Paroi amovible L'invention concerne une paroi amovible com prenant au moins deux montants et au moins un panneau fixé sur ces montants.
De telles parois amovibles sont principalement utilisées, dans, des bureaux et des bâtiments analo gues. Dans de tels bâtiments, les murs extérieurs délimitent de grands espaces qui sont subdivisés, à l'aide de panneaux amovibles, en locaux, dont l'im portance et la destination doivent parfois être modi fiées. La subdivision des grands espaces en petits locaux doit, de temps en temps, être adaptée aux nécessités de l'entreprise, par exemple aux nécessités de l'organisation du bureau. Cette adaptation doit, de préférence, pouvoir être effectuée très rapidement à l'aide d'un personnel réduit et non spécialisé, de préférence sans faire usage d'outils particuliers.
Les parois amovibles connues ne permettent pas d'exécuter cette adaptation rapidement et sans maté riel approprié, en particulier .en raison du fait que les montants, les panneaux et les éléments. de raccorde ment complémentaires sont reliés entre eux à l'aide de pièces de raccordement qui doivent être vissées les unes dans les autres.
L'invention vise à remédier aux inconvénients des parois amovibles connues, en éliminant pratiquement complètement l'usage de pièces qui doivent être vis sées lès@unes dans les autres.
La paroi amovible faisant l'objet de l'invention est caractérisée en ce que le panneau est maintenu sur les montants à l'aide de lattes accrochées sur les montants, les lattes se trouvant sur les côtés des montants sur lesquels n'apparait pas de panneau.
Dans une forme d'exécution avantageuse de l'in vention, les montants ont une section carrée et le panneau et les lattes sont délimités par des plans sensiblement égaux qui forment un angle de 45o avec le plan qui prend appui contre un montant.
Dans une forme d'exécution particulière de la même invention, une plinthe est fixée sur le pan neau à l'aide d'éléments qui chassent élastiquement la plinthe vers le haut.
La plinthe peut être fixée sur les lattes à l'aide d'éléments qui chassent élastiquement la plinthe vers le haut.
Il peut être prévu dans les montants un élément qui est chassé élastiquement hors du montant. Afin que le montant soit maintenu tendu entre le sol et le plafond, de même que dans le but d'intercepter d'éventuelles modifications dans la distance entre le sol et le plafond, par exemple à la suite de vibra tions, l'élément est monté sur une tige filetée qui est prévue dans les montants et autour de laquelle se trouve un ressort qui appuie, d'une part, sur un tampon qui est fixe par rapport au montant et, d7au- tre part, sur un tampon qui est mobile par rapport au montant, le tampon mobile étant poussé vers le haut,
par un ressort, contre un boulon vissé sur la tige.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, quelques formes d'exécution de la paroi faisant l'ob jet de l'invention.
La fig. 1 est une vue en perspective d'une partie d'un local délimité au moins partiellement par une forme d'exécution de la paroi.
La fig. 2 est une vue de face d'une autre forme d'exécution de la paroi amovible. La fig. 3 est une coupe, à plus grande échelle, selon la ligne III-III de la fig. 2.
La fig. 4 est une coupe verticale de la partie supérieure d'un montant et de moyens prévus sur ce montant pour fixer ce montant contre le plafond.
La fig. 5 est une vue en plan et partiellement une coupe d'un montant et de certains éléments coopé rant avec ce montant et représentés à la fig. 4.
La fig. 6 est une vue de face d'un montant et une vue latérale d'une latte fixée à ce montant, à l'aide d'un crochet.
La fig. 7 est une vue de face d'une partie d'une paroi et a, en particulier, trait à la fixation des plin thes supérieures appartenant aux montants.
La fig. 8 est une vue en plan d'un montant se trouvant entre deux panneaux et a, en particulier, trait à la fixation des plinthes supérieures qui appar tiennent aux lattes et aux panneaux.
La fig. 9 représente une coupe au travers d'une partie d'un montant auquel est fixé un élément com portant une porte.
La fig. 10 est une vue latérale d'un montant et d'un élément également représenté à la fig. 9, fixé sur ce montant.
