CH301406A - Machine à coudre avec mécanisme boucleur et dispositif d'entraînement de l'ouvrage. - Google Patents

Description

  Machine à coudre avec mécanisme     boueleur    et dispositif     d'entraînement    de l'ouvrage.    La. présente invention a pour objet une  machine à.     coudre    du genre comprenant 1111  dispositif d'entraînement de     l'ouvrage,    au  moins une aiguille à mouvement alternatif,  un mécanisme boue]     eur    et un dispositif d'oscil  lation permettant de faire osciller ce méca  nisme boudeur suivant un mouvement dont  mie portion de la.

   trajectoire     intersecte    une       portion        chi    chemin décrit par l'aiguille dans  les     mouvements    alternatifs qu'elle effectue au       cours    de la formation d'un point, cette     ma-          eliillc:

      étant. caractérisée par le fait qu'elle  comprend un organe mobile servant à accou  pler le     méeallisnie        boueleur    avec le dispositif       d'oscillation    et un     débraveur    de     boueleur    ser  vant     ïi    faire mouvoir ledit organe mobile pour       désaccoupler    le mécanisme boudeur du dispo  sitif d'oscillation,

   ce     débraveur    étant mis dans       l'impossibilité    de provoquer un tel     désaccou-          plement    dudit mécanisme à tout instant de  la période au cours de laquelle l'aiguille     inter-          secte    la trajectoire     dudit    mécanisme.  



  Le dessin annexé représente, à titre d'exem  ples, une forme d'exécution de la machine à       coudre    selon l'invention, ainsi qu'une variante.  



       Fig.    1. est une vue en élévation d'une des  extrémités de ladite forme d'exécution, cer  taines pièces étant représentées en coupe et       d'autres    ayant été omises pour la clarté du  dessin.  



       Fig.    2 en est une coupe horizontale, la  plaque à étoffe ayant été enlevée pour mieux  faire voir certaines parties du mécanisme.         Fig.        2a    est. une vue de détail en coupe  par l'axe de l'arbre de commande principal  de la machine.  



       Fig.    3 et     3a    représentent, ensemble, une  vue de face de la machine, avec coupe et  arrachement partiels.  



       Fig.    3b est une coupe verticale par la ligne       3(ï-3a    de     fig.   <B>1.</B>  



       Fig.    4 est une vue en plan partielle, à     phis     grande échelle, montrant la relation qui existe  entre un mécanisme     boucleur    et des     déployeurs     de boucle que comprend ladite forme d'exé  cution.  



       Fig.    5 est. une vue en perspective repré  sentant, séparés les uns des     autres,    les élé  ments du mécanisme     boueleur    d'un dispositif  de débrayage de ce mécanisme.  



       Fig.    6, 7 et 8 sont des vues de détail illus  trant le fonctionnement du dispositif de dé  brayage des     boucleurs.     



       Fig.    9 est une vue semblable à la     fig.    5,  mais se rapportant à une variante, et       fig.    10 est une coupe verticale se rappor  tant à ladite variante.  



  Dans .la forme d'exécution représentée en       fig.    1 à 8, le bâti de la machine comprend  un socle 20 présentant une surface     porte-          ouvrage    22, d'une des     extrémités    de laquelle  s'élève une colonne 24 et au-dessus de laquelle  s'étend un bras en porte-à-faux 26 se termi  nant par une tête à aiguille 28. L'arbre de      commande principal de la     machine    est com  posé de deux sections alignées 30 et 32  (fi-. 2a.) reliées entre elles par un accouple  ment 34, cet. arbre s'étendant. dans la direction  longitudinale de la. machine, dans des coussi  nets formés dans le socle 20.

   Comme on le  voit aux     fig.    2 et 3, la section de droite 30  de l'arbre de commande principal fait saillie  hors du bâti et porte un ensemble 36 de volant  de     manceuvre    et de poulie par l'entremise  duquel de l'énergie motrice peut être fournie  à l'arbre principal à partir de toute source  appropriée. Cette section 30 comporte une por  tion à. manivelle 38 portant un collier d'excen  trique 40 qui est relié, par une bielle 42  s'élevant à l'intérieur de la colonne 24, à  l'extrémité de droite d'un levier à aiguille 44  pivotant en 46 à. l'intérieur du bras en     porte-          à-faux    26.

   Le levier à aiguille 44 s'étend vers  la gauche     (fig.        3a)    et pénètre dans la tête à  aiguille 28, où il est relié de     facon    pivotante  à une barre à aiguille 48 destinée à effectuer  un mouvement de     monte-et-baisse    dans ladite  tête 28 sous     l'influence    du pivotement du       elvier    à aiguille 44 lorsque l'arbre de com  mande principal tourne.  



  La barre à. aiguille 48 porte quatre aiguilles  50 fixées l'une par rapport à. l'autre dans un.  bâti 49 porté par la. barre à aiguille 48. On  pourrait prévoir d'autres formes d'exécution  présentant. un autre nombre d'aiguilles, par  exemple une seule.  



