CH346563A - Machine à composer - Google Patents

Machine à composer

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CH346563A
CH346563A CH346563DA CH346563A CH 346563 A CH346563 A CH 346563A CH 346563D A CH346563D A CH 346563DA CH 346563 A CH346563 A CH 346563A
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CH
Switzerland
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stage
stages
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line
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Inventor
Alphonse Higonnet Rene
Marius Moyroud Louis
Original Assignee
Alphonse Higonnet Rene
Moyroud Louis M
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Application filed by Alphonse Higonnet Rene, Moyroud Louis M filed Critical Alphonse Higonnet Rene
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B41PRINTING; LINING MACHINES; TYPEWRITERS; STAMPS
    • B41BMACHINES OR ACCESSORIES FOR MAKING, SETTING, OR DISTRIBUTING TYPE; TYPE; PHOTOGRAPHIC OR PHOTOELECTRIC COMPOSING DEVICES
    • B41B27/00Control, indicating, or safety devices or systems for composing machines of various kinds or types
    • B41B27/28Control, indicating, or safety devices for individual operations or machine elements
    • B41B27/32Control, indicating, or safety devices for individual operations or machine elements for line-justification operations

Landscapes

  • Character Spaces And Line Spaces In Printers (AREA)

Description


      Machine    à composer    La présente invention a pour objet une machine  à composer des lignes justifiées en caractères typo  graphiques de largeurs variables par impression     des-          dits    caractères sur un support et comportant un mé  canisme permettant d'espacer lesdits caractères d'une  valeur fonction de leur largeur en actionnant un cha  riot, ledit mécanisme comportant une pluralité d'éta  ges mécaniquement reliés entre eux, chaque étage  correspondant à un espacement déterminé.

   Cette ma  chine est caractérisée en ce que chaque étage du mé  canisme     d'espacement    est muni d'une came indica  trice de sa position reliée à des cames des étages  adjacents dans le but de     constituer    un     dispositif    de  remise à zéro et de vérification de justification.  



  Le dessin représente, à titre d'exemple, une forme  d'exécution de la machine faisant l'objet de la pré  sente invention.  



  La     fig.    1 en est une vue en coupe partielle.  



  La     fig.    2 est un schéma d'un circuit électrique de  la machine.  



  La     fig.    3 est un détail de la     fig.    2.  



  Se reportant à la     fig.    1 qui représente un échap  pement variable de la machine à composer, celui-ci  comprend huit     mécanismes    différentiels correspon  dant à huit étages, Dl, D2 ... D128, goupillés chacun  sur un arbre Pl, P2 ... P128 et transférant leur mou  vement de l'un à l'autre dans l'ordre des valeurs  croissantes avec     réduction        angulaire    de entre deux  étages successifs. Sur un planétaire de
EMI0001.0015  
   chaque     diffé-          rentiel    est calée une roue à rochet El, E2 ...

   E128    de huit dents qui a     constamment    tendance à tourner  sous l'action d'un     entrâinement    à friction, mais qui  est retenue immobile par un cliquet. L'autre plané  taire des différentiels Dl, D2 ... D128 est solidaire  de roues dentées T2, T4 ... T128 servant à transmet  tre les déplacements d'étage à étage par l'intermé  diaire de roues dentées 2, 4 ... 128. Seul le premier  étage ne reçoit pas d'entrée d'un étage précédent par  ces engrenages et le planétaire 13 de cet étage est  maintenu immobile par une broche 11 qui permet un  réglage facile de la position de départ de l'échappe  ment. Le déplacement des roues à rochet El, E2 ...  E128 est commandé par des cliquets tels que 21 et  112     (fig.    2), montés sur des basculeurs Al, A2 ...

    A 128, lesquels peuvent     basculer    sous l'action     d'élec-          tro-aimants    Ml, M2 ... M128. Lorsque l'électro  aimant correspondant reçoit une impulsion, le     cliquet     en prise se dégage, la roue à rochet avance jusqu'à  ce que la dent suivante soit arrêtée. Lorsque plusieurs       électro-aimants    reçoivent simultanément une impul  sion, les échappements correspondants avancent tous  d'une dent et par le jeu des différentiels leurs mouve  ments s'ajoutent pour assurer l'avance d'un chariot  porte-prisme décrit dans le brevet suisse NO 286884  d'une quantité correspondante.  



