

ce mouvement, le mécanisme 23 rétracte le poussoir 62 en position arrière et fait avancer le mécanisme de transport 88 qui entraîne le film S pour pousser une diapositive coupée dans la fente du cadre M qui se trouve en position de montage B. Pendant la course de retour du poussoir 62, les cadres M restent immobiles à leurs postes respectifs.

Le mécanisme de coupe 14 (fig. 11) est destiné à découper la première diapositive du film S pendant que le poussoir 62 commence sa course d'avance. Le mécanisme de coupe est ensuite réarmé à chaque cycle opératoire. Plus précisément, le mécanisme 14 est commandé de façon que la première diapositive T soit complètement sectionnée du reste du film S et que la lame 140 soit rétractée avant le début de la course d'avance du mécanisme de transport. La diapositive coupée T est ainsi poussée dans la fente du cadre ouvert par l'extrémité fraîchement coupée du film S. Pour jouer ce rôle de poussoir, le film S doit être suffisamment rigide et c'est la raison pour laquelle il est cintré transversalement par son diapositif de guidage 40 (fig. 5). Le même principe de cintrage transversal est employé pour donner de la rigidité aux mètres enroulables en ruban d'acier. De plus, la courbure transversale du film S permet d'obtenir deux points de contact X avec la diapositive coupée T qui reprend immédiatement sa forme plane d'origine, comme illustré sur la fig. 8. Cette différence de forme entre le film cintré et la diapositive plane empêche que le bord avant du film glisse sur la diapositive au lieu de la pousser. Pour assurer le guidage de la diapositive, le couvercle 21 se prolonge en 21A (fig. 2 et 8) jusqu'au voisinage du poste de découpage et comporte un évidement intérieur 48 pour le passage du film cintré.

On voit, sur la fig. 11, que l'arbre supérieur 73' du moteur 13 entraîne, par un couple de pignons coniques 142. 144, un arbre horizontal 146 qui porte à son extrémité une came 150. La came 150 a un profil en spirale dont le rayon croissant fait pivoter un levier 152 autour d'un axe 154. Lorsque l'extrémité arrière du levier 152 atteint le décrochement 155 de la came, un ressort 156 fait brusquement retomber la partie avant du levier 152 qui porte une lame 140. Comme on peut le voir sur les fig. 6 et 7, le chemin de guidage 40 comporte une saignée transversale 158 pour recevoir la lame mobile 140 qui coopère avec une lame fixe 163 pour cisailler le film sur toute sa largeur. On voit, sur les fig. 4, 6 et 11, que la lame 140 est montée pour attaquer obliquement le film de façon que le point de coupure se déplace d'un bord à l'autre. La lame 140 peut être une lame de rasoir amovible fixée à la barre 152 par des vis 141. Au moment de son découpage, le film S est déjà cintré transversalement et il sert ensuite à pousser la diapositive T dans son cadre, comme indiqué par la flèche 159 sur la fig. 10.

Le mécanisme de coupe 14 étant directement entraîné par l'arbre du moteur 13, son action est parfaitement coordonnée avec les mouvements du mécanisme 23, sans dispositifs complexes de commande ou de synchronisation.

On voit, sur la fig. 9, que chaque cadre M qui est transféré en position de montage par le poussoir 62 (flèche 173), rencontre successivement deux coins espacés 160 et 161, destinés à ouvrir temporairement la fente d'introduction. Les coins 160 et 161 forment entre eux un passage 164 (fig. 6) par lequel une diapositive T peut être introduite dans la fente ouverte 136 du cadre. Le passage 164 est le prolongement du chemin de guidage 40 et les coins sont formés sur les extrémités des guides latéraux 41 et 42 (fig. 6).

Un diffuseur de lumière 166 (fig. 6), par exemple en matière plastique translucide, est disposé sous le poste de montage, de façon à couvrir toute la surface de la fenêtre W du cadre M. L'intérieur du couvercle transparent 21 est légèrement évidé intérieurement en 168 (fig. 10) pour permettre la déformation de la moitié supérieure 170 du cadre. De même, pour permettre la déformation de l'autre moitié 171 du cadre, une baguette 174 est

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encastrée transversalement dans la platine 11 et présente une section trapézoïdale appropriée, qui est visible sur la fig. 10.

L'épaisseur des coins 160 et 161 diminue progressivement en direction du centre du poste de montage pour épouser la forme triangulaire de l'espace qui s'ouvre entre les moitiés 170 et 171 du cadre M, comme illustré sur la fig. 10 pour le coin 160. Le premier coin 160 (fig. 9), qui assure l'ouverture initiale du cadre, peut avoir une pente plus longue et plus progressive que celle du second coin 161.