  Avec les aiguilles 50 coopère, en vue de  la formation simultanée de quatre lignes de  points de couture, un mécanisme boudeur,  indiqué de     facon    générale en 52, pourvu de  moyens permettant. à la machine de travailler  sur quatre fils de boudeur. Le mécanisme  boudeur est. du type à. deux mouvements et  est établi de manière à coopérer avec des     dé-          ployeurs    de boucle 54 portés par une barre  à     déployeurs    56 animée d'un mouvement alter  natif longitudinal. Comme représenté parti  culièrement à la fi-. 4, les     déployeurs    54  affectent la forme de doigts et sont prévus à  raison d'un doigt pour chacun des fils com  mandés par le mécanisme boudeur.

   Les     dé-          ploy#eurS    54 font     saillie        à,    travers des ouver-    turcs de la barre 56 et sont fixés dans cette  barre à. l'aide de vis 58. La barre à,     déployeurs     56 est montée dans des coussinets<B>(lu</B>     bàti    pour  y recevoir un mouvement. de va-et-vient longi  tudinal.

   A cette fin, elle est reliée par une       biellette    60     (fig.        3a)    à un bras     oseillani    62  fixé à un arbre oscillant 64 qui s'étend trans  versalement à la machine et est. animé d'un  mouvement. d'oscillation en     synchronisme    avec  l'oscillation du mécanisme     boucleur.     



  Comme on le voit à la     fig.    2,     l'arbre    64  s'étend en travers du bâti de la machine et  est supporté par     Lin    palier 66     auquel    est fixé  un bras oscillant 68     (fig.        2a-).    Le bras 68 est  relié à l'extrémité inférieure d'une bielle 70  portée par un collier d'excentrique 7 2 monté  sur un excentrique 74 qui est. fixé à la section  30 de l'arbre de commande principal. Grâce à  la liaison qui vient d'être décrite, il     est    évi  dent que la rotation de l'arbre principal aura  pour effet de communiquer un mouvement de  va-et-vient à la barre à     déployeurs    56.  



  Le mécanisme boudeur 52 est aussi animé  d'une oscillation sous l'influence de la rotation  de l'arbre de commande principal. A cet effet,  un arbre oscillant     porte-boucleurs    76 s'étend  dans la direction longitudinale de la machine  et est supporté par des paliers à l'intérieur du  bâti. L'arbre oscillant. 76 porte le mécanisme  boudeur 52 à. son extrémité avant et, près de  son extrémité arrière, un bras 78 (fi-. 5) qui  pivote en 80 sur une patte 82 formée sur un  collier d'excentrique 84 qui est monté sur un  excentrique 86 fixé à la section 30 de l'arbre  de commande principal.  



  A l'arbre oscillant     porte-boucleurs    76 est  aussi fixé un bras 88 de commande de     bou-          cleur,    qui est percé d'un trou 90 dans lequel  passe une pièce du mécanisme     boueleur    52,  lorsque ce mécanisme occupe la position vou  lue pour le travail.  



  Le mécanisme boudeur 52 comprend un  bâti     porte-boucleurs    92 percé d'un alésage 94  à     l'aïde    duquel il est monté de     facon    rotative  sur l'arbre oscillant     porte-boucleurs    76.

   Sur  le bâti 92 sont formées des oreilles espacées  96 et. 98 perforées pour recevoir un poussoir  pourvu d'une extrémité conique 102 des-           tinée    à être     redue    dans le trou 90 du bras 88  de     eomn    lande     Jde        boucleur.    Un ressort.

   104,       (]ont    l'une (les extrémités     s'appuie    contre       l'oreille    96 et dont l'autre prend     appui    contre       tin    rebord 106 fixé au     poussoir    100, sollicite       eel        ui-ei    vers une position telle que celle     re-          présentée    à la     fig.        -1,    dans laquelle l'extrémité  conique 102 est.     ,engagée.    à l'intérieur du trou  90.

   Dans cette position des pièces, le méca  nisme     bottcleur    52 est accouplé avec l'arbre  oscillant 76.A son extrémité opposée, le     pous-          sOir    100 est. pourvu d'une tête 108 à. l'aide de       la(lttelle    il petit être rappelé, à l'encontre (lu  ressort     10-l,    de manière à. dégager l'extrémité  conique 102 du trou 90 pour désaccoupler le  mécanisme     boucleur    52 d'avec le bras 88  actionnant le     boueleur.     



  Le bâti     porte-boucleurs    92 est pourvu  d'un rail ou barre de guidage 110 ayant une  section transversale en queue d'aronde et. sur  lequel petit être monté de façon réglable le       groupe    de tout nombre désiré de boudeurs  l l 2 et de protège-aiguilles     11.4.    Dans la forme  d'exécution représentée, quatre.     boudeurs    112  et quatre     protège-aiguilles        11.1    sont fixés dans  des positions de réglage désirées le long     dit     rail 110 par des vis 116.

   Bien que, dans  d'autres formes d'exécution, chacun. des     bou-          eleurs        11_2    et le     protège-aiguille    associé 114 pais  sent être individuellement réglables, le méca  nisme représenté est. établi en     vite    du réglage  par paires de ces éléments. Ainsi, deux cou  tures doubles     peuvent    être formées de telle  manière que la. distance séparant l'une de  l'autre soit réglée de la façon désirée, alors  (lue l'espacement à l'intérieur de chaque cou  ture reste contant..  



  Ainsi qu'il ressort en particulier d'un       examen    de la     fig.    1, le mécanisme boudeur       qui    vient d'être décrit occupe, au-dessous de  la plaque à étoffe, une position dans laquelle  il est relativement. inaccessible.

