Dispositif de chanfreinage du bord d'un verre
La présente invention est relative à un dispositif pour chanfreiner extérieurement et/ou intérieurement le bord d'un verre creux ou analogue. Au préalable, le tord du verre est fletté perpendiculairement à son axe.
Le dispositif de chanfreinage comprend un outil de travail appliqué contre le bord du verre sous une pression déterminée.,, élastique et réglable. Lors du chanfreinage, l'outil de travail est déplacé contre le bord du verre qui est lui-mêne mis en rotation autour de son axe disposé verticalement.
Dans certains dispositifs de chanfreinage connus
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bure de silicium. En fait, le dispositif de chanfreinage comporte deux bandes abrasives l'une attaquent extérieurement et l'autre intérieurement le bord du verre en des endroits peu distants l'un de l'autre. Chaque bande abrasive attaaue transversalement le bord du verre sous une pression
<EMI ID=2.1> sant latéralement la bande abrasive. Les pressions de chanfreinage des deux bandes abrasives- sont équilibrées
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sont appliqués contre le verre vis à vis des bandes abrasives. D'autre part, chaque bande abrasive et ses moyens de commande,de transmission et de Guidage est montée sur un balancier pivotant autour d'un arbre horizontal.
Les premiers dispositifs de chanfreinage connus
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sive.
En pratique, la bande abrasive est déplacée contre le bord du verre à très grande vitesse pouvant attein-
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ment usée et présente une durée d'emploi très limitée. C' est pourquoi on utilise des bandes abrasives relativement longues. l'aigre sa longueur importante, la bande abrasive doit être remplacée fréquemment. Ainsi, dans un dispositif de chanfreinage débitant 25 verres chanfreinés par minute, la bande abrasive d'una longueur de 3,3*3 mètres doit être remplacée après une heure de service environ. D'autre part,
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une minute . Il en résulte que la bande abrasive est
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mobilisation de ce dernier et qui nuit à sa productivité.
A cause de la longueur importante de la bande abrasive, le balancier de support de cette bande est encombrant tandis que les moyens de transmission de puissance entraînant cette même bande sont compliqués. Par
<EMI ID=8.1> le balancier de support sont constitués notamment de galets tournant à des vitesses élevées pouvant atteindre
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de abrasive par rapport a l'axe vertical du verre provoque sur les galets de guidage des solicitations importantes qui risquent de les briser.
Dans d'autres dispositifs de chanfreinage connus du même type, l'outil de travail est constitué par une meule circulaire flexible en .caoutchouc Dans ce cas, la meule est montée sur un arbre de rotation qui s'étend perpendiculairement à l'axe du verre en étant distant de ce dernier. De ce fait, la meule attaque transversalement le
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Les seconds dispositifs de chanfreinage connus présentent aussi des désavantages dus à leur meule séquente .
Malgré sa flexibilité, la meule séquente ne peut pas attaquer le bord du verre suivant l'ovalisation de ce dernier. Il en résulte que la meule séquente provoque souvent des bris ou des écaillàges du bord du verre. Le neule séquente ne peut donc chanfreiner que des productions soignées de verre creux.
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dispositif de chanfreinage qui permet de remédier aux inconvénients précités des cas connus.
A cet effet, dans le nouveau dispositif de chanfreinage, l'outil de travail est constitué par une aïeule
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meule peut être droite ou concave mais en pratique elle est de préférence conique. Dans le nouveau cas, la meule est montée sur un arbre de rotation horizontal pu sensiblement horizontal. L'axe longitudinal de l'arbre de rotation rencontre constamment l'pxe du verre proprement
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rizontalement, conjointement à l'arbre à rotation, sous le contrôle d'un galet suiveur applicable sous une pression élastique réglable contre la face extérieure du verre en rotation. De la sorte, la meule attaque tangentiel-
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fauts de planéité de ce bord et ceux de concentricité et d'ovalisation de ce verre.
Grâce à son nouvel outil de travail, le dispositif de chanfreinage selon l'invention permet encore d' augmenter la production en verres flettés à puissance absorbée ou consommée égale.
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et applicables l'une contre l'arête extérieure et 1'autre
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pratique, les faces p.brssives tronconiques de la meule
en question forment entre elles un biseau isocèle.
Selcn des caractéristiques mécaniques du nouveau disnositif, l'arbre de rotation de la meule est monté dans
<EMI ID=19.1> entraîné par des moyens de transmission à friction. Le carter pivote autour d'un axe horizontal de pivotement perpendiculaire à l'axe vertical du verre et à celui de cet arbre de rotation. Dans ce cas, la pression élastique d'application de la meule sur le bord fletté du verre
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axe horizontal de pivotement par un cylindre pneumatique articulé au carter basculant à la manière d'un balancier, cette pression d'application étant de la sorte réglable et contrôlable.
