Balai à garniture amovible souple. La présente invention a pour objet un balai à garniture amovible souple. Le terme balai doit être pris ici dans sou sens général, il désigne aussi bien un balai à long manche qu'une balayette, un époussetoir, etc.
Ce balai est caractérisé en ce qu'il com porte, fixée à son manche, une armature pré sentant aux moins deux branches ayant en semble la forme générale du corps du balai et destinées à servir de support à la garni ture, qui est enfilée sur elles par leurs extré mités libres.
Les extrémités libres des branches de l'armature seront de préférence à une petite distance l'une de l'autre de façon à faciliter l'engagement de la garniture sur l'armature.
La garniture du balai peut être constituée par une frange en coton solidaire d'une cou lisse d'étoffe. Cette coulisse s'enfile sur les branches de l'armature du balai et peut par conséquent être facilement mise en place ou interchangée.
On peut prévoir un dispositif d'articula tion entre le manche et l'armature du balai; ces deux organes pouvant être reliés de faon amovible et leur inclinaison l'un par rapport à l'autre pouvant être variée à volonté.
Ce dispositif peut être constitué par une pince, formée par un fer plat, convenablement replié et fendu, qui s'adapte sur un boulon de fixation servant à assujettir les deux par ties articulées à l'inclinaison voulue.
Le dessin représente, à titre d'exemple, plusieurs formes d'exécution de l'objet de l'invention La fig. 1 montre en élévation et la fig. 2 en plan l'armature métallique du balai ; La fig. 3 représente en perspective la partie repliée de l'armature sur laquelle on enfile la frange; La fig. 4 montre le boulon de serrage pour lui seul; La fig. 5 représente en perspective la douille où s'adapte le manche; La fig. 6 montre en plan les deux par ties de l'armature séparées ; La fig. 7 les montre en élévation et écar tées l'une de l'autre en les regardant du côté intérieur;
Les fig. 8 à 9 représentent en élévation et coupe transversale la garniture; La fig. 10 montre cette garniture au com mencement de sa mise en place; La fig. 11 et la fig. 12 la montrent en place; Les fig. 13 à 27 sont relatives à diverses formes d'exécution de l'invention ; Les fig. 28 à 32 sont relatives à une autre variante encore; Les fig. 33 à 35 représentent une deuxième forme d'exécution.
En référence aux fig. 1 à 2 du dessin: l'armature destinée à soutenir la garniture orr frange est constituée par deux pièces a sem blables, convenablement courbées. L'une de ces pièces porte une entretoise b, rivée sur elle à demeure et présentant à soir extrémité un goujon c qui s'engage dans un orifice cor respondant d de l'autre pièce (fig. 7).
Ces deux pièces a sont réunies ensemble par un boulon e. (fig. 4), avec écrou à oreilles, qui traverse une entaille f d'une des pièces, un conduit g formé dans la douille la (fig. 5), servant à fixer le manche, et un trou i de l'autre pièce. Il suffit d'engager le goujon c dans le trou d, puis de passer le boulon c dans la fente<I>f,</I> le conduit g et le trou i et de serrer l'écrou à oreilles pour solidariser en semble les éléments de l'armature.
La fente oblique f facilite ce montage en permettant d'introduire le boulon de biais et de l'abaisser ensuite. Sans cette disposition, le montage serait impossible, l'intervalle D (fig. 6) étant inférieur à la longueur du boulon.
Pour assurer le boulon en position fixe, lorsqu'il est en place, ce dernier présente un épaulement j qui s'adapte exactement dans une partie arrondie correspondante h- termi nant la fente f.
La garniture consiste en une frange de fil de coton 1 (fig. 8 et 9), solidaire d'une coulisse d'étoffe<B>ne</B> destinée à être engagée sur les lames a. Cette coulisse a une dispo sition spéciale comme montré fig. 9. Le tissu est à cheval sur le bout des mèches et il est replié de façon à former un conduit interne pour l'armature. Cette disposition empèche le choc de l'armature contre les objets et peut être réalisée économiquement avec peu de main-d'oeuvre.
Pour placer la garniture, on l'engage comme représenté fig. 10, en présentant cha cun de ses bouts aux extrémités libres n de l'armature. Comme ces extrémités sont pres- ques droites, cet engagement est très facile. La garniture suit ensuite d'elle-même les courbures des lames a. Lorsqu'elle est com plètement enfoncée sur les lames, le balai se présente tel que montré aux fig. 11 et 12.
On petit aussi engager la frange en sé parant préalablement les deux parties de l'ar mature et en les réunissant ensuite.
