"MACHINE A CHANFREINER LES BORDS DE PLAQUES DE VERRE"
la présente addition concerne une machine à chanfreiner les bords de plaques de verre, et en particulier une machine pour chanfreiner le bord inférieur d'une plaque de verre au moyen de plusieurs mules disposées en série, cette plaque étant maintenue et transportée entre une paire de bandes transporteuses de façon que cette plaque soit soutenue par pluc'eurs rouleaux d'appui.
On connaît déjà une machine ce ce type, ayant deux bandes transporteuses pour transporter et maintenir entre elles des plaques de verre, chacune de ces bandes s'étandant entre deux poulies (dont l'une est menante) et étant apte à être pressée contre la Surface du verre au moyen de deux rouleaux presseurs réglables prévus en dedans de chaque bande. Ces rouleaux presseurs sont en matériau rigide, par exemple en fer, ou en matériau élastique, par exemple en matière plastique ou en caoutchouc rigide. En particulier, dans le cas d'une bande transporteuse équipée de rouleaux
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cher, au cours du transport, un déplacement latéral des plaques de verre qui les ferait pénétrer trop avant dans la section de meulage, ces moyens à ressorts soutenant élastiquement les plaques de verre en les pressant. Par exemple, dans la machine à chanfreiner classique représentée schématiquement sur la figure 1, une plaque de verre 1, qui est soutenue avec pression, par l'intermédiaire de deux bandes transporteuses 4A, 4B, par des rouleaux presseurs 3A, 3B, munis de moyens à ressorts 2, et est chanfreinée par une meule tournante 5, s'éloigne légèrement dans le sens de la flèche A au début du meulage, puis revient à sa position primitive une fois le meulage terminé. Par conséquent, la portion de plaque de verre cnanfreinée au début de l'opération a ua degré de chan.freinage différent de celui de la portion traitée vers la fin de l'opération, et la plaque
( <EMI ID=2.1>
pas uniformément chanfreinée du commencement à la fin. En outre,
les rouleaux presseurs sont espacés l'un de l'autre, si bien que si
chacun d'eux n'est pas disposé bien en face de l'autre, la plaque
de verre passant sur la meule est insuffisamment soutenue et donc repoussée dans le sens de la poussée de la meule, si bien que le chanfreinage est imprécis.
Il en est de même dans le cas de bandes transporteuses
munies de rouleaux élastiques.
Pour supprimer ces inconvénients, on a proposé de remplacer
un rouleau élastique ou un rouleau à ressorts 3B par une plaque d'appui disposée en contact avec le dos de la bande transporteuse et soutenant toute la surface de la portion interne de cette bande. Un rouleau ne soutient que partiellement une plaque de verre par l'intermédiaire
d'une bande, tandis qu'au contraire cette plaque d'appui soutient la totalité de la surface de la plaque de verre, ce qui résout les problèmes mentionnés plus haut. Toutefois, quand on regarde une plaque de verre à l'oeil nu, on s'aperçoit qu'elle a un profil ondulé. Par conséquent, la plaque d'appui à surface plane ne peut pas épouser complètement la surface d'une plaque de verre. En particulier, lorsqu'on chanfreine un bord de la plaque de verre, il faut soutenir de façon
sûre et fixe le bord inférieur de cette plaque où la portion la plus proche de la meule, car sans cela cette portion se déplacera librement,
et risquera d'être chanfreinée irrégulièrement.
On voit donc que le soutien total d'une plaque de verre,
et en particulier le soutien de son extrémité inférieure, ne sont réalisés ni par une plaque d'appui plate ni par les rouleaux presseurs
<EMI ID=3.1> L'addition a principalement pour but de supprimer ces inconvénients en réalisant une plaque d'appui, une plaque rigide 7 concave comme le montre la figure 2, différentes sortes de plaques d'appui modifiées, comme le montrent les figures 18 et 19, et différentes sortes de bandes, par modification de l'allure ordinaire
de la sec/tion transversale, comme le montrent les figures 10 à 13.
Si l'on utilise soit l'une de ces plaques d'appui, soit l'une de ces bandes, la partie supérieure de la portion inférieure de la plaque de verre est au moins poussée de façon à être maintenue par la portion inférieure extrême de la bande sur la plaque d'appui rigide.
