CH362966A - Machine à mouler et à envelopper une matière à l'état plastique - Google Patents

Description

  



  Machine à mouler et à envelopper une   matière à Fêtât    plastique
 La présente invention a pour objet une machine à mouler et à envelopper une matière à   Fêtât    plastique, du beurre par exemple, pour produire des portions enveloppées de la matière présentant un poids déterminé.



   On comprend facilement que le fonctionnement idéal d'une machine consiste en ce que l'alimentation, le moulage et l'enveloppement s'effectuent de façon continue, car une telle machine est capable de tourner à une vitesse beaucoup plus grande qu'une machine comprenant une ou plusieurs unités à mouvement intermittent.



   La machine faisant l'objet de la présente invention comprend des chambres de moulage mobiles dans lesquelles sont moulées sous forme de blocs des quantités mesurées de la matière, des   récepta-    cles également mobiles agencés pour recevoir les blocs moulés accompagnés d'une feuille d'enveloppe, et des moyens pour donner   respectivement auxdi-    tes chambres et auxdits réceptacles un mouvement continu en circuit fermé, leurs trajectoires, sur une partie déterminée desdits circuits, étant écartées d'une distance constante pour permettre le transfert des blocs moulés dans les réceptacles correspondants sous l'effet de pistons agencés pour chasser les blocs hors des chambres de moulage.

   Elle est carac  térisée    en ce qu'elle comprend en outre des moyens agencés pour imprimer aux réceptacles venant en regard des chambres de moulage des vitesses telles que ces réceptacles puissent rester en face des chambres de moulage correspondantes, tant que dure ce transfert et des moyens pour modifier la vitesse des réceptacles après ledit transfert mais dans ladite partie déterminée desdits circuits, de manière que   les pistons puisfsent se séparer des. blocs moulés.   



   Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la machine selon   l'inven-    tion.



   Les fig. 1 à 6 en sont des vues schématiques partielles de la machine montrant divers stades de son fonctionnement.



   La fig. 7 est une coupe d'un détail.



   La fig. 8 est une coupe selon VIII-VIII de la fig. 7.



   La fig. 9 est une vue en élévation d'un autre détail de cette forme d'exécution.



   La fig. 10 est une vue selon la flèche X de la fig. 9.



   La fig. 11 est une vue en plan prise selon XI
XI de la fig. 9.



   La fig. 12 est une vue en élévation schématique de l'ensemble de la machine.



   La forme d'exécution représentée concerne une machine à mouler et à envelopper du beurre qui est refoulé de manière continue dans une tuyère d'alimentation 1 (fig.   1    à 6) par une vis sans fin 2 tournant dans un conduit 3 partant de la base d'une trémie non représentée. Une   lèvre    arquée 4 de la tuyère 1 est poussée contre la périphérie d'un tambour de moulage 5 à rotation continue présentant plusieurs chambres de moulage radiales 6 logeant chacune un piston 7.



   Un mouvement alternatif est imparti à chaque piston 7 par un mécanisme comprenant des leviers 8 et 8A et une biellette réglable 8B, le levier principal 8 pouvant osciller sur un pivot 9 porté par le tambour 5. On voit à la fig. 7 que le pivot 9 du levier 8 associé à une chambre de moulage 6 est disposé à proximité de la chambre suivante. Le levier 8 pivote à son extrémité opposée par une cheville 9A, sur la biellette 8B, qui est connectée à son tour à pivot au piston 7 par une cheville 7A. Le levier 8A porte un galet suiveur 10 guidé par une came fixe 11. Les positions des leviers 8,8A sont fixes l'une par rapport à l'autre.



   Le tambour 5 présente six chambres de moulage 6. On voit à la fig. 2 que l'embouchure de la tuyère 1 est suffisamment large pour communiquer avec deux chambres, le piston 7 de l'une venant juste de terminer sa course vers l'intérieur et le piston de l'autre chambre commençant juste sa course vers l'intérieur. Par conséquent, il y a toujours une chambre en cours de remplissage, de sorte que   l'écoule-    ment continu du beurre à travers la tuyère 1 n'est jamais suspendu.



