Episcope <EMI ID=1.1>
et de projection d'objets,tels qu' originaux, modèles, ,vues
ou autres non transparents . L'objet à projeter est éclairé par une source lumineuse puissante et une image de cet objet est formée sur un écran, par l'intermédiaire d'un miroir d'inflexion et d'un système optique de pro jection . Dans des épiscopes du commerce,l'objet est placé au-dessus ou en dessous d'une fenêtre ou plateau d'image qui est accessible
à l' utilisateur . Le passage d'un objet à un autre (dénommé ci-après changement des objets) est généralement difficile et compliqué.'
C'est pourquoi on a déjà essayé de mécaniser le changement des objets. Dans le brevet allemand 16 20 85, on a décrit une disposition dans laquelle les objets sont empilés dans un compartiment et sont individuellement amenés par une chaîne transporteuse depuis la fenêtre d'image jusque dans un réceptacle. Cet épiscope est défini et réalisé sous forme d'un projecteur automatique d'images. Dans la réalisation faisant l'objet de la demande de brevet allemand publiée sous le numéro 21 28 117, on projette des objets enroulés sur une bobine ou bien des objets sous forme de cartes sont.transportes par l'intermédiaire d'une bande continue en passant sur la fenêtre d'image.
Dans la première disposition citée,on suppose que les différents objets, qui ont le même format,sont suffisamment épais et rigides pour pouvoir être saisi^par la chaîne et éloignés de la fenêtre d'image,à- une vitesse suffisante pour une projection continue d'images. Après leur passage les objets doivent être à nouveau classés afin de reprendre la séquence initiale. L'inconvénient affecte également le second appareil connu lorsqu'on opère avec des carters indépendants car les divulgations citées ne donnent pas une solution du problème posé par l'extraction dans une position bien définie des objets de la pile et par l'exécution de leur passage dans l' épiscope.
L'invention se propose de fournir un dispositif de changement d'objets,utilisable dans un épiscope ou une visionneuse et permettant d'éliminer les inconvénients précités, <EMI ID=2.1>
jeter,classé sous forme d'un ensemble unitaire,est introduit dans l'ordre de projection dans l'épiscope,puis est projeté sans perturbation du triage ou classement et sans post-réglage dans l'épiscope�puis est finalement à nouveau extrait sous forme d'un ensemble unitaire, le jeu suivant étant ensuite traité de la même manière, comme ensemble unitaire . Toute manipulation d'objets individuels.
L'invention concerne par conséquent un dispositif de changement des objets,utilisable dans un épiscope ou une visionneuse directe,dans lequel les objets en forme de feuille sont empilés l'un sur l'autre sur la face de la
<EMI ID=3.1>
lumineuse, dans un magasin où, pour la projection ou peur l'observation, l'objet situé le plus en haut est placé à plat dans le plan d'une fenêtre ménagée dans le magasin , et dirigé vers le support d'objets,en.ce que le magasin comporte une première partie de châssis et une seconde partie de châssis pouvant se déplacer en va et vient parallèlement au plan de la fenêtre et par rapport à la première partie de châssis en vue d'un changement cyclique de l'objet supérieur à l'intérieur du magasin,et en ce que l'épiscope comporte
un support déclenchable dans lequel une des parties de châssis peut être fixée dans une position où, pendant la projection ou l'observation,le plan de fenêtre du magasin s'applique contre le support d'objets ou bien constitue ce support et où, en vue du changement d'objet, les deux parties de châssis restent mobiles l'une par rapport à l'autre.
On connaît des magasins à "objets" ,qui sont conçus sous forme de changeur d'images,par exemple d'après les demandes de brevets allemands publiées sous les numéros
27 42 345, 27 42 346, 27 42 349 et 27 42 350.
Le magasin à objets fonctionne de la manière suivante:
Une pile d'objets de même format est maintenue dans un carter (" première partie de -carter.1.) avec le côté
image tourné vers une fenêtre de vision,et est poussée contre cette fenêtre par un dispositif presseur. Dans le carter peut coulisser un tiroir ("seconde partie de carter"),qui, <EMI ID=4.1>
<EMI ID=5.1>
vision - et la réintroduite de l'autre côté de la pile, l'ensemble de la pile et par conséquent également l'image à projeter,étant après le changement d'image appliqué à plat contre la fenêtre image .
Les objets réunis dans un magasin ont le même format mais le support de l'épiscope peut cependant être construit de manière à permettre la mise en place et l'actionnement de magasins de différentes dimens ions . Dans le cas le plus simple,le mouvement de va et vient du tiroir peut être effectué à la main même quand le magasin est mis en place, mais l'épiscope ou une partie supplémentaire peuvent aussi comporter à cet effet un entraînement motorisé.
L'épiscope selon l'invention diffère fondamentalement des deux appareils connus- qui sont comparables par ailleurs avec les projecteurs changeurs de diapositives-par le fait que le mécanisme de changement d'objet n'est pas logé dans l'épiscope et ne fait pas partie de celui-ci,mais est placé dans les magasins où la pile d'objets est placée et peut être archivée ou mise en répertoire. Une telle disposi-
<EMI ID=6.1>
on peut fabriquer de tels magasins à un prix très avantageux en utilisant des matériaux et des procédés de fabrication modernes alors qu'un mécanisme de changement logé dans l'épiscope entraînerait des dépenses plus élevées quant la protection contre l'encrassement,la sensibilité à la température, l'élimination des causes d'usure,etc. D'autre part,le mécanisme changeur logé dans le magasin permet le cas échéant de visionner également les images ou autres objets directement dans le magasin et successivement dans le même ordre
-) ou séquence,de vérifier leur orientation correcte avant la projection ou encore,lors de la préparation d'une conférence, d'effectuer plusieurs fois le changement d'objets sans devoir toujours veiller à un ordonnancement correct des objets ni utiliser pour ces travaux préparatoires un projecteur ou une visionneuse.
Le magasin changeur pour
épiscope permet en outre non seulement de faciliter la projection proprement dite mais également un répertoriage bien ordonné et le visionnement des objets à. l'extérieur
de l' épiscope . Cette solution procure en outre l'avantage
de pouvoir équiper a posteriori des épiscopes ou appareils semblables déjà. existants.
Pour être complet, il faut préciser qu'à la place
d'un écran sur lequel on effectue la projection et qui constitue, le cas échéant sous forme d'un verre mat une partie
de l'épiscope et qui est alors éclairé par l'arrière,on peut également associer un appareil de reproduction à la partie de formation d'images de l'épiscope,de manière telle que l'on p eut,éventuellement d'une façon complètement automatique, reproduire chaque fois une pile d'objets. De même, l'ensemble peut être utilisé d'une manière équivalente dans une visionneuse directe.
D'autres propriétés et caractéristiques avantageuses de l'invention sont résumées ci-après:
Chaque magasin contient des objets de même format. Cependant les magasins peuvent avoir des dimensions tout à fait différentes lorsqu'ils sont chargés d'objets de dimensions différentes . Ces conditions se rencontrent notamment avec des diapositives pour lesquelles le nombre de formats différents est cependant relativement faible. Pour cette raison l'épiscope
est avantageusement disposé de manière à pouvoir mettre en place sélectivement des cassettes de différentes dimensions et .. à pouvoir effectuer la projection sans autres modifications.
de
Lors de la projection d'objets/différentes dimensions, si l'on ne prend par ailleurs aucune disposition particulière,les images projetées ont des dimensions qui diffèrent en correspondance. Pour cette raison,on peut adapter d'abord le système optique et la grandeur de l'écran ou du verre mat à
la grandeur maximale de format du magasin et, lors de l'utilisation d'un magasin de plus petit format,modifier manuellement ou automatiquement le facteur de grossissement du système optique par adaptation de la grosseur des magasins,en vue de pouvoir projeter également à la grandeur maximale un original plus petit. A cet égard,on donne à l'écran de projection
ou à l'écran en verre mat une forme carrée dont la longueur
du côté est accordée sur la longueur maximale du côté d'un objet à projeter.
Sur un tel écran ou verre mat,on peut projeter des objets ou vues de forme non carrée;de format" en hauteur" eu
<EMI ID=7.1>
occasionnellement que des vues "en hauteur" remplacent
des vues "en largeur". Pour cette raison l'épiscope comporte,suivant une autre caractéristique de l'invention,un dispositif,éventuellement commandé à distance,qui permet
le passage du format "en hauteur" au format "en largeur"
ou inversement,soit par rotation du magasin,y compris son tiroir changeur,et d'un entraînement motorisé prévu à cet effet,soit par rotation de l'ensemble de la partie de projection de l'épiscope,soit enfin par rotation de 90[deg.] de l'image à chaque fois par des moyens optiques . On peut munir les objets à projeter d'un codage ou d'un repérage,ou bien on peut porter extérieurement sur le magasin un tel codage qui est palpé à l'intérieur de l'épiscope et qui déclenche automatiquement un passage nécessaire du format en hauteur au format en largeur,ou inversement.
Du fait que le mécanisme changeur d'objets est logé dans le magasin, on doit pouvoir accéder en cours de projection au moins à la partie du magasin dans laquelle s'effectue le mouvement de changement (c' est-à-dire lors d'un actionne-
<EMI ID=8.1>
position du magasin dans le cas d'un épiscope équipé pour pouvoir passer par rotation du format en hauteur au format en largeur. Dans des appareils perfectionnés , l' épiscope est équipé d'un entraînement à moteur servant à actionner le tiroir changeur. Lorsqu'on fait alors tourner le magasin par rapport à d'autres parties de l'épiscope lors du passage du format en hauteur au format en largeur,il est nécessaire
de réaliser l'entraînement à moteur de façon qu'il puisse
dans
assurer l'actionnement du changeur au moins/deux positions décalées entre elles de 90[deg.],mais avantageusement cependant dans les quatre positions possibles,. Les fonctions décrites ci-dessus peuvent naturellement être également remplies par une commande à dis tance .