En conséquence, si une plaque d'appui et la bande sur
la plaque d'appui rigide sont plates toutes les deux, la force d'appui transmise à la plaque de verre par l'intermédiaire de la bande est dispersée, tandis que la farce d'appui est transmise d'une manière concentrée si on utilise soit l'une desdites plaques d'appui, soit l'une desdites bandes.
La portion de la plaque de verre située près de la meule, c'est-à-dire la partie supérieure de laportion inférieure extrême de la plaque de verre, est donc à coup sur maintenue fixement. La figure 2 montre, par exemple, une plaque de verre 1 maintenue par deux convoyeurs 4A, 4B, pour être meulée par une meule 5 dans ces conditions.
Selon l'addition, et comme montré sur la figure 4, une plaque de verre 1, serrée par deux bandes transporteuses 4A, 4B est soutenue par une plaque d'appui concave 7 fixée sur un cadre 8 au moyen d'une bande transporteuse, tandis qu'elle est déformée en un
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par un rouleau élastique 3 par l'intermédiaire de l'autre bande transporteuse 4A, si bien que la partie supérieure de l'extrémité inférieure de la plaque de verre située à cOté de la meule est è
coup sur maintenue fixement par l'extrémité inférieure de ladite bande sur ladite plaque d'appui rigide 7, ce qui empêche ladite partie de la plaque de verre d'être déplacée en arrière, ou de vibrer, sous la force de la meule. En outre, la meule tournante 5 est montée pour pouvoir se déplacer axialement et radialement grace à un montage de support d'axe, ce qui évite qu'une plaque de verre ne s'introduise anormalement dans le dispositif de meulage. La plaque de verre est ainsi uniformément et régulièrement chanfreinée sur toute sa longueur.
Le dessin annexé, donné à titre d'exemple non limitatif permettra de mieux comprendre les caractéristiques de l'addition.
est
- Figure '/une vue schématique, partiellement en coupe transversale, d'une machine classique à chanfreiner les bords de plaques de verre, montrant plus particulièrement le système de bandes transporteuses,
- Figure 2 est une vue schématique en coupe transversale montrant une plaque de support concave et le mécanisme destiné à maintenir un rouleau presseur, <EMI ID=5.1> à chanfreiner les bords de plaque suivant le-addition,
- Figure 4 est une vue en plan de la machine de la figure 3, montrant particulièrement les positions ci'une paire de bandes transporteuses et d'une plaque d'appui,
- Figure 5 est une vue analogue à la figure 4, montrant particulièrement un dispositif de meulage,
- Figure 6 est une vue en plan d'une mise en oeuvre d'une machine à chanfreiner suivant une variante de l'addition,
- Figure 7 est une vue en perspective, à échelle agrandie,
d'un méca- <EMI ID=6.1> - Figure 8 est une vue schématique en section transversale de la machine de la figure 3,
- Figure 9 est une vue en coupe, à échelle agrandie, de la partie essentielle des bandes transporteuses de la figure 8.
- Figures 10 à 13 sont des vues schématiques en coupe transversale de bandes transporteuses suivant l'addition,
- Figures 14 à 17 sont des vues en coupe, à échelle agrandie, de la partie essentielle des bandes transporteuses , suivant L'addition, <EMI ID=7.1> de plaques d'appui modifiées suivant l'addition,
- Figures 20 et 21 sont des vues en coupe à échelle agrandie de bandes transporteuses munies respectivement de ces plaques d'appui modifiées, <EMI ID=8.1> transporteuse , pour montrer une bague élastique soutenant un rouleau presseur,
- Figure 23 est une vue en perspective,
partiellement découpée pour <EMI ID=9.1>
- Figure 24 est une vue en coupe représentant une mise en oeuvre d'un montage de support d'axe dans un dispositif de meulage,
- Figure 25 est une vue montrant une plaque de verre en train d'être chanfreinée par une meule,
- Figure 26 est une vue en coupe montrant la structure interne d'un dispositif de meulage,
- Figures 27 et 28 sont des vues explicatives montrant un exemple de moyen de poussée monté sur l'axe d'un dispositif de meulage. La figure 3 montre dans son ensemble un exemple de machine à chanfreiner les plaques de verre suivant l'addition. Cette machine comporte, d'une manière générale, une section A d'alimentation en plaques de verre, une section B de meulage ou chanfreinage de ces <EMI ID=10.1>
d'alimentation A, on a prévu un convoyeur 10 à bande sur lequel on monte l'extrémité inférieure des plaques de verre pour amener cellesci à la section de chanfreinage B. Ce convoyeur 10 comporte une
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poulie de support 13 , et une poulie de tension 14. La poulie d'entraînement 12 est fixée sur l'arbre de sortie d'un mécanisme réducteur 1 5 relié à un moteur 16.
