Vérin hydraulique Le vérin hydraulique télescopique faisant l'objet de la présente invention est caractérisé en ce qu'un verrouillage retient les différentes parties de l'ensem ble télescopique sauf la partie ayant le plus petit diamètre, dans leur état de rétraction, et est agencé de telle façon que lorsqu'une pression est produite dans ledit ensemble, un mouvement est d'abord com muniqué au piston tubulaire ayant le plus petit dia mètre, et puis le verrouillage entre les parties plus grandes avoisinantes est annulé, de sorte qu'elles s'étendent sous la pression jusqu'à l'extension com plète de l'ensemble télescopique.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, quelques formes d'exécution du vérin objet de l'invention.
Les fig. 1 et 2 sont des vues frontales d'une partie d'un essieu arrière d'un véhicule montrant un vérin hydraulique pour déplacer un rouleau enga geant le sol en et hors de contact de la roue du véhicule, la fig. 1 montrant le vérin en position étendue, et la fig. 2 en position rétractée.
La fig. 3 est une coupe à travers un vérin et monté sur l'essieu arrière du véhicule d'une manière quelque peu différente de celle représentée sur les fig. 1 et 2.
La fig. 3a est une vue agrandie d'une partie de l'extrémité supérieure du vérin représenté sur la fig. 3.
La fig. 4 est une section partielle et une éléva tion partielle montrant les parties du vérin des fig. 3 et 3a, dans un état contracté.
La fig. 5 est une vue de face schématique d'un disque à partir duquel les plongeurs de détente sont formés. La fig. 6 est une vue agrandie analogue à celle de la fig. 3a montrant une forme modifiée de déten tes et d'anneaux de retenue de détentes.
La fig. 7 est une coupe partielle selon la ligne 7-7 de la fig. 6.
La fig. 8 est une vue analogue à la fig. 7 mon trant les fentes dans l'extrémité d'une des parties d'extrémité.
La fig. 9 est une coupe à travers deux parties du vérin montrant une forme alternative de méca nisme de détente.
La fig. 10 est une section à travers le bélier dans un état contracté montrant encore une autre forme alternative de mécanisme de détente.
La fig. 11 est une vue en coupe agrandie du vérin représenté sur la fig. 2, et montrant des parties de celui-ci en étant entièrement étendues.
La fig. 12 est une vue analogue à la fig. 11 montrant encore une autre forme de mécanisme de détente.
La fig. 13 est une vue latérale d'une disposition pour relier entre eux la soupape de commande pour les vérins et l'étranglement pour le moteur du véhicule.
La fig. 14 est une vue en plan schématique mon trant la disposition des axes de rotation des deux rouleaux dans deux plans verticaux et convergents.
La fig. 15 est une élévation schématique de la disposition de la fig. 14 en regardant de l'arrière vers l'avant de l'essieu arrière.
Les fig. 1 et 2 montrent une partie d'un véhicule pourvu de vérins servant à son parcage. Ce véhicule est pourvu d'une pompe entraînée par moteur à capacité relativement petite qui fournit du fluide hydraulique aux vérins hydrauliques associés, par exemple, aux deux roues arrière du véhicule, cette pompe et ces vérins hydrauliques étant disposés en circuit fermé avec un réservoir pour le fluide et des mécanismes de commande par soupapes.
Les fig. 1 et 2 montrent la façon dont un assemblage de vérins peut être monté sur le véhicule et dans lequel la partie la plus petite de l'assemblage de vérins est disposée sur le dessus et la partie de dimension inter médiaire est disposée dans la partie inférieure comme le montre la fig. 3.
Dans la disposition des fig. 1 et 2, un vérin 1 est entouré d'un soufflet ou couvercle protecteur 2 qui peut être en caoutchouc synthétique et qui renferme également un ressort de traction 3. L'élément infé rieur 4 du vérin 1 est fixé rigidement à un support de rouleau 5. Le support 5 porte un rouleau 6 dans des paliers non représentés sur cette figure. Un axe pivotant horizontal 15 s'étendant vers l'avant et vers l'arrière et traversant une partie du support 5 fixe ce dernier à l'extrémité inférieure d'une tige d7assem- blage 7.
L'extrémité supérieure de cette tige pivote également en 11 sur une partie immobile du support 8 de la roue arrière. Le véhicule représenté est pourvu d'une suspension indépendante au moyen d'une fourchette inférieure 9 et d'un ressort à lames transversal 10 de manière connue. Dans le présent cas, le pivot supérieur 11 de la tige d'assemblage a été formé comme prolongement du pivot de la four chette pour plus de commodité, mais ce pivot peut être situé ailleurs si on le préfère. Un tuyau hydrau lique 12 est relié au vérin 1 et par une soupape 166 à une pompe 165 entraînée par le moteur du véhicule ou à un réservoir 169 pour :le fluide hydraulique.
