CH282334A - Mécanisme d'entraînement, de renversement de marche et d'arrêt pour métier à tisser. - Google Patents

Mécanisme d'entraînement, de renversement de marche et d'arrêt pour métier à tisser.

Info

Publication number
CH282334A
CH282334A CH282334DA CH282334A CH 282334 A CH282334 A CH 282334A CH 282334D A CH282334D A CH 282334DA CH 282334 A CH282334 A CH 282334A
Authority
CH
Switzerland
Prior art keywords
loom
shuttle
mechanism according
movement
sub
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Inventor
Anonyme Etablissements Societe
Original Assignee
Fumat Societe Anonyme Ets
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Fumat Societe Anonyme Ets filed Critical Fumat Societe Anonyme Ets
Publication of CH282334A publication Critical patent/CH282334A/fr

Links

Classifications

    • DTEXTILES; PAPER
    • D03WEAVING
    • D03DWOVEN FABRICS; METHODS OF WEAVING; LOOMS
    • D03D51/00Driving, starting, or stopping arrangements; Automatic stop motions
    • D03D51/02General arrangements of driving mechanism

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Looms (AREA)

Description


  Mécanisme d'entraînement, de renversement de marche et d'arrêt pour métier à tisser.    La commande des métiers à tisser par mo  teur individuel a. généralisé l'emploi, sur  chaque métier, d'un embrayage à friction  placé sur l'arbre vilebrequin. Un embrayage  de ce genre comporte, en général, deux pla  teaux en fonte, dont l'un est claveté sur  l'arbre et l'autre est monté fou avec une cou  ronne dentée de grand diamètre qui reçoit di  rectement son mouvement d'un moteur à fort  couple tournant à une vitesse de 950 tours/.  minute; la construction en est relativement  onéreuse.  



  En raison de leurs diamètres, ces em  brayages sont, des pièces lourdes et encom  brantes qui alourdissent la marche du métier  et. engendrent de grandes inerties lors des  arrêts brusques ou rapides provoqués par un  buttoir ou par un casse-trame. D'autre part,  les perfectionnements dont sont dotés les mé  tiers modernes, tels que la marche arrière,  par exemple, entraînent la fabrication d'un  certain nombre de pièces et embrayages spé  ciaux qui compliquent le matériel.  



  L'invention a pour objet un mécanisme  d'entraînement., de renversement de marche et  d'arrêt pour métier à. tisser, caractérisé en ce  qu'il comprend un     organe    destiné à être dé  placé lorsque la navette est correctement en  place à la fin de sa course, tandis que l'absence  de déplacement de cet organe du fait d'une  position     incorrecte    de la navette en fin de  course entraîne le déplacement d'une came  libérant un frein et actionne simultanément    un levier déplaçant un embrayage d'une posi  tion correspondant à la marche avant du mé  tier à une position correspondant à la marche  arrière du métier.  



  Le dessin schématique annexé représente,  à titre d'exemples, deux formes d'exécution du  mécanisme faisant l'objet de l'invention:       Fig.    1 et. 2 sont des vues en élévation de  l'ensemble moteur d'un métier, respectivement  de face et de profil.  



       Fig.    3 est une vue développée en coupe  suivant 3-3 de     fig.    2.  



       Fig.    4 est, à échelle agrandie, une vue de  détail de l'articulation d'une commande d'em  brayage.  



       Fig.    5 est une vue en élévation de ce mé  tier, muni d'une première forme d'exécution  du mécanisme selon l'invention, une tringle de  commande étant en position embrayée pour la  marche normale avant l'arrivée de la navette  dans sa boîte.  



       Fig.    6 est une vue partielle, la navette  étant. dans sa boîte.  



       Fig.    7 et 8 sont des vues en élévation ana  logues, lorsque la tringle de commande est en  position respectivement de marche arrière et  de débrayage.  



       Fig.    9 est une vue partielle se rapportant  à une deuxième forme d'exécution à commande  électromécanique.  



