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hàr.i,-ìxkt.liizué.i.v>1 '
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1 ' t 9ni.'.e'.,ei J\lijJl1DirJ -ÙÇ)Y JIll, OOlllprtnd .1x grande 1²'1noir,otl- 4 ruwt7 la MINCIpt 1 8;YIlt.blll. nouveau t1l'l 1',1 !l.ntlt.:1on due .<itt4ronta OrF.I1'1' b:l.h,1I) (1lt mOU'/'l:lr.1!ml, 24 PHItMÏPS : 1 Roidow & l.'hfl\1l'C! tgt FMMHtags par influence II1ÓOlnO"'" magnétique (airlll.\nt. pofmH Mt) pur 5,tdaa du bsîtief complètergent term6.
36 PRINCIPE 1 syntéme nouveam de fixation et d t 11!1oJ t,l,on lio variA t10nl thurmiqueb dom l1Iuuvemente dl'Ul" ,1 f\\1 ît.ieï't 4e PRINCIPE t Suppression de tout huilage reml3liied I;ar 1 proc6dé de iftitrurationt 5a PRINCIPE 1 Mi'1!! 80UII vide den IIIOUVC!1!10U'i' Il, lIt :!yt.f \..t:j l'.fiJ1(JJ. de réaliser cette Mlae nous vs,da, 6o PRINCIPE t Réglage électro"'l118.gtt(iti'11.l1) 1 rI:!.%" ], f C).t<51'it'ur des bottiers>
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des mouvements mirs vous vide*
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Ayant de m*nà1*F 11 deecriptiont nous noua voyons obligea d'ouvrir una parrn.bEe pour'la bonne eoeprehenaion de ce qui va suivraw ftant donne que noue finronand paa un nouveau procède de mesura du texpo ou d'autre masure de:
'pr4cialonp noua n'avons fabriqué que des prototypée grooolers@ uniqMNteat'relatif aux nouveaux principes que noua inven-
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tons*
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*t Bien que nous noue eojrons prouvée par de nombreux calcule et de nonbrous rétlaxiono que nos principes nouveaux sont parfaitement immuable8 et d'uno valeur incontàatabié, bien que noua ayons# pour chacun d'oux, ccemo noua l'avons r,t'p,üa haut, fabriqué des embryuna de prototypes g%4o#bîoro$ noua ostbàbûo que' quelques dessins dlémentaireo sont quand n'mo n40eoo*oi>t à la bonne aamprdheneion des deecriptionet Ceper4dant;
coo,doù4ind nez $ont pas & une eshellw rigoureuse 1 &ppMXi*' mkcinnoni cinq #ôuP,it#] ;b houe tvcnit choisi de ï'appetwntwï' un tourment dw matre autawuxt.uo poor homo$ On r At-que que lot dittétres du balân" oh et du btriUat '40$roi)on4*n% dimtâoioho utillodon adu'di'MMt* sur et$ d*moin4 ]%À[#fUà0 et 140 piÀh6h8 lit sont topwoontde qu< Mr dt tiaplet <ï'63.Xt 8ttN9 dan<t la description# mous nt paritrcno pas des dimètres dos rotisos fil,de leur mmbte de dontoi ni des dimlhrob des pilant ni di ni due dpaloseure s ni des rapports de$ dents de ploolis &vw8 àlato des urw, des supports des Mobile hi daa Altemmeude '*d"'i,rth ni de on etoàômp ni de Saloul preu'j' yut U durew de marohw de atlMi"aif ai dom tordu# qui leur audebdofitp ai de ltancres ni de Ilàchappmento ni des vibj ni dot détail du-mont,agop ni'des rat)
itt*naeajt etde *tom 11tt ' 1er ntN0b% ilHliwuWlILBWN6IylYilAl1 #X%.Jxfl... X.9-gfV-.g$,.ZMiAi10N... DàS . Una3N.1s ..0RflàNn , ro.0ls #ù&%-2..-(YP.ir--4ejjs.in¯n;,-11:e Oraca à la suppression du remontoir mécanique et de tout son encliquetaga de mica à ltheureelnous pouvons désormais décentrer tout le rouage et dlepotier, de ce t'ait, sur le plan latéral, d'une place largement suffisante et idéale pour y loger une masse oscillante montée,, masse qui, désormais, va pouvair-touxner-eatre-daux-portées,--oe-qui va nous donner une certitude
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cry"iis5n1tb'rt:ôïriis'ïs y', ue usure prématurée et l'incertitude de ne pas savoir si la owgp de sécurité est suffisante q....
