CH126449A - Machine à tarauder. - Google Patents

Machine à tarauder.

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CH126449A
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Lucien Rouzet
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Lucien Rouzet
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Description


      Machine    à tarauder.    La machine faisant l'objet de la. présente  invention     s'applique    au taraudage des écrous  à six pans, carrés, ronds, boutons moletés,  bornes et toutes pièces similaires, notamment  des     pièces    de décolletage.  



  Son but est d'obtenir un travail correct,  rapide et continu par une     manoeuvre    des plus  simple, ne nécessitant aucune capacité pro  fessionnelle et .enfin -de pouvoir se prêter avec  un minimum de pièces accessoires à de nom  breuses transformations faciles en vue -de -di  verses applications.  



  Le dessin annexé, donné à titre d'exem  ple,     représente    une forme d'exécution de la  machine à tarauder suivant l'invention.  



  La     fig.    1 est une élévation schématique;  La     fig.    2 est une vue en bout, et  La     fig.    3 une section à travers un man  drin;  La     fig.    4 est une vue en bout et la     fig.    5  une coupe à travers une variante d'un man  drin à serrage automatique;  La     fig.    6 est un schéma montrant la  forme de l'extrémité du chien mobile du  mandrin,     fig.    4.    La machine représentée est constituée par  la. combinaison des trois pièces principales:  le taraud, le guide de     taraudage    et le man  -drin rotatif à entraînement automatique de la  pièce à tarauder.  



  Dans la.     fig.    1 du dessin annexé, le taraud  T est de la forme des tarauds dits d'enfi  lade, c'est-à-dire en forme de tige longue,  mais il se différencie de ceux-ci par les deux  points     suivants:    il est recourbé à sa partie  arrière H qui, en s'appuyant sur une butée,  empêche la rotation du taraud pendant la ro  tation de la pièce à tarauder tout en laissant  les pièces taraudées s'échapper librement  sans arrêt de la machine, et sa pointe avant  I comporte une partie effilée, sans trace de  filet, à l'avant du taraud, cette partie étant  de diamètre et .de longueur tels que la pièce       percée    E, à tarauder,     puisse    être engagée fa  cilement et complètement sur la pointe et y  reste librement sans coinçage.

   Après avoir  placé d'une main la pièce, par exemple un  écrou E, sur la pointe du taraud, on pousse  ce dernier de l'autre main par la partie ar  rière dans le sens de la flèche E. L'écrou E,      saisi par le mandrin     1l    s'engage sur la. par  tie taillée du taraud et arrive, après avoir  été ainsi taraudé, sur la tige lisse du taraud.  Il suffit alors de ramener le taraud en ar  rière, dans le sens inverse de la flèche     F    pour  pouvoir placer un nouvel écrou sur la pointe  et on continue ainsi la     manoeuvre    indéfini  ment.  



  Le guide .du taraud     comporte    un canon  cylindrique C enveloppant le taraud sur une  portion de sa partie rectiligne. Le diamètre  intérieur de ce canon est égal     @au        diamètre    du  cercle circonscrit à la pièce taraudée, aug  menté -d'un léger jeu afin     .de    permettre le dé  placement facile du taraud dans le sens de  l'axe. En arrière de ce canon se trouve une  pièce longitudinale B, par exemple une tige  placée au-dessous de l'axe du canon et for  mant butée pour la     partie    coudée du ta  raud.

   Le support     S    du canon et !de la pièce  d'arrêt B peut être constitué de façon quel  conque pour maintenir en place ces, deux der  nières pièces C et B, et     précisément,de    façon  que le canon C soit ;dirigé exactement sui  vant l'axe -de la machine. On comprend       qu'ainsi    disposé, l'arrêt longitudinal B empê  che le taraud de tourner,     mais    laisse com  plètement libre le mouvement de va-et-vient  de celui-ci dans le sens de l'axe.  