Les fil-. 11 à 16 sont des coupes horizontales au travers de montants et d'éléments s'y raccordant. La fig. 17 est une coupe verticale d'une partie d'une paroi amovible dans laquelle certains éléments n'ont été représentés que schématiquement.
La fig. 18 représente une coupe selon la ligne XVIII-XVIII de la fig. 17. Dans les diverses figures, les mêmes notations de référence se rapportent aux mêmes éléments.
Les pàrois amovibles représentées comportent essentiellement quatre éléments différents: les mon tants métalliques ; les lattes de recouvrement qui sont accrochées à ces montants et qui maintiennent blo qués les panneaux de la paroi, les panneaux qui peuvent être vitrés ou encore comprendre des portes et, finalement, des plinthes qui, au sommet, à la base et également le long des côtés, délimitent les parois.
Les montants 1 consistent en tubes métalliques ayant une section carrée. L'épaisseur et les dimen sions des montants sont adaptées à la hauteur de ces éléments et cela de telle sorte que les montants ne puissent ni plier légèrement, ni plier entièrement lors de leur mise sous tension. La hauteur des montants dépend de la hauteur des locaux, et est légèrement inférieure à cette dernière, donc inférieure à la dis tance qui sépare le sol du plancher, une fois ceux-ci achevés.
Dans chacun des côtés des montants 1 sont pré vus des orifices 2, dont la forme apparaît claire ment aux fig. 6 et 9. Les lattes de recouvrement 3 possèdent des crochets 4, faisant saillie, et dont la tête 5 peut être introduite dans la partie la plus large 6 de l'orifice 2. Après avoir introduit ainsi la tête 5 à l'intérieur du montant 1, on peut faire descendre les lattes de recouvrement 3 le long des montants 1, ce qui est rendu possible du fait que l'âme des cro chets 4 est légèrement plus étroite que la partie étroite de l'orifice 2.
Il en résulte donc que, sans avoir à visser ou à dévisser quoi que ce soit, les lat tes 3 peuvent être fixées, à l'aide de leurs crochets 4, aux montants 1 et en être d'ailleurs détachées.
La grandeur, le nombre et la distance des orifi ces 2 ou la distance séparant ces orifices dépendent de la hauteur des montants utilisés. La distance entre les crochets 4 sur les lattes 3 doit évidemment correspondre à la distance entre les orifices 2 dans les montants 1.
A leur base, les montants 1 sont pourvus d'un matelas 7, en caoutchouc dur ou une matière ana logue ; ce matelas est creux et provoque, lors du montage du montant, une succion, de telle sorte que la base du montant est maintenue en place, même lorsqu'une certaine pression latérale est exer cée sur la paroi.
A sa partie supérieure, le montant 1 est fixé au plafond par l'intermédiaire d'une série d'éléments qui seront décrits ci-après. L'élément 8 est fixé dans le montant 1, par exemple à l'aide d'un boulon 9. Un second élément 10 est glissé selon un mouvement de va-et-vient dans le montant 1 et est chassé vers le haut, par le ressort 11, hors du montant 1. Cet élément 10 appuie contre un écrou 12 dont la fonction est d'entrainer vers le haut la tige 13 ; 14 est un contre-écrou qui aide à maintenir l'écrou 12 à sa place sur la tige 13.
La tige 13 se trouve en partie dans le montant et traverse librement les élé ments 8 et 10. A l'extrémité supérieure de la tige 13 est montée une pièce élastique 15 qui prend appui contre le plafond.
De ce qui précède, il résulte que, d'une part, le montant 1 est fixé élastiquement entre le sol et le plafond, attendu que le ressort 11 applique la pièce 15 contre le plafond et que, d'autre part, par un réglage de l'écrou 12 et du contre-écrou 14 sur la tige 13, un même montant peut être utilisé pour des hauteurs légèrement différentes. Ainsi qu'il résulte en particulier de la figure 5, un angle des éléments 8 et 10 a été enlevé; de la sorte, les canalisations électriques peuvent être disposées à l'intérieur des, montants 1, ainsi qu'il résulte de la fig. 1.