M1 ) 'iJ "\ f'l -""."h\f1'1fi-1f:*1tt.,"J.''l4''
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Cette masse oscillante sera naturellement en matière dense,- la Schwer-
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metail,t avec sa densité ï8, nous permet d'envisager des mouvements suffix1#nent petite pom* d?,3 p?it epfl4it sport de dame et, oours cas,. plus plats que ceux des montres àutoatatiquea actuelles* r y '>fi ,,, "1'i'1"}t':
Pour la fabrication de luxe, l'on pourra, avec don métaux plus donseop tels que l'or, la plae'¯fJ1\\ Ito\I!I1, construire des mouvements automa- - :s " J. "- tiques encore moins èpaite 0,',: qh' '1 ] En plus, désormais, les petite mouvements vont pouvoir con3er fer un réglage parfaite prsnqr, égalera 100 meilleures pnicbions obit..nues avec da grands mouvement. et ceci va être prouvé par la deacï'iption dea principes qui .ud.01H Nous nous voyons ,+U ,'r".oblig1S1 d'expliquor CQfI1IQl'JJ1t nou. obtenons cette situation Roulo* 8n effets :Le d6contrap do tout lo rcuago noue ftt,;\tpàan1P'. contre au atoy n du pignon d. la petite moyennes pignon qui oc=inde la raus entraîneuse de chauaode (voir (hua1b 1 bzz nd!. " ,quo 't .lIi H. roR" 1 t 'l pl#t.4.t. aoy<t!M<t nnsrénun, elle# 10 pgnon de la x-éue de seconde$ (voir dessin n* 1);
la roue de oooomos, 119 la pignm 0 la rogi, yasozr (voir dessin n' 1)* . ,'i ,,iii>1 ' 8j,M! ;nten4u> 1a ,Lflpgp ou@ ptitt aoyomt rtouvra son dntr gik de là roue gr&t1d...(r Noir audn nI 1); cette demibre ne passerà plus disomais a, MT' MO)HM'H9 du baràU*1, M1& bien au-du% tue de ctllui-ci. Hatal...1i.uint eltat par l'int.1'1\&dlaiN de lion pignon que la roue. gra) $a<,. ,011 4 rgie du btrîllete, . plii.nt.; M\t. .-." oUU1&ntf MOnt'- q\.Ù. aaatjMd lliiritéiW1t un au AU hw durt.t '\uiIîI1UNI coma# dan* 3.hor.apera tradi- %iOnn#ll0# axe sur 1 go goert tt,3.r, au pr4tlables 3.& roue da Maet.
\\ ,""" ,J Do plus$ dans Mtta aa, tort U.1MO ou r4e WH" "r asti prolom. ttt oeaai 14r&*) f1!! d'f 4 utj, pour que 4*1te MSUM puiaao Qontinu*r 4 tOUt'n8Z' (oociUor) libl'Mtnt, Ml," 1- flr4....n. 4'un 'double polit:; d'fe'M' i';t'!fl4i'Mant 11 gorge kt 4*nt 1* x:rtxGer du dit pont COrNIwxm4 au cwntre du tond 40 la pI<tMMe< Le pt"d\iol" pont., i(U1. est tixi par du 1141" Î*iL'bd wit rigle par des pi*da MttttUMMnt
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supporte le pignon et la roue de secondes,, Cette roue de secondes, comme noua l'avons dit plus haut, transmet son énergie au pignon de la roue d'ancré, elle passe entre les deux ponts et, par conséquent, en partie en-dessous de la masse oscillante.