  Les pièces taraudées, en s'accumulant sur  la partie rectiligne du taraud passent par  l'alésage     @du    canon C et vont en avançant,  maintenant le taraud dans une position con  centrique à l'axe de la     machine-,    et lorsque  les pièces arrivent sur la. partie recourbée à  l'arrière, elles tombent librement dans le ré  cipient     B    qui peut être -disposé     én    dessous  afin de recueillir les pièces finies.  



  Pour le taraudage des pièces de différents  diamètres, il suffit d'avoir, au point de vue  des accessoires, un jeu -de canons alésés aux  diamètres convenables.  



  Le mandrin M porte deux alésages<I>D</I> et<I>d</I>  et la pièce à tarauder, placée sur le taraud,  quand elle pénètre à l'intérieur du mandrin,  vient s'appliquer sur les faces du fond du  premier alésage, qui la forcent à se placer  dans une position     correcte    pour le taraudage,    c'est-à-dire dans une position perpendiculaire  à l'axe de la machine, tandis que la pointe  affilée du taraud pénètre librement dans le  second alésage.  



  Dès son arrivée au fond du mandrin, la  pièce à tarauder est entraînée par -des parties  faisant saillie sur la surface intérieure     cylin-          -drique    du premier alésage, immédiatement en  avant -du fond de ce dernier, et les saillie  sont telles que le cercle tangent à ces derniè  res est de diamètre plus grand que celui du  cercle inscrit dans la. section .des pièces à ta  rauder, de sorte que ces dernières puissent  s'engager très facilement au fond -du man  drin.  



  Le mandrin M placé sur l'arbre A est en  traîné par un dispositif mécanique quelcon  que, par exemple l'arbre A peut être l'arbre  -d'un petit moteur électrique, ou encore,  comme représenté en     fig.    1, l'arbre A peut  être supporté par deux paliers et muni d'une  poulie P à étages, pour être     commandé    par  courroie.  



  Le mandrin peut prendre deux formes  différentes, suivant qu'il s'agit de tarauder  des pièces hexagonales, carrées, octogonales,  etc. ou des pièces rondes. Dans le premier  cas, il est constitué comme représenté dans  les     fig.    2 et 3, plus particulièrement pour des  p     ÎèGes    hexagonales. Deux trous concentriques,  i  dont les axes coïncident avec l'axe de rota  tion -de la machine, se font suite, l'un     de        dia:     mètre D et l'autre de diamètre     d        (fig.    3).

    Trois vis     V,,        V2,        V;;,    disposées à 120   dé  passent légèrement à l'intérieur du grand  trou et     un.    peu en avant de la surface du fond  de ce trou. Le diamètre d est supérieur au  diamètre du taraud, .de sorte que celui-ci peut  y pénétrer librement. Le grand trou est d'un  diamètre D un peu supérieur     @au    diamètre du  cercle circonscrit à     l'hexagone!    des     pièces    à  tarauder et le dépassement intérieur des trois  vis est réglé de façon que le cercle tangent  aux trois pointes et ces vis soit plus grand  que le cercle inscrit de l'hexagone.  



  On comprend que de cette façon, par exem  ple lorsqu'un écrou placé sur la pointe du      taraud est engagé dans le mandrin, cet  écrou vient buter sur la, surface     S     du fond et prend une position bien per  pendiculaire à l'axe de rotation. Les trois  pointes des vis V,,     V2,V3,    en formant saillie  sur la surface intérieure du grand trou, en  traînent l'écrou jusqu'à. ce qu'il soit taraudé  et qu'il passe sur la partie lisse du taraud,  ce que l'on sent immédiatement à la main,  par le fait qu'à la poussée sur le taraud on  ne sent plus -de résistance. Le retour en ar  rière du taraud s'effectue librement en  entraînant l'écrou au dehors du mandrin.