La soupape est agencée pour être sous la commande combinée d'un arbre d'actionnement 167, la pression de fluide dans le logement de la soupape et un dis positif électrique 170 réglé selon la vitesse du véhicule.
Egalement l'arbre d'actionnement 167 peut être relié à la :soupape de réglage du carburateur du mo teur comme il sera expliqué ci-après.
La partie supérieure du vérin 1 est fixée au moyen d'une console 14 à la partie suspendue du châssis de l'automobile, c'est-à-dire qu'elle ne se déplace pas par rapport à la structure -principale lors que les roues se soulèvent ou s'abaissent sous l'effet des irrégularités de la route.
La fig. 2 montre cette construction dans la position rétractée. On voit que la tige d'assemblage 7 repose maintenant dans une posi- tOn à peu près horizontale et que lorsque l'assemblage de la roue et du moyeu se soulève et s'abaisse par suite :
de l'action -de la route sur les ressorts du véhi cule, cette tige réagira librement comme une tige de suspension normale sans déranger d e façon apprécia ble la position de l'assemblage de vérin et rouleau au quel elle est fixée.
Lorsque le conducteur actionne la soupape de commande du fluide hydraulique sous pression sera distribué par. le tuyau 12 au vérin 1 amenant ce dernier à_s'allonger. Etant donné que l'axe pivotant 15 est situé sous la ligne centrale réunissant le pivot supérieur du vérin au pivot supérieur 11 de la tige d'assemblage, l'extension du vérin amènera l'assem blage de rouleaux à s'abaisser jusqu'à ce qu'il touche la route.
Comme on le verra dans la dernière partie de la présente description cette première extension du vérin est provoquée rapidement par l'emploi d'un piston de vérin de première phase de petit diamètre qui est le premier à être déplacé, des moyens de détente étant prévus pour retenir temporairement les autres parties. Lorsque le rouleau atteint le sol il exercera une pression sur celui-ci, amenant la roue arrière à être légèrement soulevée de la route et le rouleau à se déplacer en contact avec cette roue.
Etant donné que la hauteur du pivot supérieur 14 du bélier peut varier verticalement, par rapport à la surface de la route et par conséquent à la position finale du rouleau 6 par suite du mouvement des res sorts suivant le degré de chargement de la voiture, l'extension réelle nécessaire dans ce vérin peut varier dans différentes conditions. Pour cette raison il est désirable de prévoir une course suffisante dans le vérin pour permettre à celui-ci d'engager complète ment le pneu dans les conditions d'une charge des plus légères,
en tenant compte du fait que la force d'extension du vérin réagira également sur le pivot 14 de façon à soulever le châssis et le corps de la voiture sur une distance supplémentaire à l'écart de la route.
Toute autre disposition appropriée de ressort, autre que le ressort 3, peut être employée pour reti rer le rouleau 6 de sa position opérative et amener l'installation à la position entièrement rétractée repré sentée sur la fi-. 2. Alternativement, un dispositif de vérins à double effet peut être employé de sorte que la rétraction aussi bien que l'extension s'effectue hydrauliquement.
Lorsqu'on utilise un vérin à simple effet et à deux phases, comme sur les fig. 1 et 2, la partie du cycle opératoire qui abaisse l'assemblage de rouleaux de sa position rétractée à son premier contact avec la route s'effectuera nécessairement par le plus grand des deux cylindres concentriques du bélier étant donné que la plus grande surface de piston de cette phase du vérin l'amènera à s'étendre le premier. Cette situa tion a deux inconvénients. Premièrement, une grande quantité de liquide hydraulique doit être déplacée pour remplir le cylindre plus grand du vérin, et si la pompe à fluide est de dimension raisonnable cette opération impliquera un délai de plusieurs secondes.
Deuxièmement, pendant que ce plus grand cylindre se remplit, il n'y a que la résistance du ressort de traction à surmonter, et étant donné que la surface du piston est relativement grande, très peu de pres sion hydraulique sera créée. Le dispositif de com mande est construit de façon qu'il n'est retenu dans la position opératoire que par la pression hydraulique agissant sur un épaulement entre deux diamètres du plongeur de la soupape de commande. Dans l'absence d'une. telle pression le plongeur de la.soupape d;, commande est poussé vers la position décalée, .par un ressort de rappel et l'installation est immédiate ment rétractée par les moyens à ressort décrits ci-dessus.
L'effet de cette disposition avec le vérin à deux phases classiques est que le conducteur, lorsqu'il tire sur le bouton de la soupape de commande, doit le tenir ainsi pour plusieurs secondes jusqu'à ce que la pression s'accroisse sur le rouleau atteignant le sol et commençant à supporter le poids du véhicule. S'il tire sur ce bouton et le lâche immédiatement, comme ce serait le cas avec d'autres boutons de panneau de commande, il reviendra brusquement dans la position K dégagée y>. Cette nécessité de maintenir le bouton tiré peut être considérée comme un inconvénient irri tant pour le conducteur.