   Des moyens       permettent    de faire pivoter le mécanisme bott  eleur vers le bas et. vers la droite (en regar  dant la     fig.    1), clé manière à amener les     bott-          eleut:s        112    à des positions accessibles pour     l'en-          Filage.    Une telle position est représentée par  des lignes de traits discontinus à la     fig.    1.

   De    faon générale, dans la machine représentée,  il est possible de désaccoupler le     mécanisme          boueleur    52 d'avec l'arbre oscillant 76, de  façon que ce mécanisme puisse tourner libre  ment autour dudit arbre et être     ainsi    amené  par pivotement: à une position accessible,     ainsi     qu'il vient d'être dit. Le mécanisme d'accou  plement est.     pour-vu    d'un dispositif de mise  hors d'action qui agit de manière à empêcher  le mécanisme boudeur d'être amené, par un  mouvement de pivotement, à une position  d'enfilage lorsque d'autres parties de la ma  chine sont. dans (les positions telles qu'elles  risqueraient de faire obstacle à un tel mouve  ment.  



  Dans un cycle de formation de point, les  aiguilles 50 sont lancées vers le bas jusqu'à  une position dans laquelle les pointes des  aiguilles sont situées au-dessous des boudeurs  112, puis elles sont     ensuite    élevées jusqu'à une  position située au-dessus de la plaque à étoffe  22, comme représenté aux     fig.    6 et. 7. Dans ce  même temps, les     boucleurs    oscillent avec  l'arbre 76 dans un rapport de temps correct  avec le mouvement des aiguilles, de manière  à amener les fils des     boucleurs    à. droite des  aiguilles 50 (en regardant la     fig.    1).

   Les     dé-          ployeurs    de boucle<B>54</B> reçoivent ensuite un  mouvement dans la direction longitudinale de  la machine pour étaler les fils des     boucleurs     sous forme d'une boucle ouverte, afin que les  aiguilles et leurs fils d'aiguille puissent être  projetés vers le bas à travers ces boucles.  Après cette opération, les     boucleurs    revien  nent à leurs positions initiales de la     fig.    1.

    Pendant une portion de chaque cycle de tra  vail, les     aiguilles    50 sont par conséquent pro  jetées jusqu'en un point situé plus bas que le  niveau des     boucleurs    112 et, dans cette posi  tion, elles seraient rencontrées par certaines  pièces de l'ensemble des     boucleu@s    et des pro  tège-aiguilles si l'on tentait de faire pivoter  le mécanisme     boucleur    52 vers une position  d'enfilage.

   Le mécanisme d'enclenchement ou  de mise hors d'action mentionné précédem  ment est établi de telle sorte que le mécanisme       boucleur    ne puisse jamais être déplacé vers  la, position d'enfilage lorsque les aiguilles 50      se     trouvent    sur le chemin des     botteleurs    112.  Toutefois, pendant la portion du cycle dans  laquelle les aiguilles sont à ou près de leur  position haute, le mécanisme     boueleur    peut  être débrayé pour l'enfilage.  



  On se référera maintenant plus particu  lièrement. aux<U>fi-.</U> 5 à 8 pour la description  du mécanisme qui vient d'être décrit. La     fig.    5  représente, en perspective, les éléments du  mécanisme     boueleur    détachés les uns des  autres, ainsi que l'arbre oscillant 76 et diverses  autres pièces précédemment décrites.  



  A la     fig.    7, les aiguilles 50 sont situées  <B>,</B> lu  -dessus du mécanisme     boueleur,    de- sorte  que ce dernier peut. être amené par pivote  ment à une position d'enfilage, si on le désire.  A la     fig.    6, le mécanisme     boueleur    est. repré  senté comme     ayant    été amené par pivotement  à la position d'enfilage. A la     fig.    8, les aiguilles  50 ont été projetées vers le bas au-dessous du  niveau des     boudeurs    112 et, dans une telle  position, il n'est pas possible de faire pivoter  le mécanisme boudeur vers la droite sans  qu'il en     résulte.    une collision.

   On a représenté  sur ces     figures    un mécanisme d'enclenchement.  qui agit de manière à empêcher tonte possi  bilité de     désaccouplement    du mécanisme     bott-          eleur        lorsque    les pièces sont. à ou près de la  position représentée en fi-. 8, ce mécanisme  d'enclenchement permettant toutefois le dés  accouplement lorsque les pièces sont à ou près  de la. position représentée aux     fig.    6 et 7.  



  A cet effet, un arbre oscillant 118     (fig.        \?     et 3a) est monté de     faeon    rotative clans une  douille 120 fixée dans une ouverture de la  portion inférieure du bâti. Une des extrémités  de l'arbre oscillant 118 s'étend vers l'avant  jusqu'à une position où elle est accessible à  l'avant de la machine et. porte un bouton  moleté l22 à l'aide duquel on peut     manoeuvrer     l'arbre oscillant.