  Des roues à     encoches    S1, S2 ... S128 sont mon  tées sur les arbres P1, P2 ... P128     (fig.    1) qui com  mandent par leurs creux et bosses des contacts C1,  C2 ... C128     (fig.    2). Des     accouplements    à friction  F1, F2 ... F128     (fig.    1) sont également montés sur  les mêmes arbres P1, P2 ... P128. Chacun de ces  accouplements à friction comprend un premier élé  ment 24 goupillé sur l'arbre correspondant (Pl) du      mécanisme     différentiel.    Ce premier élément 24 a la       forme    d'un disque percé d'un trou dans lequel s'étend  un ergot 3 solidaire d'un second disque 7 qu'il en  traîne.

   Le disque 7 peut     coulisser        librement    le long  de l'arbre et est     soumis    à la poussée du ressort 5. Ce       second    disque 7 est ainsi pressé contre une garniture  9 pour obtenir un     coefficient    de friction     convenable.     Des roues dentées 20, 18 engrènent les     unes    les  autres et avec un pignon d'entraînement 16 lui-même  calé sur l'arbre d'un moteur 14. Le sens de rotation  change ainsi à chaque étage, comme représenté.  



  Les arbres des mécanismes     différentiels    Pl, P2 ...  P128 sont normalement empêchés de     tourner    par les  encliquetages,     comme    montré sur la     fig.    2. L'arbre  de     sortie    P128 est soumis à un déplacement qui est la  somme des déplacements des arbres Pl, P2 ...     P128     avec le     rapport    de réduction de
EMI0002.0017  
   à chaque étage.  Cet arbre de     sortie    entraîne une     crémaillère    46 mon  tée sur     l'organe    à déplacer par     l'intermédiaire    d'une  roue dentée 48.  



  L'organe déplacé par l'échappement variable est  représenté à titre d'exemple par un chariot     porte-pris-          me    du type décrit dans le brevet suisse No 286884.  Le     déplacement    de ce chariot     porte-prisme    a pour       effet    de     déplacer    l'image de caractères sur un     film    44.  



  Une lampe à éclair 30     illumine    pour quelques       microsecondes    les caractères     dessinés    ou photogra  phiés sur un disque 26 tournant en permanence. Une  image du caractère     illuminé    est faite par une     première          lentille        collimatrice    36 à l'infini et reprise par une  lentille baladeuse 42 montée sur un chariot mobile  38 solidaire de la     crémaillère    46.

       Tes    rayons sont  réfléchis par le prisme 40 et l'image se forme dans  le plan focal de la     lentille    qui     concorde    avec le film  44, quelle que soit la position du prisme. Un     ressort     de rattrapage de jeu 17 tire sur le ruban 15 fixé au  chariot.  



  Chaque fois qu'un     électro-aimant    tel que MI,  M2 ... M128     fonctionne,    l'encliquetage correspondant  laisse     tourner    la roue à huit dents El, E2 ... E128  de     1/$    de tour     (fig.    2). En raison du rapport de  réduction     introduit    par les     différentiels,    chaque fois  qu'un de ces     encliquetages    fonctionne, l'arbre du dif  férentiel correspondant     tourne    de     1/l6    de tour. Les  roues à     encoches    ou cames     Sl,    S2 ...

   S128 goupillées  sur ces arbres tournent également de     1/16    de tour et  agissent sur les     contacts    C1, C2 ... C128.  



       Le    total des nombres binaires ainsi envoyés dans  les encliquetages individuels Ml, M2 ... M128 lors  de la     composition    d'une ligne     justifiée    est     précisément     égal à la longueur de la     justification    désirée. Les  circuits     des        électro-aimants    Ml, M2 ...

   M128 sont  commandés par un     circuit    tel que     décrit    dans le bre  vet Nu 286884, et les signaux envoyés tiennent  compte des     incréments    de     justification    à placer entre  les mots pour amener la     .ligne    à la valeur désirée.  Ces circuits de commande sont représentés par des  contacts RI, R2 ... R128 qui sont fermés à des ins  tants appropriés selon des combinaisons binaires re-    présentant les largeurs des caractères et incréments de  justification.  