Les inconvénients d'un lent remplissage des vérins de la première phase et le manque de pres sion initiale lors du fonctionnement de l'installation peuvent être surmontés par la disposition représentée sur les fig. 3, 3A, 4, 5, 6, 7 et 8 qui prévoient une forme spéciale de vérin à deux phases dans lequel une première phase à petit diamètre est forcée à fonctionner en premier afin d'amener les rouleaux très rapidement à proximité de la route. Dès que ces pistons de vérin de la première phase sont complè tement étendus, un mécanisme d'enclenchement per met l'actionnement des pistons principaux ou de tra vail, qui soulèvent alors la voiture et poussent les rouleaux de parcage en contact avec les roues du véhicule.
Cette forme d'exécution a l'avantage sup plémentaire que le volume de fluide qui doit être à disposition pour le fonctionnement de l'installation de parcage est fortement réduit, de sorte qu'une petite pompe peut être employée avec l'économie qui en résulte et la réduction de l'effort sur l'entraînement de la pompe.
Sur la fig. 3 un essieu arrière 39 d'un véhicule porte une roue 40 et une contre-plaque à frein 41 est fixée par un rebord 42 et des boulons 43. L'essieu 39 est fixé aux ressorts de roue 44 par des boulons en U 45 et une plaque à ressort 46. Un prolonge ment de cette dernière porte un logement de palier tubulaire (non représenté) dans lequel est située la tige d'assemblage 47 du dispositif de parcage. Agis sant autour du pivot supérieur de cette tige se trouve un ressort à traction 48 pourvu d'un point d'attache 49. A son extrémité inférieure la tige d'assemblage 47 est fixée à un support 50 au moyen d'un axe pivotant 51. Un rouleau d'engagement du sol 52 est monté sur des paliers dans le support 50.
Une autre face 53 du support 50 est alésée pour recevoir le goujon fileté 54 d'un piston inférieur de vérin 55. Serrée entre 55 et la face 53 se trouve une pièce emboutie 56 portant sur son rebord supérieur l'extré mité inférieure d'un soufflet extensible 57, qui peut être en caoutchouc synthétique. Une goupille 58 empêche le piston inférieur 55 du vérin de tourner par rapport au support 50. Le piston inférieur 55 du vérin est fixé au support 50 par un écrou 59 et une rondelle 60. A son extrémité supérieure le pis ton 55 porte des joints d'huile 61. Le piston 55 est de construction tubulaire et la partie inférieure de son alésage peut être conique afin d'épaissir les parois pour plus de rigidité.
La partie supérieure de cet alé sage est formée avec un évidement 6la dont la face supérieure 62 est disposée à un angle approprié pour constituer un contact glissant avec des plongeurs d'emboîtement 63, décrits ci-après, et qui sont portés à l'extrémité supérieure d'un cylindre 64 dans lequel coulisse le piston 55. La course du piston est limitée à son extrémité inférieure par un épaulement 65 sur le cylindre 64. Des fentes appropriées 66 pour une clef à écrous sont prévues à l'extrémité du cylindre 64.
L'alésage de l'épaulement sous 65 est un ajustage à frottement doux pour le diamètre extérieur du pis ton 55, et l'alésage principal 67 du cylindre 64 est un ajustage à frottement doux pour une tête agran die 68 à l'extrémité supérieure du piston 55 du bélier. L'extrémité supérieure du cylindre 64 est formée avec un filetage intérieur 69 et une partie courte plane 70 au-dessus de ce filetage. L'embouchure de cette par tie plane est légèrement chanfreinée à un angle appro prié pour recevoir un joint 71 du type à anneau en 0 fixé à un bossage 72 qui s'engage par filetage avec le filetage intérieur du cylindre 64.
Un piston supérieur 73 du vérin, qui est pourvu d'un passage axial 90, coulisse dans un alésage dans le bossage 72. Le bossage 72 est également formé avec une partie plane sur celui-ci au-dessus du filetage extérieur qui engage des filets 69 et un épaulement peu profond 74. Ainsi lorsque le bossage 72 est vissé dans le cylindre 64 et le piston supérieur 73 ajusté dans celui-ci, le piston supérieur et l'alésage 67 du cylin dre sont coaxiaux.
Comme le montrent les fig. 3 et 3A le mouvement ascendant du piston 73 dans le bossage 72 est limité par une attache circulaire 75 ajustée dans une rai nure à proximité de son extrémité inférieure. A une courte distance vers le haut du diamètre extérieur du piston 73 il est pratiqué une rainure 91 analogue en coupe à l'évidement 61 du piston inférieur 55. Celle- ci est également façonnée de manière appropriée pour recevoir des plongeurs de détente 63 qui peuvent coulisser dans des fentes radiales dans le bossage 72.
