CH318932A - Machine de sablage - Google Patents

Machine de sablage

Info

Publication number
CH318932A
CH318932A CH318932DA CH318932A CH 318932 A CH318932 A CH 318932A CH 318932D A CH318932D A CH 318932DA CH 318932 A CH318932 A CH 318932A
Authority
CH
Switzerland
Prior art keywords
conveyor
parts
panel
machine according
opening
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Inventor
W Moore Ralph
I Gladfelter Wiltie
Original Assignee
Pangborn Corp
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Pangborn Corp filed Critical Pangborn Corp
Publication of CH318932A publication Critical patent/CH318932A/fr

Links

Classifications

    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B24GRINDING; POLISHING
    • B24CABRASIVE OR RELATED BLASTING WITH PARTICULATE MATERIAL
    • B24C3/00Abrasive blasting machines or devices; Plants
    • B24C3/18Abrasive blasting machines or devices; Plants essentially provided with means for moving workpieces into different working positions
    • B24C3/26Abrasive blasting machines or devices; Plants essentially provided with means for moving workpieces into different working positions the work being supported by barrel cages, i.e. tumblers; Gimbal mountings therefor

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Structure Of Belt Conveyors (AREA)
  • Chain Conveyers (AREA)
  • Housing For Livestock And Birds (AREA)

Description


      Machine        de    sablage    La présente invention concerne une ma  chine de sablage.  



  Les anciennes machines de sablage présen  taient de nombreuses difficultés relatives par  exemple à l'obtention d'une étanchéité adé  quate de la zone de sablage, vis-à-vis des par  ticules abrasives rebondissant vigoureusement  dans toutes les directions et aussi à la réali  sation du retournement de la pièce pendant le  sablage. Une porte connue ne donne pas, par  exemple, satisfaction au point de vue de l'étan  chéité d'une machine de sablage, car les guides  de porte, s'ils sont disposés pour rendre étan  ches les bords de la porte, emprisonnent des  particules abrasives volantes qui provoquent le  coincement de la porte.  



  De plus, avec l'ancien mécanisme de     bas-          culement    et retournement des pièces, les pièces  à travailler les plus petites, ainsi que de petites  projections des pièces les plus grosses, se trou  vaient généralement pincées entre les parties du  mécanisme mobiles les unes par rapport aux  autres, et il en résultait assez souvent une dé  térioration des pièces.  



  La présente invention a pour but de réali  ser un équipement de sablage exempt des in  convénients indiqués ci-dessus.  



  Le dessin annexé représente, à titre d'exem  ple, quelques formes d'exécution de l'objet de  l'invention.    La     fig.    1 est une perspective, avec certaines  parties arrachées, d'une première forme d'exé  cution.    La     fig.    2 est une perspective de détail, avec  certaines parties arrachées, d'une portion de la  machine de la     fig.    1 ; elle représente des détails  du mécanisme de commande de la porte.  



  La     fig.    3 est une perspective de quelques  détails intérieurs de la machine de la     fig.    1 et  représente en particulier les caractéristiques du  mécanisme de retournement des pièces à trai  ter.  



  La     fig.    4 est une perspective, avec certaines  parties arrachées, de la portion supérieure de  la machine de la     fig.    1, et montre avec plus de  détails les caractéristiques intérieures de cette  portion.  



  La     fig.    5 est une coupe verticale de la ma  chine de la     fig.    1 et représente avec plus de dé  tails l'ensemble de la porte dans la position  d'ouverture.  



  La     fig.    6 est une coupe analogue à la     fig.    5,  avec certaines parties arrachées, et représente,  en même temps que la porte en position de fer  meture, une variante auxiliaire.    La     fig.    7 est une coupe horizontale par  tielle montrant un détail de l'ensemble de la  porte.      Les fi-. 8 et 9 sont respectivement une élé  vation partielle de face et une coupe verticale  partielle, qui représentent à grande échelle des  détails de construction de la porte.  



  La     fig.    9A est une coupe verticale d'une  portion de la structure de commande de la ma  chine de la     fig.    1.  



  Les     fig.    10 et 11 sont respectivement une  perspective et une coupe verticale d'une portion  du mécanisme     d'entrainement    de la machine  de la     fig.    1.  



  La     fig.    12 est une coupe verticale montrant  une portion du mécanisme de retournement des  pièces dans la machine de la     fig.    1.  



  Les     fig.    13 et 14 sont des vues respective  ment analogues aux     fig.    5 et 6, mais représen  tent une autre forme d'exécution.  



  Les     fig.    15 et 16 sont respectivement une  coupe verticale et une vue en plan d'un détail  des caractéristiques du mécanisme de retourne  ment des pièces, dans le mode de réalisation  des     fig.    13 et 14.  



  Les     fig.    17, 18 et 19 sont des coupes faites  respectivement suivant les lignes 17-17, 18-18,  l9-19, de la     fig.    16.  



  La fi-. 20 est une vue en plan analogue à  la     fig.    16 et représente une variante du méca  nisme de retournement des pièces qui est mon  tré à la     fig.    12.  



  Les     fig.    21, 22 et 23 sont des vues par  tielles analogues respectivement aux     fig.    13, 16  et 17, et représentent une autre variante du mé  canisme de retournement des pièces.  



  Les     fig.    24 et 25 sont des vues partielles  coupées d'une autre variante du mécanisme de  retournement des pièces.  



  La machine de sablage représentée aux     fig.     1 à 12 comprend une zone de sablage définie  par un carter 30 monté sur des supports laté  raux 32. L'avant de ce carter comporte une  ouverture 34 à travers laquelle s'opèrent le  chargement et le déchargement des pièces.  Dans ce carter, comme on le voit le mieux sur  la     fig.    3, se trouve un transporteur 36 constitué  par une courroie sans fin en caoutchouc. Cette    courroie passe sur une série de rouleaux 41,  42, 43, dont la disposition générale a une  forme concave. Deux disques de guidage 51,  52, sont montés tournants dans les parois du  carter, au moyen d'arbres courts 54     tourillon-          nant    dans des paliers 56.

   Ces disques servent  de guides et maintiennent la courroie 36 incur  vée en forme générale     d'U,    dans laquelle les  pièces basculent et se retournent. Cette auge en  forme     d'U    est inclinée par rapport à la verticale  d'une manière bien connue, afin de mieux  maintenir les pièces à traiter lorsqu'elles ont  tendance à monter avec le brin ascendant de la  courroie. La surface extérieure de celle-ci est  munie de nervures 58 faisant corps avec elle ;  ses bords latéraux peuvent être plus épais que  la partie portant les pièces, et leur épaisseur  peut être égale, si on le désire, à celle de la  partie nervurée. La courroie est entraînée par  une poulie 57 calée sur l'arbre 59 qui porte le  rouleau 42 ; un moteur électrique 61 fait tour  ner la poulie.  



  Au-dessus de l'auge formée par la courroie  est monté dans le carter un dispositif de pro  jection représenté sur la     fig.    1 sous la forme  d'un dispositif 60 à roue à projection centrifuge  entraîné par un moteur électrique 62. Le dis  positif 60 est entouré par son propre carter  dans lequel la roue fait saillie à partir du carter  30. Les détails particuliers concernant cette  roue ne font pas partie de la présente invention.  On peut utiliser aussi plusieurs roues de projec  tion, ou encore un ou plusieurs jets d'air pour  projeter les particules abrasives dans le carter  30. Il est préférable que le plan de la roue de  projection, quand on en utilise une, soit disposé  transversalement par rapport à la courroie de  retournement des pièces.  



  La roue est alimentée en particules abra  sives par un couloir de descente 64, alimenté  lui-même par une trémie 66 contenant une ré  serve de ces particules. Après avoir été pro  jetées contre les pièces à traiter, les particules  abrasives tombent à travers des perforations  68 prévues dans la courroie et arrivent dans  la partie inférieure du carter 30 ; de là, elles  sont dirigées vers un élévateur 70 à augets, qui  les soulève jusque dans un conduit de retour      72, d'où elles retournent dans la trémie 66 ;  elles sont donc automatiquement utilisées de  nouveau.  



  L'ouverture 34 prévue dans le carter 30  comporte des rainurés latérales de guidage 76  entre lesquelles est monté coulissant un pan  neau de porte 80. Ce panneau est flexible lon  gitudinalement et son extrémité supérieure s'en  roule et se fixe sur un rouleau supérieur 82.  Sur la portion inférieure du panneau 80 est  fixée une extrémité d'un rideau flexible 84,  dont l'autre extrémité est attachée à un support  fixe 86. Le rideau 84 pend entre ses deux  extrémités en formant une boucle. Il est préfé  rable que cette boucle soit sollicitée vers le  bas, par exemple par un rouleau 90 qui repose  librement dans la boucle de manière que son  poids tire celle-ci vers le bas aussi loin que  possible.  