Selon d'autres caractéristiques constructives du nouveau dispositif, le carter qui porte la meule est monté dans un support qui porte le galet suiveur et qui
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l'extrémité d'un bras qui s'étend longitudinalement suivent un axe horizontal rencontrant l'axe vertical du verre
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cet axe horizontal par rapport à cet axe vertical. Ces caractéristiques permettent facilement de nodifier légèrement
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Dans ce cas, pour positionner aisément'la. meule et le ga-
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deux meules fonctionnent individuellement et respectivement sous le contrôle de deux galets suiveurs appliquas contre
la face extérieure du verre en deux points diamétralement opposés. Les deux meules défilent en sens opposé et attaquent l'arête intérieure et/ou l'arête extérieure du bord fletté
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té du verre en rotation.
D'autres détails et particularités de l'Invention apparaîtront au cours de la description et des 'dessins an-
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et à titre d'exemple seulement une forme de réalisation de l'invention.
<EMI ID=28.1> sitif de chanfreinage selon l'invention, faite suivant
l'axe du verre et celui de l'outil de travail.
Les figures 2 et 3 sont a plus grande échelle
deux schémas illustrant les positions relatives de l'outil de travail et du verre, respectivement au début du chanfreinage des arêtes intérieure et extérieure du bord
de ce verre.
La figure 4 est une coupe verticale transversale du dispositif de chanfreinage. La figure 5 est une vue en plan du dispositif de chanfreinage.
Dans ces différentes figures, des mêmes notations de référence désignent des éléments identiques.
Le dispositif représenté sert à traiter des verres creux 1 ou des objets analogues et consiste à chanfreiner extérieurement et intérieurement le bord 2 des verres 1.
Dans la chaîne de fabrication des verres 1, le dispositif de chanfreinage est disposé après un disposi-
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pendiculairement à son axe 3, c'est-à-dire de meuler et de rectifier le bord 2 du verre 1 perpendiculairement à
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au chalumeau le bord 2 fletté et chanfreiné du verre 1 pour 'le rebrûler, ce rebrûlage étant une fusion du bord 2.
Chaque verre 1 à traiter est monté sur une tête
de préhension 4 déplaçable verticalement sous l'action d' un cylindre hydraulique ou pneumatique. La tête de pré- hension 4 comporte un plateau inférieur 5 contre lequel le pied 6 du verre 1 est appliqué horizontalement. Le pied 6 du verre 1 est maintenu fermement sur le plateau
5 en étant serré entre des griffes 7 déplaçables conjointement et radialement dans des fentes prévues dans ce plateau 5.
Le verre 1 placé sur la tête de préhension 4 présente son axe 3 disposé verticalement et aligné suivant l'axe de coulissement de cette tête de préhension 4.
Outre sa translation verticale le long de l'axe 3, la tête de préhension 4 est rotative autour de cet axe 3 sous l'action de moyens de commande et de transmission non représentés. Au cours du chanfreinage du bord 2 du verre 1, la tête de préhension est mise en rotation autour de l'axe 3 en sorte qu'alors le verre 1 tourne autour
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L'outillage servant à chanfreiner extérieurement et intérieurement le bord 2 du verre 1 est constitué de deux meules abrasives 9 et 9' identiques et disposées diamétralement par rapport à l'axe 3. La disposition des
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tiques et fonctionnent d'ailleurs individuellement. Par exemple, la meule 9 de droite attaque l'arête intérieure 10 du bord 2 du verre 1 et chanfreine intérieurement ce bord 2, tandis que la meule 9' de gauche attaque l'arête extérieure 11 du bord 2 et chanfreine extérieurement ce bord 2, ainsi Que l'indiquent les figures 2 et 3. De la sorte,
les points de contact'des saules 9 et 9' avec le bord 2 du verre 1 sont diamétralement opposés, à 1 épaisseur de ce bord 2 près. Il est à noter que les deux meules
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ou l'arête extérieure du bord 2 flotté.
Chaque meule 9 ou 9' présente deux faces abrasives
12 et 13 tronconiques, garnies chacune d'une concrétion dia-
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abrasive 12 de droite chanfreine le bord 2 intérieurement pour la meule de droite 9 et extérieurement pour la meule
de gauche 9'. La face abrasive 13 de gauche chanfreine le bord 2 extérieurement pour la meule de droite 9 et intérieurement pour la meule de gauche 9'. Il est très important de
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gentiellement le bord 2 du verre 1.
Pour la facilité de la description, on considère
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La meule 9 est montée à l'extrémité 14 d'un arbre de rotation 15 horizontal ou sensiblement horizontal. La meule 9 est calée sur l'extrémité 14 et y est retenue latéralement par un anneau 16 fixé par un boulon 17 dont la tige filetée est vissée dans un trou borgne taraudé de cette extrémité 14.