Afin que l'original à projeter soit toujours placé à plat dans le plan de la fenêtre d'image,cet objet est avantageusement soumis à une plaque de pression logée
dans le magasin et soumise à la pré-contrainte d'un ressort. Ce dispositif presseur est avantageusement agencé de manière à être largement indépendant de la hauteur de la pile d'objets dans le magasin et néanmoins de manière que, pendant le changement d'bbjets ,la pression soit supprimée afin de protéger au maximum les objets contre des détériorations .
Lors du mouvement de changement,le tiroir changeur du magasin exerce une traction sur le magasin proprement dit qui est pour cette raison emboîté suffisamment solidement dans l'épiscope pour que sa position ne soit modifiée,pendant le mouvement de changement ni dans la direction de la fenêtre de projection ni parallèlement à celle-ci. Les moyens de blocage prévus à cet effet peuvent être réalisés de manière à être libérés par actionnement d'une touche,le cas échéant par une commande à distance,et que le magasin puisse ensuite être éjecté par un ressort,pré-contraint lors de la phase d'introduction.
Lors du changement du format d'objets et lors d'une modification correspondante des dimensions du magasin, les moyens d'arrêt de l'épiscope s'adaptent avantageusement au
<EMI ID=9.1>
ces moyens d'arrêt peuvent simultanément être réalisés sous la forme de diaphragmes destinés à empêcher la projection de la zone de fenêtre d'image qui entoure l'objet à projeter.
Pour une observation directe des objets sans projection,le magasin peut être pourvu d'une fenêtre qui est recouverte par une glace trans parente,par exemple en matière plastique trans parente. L'épiscope peut alors être tel que, sous l'effet de l'engagement, de préférence introduction, du magasin,cette glace soit poussée ou rabattue sur le côté de manière que les objets à projeter s'appliquent directement contre une glace en verre ayant de bonnes qualités optiques et formant la fenêtre d'image de l'épiscope. Des rayures formées éventuellement en cours de manipulation sur la glace en matière plastique du magasin ne peuvent pas altérer alors l'image projetée.
Enfin des objets qui contiennent une information vidéo peuvent en outre être associés à des informations sonores qui peuvent être placées à l'extérieur du magasin ou de préférence dans le magasin proprement dit. Pour la reproduction de telles informations,l'épiscope est alors également équipé d'un dispositif de reproduction sonore et les changements d'informations vidéo et sonores sont avantageusement réalisés par actionnement du tiroir changeur du magasin. Dans ce cas également la reproduction des informations sonores peut être assurée à l'aide d'une commande à. distance.
Les caractéristiques précitées sont applicables individuellement eu en combinaison aussi bien dans le cas de visionneurs directs simples,relativement petits et peu coûteux que dans le cas d'épiscopes plus compliqués et à commande complètement automatique ou semi-automatique,ces épiscopes comportant un écran en verre mat intégré ou bien étant équipé en vue d'une projection sur un grand écran en toile,ou encore être commutés entre ces deux modes de projection.
Lors de l'utilisation d'un entraînement à moteur pour le changement d'objets et lorsque le magasin peut tourner d'au moins 90[deg.] en vue de la projection à volonté d'objets
au format en hauteur ou en largeur,il est avantageux,pour obtenir un appareil de projection d'une manoeuvre commode et malgré tout d'un prix de fabrication économique,de pourvoir l'épiscope d'un mécanisme changeur entraîné par moteur électrique et pourvu de moyens d'accouplement pouvant être reliés au châssis,fonctionnant en synchronisme avec celui-ci lors du mouvement de changement d'objets et ayant par ailleurs une position fixe.
Ce mode de réalisation qui est avantageux dans le cas où,d'une manière générale des positifs photographiques constituent les "objets", est au moins particulièrement établi pour cette dernière utilisation. Les positifs photographiques ont généralement un format rectangulaire avec des longueurs de côté inégales. Si on tient compte du fait que ces positifs sont déjà fournies par l'installation de
tirage au photographe dans les magasins ou "cassettes" prévus selon l'invention,et également du fait:- que,pendant l'opération de tirage,les différentes images conservent la même position relative que dans le film négatif et sont également introduites ainsi dans les cassettes,la position des images dans la cassette reproduit la position de l'appareil de prise de vues lorsque la photographie correspondante a été faite.
L'expérience a montré que pratiquement sans except ion, toutes les vues au format en largeur ont la même position-le photographe n'a pas de raison d'utiliser l'appareil photographique en position inversée ("sur la tête")�-. Lors
de prises de vues en hauteur,l'expérience a en outre montré que l'appareil photographique est normalement tourné d'un quart de tourna partir de la position habituelle de format
en largeur - dans un sens par les droitiers et dans l'autre sens par les gauchers . Les droitiers sont plus nombreux
que les gauchers;en outre les prises de vues en hauteur sont bien plus rares que les prises de vues en largeur- notamment parce qu'elles nécessitent une manoeuvre inhabituelle de l'appareil photographique. Pour des formats carrés,ce qui a été dit ci-dessus pour le format en largeur s'applique évidemment aussi.
En conséquence,on peut partir du fait que dans la cassette,c'est-à-dire à partir de l'installation de tirage,
<EMI ID=10.1>
de vues avec format en largeur)sont placées dans une position "correcte" commune et qu'en outre la plupart des images de prises de vues de format-hauteur (celles prises par des droitiers)sont placées dans une seconde position "correcte" commune . En conséquence, on peut considérer que, pour une réalisation appropriée de la cassette ou magasin adapté
au support,le nombre correct de processus de changement d'images peut être effectué sans qu'il soit nécessaire de faire tourner le magasin. C'est pourquoi,on ne rencontre aucune gêne dans la manoeuvre lorsque le changement d'image n'est lui aussi possible que dans l'une des positions préférentielles et lorsque,pour toute autre position(c'est-à-dire l'une ou l'autre des positions de format en hauteur)on
doit revenir,à chaque processus de changement d'image,dans la position préférentielle.
Lorsqu'on signale en outre aux utilisateurs que toutes les vues prises en hauteur ne doivent occuper dans le
<EMI ID=11.1>
être projetées à partir d'une position correcte, il n'y a
<EMI ID=12.1>
à savoir une position préférentielle (projection de format en largeur) où le changement d'image est également possible et une position tournée de 90[deg.] par rapport à la première et
) correspondant au format de prise de vue en hauteur. On peut accepter que seuls les gauchers,beaucoup moins nombreux, seront tenus d'effectuer au préalable un triage de leurs
que
vues prises en hauteur,elles aussi moins nombreuses/toutes les autres images - telles qu'elles sortent de l'installation de tirage-étant rangées dans les positions "correctes pour la pro j ec tion" .
On se rend compte en outre qu'il n'est pas gênant, mais au contraire avantageux pour l'utilisateur,que le support soit ramené dans la position préférentielle précitée après chaque changement de vue.
Cela procure en outre l'avantage de prévoir les éléments de l'entraînement à moteur uniquement pour
<EMI ID=13.1>
une position fixe permettant une rotation éventuelle. Cela diminue les difficultés de construction et on peut faire intervenir des pièces plus petites et également plus stables.
Du fait qu'aucune partie de l'entraînement à moteur n'exécute un mouvement de rotation en même temps que le support,on peut réduire en correspondance les dimensions du carter,ce qui est plus agréable pour l'utilisateur et ce qui réduit les frais de fabrication.
Une condition pour une utilisation de l'appareil sans difficultés est évidemment que le magasin ne puisse être introduit dans le support que dans une condition où il est placé dans une position correcte par rapport au plan de projection et ne provoque pas une projection inversée ("tête en bas"); en d'autres termes , le magasin d'une part et le support d'autre part ne doivent pouvoir s'adapter entre eux que dans l'une des huit positions possibles du magasin.
<EMI ID=14.1>
classer,même si, ce n'est qu'en proportions différentes, en trois formats: 9 x 9 cm , 9 x 11,5 cm et 9 x 13 cm. Chaque format nécessite une course différente de changement de vue du magasin. Normalement,on devrait prévoir pour chaque ferais.! d'objet une structure adaptée en dimension. Cependant,comme les frais de fabrication diminuent relativement avec l'augmentation du nombre de pièces, il est avantageux d'agencer les magasins et/ou le mécanisme changeur de
façon qu'ils soient adaptés au moins à un nombre déterminé de formats ou bien qu'ils puissent être adaptés par interchangeabilité d'éléments d'adaption sans avoir à apporter d'autres modifications à l'épiscope, Cela est également important pour la tenue des stocks dans le commerce.