  Le panneau 80 est constitué de préférence  par une toile métallique doublée de caoutchouc.  Comme on le voit sur les     fig.    8 et 9, on peut  réaliser une toile métallique appropriée en apla  tissant des hélices 81 en fil métallique et en les  réunissant par des tiges d'assemblage 83 rela  tivement longues. Quelques-unes de ces tiges  83, ou des tiges séparées 85 qui sont également  enfilées à travers les hélices, dépassent les  bords latéraux du panneau et portent des galets  d'extrémité 92. qui s'adaptent dans les rainures  de guidage 76. On peut empêcher les tiges de  glisser à l'extérieur en les soudant, ou en les  brasant, ou en les fixant d'une autre manière  sur une ou plusieurs spires de l'une des hélices  assemblées par chaque tige.

   Les tiges 83, 85  peuvent être par exemple brasées chacune à  une extrémité ou aux deux extrémités sur les  hélices. Les galets 92, maintenus par des ron  delles 91 et des goupilles 93 ou par des bagues  à déclic, sur les extrémités de quelques-unes  des tiges ou de toutes les tiges, facilitent le sou  lèvement et l'abaissement de la porte.     Il    n'est  pas nécessaire que toutes les hélices aplaties  soient identiques ; quelques-unes peuvent être  plus larges ou moins larges que les autres.  



  Près de l'extrémité supérieure du panneau,  on prévoit des hélices plus étroites pour réaliser  à cet endroit une augmentation désirable de         flexibilité,    de manière que cette extrémité du  panneau s'enroule plus facilement autour du  rouleau 82, dont le diamètre est relativement  faible. On peut utiliser une hélice plus large à  l'endroit où se fixe le rideau 84, afin de pou  voir introduire dans cette hélice une barre de  fixation 99, dans laquelle on visse des vis 101  de fixation du rideau, comme on le voit sur les       fig.    8 et 9. Des rondelles 103 assurent un en  gagement correct entre les têtes des vis 101 et  le rideau flexible 84 ; on peut remplacer ces  rondelles par une bande continue courant sur  toute la largeur du rideau.  



  L'extrémité du panneau, qui est fixée sur  le rouleau 82, est munie d'une plaque d'extré  mité 87, et des parties marginales de la toile  métallique sont enfilées dans des perforations  de cette plaque. Celle-ci est fixée commodé  ment sur le rouleau 82 au moyen de fentes ou    entrées de serrure   94 dans lesquelles se ver  rouillent des tétons 95. Les fentes 94 ont des  dimensions telles que la tête de chaque téton  passe à travers la partie inférieure de plus  grand diamètre d'une fente 94, mais ne passe  pas à travers la partie supérieure de celle-ci ;  par contre, les tiges des tétons 95 peuvent pas  ser à travers ces parties supérieures et plus  étroites des fentes 94.

   Au montage, on place la  plaque 87 contre le rouleau 82, de manière que  les fentes 94 viennent s'engager en glissant par  dessus les têtes des tétons 95 ; on tire ensuite la  plaque vers le bas, de manière à amener les  parties étroites des fentes sur les     tiges    des té  tons, et les deux organes se trouvent ainsi ver  rouillés l'un sur l'autre. Des vis supplémentaires  88 peuvent être alors engagées dans le rouleau  82, dans une position où elles empêchent la  plaque 87 dé remonter jusqu'à sa position d'en  gagement des fentes sur les tétons. Le bord su  périeur de la porte ne peut donc pas être déta  ché par inadvertance.

   Ce procédé de fixation  réalise une attache sûre, bien que     flexible,    et  facile à manipuler, qui permet à la porte de  se centrer d'elle-même sur le contour du rou  leau 82.  



  La toile     métallique,    ou la portion de     celle-          ci    qui sert à recouvrir l'ouverture 34, est re  couverte par une feuille de caoutchouc 89, qui      est collée de préférence sur la toile métallique,  bien que cela ne soit pas nécessaire, soit avec  de la colle, soit par vulcanisation.  



  Pour permettre de     manoeuvrer    la ferme  ture, le rouleau 82 est monté sur un arbre 98,  qui porte également un pignon de chaîne<B>100.</B>  Une chaîne 102 passe sur ce pignon, ainsi que  sur un pignon de manivelle 104 disposé à la  partie inférieure du carter. Un pignon fou in  termédiaire 106 peut aussi être prévu pour  maintenir la chaîne correctement tendue. L'ar  bre 98 se prolonge à l'extérieur d'un côté, et  sur son prolongement est fixée une roue à ro  chet 108 qui coopère avec un cliquet 110. Ce  cliquet est porté par une collerette 112 qui  fait partie d'un collier pouvant tourner libre  ment autour de l'arbre 98.

   Ce collier est en  touré par des mâchoires de frein 114 qui le  serrent et l'empêchent de tourner, sauf dans le  cas où la force de rotation est assez grande  pour faire     patiner    les mâchoires. Le cliquet 110  est sollicité de telle manière qu'il permet à la  roue à rochet 108 de tourner librement dans  le sens de l'ouverture du panneau sans faire  tourner le collier et la collerette 112. Au con  traire, quand l'arbre 98 tourne dans le sens de  l'abaissement du panneau, le cliquet 110 est  engagé par le rochet et tend à entraîner le col  lier auquel est appliquée la résistance de frei  nage. La roue de chaîne 104 est reliée conve  nablement à une manivelle<B>116,</B> qui sort du  carter, sur un côté de celui-ci, à travers un  couvercle 117, et permet de     manoeuvrer    la  porte.  



  On voit que la fermeture se compose de  deux parties séparées, qui sont espacées l'une  de l'autre et dont chacune est assez grande  pour recouvrir complètement l'ouverture 34.  On remarquera, en considérant la     fig.    6, que,  quand le     panneau    extérieur 80 est en position  de fermeture, la boucle du rideau 84 descend  très près de la     partie    adjacente du transporteur  36. Le rideau fournit donc par lui-même une  très bonne étanchéité.  



  En conséquence, il n'est pas indispensable  que le panneau 80 soit ajusté avec précision  d'une manière étanche dans ses canaux laté-         raux    de guidage 76, et on peut se contenter de  laisser ses bords supérieur et inférieur che  vaucher simplement sur les bords de l'ouverture  34. Ainsi, il n'est pas nécessaire de munir le  bord inférieur de cette ouverture d'organes  quelconques d'étanchéité venant en contact  avec le panneau. On évite par conséquent les  dispositions de construction, qui entraînent  l'emprisonnement, dans la partie inférieure de  l'ouverture de la porte, de particules suscepti  bles d'empêcher une fermeture correcte.

   En  même temps, le bord inférieur du panneau de  fermeture fournit l'étanchéité désirée, en coopé  ration avec le rideau 84, en s'appliquant tout  simplement par-dessus le bord inférieur de l'ou  verture 34. Le fait que les glissières latérales 76  de guidage du panneau 80 peuvent être ajus  tées avec beaucoup de jeu présente une impor  tance considérable ; en effet, les particules qui  atteignent les glissières 76 tombent par consé  quent facilement le long de celles-ci et s'échap  pent par le bas, sans avoir tendance en aucune  façon à se coincer entre des parties quelcon  ques du panneau 80.  



  D'autre part, le rideau 84 constitue un  écran de protection ou dispositif d'amortisse  ment très désirable pour la porte. Les pièces à  traiter qui basculent vers la porte sont arrêtées  en effet en frappant d'abord le rideau. Il en  résulte que la porte n'a aucune tendance à se  bomber vers l'extérieur pendant le fonctionne  ment, même si une charge importante de pièces  très lourdes est retournée à l'intérieur de la ma  chine.  



  Pour être sûr que le rideau pend et qu'il  empêche effectivement les particules de s'échap  per, on peut le lester avec un rouleau 85, qui  repose simplement sur une portion intermé  diaire du rideau. Le poids de ce rouleau, ajouté  à celui de la partie suspendue du rideau, solli  cite celui-ci vers le bas jusqu'à la position re  présentée sur la     fig.    6. Comme les particules  projetées sont dirigées généralement dans l'es  pace situé au-dessus du pli du rideau, il faut  perforer la partie inférieure du pli, comme on  le voit en 87 sur la     fig.    6. Les perforations  ainsi prévues peuvent s'étendre sur une portion  considérable du pli, ou être limitées au con-      traire à la portion se trouvant immédiatement  sous le rouleau 85, dans le cas où on utilise  un tel rouleau.

