CH530716A - Mécanisme d'avancement pour amener successivement des pièces à travailler dans une station de travail dans une presse - Google Patents

Mécanisme d'avancement pour amener successivement des pièces à travailler dans une station de travail dans une presse

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CH530716A
CH530716A CH812670A CH812670A CH530716A CH 530716 A CH530716 A CH 530716A CH 812670 A CH812670 A CH 812670A CH 812670 A CH812670 A CH 812670A CH 530716 A CH530716 A CH 530716A
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    • HELECTRICITY
    • H01ELECTRIC ELEMENTS
    • H01RELECTRICALLY-CONDUCTIVE CONNECTIONS; STRUCTURAL ASSOCIATIONS OF A PLURALITY OF MUTUALLY-INSULATED ELECTRICAL CONNECTING ELEMENTS; COUPLING DEVICES; CURRENT COLLECTORS
    • H01R43/00Apparatus or processes specially adapted for manufacturing, assembling, maintaining, or repairing of line connectors or current collectors or for joining electric conductors
    • H01R43/04Apparatus or processes specially adapted for manufacturing, assembling, maintaining, or repairing of line connectors or current collectors or for joining electric conductors for forming connections by deformation, e.g. crimping tool
    • H01R43/048Crimping apparatus or processes

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  • Manufacturing & Machinery (AREA)
  • Manufacturing Of Electrical Connectors (AREA)

Description


  
 



  Mécanisme d'avancement pour amener successivement des pièces à travailler dans une station de travail
 dans une presse
 Cette invention a pour objet un mécanisme d'avancement pour amener successivement des pièces à travailler dans une station de travail dans une presse, notamment dans une presse à sertir des connecteurs à des conducteurs électriques.



   Dans une presse de ce type particulier, un fil métallique est inséré dans le corps cylindrique d'un connecteur quand celui-ci se trouve dans une matrice et ce corps cylindrique est ensuite déformé ou serti afin de fixer le fil au connecteur. Chaque connecteur est constitué par un corps cylindrique ayant la forme d'un manchon et s'étendant depuis une autre partie du connecteur constituant une borne. Les bornes des connecteurs peuvent prendre la forme d'une bague ou d'une fourche ou quelqu'autre forme et dans la fabrication commerciale des connecteurs, la borne et le corps cylindrique de chacun sont formés d'une seule pièce de métal. On a en outre l'habitude de former les connecteurs à partir d'une seule longue bande de métal et ils restent attachés   l'un    à l'autre par une bande de métal très étroite connue dans le métier sous le nom de barrette de séparation.



   Il existe de nombreuses formes de connecteurs et de nombreuses dimensions de ces formes. Comme l'opération de   sertissage      à   laquelle on a fait allusion exige que chaque connecteur soit exactement positionné par rapport à une matrice et qu'il soit avancé vers celle-ci en même temps qu'une longue file de connecteurs maintenus ensemble par les barrettes de séparation que   l'on    a évoquées et en outre, que ces barrettes soient sectionnées, il est évident qu'on doit prévoir une matrice particulière pour chaque connecteur et un mécanisme d'avancement particulièrement adapté à la dimension et à la forme de celui-ci.

  Quand la borne est de dimension relativement faible, non seulement une matrice particulière sera nécessaire pour le sertissage du corps cylindrique mais l'avancement vers cette matrice devra être adaptée à la dimension de la borne. En outre, si l'on adopte une borne relativement grande, il est évident qu'on doit prévoir une plus longue avance de chaque connecteur vers la matrice afin de compenser la plus grande longueur de la borne. Il peut y avoir de même des variations dans les différentes parties du corps cylindrique, ainsi qu'on s'en rend compte.



     I1    est donc évident que quand une presse doit être réglée pour le sertissage d'un connecteur, on doit non seulement prévoir des matrices pour le sertissage et le cisaillement mais aussi régler le mécanisme d'avancement de façon à ce qu'il soit précis à la fois pour l'avancement des connecteurs et des corps cylindriques par rapport à la matrice de sertissage et aussi par rapport au mécanisme de sectionnement des barrettes de séparation pour détacher ainsi les connecteurs   l'un    de l'autre.



  Pour autant qu'on le sache, le réglage du mécanisme d'avancement dans les presses du type en usage actuellement est un travail assez important qui exige les services d'un mécanicien très qualifié. En outre, le changement d'une presse de type ancien pour passer du sertissage d'un connecteur au sertissage d'un nouveau connecteur peut exiger le remplacement d'un certain nombre de pièces aussi bien qu'un ajustement compliqué d'autres pièces.