D'autres avantages et caractéristiques de l'invention apparaîtront dans la description,ci-après ,donnée à titre d'exemple non limitatif,en référence aux dessins annexés dans lesquels:
Fig.l est une vue en perspective d'un épiscope selon l'invention,dans lequel est engagée comme magasin une cassette de changement d'objets; Fig.2 représente,d'une manière analogue à figure 1, le changement de vues lorsque la cassette est engagée; Fig.3 représente schématiquement une vue en plan d'un tel épiscope; Fig.4 représente schématiquement l'adaptation du support à différents formats de cassettes; Figs.5 et 6 montrent schématiquement le support de figure 4 dans lequel sont engagées les cassettes de différents formats;
<EMI ID=15.1>
schématique d'une variante du support; Fig.8 est une coupe longitudinale schématique d'un mode de réalisation de l'épiscope; Fig.9 représente un détail de figure 8,avec une structure modifiée;
<EMI ID=16.1>
de figure 8; Figs.ll à 15 représentent d'une façon très schéma- <EMI ID=17.1>
tention; Figs.16 à 18 montrent la structure d'une visionneuse à l'aide de laquelle des vues se trouvant dans un magasin changeur peuvent être visionnées directement mais cependant avec grossissement; Figs .19 à 21 représentent en coupes partielles les éléments fonctionnels d'un épiscope,servant à assurer le s upport,le changement de position et la rotation d'un magasin d'objets;
<EMI ID=18.1> Fig.22 représente en vue en perspective un épiscope agencé conformément à l'invention;
<EMI ID=19.1> Fig.23 est une coupe du support de magasin; Fig.24 représente une vue latérale d'un magasin séparé; Fig.25 est une vue en perspective du support dans lequel est engagé un magasin; Fig.26 montre schématiquement les possibilités d'accouplement entre un magasin et un mécanisme changeur; Fig.27 représente deux variantes pour une des possibilités d'accouplement; Fig.28 montre schématiquement deux possibilités d'adaptation automatique de course; <EMI ID=20.1> une partie du système d'adaptation de course, Figs.30 à 32 montrent schématiquement d'autres possibilités d'adaptation de course; Fig.33 représente des magasins de différents formats pour les mécanismes changeurs de figure 28; Fig.34 montre des magasins de différents formats pour un mécanisme changeur à course constante; Fig.35 montre un dispositif d'adaptation à différents formats ;
Fig.36 est une coupe suivant la ligne 36-36 de figure 35;
35; Fig.37 est une coupe suivant la ligne 37-37 de figure Fig.38 est une vue en plan,et <EMI ID=21.1>
ment et de rotation; <EMI ID=22.1> Fig.41 est une coupe axiale d'un second mode de réalisation d'un dispositif de changement et de rotation; Fig.42 représente à échelle agrandie le mécanisme d'accouplement prévu entre le dispositif d'entraînement et le magasin 'dans le mode de réalisation des figures 40 et
41; Fig.43 est une vue en plan,et Fig.44 est une vue latérale d'un troisième mode de réalisation du dispositif de changement et de rotation; Fig.45 représente en perspective un mode de réalisation de très petites dimensions et applicable en particulier uniquement à des vues carrées, Fig.46 montre schématiquement une vue en perspective d'un mode de réalisation comportant un support s'appuyant sur la périphérie d'un plateau tournant;
Flg.47 montre schématiquement une vue en plan de la disposition de l'appareil de figure 46; Fig.48 est une vue suivant la flèche 48 de figure
47; Fig.49 montre un mode de réalisation avec mécanisme à clapet pour l'introduction du magasin; Fig.50 est une coupe longitudinale schématique du mode de réalisation de figure 49; Fig.51 représente une vue en plan d'un dispositif de masquage qui coopère avec un système de variation de course dans l'opération de changement; Fig.52 est une vue en coupe faite suivant les flèches 52 de figure 51; Fig.53 montre une variante d'un dispositif d'accouplement pour le système à moteur de changement; Fig.54 est une coupe faite suivant la ligne 54-54 de la figure 53; Fig.55 est une vue de face, et Fig.56 une vue latérale,en partie en coupe,d'un <EMI ID=23.1>
support; Fig.57 est une vue en perspective d'un mode de réalisation du dispositif changeur,analogue à celui des figures 40 à 42, Fig.58 est une coupe verticale faite suivant 58-58 de figure 57,y compris les parties adjacentes du carter d'épiscope; Fig.59 est une vue en perspective d'un dispositif, monté sur un magasin changeur,et qui empêche une introduction incorrecte du magasin dans le support; Fig.60 est une coupe longitudinale montrant le verrou associé au support; Figs.61 et 62 représentent,d'une manière analogue aux figures 59 et 60,une autre solution de ce problème, Fig.63 représente,à échelle agrandie par rapport à figure 62,le dispositif à broche de verrouillage; Figs.64 et 65 représentent une autre variante analogue aux figures 59 et 60; Fig.66 correspond à la figure 65 mais elle représente la position des éléments lors d'un engagement correct du magasin,
et Fig.67 représente d'une façon très schématisée un agencement du dispositif des figures 64 à 66, à, l'aide duquel l'utilisateur peut se rendre compte d'une orientation incorrecte du magasin; Fig.68 est une vue en perspective d'un appareil de reproduction conforme à l' invention:
Fig.69 est une vue en plan de l'appareil de figure
68 ; Fig.70 est une coupe verticale schématique de l'appareil de figure 68; Figs.71 et 72 représentent,d'une manière analogue aux figures 69 et 70,un second mode de réalisation d'un appareil de reproduction conforme à l'invention; Figs.73 et 74 représentent,d'une manière analogue <EMI ID=24.1>
l'appareil de reproduction selon l'invention.
Dans un carter d'épiscope 3,il est prévu d'une manière classique un système optique de projection 1 comportant un dispositif de mise au point 15. Un support de
magasin 2 peut tourner de 3600 par rapport au carter 3,comme indiqué en figure 3,et il comporte un compartiment 16 destiné
à recevoir des magasins à objets ou vues 17. Le magasin est engagé dans la direction de la flèche 18 de figure 1 et il peut être maintenu verrouillé par son carter 4 dans l'épiscope, ou plus précisément dans le support de magasin 2 de ce dernier ' On voit en figure 2 qu'il est possible,en exerçant à la main une traction sur la poignée 6,de faire sortir le tiroir 7
du carter de magasin 4 verrouillé dans le support puis de le réengager en position afin d'effectuer un changement de vue.
Il est ici avantageux que l'ouverture du tiroir servant à recevoir la pile 8 soit tournée vers le haut et que à chaque fois l'image projetée en dernier lieu soit librement accessible par le haut de manière qu'elle puisse éventuellement être enlevée. Pour la rotation du support 2,on peut maintenir le carter de projecteur 3 à l'aide des bossages 5', qui permettent également,lors du changement d'objets,d'immobiliser l'appareil
- dans le cas où l'épiscope n'est pas en position stable par gravité - . Lors de la rotation du support,le magasin est évidemment entraîné de sorte que des objets placés dans une position retournée ("sur la tête") peuvent malgré tout être projetées correctement après rotation du support;il est également possible de passer du format en hauteur au format en largeur,et inversement.
On a déjà indiqué qu'un magasin introduit dans l'appareil conserve sa position par rapport à l'optique de projection de sorte que les projections sont toujours placées dans la même position sur l'écran. En outre, le magasin changeur est avantageusement pourvu dans son .carter d'une glace de vision qui est tournée vers l'optique de projection
(à savoir le miroir d'inflexion dans l'épiscope)et qui constitue la fenêtre d'image. Grâce au système de pression à ressort qui est prévu dans le magasin,les objets sont appliquera plat contre cette glace de vision de telle manière que, une fois l'optique mise au point,cette position de réglage est maintenue pour l'ensemble du magasin et qu' il
y a tout au plus à compenser des tolérances lors du change-
<EMI ID=25.1>
magasin comme fenêtre d'objet, l'épiscope peut être ouvert dans le plan de cette fenêtre d'image.
En outrer il est possible de prévoir dans le support des alvéoles ou canaux de réception de plusieurs magasins dont les objets doivent être projetés successivement,le cas échéant avec commande programmée. En variante,on peut disposer dans l'un des alvéoles un dispositif de permutation
pour plusieurs magasins. On peut également envisager.dans le cadre de l'invention, l'utilisation de mécanismes de recherche et de changement rapides de vues.
On va maintenant décrire en détail le support de magasin en référence aux figures 4 à 7.
Comme il est possible d'avoir des objets sous
les formats les plus différents,le support doit être réalisé de manière à s'adapter automatiquement aux dimensions correspondantes des magasins. Pour des tirages photographiques,on a souvent affaire à des formats de 9 x 9 cm, 9 x 11,5 cm et 9 x 13 cm et, pour ces formats,on dispose des magasins correspondants. Il existe cependant, même pour des tirages photographiques,des formats différents et on ne peut pas prévoir si dans l'avenir on n'aura pas affaire couramment à des formats d'autres dimensions.
Le support représenté aux figures 4 à 7 est par conséquent réalisé de manière à s'adapter graduellement aux formats des magasins dans une gamme déterminée. Il comporte par exemple deux diaphragmes latéraux 9,10 qui peuvent être écartés l'un de l'autre,en opposition à une force élastique, dans la direction des flèches 20 lorsqu'un carter de magasin 4 est engagé dans la direction de la flèche 21 dans des canaux
(non visibles) prévus sur le côté inférieur des diaphragmes. Un diaphragme transversal 11 peut être ramené en arrière,
en surmontant la force de ressorts 22,quand le magasin pénètre dans un canal associé du diaphragme transversal Il.
La position de deux magasins de grosseurs différentes et des diaphragmes 9, 10 et 11 apparaît aux figures 5 et 6. En figure 6,on voit en outre,schématiquement,un levier de verrouillage 14 qui pénètre dans un évidement 23 du carter de magasin 4;cet évidement est placé dans la même position
<EMI ID=26.1>
qu'il est situé à la même distance de la paroi avant 24
de l'alvéole 16. Lors de la libération du verrou 14,le magasin est éjecté sous l'action des ressorts 22 ou d'un ressort auxiliaire. Avantageusement,le support et les magasins sont réalisés de manière que tous les magasins de formats différents viennent se placer au centre de la fenêtre
<EMI ID=27.1>
dement 23.
A la figure 7,on voit schématiquement qu'une partie de recouvrement 12 des diaphragmes vient s'accrocher sur l'encadrement 13 du carter 4 qui entoure la glace de vision
25 du magasin de sorte que,lors de la projection,seule la
zone de la fenêtre en dessous de laquelle est placée la vue intervient dans la projection mais non pas le cadre du magasin.