Dès que le cadre contenant la diapositive s'écarte des coins 160 et 161, ses deux moitiés 170 et 171 reviennent élastique-ment l'une contre l'autre pour serrer la diapositive T entre elles (comme illustré partiellement en 175 sur la gauche de la fig. 9). Le cadre M quitte définitivement les coins 160 et 161 en atteignant le poste d'impression C. Si nécessaire, le poste C peut être équipé de moyens de soudage ou de collage pour fermer définitivement le quatrième côté du cadre sur la diapositive. Sur la fig. 7, la zone en pointillé 180 peut contenir plusieurs points de fixation ou de soudage.

Les fig. 14 à 17 représentent un cadre pour le montage des diapositives, qui convient particulièrement bien au procédé et à la machine. Au départ, le cadre ouvert se présente sous la forme d'un flan plat 200 qui peut être moulé en une matière plastique relativement rigide telle qu'un polystyrène choc. On voit, sur la fig. 14, que le flan 200 comprend les deux moitiés 170 et 171 du cadre reliées par une zone amincie 202 servant de charnière. Chaque moitié du cadre est percée d'une fenêtre rectangulaire W par laquelle la diapositive sera visible. Les moitiés 170 et 171 ont des configurations identiques et se replient l'une sur l'autre autour de la charnière 202.

Le cadre comporte un logement rectangulaire 136 pour recevoir et maintenir en place la diapositive T. Le logement 136 est délimité, dans l'une des moitiés du cadre (171 sur les fig. 14 à 17), par une zone légèrement surélevée 204 qui s'étend tout autour du logement 136. A titre d'exemple, si l'épaisseur totale du cadre fermé (fig. 15) est de l'ordre de 1,2 mm, chaque moitié 170 et 171 peut avoir une épaisseur de 0,5 mm dans la zone 206 qui entoure la fenêtre W. Pour la moitié 170, cette épaisseur est constante jusqu'à la périphérie. Par contre, pour la moitié 171, la zone en relief 204 est surélevée d'environ 0,2 mm par rapport à la zone 206. La moitié 171 a donc une épaisseur de 0,7 mm dans sa zone périphérique.

Lorsque les deux moitiés sont assemblées, comme sur la fig. 15, il subsiste un vide de 0,2 mm dans la zone 206 qui entoure la fenêtre W.

Pour fixer les deux moitiés du cadre l'une sur l'autre, on peut appliquer un adhésif sur la zone en relief 204. sauf le long du bord 210 (fig. 14) par lequel la diapositive T sera ultérieurement introduite.

La méthode la plus commode pour assembler les moitiés 170 et 171 du cadre est le soudage ultrasonique. Pour concentrer s l'énergie ultrasonique dans des bandes localisées 212 le long des bords opposés à souder, il est préférable de former des reliefs appropriés 214 et 216. Les reliefs 214 se trouvent sur la face intérieure de la moitié 170 et se présentent sous la forme de bandes surélevées s'étendant le long des bords à souder. Les io reliefs 216 sont des nervures aiguës formées sur la face intérieure de la moitié 171 au centre de dépressions complémentaires des reliefs 214.

Pour éviter que la diapositive ne glisse à l'intérieur de son cadre, ce dernier peut comporter des moyens de serrage 220 15 (fig. 15) qui viennent pincer les bords de la diapositive. Ces moyens de serrage comprennent de petits bossages 221 formés sur les bords du logement 136 et de petites dépressions complémentaires 222 formées sur l'autre moitié 170. On voit, sur la fig. 14, que les moyens de serrage 220 se trouvent près du fond du loge-20 ment 136, c'est-à-dire à proximité de la charnière 202. Lorsque la diapositive T est introduite dans le logement 136, ses bords se déforment légèrement pour passer les bossages 221 et la friction résultante assure un maintien efficace de la diapositive. En pratique, des bossages de 0,05 à 0,13 mm environ assurent un maints tien efficace de la diapositive.

Pour faciliter l'engagement des coins 160, 161 (ng. 6 et 9) entre les bords non soudés 210 du cadre, on peut former de petits chanfreins 224 à proximité des angles du cadre qui ne sont pas adjacents à la charnière 202. Bien qu'ils ne soient utilisés que d'un so seul côté, les chanfreins 224 sont formés des deux côtés du cadre pour faciliter ses manipulations en évitant d'avoir à se préoccuper de la face qui est tournée vers le haut.

Les fig. 16 et 17 représentent, à grande échelle, la charnière 202 qui comprend deux rainures parallèles 226 s'étendant 35 sur toute la largeur du flan 200. Les rainures 226 ont une section triangulaire rectangle et forment entre elles une nervure 228 de même section. Quand on replie les deux moitiés 170, 171 du cadre l'une sur l'autre, les rainures 226 se referment de part et d'autre de la nervure 228, comme illustré sur la fig. 17.