Dans la position entièrement étendue du bélier 1, comme le montre la fig. 6, le piston supérieur 73 est retenu dans sa position allongée parce que sa rétraction est empêchée par les plongeurs 63 qui s'emboîtent avec la rainure 91 dans le piston 73. Les plongeurs sont eux-mêmes empêchés de s'échapper vers l'extérieur par un anneau de retenue 76. Cet anneau entoure la partie cylindrique intérieure 77 du bossage 72, et la partie supérieure de son diamè tre intérieur s'ajuste à frottement doux sur celle-ci. Ce diamètre, toutefois, est tel qu'il ne peut pas pas ser sur les surfaces extérieures des plongeurs d'em boîtement 63.
La partie inférieure du diamètre inté rieur de l'anneau de retenue 76 s'ajuste, toutefois, à frottement doux sur les plongeurs d'emboîtement et les deux alésages différents de cet anneau sont réunis par une- dent peu profonde formée avec le même angle que le chanfrein extérieur des plongeurs. Les plongeurs 63 ont des sections à côtés parallèlzs qui peuvent être coupées par une opération de fen- dage à partir d'un anneau circulaire ayant la même section que celle représentée sur cette vue des plon geurs de détente. De cette façon quatre plongeurs de détente peuvent être fabriqués économiquement à partir d'un anneau façonné au tour ou meulé.
Leurs faces supérieure et inférieure sont parallèles, sauf où vers les bords intérieur et extérieur de la face annu laire supérieure des chanfreins sont pratiqués à un angle approprié pour permettre un glissement radial des plongeurs lorsque un effort axial est appliqué à ceux-ci, soit par le piston supérieur 73 soit par le piston inférieur 55.
L'angle que ces chanfreins, lors qu'on les regarde en coupe, forment par rapport à la face plate restante doit préférablement être assez petit pour se conformer avec un fonctionnement sûr, afin que lorsqu'ils retiennent l'un ou l'autre des pis tons contre un mouvement sous l'effet de forces hydrauliques ou autres forces, la charge radiale pro duite sera un minimum dans l'intérêt d'un faible effort dans Panneau de retenue 76, et un bas taux d'usure dans le cas où les plongeurs portent sur le diamètre extérieur du piston supérieur 73, comme décrit ci- après. L'anneau de retenue 76 est sollicité vers le bas par un ressort hélicoïdal 78,
qui s'ajuste dans un évidement entre la partie cylindrique extérieure du bossage 72, qui porte les filets et les diamètres à ajustement libre et la surface cylindrique intérieure 77. L'alésage du bossage 72 est formé avec des rai nures contenant des joints d'huile 79 et un anneau 80 à joint de poussière et racleur combiné. La partie supérieure de la tige de piston 73 est pourvue d'un épaulement 81, auquel est ajusté un siège de support sphérique 82.
Contre la surface sphérique de celui-ci repose un manchon en partie sphérique et à lubrifica tion automatique 83 qui peut être placé dans un trou dans une pièce emboutie ou patte fixée à l'essieu. en 84 par exemple. Alternativement, la pièce embou tie peut être formée avec un bossage sphérique mâle, contre lequel le siège sphérique 82 peut agir directe ment, ou par interposition d'une matière à frotte ment faible.
Dans le premier cas le siège peut être en fer coulé ou matière analogue possédant de bon nes propriétés antifrottement. Un manchon flexible 85 en caoutchouc ou matière analogue est ajusté au-dessus de la pièce emboutie et fixé par un écrou 86 et un contre-écrou 87. Ceux-ci sont vissés sur l'extrémité filetée de la tige de piston 73, et ce file tage peut être du type filetage de tuyau, auquel un écrou d'assemblage 88 peut fixer un tuyau d'alimen tation 89.
En supposant que la pression hydraulique dans l'assemblage est libérée, l'action du ressort sera de déplacer le piston creux 55 dans le cylindre 64 jus qu'à ce que la partie agrandie 68 engage l'anneau de retenue le poussant vers le haut contre l'action du ressort 78 et l'alésage de la partie agrandie 68 passe sur le bossage 72 et les extrémités extérieures des plongeurs de détente 62 jusqu'à ce que la rainure circonférentielle 61a se trouve en face de ceux-ci. La partie de piston 64 peut alors se déplacer vers le haut sur le piston 73 et en agissant ainsi force les plongeurs de détente 63 hors de la rainure 91 dans la rainure 61a après quoi les
parties atteignent la position entièrement contractée de la fig. 4. Lorsque la pression hydraulique est appliquée par le tuyau d'alimentation 89, et le trou 90 dans la tige de pis ton 73, la pression d'huile agira sur les faces des deux pistons, mais aucun mouvement du piston infé rieur 55 n'est possible par suite de l'action de blo cage des plongeurs 63. Le piston supérieur 73, tou tefois, est libre de s'étendre et sa surface est suffi sante pour surmonter la force de retenue du ressort de traction 48 agissant sur l'assemblage de bélier par la tige d'assemblage 47 et la fonte de base 50.