Un cadre d'appui 17 est muni d'un certain nombre de ga-
<EMI ID=12.1>
ment inclinée par rapport à un plan vertical.
Dans la section B de meulage ou chanfreinage, une plaque de verre amenée par le convoyeur 10 et transportée en continu par deux bandes transporteuses 19, 20 est chanfreinée par dix dispositifs de meulage 21 à 30 disposés en série dans le sens de l'avance des plaques de verre.
Comme le montre la figure 7, les bandes transporteuses
<EMI ID=13.1>
Comme on peut le voir dans la figure 4, la bande 4A est moins large que la bande 4B par suite de la présence des dispositifs de meulage, cette bande 4B étant par ailleurs légèrement plus mince que la bande 4A., de manière à pouvoir être effectivement déformée en épousant la surface concave d'une plaque d'appui qui sera décrite plus loin. Chacune de ces bandes est faite d'une'matière rigide, par exemple de caoutchouc synthétique, ou de résine synthétique. Les poulies 32, 34 sont des poulies d'entraînement dont la commande est montrée sur la figure 7. Comme on peut le voir sur cette figure, les poulies 32, 3 sont entraînées par le moteur 36.
En d'autres termes, la rotation du <EMI ID=14.1> au moyen des premier et second mécanismes réducteurs 37, 38 et des courroies de transmission 39, 40, 41 de manière à faire tourner les poulies 32 et 34 en sens inverse l'une de l'autre. Dans ce cas, la vitesse de déplacement des deux bandes 4A, 4B est la même, et cette vitesse est réglée en synchronisme avec la vitesse de la bande 11 du convoyeur 10 dans la section A d'alimentation en plaques de verre.
La tension de la bande de chacune des bandes transporteuses 19, 20 est réglable , et en outre l'espace transversal entre ces deux bandes peut être réglé. En d'autres termes, l'arbre 32a de la poulie 32 de la bande transporteuse 19 est monté au moyen d'un palier sur un support 42a fixé sur l'une des extrémités d'un bâti mobile 42 monté latéralement et de façon mobile sur le socle 31, tandis que l'arbre 33a de l'autre poulie ou poulie 33 est maintenu au moyen d'un palier sur une glissière 33b, laquelle est montée pour coulisser longitudinalement sur un support 42b fixé sur l'autre extrémité du bâti mobile 42 (fig. 7).
En outre, l'arbre 34a de la poulie 34 de la bande transporteuse 20 est monté au moyen d'un palier sur un support 43a fixé sur l'une des extrémités d'un bâti fixe 43 monté sur le socle 31, tandis que l'arbre 35a de la poulie 35 est maintenue par une glissière 35b analogue à la glissière 33b. Entre les glissières 33b et 35b et les supports 42b et 43b respectivement, sont prévues des vis réglables 44 et 45, et en faisant tourner ces vis on peut faire avancer et reculer longitudinalement les arbres
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D'autre part, l'écart ménagé entre les bandes transporteuses 19 et
20 est réglé au moyen d'une manivelle 46 grâce à laquelle on peut faire tourner un arbre 47 dont la rotation est transmise à un arbre
49 au moyen de trois paires de pignons coniques 48. L'arbre 49 commande les déplacements transversaux d'untâti mobile 42. /il <EMI ID=16.1>
une poignée de commande 50a. Plusieurs rouleaux presseurs 3 sont prévus à l'intérieur du bati mobile 42 pour soutenir par derrière, avec pression , la bande 4A. Comme on peut le voir sur les figures 8, 9 et 12, chacun de ces rouleaux est muni d'un axe 82 qui est engagé dans des bagues élastiques 84 montées dans des trous 83 du bati42. Le rouleau presseur 3 est ainsi maintenu par ces bagues élastiques 84, et peut s'écarter tout en pressant élastiquement la bande 4A quand celle-ci est chargée par l'introduction d'une plaque
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que et compressible. Il peut par exemple s'agir d'un caoutchouc, ou d'un haut polymère mou pouvant supporter une petite charge sans se rompre. On peut employer au moins une plaque de frottement ou au moins une plaque de pression à titre d'organes de pression pour remplacer les rouleaux presseurs 3.