En desserrant et resserrant l'écrou e, on peut donner au manche toute inclinaison dé sirée, facilitant ainsi le passage du balai par dessus les meubles ou dessous ou contre leurs faces. On remarquera que le dispositif est d'une faible hauteur et qu'en abaissant à fond le manche cri passe facilement sous les meu bles laissant peu d'intervalle entre eux et le plancher.
La fig. 13 représente une variante dans laquelle les deux lames a sont réunies en une seule. L'armature est alors constituée par un simple feuillard ou bande de métal courbé, complété par la douille h. et le boulon e. L'en gagement de la garniture se fait de la même façon qu'il vient d'être décrit, en référence à la fig. 10.
La fig. 14 est relative à une autre variante dans laquelle le boulon peut être engagé à demeure dans des orifices des lames a, et c'est la douille<B>fi</B><I>.</I> qui présente alors une entaille<I>f</I> oblique ou parallèle à la longueur de la douille. Dans ce cas, il faut ajouter au dispositif un ressort pour immobiliser parfaitement le manche sur l'écrou, ou pourvoir le boulon et son écrou d'embases assez longues pour pé nétrer dans la douille et en assurer la retenue.
Une autre variante d'exécution représentée fig. 15 consiste à munir la douille h de deux tétons o s'engageant dans des trous des piè- ces a. Avec cette disposition, le boulon e doit être disposé entre l'entretoise b et la douille h et serre le tout à la fois.
La même disposition est applicable aussi bien au cas de la fig. 13 qu'à celui des fig. 1 et 2.
Dans la forme d'exécution des fig. 16 à 21, qui montrent l'application de l'invention à une balayette, le nouveau dispositif com prend deux branches a fixées sur un man che n.
Dans la disposition de la fig. 16, ces deux branches sont constituées par des tringles métalliques -pliées de manière à s'écarter l'une de l'autre, puis convenablement cintrées de façon à ramener leurs extrémités au voi sinage l'une de l'autre.
Il est facile d'engager une frange m sur les deux branches en leur présentant les deux ouvertures de la coulisse formée à la partie supérieure de la frange. Une fois engagée à fond, la frange se présente comme il est re présenté fig. 17. Pour l'empêcher de glisser sur les branches, les extrémités o peuvent être fixées au manche, pas exemple au moyen d'une boucle ou d'un anneau s'engageant sur un crochet du manche, ou par tout autre moyen.
Les deux branches a peuvent aussi être parallèles sur tout ou partie de leur longueur comme montré fig. 18 ; l'une ou l'autre des dispositions de la fig. 16 et de la fig. 18 peu vent être adoptées suivant les applications. La frange engagée sur cette armature prend la forme représentée fig. 19.
Dans l'une ou l'autre de ces dispositions, les branches a peuvent être pliées de façon à former un angle avec le manche (fig. 20), et relevées à leurs extrémités ; cette forme permet de manier la balayette de façon à agir surtout avec sa pointe comme on fait avec les balayettes ordinaires, tandis que les dispositions des fig. 16 et 18 sont surtout avantageuses dans le cas des ustensiles des tinés à être employés comme des brosses à manche.
Au lieu d'une seule fourche, l'armature peut en comporter deux, ai et a2 (fig. 21), sur lesquelles on engage deux franges. Par ce moyen, on peut obtenir un ustensile plus volumineux et d'action plus efficace.
Enfin, au lieu d'une seule frange par fourche, on peut, si on le désire, enfiler sur chaque branche ou tringle une frange corres pondante.
En référence aux fig. 22, 23 et 24, l'ar mature est constituée par deux fils f 1 f2 parallèles. De préférence, ces deux fils paral lèles sont obtenus à l'aide d'un seul fil replié convenablement. On peut, par exemple, pren dre un brin de longueur convenable, souder entre elles les deux extrémités, de façon à en faire un anneau fermé, le plier suivant un diamètre; pour doubler le fil, et enfin lui donner la courbure de l'armature du balai.
Cette armature peut être fixée sur la douille h terminant le manche du balai, par exemple, comme montré fig. 23 et 24, au moyen d'un boulon de serrage e avec écrou à oreilles, serrant des plaquettes p q contre la douille h. Ces plaquettes et cette douille' présentent des rainures oû s'adaptent les brins de fil f 1<B>1".</B>
L'armature ainsi constituée est légère et élastique; la frange s'y adapte facilement et le balai ne présente pas d'angles vifs sus ceptibles de détériorer les meubles.
La fig. 26 représente une variante dans laquelle l'armature, faite de deux brins de fil parallèles, est divisée en deux moitiés symétriques. Une de ces moitiés est repré sentée en perspective fig. 25. Cette disposi tion a pour avantage de rendre le montage très facile, car il est évidemment très aisé d'introduire la pointe de chacune de ces moi tiés dans la frange.