   Dans ce dernier cas, le rouleau  doit être conçu de manière que les particules  puissent atteindre ces perforations ; on peut par  exemple munir à cet effet de nervures d'écarte  ment 189 la périphérie du rouleau.  



  La machine de la     fig.    1 est équipée égale  ment d'un dispositif de commande 119, com  prenant une commande 120 d'écoulement de  l'abrasif, représentée ici sous la forme d'un le  vier convenablement disposé et connecté par  un câble flexible 122 à une valve 124, qui est  montée dans le circuit d'alimentation en par  ticules abrasives, tout près de l'ajutage adja  cent 64. Comme on le voit clairement sur la       fig.    9A, la valve 124 peut être une vanne en  forme de cuvette, montée pivotante en 125  de manière à pouvoir occuper ou quitter une.  position au-dessous d'un ajutage 127, qui cons  titue la sortie des particules abrasives au-des  sous de la trémie 66.

   La vanne 124 est repré  sentée en trait plein dans la position de ferme  ture     (fig.    9A), dans laquelle elle empêche les  particules de pénétrer dans l'ajutage 64 d'ali  mentation de la roue. Cette vanne fonctionne  efficacement malgré le jeu existant entre elle et  l'ajutage adjacent 127. Son fonctionnement est  basé sur le fait que l'abrasif, en tombant sur  une surface forme normalement sur celle-ci un  cône dont l'angle à la base est de 30  à 40"  environ. En d'autres termes, l'abrasif forme sur  cette surface un cône dont l'angle de révolu  tion est le complément de cet angle de base.

    On choisit la distance entre la base de l'ajutage  127 et les limites périphériques de la vanne  124, de manière que la surface conique pas  sant par cette base et ces limites ait un angle  de base inférieur à 30 , et même de préférence  à 20 . Quand l'abrasif tombe sur la vanne fer  mée 124, il s'entasse par conséquent jusqu'à ce  que son angle de base lui permette de bloquer  l'orifice inférieur de l'ajutage 127, et ceci se  produit avant qu'aucune particule abrasive ne  soit passée par-dessus les bords de la vanne.  



  Dans le mode de réalisation représenté, la  vanne peut être sollicitée vers sa position d'ou  verture représentée en trait pointillé, au moyen    par exemple d'un ressort de torsion 129. Par  conséquent, si on lâche le levier de commande  120, la vanne 124 s'ouvre automatiquement et  l'abrasif s'écoule dans la roue de projection 60.  Si on désire couper l'arrivée de l'abrasif, par  exemple pendant le déchargement des objets en  dehors de la machine, on agit sur la poignée  de commande 120 pour tirer la vanne 124 vers  le bas jusqu'à la position représentée en trait  plein sur la     fig.    9A.  



  Une commande supplémentaire d'alimenta  tion en particules abrasives peut être constituée,  comme on le voit sur la     fig.    9A, par une vanne  coulissante 131 convenablement ajustée dans  un panneau de guidage d'une forme appropriée  disposée au-dessus de l'ajutage 127. Cette  vanne coulissante 131 comporte un orifice cen  tral d'alimentation 135, que l'on peut effacer  en dehors de l'ajutage 127 pour former le pas  sage des matières abrasives, ou placer au con  traire au-dessus de cet ajutage pour permettre  ce passage. On effectue facilement la     manoeuvre     de cette vanne coulissante 131 au moyen d'une  patte rabattue 139.  



  Comme on le voit sur les     fig.    1 et 4, l'extré  mité de décharge de la trémie 66 peut compor  ter également une ouverture de nettoyage 67,  à travers laquelle on peut retirer des corps  étrangers ou tout corps obstruant l'alimenta  tion, ou encore     effectuer    un travail d'entretien  quelconque. Il n'est pas utile de recouvrir cette  ouverture de nettoyage, mais si on la laisse dé  couverte, il faut prendre des dispositions pour  empêcher les particules abrasives de déborder,  et prévoir par exemple à cet effet une paroi 69,  qui descend du dessus de l'ouverture jusqu'à un  niveau suffisamment bas pour sous-tendre,  avec la base de l'ouverture 67, un angle infé  rieur à l'angle de base propre à la matière abra  sive et mentionné plus haut.  



  L'intérieur du carter est connecté également  à une conduite d'aspiration, qui évacue toutes  les matières finement divisées produites pen  dant l'opération de sablage et tendant à fuir à  l'extérieur dans l'air environnant. A cet effet,  une conduite d'aspiration 126 est connectée au  carter par l'intermédiaire d'un capuchon 128.  L'aspiration peut servir également à séparer les      fines particules remontées par le transporteur  70. Une prise supplémentaire 130 d'aspiration  est avantageusement connectée par des canaux  132 à la conduite de retour 72. Ces canaux 132  communiquent avec une ouverture 134 dispo  sée sous un couloir de descente 136 et aspirent  l'air à travers un tamis<B>137</B> recouvrant une ou  verture d'admission d'air 138.

   Sous l'ouverture  134 une plaque de déflexion 140 est disposée  de manière à arrêter les particules les plus lé  gères qui tendent à suivre l'air aspiré, et ces  particules ainsi déviées tombent dans une ou  verture 142 débouchant dans une conduite de  rebut 144.  



  Les particules réintroduites dans le cycle et  assez lourdes pour ne pas être déviées tombent  à travers un collecteur 146 de fils métalliques,  constitué par deux plaques perforées horizon  tales, qui sont espacées verticalement et dont  les perforations sont décalées. Pour rendre plus  commode le nettoyage de ce collecteur, on peut  rendre ces plaques solidaires d'un tiroir 148  muni d'une poignée 150, qui permet de retirer  et de remettre facilement en place le tiroir.  



  La trémie 66 est munie également, comme  on le voit sur le dessin, d'une conduite de     trop-          plein    152, à travers laquelle tombent les parti  cules remises dans le cycle, quand le total des  particules contenues dans la trémie dépasse un  niveau prédéterminé.  



  Les particules passant par cette conduite de  trop-plein retournent à l'élévateur en passant  par la trémie latérale 154 ; on les voit facile  ment à une certaine distance quand elles tom  bent dans cette trémie. Quand l'opérateur ne  voit pas de     particules    sortir de la conduite 152,  il sait que le niveau est trop bas dans la trémie  66 et qu'il est temps d'ajouter une nouvelle  quantité de particules abrasives, par exemple  dans une trémie auxiliaire (non représentée)  disposée à la base de l'élévateur 70.  



  Afin d'obtenir les meilleurs résultats, la  courroie de caoutchouc 36 du transporteur est  guidée     dans    son trajet en forme     d'U    autour  des disques 52, qui ne sont pas parfaitement  perpendiculaires à la courroie. Comme on le  voit sur la     fig.    12, on préfère monter ces dis  ques de manière qu'ils puissent tourner autour    d'axes inclinés symétriquement par rapport à  l'horizontale et qu'ils soient déportés vers l'ex  térieur l'un par rapport à l'autre dans la partie  centrale de     1'U.    Ce déport même faible vers  l'extérieur est avantageux, et i1 suffit de lui  donner une valeur de 3 mm à 10 mm par rap  port aux parties diamétralement opposées des  disques.  



  Toute disposition convenable quelconque  peut être prévue pour rendre possible ce déport  des disques vers l'extérieur. Dans le mode de  réalisation représenté sur la     fig.    12, les disques  52 sont montés sur des arbres courts 54, par  exemple au moyen de manchons à collerette  105 qui tourillonnent dans des paliers 107 pré  vus dans des carters 109. Ces carters 109  s'étendent à travers des ouvertures 111 prévues  dans la paroi du carter principal 30, et cha  cun d'eux est maintenu en place d'une manière  réglable au moyen d'une série de boulons 11.3,  115 de positionnement.

   Cette série de boulons  est divisée en deux groupes, dont l'un repré  senté sur la figure par le boulon 113 tend à  tirer les carters 109 vers l'intérieur du carter  30, et dont l'autre comprenant les boulons 115  tend à pousser ces carters dans la direction  opposée. On règle les deux groupes de boulons  de manière à obtenir l'inclinaison désirée.  



  On a constaté également que la courroie  de caoutchouc du transporteur a un fonctionne  ment plus doux quand le rouleau fou 43 est  muni d'un mécanisme de réglage de l'augmen  tation de tension, ce mécanisme déplaçant ce  rouleau dans la direction suivant laquelle la  courroie elle-même se déplace lorsqu'elle  approche du rouleau. On a représenté sur les  fit-. 1 et 3 une disposition efficace permettant  d'atteindre ce but. Dans cette disposition, le  rouleau 43 porte des arbres d'extrémité 45, qui  font saillie à l'extérieur et qui sont logés chacun  dans un bloc mobile 47 de     tourillonnement.    Ces  blocs sont montés coulissants dans un panneau  49 s'étendant verticalement et faisant partie  d'un dispositif de guidage 51 fixé à l'extérieur  du carter 30.