Par conséquent, la tige de piston 73 sort pendant que les plongeurs de détente 63 appuient sur sa sur face, par suite de l'effort exercé sur ceux-ci par la face supérieure à angle 62 de l'évidement 61 dans le piston inférieur 55. Dès que la rainure 91 dans le piston supérieur 73 atteint une position en face des plongeurs 63, l'effort intérieur sur ces plongeurs les amènera à traverser, de sorte que leurs parties inté rieures occuperont la rainure 91, bloquant ainsi le piston supérieur 73 et dégageant en même temps le piston inférieur 55.
Ce changement est agencé pour survenir lorsque le rouleau 52 s'approche du sol, tout en étant juste à l'écart du sol, dans les conditions de charge et d'autres variantes qui l'amènent le plus proche du sol. La pression hydraulique peut mainte nant forcer le piston inférieur 55 vers l'extérieur et vers le bas, de sorte qu'il amène le rouleau 52 en contact avec la route. Dans son mouvement à l'écart de l'extrémité supérieure du cylindre 64 il est suivi par l'anneau de retenue 76 sollicité par le ressort 78. L'anneau de retenue 76 se déplace vers :le bas à travers les surfaces extérieures des plongeurs d'em- boitement 63 jusqu'à ce qu'il soit arrêté par l'épaule ment ou dent précité.
Lors de l'extension vers le bas du vérin il n'existe pas de résistance à ce mou vement de l'anneau de retenue, puisque les plongeurs sont libres de se déplacer vers leur position le plus à l'intérieur, sur quoi leur dimension la plus grande est plus petite que l'alésage le plus grand de l'anneau de retenue 76. D'autre part, lorsque le bélier est tiré vers le haut par l'effort du ressort de traction 48, une certaine force radiale vers l'extérieur est appli quée aux plongeurs 63 par la surface à angle de la rainure dans le piston supérieur 73. Le piston infé rieur 55, afin de terminer son mouvement de rétrac tion, doit pousser l'anneau de retenue 76 vers le haut et son alésage supérieur doit passer sur les surfaces extérieures des plongeurs 63.
Ce diamètre intérieur de la partie supérieure du piston inférieur 55 devrait par conséquent être légèrement plus grand que l'alé sage le plus grand de l'anneau de retenue 76, autre ment il existerait un danger de coinçage si l'alésage du piston inférieur 55 était égal ou légèrement infé- rieur à l'alésage de l'anneau de retenue, étant donné que, afin de commencer à passer sur la surface des plongeurs de détente 63, le piston inférieur 55 pour rait être obligé de comprimer les plongeurs de détente 63 l'un vers l'autre contre la force radiale vers l'exté rieur précité.
Etant donné que cette force que le piston inférieur pourrait être obligé d'exercer s'ajou terait à la force radiale vers l'extérieur précitée, un état de coincement pourrait s'établir.
Dans les cas où un vérin est continuellement sou mis à une force compressive telle que celle d'un res sort de traction, il existera toujours une petite force radiale vers l'extérieur sur les plongeurs 63. Dans certains cas, celle-ci peut être suffisante pour s'oppo ser au mouvement vers le bas de l'anneau de retenue 76, si l'embouchure de cet anneau de retenue pos sède seulement le court chanfrein représenté sur les fig. 6, 7 et 8. La fig. 6, par conséquent, montre une construction alternative dans laquelle un petit angle d'avance conique, par exemple comprenant 100, est appliqué à l'embouchure de l'anneau de retenue 163.
L'effet de cet angle d'avance est d'assurer qu'une partie sensible de la longueur de l'anneau aura passé sur les plongeurs avant qu'il n'y ait une possibilité que l'anneau de retenue soit arrêté par le mouvement radial vers l'extérieur des plongeurs 63, puisque les plongeurs sont retenus dans leur position le plus à l'intérieur par l'alésage 164 du piston inférieur 55.
Le diamètre plus petit à l'extrémité intérieure de l'angle d'avance conique dans l'anneau de retenue 163 peut soit avoisiner l'épaulement 165 qui limite fina lement le déplacement de l'anneau de retenue 163, soit être séparé de celui-ci par une courte partie parallèle dont le diamètre est légèrement plus petit que l'alésage 164 du piston inférieur 55. Dans l'un ou l'autre cas, l'angle d'avance conique est disposé de façon telle qu'il atteint un diamètre égal à l'alésage 164 en un plan se trouvant à proximité de sa limite intérieure.
La fig. 6 montre le point où le plongeur 63 entre premièrement en contact avec l'anneau de retenue 163, pendant que la position du plongeur 63 est encore commandée par l'alésage 164 du piston infé rieur 55.
On remarquera qu'étant donné que l'angle latéral de l'angle d'avance conique est trop petit pour qu'il agisse comme plan incliné réversible, la pression exté rieure des plongeurs 63 résultant d'un effort axial appliqué par l'inclinaison réversible 166 du piston supérieur 73 ne peut pas amener l'anneau de retenue 163 à être poussé vers le haut (vers la gauche, comme le montre la fig. 6) contre la pression du ressort de l'anneau de retenue non représenté.