La jonction sur la douille peut s'effectuer d'une manière semblable à celle de la fig. 24. On peut aussi engager les bouts de chaque moitié d'armature dans un petit bloc plat ou plaquette r, muni de conduits de diamètre égal à celui du fil et serrer le tout par un boulon. Les extrémités des fils f l f 2 peuvent être fixées à demeure dans ces blocs ou bien être engagées de manière amovible en ayant soin, dans ce dernier cas, de prévoir des moyens appropriés pour assurer le serrage.
Dans la variante des fig. 28 à 32, l'ar mature du balai est constitué par une bande de fer plat a, convenablement pliée et pré sentant sa partie ouverte vers l'avant. Cette bande est destinée à recevoir une frange que l'on y engage en faisant pénétrer les deux pointes n de ladite bande dans les deux ex trémités de l'ourlet de la frange.
La partie postérieure de l'armature forme un repli p traversé par le boulon de fixation b muni d'un écrou à oreilles e pour le serrage.
Dans ce repli s'engage la pince constituée également par une bande de fer plat q con venablement plié dont les extrémités sont enchâssées dans une virole q' terminant le manche h..
La bande<I>q</I> est divisée par une fente r en deux branches, la fente est élargie en r' (fig. 29) pour recevoir le boulon. Les deux bords de la partie antérieure de la fente sont taillés en biseau r2.
La. pince étant engagée sur le boulon, quand on veut modifier l'inclinaison relative du balai et du manche, on desserre l'écrou du boulon, on donne l'inclinaison désirée et on bloque à nouveau.
Quand on désire séparer le balai d'avec le manche, il suffit, après avoir desserré l'écrou du boulon, d'écarter les deux pièces ; les branches de la pince s'ouvrent et laissent s'échapper le boulon b.
Pour les remettre cri place, on appuie le bout de la pince contre le boulon ; les bi seaux r2 viennent porter contre le corps du boulon et déterminent l'écartement des bran ches de la pince, quand le corps du boulon arrive en r', les branches se referment et le balai et la pince se trouvent liés ensemble, on resserre alors le boulon pour assurer les pièces à la position désirée.
Dans la disposition des fig. 33 à 35, l'ar mature est formée de deux bandes de feuil lards a présentant chacune en son milieu un repli p en forme de boucle plate. Le dos de ces replis appliqués l'un contre l'autre sont rivés ensemble. L'armature se trouve alors constituée par deux fourches opposées sur les branches ii desquelles on peut adapter des franges l (fig. 35), en engageant. l'ourlet de ces franges sur lesdites branches. Cet engagement s'effectue avec la plus grande facilité.
L'armature présente un axe b servant à <B>la</B> fixation du manche. A cet effet, ce manche est terminé par deux bandes métalliques q repliées en crochet et présentent des fentes r; des aeils r', auxquels aboutissent ces fentes, servent au logement de l'axe b.
Pour adapter le manche à l'armature, il suffit de présenter le bout des fentes r à l'axe b et de produire une pression ; les branches s'ouvrent élastiquement et l'axe vient se placer dans les oeils r'. Cette ma noeuvre peut être facilitée, si l'on a eu soin de tailler en biseau les bords des ouvertures terminant les fentes. L*enlèvement se fait simplement en tirant le manche de manière à l'écarter de l'armature. Le balai peut s'incliner librement par rapport au manche, mais il est évident que l'on pourrait ajouter aux éléments qui vien nent d'être décrits tout moyen de serrage approprié.
Ce balai présente une grande surface de balayage et possède, de ce fait, de grands avantages dans certaines utilisations.
Les dispositions ci-dessus ne sont, bien entendu, données qu'à titre d'exemple ; les formes, matières et dimensions, ainsi que toutes dispositions de détail pouvant varier <B>sans</B> sortit' du cadre de l'invention.
Broom with flexible removable pad. The present invention relates to a broom with flexible removable lining. The term broom should be taken here in its general sense, it means a long-handled broom as well as a brush, a dustpan, etc.
This broom is characterized in that it comprises, fixed to its handle, a frame presenting at least two branches having the general shape of the body of the broom and intended to serve as a support for the trim, which is threaded on. they by their free ends.
The free ends of the branches of the frame will preferably be at a small distance from each other so as to facilitate the engagement of the lining on the frame.
The broom pad may consist of a cotton fringe attached to a smooth neck of fabric. This slide is slipped over the branches of the broom frame and can therefore be easily fitted or interchanged.