Ainsi qu'il résulte notamment des fi-.<B>11 à</B> 14 et de la fig. 16, les lattes 3 ont, en coupe horizontale, la forme d'un trapèze régulier dont les côtés forment un angle de 450 avec la base. La petite base du tra pèze a une longueur qui est égale à celle du côté de la section carrée des montants 1, tandis que la grande base du trapèze a une longueur qui est égale à la largeur du panneau 16. En fait cependant, les parois ne sont pas toujours des panneaux ; elles peuvent aussi consister, ainsi qu'il résulte des figures 1, 2 et 3 en châssis vitrés ou en éléments équipés de portes.
Des fig. 11 à 16 inclusivement résulte clairement de quelle façon les panneaux sont bloqués entre les lattes 3 qui sont accrochées aux montants 1. Les panneaux 16 sont délimités sur leurs côtés par des pièces dont la forme est identique à celle des lattes 3. Ces pièces peuvent également constituer un tout avec les panneaux 16, ainsi qu'il a été suggéré par les fig. 11 à 16 inclusivement, ou peuvent également consister en lattes séparées qui sont fixées sur les panneaux.
Ces pièces terminales des panneaux 16 s'adaptent exactement, d'une part, sur les montants 1 et, d'autre, part, sur les côtés des lattes 3. Les pan neaux eux-mêmes ne sont pas accrochés dans les montants 1, mais sont bloqués entre les lattes de fixa tion accrochées 3.
La fig. 11 se rapporte au cas où un montant 1 est entouré de trois côtés par une latte 3, tandis que le panneau 16 est maintenu bloqué contre le mon tant 1 entre deux lattes 3.
La fig. 12 a trait au cas où deux panneaux sont disposés dans le prolongement l'un de l'autre et sont maintenus bloqués par les deux mêmes lattes 3.
La fig. 13 concerne un montant 1 contre lequel est maintenu bloqué, d'un côté, un panneau 16 et, de l'autre côté, un élément 17 d'une porte et cela au moyen des deux mêmes lattes 3.
La fig. 14 concerne le cas de deux panneaux qui forment entre eux un angle droit et sont main tenus bloqués par leur action mutuelle et par les lattes 3.
Selon la fig. 15, quatre panneaux 16, apparte- nant à deux parois qui se croisent, se raccordent à un seul et même montant 1. Ces panneaux 16 se maintiennent bloqués entre eux grâce à leur action mutuelle.
La fig. 16 concerne le cas de trois panneaux 16 qui forment un T et qui sont maintenus, bloqués con tre le montant 1 grâce à leur action mutuelle, ainsi qu'au moyen d'une latte de fixation 3.
De même que les montants sont délimités au- dessus et à leur base à l'aide d'éléments doux 7 et 15, de telle. sorte qu'ils ne peuvent abîmer ni le pla fond ni le sol, les panneaux 16 reposent sur le sol au moyen d'une bande 18 constituée d'une matière ten dre.
Les éléments équipés de portes sont, contraire ment à ce qui se passe pour les autres parties des parois, fixés aux montants 1 à l'aide d'organes qui peuvent être vissés les uns dans les autres. A cet effet, un organe 19 est monté dans l'élément 17, organe 19 dont la tête 20 peut être introduite dans un orifice 2 d'un montant, de la même façon que dans le cas des crochets 4 des lattes 3. L'organe 19 est fileté intérieurement et coopère avec l'organe 21, qui est vissé dans cet organe 19. Les éléments por tant une porte sont donc fixés directement sur les montants 1, ce qui permet de supprimer l'usage d'un seuil de raccordement, de telle sorte que le sol ne doit pas être modifié à cet endroit.
La paroi entièrement placée est recouverte au- dessus, le long des côtés et à la base par des plin thes appropriées. Dans l'exemple d'exécution repré senté, la plinthe inférieure 22 est fixée directement sur les panneaux 16 et sur les lattes 3, tandis que les plinthes supérieures 23 et 24 sont montées élas- tiquement par rapport à ces lattes 3 et panneaux 16, ainsi qu'il résulte des fig. 7 et 8.
Ainsi que le mon trent ces figures, ces, plinthes 23 et 24 sont reliées, à l'aide d'éléments de raccord 25 et 26, à des tiges 27 et 28, qui s'adaptent respectivement dans les cylindres 29 et 30. Les cylindres 29 apparaissent dans les lattes 3, tandis que les cylindres 30 sont prévus dans les panneaux 16. Un ressort 31, repré senté à la fig. 7, chasse les tiges 27 et 28 hors de leurs cylindres 29 et 30, de telle sorte que les plin thes 23 et 24 sont maintenues bloquées contre le plafond dans son état achevé.