  Fis. 10 est un schéma, des connexions élec  triques de cette deuxième forme d'exécution.           Fig.    11 est une vue     partielle    montrant le  contacteur ouvert par la présence en bonne  position de la. navette dans sa boîte.  



  Le métier à tisser auquel est appliquée la  première forme d'exécution du mécanisme  comprend un moteur électrique tournant à  1.500 tours qui est de construction courante.  Il en résulte donc, de ce chef, une économie  tant sur l'achat que sur la consommation par       rapport,    au type de moteur actuellement uti  lisé.  



  Le moteur électrique 2     (fig.    1) entraînant  le métier, par l'intermédiaire dudit mécanisme,  est fixé au-dessus d'un carter 96, étanche, où  tournent dans l'huile trois arbres 4, 5 et 6       (fig.    3) porteurs de pignons démultiplica  teurs.  



  L'arbre principal 4 porte, à l'extérieur,  une poulie à gorge 7 qui reçoit sa commande  d'une poulie 8     (fig.    1 et 2) du moteur 2 par  l'intermédiaire d'une courroie 9. Sur cet arbre  4 sont placés deux embrayages 11 et 12       (fig.    3).  



  L'un, pour la marche avant, actionne di  rectement, par un pignon d'embrayage 13, un  pignon 14 calé sur l'arbre de sortie 6 portant       aussi    une poulie à gorges 15 qui entraîne, par  l'intermédiaire d'une courroie 16     (fig.    1 et 2),  un volant ou poulie à gorges 17 fixé sur  l'arbre vilebrequin 90 du métier 51     (fig.    5).  



  L'autre embrayage commande la marche  arrière du métier à vitesse réduite par l'inter  médiaire d'un pignon d'embrayage 19. Ce pi  gnon 19, entraîné par les disques d'em  brayage, non représentés sur le dessin, engrène  avec un pignon 21 solidaire d'un pignon 22  qui, calé sur l'arbre 5 de renversement de  marche, engrène avec un pignon 23 calé sur  l'arbre 6. de sortie.  



  La commande de chacun des deux pignons  d'embrayage, l'un pour la marche avant et  l'autre pour la marche arrière, se fait par un  levier unique 24     (fig.    5) dont la position dé  brayée se trouve entre les deux positions  extrêmes de sa course     24a    et     24b.     



  Le déplacement du levier 24, en oscillant  dans un sens ou dans l'autre, autour du tou  rillon 25     (fig.    5 et 7), actionne par son extré-         mité    26 une tringle de commande 58 qui, par  un levier de renvoi 88, un arbre 87, un autre  levier de renvoi 94, une bielle 95 et une mani  velle de commande d'embrayage 33 qui fait  osciller un arbre 34, commande     l'embrayage     de l'un ou l'autre des     pignons    13 ou 19. Par  un levier manivelle 35     (flg.    4) calé sur lui,  l'arbre 34 commande, en effet, le déplacement  d'un patin d'embrayage 36 qui est ainsi amené  en prise avec l'un ou l'autre des embrayages  11 ou 12.  



  Cet embrayage est d'une grande puissance  tout en étant très simple. La commodité de sa       manceuvre    permet de faire déplacer le battant  du métier par petite fraction et l'amener à la  position désirable en actionnant plus ou moins  à, fond le levier d'embrayage.  



  La possibilité de mettre en place cet em  brayage sur la partie inférieure et à l'arrière  du métier libère la. fusée de l'arbre vilebre  quin de toutes les commandes actuelles. Il en  résulte pour le métier fini un aspect plus dé  gagé et une grande simplification dans sa  fabrication.  



  Un bon entraînement. et une marche régu  lière sont assurés par le grand rapport, pou  vant aller de 1 à 8, entre la vitesse du moteur  et l'arbre du métier dans le cas d'un métier  tournant à 180 tours.  