   L'invention a donc pour objet un mécanisme qui n'exige qu'un ajustement simple et facile pour l'adapter à l'avancement par exemple d'un nouveau type de connecteur vers la matrice de sertissage. Ce mécanisme est caractérisé en ce qu'il comprend un doigt d'avancement, un chariot pour déplacer ce doigt le long d'un parcours de longueur réglable par rapport à la station de travail, une surface sur ce doigt, destinée à venir en contact avec une surface d'arrêt déterminant la longueur du parcours, et un moyen réglable pour amener le doigt dans une position telle qu'il vienne en contact avec une pièce à travailler lors de son déplacement vers la station du travail.



   De préférence, le chariot est déplacé par un levier rotatif qui est entraîné par l'arbre principal de la presse par l'intermédiaire d'un système de commande comprenant un organe d'entraînement élastique capable d'absorber les différences dans la longueur du parcours du chariot.



   On se rend maintenant compte qu'en raison du mécanisme d'avancement, objet de l'invention, un opérateur relativement peu qualifié peut facilement mettre en place un nouvelle matrice, déplacer un organe de commande tel qu'un bouton et ensuite adapter la machine au sertissage d'un connecteur entièrement différent de celui pour lequel elle était réglée précédemment. Il n'est donc pas nécessaire qu'un opérateur fasse appel à un régleur de machine qualifié chaque fois que   l'on    doit passer du sertissage d'un connecteur au sertissage d'un  connecteur d'un autre type. Dans une usine travaillant à pleine capacité, ceci peut évidemment contribuer à la réalisation d'importantes économies.



   On se reportera maintenant au dessin annexé qui représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'invention.



   La figure 1 est une vue de face, en élévation, d'une machine comprenant un mécanisme d'avancement, la figure 2 est une vue explosée, en perspective, illustrant d'importants éléments fonctionnels de la machine illustrée dans la figure 1,
 la figure 3 est une autre vue en perspective, montrant, en pièces détachées, les parties fonctionnelles supplémentaires de la machine,
 la figure 4 est une vue en plan, partiellement en coupe, montrant en particulier les pièces pour le mouvement du chariot d'avancement,
 la figure 5 est une coupe suivant la ligne 5-5 de la figure 4,
 la figure 6 est une vue en perspective d'une pièce de commande déterminant la relation entre les pièces en mouvement relatif de la moitié supérieure de la matrice de sertissage,
 la figure 7 illustre en perspective deux connecteurs maintenus ensemble par une barrette de séparation,

   le corps cylindrique de chaque connecteur étant recouvert d'un manchon en plastique afin que les deux connecteurs soient prêts au sertissage sur un fil métallique conducteur,
 la figure 8 montre une forme de connecteur différente de celle de la figure 7, aussi en position pour être sertie par la machine,
 la figure 9 montre un autre connecteur pouvant êre serti au moyen de la machine, le fil sur lequel doit être serti le corps cylindrique du connecteur étant illustré dans cette figure dans sa position insérée dans le corps cylindrique,
 la figure 10 est une vue en perspective,

   montrant en détail les pièces actionnant et commandant le chariot et le doigt d'alimentation,
 la figure 11 est une coupe suivant la ligne 11-11 de la figure 4,
 la figure 12 est une coupe partielle suivant la ligne 12-12 de la figure 11,
 la figure 13 est une vue à plus grande échelle d'une partie de la figure 11,
 les figures 14 et 15 illustrent les pièces de la figure 12 dans deux autres positions,
 la figure 16 est un graphique montrant la relation entre les diverses parties de la machine pendant chaque cycle opératoire de celle-ci, et
 la figure 17 est un autre graphique facilitant la compréhension des relations entre les diyerses parties de la machine au cours de chaque cycle opératoire.



   En se reportant maintenant plus particulièrement aux dessins, on voit que la figure 7 représente un type de connecteur prévu pour être serti dans la machine décrite ci-après. Ce connecteur est désigné généralement par le numéro de référence 10 et on notera qu'une barrette de séparation 11 réunit les différents connecteurs, de sorte qu'une bande de ceux-ci peut être placée dans la machine pour les sertir. Le corps cylindrique du connecteur 10 est désigné par le numéro de référence 12 et recouvert d'un manchon en plastique 13. La figure 8 montre une forme différente de connecteur dans laquelle la partie de contact effectif a la forme d'un U muni de crochets. Le corps cylindrique 12 est plus petit que celui de la figure 7. La figure 9 montre une autre forme de connecteur pouvant être serti dans la machine.