La surface intérieure de la bande 4B du convoyeur 20 est soutenue par une plaque d'appui 7 ayant une légère concavité 7a de l'une de ses extrémités à l'autre. On obtient ordinairement cette plaque en cintrant une plaque métallique (on peut également l'obtenir en usinant une plaque métallique relativement épaisse, mais un tel usinage est techniquement difficile et très coûteux). Cette plaque est fixée sur le bâti fixe 43, comme on le voit sur la figure 22. Elle dépasse légèrement de part et d'autre de la bande 4B, dans le sens de la largeur. Les portions haute et basse de bande ainsi en dépassement sont munies d'un organe de guidage 51 et d'un organe de support 52, de même forme. Cet organe de support 52 est monté fixe sur la plaque d'appui. L'organe de guidage 51 est monté de façon amovible sur l'extrémité supérieure de la bande 4B et est maintenu" .
L
en place par des gardes 53 prévues sur l'extrémité supérieure de la plaque d'appui, en assurant ainsi un mouvement uniforme et sensiblement rectiligne de la bande 4B pour l'empêcher de serpenter et de dévier vers le haut (fig. 23). Les extrémités supérieure et inférieure de la bande 4A de l'autre convoyeur sont pourvues d'une manière similaire d'un organe de guidage 54 et d'un organe de support 55. L'organe de support 55 est fixé sur la partie inférieure du bâti mobile 42, tandis que l'organe de support 54 est fixé sur la partie supérieure de ce bâti., légèrement à distance de l'extrémité supérieure de la bande4A.
Des pattes 56 et 57, en forme de L retourné, guident de l'extérieur les bandes 4A et 4B.
Chacune des meules 21a à 30a située dans le socle 31 audessus du convoyeur 19 est solidaire d'un montage de support d'axe, comme on l'a représenté sur la figure 24. Un tel montage comprend un
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61 par dessus l'axe 58 pour maintenir celui-ci, une bague conique 63
dont la paroi interne conique 63a est en contact avec la surface d'extrémité en biseau 61a de l'organe élastique 61, une cale de blocage 62B vissée dans l'organe 62A pour comprimer l'organe élastique 61 par l'intermédiaire d'une bague de friction 64 et de la bague conique 63, la bague de friction 64 étant intercalée entre les faces d'extrémité en
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de cette bague de friction étant en contact avec la surface extérieure du tube de support 60, tandis que sa paroi extérieure est convenablement
<EMI ID=20.1> sur le bâti 65 du dispositif de moulage. Graeeà cette disposition , les meules peuvent se déplacer Egalement et radialement. Comme on le voit sur les figures 8 et 9, la portion intérieure de la bande 4B
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plaque de verre (par exemple, en profil ondulé), la meule peut s'échapper suivant une direction sensiblement axiale correspondant
au déplacement sensiblement axial de l'axe 58, si bien que la plaque de verre ne peut pas s'engager plus avant sur la meule. La meule est toujours appliquée contre la plaque de verre avec une force constante, et il en résulte un meulage uniforme et une surface à fini fin.