Une extension vers le bas du piston inférieur 55 produit un espace annulaire à l'extérieur de l'anneau de retenue 163, qui suit le piston inférieur 55 dans son mouvement. Cet espace doit être rempli de fluide, mais il n'y a pas d'accès facile pour l'huile pendant que l'anneau de retenue 163 est pressé en contact étroit avec le piston inférieur 55 par l'action du res- sort 78 de l'anneau de retenue, étant donné que le jeu entre l'anneau de retenue 163 et la surface du bossage 72 est trop petit pour fournir le fluide assez vite afin de remplir l'espace créé par le mouvement vers le bas de l'anneau de retenue et du piston supérieur.
A moins que des dispositions spéciales ne soient prises, la différence de pression résultant de l'évacua tion de cet espace forcera l'anneau de retenue 163 hors de contact du piston inférieur 55, jusqu'à ce qu'un espace suffisant existe entre la face frontale de l'anneau de retenue et la face arrière du piston pour permettre à suffisamment de fluide -de passer.
Une telle séparation non commandée .de l'anneau de rete nue,du piston inférieur pourrait être suivie d'une vi bration et un mouvement basculant de l'anneau de retenue, qui pourrait amener son diamètre plus petit à se coincer sur .le diamètre @de support -du bossage 72, ou son diamètre .extérieur, pour se coincer :dans l'alé sage plus grand,du bossage 72.
Afin de prévoir un parcours d'huile approprié vers la surface fermée par l'anneau de retenue 163, des fentes peu profondes 167 peuvent être for mées sur la face supérieure du piston 55. Commo dément, deux fentes de 0,3 cm environ pourraient être taillées à angle droit l'une par rapport à l'autre directement en travers de la face du piston inférieur 55, comme le montre la fig. 6. Leur profondeur devrait être inférieure à la profondeur d'un chan frein 168 à l'ouverture d'un alésage 164.
On remarquera que deux chanfreins sont repré sentés, sur l'anneau et un jeu indiqué entre le diamè tre extérieur de l'anneau de retenue 163 et l'alésage plus grand du bossage 72. Le but de ces dimensions est d'empêcher la possibilité de coincement entre ces surfaces et de permettre un parcours facile pour l'huile dans l'évidement pendant que l'anneau de rete nue sort de celui-ci.
Etant donné que le dispositif de parcage supporte le poids de la voiture et son extension continue sou lève la roue 41 et le pneu 92 à l'écart de la route, la petite surface de la tige de piston 73, lorsque la pression de travail de la pompe à fluide agit sur celle-ci, ne suffira pas pour maintenir la tige de pis ton 73 dans sa position entièrement étendue où l'atta che circulaire 75 bute contre la surface inférieure 93 du bossage 72. Le piston supérieur 73, par consé quent, fermera un peu jusqu'à ce que le jeu entre le plongeur 63 et la face à angle 94 de la rainure 91 soit rattrapé. Ensuite, la charge compressive princi pale appliquée à la tige de piston 73 est prise par les chanfreins intérieurs des plongeurs 63.
Avec une extension continue du piston inférieur 55, le rouleau 52 roulera sur la route jusqu'à ce qu'il soit poussé en contact avec le pneu 92, et l'assemblage est agencé de telle façon qu'il peut forcer son chemin dans le pneu flexible suffisamment pour créer un bon entrai- nement par frottement dans toutes les conditions. La voiture peut maintenant être conduite latéralement dans l'un ou l'autre sens en choisissant la première vitesse ou la marche arrière, et en actionnant les commandes de manière habituelle.
Dès que l'opéra tion de parcage est terminée et que le bouton de com mande de la soupape est poussé sur la position dégagée toute la pression est libérée de l'installa tion, et les forces combinées du pneu défiguré 92 agissant sur le rouleau 52 et la force de traction en arrière du ressort 48, poussent -le rouleau 52 vers la gauche, comme le montre la fig. 3, c'est-à-dire vers le centre de la voiture.
Etant donné la position bloquée du piston supérieur 73, le piston inférieur 55 est le premier à se retirer et ce mouvement continue jus qu'à ce que le rouleau soit un peu à l'écart de la route et que la face supérieure du piston inférieur 55 rencontre la face inférieure de l'anneau de retenue 76.A mesure que le piston inférieur 55 termine son mouvement de retrait, l'anneau de retenue 76 est poussé vers la position représentée sur la fig. 4, et l'évidement 61 du piston inférieur 55 atteint une posi tion en face des plongeurs 63.