  La même figure montre aussi un conducteur 14 inséré dans le corps cylindrique 15 du connecteur avec le fil guipé 16 du conducteur s'étendant audelà du corps cylindrique avant l'opération de sertissage, comme il est normal dans ce domaine. Il est évident qu'en
 raison des nombreuses formes que peuvent prendre les
 connecteurs, il existe un besoin urgent d'un mécanisme du type
 illustré.



   La machine de sertissage est une machine du type à un tour.



   Quand l'opérateur ferme un circuit électrique, au moyen d'un
 interrupteur standard, un solénoïde 17 illustré à la figure 2
 actionne une tringlerie 18 accouplée par une bielle 19 à un
 levier 20 pour entraîner un embrayage 21 sur un tour. Ce mécanisme est un mécanisme standard et on ne l'a donc ni illustré, ni décrit en détail. Comme les presses à un tour, la machine emploie un lourd volant 22 entraîné, par l'intermé
 diaire d'une courroie 23, au moyen d'un moteur électrique non représenté. Quand on engage l'embrayage 21, le volant 22
 entraîne l'arbre de commande principal 24 de la machine, par l'intermédiaire de cet embrayage, pour lui faire exécuter une révolution.

  Par l'intermédiaire d'une manivelle 25, cet arbre de commande principal, illustré aussi à la figure 1, actionne une bielle d'accouplement 26 pour communiquer un mouvement vertical à un piston ou plongeur 27 dont la partie inférieure est le mieux illustrée à la figure 5. Le plongeur 27 entraîne naturellement avec lui la moitié supérieure d'une matrice pour sertir les connecteurs, qui coopère avec une matrice fixe, suivant le procédé adopté dans ce domaine et comme on le décrira en détail ci-après.



   En se reportant maintenant à nouveau à la figure 2, on voit qu'une came 28 est fixée à l'arbre 24. Cette came est désignée sous le nom de came d'avancement et est prévue pour faire pivoter un levier 29, par l'intermédiaire d'un galet 30 monté sur celui-ci, autour d'un pivot 31, afin de déplacer la tige creuse 32, comprimant un ressort, dont l'extrémité supérieure bifurquée 33 pivote sur le levier 29. La tige 32 a la forme d'un manchon à l'intérieur duquel se trouve un ressort 34 pressant l'extrémité supérieure d'une tige 35. Quand la tige 32 se déplace vers le bas, sous l'action du levier 29, elle comprime évidemment le ressort 34 contre l'extrémité supérieure de la tige 35 et oblige celle-ci à descendre.

  En d'autres mots, la tige 35 est entraînée élastiquement par le ressort 34.Un bras bifurqué 36 pivote, par une extrémité 37, sur la tige 35 et, par son autre extrémité, fait partie intégrante d'un levier 38 pivotant en 39 sur la machine. Une tringle bifurquée 40 pivote en 41 sur l'extrémité inférieure du levier 38, comme indiqué aux figures 2 et 4. La tringle 40 présente une paire de pattes 42 coopérant avec un pivot 43 faisant partie intégrante d'un plongeur 44. Le plongeur 44 est aussi illustré à la figure 4 où il est montré comme coulissant, avec son pivot 43 s'avançant vers la gauche pour coopérer avec les pattes 42 de la tringle bifurquée 40. La figure 4 montre aussi l'extrémité inférieure du levier 38, entre les plaques de la tringle bifurquée 40.



   Un ressort 45 s'étend entre une plaque 47 du bâti de la machine et un pivot 47a fixé au plongeur 44, comme indiqué à la figure 4. La fonction du ressort 45 est de tirer le plongeur 44 vers la gauche de la figure 2 et vers le haut de la figure 4. Il est évident que le mouvement de pivotement du levier 38 en sens inverse des aiguilles d'une montre pousse le plongeur 44 vers la droite de la figure 2, contre la résistance exercée par le ressort 45.



   Quand elle se déplace vers la droite de la figure   2, l'extré-    mité du plongeur 44 agit contre la surface 48 d'un levier 49 pivotant en 50 sur le bâti de la machine. Ce levier 49 est le mieux illustré dans les figures 4 et 10 auquelles on se reportera. On notera que le levier 49 possède une branche bifurquée avec une fente 51 prévue pour coopérer avec un pivot 52 porté par les pattes 53 d'un chariot 54. Un ressort 55 est attaché, au moyen d'une goupille 56, par une de ses extrémités, au levier 49 et, par l'autre extrémité, à une patte 57 faisant partie intégrante de la machine. Le ressort 55 tend évidemment à faire tourner le levier 49 dans le sens des aiguilles d'une montre, sur son pivot 50, et résiste au mouve  ment de rotation imprimé au levier par le plongeur 44.