Dans ce premier mode de réalisation de la machine, on n'emploie à titre de plaque d'appui qu'une plaque rigide concave. On peut cependant assurer la même fonction, comme cela est mentionné au
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de plaques d'appui modifiées, en modifiant à cet effet la section transversale ordinaire régulière de ces organes comme sur les figures
10 à 13, 18 et 19, même si la plaque d'appui est plate dans son ensem-
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que son épaisseur augmente vers chaque extrémité de la plaque de verre le long de la surface de contact, en vue transversale. La surface intérieure de la bande étant uniformément concave dans la direction opposée à la plaque de verre. Suivant une variante illustrée sur la figure 11, une bande plate 402 est m.unie d'un revêtement en saillie dont l'épaisseur augmente progressivement en allant vers sa partie inférieure, ce revêtement étant situé sur la face de la bande en contact avec la plaque de verre. Suivant d'autres variantes illus- <EMI ID=24.1> plate peut être munie d'un revêtement en saillie partiellement incurvé sur la face en contact avec la plaque de verre, tandis qu'un revêtement moins épais peut être prévu dans la partie intermédiaire de la bande (fig. 13).
Les différentes bandes sont représentées montées sur la machine sur les figures 14 à 17. Pour chacun de ces montages, la plaque de verre est maintenue par les bandes, tout en s'incurvant soit en correspondance avec la forme de la surface intérieure de la bande, soit en fonction des revêtements prévus en saillie sur la surface de la bande, sous l'effet d'un rouleau presseur agissant . par l'intermédiaire :le l'autre bande de convoyeur. La partie supé-
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fixement à l'extrémité inférieure de ladite bande, sur les plaques d'appui rigides.
Les deux plaques d'appui modifiées suivant l'addition représentées sur les figures 18 et 19 permettent d'aboutir au même résultat. En section transversale, la plaque d'appui représentée sur la figure 18 a même profil que la bande modifiée de la figure 10. Les profils en sections transversales de la plaque d'appui représentée sur la figure 19 et de la bande modifiée représentée sur la figure 11 sont par ailleurs les mêmes. Ces plaques d"appui sont <EMI ID=26.1>
Par ailleurs , le montage de support d'axe peut être différent de celui qui est représenté sur la figure 23, du moment que la meule peut se déplacer axialement et radialement.
En référence maintenant à la figure 5. le premier dispo-
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Les dispositifs de meulage 22 à 25 inclus sont munis respectivement de meules 22a à 25a travaillant sur une face pour meuler le bord inférieur des plaques de verre meulées par la meule
21a. Les sixième et septième dispositifs de meulage 26 et 27 sont munis de meules à roder respectives 26a et 27a , ce rodage tenant lieu de finissage intermédiaire pour les surfaces des plaques de verre meulées par les quatre meules 22a à 25a. Les dispositifs de meulage 28 à 30 sont munis de meules à polir respectives 28a à
30a, pour effectuer le finissage des surfaces des plaques de verre rodées par les dispositifs 26 et 27.
Suivant une variante de l'addition, on a représenté
sur la figure 6 une machine à chanfreiner munie de douze dispositifs de meulage, et prévue en fonction d'une succession d'opérations de meulage quelque peu différente de celle ayant été décrite à propos de la machine de la figure 5. Les cinq premiers dispositifs de meulage 201 à 205 représentés sur cette figure 6 sont respectivement munis de meules biseautées 201a à 205a� tandis que le sixième dispositif de meulage 206 est muni d'une meule 206a destinée à meuler le bord de plaque de verre ayant été préalablement biseauté par les
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munis de meules à roder respectives 207a à 209a, pour les raisons exposées ci-dessus. Les dispositifs de meulage 300 à 302 sont munis respectivement de meules à polir 300a à 302a, et sont également destinés au même usage que ci-dessus.