       Les    principaux avantages de cet, embrayage  sont une grande démultiplication dans la com  mande, le renversement de marche indépen  dant du métier et la suppression sur le métier  d'organes susceptibles de créer des inerties  nuisant à sa. marche et à son arrêt.  



  Lorsque, par suite d'un incident, la posi  tion de la navette, à. son arrivée, est incorrecte,  un dispositif assurant l'arrêt automatique  immédiat du battant, par freinage et renver  sement de marche à commande simultanée,  permet la suppression des buttoirs. Une bosse  de la boîte à navette actionne ce dispositif.  



  Dans la forme d'exécution des     fig.    1 à 8,  qui est à. commande mécanique, la. bosse 41       (fig.    5) de la boîte à navette 42 commande,  par un levier 43, pivotant en 44, le bras 45  d'un levier 46 coudé, pivotant en 47 et dont  l'extrémité 48 de l'autre bras constitue une      butée mobile placée sous le battant. 49 et dé  crivant avec lui une trajectoire     A-A'.     



  Sur le bâti 57 est fixé, pour pivoter en 52,  un levier 53 qui, au repos, est rappelé par un       ressort    54 pour occuper la position à peu près  verticale montrée en     fig.    5. A sa partie supé  rieure, ce levier 53 comporte un bec 55;à sa  partie inférieure, son extrémité 56 est. au con  tact ou au voisinage très immédiat d'une bu  tée 57 fixée sur la tringle de commande 58  de l'embrayage.  



  Après avoir effectué totalement son par  cours, la navette 59     (fig.    6) occupe sa. place  normale dans la boîte 42. La bosse 41 est  alors repoussée dans le sens de la flèche 61       (fig.    6), la butée mobile 48 oscillant avec le  battant 49 est ainsi soulevée et passe librement.  au-dessus du bec 55.  



  Par contre, si la. navette 59 n'est pas à sa  place contre la bosse 41 dans la boîte 42, la  butée 48, qui n'est pas soulevée par le levier  43, reste en position baissée     (fig.    7) et dans       sa    trajectoire rencontre le bec 55 du levier 53.  Il en     résulte    un choc sous l'influence duquel  le levier 53 pivote dans le sens de la flèche  62     (fig.    7), de telle sorte que son extrémité  inférieure 56 repousse la tringle de commande  58, dans le sens de la flèche 63, par l'inter  médiaire de la butée 57 fixée sur elle.  



  Dans ce sens, la     manoeuvre    de la tringle  58 commande simultanément le déclenchement.  du freinage et le renversement de marche,  suivi de l'arrêt.  



  Le freinage est obtenu au moyen d'un  frein 64 à ruban d'acier, du type connu,     auto-          serreur,    ayant un brin 65 fixé en 67 et un  brin mobile 68 amarré à un levier 69 pivotant  en 71 dans le cas où le tambour 72, sur lequel  le ruban agit, tourne dans le sens de la flèche  73     (fig.    5). Le levier 69 de commande du  frein est solidaire d'un autre levier 74 ayant  même pivot et comportant. deux branches. A  l'extrémité de l'une 75 est. amarrée l'extrémité  76 d'un ressort 77 dont l'autre extrémité 78  est amarrée à un point fixe quelconque 79.  Afin de pouvoir régler l'effort de traction du  ressort. 77, son extrémité 76 peut être dépla  cée dans les crans d'une crémaillère 81.

   A    l'extrémité de l'autre branche 82 est fixé un  galet 83 tournant autour d'un pivot 84 et  pouvant venir au contact.     du    bossage 85     d'une     came 86 fixée sur un arbre 87 dont la rota  tion est commandée par une manivelle 88 arti  culée en 89 à la tringle 58.  



  En présentant son bossage 85     (fig.    5) sous  le galet 83, la came 86 annule l'effort de trac  tion du ressort. 77 en soulevant le levier 74.  Le métier, libéré de tout frein, peut travailler  normalement.  