  Il est aussi évident que quand le plongeur 44 se déplace vers la gauche de la figure 2, le ressort 55 fait tourner le levier 49 dans le sens des aiguilles d'une montre, de sorte qu'il entraîne le chariot d'avancement vers la gauche des figures 4 et 10.



  Cette commande du chariot par le ressort 55 est d'une importance considérable et on y reviendra en détail plus loin.



   Un doigt d'avancement 58 s'articule au moyen d'un pivot 59 sur le chariot 54, ainsi que le montrent le mieux les figures 10, 12, 14 et 15. Un ressort de traction 60 est connecté entre le doigt d'avancement 58 et une goupille 61 prévue sur le chariot 54, pour faire tourner le doigt en sens inverse des aiguilles d'une montre, ainsi qu'on le voit dans les différentes figures que   l'on    a citées. Un pivot 62 porté par le doigt 58 coopère avec une came 63 illustrée dans les figures 10, 12 et 14. Cette came 63 est montée en vue d'un mouvement de glissement dans la machine, d'un côté du doigt d'avancement 58, comme le montre le mieux la figure 11. Une patte   64.    fixée à la came   63.    se place dans une fente 65 d'une pièce coulissante 67 prévue pour un mouvement de glissement commandé par un bouton-poussoir 68.

  Un ressort 69, le mieux illustré à la figure 11, porte contre le bouton-poussoir 68 afin de contrôler son mouvement. Une flèche A (figures 3 et 10) indiquée sur le coulisseau 67 facilite le positionnement de celui-ci par rapport à des repères 70 que   l'on    voit le mieux aux figures 2 et 10, dans un but auquel on reviendra bientôt.



   La figure 12 montre le chariot d'avancement 54 dans sa position initiale, c'est-à-dire celle dans laquelle il est amené par le levier 49, sous l'influence du ressort 55, quand le plongeur 44 est déplacé par le ressort 45 pour suivre le mouvement de recul du levier bifurqué 40 et des pattes 42 qui agissent normalement contre le pivot 43 du plongeur 44. Quand le chariot d'avancement est dans la position illustrée à la figure 12, le pivot 62 coopère avec la face inférieure 63a de la came 63. Ceci maintient le doigt d'alimentation 58 dans sa position indiquée à la figure 12, avec sa surface d'extrémité 58a hors du passage des corps cylindriques recouverts de plastique de la bande de connecteurs 10 illustrée également à la figure 12.



  Cette bande de connecteurs a été introduite précédemment dans la machine et les connecteurs sont maintenus en relation correcte avec les différentes parties de celle-ci, ainsi qu'on le soulignera ci-après. Les connecteurs sont naturellement réunis par les diverses barrettes 11, comme indiqué aux figures 7, 8 et 9 et ils peuvent donc effectivement se déplacer sous la forme d'une bande sous la commande de la face 58a du doigt d'alimentation 58, comme on le verra bientôt.



   Quand le chariot d'avancement 54 et le doigt d'avancement 58 se déplacent vers la droite, à partir de la position de la figure 12, sous la   manauvre    du levier 49, il est évident que le pivot de came 62 se déplacera de la position de la figure 12 vers celle de la figure 14 par rapport à la came 63. On verra, à la figure 14, que la face 58a du doigt 58 est alors en contact avec le corps cylindrique 12 revêtu de plastique d'un connecteur et est en position pour déplacer ce dernier vers la droite, de la position de la figure 14 à celle de la figure 15. Dans la figure 15, la moitié inférieure d'une matrice de sertissage est désignée par le numéro de référence 71. On notera que dans cette figure, la surface 72 du doigt 58 est en contact avec la surface 71a de la moitié de matrice 71, afin d'empêcher tout nouveau mouvement du doigt 58 vers la droite.

  Comme le doigt 58 et le chariot 54 se déplacent vers la position de la figure 15 sous l'action du ressort 34 (figure 2), un arrêt du mouvement du doigt par la face 71a agira simplement pour provoquer la compression du ressort 34.