Le second pont est fixé à la platine par des via et également réglé par des pieds* C'est sur ce se- cond pont qu'est rivd l'axe percé dont le percement permet le passage de l'axe du pignon sur lequel est rivée la dite roue de secondes Cet axe perré est habille de la chaussée, porteuse de la roue entraîneuse de cahussée.
Désormais, noue allons donc pouvoir river l'axe de masse dont nous avons parlé plus haut, à la sasse oscillante Après avoir glissa l'inver-
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leur our l'axop du côté de la gorge de la nasse naturellement et cet invo1'l'I!!ur dltant Mintol'1u tlur J'axe par une sorte de bague (rebord ou r1vur.), noua aurons place tous les mobiles réducteurn ainsi que la roue de renvoi avec son tliquet d'Arrêt sur la platine du fond, dans l'empla- 'Kent où la RAce. va p<luvoir a* superposer à ce dit mécaniamo de rdduetion et de tn88iQn de l'énergie de la masse oac111antco Nova plaeee ront alorn la mecor2 mobile reductourp mais le pignon de celui-ci est plante en dehors de l'enplaeement de la 11lU8$ essin . t Ce pignon tr/)n"t.
l*!!Brgi9 au ressort du barillet en passant d'abord par urne roue intttnaadiaire de roue rochet., roue appelas dans l'horlogerie tradit1n11. roua de iiuTome, et d400mais appose roue Intomêdlaîro de roue racheta mue qui est placée en porte-A-taIlX sur le pont platine fàfi4f4 au dttittin fl* 14 De satte sanUret un* partie de la roue du second mobile dduotouv pI..era en-odessous de la roua întemédîaîre de roue rochate L'on N1!"AJ'q'lf uqr le deatit) n* 1 la gr1.1Me place libre 1-6lServéo il la 1C408t! aseJ.UantWt krtut allons dont d4somais pouvoir agramur la diambtro des !u$K de rMut:t.1on, et! qui noMS poHSt un" réduction euffieante sans deVoir nous swnrip de pignon, tout au moîtw en ne qui concerne le premier :t->Jbi1. r4'\.u:tClar.
En aftati mua pouyonop vu .on gr&nd dia:Mt1"fj/ y taU'" 1*r un n.h... 4* dont-À 3\.1Uill.nt. lui pnMttAttt r.w1 de jouer leon r8lo de t4>à .>±lcn avoc 1M dit M.\Iteur, .8\01ms de tntttmentp mine d'uoure et# pAr orllll.rlt'nt4 An un 6q,u111bre techniquo parfait.
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Le pont platiné figurant au dessin n 1 supporter* louât les mobiles, y compris la raksse oscillante et le barillet.
Non avons cependant également un pont du balancier. Sur ce pont, on peut voir, toujours au dessin n 1, une raquette de forme spéciale, prévue pour régler magnétiquement les mouvements par l'extérieur du bottier,, Il va de soi qu'une raquette ordinaire peut être placée si le réglage ne se fait pas magnétiquement.
Ceci dit en passant, on remarque que sur le dessin ne figure pas le coqueret.,
Par contre, nous avons indiqué le trou servant à recevoir le piton du spiral ainsi que celui servant à recevoir la clef de la raquette, les trous des via ot les troue des pieds*
Les supports d'axe de balancier au pont platine et à la, platine du fond recevront naturellement chacun leur système dit "incabloc".
D'autre part, noua n'avons paa fait figurer au dessin le pont servant à soutenir l'ancra et la roue d'ancre. On doit comprendre qua l'on fraisera dans la platine du fond une cavité suffisamment profonde afin que le pignon de la roue d'ancre puisse attaquer la roue de secondes centrale. Par conséquent, ce pont se trouvera naturellement, en partie en-dessous du balancier. Il est bien entendu que d'autres fraisures seront pratiquées dans les platines pour y loger les différents mobiles.