La force de retrait du ressort 4, qui agit de façon égale sur le piston supé rieur 73, le sollicitant vers le retrait, amène mainte nant la face à angle 94 de la rainure 90 à pousser les plongeurs 63 vers l'extérieur, jusqu'à ce que leurs parties extérieures occupent l'évidement 61. Le dia mètre principal 95 du piston supérieur 73 est ainsi capable de passer les plongeurs et le piston supé rieur 73 peut se rétracter entièrement à la position représentée sur la fig. 4.
La fig. 5 montre des plongeurs à emboîtement 63 tels qu'ils seraient fabriqués à partir d'une seule pièce circulaire de matière. Les parties découpées par l'opération de fendage sont représentées par des lignes brisées.
La fig. 9 montre une autre alternative, dans laquelle les plongeurs coulissants 120 ont une forme cylindrique, avec des extrémités coniques. Cette figure est une vue analogue à la fig. 3A. Le piston supérieur 73 est montré en entier, mais le bouchon 72, l'anneau de retenue 76 et le cylindre et piston associés sont représentés en demi-coupe. La construc tion est de façon générale analogue à celle des fig. 3 et 4, sauf que les trous dans le bouchon 72, dans lesquels s'ajustent les plongeurs à emboîtement 120, sont circulaires. Les plongeurs cylindriques 120 ont des extrémités coniques 121 et 122 qui engagent des faces angulaires 123 et 124 sur le piston supérieur 73 et le piston inférieur respectivement.
La surface extérieure 125 du plongeur à emboîtement 120, qui engage l'anneau de retenue 76, peut avoir une forme légèrement convexe, de manière à présenter une sur face appropriée pour glisser contre l'alésage de l'anneau de retenue 76. Dans cette construction l'action de blocage s'effectue par contact linéaire seulement entre les diverses surfaces coniques des pistons et les plongeurs à emboîtement de sorte qu'il sera .avantageux de durer toutes ces :surfaces.
Les fig. 10 et 11 montrent une autre forme alter native d'un mécanisme de détente, dans lequel des bras basculants 96 exécutent la même fonction que les plongeurs coulissants 63 des exemples précédents. La fig. 10 montre un vérin dans la position entière ment rétractée, et la fig. 11 montre une vue agrandie de l'ensemble de détente au moment où la tige 97 du piston supérieur, ayant été entièrement étendue et étant maintenant bloquée par le nez antérieur 98 du bras basculant 96, et le piston inférieur 99 ont été dégagés par la surface d e blocage extérieure 100 du bras basculant 96.
Comme le montre la fig. 11, le piston inférieur 99 a commencé son extension, suivi par l'anneau de retenue 101, quia maintenant atteint l'épaulement de blocage 100, sollicité par le ressort 102. Dans chacun de ces exemples une seule détente du type à plongeur coulissant ou à bras bas culant peut être employée, ou plusieurs de celles-ci.
La fig. 12 montre une autre alternative, dans laquelle plusieurs billes sont utilisées au lieu des plon geurs coulissants ou bras basculants. Cet assemblage est représenté au moment où les billes ont été déga gées par la rétraction complète du piston inférieur 103 et de l'anneau de retenue 104.
En utilisant ce dispositif de parcage il est possi ble qu'un conducteur inexpérimenté pourrait caler le moteur en n'ouvrant pas suffisamment la soupape de réglage en se déplaçant latéralement sur une inclinai son par exemple. Une autre erreur possible consiste rait à déplacer la voiture latéralement avec une puis sance et une vitesse excessives, par suite d'une ouver ture trop grande de la soupape de réglage.
Si on pensait qu'il serait avantageux de réduire l'une ou l'autre de ces possibilités d'erreur, ceci pourrait être effectué en reliant ensemble la tige de commande de la soupape à une tige d'assemblage qui ouvrirait légè rement la soupape de réglage pour atteindre un grand ralenti lors du tirage du bouton de commande de la soupape, et qui au même moment bloquerait la com mande normale de l'accélérateur, de sorte que la sou pape de réglage ne pourrait pas être ouverte au-delà d'un certain degré. Une telle disposition est repré sentée schématiquement sur la fig. 13, sur laquelle un carburateur 149 est monté sur une tubulure 151 du moteur, et est pourvu d'une tige 150 de soupape de réglage.
La soupape de réglage est normalement actionnée par une tige 152, et un levier<B>153</B> repré senté sur le côté éloigné du carburateur. La tige de l'étranglement fait saillie dans le corps du carbura teur sur le côté gauche du dessin, et porte un élément d'arrêt d'étranglement, dont un bras porte la vis de commande normale 155 de ralenti. Un support 156 fixé au carburateur est formé avec un trou circulaire dans lequel s'ajuste l'extrémité agrandie de la tige 157. Cette extrémité de la tige 157 comprend une inclinaison qui est en contact avec l'extrémité de la vis 155, ou elle peut être en contact avec une partie non réglable du mécanisme d'étranglement.