    Entre les vis V,,     V2,   <I>V3</I> sont aména  gées trois ouvertures 0,,     O2,    03, qui per  mettent aux copeaux d'être rejetés à l'exté  rieur -du trou de diamètre D par la. force cen  trifuge, et afin d'éviter complètement l'accu  mulation des copeaux sur le fond, ces ouver  tures se prolongent sur la surface     S    de ce  fond, réduisant celle-ci à trois parties pla  nes     S,,         & ,        S3    sur lesquelles s'appuie l'écrou  et trois parties dégagées Dl,     D2,        D3    par les  quelles les copeaux peuvent s'échapper.  



  Le mandrin à pièces carrées ou octogo  nales comporte quatre vis au lieu de trois,  placées à 90  , avec une disposition similaire  à celle qui vient 'être décrite.  



  Pour tarauder les pièces     rondes,    la ma  chine comporte un mandrin à serrage auto  matique     (fig.    4 et 5), muni -de trois chiens  mobiles<I>CH</I> suivant deux mouvements an  gulaires, l'un autour d'un axe     P,    parallèle à  l'axe -du mandrin, et l'autre autour :

  d'un axe       P,    perpendiculaire au premier, les faces in  térieures des trois chiens sur lesquelles vient  s'appliquer la pièce à tarauder étant de forme  telle qu'en poussant la pièce dans le mandrin,  l'ouverture libre entre les chiens se referme  par suite du premier mouvement, et que, par  suite de la résistance opposée à la rotation de  la pièce pendant le taraudage, le     second    mou  vement .des chiens referme encore     l'ouverture     et provoque ainsi un serrage énergique de  la pièce; les chiens sont ramenés, ,d'autre  part, vers la position d'ouverture maximum  par un moyen mécanique usuel et approprié.

    L'ouverture -des trois chiens peut être réglée    au préalable à un diamètre quelconque en  écartant plus ou moins ces chiens de l'axe  par tout moyen mécanique usuel approprié.  



  La pièce à tarauder     placée    sur le taraud  vient, quand elle pénètre à l'intérieur du  mandrin, s'appliquer sur des faces qui la  forcent à se placer dans une position cor  recte pour le taraudage, c'est-à-dire dans une  position     perpendiculaire    à l'axe de la ma  chine.  



  Les mouvements des chiens autour de  leurs deux axes sont d'ailleurs limités à des  angles convenables et     une    position de repos  est assurée par l'effet de ressorts ou -de tout  autre moyen approprié.  



  Dans la variante     fig.    4 et 5, les chiens  <I>CH</I> sont constitués par une sorte de palette  mobile, d'une part, autour d'un pivot     P,    pa  rallèle à, l'axe .de rotation et, d'autre part,  autour d'un pivot     P2    de direction perpendi  culaire à     P,.    Dans la     fig.    4, on voit que le  déplacement autour de     Pl    est limité par les  taquets<I>T et T'</I> et la position de repos du  chien contre T est assurée ici simplement par  l'effet de la force centrifuge;

   une masse M,  par exemple la, tête du pivot     P2,    alourdit le  chien d'un côté, de sorte que, pendant la ro  tation, celui-ci se place automatiquement  dans la position représentée en     fig.    4. En       fig.    5 on voit que chaque chien peut se .dé  placer aussi autour d'un axe     P2    et, dans  l'exemple représenté, un ressort R poussant  un canon central K, s'appuyant sur l'arrière  des chiens, fait prendre à ceux-ci la position  de repos représentée en pointillé en U et cor  respondant à l'ouverture -du mandrin.  



  En considérant l'extrémité Y du chien       (fig.    5), on voit que celle-ci comporte une  partie droite se terminant à. l'arrière par un  talon X.  



  La face -du canon K, appuyant sur l'ar  rière des chiens, étant dressée au tour et les  talons X étant à égale .distance de l'arrière  des chiens, lorsqu'une pièce placée sur la       poïnte    du taraud est poussée à l'intérieur du  mandrin, elle bute d'abord sur les talons X  et se place bien perpendiculairement à l'axe      du mandrin. Une légère pression sur le ta  raud fait reculer ensuite les chiens et le ca  non K. Le recul des chiens s'effectuant par  une rotation autour de     P2,    on voit que l'ou  verture libre entre les trois chiens va en se  rétrécissant et que la pièce à tarauder com  mence ainsi à être serrée et tourne avec le  mandrin.