Nous n'avons pas non plus fait figurer au dessin les mobiles de réduction de l'énergie de la masse oscillante dont nous avons parlé plus haut, ni le double pont porteur du pignon de la roue de secondes et de l'axe rivé supportant la chaussée et sa roue entraîneuse. En effets nous en avons donné plus haut une description suffisante et cela nous aurait entraîné à faire des dessins en plan et en élévation ce qui n'aurait ni apporté plus de compréhensions ni enrichi notre invention.
Quant au cadran, il aura trois pieds; ces pieds seront limés aur leur face extérieure afin d'en réduire de moitié l'épaisseur. 011- il. fera un trou fraisé extérieurement. Ce trou recevra une vis qui ira se visser dans l'épaisseur de la platine du fond. Pour l'emplacement des dits picds, voir dessin n 1,.'
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Cl .1tt.. nouveau noue Ml"Ut, non 1tu1....nt, c1ta\taoh.l'J dtwit %mière bolide et pratique le cadran au muvment swA* encore de placer un ±1'I&bCi eadrta-dateur en-deetous du cadran principal, tout fil faisant de petite .ou'talent...
Bien entendu, les pieds de cadran pourront atm déplao6a de quelques clogrdtp soit 1 droite, soit à gauche, suivant l'am" placuent des piéues du dataur afin que les trous servant à fixer 1,s piK8 du cadran M gênant pas les .dites pièoes, ce qui revient k dire que c'est 1"%ud* Avancée des prototnme qui d4temine:ra cet état de choses.
Pour terminer ce premier principe. nous dirons que nous revendiquons l'emploi, pour le problème qui nous occupe naturellement, de toute ma-
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tiere bon marché, plus dense que le Sehwomet<l, qui viendrait, à être fabriquée ou découverte dans l'avenir.
2ème PRINCIPE
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P, A it.LRE'T iî'.tOtt'AGE PAR UENCE MECIIs,y.' Lt lilii.& .C.uS1('idrGiSJI PAR I.IEXTER=- iJ.1 DU DOIT= CQ)LE'l'E.'/5r;T :;4E.... Cbmma nous l'avona dit dans le leur principe, le remontoir mécanique et aon encliquetage de mise à 1 heure,, tels qu'aux montres traditionnelles, sont supprimés.
Ce 2éme principe noue permet: 1) soit de remettre à l'heure les montres automatiques par influence magné-
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tique extérieure à travers le verrrs, au moyen d'un crayon magnétique; 2) soit de remonter et de remettre à l'heure des mouvements automatiques ou non, toujours par influence magnétique extérieure, au moyen soit
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crayon magnétiquo, soit d'une molette magnétique attachée extérieurement au verso du boîtier. e "Y8tme :
Ie à l'heure des montres automatiquea, en agissant # travers le verre sur l'aiguille des minutes, au moyen d'un crayon magnétique
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Nous avons conscience de ce que le crayon naenébiquoe constitue un accessoire odpard de la montre. 0ependànt, soyons pratiques et dcartohnnous des habitudes* En effet$ et ceci dit en passante ce C1"ArOii Jnagi1é..
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tique peut., par exemple, être incorpora au capuchon d'un vulgaire stylo à bille, ce qui fait qu'on noua écartant des habitudes, noua rth8-
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%' one encore .inentin. En effetp il seraît scuvnt. tA a utile
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de pommêder en permanence un petit aimant Naturollenenh, les rouv#6-tento sse mlJntNl< &ut.9xa.tiucH ù6.ir*nt. ltre construite en matière &r\ti"'41!Agntique..
Seules, une partie da Itaigullle des minutes, ain!3i (r-le la chaussée, Jo);'ont et! K!&M5rt) on.=u;Ftiqu<.