Un autre bras de l'élément d'arrêt d'étranglement 154 se trouve à proximité d'une fente dans le support de la tige 157, et dans cette fente repose un goujon 159 qui est fixé à l'extrémité 160 de la tige 157. L'autre extrémité de la tige 157 est reliée par un axe à un prolongement 171 de l'arbre d'actionnement 167 (fig. 1). Lorsque la soupape 166 est actionnée en tirant l'arbre d'actionnement 167 et le prolongement 171 vers la droite, la tige 157 sera également portée vers la droite, et l'inclinaison amènera l'étranglement du car burateur à s'ouvrir légèrement en agissant sur la vis 155.
Au même moment l'axe 159 sera déplacé vers la droite jusqu'à un point en face de l'élément d'arrêt d'étranglement ; le résultat de ces mouvements est que, premièrement, l'étranglement s'ouvrira légère ment pour donner un grand ralenti convenant pour des mouvements latéraux normaux de parcage, et au même moment l'axe 159 empêchera une ouverture excessive supplémentaire de l'étranglement en blo quant le parcours du levier 154 au cas où on abais serait l'accélérateur.
La position que les rouleaux 52 adoptent lors qu'ils sont en contact avec le sol et avec les roues soulevées du véhicule importe beaucoup étant donné que c'est de ceci que l'usure des rouleaux dépend. Leurs axes de rotation devraient s'étendre dans un sens vertical et en les regardant depuis le côté du véhicule ils devraient être inclinés dans des sens oppo sés par rapport à un plan transversal vertical, par exemple à un angle d'environ 20c, afin qu'ils puis sent tous les deux contribuer simultanément à balan cer l'extrémité soulevée du véhicule dans le même sens.
Ainsi l'axe de rotation d'un des rouleaux est incliné vers l'arrière à mesure qu'il s'étend vers le haut et celui-ci sera le rouleau pour entraîner la roue latérale de gauche pour les voitures conduites à gau che de la route, tandis que l'axe de rotation de l'autre rouleau est incliné vers l'avant à mesure qu'il s'étend vers le haut.
Si les axes inclinés de rotation des rouleaux étaient disposés dans des plans verticaux d'avant en arrière il y aurait une tendance pour les rouleaux de rouler latéralement sur des chemins parallèles à angle droit par rapport à l'axe longitudinal de la voiture. Ce mouvement serait correct si toute la voiture était amenée à se déplacer latéralement, mais étant donné qu'aucun mouvement latéral n'est communiqué à l'extrémité avant de la voiture, la voiture a tendance à tourner autour d'un point situé près du centre de l'essieu avant. Il en résulte que, avec les axes des rouleaux dans le plan vertical d'avant en arrière, les rouleaux seront forcés hors de leur chemin d'action naturel d'où frottement et résistance à un roulement libre.
Cette difficulté est surmontée en faisant en sorte que le chemin de roulement des rouleaux suive un parcours courbe centré sur un point près du centre de l'essieu avant de la voiture. Une manière appro priée d'atteindre ce résultat est de disposer le sup port du rouleau dont l'axe de rotation est incliné vers l'arrière à mesure qu'il s'étend vers le haut de telle façon qu'il est également incliné vers l'extérieur, en regardant dans la direction longitudinale, d'un petit angle (3o dans l'exemple de la fig. 1), tandis que l'axe de rotation de l'autre rouleau en plus d'être incliné vers l'avant à mesure qu'il s'étend vers le haut est également incliné vers l'intérieur.
Ainsi en effet les axes des deux rouleaux lorsqu'ils sont en contact avec la route et avec les roues du véhicule en regar dant dans le sens de l'axe longitudinal, sont parallèles l'un à l'autre. Cet angle d'inclinaison de l'axe de rotation de chaque rouleau peut être obtenu en ajus tant de façon appropriée l'angle entre l'axe du vérin et la face 50 de la fonte de base 53, auquel le cylin dre inférieur 55 du vérin est fixé par la vis 54 et l'écrou 60,
un angle approprié auquel on peut bascu ler le rouleau est celui qui amène le prolongement de l'axe de rotation du rouleau au point où il heurte le sol à intersecter une ligne tirée sur le sol du centre de la surface de contact de la bande de roulement du rouleau, à un point sous l'essieu avant du véhicule. En d'autres termes, l'axe de chaque rouleau, en le regardant en plan comme sur la fig. 14 doit être dans le même plan vertical A qu'une ligne tracée du centre de la surface de contact de la bande de roulement du rouleau à un point B près du centre de l'essieu avant du véhicule.
Il n'est pas essentiel que ces plans continuant les axes de rotation des rouleaux s'inter- sectent exactement au centre de l'essieu avant du véhicule, et pour plus de commodité un point peut être choisi un peu en avant d'une ligne C réunissant les centres des roues avant, mais se trouvant sur la ligne centrale longitudinale D du véhicule.
On se rendra compte que les rouleaux étant basculés dans des sens opposés en les regardant transversalement, ils doivent être tous les deux bas culés dans le même sens lorsqu'on les voit dans la direction longitudinale, afin de produire le même effet.