Aux figures 4, 5 et 6,on voit une bande 28,de préférence en feutre,fixée sur le diaphragme transversal 11 à proximité du bord extrême de ce dernier qui est tourné vers
le magasin. Cette bande de feutre s'applique contre une plaque de verre placée dans l'épiscope au-dessus du support de magasin et elle sert à enlever la poussière de cette plaque lors du changement de magasin. Il est en fait avantageux de refroid ir cette plaque de verre, à cause de la grande puissance de
la source de lumière,en même temps que la source de lumière proprement dite, à savoir, comme représenté à la figure 8,sur le côté de la plaque qui est opposé à la source lumineuse.
L'épiscope de figure 8 comporte deux parties principales:le carter de projecteur 30 qui est monté sur des pieds 32, et l'ensemble porteur 36 monté sous lui de façon à pouvoir tourner autour d'un tourillon 34. Le tourillon 34 est fixé
sur une plaque d'appui 38 qui est elle-même reliée rigidement aux pieds 32. Le carter de projecteur 30 a essentiellement en vue en plan une forme carrée (figure 10)tandis que le support est placé sensiblement dans l'intervalle existant entre
deux pieds situés en diagonale et peut ainsi tourner de 360[deg.].
En arrière du miroir de projection 40,il est prévu un ventilateur 42 à aspiration radiale, qui comporte un canal
<EMI ID=28.1>
refroidissement qui passe sur la source lumineuse 46 mais
<EMI ID=29.1>
existant entre une plaque de verre 50,qui obture le carter de projecteur vers le bas,et un magasin 17 engagé en position. L'air peut passer dans une fente 52,une limitation de la cavité étant créée par des bandes de feutre 54 placées sur
le support (ou bien en variante,figure 9, par des joints en labyrinthe 54' placés dans cette zone). Ces joints d'étanchéi-
<EMI ID=30.1>
étrangère.
La durée de service de la source lumineuse dépend essentiellement de sa fréquence d'allumage et d'extinction.On doit par conséquent éviter qu'à chaque changement d'objets
la source lumineuse soit éteinte . Dans des épiscopes classiques pour vues ou feuilles individuelles, il se produit à chaque fois un diaphragmage important . Dans l'épiscope selon l'invention,ce problème est atténué du fait que, pendant le changement de vue,la vue suivante est déjà visible. La projection d'image de ce processus de changement où le cas échéant l'image peut perdre de sa netteté,est de toute manière perturbatrice. On a pour cette raison recommandé de déplacer un diaphragme en même temps que le tiroir de changement (ou bien de le faire déplacer avec changement de vitesse par le tiroir ou par son entraînement) de manière
que ce diaphragme interrompe la projection lors du changement de vue. Un tel diaphragme d'interruption de projection doit également empêcher qu'une rotation éventuellement nécessaire du magasin (passage d'un format en hauteur à un format en largeur)apparaisse sur l'écran de projection. Enfin,on peut aussi empêcher l'ouverture d'un tel diaphragme par des moyens de commande correspondants pendant un nombre quelconque de changement de vues.
<EMI ID=31.1>
assurant la projection sur un verre mat intégré . La vue qui est placée dans la fenêtre de vision du magasin 300 est éclairée par une lampe 301,1'éclairement étant amplifié par un réflecteur 302 et un miroir 303. L'objectif 304 projette l'image avec tout grossissement approprié sur le verre mat
305. D'appareil est entouré par un carter 306.
En figure 12 on a représenté le principe optique d'un épiscope permettant au choix une projection sur un verre mat intégré ou sur un écran mural . L'éclairement de la vue se trouvant dans le magasin 300 est réalisé d'une manière analogue à celle de figure 11. L'objectif 307 comporte deux positions différentes , à savoir une position fixe pour la projection sur le verre mat et une position variable pour la projection sur un écran mural. Le miroir 308 doit également être changé de position en fonction du mode de projection dés iré .
Figure 13 représente le même principe optique que celui de figure 12. Cependant la position du magasin 300 est modifiée par rapport au vert mat. L'éclairement de la vue (objet) se trouvant dans le magasin 300 s'effectue comme à la figure 11, le déplacement de l'objectif 300 et la rotation du miroir 310 s'effectuent d'une manière analogue à figure 12.
<EMI ID=32.1>
projection à distance) sous la forme d'un miroir plan et de l'autre côté sous la forme d'un miroir concave. Le miroir concave est utilisé pour la projection sur le verre mat et il réduit la distance focale.
Aux figures 14 et 15 on voit un autre principe optique pour la projection de la vue supérieure se trouvant dans le magasin, au choix sur un verre mat ou sur un écran mural _, 1' "^clairement de la vue étant ici encore réalisé de manière analogue à figure 11.
En fonction du mode de projection désiré,on fait déplacer un système optique 311 suivant l'axe longitudinal . Dans une des positions limites (figure 14),l'objectif 312 projette l'image sur le verre mat. Dans la position limite opposée, les rayons parviennent par l'intermédiaire du miroir <EMI ID=33.1>
l'objectif 314 par rapport au miroir est réglable en fonction de l'espacement entre l'épiscope et l'écran de projection.
Les figures 16 à 18 représentent la construction
d'une visionneuse qui restitue chaque fois avec grossisse-
ment la vue supérieure de la pile contenue dans un magasin.
Le carter 315 de la visionneuse est conçu de manière à
comporter une ouverture en forme de fente pour recevoir le magasin 316,1e carter de magasin étant suffisamment bloqué
dans cette ouverture par le dispositif de verrouillage 317,
pour qu'il reste fixé en position lors de la sortie du
tiroir. La visionneuse comporte en outre une ou plusieurs
lampes 318 qui assurent l'éclairement - amplifié par des réflecteurs 319 - de la vue supérieure se trouvant dans le magasin,ainsi qu'une lentille 320 qui permet un grossissement de l'image. Pour la mise en place sur un support,par
exemple une table, il est prévu un appui 320 rabattable.Le système d'éclairement est enclenché à l'aide de la touche
322.
Aux figures 19 à 21,on a représenté en détail le support d'un magasin placé sur une paroi d'un épiscope comportant des moyens pour actionner le mécanisme de
changement et de rotation.
<EMI ID=34.1>
338, le magasin 339 est mis en place sur les deux broches 340qui s'engagent dans les ouvertures correspondantes 341 du magasin . Ces broches réceptrices 340 sont pourvues d'une surépaisseur élastique à leurs extrémités de sorte que le magasin est correctement maintenu en position,
Les broches 340 sont disposées sur des chariots
342 mobiles radialement dans des fentes 343. Les broches
340 sont guidées,sur le côté opposé au magasin, dans une coulisse 344.
Lorsque le moteur 345 entraîne en rotation le
disque à coulisse 347 par l'intermédiaire de la roue 346,
et tant que le disque à fente 348 reste parallèle à ce disque 347,les chariots 342,et par conséquent les broches réceptrices 340,se déplacent radialement vers l'extérieur <EMI ID=35.1>
mouvement de sortie du tiroir changeur.
<EMI ID=36.1>
ont atteint les demi-axes de la coulisse elliptique 344, les chariots 342,ou les broches réceptrices 340,se déplacent à nouveau radialement vers l'intérieur et le
<EMI ID=37.1>
ment de vues est effectué.
Le disque à fentes 348 est verrouillé ou libéré à l'aide d'un cliquet 349,qui est monté à rotation et qui est par exemple actionné à l'aide d'un électro-aimant ou d'un câble 350.
Si le magasin 339 doit exécuter un mouvement de bascule ou rotation -du fait qu'une vue a été introduite à l'envers ou bien à cause des positions différentes d'observation de vues prises en hauteur et en largeur-le disque
à fente 348 est libéré par le cliquet 349 de sorte qu'il peut être entraîné en rotation par le moteur 345 en même temps que le disque à coulisse 347. Il ne se produit par conséquent aucun mouvement de changement pour le magasin.
Du fait que les deux disques tournante 347 et 348 doivent comporter en leur milieu un évidement 351 de façon
à rendre visible pour le système optique de l'épiscope l'objet supérieur se trouvant dans la fenêtre 352 du magasin,les disques sont soutenus par leur contour extérieur 353;cette fonction est remplie respectivement par trois galets 354.
Les chariots 342 sont tels que des magasins de
plus petits formats puissent être également bloqués par les broches réceptrices 340.Dans ce but,le chariot est tourné
ou basculé de 180[deg.] de manière que la seconde broche 355 se rapproche excentriquement du centre du disque et que la distance entre broches soit diminuée. Du fait que la course
(demi-axe des rainures elliptiques 344) est déterminée par le magasin le plus gros,qui dépasse celle du magasin plus petit, la seconde broche 355 est fixée de façon à produire .une course à vide par .1.' intermédiaire de la tige 356.,1'entrafnement est assuré lorsque le chariot vient buter contre <EMI ID=38.1>
La'surface 358 du.chariot,qui s'applique contre le petit magasin,empêche la broche 355 de s'écarter par rota'tion lors d'un mouvement 'de recul 'à.partir de la direction radiale.
<EMI ID=39.1>
<EMI ID=40.1>
dans une position fixe. Le magasin est pour cette raison partiellement ouvert. La figure 20a représente le support de broche dans la position inversée c'est-à-dire dans la condition de réception d'un magasin plus petit .