  L'échappement variable comprend un autre mé  canisme d'entraînement à friction disposé sur l'arbre  P128. Ce mécanisme d'entraînement à     friction    agit  dans le même sens que le mécanisme d'entraînement  à friction F128. II se     compose    d'une roue dentée 130  fixée sur l'arbre 12, une roue dentée 132, des disques  134 et 136, un élément de friction 138 et un ressort  140 montés de la même façon que les mécanismes  d'entraînement à friction FI à F128.

   Cependant, le       rapport    des engrenages 130 et 132 est de     préférence     tel que ce mécanisme d'entraînement est plus lent  que le mécanisme d'entraînement F128 et le couple  sensiblement plus élevé ; d'autre     part        il    réduit sensi  blement les rebondissements et augmente la     précision     des déplacements.  



  On a supposé qu'au début de la ligne l'échappe  ment variable se trouvait exactement dans sa position  de     départ    qui doit être précise à quelques centièmes  de millimètre près. Dans cette position de départ,  toutes les cames<B>SI,</B> S2 ... S128 sont dans la position  représentée sur la     fig.    2. On supposera que lorsque  la came est dans la position de la     fig.    2, l'étage dif  férentiel est sur sa position   zéro   et que lorsque  l'étage est dans sa position   1  , la came et le con  tact C sont dans la position représentée sur la     fig.    3.

    La came<B>SI</B> du premier étage passera de la position    zéro   à la position   1   après dégagement d'une  dent de la roue El et reviendra sur sa position    zéro   après le second dégagement et ainsi de suite,  mais     ceci    n'est pas le cas pour les étages suivants.  Lorsque la came S1 tourne de     1/16    de tour, la came  S2     tourne   <B>de</B>     1/32,    la roue S4 de     1/6,1,    etc. A la     fin     de la composition d'une ligne, les     différentes    cames  des divers étages, excepté le premier, se trouveront  en général sur une position intermédiaire et les con  tacts C2, C4 ...

   C128 seront également dans une  position intermédiaire entre franchement fermé ou  franchement ouvert. Le seul contact qui sera certai  nement correctement     ouvert    ou fermé sera le con  tact Cl.  



  Avant de ramener le chariot à sa position de       départ,    ce dernier est au préalable déplacé, de pré  férence dans le même sens que pour la     composition,     pour l'amener à une position correspondant à un  nombre entier de fois le déplacement total de l'échap  pement. Dans l'exemple représenté, cette valeur est  de 256 unités, la capacité de l'échappement étant    1     -i-    2     -h-    4     -f-    8     -I-    16     -i-    32     -i-    64     -f-    128  = 25.5 unités de longueur.

      Lorsque le chariot 38 a été ainsi amené sur une  position correspondant à un multiple exact de 256  unités, il est relativement simple de le ramener à sa  position de départ exacte par un mécanisme de rap  pel contre une butée relativement peu précise, de la  même manière qu'un     chariot    de machine à écrire.  On prévoit pour cela un     cliquet    réversible 108 sur  l'échappement de rang le plus élevé 128.

        Pour amener le chariot en une position corres  pondant au multiple le plus voisin de 256     unités,    un  courant électrique est envoyé sur le fil 29 à travers un  contact 27,     comme    montré sur la     fig.    2 ; ce courant  arrive d'abord sur le contact Cl qui est soit sur la  position   1   ou la position   zéro   mais ne peut  pas être dans une position intermédiaire. S'il se  trouve dans la position   1  ,     comme    montré sur la       fig.    3, le courant arrive sur     l'électro    M1 qui fait bas  culer l'échappement A1 et permet à la roue El de       tourner    de 1/8 de tour, ce qui amène le contact Cl  de la position   1   à la position   zéro  .

    



  Lorsque     ce    contact Cl est amené sur la position    zéro   le courant arrive sur le contact C2. Il y a lieu  de noter que, si avant     l'application    du courant sur  l'étage précédent, le contact C2 pouvait se trouver  dans une position intermédiaire entre   zéro   et    1  , cette position ne pouvait être que     1/2        ont    1     1/2,     si le premier étage est' sur la     position      1  .