   L'arbre 118 peut aussi effec  tuer librement un mouvement coulissant limité  dans sa douille 120, la base du bouton 1.22 ser  vant à. limiter ce mouvement de l'arbre vers  l'intérieur de la machine et un anneau fendu  124 monté sur l'arbre 118 limitant le mouve  ment dudit arbre vers l'extérieur de la ma  chine.     Gomme    représenté à la.     fig.    2, l'extré-    mité     intérieure    de l'arbre oscillant     11_c    est  filetée pour recevoir une vis<B>126</B> à l'aide (le  laquelle un levier     1'28    est fixé à l'arbre     11@.     On se reportera     maintenant    à la     fig.    5, où l'on  voit.

   que le levier 128 est fourchu et     embrasse     le poussoir 100     dans    la     région    comprise     entre     la tête 1.08 et l'oreille 116. La longueur du  bras fourchu 128 est telle que ce bras reste  en, prise avec le poussoir 100 sur toute l'éten  due du mouvement de     pivotement    du méca  nisme     boucleur    5'3, à.

   la fois pendant le     foiie-          tionnement    normal de ce mécanisme et au  cours du     mouvement        dudit    mécanisme jusqu'à  la position     d'enfilage.    L     n    ressort 130 et une  rondelle 132 sont disposés entre l'oreille     116    et  la, face intérieure du levier fourchu 128 (voir       fig.    2). Le ressort. 130 est plus faible que le  ressort. 104 et. a uniquement pour rôle de  maintenir le levier fourchu 128 contre la tête  de la vis 108.  



  Il résulte de la.     construction    qui vient  d'être décrite que le bras 128 pivotera avec  le mécanisme     boucleur    52, mais clans le sens  opposé. Le levier 128 est pourvu d'une queue  134 qui pivote vers et à l'écart     d'une    position  où elle entre en contact. avec une dent 136  formée sur une console 138 fixée au bâti de  la machine     (fi-ç,.    2 et     3ct).    La queue 1.34 et  la dent 1.36 sont proportionnées (le telle sorte  que la queue reste au-dessous et à l'arrière  de la dent aussi longtemps que les aiguilles  50 sont situées au-dessous de la plaque à  étoffe à.

   une distance telle qu'elles risqueraient  de faire obstacle au     mouvement    du     mécanisme          boueleur    vers la position d'enfilage. Tant que  la     quelle        134    se trouve derrière la dent 136,  l'arbre oscillant 118 ne peut pas être tiré vers  l'extérieur et, par conséquent, le poussoir 100  ne peut pas non plus être tiré vers     l'avant     pour     débrayer    le mécanisme     boueleur        d'avec     le bras 88 (fi-.

   1,     3a.    et 8) actionnant le     bou-          cleur.    Pendant tout le temps que les aiguilles  50 sont situées au-dessus du niveau des bon  cleurs, la queue     1_31    est située au-dessus de la  dent 136 (voir les fi-. 6 et 7). Dans ces der  nières positions, l'arbre oscillant- 118 et. le  poussoir 100 peuvent. être tirés vers l'extérieur  pour dégager l'extrémité conique 102     dn    trou      90 et désaccoupler ainsi le mécanisme bou  eleur 52.  



  Lorsque le mécanisme     boueleur    a ainsi été  désaccouplé, on peut le faire     pivoter    dans le       yens        dextrorsum    (en regardant la     fig.    1), par       mie    rotation     sinistrorsum    du bouton 122, pour  amener ledit, mécanisme à une position     d'en-          Pila-e.    De plus, entre le bras de commande       ,

  qs'    et le     bâti    92 du     boueleur    est disposé un       ressort.    de     torsion        1.10    (voir     fig.    5) qui tend       constamment    à faire pivoter le bâti 92 dans  le sens     dextrorsum    ou vers la position d'enfi  lage.     Grâce    au ressort 140, le mécanisme     bou-          eleur    sera automatiquement débrayé chaque  fois que l'opérateur tirera le bouton 122, à  condition bien entendu que la queue 134 se  trouve au-dessus de la, dent.<B>136.</B>  



  Après avoir effectué l'enfilage des bou  cleurs 1.12, l'opérateur peut. faire tourner le  bouton 122 dans le sens     dextrorsum    pour ra  mener le mécanisme     boucleur    52 vers sa. posi  tion de travail. Lorsqu'une telle position se  trouve atteinte, le ressort 101 du poussoir 100  est. mis à. même de projeter l'extrémité conique  102 du poussoir     dans    le trou 90, ce qui accou  ple le mécanisme boudeur avec l'arbre oscil  lant 76.

   En     -çqie    de cette dernière opération,  il n'est, pas nécessaire de tirer le bouton 122,  puisque l'extrémité conique 1.02 du poussoir  1.00 se meut par une action de came en tra  vers de la face du bras de commande 88 du       boueleur    et, comprime le ressort 101 jusqu'à  ce que ladite extrémité ait. atteint la position  voulue pour s'engager     élastiquement    dans le  trou 90. En fait, il est. préférable que le bou  ton 122 soit. poussé vers l'intérieur pendant  le retour du mécanisme boudeur, une telle  opération étant possible en raison du fait que  le ressort plus faible 130 peut aisément être  comprimé. Cela évite le risque que le bouton  122 s'échappe des doigts de l'opérateur lorsque  le poussoir 100 pénètre dans le bras de com  mande 88.  



  Les     fig.    9 et 10 se rapportent à une va  riante dans laquelle un bouton de     manoeuvre     est monté sur une partie du bâti de la. ma  chine, des pièces coopérantes étant disposées  entre ce bouton et. le     boueleur,    ces divers élé-    menu n'étant. amenés à la position d'accouple  ment mutuel que lorsque le mécanisme     bou-          cleur    a été amené par pivotement. à. la. position  qu'il occupe lorsque les aiguilles sont hors du  chemin de ce mécanisme.