Nous allons expliquer le procédé de fabrication non ditne ,,1r,ul11c$.
10) Une bande métallique de matière magnt:1quo ut un" eaeonde bnndtl Métallique de naiiére anti-mgnêtîque seront Boud00x, bord A bord. dans le sens de leur longueur naturel! "ment. On pm.\1"l'a o"tamper don cette bande ainsi fabriquée le3 aiguilles des minuttbt 2*) L'eatacipago ne fora de telle sorte que l'on obtit'!'U1, livra de la parti* magnétique de la dite bande le contrepoids, la partit eentrala avec son trou de fixation eto du etté lndex. iane longueur 'qul.8nto à celle du contrepoids. Le route de llindex sera découpè dans la parti; anti-ruim6tique de la bande.
Lea aiguilles ainsi astampdeup l'on devra prévoir un mince filin de soudure à basse -,mx4raturo sur les parois lntdricurea du trou de l'aiguille. Cotte soudure permettra, après avoir pon6 ltagul11e, trou n regard de la chaussée, d'enfoncer cette aiguille sur la chaussée au moyen d'une laite chauffe électriqutmlent. (procéda qui aurait toitjours dQ exister dans l'horlogerie traditionnels).
Si, dans des cas exceptionnelo, l'on devait retirer cette a1guille de la ch.auu4., il suffirait d'eaployer une pince chauttante xpôa14lrnont construite pour cet U5&ge* Blon nt:1jut 1* titbri(,-Iu\t. esploiern pour 1.'au%<>;itirie piur lE!. grand..dr1e, un procéd4 en eoPr4lation avec cot autc=tja-4*., sot-Il besoin dtaiguter que ces noun11e. a1 ulU.. pourront #tre dor4tu, r'.ftt4... ou t*înt4et come par 1* rabo4p suivant 14 nÎrelUt1t' des 0*#$, n faudm 6f&ln ni voilior à Çf elu-j la foua d3 h<!Ul'D &it \Ir..'t'i.1 1*iswtrnàbl# en hautcur* llo hi9 fot.ò NI\!9 un pejtt ràbçarii ;1;
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suite aprèa 11& denture, afin que la roue ne freine que très peu contre 1'envers du. cadran. On pourra toujours,, comme par le passé, poser un
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petit paillon sur la roue.
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Aînol conotruîte et montde$ cette aiguille des adnutes va noua pay&6tty<! de teDttre à ltheu1 oit à droite, noit à gauchtie d'wie façon prëclce et surtout plus fa-cila que dans la remide à l'hiuré dia montres traditionnelles. noue avons des eosais nous a.ion8 vJ+1ru le bon fondement da nos &l'!'irma.tio.!u'.3 nt te,l sans produiri} IJ.'f.tQ\I.:!iC perturbation, de l'Aiguille den secondes# placée, bien entendu, 3,u-des..
Sus de entte aJ..g'JU1 den Minutest Quant au remontagf.4 de la montre t.utonmt1c;.ue, étant donnd la facilité avec laquelle d6sQrm&ia, la masse oscillante tourne librement et avec eortîtudop il uufflra au porteur de la montre de donne::- à >:1!lle-oi un aouvecitt da tourbLUon pendant quelques secondes pour que la montie aott Ruffia uaent ?ey.ef9 pour la portor* Si l'on désire remonte? la. montre à tond, il suffis d'inti3ter un peu plus longtel!1,pe.
Nous ent-izageonso z prlorîe trio li teaps n6ce3saine à ce remontage à fond sera de l'or4ro deun* minute MvirM. jnt Mipe A l'he'jya est rexo&.gc s:4eajrto*iR.gn6tique3 de tous les ap,:,,'1!""Ut, 4e i-.emui-eo de tous ].en J!:1ou'lfemontrJ d'horlÓgorij de tout"e ler Entroo, soit &utestiquc9 colt non au*4c,-matiquen, en un --Ot, de tous les appareils autor.:4tiq\:<!ul ou non, qui ont um rait3on d'litre remis à zéro et d'6t)*<!! reaontoa.