On peut déduire de la fig. 8 que les plinthes supérieures ont, selon une coupe exécutée dans le plan horizontal, la forme d'un trapèze régulier dont les côtés forment un angle de 450 avec la base. Les diverses plinthes ont la même épaisseur et, grâce à cette particularité et grâce également à la forme dé, crite ci-dessus, l'ensemble des plinthes forme, après montage, une latte continue.
Les plinthes demeurent sur les éléments sur les quels elles sont montées, de telle sorte que, lors d'une modification dans la disposition des locaux, aucune modification ne doit être apportée aux plinthes et que, de même, de nouvelles plinthes ne doivent pas être fabriquées, attendu que l'adaptation a lieu auto matiquement lors de la disposition des éléments de base des parois.
Quoique, dans l'exemple décrit, les plinthes infé rieures soient fixes par rapport aux panneaux et aux lattes, elles pourraient être montées de la même façon que les plinthes supérieures. Une particularité de la construction résulte notamment des fig. 11 à 13 inclusivement, dans lesquelles on peut remarquer que les lattes 3 sont biseautées en 32 le long de leurs rebords, ce qui fait apparaître des rainures lors du raccordement des lattes 3 aux panneaux 16 ; ceci contribue à renforcer l'aspect esthétique de la cons truction.
De la description donnée ci-dessus résulte qu'un panneau peut aisément être remplacé par un autre panneau sans que la paroi entière ne doive être démontée. Il suffit, à cet effet, de libérer momenta nément les lattes de fixation des panneaux à dépla cer en les enlevant de leurs montants.
Le montant représenté aux fig. 17 et 18 a une forme carrée, ainsi qu'il a déjà été décrit plus haut, tandis que des lattes de fixation 3 sont fixées sur le châssis de la manière déjà décrite. De même, les plin- thes 23 sont montées de la manière habituelle.
L'intérêt de la forme de réalisation selon les fig. 17 et 18 réside dans la manière selon laquelle le montant 1 est dressé contre le plafond. Dans ce but, une tige 33 est prévue dans le montant. Cette tige 33 est pourvue, au moins à sa partie supérieure, d'un pas de vis et est guidée, à sa partie inférieure, dans le montant 1, à l'aide du tampon carré 34, qui est soudé sur la partie inférieure de la tige 33. Un res sort 35 appuie, d'une part, sur le tampon 36, qui est vissé sur le montant 1 et, d'autre part, sur le tampon 37, qui est mobile dans le montant 1.
Les tampons 36 et 37 ont une forme qui est adaptée à celle du montant<B>;</B> en 38, un angle a été enlevé aux deux tampons afin de permettre le passage de tubes, conducteurs, etc., lors du montage de la paroi. A sa partie supérieure, la tige 33 présente une plaque 39 qui est soudée sur cette tige et peut être appli quée contre le plafond, en intercalant un élément 40 en une matière plus tendre. Sur l'extrémité supé rieure de la tige 33, mais sous la plaque 39, est vissé un écrou 41.
Lorsque l'écrou 41 est vissé sur la tige 33, cette tige se déplace vers le haut, sans que la distance entre les tampons 36 et 37 ne se modifie, jusqu'au moment où la plaque 39, pourvue de son élément 40, vient appuyer contre le plafond. Lorsque cette plaque 39 et l'élément 40 sont venus se placer contre le plafond et si l'on continue ce- pendant à visser l'écrou 41, le tampon 37 sera appuyé vers le bas; en direction du tampon 36, tan dis que le ressort 35 se comprimera.
Plus le ressort 35 sera comprimé, plus sera grande la pression exer cée sur le plafond.
La forme d'exécution selon les fig. 17 et 18 a essentiellement comme avantage que le vissage et le dévissage de l'écrou peuvent toujours être exécutés à une place qui peut être aisément atteinte, indé pendamment de la hauteur du point d'appui à attein dre.