Figure 22 représente un mode de réalisation d'un épiscope comportant un système optique de projection 130 dans une paroi frontale étroite du carter 131 de l'appareil ainsi qu'une plaque à touches de manoeuvre 132,qui peut également être sortie en vue d'une commande à distance. La plaque à touches comporte,en plus de l'interrupteur marche- <EMI ID=41.1>
<EMI ID=42.1>
A proximité de la surface de recouvrement du carter, il est prévu sur le côté un alvéole 133 d'engagement d'un magasin, cet alvéole étant normalement obturé par un cache-poussière. En figure 22a on a représenté schématiquement le miroir 129 et la position du magasin 128 lors de son engagement et du changement de vues.
Le magasin est disposé dans le carter 131 de préférence de manière que sa fenêtre soit orientée parallèlement à l'axe optique du système de projection 130 car il suffit alors d'utiliser un seul miroir 129;il n'est pas obligatoire que le magasin soit engagé latéralement:on peut également prévoir un alvéole d'introduction rabattable à l'extérieur ou bien seulement un couvercle dont l'ouverture permet d'accéder librement au support de magasin.
On voit que le carter 131 de figure 22 doit avoir une longueur et une largeur de valeurs minimales déterminées:la longueur est au moins égale à la longueur du magasin dans le sens du mouvement de changement de vue augmentée de la
course nécessaire pour le changement,tandis que la largeur est au moins égale à la dimension de diagonale du magasin afin que le mouvement de pivotement soit possible. Lorsqu'on désire réaliser une structure encore plus compacte,on doit tenir compte du fait que,pendant le processus de changement de vue et/ou le processus de rotation,des parties doivent sortir <EMI ID=43.1>
<EMI ID=44.1>
des magasins de différents les indications' précédentes sont évidemment valables pour le format le plus grand possible. Cependant il est à noter que le support doit avoir évidemment une largeur déterminée (par exemple pour des vues de 9 cm de largeur)alors que les magasins peuvent avoir des longueurs différentes (par exemple pour des vues de 9 cm,une longueur de 11,5 cm et 13 cm),car le centrage des vues est assuré indépendamment de la longueur du magasin.
Dans l'exemple de réalisation de figure 22,1e support peut tourner autour d'un pivot 134 concentrique à l'axe de la
<EMI ID=45.1>
en rotation par l'intermédiaire d'une broché placée sur le côté arrière du magasin simplifie évidemment la construction mais augmente l'encombrement). C'est pourquoi,il peut être avantageux de pourvoir le support d'une collerette circulaire et de permettre au mécanisme d'entraînement en rotation de s'accrocher sur sa périphérie (voir figures 19 à 22).Cependant dans ce cas le support 139 a en plan un contour en forme de
<EMI ID=46.1>
dans une position ("correcte").Ce résultat est garanti par le fait que le magasin comporte une rainure de guidage 135 placée dans une position asymétrique par rapport à l'épaisseur du magasin et coopérant avec un verrou d'engagement 136';pour définir la profondeur d'engagement,11 est prévu dans le fond de la rainure de guidage un creux 136 dans lequel peut pénétrer un cliquet de verrouillage 137 qui peut être soulevé à l'aide d'un aimant (non représenté). La rainure 135 est associée à des nervures de guidage 138 prévues dans le support 139
(figures 23 à 25).
Il existe d'autres possibilités pour assurer le mouvement de changement d'objets (vues) dans le magasin
on peut laisser une partie de châssis dans une position stationnaire dans le support et permettre seulement à l'autre de se déplacer;on peut également laisser le support dans une position stationnaire et permettre un déplacement des
deux parties du châssis par rapport à. ce support chacune
sur la moitié de la course;on peut également faire déplacer avec chaque partie mobile du châssis une partie correspondante du support. Il est préférable de laisser le support immobile et de faire déplacer les parties de châssis symétriquement par rapport à celui-ci car,dans la position de projection,le magasin occupe,par rapport au carter de l'épiscope,une position très favorable pour l'éclairement.
Ce mode de réalisation a été représenté aux dessins ;les
deux parties de châssis comportent chacune un trou d'accrochage 140 permettant l'accouplement de l'entraînement motorisé.
Tout d'abord,on va décrire en référence à figure
26 différentes possibilités d'accouplement de l'entraînement motorisé avec le magasin. En figure 24,on voit la première partie de châssis- appelée ci-après "carter" - désignée par
141 et la seconde partie de châssis -appelée ci-après "tiroir"désignée par 142. Il n'est évidemment pas obligatoire,mais cela est cependant avantageux pour d'autres raisons, d'assurer le guidage du "tiroir" dans le "carter" et de l'adapter à son contour. Il suffit qu'il subsiste au moins une zone du poussoir où l'entraînement motorisé peut attaquer.
En principe il y a lieu de prendre en considération la surface du poussoir située du côté fenêtre (a),sa
surface située du côté arrière (b),sa paroi frontale (c)
et ses bords étroits (d). Des considérations correspondantes, s'appliquent évidemment au carter). Lorsqu'on choisit un accouplement par conjugaison de forces à la manière d'une pince,on doit pouvoir accéder chaque fois à deux zones opposées et le tiroir doit posséder une résistance à la compression de valeur appropriée. Lorsqu'on choisit un accouplement opérant par conjugaison de formes,il n'est pas approprié d'avoir une surface située du côté de la fenêtre car l'encombrement est alors augmenté . Il est recommandé de prévoir une conjugaison de formes sur le côté frontal ou sur le côté arrière. On a représenté schématiquement en figure 27 deux exemples de conjugaison de formes sur le côté frontal', en correspondance à la paroi frontale (c).
Sur la partie gauche de la figure,un crochet double 143 est engagé dans une ouverture rectangulaire 144 qui est suffisamment grande pour permettre un désaccouplement par flexion élastique
du crochet 143 (par exemple sous l'action d'un aimant);sur
la partie droite de la figure ,une double armature 145 est engagée dans une ouverture 146 placée sur le côté frontal,de manière à être désaccouplée par une compression exercée dans le sens de la flèche.
L'accouplement préférable est cependant réalisé à l'aide d'un têton qui est engagé dans les trous d'accrochage
140 car on obtient alors des constructions simples et peu encombrantes qui permettent en outre une adaptation automatique et commode à. des courses différentes .
<EMI ID=47.1> figure 28. La tige d'accouplement 147 s'accroche par le tôton
148 dans le trou correspondant et elle peut elle-même se déplacer élastiquement par rapport à une tringlerie 149 qui exécute une course fixée en fonction du format maximal du magasin Le ressort intercalaire 150 absorbe le dépassement de course. La tige d'accouplement 147 et la tringlerie 149 peuvent exécuter l'une par rapport à l'autre un mouvement de glissement (partie droite de la figure)ou un mouvement de pivotement (partie gauche de la figure). L'accouplement élastique prévu présente l'avantage supplémentaire de permettre également la compensation de tolérances de fabrication.
Cependant.si l'on désire prévoir une course différente selon chaque format,on peut également adopter la disposition de figure 29:sur la tige d'accouplement 147,il est prévu dans ce cas un ergot d'actionnement de contacteur 152,et la tringlerie 149 porte le contacteur associé 151 qui commande la direction de déplacement.Le ressort 150 est choisi :tel qu'il soit dur par rapport à la force antagoniste se produisant,lors du changement..,sous l'effet du frottement s'exerçant entre le tiroir et le car ter,mais en étant cependant mou par rapport à la force de retenue du support,qui intervient quand le tiroir atteint sa position limite extérieure.
Aux figures 30 et 31 on a représenté schématiquement un accouplement magnétique. Dans ce cas,la tige d'accouplement 153 se déplace encore de la course totale
et l'aimant 154 fixé sur celle-ci agit sur une pièce en fer doux 155 qui est placée sur le côté frontal (figure 31)
ou sur le côté arrière (figure 30)du tiroir. La force magnétique est suffisamment grande pour vaincre le frottement s'exerçant entre le tiroir et le carter mais elle est cependant trop petite pour faire sorti: tout le magasin hors du support ou pour endommager le magasin; Il adaptation de course s'effectue d'une manière analogue à figure 28.
Selon figure 32,il est également possible d'actionner le commutateur de commande de course 151 à l'aide d'un
<EMI ID=48.1>
fin de course à l'extérieur du carter,coopère avec le contacteur installé dans une position fixe.
A la figure 33 on a représenté trois magasins de différents formats,dans lesquels les trous d'accrochage sont
<EMI ID=49.1>
symétriquement par rapport au milieu de l'image. Ces trois magasins différents peuvent être utilisés avec un dispositif d'accouplement selon figure 28. Il est à noter à cet égard que l'accouplement est réalisé de préférence au milieu du tiroir et du carter,en considérant la largeur du magasin,afin que,lors du mouvement de changement d'objets,il ne s'exerce autant que possible sur le carter et le tiroir aucun couple de basculement qui pourrait conduire à un coincement ou tout au moins à une difficulté de manoeuvre.
On peut cependant opérer également avec une course fixe déterminée pour le plus gros magasin, lorsqu'il ne se pose aucun problème de tolérances et à condition que les
<EMI ID=50.1>
vues de façon à permettre une adaptation de course. On a représenté un exemple correspondant en figure 34: seul le magasin le plus long 113a comporte des trous d'accrochage 160
<EMI ID=51.1>
comportent des fentes d'accrochage 162 et 164 qui ont une longueur correspondant chaque fois à la moitié de la différence entre la course du magasin associé et la course h du magasin 113a. Il se produit ainsi un mouvement à vide correspondant au début du processus de rentrée et de sortie du tiroir.
A titre de variante,on peut prévoir les points d'accouplement de magasins de différentes dimensions en
des endroits différents et le mécanisme de changement assure alors l'accouplement d'organes chaque fois démultipliés en corres pondance. Il est également possible d'effectuer une commutation ou inversion manuelle. Il n'est également pas obligatoire qu'un entraînement à moteur assure la sortie et la rentrée du tiroir;un mouvement dans une direction peut être assuré par un ressort, tandis que le mouvement dans l'autre direction est assuré par le moteur.