An articulation device can be provided between the handle and the broom frame; these two members can be connected removably and their inclination relative to each other can be varied at will.
This device can be constituted by a clamp, formed by a flat iron, suitably folded and split, which fits on a fixing bolt serving to secure the two articulated parts to the desired inclination.
The drawing represents, by way of example, several embodiments of the object of the invention. FIG. 1 shows in elevation and FIG. 2 in plan the metal frame of the broom; Fig. 3 shows in perspective the folded part of the frame on which the fringe is threaded; Fig. 4 shows the clamping bolt for itself; Fig. 5 shows in perspective the socket where the handle fits; Fig. 6 shows in plan the two parts of the frame separated; Fig. 7 shows them in elevation and separated from each other, looking at them from the inside;
Figs. 8 to 9 show in elevation and cross section the packing; Fig. 10 shows this packing at the start of its installation; Fig. 11 and fig. 12 show it in place; Figs. 13 to 27 relate to various embodiments of the invention; Figs. 28 to 32 relate to yet another variant; Figs. 33 to 35 represent a second embodiment.
With reference to fig. 1 to 2 of the drawing: the frame intended to support the fringe orr trim consists of two similarly curved parts. One of these parts carries a spacer b, riveted to it permanently and having at its end a pin c which engages in a corresponding hole d of the other part (fig. 7).
These two parts a are joined together by a bolt e. (fig. 4), with wing nut, which passes through a notch f of one of the parts, a duct g formed in the socket la (fig. 5), used to fix the handle, and a hole i in the other room. It is enough to engage the stud c in the hole d, then to pass the bolt c in the slot <I> f, </I> the duct g and the hole i and to tighten the wing nut to join together. the elements of the frame.
The oblique slot f facilitates this assembly by allowing the bolt to be inserted at an angle and then lowered. Without this arrangement, assembly would be impossible, the interval D (fig. 6) being less than the length of the bolt.
To secure the bolt in a fixed position, when it is in place, the latter has a shoulder j which fits exactly into a corresponding rounded part ending the slot f.
The trim consists of a fringe of cotton thread 1 (fig. 8 and 9), secured to a <B> ne </B> fabric slide intended to be engaged on the blades a. This slide has a special arrangement as shown in fig. 9. The fabric straddles the ends of the wicks and is folded back to form an internal conduit for the reinforcement. This arrangement prevents the shock of the frame against the objects and can be achieved economically with little labor.
To place the trim, it is engaged as shown in fig. 10, presenting each of its ends to the free ends n of the frame. As these ends are almost straight, this engagement is very easy. The lining then follows by itself the curvatures of the blades a. When it is fully depressed on the blades, the broom appears as shown in fig. 11 and 12.
We can also engage the fringe by separating the two parts of the mature back beforehand and then joining them together.
By loosening and tightening the nut e, the handle can be given any desired inclination, thus facilitating the passage of the broom over or under furniture or against their faces. It will be noted that the device is of low height and that by fully lowering the cry handle easily passes under the furniture leaving little space between them and the floor.
Fig. 13 shows a variant in which the two blades a are combined into one. The frame is then formed by a simple strip or strip of curved metal, completed by the sleeve h. and bolt e. The lining is engaged in the same way as has just been described, with reference to FIG. 10.
Fig. 14 relates to another variant in which the bolt can be permanently engaged in the holes of the blades a, and it is the sleeve <B> fi </B> <I>. </I> which then presents a notch <I> f </I> oblique or parallel to the length of the socket. In this case, it is necessary to add to the device a spring to immobilize the handle perfectly on the nut, or to provide the bolt and its nut with bases long enough to penetrate into the socket and ensure its retention.
Another variant embodiment shown in FIG. 15 consists in providing the sleeve h with two pins o engaging in the holes of the parts a. With this arrangement, the bolt e must be placed between the spacer b and the sleeve h and tighten everything at the same time.
The same arrangement is applicable as well to the case of FIG. 13 than that of fig. 1 and 2.
In the embodiment of FIGS. 16 to 21, which show the application of the invention to a brush, the new device com takes two branches a fixed on a handle n.
In the arrangement of FIG. 16, these two branches are formed by metal rods -folded so as to move away from one another, then suitably bent so as to bring their ends to the voi sinage of one another.
It is easy to engage a fringe m on the two branches by presenting them with the two openings of the slide formed at the upper part of the fringe. Once fully engaged, the bangs appear as shown in fig. 17. To prevent it from slipping on the branches, the ends o can be fixed to the handle, for example by means of a loop or a ring engaging on a hook of the handle, or by any other means.