   On effectue le réglage au moyen  d'une vis 53 engagée dans un bras fixe 55, avec  l'une de ses extrémités butant contre le bloc  de     tourillonpement    47. Les tourillons 188 du      rouleau fou 41 peuvent avoir un emplacement  fixe, c'est-à-dire ne pas être réglables.  



  En faisant tourner les vis 53 d'un côté ou  de l'autre du rouleau fou 43, on peut soulever  ou abaisser celui-ci de manière à modifier la  tension de la courroie 36. Bien     qu'il        faille    pré  voir une plus grande amplitude de réglage pour  le rouleau fou 43 que dans le cas où le réglage  se ferait dans le plan de symétrie, c'est-à-dire  dans le plan défini par les arbres 45 et les  centres des disques 52, le transporteur fonc  tionne tellement mieux avec le dispositif de ré  glage représenté que tout supplément de dé  pense est totalement compensé.  



  L'entraînement du transporteur est muni  d'un     dispositif    de protection, à libération auto  matique, contre les surcharges. Ce dispositif  est très utile dans le cas où le transporteur se  coince pour une raison ou pour une autre. Un  certain risque d'un tel coincement paraît être  inévitable, même si le transporteur portant la  pièce est en caoutchouc et ne laisse aucun in  terstice dans lequel les petites pièces à traiter  ou des projections de grosses pièces à traiter  puissent se trouver pincées.  



  On a représenté sur les     fig.    3, 10 et 11, un  dispositif de protection contre les surcharges ;  ce dispositif se présente sous la forme d'une  boîte d'engrenages 183 qui     connecte    la poulie  d'entraînement 57 au rouleau d'entraînement  42. La boîte d'engrenages 183 porte un arbre  d'entraînement 185, qui fait saillie à l'extérieur  d'un côté de la boîte, et un arbre entraîné 186  qui fait saillie à l'extérieur de l'autre côté de  la boîte. Ces arbres tourillonnent dans des pa  liers et portent respectivement à leurs extré  mités intérieures des roues dentées 155 et 156.  L'arbre 186 peut être creux, comme on le voit  sur la figure, et l'arbre 185 peut se prolonger  jusque dans la partie creuse de l'arbre 188 afin  d'améliorer la tenue de ces deux arbres dans  leurs paliers.  



  Un arbre de renvoi décalé 187 tourne éga  lement à l'intérieur de la boîte d'engrenages  183 ; cet arbre porte des roues dentées 164,  166 qui engrènent respectivement avec les  roues dentées 155, 156. La boîte 183 peut    contenir également une certaine     quantité    de lu  brifiant et peut être     réalisée    en deux parties  boulonnées ensemble par des boulons 160, 162.  



  Un bras de torsion 170 articulé au moyen  d'un axe 172 est suspendu à une partie du  carter 30, le long de la boîte d'engrenages 183.  L'extrémité inférieure du bras 170 a la forme  d'une fourchette destinée à     recevoir    une pla  que de verrouillage 174, qui est montée pivo  tante à l'aide d'un axe 176. Une     douille    180  prévue dans la plaque 174 a la forme voulue  pour recevoir la tête ou un épaulement des  boulons 162 ; cette plaque peut être verrouillée  dans une position de réception d'un boulon, au  moyen d'un plongeur à ressort 182 susceptible  de s'engager dans une encoche 184 de posi  tionnement.

   Une portion de la paroi latérale de  la douille 180 peut être     maintenue        élastique-          ment,    par exemple par un ressort 181 appuyé à  une extrémité contre une partie de la plaque  de verrouillage et maintenant à l'autre extré  mité la partie mobile de la paroi de la douille.  



  Avec ces dispositions, la poulie 57 tour  nant sous l'action d'un moteur     principal    61  tend à entraîner l'arbre 186 au moyen de roues  dentées 155, 164, 166, 156. En même temps,  ce train d'engrenages a     tendance    à faire tourner  la boîte 183 autour de l'arbre 186. Quand la  boîte d'engrenages 183 ne peut tourner du fait  qu'elle est verrouillée par le bras 170, l'entraî  nement se transmet exclusivement à l'arbre  186.

   Au contraire, si l'arbre 186 est soumis à  une résistance trop importante s'opposant à sa  rotation, le couple appliqué à la boîte 183  fait pivoter la plaque de verrouillage 174 en  dehors de la trajectoire de rotation-de la boîte,  sous l'action du boulon verrouillé 162, en libé  rant ainsi le bras 170, en lui permettant de  tomber en dehors du trajet de la boîte 183 et  en laissant donc celle-ci tourner librement.     Il     en résulte que l'arbre 186 n'est plus     soumis     à aucune force d'entraînement ;

   il ne peut donc  pas continuer à tourner et à détériorer des piè  ces, qui seraient coincées, ou la machine     elle-          même.    Pour rétablir     l'entraînement,    il     suffit    de  ramener la plaque de verrouillage 174 à sa po  sition verrouillée et de l'engager de nouveau  avec l'un des boulons 162.      Dans le mode de réalisation représenté sur  les     fig.    13 à 18 inclusivement, la courroie du  transporteur est constituée par des plaques mé  talliques, au lieu d'être en caoutchouc comme  sur les figures précédentes ; par ailleurs, ce  mode de réalisation est analogue au mode pré  cédent.

   L'emploi de plaques métalliques pour  le transporteur convient beaucoup mieux pour  les transporteurs de plus grande dimension ou  pour les pièces plus lourdes. Ces plaques sont  maintenues entre des chaînes parallèles pas  sant sur des roues dentées 202, 203, 204.  Comme dans la construction de la     fig.    1, les  roues supérieures 202 peuvent servir à entraî  ner le transporteur, tandis que les roues 204  servent au réglage de la tension, et que les au  tres roues ne jouent qu'un simple rôle de main  tien en position. Cependant, on peut prévoir  également une roue dentée supplémentaire ou  un organe fixe de guidage à friction 210 pour  augmenter l'écartement entre les brins supé  rieur et inférieur du transporteur.

   Dans cet  espace entre les deux brins du transporteur, on  peut disposer un système collecteur 220 des  particules abrasives, ce système se présentant  ici sous la     forme.d'une    rigole 222 et d'une vis  sans fin ou spirale 224 s'étendant horizontale  ment jusqu'au-dessus de la partie inférieure de  la rigole. Un autre dispositif collecteur 230 des       particules    abrasives peut être disposé sous le  brin inférieur du transporteur et utilisé comme  rigole collectrice des parois inférieures du car  ter principal. Les deux dispositifs collecteurs  220 et 230 peuvent décharger les particules  abrasives dans la même trémie latérale d'élé  vateur en vue de les réintroduire dans le cycle.

    Ces dispositions peuvent convenir également  pour le transporteur en caoutchouc de la ma  chine de la     fig.    1 ; on peut cependant, si on le  désire, n'utiliser que le collecteur inférieur 230,  avec l'une ou l'autre des deux machines.  



  On peut aussi utiliser une structure sup  plémentaire de guidage du transporteur, sous la  forme d'une surface fixe de guidage 234 à fric  tion, afin d'améliorer le guidage du brin supé  rieur du transporteur le long de son trajet en U.  



  Les     fig.    16 à 18 montrent l'emploi de pla  ques de transporteur dont les extrémités sont    déportées et ajustées de manière à chevaucher  sur les faces extérieures des disques de guidage  251. Ces plaques comprennent une partie cen  trale allongée 260, qui porte les pièces à traiter,  et des extrémités déportées 262. Celles-ci sont  connectées à une chaîne à rouleaux au moyen  d'oreilles 264 fixées aux extrémités 262 par  des boulons 266. Pour plus de simplicité, ces  oreilles peuvent être formées par des prolonge  ments des maillons 270, 272 de la chaîne. Les  rouleaux 274 montés sur les axes 276, qui re  lient les maillons entre eux, sont maintenus en  place par des clavettes 278.

   Les extrémités des  plaques successives sont fixées sur les oreilles  des maillons de chaîne successifs, des oreilles  étant prévues à la fois sur les maillons inté  rieurs 272 et sur les maillons extérieurs 270 de  chaque chaîne     (fig.    16). Les parties centrales  et allongées 260 des plaques sont perforées en  280 et très rapprochées les unes des autres.  Elles sont dentelées sur leurs bords adjacents  comme on le voit en 284 ; les parties saillantes  dés dentelures sont décalées respectivement sur  les bords adjacents de manière à engrener les  unes dans les autres. L'intervalle entre les bords  dentelés doit être suffisant pour que les plaques  ne butent pas et ne se coincent pas les unes  contre les autres en suivant le trajet courbe de  guidage du transporteur.  