       Etant     donné que le courant n'arrive pas directement sur le  contact C2 avant C1 mais seulement lorsque Cl a  fonctionné, cela signifie que lorsque le     courant    atteint  le contact C2, celui-ci se trouve sur la position   1    ou   zéro  .  



  S'il se trouve sur la position   1  , l'encliquetage  du deuxième étage va faire un pas et ramener C2 en  position   zéro   et le courant sera transmis au troi  sième étage et ainsi de suite en cascade jusqu'à ce  que tous les étages soient ramenés en position    zéro  .  



  Après que tous les étages ont été ainsi amenés sur  leur position   zéro  , le courant arrive sur l'enrou  lement du relais 31 qui en fonctionnant actionne  l'embrayage 6 qui, comme représenté sur la     fig.    1,  commande le retour du chariot     comme    suit: le mo  teur 14 n'entraîne l'arbre P128 que dans un sens par  la roue dentée 18 et le mécanisme d'entraînement à  friction F128, mais il peut aussi l'entraîner dans le  sens inverse par la roue dentée 10, la roue de renvoi  8, la roue dentée 148 et l'embrayage magnétique 6  lequel, lorsqu'il est actionné, rend solidaires la roue  dentée 48 et l'arbre P128. Ainsi, lorsque l'embrayage  6 est excité, l'arbre P128 tourne contre l'action de  l'entraînement à friction F128 et ramène le chariot à  sa position de départ.  



  Le contact 19 est ouvert par le chariot vers la  fin de la     course    de celui-ci. Pendant le retour du  chariot, la dernière roue E128 tourne dans le sens  opposé de son sens de rotation normal contre l'action  du cliquet 108 qui est pivoté sur le basculeur A128,  comme bien connu.     Etant    donné que la     distance    entre  deux dents consécutives de la roue 128     correspond     à 128 unités de longueur, c'est-à-dire dans la forme  d'exécution décrite à 2,5 mm, on comprend qu'il n'y  a pas de difficulté à ramener le chariot à un point  où le cliquet 108 tombe à peu près à     mi-chemin    de  deux dents de la roue à rochet, moment où le con  tact 19 se trouve lui aussi ouvert.  



  Les autres cliquets 21, 22, etc. des autres étages  de l'échappement ne sont pas réversibles, de telle    sorte que, lorsque l'on ramène le     chariot    en arrière,  il n'y a aucun danger de faire tourner d'autres arbres  que l'arbre P128.  



  Le même dispositif décrit pour la remise à zéro  peut être adapté à une vérification de la ligne termi  née après     photographie.     



  La justification est obtenue en comparant la lon  gueur effective de la ligne à la     longueur    désirée et  en augmentant les espaces entre mots pour amener la  ligne à la longueur désirée.  



  Pendant la frappe d'une ligne, les largeurs indivi  duelles des caractères sont     additionnées        dans    un     addi-          tionneur-accumulateur,    constitué par un compteur  binaire.  



  Dans l'exemple décrit, le compteur binaire com  prend des étages B1, B2 ... B128     (fig.    2) correspon  dant aux étages de l'échappement     commandés    par  des contacts     Kl,    K2 ... K128, plus un certain nombre  d'étages supplémentaires B256, B512, B1024 et  B2048, non représentés. L'obtention d'une ligne de  longueur donnée est réalisée par un     préremplissage     du compteur d'une valeur égale à la     différence    entre  la capacité totale du compteur et la longueur de     ligne     désirée. Ainsi, le déficit de ligne est lu directement  dans. le compteur accumulateur.  



  Par exemple, si l'on désire obtenir une ligne de  longueur égale à 1867 unités correspondant aux va  leurs binaires 1, 2, 8, 64, 256, 512 et 1024, un       chiffre    représenté par les étages     binaires    ne faisant  pas partie de la série précédente, c'est-à-dire 4, 16,  32, 128 et 2048 sera envoyé à titre de     préremplis-          sage.    Pour     cela,    on fermera les     contacts    K4, K16,  K32, K128 et K2048 ;

   avant la composition d'une       ligne    un courant est envoyé sur le fil<B>101</B> vers les  étages associés à des clés K fermées comme repré  senté sur le dessin et les étages binaires B4, B16,  B32 et B128 passant de la position<B> </B>zéro<B> </B> à la  position   1      .     