  A n contraire, la came 86 ayant pivoté dans  le sens de la flèche 91     (fig.    7), le galet 83  abandonne le bossage 85 et tombe dans le  creux 92, le ressort 77 tire alors sur le bras  75 du levier 74 dans le sens de la flèche 93  et provoque le freinage très énergique du mé  tier en marche normale.  



  Il y a lieu de noter qu'un frein à ruban  de ce type n'agit pratiquement pas sur le mé  tier lorsque celui-ci est. en marche arrière.  



  Sur l'arbre 87 portant la came 86 est aussi  calée une manivelle 94 qui est articulée, par  une bielle 95, à la manivelle 33 calée sur  l'arbre 34 commandant le débrayage et l'em  brayage dans les deux sens de marche au  moyen des organes contenus dans le carter 96.  



  Le déplacement rapide, à fin de course, de  la. tringle 58 dans le sens de la flèche 63       (fig.    7) provoque, simultanément au freinage  qui vient d'être décrit, le renversement de  marche en faisant. osciller à fond de course la  manivelle 95.  



  L'arbre vilebrequin 90 du métier tourne  alors en marche arrière dans le sens inverse  de la flèche 73 (fi-. 7) jusqu'au moment où  le battant se trouve à sa position extrême  arrière correspondant à. peu près à     sa    position  horizontale.  



  Ayant atteint cette position, le métier est  arrêté, car la tringle de     manoeuvre    58 est ra  menée à sa position moyenne, c'est-à-dire celle  correspondant à la. position de débrayage       (fig.    8) par un mouvement dans le sens in  verse de la flèche 63 provoqué par l'action  d'une came 98, à deux     bossages    de forme  appropriée, calée sur l'arbre de chasse 97. Le  bossage 99 de cette came 98, en tournant dans      le sens de la flèche 101, repousse une butée  102 fixée sur la tringle 58.  



  L'action du bossage 99 de la came 98  contre cette butée 102 s'oppose à la remise du  métier en marche arrière. Par contre, rien ne  s'oppose à la remise du métier en marche  avant, la butée 102 occupant la position mon  trée en     fig.    5 et laissant ainsi libre passage  aux bossages de la came 98.  



  Pour que la tringle 58 s'arrête     toujoups     automatiquement dans la position correspon  dant au débrayage provoquant l'arrêt. complet  du métier et y reste, en un point de sa lon  gueur, ladite tringle 58 comporte une encoche  103 dans laquelle pénètre un galet 104 fixé à  l'extrémité d'un levier 105, rappelé contre  cette tringle par un ressort 106.  



  Ce mécanisme permet notamment la sup  pression et le remplacement des buttoirs, cou  ramment employés sur les métiers à tisser  connus, pour arrêter brusquement le mouve  ment du battant dans le cas où la navette n'a  pas effectué intégralement son parcours sur le  battant. 49.  



  Le renversement instantané de marche en  arrière du métier est. possible grâce à la  grande démultiplication de l'embrayage tra  vaillant dans ce sens. D'autre part, il n'est  pas gêné par le frein     auto-serreur    dont l'ac  tion ne se fait sentir que pour la. marche en  avant correspondant, au sens de rotation indi  qué par la flèche 73     (fig.    5).  



  Les dispositifs de buttoirs sont à peu près  identiques sur tous les métiers les plus connus  et comprennent toujours     tune    patte rencon  trant un buttoir lorsque le dispositif de dé  brayage doit être actionné. Or, si l'action de  ces buttoirs n'est pas toujours très sure, elle  est très dangereuse pour les bâtis de métiers  qui doivent amortir en un seul point un choc  assez violent qui, parfois, les détériore. De  plus, la masse, constituée par la tringle de  buttoir des mécanismes actuels, entraîne l'obli  gation d'accroître l'effort, de chasse du métier,  ce qui augmente la difficulté de réglage.  