   En d'autres mots, du fait que le chariot d'avancement 54 est déplacé par un dispositif élastique, il est possible de contrôler le mouvement du doigt d'avancement 58 au moyen de la face   71 a.    En conséquence, en remplaçant simplement une matrice par une autre, la face   71 a    occupant une position prédéterminée, on peut régler la longueur du déplacement du doigt 58 par le chariot 54. De même, en positionnant la came 63, il est possible de déterminer d'avance le point où le doigt 58 se déplacera de la position de la figure 12 à la position de la figure 14, pour prendre contact avec un corps cylindrique de connecteur.

  Ainsi qu'on l'a noté précédemment, on peut faire glisser la came 63 au moyen du bouton 68 en utilisant le repère 70 et la flèche A pour positionner la came, conformément aux conditions imposées par le connecteur particulier qui doit être serti. En d'autres mots, l'utilisation de la came 63 permet de déterminer la longueur de l'avancement des connecteurs, en fixant le point de contact de ceux-ci avec la surface 58a du doigt d'avancement 58. On peut déterminer la distance dont les connecteurs seront déplacés par le doigt en utilisant une face de contrôle 71a de la matrice.



   La moitié de la matrice 71 peut être facilement remplacée par une matrice quelconque nécessaire et ceci peut se faire très simplement au moyen d'une vis de fixation 75 (figures 14 et 15). Il suffit que l'opérateur sache que quand on doit utiliser une matrice particulière avec un connecteur déterminé, il doit placer la came coulissante 63 dans une position particulière en utilisant le bouton 68. En réalité, cette information peut être imprimée sur la matrice.



   La moitié supérieure de la matrice est désignée en général par le numéro de référence 76 et on la voit le mieux en perspective dans la figure 3 de même qu'en coupe dans la figure 5.



  On notera que la moitié de la matrice 76 possède un partie intérieure coulissante 77; le coulissement entre les deux parties 76 et 77 est commandé par une came 78 que   l'on    voit le mieux dans les figures 5 et 6. Les parties 76 et 77 sont actionnées par le mouvement de descente du plongeur 27 pour coopérer avec la moitié inférieure 71 de la matrice. Dans cette opération, la partie 77 se déplacera quelque peu par rapport à la partie 76, ces deux parties étant poussées en sens opposés par un ressort 79 (figure 5). L'importance du mouvement relatif sera contrôlée par le glissement de la came 78. On se rend compte que quand le plongeur est actionné par la bielle d'accouplement 26, lors de la rotation de l'arbre principal 24, il provoquera, en relation avec le mécanisme d'avancement, le sertissage d'un connecteur.

  Le mouvement du plongeur 27 déterminera également un sectionnement d'une barrette de liaison   1 1    dans chaque cycle de fonctionnement de celui-ci.



   La séparation des barrettes   1 1    et des connecteurs 10 a lieu sous la commande du doigt 58 qui fait avancer les connecteurs en position de sertissage. En conséquence, en construisant chaque matrice de cisaillement des barrettes de manière qu'elle trouve dans une position relative correcte par rapport à la moitié de matrice 71, il est possible de faire avancer les connecteurs pour le sertissage et pour le cisaillement de la barrette, en utilisant la face 71a de la demi-matrice 71 et la came coulissante 63. En conséquence, il suffit qu'un opérateur applique une nouvelle matrice de cisaillement et une nouvelle demi-matrice de sertissage 71 et qu'il amène la came 63 dans une position active pour que la machine fonctionne pour faire avancer, sertir et séparer les connecteurs   l'un    de l'autre, sans autre réglage.



   La matrice de cisaillement de la machine est le mieux illustrée en perspective dans la figure 3 qui montre celle-ci dans une vue explosée par rapport au reste de la machine et assemblée, par des lignes en points de chaînette. On ne la décrira pas en détail parce que sa forme particulière ne revêt aucune importance par rapport à l'invention. Ainsi que   l'on    le soulignera, son mode de commande au moyen d'une came est toutefois important. La base de la matrice de cisaillement utilisée est désignée par le No de référence 80; un levier 82, pivotant sur cette base en 81, comprend une partie avant 83 destinée au cisaillement et fonctionnant de la manière nor  male. La face supérieure du levier 82 est découpée en 84 pour coopérer avec une came 85 (fig. 5) pivotant en 86 sur un levier coudé 87 pivotant lui-même en 88 sur la machine.

  Le levier 87 porte, à l'extrémité supérieure d'une branche, un galet 89 prévu pour le contact avec une face de came 90 ménagée sur un plongeur 91 monté en vue d'un mouvement avec la plaque 27a du plongeur 27, le tout étant le mieux illustré à la figure 5.