Le processus d'accouplement proprement dit peut être commandé différemment. On peut laisser l'accouplement s'établir automatiquement lors de l'engagement du magasin dans l'appareil,et on peut ne l'enclencher que par actionnement de la touche "changement" et effectuer le désaccouplement <EMI ID=52.1> magasin dans une position de projection(de préférence dans la position correspondant au format en hauteur) et établir,par rotation du support,un accouplement avecle mécanisme de changement de vues ;alors,quand il se produit en cours d'opération un changement de format,il se produit à nouveau automatiquement un désaccouplement et un réaccouplement.
Jusqu' à maintenant,on a admis que tous les magasins avaient la même largeur et étaient par conséquent adaptés au support. Il est cependant également possible d'effectuer une adaptation à des largeurs plus petites au moyen d'un masque rapporté;celui-ci est représenté aux figures 35 à 37. On retrouve en figure 35 le support 139,qui comporte dans ce cas des nervures raccourcies 166. Par le centre de son tourillon
134 passe une broche de commande 167 d'un contacteur qui coupe le circuit d'éclairement lorsqu'aucun magasin n'est engagé dans l'appareil.
Dans le support s'adapte un masque 168 dont la position limite est déterminée par la butée 169. Dans ses flasques latéraux surépaissis 170 sont logés des ressorts hélicoïdaux 171 qui sont comprimés par les nervures 166.Leur précontrainte sert à éjecter le masque lorsqu'un organe de verrouillage est dégagé. Celui-ci comporte une languette <EMI ID=53.1>
Le côté arrière du masque est ouvert afin que la cassette puisse être accouplée. aux éléments 174 et 167. Le positionnement du magasin dans le masque est assuré par les nervures 168'. Les creux de centrage 136 ne peuvent pas agir ici car ils sont recouverts par les flasques 170.Pour cette raison le support comporte dans ce cas un têton de centrage
174 s'accrochant sur le côté arrière du magasin et pénétrant dans un creux de centrage (non représenté),ledit têton
étant déclenchable contre la force d'un ressort pour permettre la sortie du magasin ou bien pouvant être utilisé - en variante - pour l'éjection du magasin. Dans ce but le masque est ouvert au moins sur un côté.
Lorsque le masque est disposé dans le support, il tourne avec celui-ci. On peut cependant estomper d'une autre manière la portée de l'image projetée lorsqu'on utilise un magasin plus petit que le format maximal possible. De tels diaphragmes peuvent être placés en n'importe quel endroit
dans le trajet des rayons émis par le projecteur.mais cependant la. solution faisant intervenir le masque est plus avantageuse .
Le masque peut également être utilisé pour assurer une adaptation de course. Tous les masques comportent le même profil -vu à partir du dispositif d'entraînement - et demandent tous une même course mais,suivant le magasin s'adaptant dans le masque-la course est diminuée ou démultipliée en
<EMI ID=54.1>
peut être avantageux d'associer à chaque épiscope un magasin coopérant avec des masques très maniables .
Dans les trois modes de réalisation du dispositif de changeur décrits ci-après,l'introduction du magasin s'effectue dans la position de "format en hauteur" alors que par contre le changement de vues s'effectue dans la position de "format en largeur" . Les dispositifs d'éjection du magasin n'ont
pas été représentés ici ;ils peuvent être logés dans une
<EMI ID=55.1>
d'engagement de magasin où il y a de la place à cet effet
-comme le montrent les dessins,-.
<EMI ID=56.1>
1102 est monté foulait saillie du carter 1100. Cet arbre porte le support de magasin 1103 et il est relié rigidement à celui-ci. Sur la surface extérieure du tourillon ou de l'arbre creux 1101, est également montée folle une poulie
<EMI ID=57.1>
courroie 1105 à un moteur tournant toujours dans le même sens de rotation,de préférence un moteur à pôles fendus;ce moteur assure avantageusement l'entraînement d'un ventilateur de refroidissement . La poulie 1104 peut coulisser axialement sur L'arbre creux 1101 et elle est maintenue à l'aide d'un ressort à boudin 1106 dans la position indiquée en figure 39. Lorsqu'une pression est exercée sur la touche de changement
1107,par exemple par un contacteur magnétique qui agit à l'endroit indiqué par la flèche 1108,la poulie 1104 est déplacée en direction d'une roue dentée 1109. La poulie 1104 d'une part et l'engrenage 1109 d'autre part portent des griffes 1110, 1111 pouvant être amenées en prise par déplacement à l'aide de la touche 1108 de manière que l'engrenage soit entraîné. L'engrenage 1109 est également monté fou sur l'arbre creux 1101.
Sa denture est en prise avec des crémaillères 1112, 1112' . Chaque crémaillère est guidée à coulissementdans une barre 1113;les barres ou rails 1113 sont
reliés rigidement au carter 1100 de l'épiscope. Chaque crénaillère comporte un appendice 1114 recourbé dans la direction de l'axe de symétrie. Chaque appendice 1114 porte une tête ou tourillon d'accouplement 1115 qui actionné magnétiquement avec la touche de changement d'objet 1108 peut s'engager dans le trou d'entraînement de la partie de châssis correspondante du magasin en vue de l'emboîtement de ce dernier dans l'appareil. La mouvement des crémaillères et des appendices 1114 est possible du fait que la pièce en tôle 1117, qui relie entre elles les deux barres 1113,comporte chaque fois une fente 1118.
Environ au point 1119,11 est prévu un contacteur de fin de course qui ouvre le circuit d'excitation partant de la touche de changement 1107 sans cependant agir sur le tourillon d'accouplement 1115, de sorte que la poulie
1104 est désaccouplée et que l'engrenage 1109 peut tourner <EMI ID=58.1>
s'effectue sous l'action de ressorts (non représentés),
qui ont été tendus par le mouvement de sortie du tiroir. Sur
<EMI ID=59.1>
qui peuvent être accouplés, de nouveau par l'intermédiaire
de tourillons à actionnement magnétique 1123,avec le
support 1103. Ces leviers servent à faire tourner le support.
<EMI ID=60.1>
produit également - avec verrouillage électrique-un actionnement de l'accouplement à griffes entre la poulie 1104 et l'engrenage 1109;par contre les accouplements magnétiques
1115 et 1123 sont bloqués l'un par rapport à l'autre
de sorte que toujours un seul d'entre eux peut entrer en action, Lors de l'activation en 1120, l'entraînement à moteur est également utilisé pour faire tourner le support,auquel cas le dispositif de changement de vue reste désaccouplé.Le mouvement de rappel ou de retour est assuré par la force d'un ressort;on peut prévoir un contacteur de fin de course qui coupe les circuits 1108/1123/1120. D'une manière analogue,on prévoit un contacteur de fin de course 1119 pour la désactivation des éléments 1108/1115. En principe,il suffit d'un levier 1121 lorsque la rotation ne doit s'effectuer que
<EMI ID=61.1>
s'effectuer un pivotement de 900 dans deux directions.
Aux figures 40, 41 et 42,on a représenté un autre mode de réalisation de l'invention. La poulie 1201 a la même disposition et remplit la même fonction que dans l'exemple précédemment décrit mais elle est cependant déplaçable axialement dans les deux directions. Lors d'un mouvement dans la direction 1202 (flèche),il s'établit un accouplement
avec l'arbre 1203 qui est fixé sur le support 1215 du magasin
1204. Lors d'un mouvement dans la direction de la flèche 1205, il se produit un accouplement avec l'engrenage 1206 qui est en prise avec deux couronnes dentées 1207,1208. Les couronnes dentées portent chacune un téton excentré et élastiquement flexible 1209,qui est accouplé par l'intermédiaire d'une manivelle 1210 avec un chariot 1211 relié de façon articulée au tourillon 1212;les chariots 1211 peuvent coulisser sur deux barres 1213. Chaque chariot 1211 porte une came d'en- <EMI ID=62.1>
<EMI ID=63.1>
sur le côté contre la force d'un ressort de pré-contrainte
1216 jusqu'à ce qu'un évidement en forme de fente 1217 arrive au-dessus de la came 1214 qui peut alors pénétrer
dans cette fente 1217. Lors du mouvement du chariot,le magasin est alors ouvert et fermé,ces deux mouvements s'effec-. tuant sous l'impulsion du moteur. Le ressort de pré-contrainte 1220 associé au têton de manivelle 1209 est suffisamment long non seulement pour absorber les tolérances de fabrication mais également pour compenser des différences de course pour des formats différents. Le mouvement de rappel
ou de retour du support 1215 peut être produit par une force élastique,le ressort étant tendu par la rotation vers
l'avant produite par le moteur,ou bien par un mécanisme inverseur qui inverse le sens de rotation,ou bien d'une manière semblable. L'éjection du magasin 1204 hors du support
1215 est assurée par actionnement de la touche d'éjection
1222 (touche d'éjection 1222' en figure 22).
On a représenté aux figures 43 et 44 une réalisation de l'invention, qui diffère par rapport au mode de réalisation précédemment décrit en ce qu'il n'est prévu qu'un seul entraîneur 1306 pourvu de deux tourillons de manivelle 1309 excentrés qui agissent par l'intermédiaire de biellettes recourbées 1301sur les chariots 1311. Comme les biellettes
1301 ne peuvent pas atteindre le palier de l'engrenage portant le tourillon excentrée,on ne prévoit qu'un demi-tour et le mouvement de rappel du dispositif changeur est
réalisé sous l'action d'un ressort de traction 1302 tendu lors du mouvement de sortie. En figure 44,on peut voir l'agencement différent de la fourchette de commutation 1303 servant à passer du mouvement de changement de vues au mouvement d'entraînement en rotation,et inversement.