   Par suite de cette rotation et     @de    la  pression sur le taraud     (dans    le sens de la  flèche F de     fig.    1), la pièce s'engage sur le  filet du taraud, elle rencontre ainsi une ré  sistance à la, rotation qui se traduit par une  tendance des chiens à reculer dans le sens de  <I>T</I> vers<I>T'</I>     (fig.    4). Si le profil de l'extré  mité du chien coïncidait avec l'arc de cercle  de rayon p ayant pour centre l'axe     Pl        (fig.    6),  le recul du chien de<I>T</I> vers     T'    s'effectuerait  sans produire de variation     d'ouverture    entre les  chiens.

   Il n'en est pas ainsi en donnant au  chien un profil suivant une ligne     a--b    qui       s'écarte    progressivement de l'arc de cercle de       rayon   <I>p.</I> Le recul .des chiens de<I>T</I> vers<I>T'</I>  correspond alors à un rétrécissement de l'ou  verture entre ceux-ci, donc à un serrage de  la pièce. Plus la résistance à la. rotation de  la pièce sera     .grande,    plus les chiens recu  leront -de     T    vers T' et plus le serrage sera  énergique. Le serrage de la pièce à tarauder  est donc automatique.

   Aussitôt que la pièce  est taraudée et arrive sur la     partie    lisse de  la tige du taraud, aucun effort n'agit plus  sur cette pièce, et sous l'effort -du ressort     R     et ,des masses M, les chiens reviennent immé  diatement à leur position de repos     correspon-          d-ant    à. l'ouverture du -mandrin et à la libé  ration de la pièce taraudée.  



  En ce qui concerne donc le mandrin pour       pièces    rondes, il est     caractérisé    par le double  déplacement des chiens: le premier corres  pondant à l'ouverture dans le sens opposé à  la poussée axiale du taraud, et le second au  serrage de la pièce par le recul des chiens  dans un plan perpendiculaire à     l':axe    de ro  tation. L'exécution représentée en     fig.    4 et 5  n'étant donnée qu'à titre d'exemple il est       évident    que les pivots     P,        PZ    peuvent être  remplacés par une rotule ou par tout autre  moyen mécanique permettant les deux mou-         vements    précités.

   De même, le rappel vers  la position de repos peut être effectué aussi  par des ressorts plats, en spirale ou de, forme  quelconque ou bien uniquement par la force  centrifuge, par exemple en disposant une  masse sur l'une des faces des chiens, en un  point tel que     n        (fig.    5), c'est-à-dire que la  force centrifuge de cette masse ramène le  chien à la fois vers la position représentée  en     fig.    4 et vers la position pointillée de       fig.    5.  



  La butée préalable de la pièce à tarauder,  perpendiculairement à l'axe, peut être réali  sée aussi autrement que dans la forme d'exé  cution représentée. On peut, par exemple,  rendre les chiens solidaires du canon K par  des     articulations    quelconques, de façon à  obtenir le recul des chiens par le recul  -du canon K. On obtiendrait alors le même  résultat que précédemment en supprimant  les talons X: la pièce à tarauder     vien-          draît        s'appliquer    sur la face du canon  K, perpendiculairement à. l'axe et le  recul du canon     entrainerait    le premier  serrage de la pièce.

   Enfin, au lieu d'avoir  un mandrin pour chaque diamètre de pièces  rondes à tarauder, ainsi que l'impliquerait  l'exemple représenté en     fig.    4 et 5, dans le  quel les axes     Pl    sont à. une distance fixe de  l'axe du mandrin, on peut prévoir tout dis  positif de réglage à volonté de l'écartement  de ces axes, afin de pouvoir serrer avec les  mêmes chiens des pièces de différents dia  mètres.. Dans cet ordre d'idées, on peut mon  ter les trois .axes     Pl    sur les trois chiens d'un  mandrin de tour ordinaire à trois chiens et  obtenir ainsi un réglage des plus simple de  l'ouverture des trois chiens mobiles.  