  Il est évident que quand le plongeur 91 descend vers la position de la figure 5, il prend contact avec le galet 89 afin de faire tourner le levier coudé 87 et déplacer la came 85 vers le bas contre la surface 84. Ceci déplace évidemment le levier 82 afin d'amener la face de cisaillement 83 de celui-ci dans la position voulue pour couper une barrette   1 1    et séparer le connecteur d'extrémité du connecteur suivant.



   Le mouvement du levier 82 vers le haut, pour revenir à une position initiale illustrée à la figure 3, peut être provoqué par un ressort non représenté. Pour assurer son retour, il est également commandé par le contact d'une tige 92 s'étendant vers le bas et portant un taquet 93 qui se déplace avec le plongeur 27.



  Le mouvement vers le haut du plongeur 27 ramènera donc positivement le levier 82 dans sa position de la figure 3, indiquée en traits pleins, par le contact du taquet 93 avec une applique 82a fixée au levier.



   Il est évident que   l'on    peut recourir à de nombreux moyens pour maintenir la matrice de cisaillement dans la machine mais on préfère employer une plaque 94 maintenue en position au moyen d'un goujon 94a, ainsi qu'on le voit à la figure 3. Pour faciliter la mise en place et l'enlèvement de la matrice de cisaillement, il est nécessaire de faire tourner la came 85 pour la retirer de sa position de la figure 5. Ceci est réalisé au moyen d'une petite poignée 95 fixée à l'arbre 86, qui permet de faire pivoter la came 85 par rapport au levier coudé 87. En conséquence, en faisant simplement tourner la poignée 95, on peut amener la came 85 dans une position inopérante permettant la mise en place et l'enlèvement de la matrice de cisaillement.



   La figure 1 montre assez clairement comment une longue bande de connecteurs est placée dans la machine. Cette figure montre un tambour D installé pour tourner sur un arbre 96 à partir duquel la bande de connecteurs s'étend vers le bas, en passant une poulie guide 97 ou un organe similaire, et s'engage ensuite horizontalement dans la machine même.



   La figure 3 indique comment les connecteurs sont amenés en position par rapport à la machine. On voit ainsi qu'une face de came 98 est prévue pour entrer en contact avec la face d'extrémité du manchon en plastique d'un connecteur du type illustré à la figure 7. La came 98 amène le connecteur dans la position illustrée aux figures   1 1    et 13, de sorte que sa face extrême se trouve maintenant contre la face intérieure 99 d'une plaque de pression à partir de laquelle s'étend la came 98. La face 99 fait partie de l'organe de pression 100, en forme d'U, monté sur une base de commande 101 et pressé par un ressort 102 vers la droite des figures   11    et 13. La base de commande 101 présente une face de commande 103 contre laquelle une face extrême du corps cylindrique de chaque connecteur est pressée par l'organe de pression 99.

  Les connecteurs sont donc bien contrôlés par la coopération entre la base de commande 101 et la face 99. Chaque connecteur est ainsi maintenu dans une relation correcte et efficace par rapport au doigt d'avancement 58, ainsi qu'on le voit le mieux aux figures 11 et 13.



   On se souviendra que grâce au mécanisme décrit l'opérateur peut enlever de la machine, à tout moment, une bande de connecteurs et lui substituer une bande différente en même temps qu'il met en place des matrices différentes et des ensembles différents pour le cisaillement des barrettes de liaison. On
 a maintenant décrit la façon dont la matrice de cisaillement peut être enlevée et mise en place et il est évident que les deux moitiés de la matrice de sertissage se montent et se démontent facilement, d'une manière plus ou moins classique. La face de commande   71 a    de la matrice est assemblée automatiquement dans la machine par le positionnement de la demi-matrice inférieure 71 et commande ensuite l'avancement des connecteurs, tant par rapport à la matrice de sertissage que par rapport à la matrice de cisaillement.



   Ainsi qu'on l'expliquera plus loin, la machine est prévue pour être arrêtée au moyen d'un frein, après sectionnement d'une barrette reliant un connecteur serti au connecteur suivant attendant l'action de sertissage du piston. A ce point du cycle opératoire de la machine, le doigt d'avancement 58 est dans la position de la figure 5 et il est évident que sa face 58a s'étendant vers l'avant empêche la bande de connecteurs de sortir de la machine. Le doigt d'avancement 58 est maintenu dans cette position par le chariot 54, par l'action du levier 49, ainsi qu'on le voit le mieux à la figure 10. Le levier 49 est à son tour maintenu dans cette position, contre la résistance du ressort 55, par le plongeur 44 qui, de son côté, tend à s'écarter du levier 49 sous l'action de son ressort 45 mais en est empêché par la tringle 40 et les pattes 42 coopérant avec le pivot 43.