  Le pivotement des extrémités des plaques,  qui s'effectue de la manière représentée, permet  aux parties centrales portant les pièces de par  courir tout leur trajet sans modifier d'une façon  appréciable la distance entre les bords adja  cents des plaques. On réduit ainsi considérable  ment les risques de pincement des pièces à trai  ter entre les plaques. Comme on le voit claire  ment sur les     fig.    15, 17 et 18, du fait que les  pivots de montage des plaques sont très voisins  du trajet le long duquel se déplacent les surfa  ces portant les pièces à traiter, les parties cen  trales et allongées des plaques pivotent cha  cune autour d'un axe coïncidant avec son axe  de symétrie longitudinal.

   II en résulte que, pen  dant le mouvement de la courroie du transpor  teur autour des parties convexes et des parties  concaves de son trajet, le jeu entre les plaques  adjacentes reste sensiblement constant et égal      au jeu existant dans les parties rectilignes du  trajet. En réalité, on peut donner à la trajec  toire des parties centrales 260 des plaques un  emplacement désiré quelconque par rapport à  la trajectoire des axes<B>276,</B> en modifiant le dé  calage des extrémités 262 et/ou en changeant  l'écartement entre les axes 276 et les extrémi  tés 262.

   De cette manière, on peut disposer les  parties centrales 260 des plaques, de façon  qu'elles se déplacent dans le brin supérieur sur  une trajectoire courbe ayant un rayon plus  grand que celui de la trajectoire des pivots de  plaque, et qu'elles s'écartent ainsi légèrement  les unes des autres dans les parties convexes  du transporteur. Puisque les pièces à traiter ne  se présentent que dans les parties concaves du  transporteur, le risque d'un coincement des  pièces entre les plaques est encore extrêmement  faible.  



  On peut cependant disposer les plaques de  façon qu'elles suivent exactement la même tra  jectoire que les axes des rouleaux de chaîne,  ou même une trajectoire légèrement à l'inté  rieur de celle de ces axes. Dans ce dernier cas,  les plaques s'écartent les unes des autres quand  elles se déplacent dans les parties concaves de  leur trajectoire, de sorte qu'il est absolument  impossible qu'elles serrent entre elles les pièces  à traiter.  



  Les parties 260 des plaques peuvent être       nervurées,    comme en 286, sur leur surface en  contact avec les pièces à traiter, de manière à  soulever plus facilement celles-ci. De plus, elles  peuvent être renforcées, en particulier si elles  ont une grande longueur, par des nervures sup  plémentaires 288 disposées sur l'autre face.  Dans le mode de réalisation représenté, deux  nervures 288 sont prévues au dos de chaque  plaque ; en outre, un gousset 290 prolonge  l'une de ces nervures et se raccorde à l'extré  mité déportée 262 pour donner plus de rigidité  à la plaque. Les perforations 280 sont assez  larges pour que les particules abrasives puis  sent les traverser en tombant ; elles peuvent  être cylindriques, ou coniques comme on le  voit sur la     fig.    19.  



  Comme on le voit sur la     fig.    15, les roues  dentées sur lesquelles passent les chaînes peu-    vent être en deux pièces, en particulier quand  elles ont de grandes dimensions. On voit ces  deux pièces en<B>291</B> et 292 sur la     fig.    15 ; elles  sont reliées ensemble par des boulons 294, qui  traversent et serrent l'une sur l'autre deux por  tions d'un moyeu fendu, ces deux portions  étant respectivement solidaires des deux moi  tiés de la roue dentée.  



  Les dentelures des bords des plaques, au  lieu d'être pointues comme dans la construc  tion de la     fig.    16, peuvent avoir une forme plus  émoussée, comme on le voit sur la     fig.    20, où  les faces extérieures des parties saillantes 285  des bords sont parallèles à l'axe longitudinal  de la plaque, les parties creuses 287     étant     orientées suivant la même direction de manière  à mieux engrener avec les parties saillantes  285.  



  Dans une variante de construction, les pla  ques chevauchent les unes sur les autres,     c'est-          à-dire    se recouvrent partiellement ; ce type de  construction est particulièrement efficace pour  éviter que les pièces à traiter ne soient pincées  entre les plaques. On voit sur les     fig.    21, 22,  23, une réalisation de ce type de construction.  Dans cette réalisation, les plaques 302 compor  tent un corps 304 fixé à des portions d'extré  mité 306, qui peuvent être déportées comme  dans la construction de la     fig.    16. Ces parties  306 sont fixées sur le corps 304 par des bou  lons 308 à tête noyée 310 (fi-. 22 et 23).  



  Les corps 304 peuvent être, pour plus de  simplicité, des plaques de forme générale rec  tangulaire ; ils sont plus larges que leurs extré  mités 306 de manière à chevaucher les uns sur  les autres comme on le voit en 312 sur la     fig.     21. Un chevauchement de 2,5 cm est générale  ment plus que suffisant pour empêcher des fen  tes de s'ouvrir entre les plaques, comme en  314, sous l'effet d'un mouvement suivant un  arc de cercle d'un diamètre pouvant descendre  jusqu'à 25 cm, même quand on ne profite pas  des avantages décrits plus haut et procurés par  le déport ou décalage des extrémités des pla  ques.  



  Les bords des plaques sont avantageuse  ment arrondis ou en biseau, comme on le voit      en 316     (fig.    21), de manière que les parties  chevauchantes des plaques puissent s'incliner  les unes par rapport aux autres, quand les pla  ques se déplacent autour de la boucle du trans  porteur. De plus, les corps des plaques peuvent  être eux-mêmes légèrement inclinés par rapport  au trajet du transporteur, afin d'orienter conve  nablement leur chevauchement ou recouvre  ment. Comme dans la construction précédente,  les corps des plaques comportent de préférence  des perforations<B>31.8</B> à travers lesquelles peu  vent tomber les particules abrasives.  



  Comme on le voit sur le dessin, les extré  mités 306 des plaques comportent des pattes  320 de fixation du corps qui sont tordues de  manière à fixer le corps avec l'inclinaison dési  rée. On peut avoir, comme dans les modes de  réalisation mentionnés ci-dessus, une nervure  de renforcement dont l'âme 322 se prolonge  sous la forme d'un rebord transversal 324. Une  nervure supplémentaire de renforcement 326  peut être avantageusement prévue sur les corps  304 des plaques ; cette nervure est fixée par  exemple par soudure. Les extrémités 306 des  plaques peuvent être légèrement plus étroites  que les corps des plaques de manière qu'elles  ne chevauchent pas les unes sur les autres.

   Le  chevauchement des plaques peut être disposé  de manière à réaliser des protubérances qui fa  cilitent l'engagement des objets à traiter et leur  soulèvement par les parties mobiles du brin  supérieur du transporteur se déplaçant vers le  haut. On peut orienter au contraire le chevau  chement dans la direction opposée de manière  que l'effet de soulèvement des protubérances  ne soit utilisé que pour le déchargement. On  peut prévoir cependant, sur la face des corps  de plaque en contact avec les pièces, des ner  vures supplémentaires destinées à engager  celles-ci et constituées par exemple par des  bandes métalliques soudées. En réalité, une  telle nervure supplémentaire peut remplacer la  nervure de renforcement 326.  



  On peut utiliser la construction simple des  corps de plaque, représentés sur les     fig.    21 à  23, avec ou sans les extrémités déportées.  Quand les extrémités ne sont pas déportées,  les corps de plaque peuvent avoir simplement    une longueur suffisante pour réaliser la fixa  tion nécessaire des chaînes.  



  On utilise la machine de     tablage    en plaçant  les pièces à traiter dans la portion concave du  transporteur et en entraînant celui-ci dans la  direction qui amène son brin supérieur de  l'extrémité inférieure de     1'U    à son extrémité su  périeure. Pendant que le transporteur se dé  place dans cette direction, les particules abrasi  ves sont projetées dans     1'U    de manière à venir  frapper les pièces à traiter. Celles-ci déplacées  par le transporteur sont soulevées vers la face  haute du brin supérieur, et quand le transpor  teur devient trop incliné pour que les parti  cules montent avec lui, elles retombent en  arrière sur une partie basse du transporteur.

   Il  en résulte une action de retournement, de sorte  que les différentes pièces à traiter présentent  toutes leurs surfaces aux matières abrasives  projetées après un nombre suffisant de cycles  de déplacement du transporteur. On peut ainsi  traiter en une seule opération une masse im  portante de pièces, qui remplissent complète  ment jusqu'à un tiers environ de la surface de       1'U.     