   L'unité d'enveloppement de la machine comprend une piste sans fin 12 pour guider une série de réceptacles constitués par des supports 13 à mâchoires qui circulent de manière continue et dans un seul sens sous l'action d'une paire de chaînes sans fin 14 auxquelles ils sont connectés. Chaque connexion   com-    prend une biellette 15 et un levier 15A, la biellette étant fixée à une chaîne 14 tandis que le levier est fixé à une roue dentée 16 montée sur un axe 16A qui est monté   lui-même    sur un chariot, paral  lèlement    à   l'axe    17A   d'une    autre roue dentée 17 qui engrène avec la roue 16. Un bras 18 est fixé à la roue 17 et porte un galet suiveur 18A agencé pour se déplacer le long d'une piste fixe 19.



   Comme les supports doivent parcourir un espace particulier pour achever l'enveloppement d'une charge de beurre qui est transférée sous forme d'un bloc de l'une des chambres de moulage 6   à l'un    des supports 13, le nombre de supports 13 est un mul  tiple    entier du nombre de chambres 6 dans le tam  bour    5, pour que le même support coopère toujours avec la même chambre afin de permettre un réglage précis pour le balayage, comme on le verra plus loin. On peut utiliser, par exemple, dix-huit supports. Les supports 13 sont plus proches les uns des autres que ne le sont les chambres 6.   B    est cependant nécessaire que, pendant la période de transfert, chaque support 13 reste en face de la chambre 6 associée.

   Comme, à ce moment, les supports 13 décrivent une trajectoire circulaire dont le centre   coincide    avec   l'axe    du tambour de moulage 5, la vitesse angulaire des supports 13 pendant la période de transfert doit être égale à la vitesse angulaire du tambour 5.



   Un papier d'emballage 20 est amené par des rouleaux 21 dans l'espace conique entre le côté inférieur du tambour 5 et le coté supérieur des chaines 14 et des supports 13 qui leur sont rattachés, de manière que le papier soit pris par un organe de prise 22 monté sur le tambour 5. Le papier 20 est amené sous forme d'une nappe continue qui est coupée juste avant le transfert d'un bloc de beurre 23   d'une    chambre de moulage 6 au support 13 cor  respondant Quand    le bloc de beurre 23 est éjecté par le piston 7 hors de la chambre 6 pour le trans  férer    au support 13, le papier 20A est entraîné par le bloc 23 et amené vers le bas entre les machoires du support 13 correspondant.

   Dès que le piston a fait une course suffisante pour que le bloc de beurre 23 éjecte ait emprisonné le papier entre les mâchoires du support, l'organe de prise 22 libère le papier.



   La vitesse périphérique du tambour 5 est uniforme et la vitesse de déplacement des chaînes 14 est telle que lorsque le bloc de   bourre    23 doit être transféré, le support se meut à la   même'vitesse    angulaire que la chambre de moulage de laquelle le bloc est éjecté (fig. 4), jusqu'à l'instant où le bloc a été entièrement transféré (fig. 5). Ensuite, la vitesse de transport du support 13 contenant le bloc transféré est ralentie par rapport au mouvement circulaire du piston 7 dépassant de la périphérie du tam  bour    5 tournant à une vitesse   uniforme.    Ce ralentissement est assuré par la forme du profil de la piste fixe 19.

   Il en résulte que le piston 7 en saillie se déplace relativement plus vite que le support 13 correspondant et glisse ainsi sur la face du bloc de beurre 23 se trouvant dans le support ralenti. L'ex  trémité    de la mâchoire avant du support balaie donc la face du piston et il est essentiel que le jeu entre l'extrémité de la mâchoire qui effectue de balayage et la face du piston soit réduit au minimum, pour que cette face soit bien nettoyée. C'est pour cette raison que le nombre de supports est un multiple entier du nombre des chambres de moulage, afin que chaque support coopère toujours avec le même piston.



   Dans une variante non représentée de la machine décrite, les supports sont espacés de la même distance que les chambres de moulage, et la vitesse linéaire des chambres et colle des supports sont égales sur la plus grande partie du cycle des   sup-    ports, de sorte que le transfert se fait sans   modifi-    cation de la vitesse des supports et que le balayage est effectué après le transfert par ralentissement de la vitesse desdits supports.