  Considérons qu'à la figure 2, le levier 38, par l'intermédiaire des pattes 42 et du pivot 43, a déplacé le plongeur 44 de manière à positionner le levier 49 pour maintenir le chariot 54 dans la position d'avancement de la figure 15. Il est évident que si le levier bifurqué 40 tournait maintenant sur son axe 41 par rapport au levier 38, les pattes 42 seraient écartées du pivot 43 et le plongeur 44 de même que le levier 49 seraient déplacés par les ressorts 45 et 55 afin de ramener le chariot d'avancement 54 dans sa position initiale inopérante illustrée à la figure 12. A cet endroit, la partie 58a du doigt 58 n'est pas dans le passage des connecteurs qui peuvent s'enlever facilement.



   Ce fonctionnement de la tringle bifurquée 40 est provoqué au moyen d'une barre verticale 110 illustrée à la figure 2.



  Cette barre est munie d'une fente 111 coopérant avec une broche 112 traversant les deux plaques formant la tringle bifurquée 40. La barre 110 est raccordée avec une partie 113 d'une tringle de manivelle 114 montée rotativement dans la machine et entraînée en rotation par une manette 115. Un ressort 116 presse la barre 110 vers le bas, dans sa position de la figure 2 et tend à faire tourner la tige 114 afin de maintenir la manette 115 dans la position de cette figure. Il est évident que la rotation de la manette 115, à la figure 2, agira pour relever la barre 110 et, par l'intermédiaire de la broche 112, faire tourner la tringle bifurquée 40 sur son axe 41 par rapport au levier 38.

  Ceci écartera les pattes 42 de la broche 43 et permettra au plongeur 44 de se déplacer vers la gauche de la figure 2, en autorisant donc la rotation, dans le sens des aiguilles d'une montre, du levier 49 qui déterminera le mouvement du chariot d'avancement 54 de sa position de la figure 15 vers sa position initiale de la figure 12 dans laquelle la face 58a du doigt 58 n'empêche plus le mouvement de la série de connecteurs 10 vers l'extérieur pour s'écarter de la machine. Il est donc évident qu'à tout moment, l'opérateur peut, par un mouvement très simple de la manette 115, provoquer le dégagement des connecteurs pour les enlever de la machine et y insérer ensuite une nouvelle série. Un simple réglage de la came de commande 63 au moyen du bouton 68, conjointement au contrôle exercé par la nouvelle matrice 71, mettra la machine en état de fonctionner efficacement.



   En ce qui concerne la sécurité, une rotation de l'arbre 114 manoeuvre un simple micro-interrupteur incorporé à la machine et agit pour interrompre tous les circuits électriques de manière à rendre impossible le fonctionnement de celle-ci.



  On peut même prévoir un couvercle bloqué en position par un taquet commandé par la tige 114. Une simple rotation de la manette 115 non seulement libère le mécanisme d'avancement  mais ouvre le couvercle de la machine et interrompt le circuit électrique commandant le fonctionnement de celle-ci. Ceci signifie naturellement que l'opérateur ne peut en aucune façon endommager la machine qui est complètement immobilisée quand son couvercle est enlevé. Le couvercle même n'est illustré qu'en points de chaînette 120 à la figure 1 et un taquet est illustré schématiquement en 121. Le micro-interrupteur est désigné par S à la figure 1. On se rend compte que le couvercle peut prendre une forme quelconque et que le taquet peut revêtir toute forme particulière désirée, le tout conformément au concept de base proposé par l'invention.



   En se reportant une fois encore à la figure 2, on verra qu'un disque de frein 125 est fixé de manière intégrante sur l'arbre 24 pour tourner avec celui-ci. Des sabots de frein 126, montés pour coopérer avec le disque, sont normalement pressés contre celui-ci par un ressort 127 que   l'on    voit le mieux à la figure 1.



  Pour dégager le disque 125 et l'arbre 24 de l'action de freinage des sabots 126, on a prévu une came 128 fixée à un arbre 129 et commandée par un galet 130, actionné à son tour par une came 131 faisant partie intégrante de l'arbre 24 et présentant une dépression 132. Il est évident que pendant la rotation de l'arbre 24, la came 131 tournera avec celui-ci et, en raison de la dépression 132 de sa face, actionnera le galet 130 afin de provoquer le freinage ou le dégagement de l'arbre 24. La forme de la came 131 et sa position par rapport à l'arbre 24 sont telles que le frein sera appliqué immédiaitement après cisaillement et enlèvement d'une barrette   1 1    afin de dégager un connecteur déjà serti. A ce moment, il devient possible de dégager une bande de connecteurs en vue de l'insertion d'une nouvelle bande, comme on l'a exposé en détail.