The two branches a can also be parallel over all or part of their length as shown in FIG. 18; one or the other of the arrangements of FIG. 16 and fig. 18 can be adopted depending on the application. The fringe engaged on this frame takes the form shown in fig. 19.
In either of these arrangements, the branches a can be bent so as to form an angle with the handle (Fig. 20), and raised at their ends; this shape makes it possible to handle the brush so as to act above all with its tip as is done with ordinary brushes, while the arrangements of fig. 16 and 18 are especially advantageous in the case of tin utensils to be used as handle brushes.
Instead of a single fork, the frame can include two, ai and a2 (fig. 21), on which two fringes are engaged. By this means, one can obtain a larger and more efficient action utensil.
Finally, instead of a single fringe per fork, it is possible, if desired, to put a corresponding fringe on each branch or rod.
With reference to fig. 22, 23 and 24, the mature ar is formed by two parallel threads f 1 f2. Preferably, these two parallel yarns are obtained using a single yarn suitably folded over. One can, for example, take a strand of suitable length, weld the two ends together, so as to make a closed ring, bend it along a diameter; to double the wire, and finally to give it the curvature of the broom frame.
This frame can be fixed on the socket h ending the broom handle, for example, as shown in fig. 23 and 24, by means of a tightening bolt e with wing nut, tightening pads p q against the sleeve h. These plates and this bush have grooves where the strands of wire f 1 <B> 1 "fit. </B>
The frame thus formed is light and elastic; the fringe adapts easily to it and the broom does not present sharp angles liable to damage the furniture.
Fig. 26 shows a variant in which the frame, made of two parallel strands of wire, is divided into two symmetrical halves. One of these halves is shown in perspective in fig. 25. This arrangement has the advantage of making assembly very easy, because it is obviously very easy to introduce the point of each of these halves into the fringe.
The junction on the socket can be effected in a manner similar to that of fig. 24. You can also engage the ends of each half of the reinforcement in a small flat block or plate, provided with conduits of diameter equal to that of the wire and tighten the whole by a bolt. The ends of the son f l f 2 may be permanently fixed in these blocks or else be engaged in a removable manner, taking care, in the latter case, to provide appropriate means to ensure the clamping.
In the variant of FIGS. 28 to 32, the mature back of the broom consists of a strip of flat iron a, suitably folded and presenting its part open towards the front. This strip is intended to receive a fringe which is engaged therein by causing the two points n of said strip to penetrate into the two ends of the hem of the fringe.
The rear part of the frame forms a fold p crossed by the fixing bolt b fitted with a wing nut e for tightening.
In this fold engages the pliers also constituted by a strip of flat iron q con venablement folded, the ends of which are embedded in a ferrule q 'ending the handle h ..
The band <I> q </I> is divided by a slot r into two branches, the slot is widened at r '(fig. 29) to receive the bolt. The two edges of the front part of the slot are bevelled r2.
The clamp being engaged on the bolt, when one wishes to modify the relative inclination of the brush and the handle, one loosens the nut of the bolt, one gives the desired inclination and one locks again.
When it is desired to separate the broom from the handle, it suffices, after having loosened the nut of the bolt, to separate the two parts; the branches of the pliers open and let the bolt escape b.
To put them back in place, we press the end of the pliers against the bolt; the rods r2 come to bear against the body of the bolt and determine the spacing of the branches of the clamp, when the body of the bolt arrives at r ', the branches close again and the brush and the clamp are linked together, we tighten then the bolt to secure the parts to the desired position.
In the arrangement of fig. 33 to 35, the mature ar is formed of two strips of lard films each having in its middle a fold p in the form of a flat loop. The backs of these folds applied against each other are riveted together. The frame is then constituted by two opposite forks on the branches ii of which one can adapt the fringes l (Fig. 35), by engaging. the hem of these fringes on said branches. This engagement is carried out with the greatest ease.
The frame has an axis b used for <B> the </B> fixing of the handle. To this end, this handle is terminated by two metal bands q folded in a hook and have slots r; aeils r ', which these slots end, are used to accommodate the axis b.
To adapt the handle to the frame, it suffices to present the end of the slots r to the axis b and to produce pressure; the branches open elastically and the axis is placed in the eyes r '. This my work can be facilitated, if care has been taken to bevel the edges of the openings ending the slits. Removal is done simply by pulling the handle away from the frame. The broom can tilt freely relative to the handle, but it is obvious that one could add to the elements which have just been described any suitable tightening means.
This broom has a large sweeping surface and therefore has great advantages in certain uses.
The above provisions are, of course, given only by way of example; the shapes, materials and dimensions, as well as any detail arrangements which may vary <B> without </B> go beyond the scope of the invention.