   Comme cette va  riante ne comporte pas de liaison permanente  entre le mécanisme     boucleur    et le bouton de       manoeuvre,    il est nécessaire qu'un ressort soit  prévu pour débrayer le     mécanisme        boueleur     lorsqu'il est. dégagé par le bouton de     manoeu-          v        re.    De plus, dans cette variante, le bouton  de     manoeuvre    ne peut pas être utilisé pour  ramener le mécanisme boudeur à sa position  initiale après l'enfilage, une telle opération  devant être effectuée manuellement.  



  Dans cette variante des     fig.    9 et 10, le  mécanisme     boucleur    52' peut. tourner libre  ment sur un arbre oscillant 76' pouvant. lui  même recevoir un mouvement oscillant d'un  mécanisme qui peut correspondre, dans tous  ses détails, à celui décrit ci-dessus au sujet  des     fig.    1 à 8. Un bras 88' de commande de       boucleur,    percé d'un trou 90'; est fixé à l'arbre  oscillant 76' et le mécanisme     boucleur    52' com  prend un poussoir 100' pourvu d'une extré  mité conique 102' destinée à s'engager dans le  trou 90' pour accoupler le mécanisme     bou-          cleur    avec. le bras oscillant 88'.

   Le poussoir  100' est pourvu d'un ressort de compression  104' qui repose sur une collerette 106' du pous  soir 100' de façon à solliciter constamment  ledit poussoir vers la droite, en regardant la       fig.    9.  



  Le poussoir 100' porte une tête 108' à la  quelle est fixé un anneau tronconique 142  dont le diamètre extérieur est beaucoup plus  grand que celui du poussoir 100'.  



  Un ressort de torsion 140', maintenu sous  tension entre le levier 88' et le mécanisme       boucleur    52', sollicite constamment ledit méca  nisme dans le sens     dextrorsum    autour de  l'arbre oscillant 76'. Ainsi, chaque fois que  le poussoir 100' est déplacé vers la. gauche (en  regardant la     fig.    9) pour dégager l'extrémité  conique 102' du trou 90', le mécanisme     bou-          cleur    pivote automatiquement vers l'avant jus  qu'à la position d'enfilage représentée en  traits mixtes à la     fig.    1.0.

        Dans cette variante, on évite tout. risque  de collision entre le mécanisme     boueleur    et  les     aiguilles    en donnant. à un bouton de     ma-          n#uv        re    une position telle qu'il ne puisse être       rnanoeuvré    de manière à     dégager    le poussoir  100' que     lorsque    les     aiguilles    sont hors du  chemin du boudeur ou occupent la. position  basse où il n'existe aucun risque de collision.  A cette fin, une tige     144    est montée pour  effectuer un mouvement de va-et-vient dans  une douille 116 fixée à une portion du socle  20.

   Cette tige     14-1    est pourvue d'un bouton  de     manoeuvre        1.48    à l'une de ses extrémités et  porte à son antre extrémité un anneau tron  conique 150 fixé à la tige par une vis 152.  Un ressort. de compression 151, disposé entre  l'extrémité de la douille 116 et un collet 156  de la tige     144,    sollicite constamment. cette tige  vers la droite, en regardant la     fig.    9.  



  Les dimensions et les positions relatives des  anneaux tronconiques     1-12    et 150 portés res  pectivement par le mécanisme     boueleur    52'  et par la tige     144    sont telles que des portions  de ces anneaux ne viennent en     alignement.     horizontal que lorsque le mécanisme     boucleur     a été amené par pivotement approximative  ment à une position telle que celle représentée  par des traits pleins à la     fig.    10.

   Lorsque ceci  a lieu, la. tige     114    peut être tirée vers l'exté  rieur, et le contact entre les surfaces plates  des anneaux 150 et 142 provoque un mouve  ment de recul du poussoir 100', ce qui dés  accouple le mécanisme     boucleur    d'avec le bras  88' actionnant le     boucleur,    après quoi le mé  canisme     boucleur    est. lancé vers l'avant jus  qu'à la position d'enfilage sous l'action du  ressort. de torsion 110'.

   Cette position a été  représentée en traits mixtes à la     fig.10.    Après       l'enfilage,    le mécanisme     boucleur    est ramené  à sa position de travail par une opération  manuelle au cours de laquelle l'extrémité co  nique 102' du poussoir 1.00' est déplacée par  une action de came en travers de la face 158  du levier 88' jusqu'à une position où il peut  pénétrer     élastiquement    dans le trou 90'.  



  Chaque fois que les aiguilles ont été proje  tées au-dessous de la plaque à étoffe et occu  pent une position telle qu'elles font obstacle    au     débrayage        du    mécanisme     houcleur,    il     île     peut y avoir aucun     alignement    horizontal entre  l'anneau     1.12    et     une    portion quelconque de  l'anneau 1.50, et il est par     conséquent    im  possible de désaccoupler ledit. mécanisme par  la.     manoeuvre        du    bouton 1.48.  