   Dans une autre va, riante non représentée, les supports sont espacés d'une distance supérieure à la distance séparant les chambres de moulage, les supports doivent donc être ralentis pendant la période de transfert, et   l'ac-      célération    après le transfert produit le balayage ; dans ce cas cependant, le balayage se produit en direction de l'arrière du bloc moulé et non en   direc-    tion de l'avant comme dans la machine décrite.



   Grâce à un mode d'entraînement particulier des supports 13 qui va être décrit, ces diverses conditions peuvent être réalisées avec un mouvement à vitesse uniforme des chaînes sans fin 14.



   Chaque support 13 est formé de deux mâchoi
 res 25,25A et d'un fond 37. Les mâchoires 25,25A sont disposées transversalement à la chaîne (fig. 9,
 10 et 11), et pivotent sur des chevilles 26,26A   por-    tées par des plateaux latéraux 27 qui supportent aussi des axes transversaux 16A, 17A sur lesquels sont montées les roues dentées 16 et 17 respectivement. Les mâchoires 25,25A comprennent des sec   teurs    dentés 28,28A en engrènement qui permettent le mouvement concerté des deux mâchoires dont l'ouverture et la fermeture sont assurées par un bras 29 dirigé vers l'arrière, pivotant sur la cheville 26 et portant un galet suiveur 30 agencé pour rouler le long d'une piste de came 31 fixée au bâti 100 de la machine.

   Les mâchoires sont mises en position de fermeture par un ressort 32 monté entre l'extrémité extérieure du bras 29 et une cheville de fixation 33 dans l'un des plateaux 27. Un arrêt réglable 34 limite le mouvement de bascule vers l'intérieur des mâchoires solidaires. Les plateaux latéraux 27 portent des rouleaux 35 qui s'engagent sur des voies de guidage 36 fixées au bâti 100.



   Afin d'appliquer une pression au bloc quand le support, à un stade ultérieur, glisse entre deux pla  ques    parallèles (non représentées) pendant que les extrémités des mâchoires sont en contact avec une bande sans fin se déplaçant dans le même sens, pour former un bloc de beurre 23 bien régulier, le fond 37 du support opère un mouvement alternatif entre les mâchoires 25 et   25A.    A cet effet, ce fond 37 est fixé sur un plongeur 38 portant un galet suiveur 39 engagé par une surface de came 40 d'un levier coudé 41.

   Ce levier pivote sur une cheville 42 montée entre les plateaux latéraux 27 et porte un galet suiveur 43 engagé par une piste de came 44 fixée au bâti 100 de la machine, cette piste ayant la forme nécessaire pour produire, à l'instant voulu, un mouvement de bascule du levier 41 et ainsi un soulèvement du plongeur 38 et du fond 37.



   Les chaînes parallèles 14 des supports sont entraînées autour d'un certain nombre de paires de roues à chaîne 45   (fig.    12) montées sur des axes transversaux 46. Les chaînes 14 et les pistes de guidage 36 associées pour les supports 13 courent parallèlement sur toute la longueur de la trajectoire sans fin le long de laquelle les supports circulent de manière continue, une partie de cette trajectoire étant horizontale de manière à faire avancer un bloc de beurre 23 partiellement enveloppé dans une série d'unités d'enveloppement   W1,    W2, W3.



  Ces unités sont destinées à compléter l'enveloppement des blocs de beurre moulés et peuvent être d'une construction connue. Biles ne sont pas   décri-    tes ici.



   La fig. 8 montre certains détails de la construction du tambour de moulage 5 qui comprend un noyau 50 supportant des joues annulaires 51 parallèles, maintenues face à face par des segments à caisson 52 régulièrement espacés sur la   a    circonférence et qui forment, conjointement aux parties exposées des faces intérieures des joues 51, les six chambres de moulage 6 à extrémité ouverte.



  Les chevilles de pivotement 9 pour les leviers 8 actionnant les pistons sont fixées dans des paliers 53 montés sur les segments 52, les leviers 8A étant disposés le long du tambour 5 de manière que les galets suiveurs 10 puissent engager la came 11 fixée au bâti 100.