  Quand le traitement a duré un temps suf  fisant, on peut décharger les pièces en ou  vrant le panneau de la porte et en inversant le  déplacement du transporteur. En raison de la  faible hauteur du transporteur à l'endroit de  l'ouverture de la porte, les pièces sont facile  ment transportées sur l'extrémité avant du  transporteur et éjectées par pesanteur en dehors  de celui-ci. Elles peuvent être alors recueillies  d'une manière appropriée quelconque, par  exemple en les recevant tout simplement dans  une boîte de transport ou un transporteur  transversal disposé sous l'extrémité avant du  transporteur de retournement.  



  Le chargement de la machine peut être réa  lisé, soit à la main, soit au moyen d'un char  geur automatique, par exemple du type com  portant une auge basse montée sur des organes  de guidage de manière à s'incliner quand elle  est soulevée jusque dans l'ouverture 34 de la  porte. L'inclinaison de cette auge est suffisante  pour qu'elle vide tout son contenu de pièces  dans le transporteur U.      Quand le dispositif de projection des parti  cules abrasives utilisé dans la machine décrite  ci-dessus est du type centrifuge, et consiste par  conséquent en une roue rotative à grande iner  tie, il est désirable d'arrêter rapidement la rota  tion de cette roue quand on ouvre la porte.

    Quand on arrête l'écoulement des     particules     abrasives en fermant la valve 124, la projection  ne cesse pas immédiatement, puisque les  particules s'amoncellent généralement dans le  couloir d'alimentation 64 et qu'il faut d'abord  les évacuer. La dernière petite parcelle de ces  particules peut ne pas avancer correctement et  rester suspendue jusqu'à ce qu'elle soit libérée  par des vibrations ou d'une autre manière ana  logue. L'arrêt rapide de la roue permet de ne  pas attendre que les particules abrasives ne  soient plus projetées par la roue. Ce résultat est  obtenu commodément en inversant l'excitation  du moteur d'entraînement 62 de la roue, de  manière à imprimer une décélération rapide au  mouvement de rotation de la roue.

   Cette in  version de l'excitation est réalisée par un  moyen convenable quelconque, par exemple  par une boîte particulière de commutation de  démarrage spécialement conçue pour faire dé  marrer le moteur en sens inverse et connectée  à la commande d'arrêt de la roue. L'excitation  inverse du moteur peut être également combi  née avec un mécanisme de freinage du type mé  canique ou électrodynamique. Dans tous les  cas, le mécanisme de renversement de marche  est disposé de préférence de manière à n'être  connecté que pendant un court instant, en ces  sant automatiquement d'agir avant que la rota  tion du moteur ne soit réellement inversée.  



  Pour diminuer encore davantage les risques  quelconques d'un fonctionnement défectueux  de la machine, on peut la munir de commandes  de verrouillage. Par exemple, un contact de li  mitation peut être lié au fonctionnement de la  porte ; un tel contact 177 (voir la     fig.    2) peut  être monté en bout de l'extrémité de l'arbre  98 du rouleau supérieur 82 du panneau de  porte 80 et être connecté de manière à arrêter  automatiquement la roue de projection quand  on ouvre la porte, et à empêcher le démarrage  de la roue de projection jusqu'au moment où    on ferme de nouveau la porte.

   Ce contact de li  mitation peut aussi être connecté de manière à  empêcher le renversement du mouvement du  transporteur, tant que la porte n'est pas suffi  samment ouverte pour permettre .aux pièces à  traiter d'être déchargées sur l'extrémité avant  du transporteur.  



  Si on désire décharger automatiquement les  pièces à traiter à une certaine distance en avant  de l'extrémité avant du transporteur, on peut  munir celui-ci d'un couloir de décharge conve  nablement disposé. Ce couloir de décharge ou  déflecteur peut être, soit ajusté extérieurement  en dessous de la porte, soit être placé à l'inté  rieur du carter principal 30 comme on le voit  en 190 sur la     fig.    6. Le     déflecteur    190 est arti  culé en 192, et il est lesté de préférence par  un contrepoids 194. Le retrait du déflecteur  vers le transporteur doit être limité, par exem  ple par une butée 196, si on veut l'empêcher  de venir en contact avec le transporteur et  d'user celui-ci.

   Le contrepoids peut être dis  posé de telle manière que, quand le transpor  teur tourne dans le sens du déchargement, les  pièces à traiter sont transportées sur l'extré  mité avant du transporteur, tombent sur le dé  flecteur 190 et font pivoter celui-ci vers le bas  jusqu'à la position représentée en pointillé sur  la     fig.    6. Les pièces glissent alors vers le bas  sur le déflecteur 190 jusqu'à l'intérieur d'un  collecteur disposé convenablement, par exem  ple une caisse de transport ou un transporteur  à courroie se déplaçant extérieurement.

   Le  contrepoids est réglé de préférence de     manière     que le déflecteur 190 reste dans la position  basse, même s'il ne supporte aucune pièce de  sorte que le déflecteur n'oscille pas vers le haut  et vers le bas quand le déchargement est irré  gulier. Conformément à une variante, on peut  cependant disposer le contrepoids de manière  à rétracter automatiquement le déflecteur jus  qu'à la position représentée en trait plein sur  la     fig.    6 ; dans ce cas, l'opérateur n'a aucune  surveillance à exercer avant que la porte ne soit  refermée.  



  Au lieu de réaliser le transporteur de re  tournement des pièces sous la forme d'une série  de plaques ou d'une courroie en caoutchouc,      on peut le     réaliser    de différentes autres maniè  res. Quand il s'agit en particulier d'un transpor  teur de grandes dimensions celui-ci peut être  constitué par exemple par une courroie de  caoutchouc maintenue sur une série de plaques  analogues à celle représentée sur les     fig.    13 et  14.     Il    n'est pas indispensable que la courroie  de caoutchouc, qu'elle soit utilisée seule ou en  combinaison avec des plaques, soit une cour  roie sans fin ;

   elle peut comporter au contraire  un raccordement transversal où ses deux extré  mités sont vulcanisées ou maintenues ensemble  entre des plaques opposées serrées l'une contre  l'autre par des boulons. Quand des éléments  séparés, tels que des agrafes métalliques, sont  utilisés sur la courroie en caoutchouc, et quand  ces éléments sont suffisamment saillants pour  être usés par tes pièces à traiter et/ou par les  particules abrasives, il est préférable de les re  couvrir par des pattes de caoutchouc.  



  Il est recommandé de renforcer les cour  roies de caoutchouc en y introduisant au mou  lage ou en fixant sur elles des éléments de ren  forcement et/ou de raidissement, tels que des  toiles textiles, du fil métallique, des tiges ou des  plaques. On peut par exemple mouler le caout  chouc autour d'un certain nombre de couches  de toile appliquées les unes sur les autres, et on  peut fixer sur le produit ainsi moulé une série  de plaques métalliques en les boulonnant, soit  sur la face de la courroie engageant les pièces  à traiter ou face avant, soit sur sa face opposée  ou face arrière.

   Pour diminuer la surface de  métal, exposée aux objets à traiter ou aux par  ticules abrasives, on boulonne de préférence les  organes métalliques de renforcement sur la face  arrière de la courroie, les têtes des boulons étant  noyées dans des cavités prévues sur la face  avant.  



  On a représenté sur les     fig.    24 et 25 une  variante qui utilise une courroie de transpor  teur en caoutchouc moulé. Dans ce mode de  réalisation de l'invention, on prévoit une cour  roie de transporteur d'une seule pièce analogue  à la courroie 36 de la     fig.    3, mais comportant  également un moyen pour empêcher d'une ma  nière positive le glissement latéral de la cour  roie. Comme l'apprécieront les techniciens,    cette construction du dispositif de retourne  ment des pièces constitue un dispositif de net  toyage par projection, dans lequel des quantités  importantes de pièces lourdes sont constam  ment agitées, la charge imposée aux différents  éléments constitutifs du dispositif étant ainsi  déplacée par intermittence.

   On a trouvé néces  saire en particulier, pour les machines de plus  grandes dimensions, de réaliser un moyen quel  conque pour éviter le mouvement latéral de la  courroie sans fin, ce mouvement étant dû aux  chocs intermittents des charges variables appli  quées à la surface de la courroie pendant que  les objets traités basculent vers le bas dans  l'auge formée par la courroie. On comprendra  d'autre part que le glissement latéral de la cour  roie crée encore d'autres difficultés consistant  dans une usure inégale et excessive des paliers  supportant les poulies folles et les poulies d'en  traînement, ce glissement latéral pouvant pro  duire en outre une détérioration permanente de  la courroie proprement dite.  