' A la figure 45 on a représenté schématiquement comment on peut réaliser un appareil particulièrement compact. Le cadre 1320 reproduisant le contour de l'épiscope à l'état de repos n'est agrandi que pour l'utilisation de l'appareil par un guide rapporté 1321 qui vient se loger à l'intérieur du contour de l'épiscope à l'état de repos.Le guid�ecouvre.la partie sortante du châssis 1322 du magasin pendant le processus de changement et sert simultanément à assurer son guidage.
'Uc;,;t - --
Dans la variante représentée aux figures
46 à 48 le support est relié à un plateau tournant 1330 dont il constitue une partie. Le plateau tournant s'appuie sur quatre galets d'entraînement et de guidage 1331 répartis sur sa périphérie,de manière telle que les parties de châssis du magasin restent accessibles pour l'opération de changement d'objets et délimitent des intervalles dans chacun desquels pénètrent deux galets 1331. Pour assurer
la rotation du support, on a prévu un dispositif à moteur placé sur la périphérie du plateau tournant et assurant l'entraînement dans un sens à l'aide d'un galet de friction
1332 et dans l'autre sens à l'aide d'un galet de friction
1333. Les deux galets de friction sont en prise par l'intermédiaire de couronnes dentées et l'un d'eux est entraîné
par un moteur (non représenté) à l'aide d'une transmission
à. courroie 1334. Comme les deux galets de friction sont montés sur un fléau 1335 qui peut pivoter en 1336,il est possible,en exerçant une pression sur l'appendice de levier
3337 dans l'une ou l'autre direction,d'amener en prise l'un ou l'autre galet de friction avec le plateau tournant. La commutation peut s'effectuer,comme décrit précédemment,à l'aide de contacteurs de fin de course (non représentés).
On voit sur la vue en perspective de figure 49
et sur la figure 50 une vue en coupe montrant comment
pour une telle disposition,peut s'effectuer l'engagement du magasin. Sur le plateau tournant 1330 est articulé en 1341
un clapet 1340 qui peut s'ouvrir vers l'extérieur mais qui, après la fermeture du clapet,rend cependant possible de faire exécuter par le magasin le mouvement de changement.Le plateau tournant peut être dans ce cas supporté par un palier frontal,au lieu ou en supplément des palet.-- précités.
Aux figures 51 et 52 on voit schématiquement comment au moyen d'un masque (voir figure 35),on peut effectuer simultanément une adaptation de course du mouvement de changement.
Sur le côté arrière du masque 1400,sont tourillonnés en 1403, 1404 deux leviers pivotants 1401, 1402 . Chaque levier comporte une boutonnière 1405 dans lequel est engagé un pivot 1406. Chaque pivot est monté sur un chariot 1407 qui peut coulisser par rapport au masque dans une voie
de guidage 1408. Un ressort 1409 ramène les deux chariots l' un contre l'autre dans une position de zéro .
Des accouplements du dispositif d'entraînement
à moteur peuvent attaquer les leviers en plusieurs endroits,par exemple en 1410 et 1411 et, en fonction de la distance par rapport au centre de rotation 1403 ou 1404,il se produit,pour une même course de l'accouplement,un mouvement angulaire différent des leviers.
Ce mouvement de rotation ou de pivotement est transmis aux parties du châssis du magasin à l'aide de languettes élastiques 1412 ménagées sur les chariots 1407 et coopérant avec des têtons d'accrochage 1413.
Aux figures 53 et 54 on a représenté un dispositif
<EMI ID=64.1>
côtés étroits 1500 du magasin s'accrochent des appendices
<EMI ID=65.1>
te élastiquement vers l'intérieur,d'un étrier élastique
1502. Des étriers élastiques placés en regard l'un de l'autre sont reliés entre eux par une traverse 1503. Les parties de châssis du magasin 1504 sont pourvues de butées en gradins 1505 sur lesquelles se déplacent les appendices 1501 lors du mouvement vers l'extérieur des traverses et des étriers élastiques reliés à celles-ci. Cependant il se produit un mouvement à vide jusqu'aux gradins de butée 1505. La longueur de la course nécessaire pour un magasin donné est ainsi indiquée et détectée sur le magasin proprement dit. La . pos ition de repos des étriers élastiques est assurée par des plots d'arrêt 1506 qui pénètrent dans des évidements correspondants 1507 du masque.
On voit aux figures 55 et 56 le miroir 1600
placé à l'intérieur du carter 1601 de l'épiscope. Ce miroir est fixé sur un élément porteur 1602 d'une manière non représentée en détail. Du côté de l'élément porteur qui est opposé au miroir,il est prévu un tourillon 1603 sur lequel est monté à rotation un fourreau 1604.De ce fourreau partent un certain nombre de rayons 1605,de préférence au nombre de 3,ces rayons portant une couronne dentée 1606 sur un anneau 1607. Sur cet anneau,il est prévu des guides 1608 et 1609 pour deux paires de diaphragmes 1610, 1611 mobiles radialement par rapport au tourillon précité et qui sent déplacés en correspondance lors d'un changement de format. Lorsqu'on passe d'un format en hauteur à un format en largeur,les diaphragmes se déplacent cependant,sans modifier leur position radiale,chacun de 90[deg.] avec l'anneau
1607 .
L'entraînement en rotation de l' a.nneau est assuré à l'aide d'un pignon 1612 dont l'arbre 1613 est entraîné en rotation par le même moteur et du même angle que le support de magasin.
<EMI ID=66.1>
que,lors du mouvement de rotation,l'élément porteur 1602 ne soit pas gênant car un angle d'au moins deux fois 90[deg.] reste libre.
Aux figures 57 et 58 on a représenté en détail un dispositif de changement de vues selon le schéma des figures 40 à 42.
On peut voir à la figure 58 la partie du carter d'épiscope 1700 qui reçoit le dispositif de changement de vues et qui est pourvu de l'ouverture d'engagement de magasin 1702 . Sur le fond du carter,il est prévu un cadre en
<EMI ID=67.1>
forme de U et qui est renforcé par des soles 1706. La branche 1708 du cadre 1704,qui est placée à l'intérieur par rapport au carter d'épiscope,porte un palier 1710
dans lequel est monté le tourillon 1712 du support de magasin 1714, sans possibilité de translation axiale. Un arbre
à double manivelle 1716 est monté coaxialement à ce palier dans l'autre branche 1718 du cadre 1704 et il peut être entraîné, par l'intermédiaire d'un train d'engrenages 1720qui agit de préférence comme démultiplication - à l'aide du pignon 1722 prévu à l'extrémité d'un arbre d'entraînement d'axe 1724. Dans l'intervalle existant entre les deux branches 1708 et 1718, il est logé un mécanisme de transmission, pouvant être entraîné par le même arbre,pour
assurer le mouvement de pivotement du porte-magasin 1714, ..,..
<EMI ID=68.1>
le tourillon de ce dernier,le mécanisme de transmission
1720 étant en même temps désaccouplé;pour simplifier le dessin,on n'a cependant pas représenté les moyens prévus à cet effet et l'on se réfère à. ce sujet aux figures 40 à 42 .
Dans les fentes de guidage 1726 prévues dans la
<EMI ID=69.1>
1730; pour le montage de ces derniers,les fentes de guidage comportent à leurs extrémités des évidements agrandis 1732. L'accouplement et le désaccouplement des fentes avec les parties de châssis de magasin 1734, 1736 sont effectués automatiquement lors du mouvement de pivotement de 90[deg.] du support de magasin 1714 à partir de la position indiquée en figure 57 (position d'engagement, et simultanément position pour format en hauteur )jusque dans la position de changement de vues. A cet effet,des accouplements selon la figure 42 sont prévus mais non représentés ici . Les manivelles 1738 de l'arbre 1716 sont accouplées avec les <EMI ID=70.1>
1742; par simplification,ces biellettes ne sont représentées que par des lignes en trait mixte. Pour permettre la traversée des branches 1718 par la biellette 1740, ces branches comportent une fente 1744 orientée parallèlement à la fente de guidage du chariot associé 1728.
Lors d'une rotation de 360[deg.] de l'arbre à double manivelle 1716,les chariots 1728, 1730 effectuent entre eux, en rapport avec la double excentricité du point d'articulation des biellettes 1740, 1742 par rapport à l'axe 1746 de l'arbre 1716,un mouvement d'éloignement et de rapprochement ce qui permet l'exécution du changement de vues. On a déjà précisé et on précisera encore ci-après comment il est possible d'adapter une course,prédéterminée par construction, du dispositif de changement de vues à des magasins de différents formats.
En figure b�,on voit le côté frontal d'un magasin
1800 qui comporte une ouverture 1802. Cette ouverture
est disposée latéralement par rapport au plan de symétrie
1804 du magasin et elle sert ainsi à empêcher que le magasin soit engagé,en étant mal orienté,dans le support 1806
(figure 60).
Sur le support de magasin 1806 sont articulés un levier de verrouillage 1808 et un levier de manoeuvre 1810. Le levier de verrouillage est précontraint par un ressort
de traction 1812 dans la position représentée en figure 60, de sorte qu'il empêche l'introduction du magasin 1800.11
est engagé par son extrémité libre dans une encoche 1814
du levier de manoeuvre de sorte qu'il ne peut pas non plus être écarté non intentionnellement du magasin. Le magasin doit au contraire agir sur le bord incliné 1816 du levier
de manoeuvre 1810 et pousser celui-ci sur le côté en opposition à la force exercée par un ressort de précontrainte
1818, pour 'que le levier de verrouillage soit libéré. Le mouvement nécessaire du magasin n'est cependant possible que lorsque son ouverture 1802 vient affleurer un têton de verrouillage 1820 qui est fixé sur le levier de verrouillage
1808 ;ceci est représenté par une ligne en trait mixte en figure 60.Par contre dans l'état d'orientation incorrecte du magasin -visibles par des lignes en trait plein en figure 60le côté frontal du magasin vient buter contre le têton de verrouillage de sorte que le levier de manoeuvre ne peut pas être actionné.