4,1 Pour améliorer l'esthétique du cadre, le pourtour de la fenêtre W est chanfreiné en 230 (fig. 15) avec un angle compris entre 6 et 12°.

Bien que le cadre précédemment décrit soit plus facile à réaliser en matière plastique moulée, on peut également former des 45 flans en carton. La machine 10 permet d'employer indifféremment des flans en matière plastique ou en carton, sans nécessiter de modifications ou de changements des réglages.

R

8 feuilles dessins

Claims

621 882 REVENDICATIONS

1. Procédé de montage automatique de diapositives dans des cadres ayant une fente de réception de la diapositive, caractérisé en ce qu'il consiste à présenter les cadres (M) un par un à un poste de montage (B), à faire avancer longitudinalement un film de diapositives (S) sur un trajet de guidage (40) dirigé vers le cadre qui se trouve au poste de montage (B), à couper la première diapositive (T) du film avant son introduction dans le cadre, à cintrer transversalement le film pour lui donner une rigidité longitudinale suffisante, et à utiliser l'extrémité fraîchement coupée du film pour pousser et introduire la diapositive coupée dans la fente du cadre.

2. Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce que le film (S) est cintré transversalement avant le découpage de la première diapositive (T).

3

621 882

pas fermé et formant des lèvres élastiques qui peuvent être écartées pour ouvrir une fente communiquant avec le logement interne, au moins une encoche étant formée sur l'un des bords du cadre pour faciliter l'engagement d'un coin qui vient écarter temporairement les lèvres, de façon à élargir la fente pour l'introduction d'une diapositive dans le logement interne.

3. Procédé selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que la dispositive (T) est moins cintrée que le reste du film (S), de façon qu'il existe deux points de contact (X) entre le bord coupé du film et le bord adjacent de la diapositive.

4. Procédé selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que le cintrage transversal du film (S) est obtenu en appuyant sur ses deux bords longitudinaux dans une direction perpendiculaire au plan du film (47) et en appuyant en sens inverse sur des parties du film qui sont un peu plus proches de son axe que ses bords.

5. Procédé selon la revendication 4, caractérisé en ce que le film (S) avance horizontalement, et en ce que sa partie centrale est cintrée vers le haut.

6. Procédé selon l'une des revendications 4 ou 5, caractérisé en ce qu'on fait avancer le film (S) sur un trajet déterminé par deux surfaces de guidage parallèles (43) qui sont inclinées à l'opposé de l'axe du film, et on appuie les bords du film contre les surfaces (43) pour le cintrer transversalement.

7. Procédé selon la revendication 6, caractérisé en ce que le film (S) est appliqué contre les surfaces obliques de guidage (43) par un couvercle transparent (15) et en ce que le film et le poste de montage (B) sont éclairés par derrière pour que l'opérateur puisse voir le film et la diapositive (T) en train d'être poussée dans la fente du cadre (M) qui se trouve au poste de montage.

8. Procédé selon l'une quelconque des revendications 4 à 7, caractérisé en ce que les cadres (M) sont amenés au poste de montage (B) par un mouvement perpendiculaire à celui du film au cours duquel un côté non fermé du cadre s'engage sur un coin fixe (176) pour ouvrir la fente d'introduction de la diapositive.

9. Machine pour la mise en œuvre du procédé selon la revendication 1, caractérisée en ce qu'elle comprend un premier dispositif de transport (62) poussant individuellement les cadres (M) sur un premier trajet jusqu'à un poste de montage (B), un dispositif de coupe (140, 163) pour couper la première diapositive (T) du reste du film (S), un second dispositif de transport (88) faisant avancer longitudinalement le film (S) sur un second trajet (40)

vers le poste de montage (B) et tel que la diapositive coupée soit poussée à travers la fente de réception d'un cadre par le film courbé transversalement, et des moyens de guidage (43. 47) provoquant un cintrage transversal du film non coupé.

10. Machine selon la revendication 9, caractérisée en ce que les moyens de guidage sont conformés de manière que le bord coupé du film cintré (S) pousse la diapositive (T) par deux points de contact (X).

11. Machine selon l'une des revendications 9 ou 10, caractérisée en ce que les moyens de guidage (43, 47) provoquant le cintrage transversal du film (S) sont disposés le long du second trajet (40).

12. Machine selon la revendication 11, caractérisée en ce que les moyens de guidage (43, 47) sont conformés de façon à appuyer sur les deux bords longitudinaux du film (S) dans une direction perpendiculaire à son plan initial et â appuyer en sens inverse sur des parties du film qui se trouvent à l'intérieur par rapport a ses bords.

13. Machine selon l'une quelconque des revendications 11 ou 12, caractérisée en ce que les moyens de guidage comprennent s deux surfaces de guidage parallèles (43) en dévers par rapport à l'axe longitudinal du film et un couvercle amovible dont deux saillies parallèles (47) viennent appuyer sur le film (S) pour le cintrer transversalement.