  Dans les mandrins pour pièces non rondes,  les     fig.    2 et     â    ne représentent également  qu'un exemple d'exécution et de nombreuses  variantes peuvent être réalisées en rempla  çant par exemple les vis par des goupilles,  des clavettes ou tout autre moyen mécanique  permettant d'obtenir des parties saillantes à  l'intérieur . du trou où la pièce est engagée.  



  Les mandrins décrits peuvent trouver  leur application pour d'autres opérations que      le taraudage, par exemple le perçage de piè  ces,     etc.  

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à tarauder, caractérisée en ce qu'elle comporte un taraud, un guide et un mandrin à entraînement automatique, le ta raud étant à longue tige et disposé dans l'axe de la machine et comportant., d'une part, une partie recourbée à l'arrière qui, en s'appuyant sur une butée, immobilise le taraud pendant la, rotation de la. pièce à tarauder et laisse les pièces taraudées s'échapper librement :ans arrêt de la machine et, d'autre part, une partie effilée non taraudée à l'avant du ta raud, d'un diamètre et de longueur tels que la pièce à tarauder puisse être engagée faci lement, complètement et sans coincement sur le taraud;
    le guide cylindrique à disposition <B>î</B> axiale ayant un diamètre légèrement supé rieur au diamètre du cercle circonscrit aux pièces à tarauder, de façon que le taraud puisse être déplacé facilement dans le sens axial tout en restant très sensiblement en coïncidence avec l'axe; et le mandrin avec dispositif de rotation approprié, comportant deux alésages dans lesquels la. pièce à tarau der placée sur le taraud vient, lorsqu'elle pé nètre à l'intérieur du mandrin, s'appliquer sur les faces de l'alésage, la forçant ainsi à se placer dans une position correcte pour le taraudage, dans un plan perpendiculaire à l'axe de la machine, tandis que la pointe du taraud pénètre librement dans le second alé sage.
    SOUS-REVENDICATIONS 1 Machine à tarauder suivant la revendica tion, caractérisée en ce que la pièce à ta rauder est entraînée dès son arrivée au fond du premier alésage du mandrin par les parties formant saillie sur la, surface cylindrique intérieure, ces saillies étant tel les que le cercle tangent desdites soit de dia mètre plus grand que celui du cercle ins crit dans la section des pièces à tarauder, pour que ces dernières puissent s'engager facilement au fond du mandrin. 2 Machine à tarauder suivant la revendica tion, comportant un mandrin à serrage au tomatique pour pièces rondes muni de trois chiens,
    caractérisée en ce que les chiens sont mobiles suivant deux mouvements an gulaires, l'un autour d'un axe parallèle à l'axe du mandrin, et l'autre autour d'un axe perpendiculaire à, ce dernier, les faces intérieures des trois chiens sur lesquelles vient s'appliquer la pièce à tarauder étant de forme telle qu'en poussant là pièce dans le mandrin, l'ouverture libre entre les chiens se referme par suite du premier mouvement et que, par suite de la résis tance opposée à la rotation de la pièce pen dant le taraudage, le second mouvement des chiens referme encore l'ouverture, pro voquant ainsi un serrage automatique énergique de la pièce; les chiens étant ra menés, d'autre part, vers la position primi tive d'ouverture maximum par un moyen mécanique de rappel.
    3 Machine à tarauder selon la revendication et la sous-revendication 2, caractérisée par le fait que l'ouverture des trois chiens du mandrin à serrage automatique peut être réglée au préalable à un diamètre quelcon que, de façon à pouvoir serrer des pièces de diamètres différents, l'écartement des chiens à la distance voulue de l'axe étant obtenu par un moyen mécanique approprié.
CH126449D 1926-04-19 1927-04-18 Machine à tarauder. CH126449A (fr)

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