   Le moyeu 50 du tambour est fixé par des   da-    vettes 54 à un arbre d'entrainement creux 55 monté dans des paliers à rouleaux 56 portés par un manchon 57 cylindrique supporté par le bâti 100. Une roue 58 de vis sans fin est olavetée sur l'arbre 55.



  Une broche 59 disposée dans l'arbre creux 55 est susceptible de se déplacer axialement. Cette broche forme partie d'un mécanisme de réglage de la course du piston fonctionnant sur des principes connus
La broche 59 est solidaire d'une tête 60 présentant un col conique hexagonal 61 dont les six faces inolinées coopèrent avec un plongeur chanfreiné 62   susceptiblle de giligser dans    une ouverture radiale formée par des trous alignés dans l'arbre 55 et le moyeu 50. Le déplacement axial de la broche 59 est effectué à la main (pendant que la machine fonctionne, si nécessaire) à l'aide d'un mécanisme 63 à vis et écrou, la tête 60 solidaire de la branche 59 étant empêchée de tourner relativement à l'arbre 55 par une clavette 64 coopérant avec ladite tête 60.

   Chacun des plongeurs 62 constitue un arrêt pour limiter le mouvement vers   rioténèur    de l'un des pistons 7, le plongeur 62 butant contre une vis d'arrêt 65 montée dans un bloc 66 du levier 8 qui est   fixé à    pivot à la   bieHette    8B de connexion réglable. Tous les plongeurs 62 sont réglables simultanément et également par le déplacement axial de la broche 59 et de sa tête 60, le réglage individuel de la course de chaque piston étant assuré par les-vis d'arrêt 65.



   Il est essentiel-que la vis d'arrêt 65 bute toujours fermement contre le plongeur 62 pour maintenir une pression déterminée. Une section 11A de la came 11 est montée sur un pivot 67   (fig.    7) et poussée vers l'intérieur par un ressort 69 jusqu'à un arrêt 68. Cette section   11A    assure la traction mécanique du piston vers l'intérieur contre le plongeur 62.



   La roue 58 sur l'arbre 55 est entraînée par une vis sans fin 70 (fig. 12) avec un rapport d'engrenage de 9 : 1, cette   vis) sfams'En étant mcxntée sur    un arbre de renvoi vertical 71, des roues coniques 72 ayant un rapport d'engrenage de 2 : 3 reliant   l'ar-    bre 71 à un arbre   d'entrâînement    73 de la machine, mis en rotation par un engrenage de   réduc-    tion 76 à partir d'une source quelconque, par exemple un moteur électrique. Les chaînes 14   sont entrai-    nées par une vis sans fin 74 calée sur une extrémité de l'arbre 73 et qui engrène avec une roue 75 (rapport 4 : 1) montée sur l'un des axes transversaux 46 portant deux roues à chaîne   45.

   A    l'extrémité opposée de l'arbre 73 est monté un engrenage conique 77 entraînant une unité d'alimentation 78 amenant la nappe de papier fournie par une bobine 79 à travers un mécanisme de coupe du papier   80,      d'unie, construction connue, pour    former les feuilles d'emballage.

Claims (1)

1. REVENDICATION Machine à mouler et à envelopper une matière à l'état plastique, comprenant des chambres de moulage mobiles dans lesquelles sont moulées sous forme de blocs des quantités mesurées de la matière, des réceptacles également mobiles agencés pour recevoir les blocs moulés accompagnés d'une feuille d'enveloppe, et des moyens pour donner respectivement auxdites chambres et auxdits réceptacles un mouvement continu en circuit fermé, leurs trajectoires, sur une partie déterminée desdits circuits, étant écartées d'une distance constante pour permettre le transfert des blocs moulés dans les récep- tacles correspondants sous l'effet de pistons agen cés pour chausser les blocs hors des chambres de moulage,

   caractérisée en ce qu'elle comprend en outre des moyens pour imprimer aux réceptacles venant en regard des chambres de moulage des vitesses telles que ces réceptacles puissent rester en face des chambres de moulage correspondantes, tant que dure le transfert, et des moyens pour modifier la vitesse des réceptacles après ledit transfert mais dans ladite partie déterminée desdits circuits, de manière que les pistons puissent se séparer des blocs moulés.