14. Machine selon la revendication 13, caractérisée en ce que io chacune des surfaces de guidage (43) fait un angle de 6 à 12' par rapport au plan initial du film.

15 montage (B), et en ce que des moyens d'illumination (22, 50, 166) éclairent par derrière le film (S) et la diapositive (T) pendant son introduction dans la fente du cadre (M).

15. Machine selon la revendication 13, caractérisée en ce que le couvercle (15) est transparent, en ce qu'un second couvercle transparent (21) couvre le cadre (M) qui se trouve au poste de

16. Machine selon la revendication 15, caractérisée en ce que les moyens d'illumination comprennent des diffuseurs translu-

17. Machine selon l'une quelconque des revendications 11

à 16, caractérisée en ce que les moyens de guidage (43, 47) comportent un évidement (158) destiné à recevoir le dispositif de 25 coupe (140, 163).

18. Machine selon l'une quelconque des revendications 11

à 17, caractérisée en ce qu'elle comprend un mécanisme commun d'entraînement (23, 36, 38) animé d'un mouvement d'oscillation autour d'un axe de pivotement (24) qui est décalé par rapport au 30 premier trajet et au second trajet (40), une première partie (36) du mécanisme étant reliée au premier dispositif de transport (62)

pour faire avancer un cadre (M) sur le premier trajet vers le poste de montage pendant la course aller du mécanisme d'entraînement, et une autre partie (38) du mécanisme étant reliée au second 35 dispositif de transport (88) pour faire avancer le film cintré le long du second trajet (40) pendant la course de retour du mécanisme d'entraînement (23).

19. Machine selon la revendication 18, caractérisée en ce que le mécanisme d'entraînement (23, 26, 38) est commandé par une m manivelle rotative (74) munie à son extrémité d'un galet (75) qui est emprisonné dans une gorge radiale rectiligne (77) du mécanisme d'entraînement, la manivelle devenant perpendiculaire à la gorge en deux points de sa rotation (N et N'), le premier dispositif de transport étant agencé de façon à commencer et finir sa course 45 d'avance respectivement aux premier et second points de perpen-dicularité de la manivelle (N et N'), et le second dispositif de transport à commencer et finir sa course d'avance respectivement aux second et premier points de perpendicularité de la manivelle (N' et N), de façon que chaque mouvement du mécanisme d'en-50 traînement commence par une accélération progressive et se termine par une décélération progressive.

20. Machine selon la revendication 19, caractérisée en ce que l'arc décrit par la manivelle (74) entre ses premier et second points de perpendicularité (N à N') est plus grand qu'entre ses second et

55 premier points de perpendicularité (N' à N).

20 cides (50, 166) disposés sous le second trajet et sous le poste de montage.

21. Machine selon l'une des revendications 11 à 20, caractérisée en ce qu'elle comporte des coins fixes (160, 161) provoquant l'ouverture de la fente d'introduction de chaque cadre qui est amené au poste de montage (B).

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22. Machine selon la revendication 21, caractérisée en ce qu'elle comprend deux coins à proximité du poste de montage (B) disposés le long du parcours du côté du cadre présentant la fente d'introduction et espacés l'un de l'autre d'une distance supérieure à la largeur du film.

65

23. Application du procédé selon la revendication 1 au montage de diapositives dans des cadres comportant une fenêtre de vision entourée d'un logement interne destiné à recevoir et à maintenir la diapositive, l'un des côtés de chaque cadre n'étant

24. Application selon la revendication 23, caractérisée en ce que deux encoches symétriques sont formées dans deux coins du cadre à proximité des extrémités opposées de la fente d'introduction.

25. Application selon la revendication 23, caractérisée en ce que le cadre est formé à partir d'un flan plat constitué de deux parties reliées par une charnière, l'une des parties ayant sur sa face intérieure une zone surélevée continue autour de la fenêtre, la zone non surélevée qui entoure la fenêtre formant le logement interne de la diapositive lorsque les deux moitiés du cadre sont repliées l'une sur l'autre autour de la charnière, la zone surélevée étant fixée à l'autre moitié du cadre sur les deux côtés parallèles qui sont perpendiculaires à la charnière pour former un cadre partiellement fermé sur trois côtés, la zone surélevée du quatrième côté parallèle à la charnière n'étant pas fixée à la seconde moitié du cadre pour former une fente d'introduction pouvant être ouverte pour la mise en place de la diapositive dans le logement interne du cadre.

26. Application selon l'une des revendications 23 à 25, caractérisée en ce que deux bossages arrondis (221), formés dans des zones opposées du logement interne (136) du cadre, sont engagés dans des dépressions correspondantes de l'autre moitié du cadre pour pincer la diapositive lorsqu'elle a été mise en place dans le logement interne.