L'arbre de rotation 15 est monté rotatif dans un boîtier 18 par exemple par l'intermédiaire de roulements à billes 19 et 19' . Le roulement à billes 19' de gauche prend appui contre un rebord interne 20 du boîtier 18 et contre une bague d'entretoisement 21, tandis que le roulement à
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1.
Outre le manchon cannelé précité 22, les moyens de transmission à friction 26 comprennent une couronne 27
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intérieurement d'une couronne d'entraînement à friction
en caoutchouc matérialisée par exemple par- des. anneaux toriques 31 en caoutchouc ou en matière synthétique analogue.
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le manchon 22 pour assurer la transmission de puissance entre la couronne 27 et ce manchon 22, c'est-à-dire entre les arbres 29 et 15 ou encore entre le moteur 25 et la meule 9.
L'ensemble de la transmission à friction 26 est logé dans un deuxième boîtier 32 sur lequel est fixé le premier boîtier 18.
D'outre part, le moteur 25 est monté à son tour dans un troisième boîtier 33 par exemple par des boulons de fixation 34 dont les têtes sont logées et retenues dans des évidements correspondants des fonds de ce boîtier 33 et dont les tiges filetées traversent des ouvertures prolongeant ces evidements et sont vissées dans des trous borgnes taraudés du carter proprement dit du moteur 25.
Le deuxième boîtier 32 est par ailleurs solidarisé axialement au troisième boîtier 35 par des moyens conventionnels.
En pratique, les trois 'bottiers 18, 32 et 33 forment ensemble un carter général - dans lequel est monté l'arbre de rotation 15 de la meule 9 et les moyeus capables de faire tourner cette meule 9 autour de l'axe
24 susdit.
Le carter général 18, 32 et 33 est monté dans
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un axe de pivotement horizontal 36 qui est constamment perpendiculaire à la fois à l'axe vertical 3 du verre 1 et à l'axe horizontal 24 de rotation de la meule 9. A cet effet, le boîtier 33 du carter général présente deux ouvertures opposées, traversées par un arbre de pivotement creux 37 tubulaire. L'arbre 37 est monté à ses extrémités sur des pointes opposées 38 et 38' constituées en fait de tiges filetées qui sont vissées dans des trous taraudés des ailes du support 35 et qui y sont retenues par des
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A l'intérieur du support 35, le carter général
18, 32 et 33 est donc monté pendulaire autour de l'axe
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néral 35 a tendance a pivoter vers le bas du côté du ver-
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En service, la meule 9 en rotation autour de l'axe 24 est appliquée élastiquement contre le bord 2 du verre 1 lui-même en rotation autour de l'axe 3 sous une pression d'application prédéterminée, qui est pratiquement constante et qui provient de la poussée pneumatique exercée par le cylindre 40, le piston 41 et la liaison 42. Le dégagement de la meule 3 s'effectue sous l'action inverse
Le support en U 35 porte par ailleurs près de
son bord le plus éloigné du verre 1 un cylindre pneumatique 40 dont la tige de piston 41 est articulée en 42
au boîtier 33 du carter général 18, 32 et 33. Le point d'articulation 42 précité se trouve du côté opposé au
verre 1 par rapport au plan vertical passant par l'axe
36. Le cylindre 40 permet la commande contrôlée du pi-
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pour assurer le positionnement en hauteur da la meule 9 par rapport'au bord 2 du verre 1,- la pression de chanfreinage et le dégagement de la meule 9 vers le bas.
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un bras horizontal 43 qui s'étend perpendiculairement à ses ailes. Le bras 43 est équipé à son extrémité libre d'un galet suiveur 44. Dans ce but, au bras 43 est fixé par un boulon 45, un pivot 46 s'étendant vers le bas.
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let suiveur 44 est pourvu d'un anneau torique 48 en caoutchouc ou en matière synthéti que analogue..Comme le montre la figure 1, le galet suiveur 44 est appliqué par son anneau souple 48 contre la face extérieure du verre 1.
Le bras 43 porteur du galet suiveur 44 est placé à plat contre l'âme du support 35. Le bras 43 en question a une position réglable sur l'âme du support 35 suivent son axe longitudinal, lequel rencontre constamment l'axe 3 du verre 1. A cet effet, le bras 43 est engagé à tra-
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par un étrier 49 dont les ailes dirigées vers le bas sont solidarisées à l'âme en question près de son bord le plus rapproché du verre 1. En outre, le bras 43 est serré contre l'âme susdite par un boulon de serrage 50 vissé dans la partie supérieure horizontale de l'étrier
49.