  Comme on le voit en     fig.    1, '2 et<B>'Da,</B> hi  forme d'exécution représentée     comprend        iiii     appareil de tirage ou     d'entraînement    de  l'étoffe particulièrement utile dans le cas  d'une machine à coudre à plusieurs     aiguilles     et à table plate dans laquelle les     boncleurs          oscillent.    en direction de l'entraînement de  l'étoffe. Cet appareil comprend une pièce de  sarde disposée de manière à empêcher l'étoffe  de suivre le rouleau d'entraînement inférieur       au-dessous    de la surface de la plaque     r    étoffe.  



  L'appareil dont il vient d'être.     question     comprend un rouleau d'entraînement 160       monté    dans     taie    chape 161 et     pourvu    (le dent       longitudinales    162.

   Ce rouleau est fixé à un  arbre 161 auquel est aussi fixée     aile    roue à       denture    hélicoïdale 166     engrenant.    avec une  roue hélicoïdale plus petite 168 fixée à un  arbre vertical 167 qui est actionné, par l'in  termédiaire d'un accouplement 169, à partir  d'un mécanisme     d'embraçage    170 qui com  munique une rotation     intermittente    et pas à  pas au rouleau     d'entraînement.    1.60.  



  L'arbre 161 du rouleau     d'entraînement    1.60  est monté dans la chape 161. qui est sollicitée       élastiquement    vers le bas par un ressort 163  tendant à amener le rouleau 1.60 à la posi  tion d'entraînement. Un levier 165,     pourvu     d'une came 171. qui est disposée de     manière     à buter contre une goupille 173 portée par la  chape 161, permet d'élever cette chape et le  rouleau     d'entraînement    160 lorsque cela est  désirable.  



  Un rouleau d'entraînement inférieur 17'  (fi-. 1 et 3b),     tournant    librement et     pour@-u     de dents longitudinales     1.71,    est porté par un  arbre 176 tournant librement     dans    des cous  sinets du socle 20 de la machine. Les     dents     1.74 ont les dimensions     voulues    pour engrener  avec les dents 162 du rouleau supérieur 160  lorsque ce dernier a été abaissé à sa position       (le    travail.

        Comme représenté clairement. à la     fig%    1,  le rouleau d'entraînement inférieur 17?     \pos-          sède    un diamètre tel que les fonds des dents       7-1    ne passent pas au-dessus du niveau du       1ilan    du     sommet    de la, plaque à étoffe     ??.     Dans le rouleau d'entraînement inférieur 173  est     pratiquée    une gorge     circonférentielle    178  (voir fi-.<I>eh)</I> dont. la profondeur est un peu       phis    grande que la hauteur des (lents     17-1,     dans un but qui sera décrit plus loin.  



  La plaque à étoffe     ?     présente une ouver  t     ure    (le forme générale     reetan        gulaire    180 la  1     raversant    (le part en part.

   Cette plaque est  recourbée vers le bas le long des bords     l.ongi-          tudinaux    de ]'ouverture     rectangulaire    180, de       manière    à former des lèvres arrondies 182       qui    font     légèrement    saillie au-dessous de la       surface    inférieure de la plaque à étoffe, en       coiistitttant    ainsi des bords arrondis lisses qui  s'étendent transversalement par rapport à la  direction de l'entraînement de l'étoffe.

   Une  pièce de     ,larde    en fil métallique 1.81 est     dis-          posée    en travers de l'ouverture 180 dans la  direction de l'entraînement de l'étoffe, de ma  nière qu'elle soit     engagée    dans la gorge 178 du  rouleau (l'entraînement inférieur ,<B>172.</B> La  pièce 781 est faite d'un fil métallique qui est  recourbé autour et au-dessous des lèvres     arron-          clies    I8?, les extrémités de ce fil pouvant être       fixées,    par exemple soudées, à cet endroit,  dans des évidements peu profonds de la sur  face inférieure de la plaque à étoffe     ,

  \32.    La  pièce de garde 184 occupe     suie    position telle  que la surface supérieure de la portion hori  zontale 185 de cette pièce soit située     sensible-          nient    dans le plan tangent     aux    fonds des dents  chi rouleau d'entraînement inférieur 17?, en  un point. voisin de la surface supérieure (le  la plaque à. étoffe     2\?    et parallèlement à cette       sui#i'ace.    De cette     fapon,    la partie centrale de  la pièce de garde en fil métallique est entière  ment située à l'intérieur de la gorge 178 du  rouleau     (l'entraînement    inférieur<B>172,</B> et il  n'est.

   pas nécessaire de rainurer le rouleau       (Pentraînement        :supérieur   <B>160.</B>  



  La portion horizontale 185 (le la. pièce de       uarde        l8-1-    a pour rôle d'empêcher l'étoffe de    suivre le rouleau inférieur 172 et de s'enga  ger dans l'ouverture 180, où elle serait sus  ceptible de s'enchevêtrer avec des pièces     tra-          vaillantes    de la machine. Il est évident que  plusieurs pièces de garde telles que celle indi  quée en     7.8-1    pourraient être prévues si on le  désire.  



  Le dispositif simple et efficace qui vient  d'être décrit, et qui comprend la pièce de  garde 181, est particulièrement utile dans une  machine du     ty        pe    général     précédemment.    décrit.  Il est évident. que, au moins dans certaines       positions    de     réglage,    les quatre lignes de  points de couture formées par cette machine  couvriront une largeur d'étoffe considérable  sur l'ouvrage. Les     rouleaux    d'entraînement.