On r<!<sarqu''! au destin nO 2 tma aorte dtîn-fertour, rensemblant quelque peu z celui ne trouva!'!! en-dessoue de la usae oncillantef 1Mb plus 6rand et de tome Ugl'.¯nt ài(t1"'8nt.e. lA ro4e t1.l,If! l'on voit dmw la. partie sup-6r,.eum do l'inverseur $orv4m à lt r xleo 11 th.un du I&QUYt1I!ont, dAM un seul sens miuronwmonE, LA rau* Ji tu4. dans la partie intdrîeuro de lelânverbeur 1 ) on%or le rtestprt du bilpilleto en Mtft.ÎM.t la romii i.ntrsdlAiï-0 d. la rxuo r<J<1.#%s 1 avt-ni eaie" fîtilrov Au dtft,1n no 2, mi dehors a* lA plaque dtin- \,!".It', la r4,m I$fl1"YJU.f..Ii 4 lo. r-1n A 1.. tt'JNI t. la 1"1. lnt."ft.-{d1alr<11 de 1-t t'ld41 r<)t"!f., d'1 .1.
Lion Illustrer le fonetioiùixJnk du dit 1ny.,t.r.
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Les deux rouée de l'inverseur sont maintenues sur la plaque d'inver-
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gour-par-un pivot rive à ia dite plaque (voir dessin n8 2). La. t3te de ce pivot, maintient la roue avec un Jeu adéquat lui permettant de tourner librement.... ces deux roues aeront nitrurées.
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Dans le centre de la plaque d'inverseur, on remP.1'que tur trou. Ce trou sert i1 recevoir ut noyau, noyau qui permet do maintrz3.r une roue en natiéra magnétique, app,le16e roue magnétique d'inverseur (voir dessin n 2).
Le noyau aura un trou central le plus grand possible et sera fixé par deux vis au pont platine. Les deux trous servant à recevoir cea vis ,sont figurés- aux deux dessins (n 1 et n 2) On remarque sur le dessin n 2, en bordure du trou cantral de la
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plaque d'inverseur, un anneau; cet anneau en matière magnétique sera soudé à la plaque d'inverseur qui est naturellement, elle, en matière antisauagnétique. Cet anneau est rendu nécessaire pour que la roue ::1J..f,r..6tique de l'inverseur entraîne magnétiquement l'inverseur et la tassa oecUler, 8"i't à droite, soit à gauche. On remarque également quti cet anneau n'a pas un très grand volume.
En effets cet anneau magn6tiq',c ne doit pa, '.rop freiner l'influence magnétique de la molette se trouvant Al' extér.1eur du bottier et dont nous parlerons plus loin.
On remarque en outre,, au dessin n8 2, sur le c8tê supérieur droit, que la. plaque de l'inverseur se prolonge vers la droite* Dans le contre
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de ce prolongement, on remarque un trous trou servants recevoir et si y river une tige,, ReportOns-nOU8 à Présent au dessin n* 1 où noua voyons un trou dans les platine8, trou pe3att&nt la dite tige de l'inverseur, d'osciller raisonnablement et, par conséquent, cette tige jouera un
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rôle de butée d'inverseur* L'on romarque à ce dessin n" 1 un ressort, que nous appelons ressort bascule d'inverseur.
' Aprés avoir traversé la platine du fond, cette tige d'inverseur aboutira dans une petite découpe de section courbe estampée dans le cadran. Sur le recto du cadran et en regard de cette découpe, il sera
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gravé, à gauche un "A" signifiant "aiguille8", au centre un "0" signi- fiant que l'inverseur est au point mort et, à droite, un "R" signifiant "remontage". La tige d'inverseur aura une petite portée formant pivot,
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8t< cadran naturelletteat. Sur da p3.w,, l'on plantera une petite agu.3.a (Index) A gauche et au-dessus do .t3.nroxsaur, on remarque au dessin n* 2, une roue ayant un trou central carre, roue qui va servir à la mise à l'heure comte nous l'avons dit plue haut.