Le support en U 35 et tout ce qu'il porte est monté d'une manière articulée sur une colonne fixe 51
du bâti de l'installation. En outre, le support 35 est mobile par rapport à la colonne fixe 51 en gardant ccnstamment la même direction. De la sorte, les axes horizontaux 24 et 36 précités gardent aussi constamment leurs propres directions et sont en permanence perpendiculaires a l'axe 3 du verre 1. Pour qu'il en soit ainsi, le support 35 est relié à la colonne fixe 51 par deux parallé-
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53 pivote d'un côté autour d'un pivot 54 mont 6 sur des pattes 5.7 .fixées à l'aile correspondante du support 35, et du côté opposé, autour d'un pivot analogue 55 nonté à son tour sur des pattes 55 fixées à la colonne fixe 51. Les figures 4 et 5 illustrent d'ailleurs suffisamment le montage du support 35 sur la colonne fixe 51 les parallélogrammes articulés 52 et 52' .
Les déplacements alternatifs du support 35 par rapport à la colonne fixe 51 sont commandés par deux cylindres pneumatiques 58 et 59 ayant des fonctions distinctes.
Le cylindre pneumatique 58 situé du côte du verre 1 a son corps de cylindre 60 articulé autour d'un pi-
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port 53 soudée à la colonne fixe 51. En outre, la tige de piston 64 du cylindre pneumatique 58 est articulée au milieu de la bielle 53 correspondante par un pivot 65.
Semblablement, pour le cylindre pneumatique 59 opposé à le meule 9, le corps de cylindre 66 pivote au-
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que de support 69 solidarisée latéralement au support 35,
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la bielle 53 correspondante par un pivot 71.
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assure un déplacement vers l'axe 3 dû support 35 et de tout ce qu'il porte. L'actionnement du seul cylindre pneumatique 59 assure le déplacement du support 35 dans le sens opposé.
Le cylindre pneumatique permet donc le position-
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ainsi de la pression pneumatique de préférence réglable existant dans le cylindre pneumatique 58. D'autre part, le cylindre pneumatique 59 permet le dégagement horizontal de
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verre 1 .
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est nonté sur un support 73 fixé au'support 35 par des boulons 74. L'injecteur 72 est raccordé à une conduite d'alimentation 75 d' un liquide de refroidissement en service des faces abrasives de la meule 9. De la sorte, l'injecteur 72
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tre le bord 2 du verre 1, un liquide améliorant le chanfreinage de ce bord. Accesoirement, les éclaboussures du jet du
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73.
Ainsi, pour chanfreiner intérieurement et extérieurement le verre 1 amené à hauteur voulue, on abaisse d'abord la meule 9, dans sa position inférieure en agissent sur le cylindre pneumatique 40. On amène la neule 9 en dessous du verre 1 en agissant sur le cylindre pneumatique 58. On relève la seule 9 jusqu'au niveau du bord 2 du verre 1 en ac-
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si le galet suiveur 44 latéralement contre le verre 1 . On maintient une légère pression dans le cylindre pneumatique
58 pour que le galet suiveur 44 prenne constamment appui sur le verre 1. On fait agir le cylindre 40 dans le sens inverse à celui décrit ci-dessus pour appliquer la neule ? contre le
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pivotement 36, on produit la rotation du verre 1 et de le meule 9. Après chanfreinage, le verre et la meule pouvant continuer à tourner, on refait les déplacements inverses en agissant sur les mènes organes mais d'une manière opposée, le dégagement du support 35 et de tout ce qu'il porte, par rapport à l'axe 3 du verre 1.,étant obtenu toutefois en agissant sur le cylindre pneumatique
59.
Il est a noter que pour un même type de verre
1, il est possible de ne pas toujours chanfreiner le bord 2 suivant une même ligne de contact circulaire sur la face de travail de la meule 9. Pour cela, il suffit simplement d'abaisser la meule 9, d'avancer ou de reculer légèrement le galet suiveur 44 et le bras porteur 43 sur le support 35 et de relever encore cette meule 9 qui touche alors le bord 2 suivant une autre ligne de contact.On parvient ainsi a repartir l'usure de la concrétion diamantée de la meule 9 sur toute la largeur de sa face abrasive active.
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chanfreiner indifféremment l'arête intérieure ou extérieure du bord 2 du verre 1. Toutefois, les idées inventives sont applicables au cas d'une meule ayant.une seule
face abrasive tronconique pouvant être diamantéo ou autre.
D'autre part, le dispositif de chanfreinage représenté comporte deux meules 9 et 9' diamétralement opposées par rapport à l'axe 3 du verre 1 et agissant si-
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nage équipé d'une seule Peule ou d'au moins trois meules du même type.
Enfin, il se peut que la ou les faces abrasives
12 et 13 de la meule 9 soient concaves au lieu d'être planes comme dans le cas décrit.
Il est évident que l'invention n'est pas exclusivement limitée à la forme de réalisation représentée et que bien des modifications peuvent être apportées dans la forme, la disposition at la constitution de certains des éléments intervenant dans sa réalisation à condition que
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objet de chacune des revendications suivantes.