Sur les figures 5 et 6, on a représenté une canalisation
102 par l'intermédiaire de laquelle chaque meule est alimentée en fluide de refroidissement en cours de fonctionnement (voir aussi <EMI ID=29.1> à un mélange comprenant de l'eau et une substance connue sous la dénomination commerciale de "Castrol Miracol 80", sauf en ce qui
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refroidissement est une bouillie d'oxyde de cérium. Les fluides
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circuit fermé. Les montages dt support d'axe de la machine, ou les montages de support de plaques de verre sont tous bien protégés
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Les axes portant les meules, par exemple 21a et 26a à 30a sur la figure 5 sont orientés de façon que leur axe horizontal forme un angle droit avec le sens suivant lequel les plaques de verre sont amenées. De la deuxième à la cinquième meule, l'axe est orienté, comme on le voit sur la figure 25. de façon que l'axe horizontal soit convenablement incliné par rapport au sens suivant lequel les plaques sont amenées. Bien entendu, le montage de support d'axe peut être monté pivotant dans un plan qui comprend l'axe géométrique de cet axe, de façon que l'angle d'inclinaison par rapport à la plaque de verre puisse être modifié à volonté.
Chacune des meules, par exemple 21a à 30a, sur la figure 5, est entraînée séparément à partir d'un moteur électrique 66 par l'intermédiaire d'une courroie 67, comme on l'a par exemple représenté sur la figure 8. En outre, le bâti 65 qui porte le montage
de support d'axe peut se déplacer tant perpendiculairement par rapport au sens dans lequel les plaques de verre sont amenées que verticalement vers le haut et vers le bas, si bien que chaque meule peut s'éloigner et se rapprocher verticalement de la surface d'une plaque
<EMI ID=33.1> l'organe mobile 68 qui est lui-même monté peur coulisser vers le haut et vers le bas par rapport à l'organe fixe 69. Le bâti 65 se déplace latéralement par l'intermédiaire d'une vis 72 quand on tourne un bouton 70, tandis que l'organe mobile 68 retenant le bâti 65 coulisse vers le haut et vers le bas par rapport à l'organe fixe 69 par l'intermédiaire des engrenages 73 et 74 quand on tourne un bouton 71,. Autrement dit, le déplacement latéral de chaque meule est effectué en manoeuvrant manuellement le bouton 71* En fonctionnement, on avance, par exemple, les meules 21a à 25a des cinq dispositifs de
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que les plaques de verre n'arrivent dans la section d'alimentation B, mais les meules 26a à 30a des dispositifs de meulage 26 à 30 sont en avant dans le passage jusqu'à ce que les plaques de verre arrivent. pour faire alors reculer automatisèrent lesdits dispositifs, qui ne restent avancés que d'un degré correspondant à un degré prédéterminé de meulage au moment où la plaque de verre atteint la position prédéterminée, et sont maintenus en contact avec la surface de la plaque , de verre grâce à la compression de l�organe annulaire
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meule.
Chaque dispositif de meulage est, à cet effet, muni d'un moyen de poussée dont on a représenté la structure sur les figures
27 et 28. Un bras en U qui possède une came 76 sur chacune de ses
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75 est muni d'un levier de manoeuvre 77 orienté pour recevoir la poussée de la tige 79 d'un vérin pneumatique 78 . On a représenté
le mécanisme pousseur en position de travail, le vérin 78 poussant
la tige 79 dans la direction de la flèche sous l'effet de la pression , pour repousser le levier 77, et faire ainsi pivoter en avant
le bras 75 en U autour de son point d'articulation et de support, la " came 76 étant alors amenée en contact avec la face d'extrémité de la bague 63. et l'axe 58 étant ainsi déplacé en arrière ou dans le sens de la flèche par la force de réaction. Chaque vérin pneumatique 78 fonctionne en liaison avec l'un des contacteurs de fin de , course 26b à 30b schématiquement représentés sur la figure 5.
Quand une plaque de verre introduite touche le contacteur et l'enclenche, l'air contenu dans le vérin correspondant est aspiré, la tige 79 se déplaçant alors dans la direction opposée à la flèche du dessin, si bien que l'axe 58 se déplace aussi en sens inverse autrement dit, la meule avancée en fonction du degré prédéterminé de meulage est amenée en contact avec la surface de la plaque de verre "Trace à l'élasticité de l'organe 61 qui fait partie du montage de support d'axe.
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est munie d'un convoyeur 81 qui comprend un certain nombre de rouleaux 80 pour livrer les plaques de verre meulées de façon cime la surface de leur extrémité inférieure repose sur le convoyeur.