Il peut en effet fréquemment arriver que le point d'appui des montants doive être recherché du côté supérieur et cela au travers du plafond afin de per mettre à l'élément 40 de prendre appui contre une poutre de béton.
Removable wall The invention relates to a removable wall comprising at least two uprights and at least one panel fixed to these uprights.
Such removable walls are mainly used in offices and similar buildings. In such buildings, the exterior walls delimit large spaces which are subdivided, by means of removable panels, into premises, the size and destination of which must sometimes be changed. The subdivision of large spaces into small rooms must, from time to time, be adapted to the needs of the company, for example to the needs of the organization of the office. This adaptation should preferably be able to be carried out very quickly using a small number of non-specialized personnel, preferably without making use of special tools.
The known removable walls do not allow this adaptation to be carried out quickly and without appropriate equipment, in particular due to the fact that the uprights, panels and elements. additional connecting pieces are connected to each other using connecting pieces which must be screwed together.
The invention aims to remedy the drawbacks of the known removable walls, by practically completely eliminating the use of parts which must be screwed into each other.
The removable wall forming the subject of the invention is characterized in that the panel is held on the uprights by means of slats hooked onto the uprights, the slats being on the sides of the uprights on which there is no visible sign.
In an advantageous embodiment of the invention, the uprights have a square section and the panel and the slats are delimited by substantially equal planes which form an angle of 45o with the plane which bears against an upright.
In a particular embodiment of the same invention, a plinth is fixed to the panel using elements which elastically drive the plinth upwards.
The plinth can be fixed to the slats using elements which elastically push the plinth upwards.
An element may be provided in the uprights which is elastically driven out of the upright. So that the upright is kept stretched between the floor and the ceiling, as well as in order to intercept any possible changes in the distance between the floor and the ceiling, for example as a result of vibrations, the element is mounted on a threaded rod which is provided in the uprights and around which there is a spring which bears, on the one hand, on a buffer which is fixed with respect to the upright and, on the other hand, on a buffer which is movable with respect to the upright, the mobile buffer being pushed upwards,
by a spring, against a bolt screwed on the rod.
The appended drawing represents, by way of example, some embodiments of the wall forming the subject of the invention.
Fig. 1 is a perspective view of part of a room delimited at least partially by one embodiment of the wall.
Fig. 2 is a front view of another embodiment of the removable wall. Fig. 3 is a section, on a larger scale, along line III-III of FIG. 2.
Fig. 4 is a vertical section of the upper part of an upright and of the means provided on this upright for fixing this upright against the ceiling.
Fig. 5 is a plan view and partially a section of an upright and certain elements cooperating with this upright and shown in FIG. 4.
Fig. 6 is a front view of an upright and a side view of a slat fixed to this upright, using a hook.
Fig. 7 is a front view of part of a wall and, in particular, relates to the fixing of the upper plin thes belonging to the uprights.
Fig. 8 is a plan view of a post lying between two panels and in particular relates to the attachment of the upper plinths which are attached to the slats and panels.
Fig. 9 shows a section through part of an upright to which an element comprising a door is attached.
Fig. 10 is a side view of an upright and an element also shown in FIG. 9, fixed on this amount.
Wire-. 11 to 16 are horizontal sections through uprights and elements connecting thereto. Fig. 17 is a vertical section through part of a removable wall in which certain elements have only been shown schematically.
Fig. 18 shows a section along the line XVIII-XVIII of FIG. 17. In the various figures, the same reference notations refer to the same elements.
The removable bars shown essentially comprise four different elements: the metal uprights; the covering slats which are hooked to these uprights and which keep the panels of the wall blocked, the panels which can be glazed or even include doors and, finally, plinths which, at the top, at the base and also along on the sides, delimit the walls.
The uprights 1 consist of metal tubes having a square section. The thickness and dimensions of the uprights are adapted to the height of these elements and this in such a way that the uprights can neither bend slightly nor bend entirely when they are under tension. The height of the uprights depends on the height of the premises, and is slightly less than the latter, and therefore less than the distance between the ground and the floor, once these have been completed.