  Dans une autre forme d'exécution du     mé-          eanisme    selon l'invention, à laquelle se rappor  tent les     fig.    9 à 11, la tringle 58 de commande    peut être actionnée électriquement au lieu de  l'être     mécaniquement.     



  Dans ce cas, l'action purement mécanique  est remplacée par la fermeture d'un circuit.  électrique comportant. un électro-aimant<B>11.1</B>       (fig.    9) qui attire un noyau comportant une  tige 112 avec une coulisse 113. Un tourillon       114,    monté sur la manivelle 94 calée sur  l'arbre 87 portant la came de freinage 86,  passe dans la coulisse 113. Lorsque le noyau  est attiré vers le bas par l'électro-aimant 111,  le choc de l'extrémité 117 de la coulisse 113  sur ledit tourillon 114     provoque    la rotation de  la manivelle 94 dans le sens de la flèche 118  simultanément à. celle de ladite came 86.  



  Le mouvement en résultant étant identique  à celui provoqué mécaniquement produit. les  mêmes effets de freinage, renversement. de  marche et arrêt.  



  Un schéma de connexions pouvant être  réalisées est montré en     fig.    10 et comporte,  notamment, un contacteur 119 commandé par  le mouvement de la bosse 47. Ce     contacteur     étant toujours en position de fermeture, le  circuit de     l'électro-aimant    doit être     interrompu     par un dispositif le     fermant    périodiquement à  l'instant où la navette doit se trouver dans la  boîte 42. Dans ce but, un distributeur rotatif  121 est. calé sur l'arbre vilebrequin 97.  



  Le remplacement des      doi-,tieu@s     de com  mande par ce contact électrique facilite le ré  glage du mouvement de la chasse, car les  bosses agissent simplement pour freiner nor  malement la navette.  



  En aucun cas, mécanique ou électrique, il  n'y a, d'effort supplémentaire appréciable frei  nant l'arrivée de la navette.  



  Le même dispositif de débrayage et. frei  nage peut encore être actionné de la même  faon par tout autre organe de sécurité tel  que: casse-chaîne, casse-trame,     ete.     



  Les mécanismes décrits présentent. tous les  avantages des dispositifs similaires connus,  tout en étant d'une fabrication beaucoup plus  simple et d'un entretien facile.  



  Au moyen d'une commande unique, ces  mécanismes permettent     donc    d'obtenir la  marche avant à vitesse normale, la marche           arriére    à vitesse réduite et le débrayage dit  métier. Le renversement de marche peut être  obtenu instantanément, grâce à la grande dé  multiplication de l'embrayage travaillant en  marche arrière.  