'Après déverrouillage du levier de verrouillage 1808, celui-ci peut dégager dans un évidement 1822 de la paroi du support de magasin;de même le levier de manoeuvre peut être écarté jusqu'à ce que le magasin soit complètement engageable Lors de la sortie du magasin,le levier de verrouillage
suit son mouvement sous l'action du ressort de précontrainte
1812 et il pénètre à nouveau dans l'encoche 1814 du levier de manoeuvre qui revient également dans la position de verroui llage .
<EMI ID=71.1> sition des composants qui permet d'empêcher l'engagement du magasin 1900 dans une orientation incorrecte. Les ouvertures de manoeuvre 1902 du magasin sont décalées par rapport
au plan de symétrie 1904,dans le côté frontal du magasin. Le support 1906 porte,sur chacun de ses deux côtés étroits, une languette 1908 coopérant avec des paliers 1910,1912, <EMI ID=72.1>
<EMI ID=73.1>
<EMI ID=74.1>
position de verrouillage par un ressort de traction 1915
et il maintient ainsi également dans cette position
le levier de manoeuvre - contre lequel il s'applique du côté opposé au magasin. Dans le levier de manoeuvre,il est prévu un têton de verrouillage 1920 ,pouvant se déplacer contre la force d'un ressort 1918 (voir figure 63)et qui, dans le cas d'un magasin engagé correctement,s'accroche dans ladite ouverture 1902; ceci est visible dans la moitié de gauche de figure 62. Le magasin peut alors pousser latéralement
les deux leviers 1914 et 1916 et il peut être engagé complètement en position. Cependant lorsque le magasin est mal orienté (côté droit en figure 62),le têton de verrouillage
1920 est poussé vers le bas par le levier de manoeuvre car la
<EMI ID=75.1>
faible que celle du ressort de traction 1916 ,de sorte que les leviers 1914 et 1916 ne peuvent pratiquement pas encore se déplacer. La pièce de verrouillage 1922 prévue sur le côté inférieur du têton de verrouillage est maintenant placée en avant de l'extrémité libre du levier de verrouillage
1914 de sorte que, à cause de la disposition décalée de leurs paliers,les deux leviers 1914 et 1916 sont maintenant bloqués entre eux. Après enlèvement du magasin ,le mécanisme à levier de verrouillage revient dans sa position initiale, qui est définie par entrée en contact du levier de manoeuvre avec le bord 1924,qui délimite en direction du magasin une fente 1926 de réception du levier en position d'écartement.
Enfin, on voit aux figures 64 à 67 un dispositif de verrouillage empêchant un engagement du magasin mal orienté
2000, dispositif dans lequel l'orientation du magasin est détectée au moyen d'une rainure de commande ou de déviation
2002. La détection est assurée à l'aide d'un levier de commande 2008, articulé en 2004 sur un levier indicateur
2006. Ce levier 2008 comporte un bras de palpage 2010 qui, lorsque le magasin est orienté correctement, peut pivoter dans sa rainure directrice 2022 lorsque le magasin passe par son côté frontal sur le bras de verrouillage 2012 du levier 2008 et a tendance à pousser celui-ci sur le côté . Mais lorsque
<EMI ID=76.1>
peut pas s'écarter et une force de traction est alors exercée sur le levier indicateur 2006 contre la force exercée par un ressort de rappel 2014. En fait,le levier indicateur ne peut être tourné que jusque dans une position définie par la butée 2016,mais il actionne alors un contact
2018 d'un circuit indicateur de sorte que l'utilisateur est averti de la manoeuvre erronée par voie optique et/ou acoustique. La position de repos du levier indicateur est définie par la contre-butée 2020; le retour du levier de distribution
2008 dans la position de repos est assuré à l'aide d'une lame de ressort 2022.
On a déjà indiqué que le principe base de l'invention est également applicable dans le cas où une image projetée ne doit pas être visionnée directement mais doit être formée sur une matière photosensible afin de réaliser une reproduction ou une copie.
On a représenté aux figures 68 à 74 des projecteurs convenant comme appareils de copie.
Un premier mode de réalisation de ce genre d'appareil est représenté aux figures 68 à 70. Le magasin
3001 est engagé,avec son côté-fenêtre dirigé vers le haut, dans le compartiment récepteur 3002 de l'appareil 3003;1'image supérieure contenue dans le magasin reste encore visible au travers d'une ouverture 3004 de l'appareil. Lors de l'engagement du magasin 3001 dans l'appareil,des éléments d'accouplement d'un dispositif à moteur de changement de vues-comme décrit ci-dessus en référence aux figures 57 et
58 - sont amenés en prise avec les parties de châssis
du magasin de manière que,lors de l'actionnèrent de la touche
3006,1e magasin s'ouvre. Le magasin est tel que,lors de l'ouverture du tiroir changeur 3007,celle de l'image de la pile,qui était tournée vers la fenêtre d'image du magasin quand la cassette était fermée,soit également placée complètement en haut lorsque le tiroir changeur est sorti;de
tels magasins de ce genre sont décrits dans les publications citées ci-dessus.
<EMI ID=77.1>
située en haut dans le tiroir est éclairée à. l'aide des
<EMI ID=78.1>
3010 au moyen du système optique 3009. Le jeu de touches
3005 permet,avant le début de l'opération de "reproduction", d'indiquer le nombre de copies à réaliser. Lorsque le magasin contient des images qui ne doivent pas être tirées, l'utilisateur actionne pour celles-ci la touche 3011 pour laquelle il ne s'effectue qu'un changement de vue mais où il ne se produit aucune reproduction. Lorsque toutes les
<EMI ID=79.1>
la touche 3012 ,le magasin est suffisamment poussé hors du compartiment 3002 pour qu'on puisse le sortir complètement.
La matière photosensible,par exemple du papier photographique,es t déroulée,après chaque opération d'exposition,d'une,distance correspondant à une largeur de vue à partir de la bobine d'alimentation 3013 et elle est enroulée sur un tambour 3014.
La variante représentée aux figures 71 et 72 diffère de l'exemple des figures 68 à 70,en ce que la
partie de reproduction 3021 est ici sous forme d'un chariot mobile qui peut être déplacé dans le sens de la flèche 3003 au-dessus d'un magasin 3015 engagé dans l'appareil de manière que la reproduction ou tirage s'effectue quand le magasin' est fermé. Le bouton tournant 3019 permet de régler le nombre des copies désirées; à titre de contrôle ce nombre apparaît encore une fois dans la fenêtre 3031. Dans la fenê tre 3032 apparaît l'indication fournie par un compteur
qui donne le nombre total de copies réalisées par utilisateur; à titre de variante,on peut également obtenir immédiatement une impression du prix de vente ou encore - à peu près comme dans un distributeur automatique-le montant restant dû sur une somme d'argent introduite dans l'appareil.
Dans l'exemple des figures 73 et 74, le magasin
3033 est engagé,avec la fenêtre dirigée vers ie bas,dans le compartiment récepteur. Initialement la vue tournée vers la fenêtre est projetée par l'intermédiaire de miroirs 3037,
3038 sur un verre mat de contrôle 3040. A l'aide du commutateur-sélecteur 3041, on marque le nombre des copies désirées puis,en appuyant sur la touche 3042,on enclenche l'opération de reproduction. A cet effet, le miroir 3037
est amené par pivotement ou translation dans la position
3043 et la vue éclairée uniformément par les lampes 3036
est tirée sur la matière photosensible 3046 par le système optique de projection 3045.Lorsqu'on ne désire aucune copie,on appuie simplement sur la touche 3047 pour un changement-de vue;lorsqu'on appuie sur la touche 3048 le magasin est éjecté du compartiment.
Dans les deux derniers exemples de réalisation,il faut veiller que les bords de la vue à. reproduirs
soient recouverts par les zones d'encadrement du magasin
de manière que l'image soit bien "définie" . Dans le cas d'un tirage à l'échelle 1:1, il apparaît pour cette raison un bord du type "passe-partout" sur la copie . A titre de variante, on peut sélectionner une échelle de tirage légèrement agrandie en correspondance au recouvrement du bord de fenêtre pour obtenir des copies de mêmes dimensions que l'original.
REVENDICATIONS
1. Dispositif de changement d'objets utilisable
dans un épiscope à projections ou à observation directe,
caractérisé en ce que les objets en forme de feuille sont
empilés l'un sur l'autre,sur la face de la fenêtre d'image
de l'épiscope qui est opposée à la source lumineuse,dans un
magasin où, pour la projection ou l'observation, l'objet
sltué en haut de la pile est placé à plat dans le plan d'une
fenêtre ménagée dans le magasin,et dirigé vers le support d'objets,en ce que le magasin comporte une première partie
de châssis et une seconde partie de carter pouvant se déplacer en va et vient parallèlement au plan de la fenêtre
et par rapport à la première partie de carter en vue d'un
changement cyclique de l'objet supérieur à l'intérieur du
magasin,et en ce que l'épiscope comporte un support déclenchable dans lequel une des parties de carter, peut être
fixée dans une position où,pendant la projection ou
l'observation,le plan de fenêtre du magasin s'applique
contre le support d'objets et où, en vue du changement
d'objets,les deux parties de carter restent mobiles l'une par
rapport à l'autre.