  A la fin de la transcription de la ligne, si     celle-ci     est correctement justifiée, c'est que l'échappement  variable s'est déplacé de valeurs correspondant à la  somme des     nombres    binaires des étages du compteur  binaire qui n'ont pas été     préremplis,    plus un certain  nombre de fois 256 unités. La     valeur    de 256 unités  est choisie comme étant celle correspondant au dé  placement du plus gros caractère c'est-à-dire le maxi  mum que l'on peut demander à l'échappement.  



  Dans le cas contraire, la     ligne    n'a pas la longueur  de justification désirée et une erreur s'est produite  en un endroit donné de la machine.  



  On envoie une impulsion aux électro-aimants. des  encliquetages du même rang que les étages pour les  quels les clés de longueur de     ligne        Kl,    K2 ... K128  sont actionnées. Dans l'exemple     décrit,    ces impul  sions sont envoyées par l'application d'un potentiel  au point   a   qui actionne un relais 60. Ce relais  envoie un courant aux électro-aimants M4, M16,  M32 et M128 par les clés K4, K16, K32 et K128.  De cette façon, un total de 180 unités, est ajouté au  déplacement du chariot qui s'est déplacé de 186 uni-      tés (correspondant à la longueur de ligne désirée)  amenant le déplacement total à 2047 unités.

   En  envoyant une impulsion additionnelle au solénoïde  Ml du     premier    étage de l'échappement variable, le  total est porté à 2048 unités, c'est-à-dire exactement  huit fois 256 unités.  



  Après que cette opération a eu lieu, une impul  sion est envoyée sur le fil 29 qui atteint le relais 31  sans     exciter    aucun des encliquetages à moins que les  contacts C1, C2 ... C128 ne soient tous sur zéro, ce  qui signifierait que la longueur de la ligne effective  ment atteinte n'est pas     celle    qui correspond à la posi  tion des clés K. Dans ce dernier cas, un courant ap  paraît sur le fil 51 qui au fonctionnement du relais  41 actionne une     alarme    39 pour     avertir    l'opérateur  que la     ligne    n'est pas justifiée. Toutefois cette vérifi  cation ne porte que sur des déplacements du chariot  inférieurs à 256 unités.

   Pour vérifier que le chariot  s'est bien déplacé du nombre de fois voulu de 256  unités, un jeu de balais 42 est prévu coopérant avec  un certain nombre de segments, comme représenté,  lesquels sont reliés aux clés K256, K512, K1024 et  K2048. A la fin de la transcription, les balais 42 se  sont déplacés d'une     certaine    distance, qui n'est pas, en  général un multiple de 2.56 unités, mais le devient  après que les impulsions, sont envoyées sur les encli  quetages par     l'intermédiaire    des clés de langueur de       ligne.    A ce moment,

   une impulsion envoyée par le  relais 33     vérifie    que la     position    des balais sur le déco  deur 43     correspond    à la combinaison des clés K256,  K512, K1024, K2048, comme montré sur le dessin.  



  Ainsi la remise à zéro de l'échappement     variable     et la vérification de la justification peuvent être faites  simultanément. La     séquence    d'opérations     nécessaires     dans le dernier cas peut se faire par divers moyens  connus tels qu'un     sélecteur    35     (fig.    2).

   Aussitôt que  le signal fin de     ligne    est lu par la machine, le sélec  teur passe de la position   zéro   à une position   a    dans laquelle il excite le relais 60 qui envoie un       courant    sur tous les étages de l'échappement variable       correspondant    à un étage     binaire    du compteur qui a  été actionné lors du     préremplissage.    Le sélecteur  passe ensuite en position   b   pour envoyer une  impulsion sur le     premier    étage de l'échappement va  riable, puis en position   c   pour exciter le relais  33 et envoie un courant sur les balais 42 pour com  parer la position du chariot par     rapport    aux posi  tions des clés K256, K512, K1024,

   K2048. Si ces  balais sont dans leur position correcte, aucun courant  n'apparaît sur le fil 103, mais si leur position est  incorrecte, un courant apparaît sur ce fil et excite le  relais 37 qui se bloque sur une clé 135 et actionne  une alarme 39 pour avertir l'opérateur que la lon  gueur de la     ligne    ne correspond pas à la valeur fixée  par les clés de longueur de     ligne.     