  Le dispositif de commande automatique  du freinage du mouvement du métier permet  son arrêt, à pas ouvert, lorsque cet arrêt est  rendu nécessaire par un incident survenu en  cours de fonctionnement.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Mécanisme d'entraînement. de renverse ment de marche et d'arrêt. pour métier à tis ser, caractérisé en ce qu'il comprend un or gane destiné à être déplacé lorsque la navette est. correctement en place à la fin de sa course, tandis que l'absence de déplacement de cet organe du fait d'une position incorrecte de la navette en fin de course entraîne le déplacement d'une came libérant un frein et actionne simultanément un levier déplaçant. un embrayage d'une position correspondant. à la marche avant du métier à une position cor respondant à la marche arrière du métier. <B>SOUS-REVENDICATIONS:</B> 1. Mécanisme selon la revendication, carac térisé en ce que le déplacement de la came est provoqué mécaniquement.
    2. Mécanisme selon la revendication, carac térisé en ce que le déplacement de la came est provoqué électriquement. 3. Mécanisme selon la revendication et la sous-revendication 1, caractérisé en ce que ledit organe, laissé en position d'intervention par la position incorrecte de la navette, actionne le frein et, simultanément, déplace une tringle de commande de la position de marche normale à celle de marche arrière. 4.
    Mécanisme selon la revendication et les sous-revendications 1 et 3, caractérisé en ce que le déplacement de la tringle de com mande, en dehors de la position de marche normale, fait pivoter une came placée sous son contrôle et dont le bossage, en s'effaçant, libère le frein du métier. 5.
    Mécanisme selon la revendication et les sous-revendieations 1 et 3, caractérisé en ce que le bossage d'une came placée sur l'arbre de chasse du métier agit, lors du renversement de marche, contre une butée fixée à la tringle pour la repousser de la position de marche arrière à. la position neutre, dans laquelle la dite tringle est maintenue par la chute, dans une encoche, d'un galet rappelé contre elle par un effort antagoniste. 6.
    Mécanisme selon la revendication et les sous-revendications 1 et 3, caractérisé en ce que la tringle de commande est actionnée par un levier la repoussant, lorsque la position in correcte de la navette laisse venir au contact d'un bec de ce levier tune butée oscillant avec le battant.
    7. Mécanisme selon la revendication et la sous-revendieation 2, caractérisé en ce que la position incorrecte de la navette agit sur un contacteur placé dans le circuit. d'un électro aimant que ferme périodiquement un distri buteur de courant commandé par le mouve ment du métier, l'armature mobile de l'élec- tro-aimant étant. accouplée à une tringle de commande.
CH282334D 1948-02-11 1949-02-08 Mécanisme d'entraînement, de renversement de marche et d'arrêt pour métier à tisser. CH282334A (fr)

Applications Claiming Priority (2)

Application Number Priority Date Filing Date Title
FR282334X 1948-02-11
FR10249X 1949-02-01

Publications (1)

Publication Number Publication Date
CH282334A true CH282334A (fr) 1952-04-30

Family

ID=26175545

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
CH282334D CH282334A (fr) 1948-02-11 1949-02-08 Mécanisme d'entraînement, de renversement de marche et d'arrêt pour métier à tisser.

Country Status (1)

Country Link
CH (1) CH282334A (fr)

Similar Documents

Publication Publication Date Title
CH282334A (fr) Mécanisme d&#39;entraînement, de renversement de marche et d&#39;arrêt pour métier à tisser.
CH626666A5 (fr)
FR2475092A1 (fr) Racleur a dragline fonctionnant en mode manuel ou en mode automatique
EP0028577B1 (fr) Dispositif de commande d&#39;un système d&#39;étirage de mèches de fibres
FR2475659A1 (fr) Mecanisme d&#39;embrayage a rattrapage d&#39;usure
BE487288A (fr)
FR2563654A1 (fr) Commande d&#39;interrupteur electrique a roue et vis sans fin et accumulation d&#39;energie par ressort
CH229883A (fr) Changement de vitesse.
FR2770588A1 (fr) Dispositif de demarrage pour des moteurs a combustion interne
EP0247915A1 (fr) Dispositif mécanique pour les mouvements alternes d&#39;un pilon ou d&#39;un mouton de battage
CH159877A (fr) Tracteur avec treuil.
US1616031A (en) Timing device for centrifugal machines
JPS5834956Y2 (ja) シヤツタ−の落下防止装置
BE537057A (fr)
KR0141456B1 (ko) 세탁기의 세탁조 역회전 방지장치
FR1460087A (fr) Treuil du type vigneron
BE472548A (fr)
CH336962A (fr) Installation de commande de vérins assurant en conjugaison le déplacement progressif d&#39;une pièce, notamment d&#39;un coffrage glissant
FR2516558A1 (fr) Dispositif de freinage d&#39;une machine de formation de la foule
CH137249A (fr) Dispositif de remontage automatique, par le moyen d&#39;un moteur électrique, des ressorts moteurs de machines parlantes et autres machines mues par des ressorts.
BE401378A (fr)
CH582761A5 (en) Ring spinning machine - having mechanical clutch controlling circular rail lowering
BE397362A (fr)
BE392217A (fr)
CH93011A (fr) Compteur électrique.