Cette roue s'emboîte aur
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un axe t bout C&Z"Z'4 (axe de mine à l'heure). Elle est retenue sur cet axe t 8.t1-dOUOU8, par un petit rebord prévu sur le carré de l'axe et, au-dessus, par une vis pénétrant dans le centre du carré de l'axe.
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Il ont bien entendu que la partie centrale de la roue aura été fraiaéo de part et d'autre pour que la tête de 1a via de fixation jie pranna pas d' paiaMur supplémentaire,, et pour que la roue elle-mtme n'ait que le jour nécessaire entre la platine et la roue, le rebord de soutien ve-
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nant se placer également dans la fraisure, en partie naturellement.
L'axe de 1\'dae à l'heure traverse le mouvement en un endroit libre de tout mobile (voir dessin n" il. 1:3,fautra c8té de cet axe, c'oet-âdire en-deo3ous du ca.dran' aéra. fixée une roue de renvoi agissant sur la roue de minuterio et, naturellement, la roue de minuterie remettra les alou:LUe3 à l'heuro, toujours dans un seul sens.
SoBNe nous l'avont dit au début de notre description de l'inverseur, la roue ficcrant à drtite de ;La partie inférieure de 13zra,saur et en dehors de celui-ci, représente la roue Intermédiaire de roue rochet.
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Cette roue intermédiaire de roue rochet aura une certaine ôpe.1aeeur, afin qu tell>! pube la fois 4t;e engrenée par le second mobile de rédiction et, dens sa surpa3.saeur, être engrenée par la roue de remonts,ga de l'inverseur et qu'elle puisse# d'autre part, transmettre l'énergie rogue 1 la roue reschet qui sera, bien entendu, munie de son sliquat d'arrêt.
A l'endroit où est placée la dite roue intermédiaire de roue rochet,
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le pont platine aura, naturellement, une épaisseur 8upplémentait-e, épaissaur permettant une 'siaura destinée à recevoir la dite roue. 2n-dessous de cette fraisure de la platine passe une partie de la roue du second , mobile de réduction, bien que cependant, tout le système de réduction sera logé dans des fraisures de la platine du fond.
Tout le systéme d'inverseur que noue venons de décrire va pouvoir
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fonctionner par influence magnétique extérieure,# provenant soit d'un DIIQJU1 Á It i'²'rET
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<t!*a.yoH mastique, aeit d'une molette 1Wgnétiquq attacb6e Al' txt4rieur au verso du bottier, molette dont noue allons donner la dOl1cript.ion. si l'on utiliae le crayon magn4tiquee une 1'l'ai8ul'f> ai reraa du boîtier indiquera, au poateur de la montre l' endroH pr6cits en poner le crayon pour qu'il agisse aûremeat sur la roue n\l1gnût.iq1!' d'à>iv.o;z<>ut.
Facon de placer la molette 11\II.rmtitioue lU.! 'VertlO 11\\ boU1" : Etant donné que nous devons avoir une cortaîne 6pa.lssc.>\U'" uanr i4 partie centrale du verso du boîtier, noua frainonno ou noue prévoycns, par moulage ou par estampafe, une cavit-5 dans cette partîe contralee Noua laissons cependant, dans la partis la plus centrale de la cavit4p subsister un noyau, noyau qui, cependant, reete en roirait par rapport à la surface extérieure du bottier. Dans le centre do ce n0111\1, il y aura un trou fileté, mais non percé.