In each of the sides of the uprights 1 are provided orifices 2, the shape of which clearly appears in FIGS. 6 and 9. The covering slats 3 have hooks 4, projecting, and the head 5 of which can be introduced into the widest part 6 of the orifice 2. After having thus introduced the head 5 inside the upright 1, the covering slats 3 can be lowered along the uprights 1, which is made possible by the fact that the web of the hooks 4 is slightly narrower than the narrow part of the opening 2.
It therefore follows that, without having to screw or unscrew anything, the slats 3 can be fixed, using their hooks 4, to the uprights 1 and moreover be detached therefrom.
The size, number and distance of the openings 2 or the distance separating these openings depend on the height of the uprights used. The distance between the hooks 4 on the slats 3 must obviously correspond to the distance between the holes 2 in the uprights 1.
At their base, the uprights 1 are provided with a mattress 7, made of hard rubber or a similar material; this mattress is hollow and causes suction, during assembly of the upright, so that the base of the upright is held in place, even when a certain lateral pressure is exerted on the wall.
At its upper part, the upright 1 is fixed to the ceiling by means of a series of elements which will be described below. Element 8 is fixed in upright 1, for example using a bolt 9. A second element 10 is slid back and forth in upright 1 and is driven upwards, by the spring 11, outside the upright 1. This element 10 bears against a nut 12 whose function is to drive the rod 13 upwards; 14 is a locknut which helps to hold nut 12 in place on rod 13.
The rod 13 is located partly in the upright and freely passes through the elements 8 and 10. At the upper end of the rod 13 is mounted an elastic part 15 which bears against the ceiling.
From the above, it follows that, on the one hand, the upright 1 is fixed elastically between the floor and the ceiling, since the spring 11 applies the part 15 against the ceiling and that, on the other hand, by an adjustment of the nut 12 and the locknut 14 on the rod 13, the same amount can be used for slightly different heights. As can be seen in particular from FIG. 5, an angle of elements 8 and 10 has been removed; in this way, the electrical conduits can be arranged inside the uprights 1, as follows from FIG. 1.
As results in particular from FIGS. <B> 11 to </B> 14 and from FIG. 16, the slats 3 have, in horizontal section, the shape of a regular trapezoid whose sides form an angle of 450 with the base. The small base of the trapezoid has a length which is equal to that of the side of the square section of the uprights 1, while the large base of the trapeze has a length which is equal to the width of the panel 16. In fact, however, the walls are not always panels; they can also consist, as results from FIGS. 1, 2 and 3, of glazed frames or of elements equipped with doors.
From figs. 11 to 16 inclusive clearly results from how the panels are blocked between the slats 3 which are hooked to the uprights 1. The panels 16 are delimited on their sides by pieces whose shape is identical to that of the slats 3. These pieces can also constitute a whole with the panels 16, as has been suggested by FIGS. 11 to 16 inclusive, or may also consist of separate slats which are attached to the panels.
These end pieces of the panels 16 fit exactly, on the one hand, on the uprights 1 and, on the other hand, on the sides of the slats 3. The panels themselves are not hooked into the uprights 1, but are blocked between the hooked fixing slats 3.
Fig. 11 relates to the case where an upright 1 is surrounded on three sides by a slat 3, while the panel 16 is kept blocked against the post 1 between two slats 3.
Fig. 12 relates to the case where two panels are arranged in the extension of one another and are kept blocked by the same two slats 3.
Fig. 13 relates to an upright 1 against which is held blocked, on one side, a panel 16 and, on the other side, an element 17 of a door and this by means of the same two slats 3.
Fig. 14 relates to the case of two panels which form a right angle between them and are kept blocked by their mutual action and by the slats 3.
According to fig. 15, four panels 16, belonging to two intersecting walls, are connected to one and the same upright 1. These panels 16 are kept locked together thanks to their mutual action.
Fig. 16 concerns the case of three panels 16 which form a T and which are held and blocked against the upright 1 by virtue of their mutual action, as well as by means of a fixing slat 3.
As the uprights are delimited above and at their base using soft elements 7 and 15, such. so that they can damage neither the pla fond nor the ground, the panels 16 rest on the ground by means of a strip 18 made of a ten dre material.