    160 et 172 doivent par conséquent posséder  une longueur axiale suffisante pour s'étendre  en travers des lignes de couture lorsque  celles-ci sont. au     maximum    d'espacement, de  façon que l'étoffe soit tirée directement à  l'alignement. de toutes ces lignes. Avec des       rouleaux    d'une telle longueur, il     existe    un     phis          grand.    risque que l'étoffe tombe au-dessous de  celui des bords de l'ouverture 180 qui est le  plus distant, et la. pièce de garde 181 joue  ainsi un rôle particulièrement important.

Claims (1)

1. REVENDICATION: Machine à coudre du genre comprenant. Lin dispositif d'entraînement de l'ouvrage, au moins une aiguille à mouvement alternatif, Lui mécanisme boueleur et un dispositif d'oscil lation permettant de faire osciller ce méca nisme boucleur suivant un mouvement.

   dont une portion de la trajectoire intersecte une portion du chemin décrit par l'aiguille dans les mouvements alternatifs qu'elle effectue au cours de la formation d'un point, cette ma chine étant caractérisée par le fait qu'elle comprend un organe mobile servant à accou pler le mécanisme boucleur avec le dispositif d'oscillation et un débraveur de boucleur ser vant à faire mouvoir ledit.

   organe mobile pour désaccoupler le mécanisme boucleur du dispo sitif d'oscillation, ce débra,yeur étant mis dans l'impossibilité de provoquer Lin tel désaccou- plement dudit mécanisme à tout instant de la période ait cours de laquelle l'aiguille inter- secte la trajectoire dudit mécanisme. SOU S-RE VENDICATIONS 1..

   Machine selon la revendication, caracté risée par le fait. que le débrayeur de boudeur comprend des moyens permettant de faire mouvoir l'organe mobile pour désaccoupler le mécanisme boucleur du dispositif d'oscilla tion. 2.

   Machine selon la revendication, du genre comprenant une plaque à étoffe au-dessous de laquelle est disposé le mécanisme boucleur oscillant. qui coopère avec l'aiguille en vue de la formation de points clé couture, caractérisée par un dispositif servant à. faire mouvoir le mécanisme boucleur désaccouplé vers le bas et vers l'extérieur de la. plaque à étoffe jus qu'à une position facilement accessible pour l'enfilage et selon un trajet dont une portion au moins intersecte une partie de la trajec toire de l'aiguille. 3.

   Machine selon la revendication, du genre comprenant une aiguille à mouvement alternatif vertical coopérant avec un méca nisme boucleur monté pour osciller dans des plans verticaux en vue de la formation d'une ligne de points de couture, caractérisée par le fait que ledit organe mobile est un poussoir longitudinalement mobile porté par le méca nisme boucleur et qui, dans une de ses posi tions, est destiné à effectuer l'accouplement de ce mécanisme avec le dispositif d'oscillation. 4.

   Machine selon la revendication, du genre comprenant un dispositif servant à. effectuer l'entraînement d'un ouvrage dans une direc tion prédéterminée à travers la machine, carac térisée par le fait. que le mécanisme boucleur est monté pour osciller suivant une trajec toire qui est. parallèle à la. ligne d'entraîne ment de l'ouvrage. 5.

   Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 et 3, caractérisée par le fait que le dispositif d'oscillation du bou eleur comprend un bras oscillant percé d'une ouverture à. travers laquelle le poussoir lon- gitudinalement mobile porté par le mécanisme boucleiir est destiné, dans une de ses positions, à pénétrer pour accoupler le mécanisme bou- cleur avec le dispositif d'oscillation,

   qu'un organe élastique sollicite le poussoir vers cette position et que le débrayeur de boudeur com- prend des moyens pour faire mouvoir ledit poussoir longitudinalement en surmontant l'action dudit organe élastique, de manière à dégager ce poussoir de l'ouverture du bras oscillant.

   pour désaccoupler le mécanisme bou- cleur d'avec le dispositif d'oscillation et lui permettre, une fois désaccouplé, d'être amené librement à une position facilement accessible pour l'enfilage, des moyens mettant ledit dé braveur hors d'action à. tout instant de la période pendant laquelle ladite aiguille occupe une partie du trajet qu'elle décrit, intersee- tant la trajectoire du mécanisme boueleur. 6.

   Machine selon la revendication et les sous-revendieations 1, î) et :5, caractérisée par le fait que les moyens de mise hors d'action du débrayeur de boudeur comprennent un organe qui est mobile avec le dispositif bou- eleur pendant un cycle (le formation de point. 7.

   Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 3 et<B>)</B>, caractérisée par le fait que les moyens faisant mouvoir le poussoir longitudinalement en surmontant l'action de l'organe élastique sont constani- ment reliés à ce poussoir et comprennent un levier fourchu embrassant. ledit poussoir par sa fourche et un dispositif servant à faire tourner ce levier fourchu de manière à faire mouvoir le mécanisme boudeur désaccouplé dans une direction qui le rapproche ou l'éloi gne de sa position d'enfilage. 8.

   Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 3, 5 et 7, caractérisée en ce que les moyens faisant mouvoir le pous soir longitudinalement. comprennent. une tige longitudinalement mobile portée par le bai t i de la machine dans une position telle que le mécanisme boudeur oscille transversalement à l'axe longitudinal de ladite tige dans une direction qui le rapproche ou l'éloigne dudit axe pendant la formation des points. 9.