  On supprime d'une manière positive ces in  convénients en munissant la courroie sans fin  du transporteur d'une nervure centrale en  forme de V, qui coopère avec une gorge de  même forme prévue dans les poulies respecti  ves. Comme on le voit sur les     fig.    24 et 25, la  courroie 536 du transporteur est sensiblement  identique à la courroie 36 de la     fig.    3, avec  cette différence cependant qu'au centre de la  courroie se trouve une nervure 540 prise dans  la masse, dirigée vers le bas et en forme de V.  On forme de préférence cette nervure 540 en  même temps que la courroie par une opération  appropriée de moulage qui donne à la courroie  tout entière la plus grande rigidité possible dans  le sens transversal.

   On peut donner à la ner  vure en V des dimensions désirées quelconques,  mais il est préférable que sa largeur soit légè  rement inférieure à l'écartement total entre  deux orifices prévus sur une ligne transversale  par rapport à la courroie, comme on le voit  plus particulièrement sur la     fig.    25. On peut, si  on le désire, mouler la nervure comme un or  gane rectangulaire, et lui donner la forme en V  en prévoyant une dépouille sur les faces laté  rales opposées du moule de manière à obtenir      des parois latérales de nervure faisant entre  elles un angle d'environ 42 . On comprendra  cependant que le degré d'inclinaison des parois  latérales peut varier considérablement.  



  La courroie nervurée coopère avec des pou  lies, qui sont identiques au point de vue cons  truction aux poulies 41, 42 et 43 de la     fig.    3,  mais qui comportent une gorge centrale en  forme de V pour recevoir la nervure de même  forme portée par la courroie. L'une de ces  poulies est représentée sur la     fig.    25 ; elle com  prend un axe cylindrique 543 muni à ses extré  mités de parties plus larges 544 et 545 ; ces  deux parties 544 et 545 sont réunies entre elles  par des zones opposées 546, 547 d'appui inter  mittent de la courroie ; ces zones d'appui se  rejoignent par une partie centrale 548 d'un dia  mètre plus faible.

   Cette zone centrale 548 de  diamètre réduit est limitée de préférence par  des parois latérales inclinées 549, qui s'élèvent  respectivement jusqu'aux surfaces des zones  d'appui 546, 547 et qui constituent une zone  de réception en forme de V légèrement plus  large que la nervure portée par la courroie 536.  



  Comme on le voit clairement sur la     fig.    25,  les zones     renflées    544 et 545 se rétrécissent lé  gèrement suivant la forme d'un tronc de cône  vers la gorge centrale de la poulie, de manière  â réaliser une zone d'un diamètre progressive  ment décroissant, qui sert à supporter la cour  roie 546 sur les poulies, avec sa face inférieure  en contact avec un quart environ des zones  renflées 544 et 545, en des points éloignés res  pectivement des zones d'appui 546 et 547  d'une distance égale sensiblement à la moitié de  la longueur des zones renflées. Grâce à une  telle disposition, la courroie nervurée conserve  une tension latérale, avec sa nervure 540 res  tant écartée de la gorge 548 de la poulie d'une  distance comprise approximativement entre  6 mm et 12 mm.

   En même temps, la zone cen  trale de la courroie reste écartée des zones  d'appui 546 et 547.    Grâce à cette disposition, le dispositif de  retournement des pièces assure un rôle de rat  trapage de mou, qui permet d'éviter les diffi  cultés se présentant normalement du fait de la    variation intermittente de la charge sur la cour  roie normalement tendue.  



  Comme on le voit sur la     figure,    la courroie  536 se déplace autour des poulies de support  sous l'action de la poulie supérieure, de sorte  qu'il existe toujours un jeu appréciable entre la  surface de la poulie centrale et la face infé  rieure de la courroie ; ce jeu permet à la cour  roie de fléchir verticalement sous l'action des  chocs intermittents et importants des objets       traités    ;

   pendant cette flexion verticale de la  courroie, la nervure en V 540 pénètre dans la  gorge en V 548 de manière à placer positive  ment la courroie au centre des poulies.     Il        appa-          rait    d'autre part que toute tendance de la cour  roie à glisser     latéralement    sous l'action de ces  chocs est contrecarrée en raison du contact des  parois latérales     inclinées    de la nervure avec les  parois inclinées 549 de la gorge 548, qui  coopèrent pour freiner la courroie par un frot  tement important le long des zones d'appui 546  et 547, ce frottement exceptionnel compensant  la tendance au     glissement    latéral.  



  Les poulies 543 à gorge sont     réalisées    de  préférence sous la forme tubulaire et compor  tent à leurs extrémités des bouchons amovibles  550, qui sont perforés au centre en 551 et com  portent une zone 552 creusée de rainures et  destinée à recevoir un arbre cannelé de support,  qui repose dans des paliers extérieurs. Un canal  approprié 553 est percé dans les parties ren  flées 544 et 545 et dans les bouchons d'extré  mité 550,     dans    le but de réaliser un clavetage  par un procédé bien     connu.  

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine de sablage, caractérisée en ce qu'elle comprend une zone de sablage des piè ces, une ouverture à travers laquelle on peut charger et décharger les pièces, et un dispositif de fermeture de cette ouverture, ce dispositif comprenant un premier panneau mobile sus ceptible d'occuper et de quitter une position dans laquelle il recouvre l'ouverture, et un deuxième panneau mobile en matière souple dont une extrémité est fixée au premier pan neau et dont l'autre extrémité est fixée de ma nière que le mouvement du premier panneau entraîne le second panneau et lui fasse occuper ou quitter une position de recouvrement de l'ouverture, position écartée de la position cor respondante du premier panneau. SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Machine selon la revendication, caracté risée en ce que le deuxième panneau est un rideau de caoutchouc formant une boucle entre ses supports, et en ce qu'un organe tend à ame ner la boucle dans la position de recouvrement de l'ouverture. 2. Machine selon la revendication, caracté risée en ce que le premier panneau est un ri deau coulissant constitué par une toile métalli que recouverte de caoutchouc. 3.
    Machine selon la revendication, caracté risée en ce qu'elle comprend un transporteur de retournement des pièces, un dispositif de pro jection disposé de manière à diriger les parti cules abrasives sur les pièces retournées par le transporteur, un carter renfermant le transpor teur et le dispositif de projection, une ouverture prévue dans le carter près du transporteur et destinée au chargement et au déchargement des pièces, un panneau coulissant susceptible de descendre par-dessus l'intérieur du carter pour recouvrir l'ouverture, un rideau souple dont une extrémité est fixée au-dessus de l'ouverture et à l'intérieur du carter et dont l'autre extré mité est fixée au panneau coulissant de manière à pouvoir descendre et recouvrir l'ouverture en même temps que le panneau,
    la partie intermé diaire du rideau étant suspendue librement entre lesdites extrémités, et un rouleau formant contrepoids qui repose sur la portion intermé diaire du rideau de manière que celui-ci en des cendant vienne pendre très prés du transporteur et constitue, vis-à-vis des particules abrasives, une surface formant chicane et écartée du pan neau vers l'intérieur. 4.
    Machine selon la sous-revendication 3, caractérisée en ce que le panneau coulissant est constitué par une toile métallique recouverte de caoutchouc sur sa face intérieure et s'enroule sur un rouleau au-dessus de l'ouverture, dont le bord intérieur est dépourvu de butée pour ledit panneau, le rideau est en caoutchouc avec des perforations prévues dans sa portion pendante la plus basse pour laisser passer les particules abrasives, et le contrepoids est un rouleau comportant des nervures périphériques espa cées. 5. Machine selon la sous-revendication 3, caractérisée en ce que la surface extérieure du transporteur est en caoutchouc perforé. 6. Machine selon la sous-revendication 3, caractérisée en ce que le transporteur est cons titué par une série de plaques métalliques re liées entre elles. 7.
    Machine selon la sous-revendication 4, caractérisée en ce que le rouleau sur lequel s'enroule le panneau coulissant est actionné pour faire monter et descendre ledit panneau, un mécanisme à rochet maintenu par frotte ment étant inclus dans la commande de ce rouleau de manière à n'appliquer une résis tance de frottement que pendant l'abaissement du panneau. 8.
    Machine selon la sous-revendication 3, caractérisée en ce que le transporteur est cons titué par une série de plaques supportées entre deux chaînes, qui passent sur des roues dentées espacées et sont maintenues en forme de bou cle par deux guides opposés de déflexion, cha que plaque comportant une portion générale ment linéaire de support des pièces avec un bras d'engagement de la chaîne à chaque extré mité, ce bras étant déporté par rapport à la portion linéaire de manière à s'ajuster derrière le guide de déflexion et à s'appuyer d'une ma nière étanche contre celui-ci pendant que les pièces sont déplacées dans la boucle. 9.
    Machine selon la sous-revendication 8, caractérisée en ce que les parties linéaires des différentes plaques sont très voisines les unes des autres et comportent des dentelures en prises les unes avec les autres. ' 10. Machine selon la sous-revendication 3, caractérisée en ce qu'un volet de déflection est disposé à l'intérieur du carter, à la partie infé- rieure de l'ouverture, ledit volet étant équilibré de manière à pivoter vers le haut à l'intérieur du carter pendant le sablage et à pivoter auto matiquement vers le bas pour venir occuper une position extérieure quand il reçoit une pièce tombant du transporteur. 11.
    Machine selon la revendication, carac térisée en ce qu'elle comprend un transporteur en caoutchouc perforé se présentant sous la forme d'une courroie sans fin passant sur une série de rouleaux disposés suivant une courbe, et des disques de guidage rotatifs dont les bords engagent une partie du transporteur dans la partie creuse et courbe de celui-ci de manière à former dans le transporteur une boucle des tinée à recevoir les pièces, ces disques pouvant tourner autour d'axes qui sont inclinés par rap port à l'horizontale de manière que les disques soient déportés vers l'extérieur dans la partie centrale du transporteur, ce déport étant com pris entre 3 mm et 10 mm par rapport aux parties opposées des disques. 12.
    Machine selon la sous-revendication 11, caractérisée en ce que le transporteur est maintenu sur trois rouleaux, dont deux se trou vent dans les parties opposées des disques pour supporter un brin du transporteur et lui donner la forme d'une auge en U destinée à recevoir les pièces, cette auge en U étant inclinée d'en viron 45 par rapport à la verticale, et dont le troisième rouleau maintient le deuxième brin du transporteur éloigné du premier brin, un mécanisme de réglage étant connecté au troi sième rouleau pour maintenir la tension désirée du transporteur, ce mécanisme déplaçant le troisième rouleau dans une direction parallèle à celle que suit le transporteur quand il se dé place depuis le plus élevé des deux premiers rouleaux jusqu'au troisième rouleau. 13.
    Machine selon la sous-revendication 8, caractérisée en ce que les plaques sont articu lées sur les chaines en des points qui se trou vent approximativement sur le trajet des sur faces des plaques supportant les pièces à sabler.
CH318932D 1952-11-28 1953-11-28 Machine de sablage CH318932A (fr)