  En d'autres mots, une bande peut toujours s'enlever quand le frein est appliqué. Inversement, c'est l'application précise du frein qui rend possible le positionnement des différentes parties de la machine, de manière qu'une bande de connecteurs puisse toujours être enlevée après que le connecteur d'extrémité a été dégagé.



   Les figures 16 et 17 montrent sous forme d'un graphique la relation entre les différentes fonctions de la machine. En se reportant à la figure 16, on voit que le doigt 58 fait avancer les connecteurs pendant une très courte partie du cycle opératoire, dont la partie restante correspond à un mouvement du doigt vers une position initiale où il est maintenu par un creux sur la came d'avancement jusqu'à ce qu'il soit déplacé élastiquement vers l'avant par le ressort 34 et les divers leviers, ainsi qu'on l'a exposé.



   La came 131 maintient naturellement le frein relâché pendant la plus grande partie de la rotation de l'arbre. On notera que le cisaillement s'effectue pendant la dernière partie du cycle, juste avant le blocage du frein. La machine est donc bloquée dans sa position finale à la fin de la course de cisaillement pour permettre l'enlèvement de la bande de connecteurs.



  Ce processus rend possible une modification facile de la machine pour travailler des connecteurs différents sans exiger les services de régleurs qualifiés.



   A la figure 17, la position de repos du piston est indiquée dans sa relation avec une rotation de   360    de l'arbre. Cette figure montre également la position de sertissage, la position de cisaillement et la position de manoeuvre du frein. 

Claims (1)

  1. REVENDICATION
    Mécanisme d'avancement pour amener successivement des pièces à travailler dans une station de travail dans une presse, notamment dans une presse à sertir des connecteurs à des conducteurs électriques, caractérisé en ce qu'il comprend un doigt d'avancement (58), un chariot (54) pour déplacer ce doigt le long d'un parcours de longueur réglable par rapport à la station de travail, une surface (72) sur ce doigt, destinée à venir en contact avec une surface d'arrêt (71a) déterminant la longueur du parcours, et un moyen réglable (63) pour amener le doigt (58) dans une position telle qu'il vienne en contact avec une pièce à travailler lors de son déplacement vers la station du travail (71).
    SOUS-REVENDICATIONS 1. Mécanisme selon la revendication, caractérisé en ce que le doigt (58) est monté rotativement sur le chariot (54) au moyen d'un pivot (59).
    2. Mécanisme selon la revendication, caractérisé en ce que le chariot est déplacé par un levier (49) rotatif qui est entraîné par l'arbre principal (24) de la presse par l'intermédiaire d'un dispositif de commande comprenant un organe d'entraînement élastique capable d'absorber les différences dans la longueur du parcours du chariot.
    3. Mécanisme selon la sous-revendication 2, caractérisé en ce que l'organe d'entraînement élastique est composé d'un ressort (34) logé dans une tige creuse (32) entraînée par l'arbre principal (24), et d'une tige (35) entraînée par le ressort.
    4. Mécanisme selon la revendication, caractérisé en ce que ledit moyen réglable est une came (63) montée dans un coulisseau (67) qui peut être fixé dans une position quelconque sur le parcours du chariot (54).
    5. Mécanisme selon la sous-revendication 4, caractérisé par un pivot (62) porté par le doigt (58) et qui glisse sur la surface inférieure (63a) de la came lors au moins d'une partie de l'avancement et du recul du doigt.
    6. Mécanisme selon la sous-revendication 5, caractérisé en ce que la surface inférieure (63a) de la came est inclinée sur une partie de sa longueur.
    7. Mécanisme selon les sous-revendications 1 et 5, caractérisé en ce que le doigt est en outre relié au chariot (54) par un ressort (60) agissant sur le doigt (58) de manière que le pivot de came (62) soit en contact continu avec la came (63) lors de son glissement le long de la surface inférieure (63a).
    8. Mécanisme selon la sous-revendication 2, caractérisé en ce que le chariot (54) est rattaché au bâti de la presse par un ressort (55) qui lui fait reprendre sa position initiale lors du recul du levier (49).
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