   Machine selon la revendication et. les soms-revendications 1, 3, 5 et 7, caractérisée par le fait que lesdits moyens faisant mouvoir le poussoir longitudinal comprennent un bou ton de manoeuvre accessible de l'extérieur de la machine, des moyens reliant constamment ledit, bouton de manceuvre audit poussoir et (lui comprennent un levier oscillant sous l'in- Iluence des mouvements qu'effectue le méca- nisnie boucleur dans un cycle de forma tion (le point,

   une butée qui est fixe par rap port au bati de la machine et une saillie por tée par ledit levier et oscillant avec lui, la relation entre cette saillie et ladite butée étant telle qu'elle empêche le désaecouplement du mécanisme boucleur à tout instant de la pé riode pendant laquelle ladite aiguille occupe toute portion du trajet qu'elle décrit inter- ,#ectant. la trajectoire du mécanisme boucleur. 10.

   Machine selon la revendication et les sous-revendications 1, 3 et 5, caractérisée en ce que les moyens faisant mouvoir le poussoir longitudinal comprennent une tige montée dans le bâti de la machine pour effectuer un mouvement de va-et-vient suivant une trajec toire fixe sensiblement parallèle au mouve- nient. du poussoir et des éléments portés res pectivement par le poussoir et par ladite tige et destinés à entrer mutuellement en prise en permettant de ce fait,

   au mouvement lon < -i- tudinal de la tige d'être transmis au poussoir, mais seulement lorsque, dans un cycle de for iuation de point, ledit mécanisme boudeur est. amené par son oscillation à. une position qu'il occupe pendant le temps que ladite aiguille occupe elle-même des positions situées à l'exté rieur de celle des parties du trajet qu'elle dé crit intersectant une partie quelconque de la trajectoire du mécanisme boueleur. 11.

   Machine selon la revendication, carac térisée par le fait. qu'elle comprend une série d'aiguilles, un mécanisme pour communiquer an mouvement. alternatif vertical à ces aiguilles, une plaque à étoffe, un mécanisme boudeur situé au-dessous de cette plaque et comprenant. tune série de boucleurs en nombre égal et. correspondant, respectivement.

   à la série d'aiguilles, un protège-aiguille associé à cha cun des boueleurs, ces boudeurs et les pro- tège-a.igLiilles associés étant montés pour oscil- ler dans des plans verticaux parallèles à la ligne d'entraînement de l'ouvrage, un dispo sitif servant à faire ainsi osciller le mécanisme boucleur de manière à faire coopérer les bou- cleurs et protège-aiguilles dans lesdits plans en vue de la formation d'une série de lignes parallèles de points de couture,

   certaines par ties des trajets suivis par les boudeurs au cours de leur oscillation intersectant des par ties des trajets des aiguilles, mais le réglage dans le temps du fonctionnement du dispo sitif d'oscillation du boucleur étant dans un rapport tel, avec le réglage dans le temps du fonctionnement du mécanisme de monte- et-baisse des aiguilles, que lesdites aiguilles et le mécanisme boucleur occupent les portions s'intersectant de leurs trajets respectifs à des instants différents d'un cycle .de formation de point,

   et un débrayeur de boucleur servant à désaccoupler le mécanisme boucleur de son dispositif d'oscillation et à faire pivoter ledit mécanisme vers le bas et vers l'extérieur de la plaque à étoffe jusqu'à une position aisé ment accessible pour l'enfilage des boucleurs, ledit débrayeur comprenant un bouton de ma- noeuvre accessible de l'extérieur de la ma chine, un poussoir à va-et-vient longitudinal porté par le mécanisme boucleur et dont une ,portion extrême est destinée, dans une cer taine position dudit poussoir,

   à effectuer l'accouplement entre le mécanisme boucleur et le dispositif d'oscillation, un levier fourchu qui est en prise par sa fourche avec le poussoir et relié rigidement au bouton de manceuvre pour maintenir une liaison constante entre le pous soir et ledit bouton, de telle sorte que le mouvement dudit bouton puisse provoquer le dégagement du poussoir d'avec le dispositif d'oscillation,

   et des moyens interposés sur le trajet d'une partie du débrayeur afin d'em pêcher celui-ci de se mouvoir pour désaccou pler le mécanisme boucleur à tout instant de la période au cours de laquelle les aiguilles occupent les parties de leurs trajets qui inter- sectent le trajet du mécanisme boucleur. 12.

   Machine selon la revendication et. la sous-revendication 11, caractérisée en ce que le dispositif d'entraînement de l'ouvrage coin- prend un rouleau denté situé sensiblement au-dessous de la plaque à étoffe, une ouver ture pratiquée dans cette plaque et à travers laquelle une portion de la. surface dentée dudit rouleau fait saillie au-dessus clé la, sur face de dessus de ladite plaque, une gorge eirconférentielle pratiquée dans ce rouleau ,et une pièce de garde s'étendant, transversale- ment par rapport à.

   l'axe du rouleau denté et s'engageant. dans ladite gorge, la surface supé rieure de cette pièce étant. sensiblement dans le plan de la face de dessus de ladite plaque à étoffe et ladite pièce de garde s'étendant 'i peu près entièrement en travers de ladite ouverture de cette plaque dans la direction (le la ligne d'entraînement de l'ouvrage.