  En position   d   le     sélecteur    envoie un courant  sur le fil 29 qui, si les positions des étages binaires  B1, B2 ... B128 correspondent au déplacement du  chariot     porte-prisme,    arrive sur le relais 31 et ac-         tionne    l'embrayage de retour en arrière 6, comme  expliqué plus haut.  



  Toutefois, si le déplacement du chariot n'est pas  égal à celui correspondant aux clés de longueur de  ligne K, ce     courant    arrive à travers des redresseurs  sur un fil 51 qui excite le relais 37 et donne une       alarme.    Ceci est possible du fait que le relais 41 a  aussi été actionné en position   d   du     sélecteur    35.  En même temps que cette opération a lieu, l'échap  pement variable est ramené à sa position de départ  précise, même si la ligne n'a pas été correctement  justifiée par l'impulsion arrivant sur le fil 29,     comme     expliqué ci-dessus.  



       Le    sélecteur 35 peut être commandé par des. im  pulsions de durée suffisante.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à composer des lignes justifiées en ca ractères typographiques de largeurs variables, par impression desdits caractères sur un support (44) et comportant un mécanisme permettant d'espacer les dits caractères d'une valeur fonction de leur largeur en actionnant un chariot (38), ledit mécanisme com portant une pluralité d'étages (Dl, D2 ... D128) mécaniquement reliés entre eux, chaque étage corres pondant à un espacement déterminé, caractérisée en ce que chaque étage (Dl, D2 ... D128) du méca nisme d'espacement est muni d'une came (S1 ...
    S128) indicatrice de sa position reliée à des cames des étages adjacents dans le but de constituer un dispositif de remise à zéro et de vérification de jus tification. SOUS-REVENDICATIONS 1. Machine selon la revendication, caractérisée en ce que ledit dispositif de remise à zéro des étages (Dl ... D128) à la fin de la composition d'une ligne comporte des cames (S1 ...
    S128) associées à un cir cuit de contrôle (51) de façon que ladite remise à zéro est obtenue en cascade étage par étage en com mençant par l'étage correspondant à l'espacement d'une unité élémentaire<B>(Dl),</B> ledit circuit de contrôle envoyant une impulsion de commande successive ment d'un étage à l'autre dès que ledit étage est à sa position initiale. 2. Machine selon la revendication, caractérisée en ce qu'elle comprend des moyens pour remettre à zéro simultanément tous les étages à la fin de la com position de chaque ligne, ladite ligne devant avoir une longueur prédéterminée concrétisée par des commu tateurs (K1 ...
    K128) ouverts ou fermés, ces moyens comprenant un relais (60) associé auxdits commuta- teurs pour actionner simultanément tous les solénoï des (M1 ... M128) de commande associés auxdits commutateurs (K1 ... K128) qui se trouvent dans une position fermée. 3. Machine selon la revendication, caractérisée en ce que les différents étages de l'échappement sont munis d'un circuit de contrôle (51) permettant de déceler si tous les étages sont bien sur leur position zéro et dans le cas où ils ne seraient pas sur cette position de donner une alarme. 4.
    Machine selon la sous-revendication 1, carac térisée en ce que le retour de l'échappement à sa position de départ est effectué après ladite mise en position zéro par des moyens de rappel faisant reve nir le chariot (38) d'une distance égale à un nombre de dents entier de l'échappement (A128) de rang le plus élevé jusqu'à ce que l'arbre de sortie (P128) arrive en contact avec une butée. 5. Machine selon la revendication, caractérisée en ce que chaque étage dudit mécanisme est entrainé indépendamment par un dispositif à friction (F1 ... F128). 6.
    Machine selon la revendication, caractérisée en ce que le chariot est constamment soumis à un entraînement à friction (l36-140) tendant à lui don ner une vitesse sensiblement inférieure à la vitesse maximum que peuvent lui donner les entraînements (FI. ... F128) des étages desdits mécanismes, dans le but de supprimer les rebondissements.
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