Dans la machine décrite ci-dessus, la bande de l'un des convoyeurs est plus étroite que celle de l'autre convoyeur, cette bande la plus étroite étant située du cOté des dispositifs de meulage par rapport aux plaques de verre transportées, et l'extrémité inférieure de cette bande étant convenablement éloignée vers le haut de
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le meulage en rencontrant les meules. La bande la plus large, qui est située à l'ppposé des dispositifs de meulage par rapport aux plaques de verre, est adjacente à la partie inférieure de celles-ci plus bas que la partie inférieure de la bande la plus étroite, et soutient les plaques de verre en coopérant avec la plaque d'appui qui est située
à l'intérieur de la bande la plus large et est un peut plus étroite que cette dernière. La plaque d'appui, faite d'un matériau rigide,
<EMI ID=39.1> types de plaques d'appui modifiées. L'épaisseur de la section trans-
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la bande en allant vers chaque extrémité de cette dernière, si bien que la surface intérieure de la bande est concave en s'incurvant légèrement à l'opposé de la plaque de verre. L'épaisseur de la section transversale de la deuxième plaque d'appui modifiée augmente progressivement le long de la surface de contact avec la bande en allant vers la portion inférieure extrême de cette dernière. La bande est rendue
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opposée à la plaque de verre, ou bien cette bande est munie d'au moins un revêtement en partie rehaussé et incurvé, près de la partie inférieure de la bande, sur sa surface de contact avec la plaque de verre. Quelle que soit la solution adoptée, lorsqu'une plaque de verre est maintenue entre les deux bandes par les rouleaux presseurs, elle se déforme en s'incurvant soit en fonction de la forme de la surface intérieure de la bande, soit en fonction des revêtements rehaussés (en relief) situés sur la surface de la bande sous l'effet d�s rouleaux presseurs qui agissent par l'intermédiaire de l'autre bande transporteuse, si bien que la partie supérieure du bas de la plaque de verre est à coup sur rigidement maintenue en bas de ladite bande sur lesdites plaques d'appui rigides.
Cela revient à dire que la force élastique produite soit par ladite plaque d'appui, soit par ladite bande, a tendance à se concentrer dans la partie supérieure du bas de la plaque de verre, si bien que le bord à meuler de la plaque de verre est maintenu à coup sur sans échapper vers l'arrière, ou sans vibrer sous l'effet du travail des meules.
Le bord de la plaque de verre est ainsi correctement et uniformément meulé d'un bout à l'autre. Comme chaque meule est maintenue par un organe annulaire élastique qui possède la propriété
<EMI ID=42.1> la meule, et le meulage obtenu est excellent et uniforme. En outre, comme les rouleaux presseurs qui pressent la plaque de verre ont
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diaire d'un manchon élastique, chaque rouleau change facilement de position, et exerce ainsi une pression équilibrée sur toute sa longueur sur la plaque de verre. Les plaques de verre sont par conséquent correctement introduites, et fermement maintenues par les rouleaux presseurs, si bien qu'elles se glisseront pas des bandes, et qu'elles ne changeront pas d'orientation quand on leur appliquera
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REVENDICATIONS.
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1[deg.]) Machine pour chanfreiner au moins le bord inférieur d'une plaque de
verre au moyen d'un certain nombre de meules disposées en série, la plaque de verre étant maintenue et transportée entre deux convoyeurs comprenant chacun une bande transporteuse sans fin, tout en étant soutenue par un certain nombre de galets d'appui, caractérisée en ce que l'une des bandes transporteuses, ou première bande, est maintenue par un certain nombre d'éléments presseurs disposés en dedans d'elle, tandis que l'autre bande transporteuse, ou seconde banda, qui est située de l'autre coté de la plaque de verre par rapport aux meules, est maintenue sur une grande partiede la largeur par une plaque d'ap-
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soumise à l'action des éléments presseurs à travers lesdites bandes transporteuses pendant son transport pour rester pressée en permanence par ses deux faces de façon qu'au moins la partie supérieure du bas de la plaque de verre soit maintenue avec pression par le bas de la bande transporteuse sur ladite plaque d'appui rigide, tandis qu'enfin l'axe de chaque meule est porté par un support d'axe qui lui permet de se déplacer radialement et axialement.