The elements equipped with doors are, contrary to what happens for the other parts of the walls, fixed to the uprights 1 using members which can be screwed into each other. For this purpose, a member 19 is mounted in the element 17, the member 19 of which the head 20 can be introduced into an orifice 2 of an upright, in the same way as in the case of the hooks 4 of the slats 3. The member 19 is internally threaded and cooperates with member 21, which is screwed into this member 19. The elements carrying a door are therefore fixed directly to the uprights 1, which makes it possible to eliminate the use of a connection threshold , so that the floor should not be altered there.
The fully placed wall is covered above, along the sides and at the base with suitable planks. In the exemplary embodiment shown, the lower plinth 22 is fixed directly to the panels 16 and to the slats 3, while the upper plinths 23 and 24 are mounted resiliently relative to these slats 3 and panels 16, as follows from FIGS. 7 and 8.
As shown in these figures, these plinths 23 and 24 are connected, by means of connecting elements 25 and 26, to rods 27 and 28, which fit into the cylinders 29 and 30 respectively. cylinders 29 appear in the slats 3, while the cylinders 30 are provided in the panels 16. A spring 31, shown in FIG. 7, drives the rods 27 and 28 out of their cylinders 29 and 30, so that the plinths 23 and 24 are kept locked against the ceiling in its completed state.
It can be deduced from FIG. 8 that the upper plinths have, according to a cut executed in the horizontal plane, the shape of a regular trapezoid whose sides form an angle of 450 with the base. The various plinths have the same thickness and, thanks to this particularity and also to the shape described above, the set of plinths forms, after assembly, a continuous slat.
The plinths remain on the elements on which they are mounted, so that, when changing the layout of the premises, no changes should be made to the plinths and, likewise, new plinths should not be manufactured, since the adaptation takes place automatically during the arrangement of the basic elements of the walls.
Although, in the example described, the lower plinths are fixed relative to the panels and slats, they could be mounted in the same way as the upper plinths. A particularity of the construction results in particular from FIGS. 11 to 13 inclusive, in which it can be noted that the slats 3 are bevelled at 32 along their edges, which gives rise to grooves when connecting the slats 3 to the panels 16; this helps to reinforce the aesthetic aspect of the building.
From the description given above it follows that a panel can easily be replaced by another panel without the entire wall having to be dismantled. It suffices, for this purpose, to release momentarily the fixing slats of the panels to be moved by removing them from their uprights.
The amount shown in fig. 17 and 18 has a square shape, as has already been described above, while fixing slats 3 are fixed to the frame in the manner already described. Likewise, the plinths 23 are mounted in the usual manner.
The advantage of the embodiment according to FIGS. 17 and 18 lies in the way in which the upright 1 is raised against the ceiling. For this purpose, a rod 33 is provided in the upright. This rod 33 is provided, at least at its upper part, with a screw thread and is guided, at its lower part, in the upright 1, using the square plug 34, which is welded to the lower part of the rod. the rod 33. A res out 35 bears, on the one hand, on the buffer 36, which is screwed on the upright 1 and, on the other hand, on the buffer 37, which is movable in the upright 1.
The buffers 36 and 37 have a shape which is adapted to that of the upright <B>; </B> at 38, an angle has been removed from the two buffers to allow the passage of tubes, conductors, etc., during assembly from the wall. At its upper part, the rod 33 has a plate 39 which is welded to this rod and can be applied against the ceiling, by interposing an element 40 in a softer material. On the upper end of the rod 33, but under the plate 39, is screwed a nut 41.
When the nut 41 is screwed onto the rod 33, this rod moves upwards, without the distance between the buffers 36 and 37 changing, until the plate 39, provided with its element 40, comes lean against the ceiling. When this plate 39 and the element 40 have come to be placed against the ceiling and if the nut 41 is continued to be screwed in, the buffer 37 will be pressed down; towards the buffer 36, tan say that the spring 35 will compress.
The more the spring 35 is compressed, the greater the pressure exerted on the ceiling.
The embodiment according to FIGS. 17 and 18 essentially has the advantage that the screwing and unscrewing of the nut can always be carried out in a place which can be easily reached, regardless of the height of the fulcrum to be reached.
It can indeed often happen that the fulcrum of the uprights must be sought on the upper side and that through the ceiling in order to allow the element 40 to rest against a concrete beam.