   SOUS-REVENDICATIONS 1. Machine selon la revendication, caractérisée en ce qu'elle comprend des moyens pour former la feuille d'enveloppe autour d'un bloc pendant que ce bloc est dans son réceptacle.

   2. Machine selon la revendication, caractérisée en ce que les chambres de moulage sont situées à la périphérie d'un tambour de moulage en rotation continue, et en ce que le fond de chaque chambre est constitué par ledit piston, celui-ci étant agencé pour glisser radialement, et en ce qu'elle comprend un mécanisme à came agencé pour actionner les pistons.

   3. Machine selon'la sous-revendication 2, carac térisée en ce que ledit mécanisme comprend pour chaque piston deux leviers solidaires pivotant autour d'un pivot commun porté par le tambour de moulage, l'un desdits leviers étant connecté à pivot sur le piston et l'autre levier étant guidé par la came.

   4. Machine selon la sous-revendication 2, carac térisée en ce qu'elle comprend une tuyère destinée à refouler continuellement la matière à l'état plastique dans une enceinte limitée par la périphé- rie du tambour de moulage, l'enceinte étant suffi- samment grande pour communiquer avec deux chambres de moulage, dont l'une quitte cette enceinte avec le piston à la fin de sa course vers l'intérieur alors que le piston de l'autre chambre est juste au début de sa course vers l'intérieur, de manière qu'il y ait toujours une chambre en cours de remplissage afin de ne jamais arrêter l'écoule- ment continu de la matière à travers la tuyère.

   5. Machine selon la revendication, caractérisée en ce que lesdits réceptacles sont munis de mâchoires et entraînés sur une piste sans fin dans un seul sens par suite de leur connexion à une chaine sans fin se déplaçant synchroniquement aux mouvements des chambres de moulage.

   6. Machine seloon la sous-revendication 5, carac térisée en ce que les mâchoires de chaque réceptacle sont montées à pivot et agencées pour s'ou- vrir automatiquement sous l'action d'une came.

   7. Machine selon la soust-revendication, 5, caractérisée en ce que le fond du réceptacle est mobile de manière à pouvoir se déplacer entre les mâchoires pour terminer la formation d'un bloc de matière dans le support.

   8. Machine selon la sous-revendication 5, carac térisée en ce que les moyens pour modifier la vitesse des réceptacles après le transfert consistent en un mécanisme articulé connectant chaque réceptacle à la chaîne sans fin et comprenant une biellette et un levier, la biellette étant fixée à la chaîne sans fin et le levier étant connecté par engrenage à un bras susceptible de basculer par engagement avec une piste de came fixe.

   9. Machine selon la sous-revendication 5, caracté- risée en ce que le nombre de supports est un multiple du nombre de chambres.

   10. Machine selon la sous-revendication 2, carac térisée en ce que lesdits réceptacles sont entraînés par une chaîne sans fin, en ce qu'elle comprend des moyens pour asservir l'une à l'autre la vitesse li néaire de ladite chaîne et la vitesse angulaire dudit tambour, et en ce que les moyens pour modifier la vitesse des réceptacles après le transfert consistent en dispositifs commandés par came et aptes à faire varier la distance entre chaque réceptacle et son point d'attache sur ladite chaîne et ralentir ainsi le réceptacle.

   11. Machine selon la sous-revendication 2, carac terisée en ce qu'elle comprend des moyens pour amener une feuille d'enveloppement dans un espace entre le côté inférieur du tambour et le côté supérieur d'une chaîne à laquelle les réceptacles sont connectés, ladite feuille venant en prise avec des moyens d'entraînement montés sur le tambour.

   12. Machine selon la sous-revendication 11, caractérisée en ce qu'une bande d'enveloppement est coupée en feuilles d'enveloppe juste avant le transfert du bloc, une feuille étant entraînée par le bloc et portée entre les mâchoires du réceptacle corres- pondant.