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
US322896A US2716310A (en) 1952-11-28 1952-11-28 Blasting apparatus

Publications (1)

Publication Number Publication Date
CH318932A true CH318932A (fr) 1957-01-31

Family

ID=23256909

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
CH318932D CH318932A (fr) 1952-11-28 1953-11-28 Machine de sablage

Country Status (3)

Country Link
US (1) US2716310A (fr)
CH (1) CH318932A (fr)
DE (1) DE1022491B (fr)

Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
FR2359047A1 (fr) * 1976-07-20 1978-02-17 Hunziker Werner Dispositif permettant le transport et la rotation continus de corps solides

Families Citing this family (13)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US2869291A (en) * 1955-05-03 1959-01-20 Michael Abraham Shot blasting machines
US2909012A (en) * 1957-01-28 1959-10-20 Wheelabrator Corp Link and flight bar assembly in a blasting machine
DE1119146B (de) * 1958-03-26 1961-12-07 Fischer Ag Georg Schleudereinrichtung
US3048947A (en) * 1959-07-23 1962-08-14 Pangborn Corp Abrasive blasting apparatus
US3081580A (en) * 1961-01-04 1963-03-19 Pangborn Corp Abrasive blasting apparatus
US3079735A (en) * 1961-03-24 1963-03-05 Bell Internat Corp Link and flight bar assembly
US3161991A (en) * 1963-01-14 1964-12-22 Pangborn Corp Abrasive blasting apparatus
US3691690A (en) * 1970-10-16 1972-09-19 Carborundum Co Abrasive blast cleaning arrangement
US3735532A (en) * 1971-05-04 1973-05-29 Workpiece treating apparatus
ZA818197B (en) * 1980-12-09 1982-10-27 Scapa Porritt Ltd Edge guard means for a link belt and a link belt embodying such means
US4476655A (en) * 1982-08-23 1984-10-16 Wheelabrator-Frye Inc. Link and flight assembly for blast treatment apparatus
EP2136967A2 (fr) * 2007-04-24 2009-12-30 Rösler Holding GMBH & CO. KG Convoyeur à bande en auge
DE102007027764B3 (de) * 2007-06-16 2008-06-19 Rösler, Matthias Muldenband-Strahlanlage zum Strahlen von Werkstücken

Family Cites Families (16)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
DE86264C (fr) *
US525526A (en) * 1894-09-04 Press
DE220557C (fr) *
US687870A (en) * 1901-05-23 1901-12-03 Charles W Smith Self-acting roller-blind.
US1822404A (en) * 1927-11-08 1931-09-08 Pangborn Corp Sand blast chamber door
US1882443A (en) * 1929-05-28 1932-10-11 American Foundry Equip Co Tumbling mill
US1833301A (en) * 1929-08-30 1931-11-24 American Foundry Equip Co Tumbling mill
US1966571A (en) * 1930-07-19 1934-07-17 Colt S Mfg Co Wet sand blast apparatus
US2281022A (en) * 1940-08-01 1942-04-28 Cavanaugh Thomas Joseph Shade construction
US2336660A (en) * 1941-04-28 1943-12-14 Mccaskey Register Co Roll top
US2330670A (en) * 1941-05-05 1943-09-28 Trailer Company Of America Sliding door
US2349368A (en) * 1941-08-16 1944-05-23 Charles L Myers Damper construction
US2563084A (en) * 1948-05-01 1951-08-07 American Wheelabrator & Equipm Continuous tumbling mill
US2628705A (en) * 1948-06-10 1953-02-17 Peterson Products Corp Slatted conveyer
US2533265A (en) * 1948-06-23 1950-12-12 Pangborn Corp Tumbling mill
US2611219A (en) * 1951-05-26 1952-09-23 Pangborn Corp Work blasting equipment

Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
FR2359047A1 (fr) * 1976-07-20 1978-02-17 Hunziker Werner Dispositif permettant le transport et la rotation continus de corps solides

Also Published As

Publication number Publication date
US2716310A (en) 1955-08-30
DE1022491B (de) 1958-01-09

Similar Documents

Publication Publication Date Title
CH318932A (fr) Machine de sablage
EP3283857B1 (fr) Dispositif de transport d&#39;objets et dispositif de convoyage et de pesée équipé de tels dispositifs de transport
FR2530590A1 (fr) Convoyeur helicoidal a rouleaux coniques entraines par courroie
WO2008155189A1 (fr) Dispositif de chargement de machines traitant des matieres en vrac
FR2541982A1 (fr) Appareil de transport de bobines
FR2531316A1 (fr) Dispositif de transport et de decharge de poissons
FR2586593A1 (fr) Machine de tri par grosseur d&#39;objets au moins approximativement a symetrie de rotation, en particulier d&#39;objets spheriques en vrac.
EP0081886B1 (fr) Procédé de chargement automatique de machines traitant des matières en vrac et dispositif pour la mise en oeuvre de ce procédé
EP1234618A1 (fr) Dispositif et procédé d&#39;extraction des corps étrangers mélangés aux fruits récoltés au sol.
EP0593730B1 (fr) Wagon tombereau auto-chargeable et auto-dechargeable
WO2014041312A1 (fr) Dispositif de déchargement progressif de charges superposées
BE888639A (fr) Dispositif d&#39;evacuation de feuilles ou tiges de vegetaux pour machine agricole munie d&#39;un organe de coupe.
FR2727096A1 (fr) Tremie d&#39;alimentation a bande
FR2493109A1 (fr) Dispositif destine a melanger les fourrages
FR2503597A1 (fr) Chariot de fausse barre pour installation de coulee continue de l&#39;acier
EP2835184A1 (fr) Dispositif de séparation de films a partir d&#39;une masse de déchets et installation de tri le comprenant
FR2549409A1 (fr) Dispositif de decoupage de plaques dans un materiau souple, notamment machine a decouper des bardes et a decouenner
FR2870214A1 (fr) Dispositif pour l&#39;ouverture automatique de contenants, notamment de sacs de detritus
BE498215A (fr)
BE621337A (fr)
BE528418A (fr)
FR3133113A3 (fr) Groupeur de balles de foin ou de végétaux similaires
FR2509116A1 (fr) Perfectionnements aux dispositifs de convoyage de fruits, notamment pour machines a vendanger
BE701562A (fr)
FR2488299A1 (fr) Installation de degrillage de cours d&#39;eau