De plus, l'intérieur du ver3o du bottier, e'est-à<iro le fond de ce bottier, aura, dans son centre extrême, une épais.eUt" en points* Cette épai3eseur en pointe aura deux raisons d' 8tre :
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1*) elle permet de donner une certaine profondeur au trou borgne dent nous avons parlé;
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21) elle remet de centrer la mouvement en venant 10 placer avec jeu dans le trou central du noyau de l'lnveraeur (voir dosaln n* 2).
Revenons à l'ext4rioui du bottier. Dans la cavité du fond extérieur du boîtier et autour du noyau, viendra. a* plmeer une molette Btâgntiquot &;1nt.(je, aoitte et testonnèt (dentelée). Nous nlexplîquorons pas eoe#ent cette molette doit ttre conptruit< pour qu'olle joue le rôle d'un aixant pemanont le plue puhl'l!\nt 1Jt.\,t\'l Mn plu -tit volume* Nous pas non plul mie #qkth Bîcttt' tlovt4 polarieaet 11 !;'*eU? uevra 3t.." $Il f4rriii il# (A,.iAlt ou ie bMyu*';t *)<"< eten en <t!?*np9yMwnt)t at lent pour t*t>rir?Jrr, 4'>prbx lvà pi 8 que Mue 4tatiirona flnc leur cU'o*tiàn, Mt wil;%w agx,étiquo puitttntt aJu> vn p.tit 1 ?<!, t-X;
!Ïn!*tM< <Lt '.4x ttUt tuujuura d*<pf plin3p pJurtn donoer la dire<%icn Cllt.r.:JI Mt?1Uql,. 10 plu< favvrabl*. >n #>4riniigt,n auront '&llJ:ftl1t. si les S6<'t ttee ainsi trtttins aU.t't,nt M!\oit\ 4',ini fnvtîc 4 ?Xmaturo>* En ettot$ nuus edyont que c"t.t, IInr...\u:'(l 'i1, Mtur"lhftel1h vi,ndja les fuir*#* de 1-
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moleth trittde# augmente considérableuent la pu1II&nCI de l'aimantation maia, encore une fols, noua croyons que cette augmentation de puissance ne sera nulloaM'nt racessain vu la faible pouesde nécessaire à la mise à l'haut Quant au remontage, la reeistanee est naturellement plus grande, mais noua benefieiona d'une grande démultiplication entre roue 1'I'.:
ty.n6tlque roue de remontage d'inverseur et roue rochet
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en passant naturellement par la roue intermédiaire de roue rochet*
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Nou" noua tommes prouvés à nous-ml1metl, avec un certitude absolue, par des embryon* de prototypea grossiers que l'influence magnétique des molett't/8) tellee que noue 1.'. t, d6eriv(,ms, était largement suffisante pour remonter A coup eûr le ressort du barillet. Remarquez que nous avons dit 9 largeïMht suffisante, ce qui signifie que nous avons encore
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une réserve très Importante d'influence magnétique.
La molette magnétique sera maintenue dans sa cavité par une vie
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et la tête de cette via viendra légèrement coiffer la molette sur se8 borda int4rieurs. l!"l.,tto et vis resteront cependant 16gèrcD1ent en re-
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trait par rapport! la surface extérieure du bottier, d'abord pour
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qu' 81100 ne RSsent n rien '1lêpideme du porteur de la montre, et enaulto pour que d, par mégarde, le porteur de la montre venait à dépo- 1er eelle-el sur on* plaque en métal magnétique, la molette ne reste pan collde sur le dit métal map;n6tique. La vis n'est d'ailleurs nce3'" sàs4e llilà eat effet car las Belettes sans vie tiendraient parfaitement
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d'une façon certaine dans leur cavité par le jeu de l'influence magnétique.
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13ft r-oletage da ft turface extAr.4jeura de lé molette et les restons (ditus'at) *erwiron% 1') agrandir le eircait de l'inrluena. mamîtique etp par ecMequMt à mint4dr 1#4 volw*à *hhh4%lquom*n% ra1eonnAbl.. de la dite W41otte Magnit1quoJ fl') k t&111tf là mAnipulation dit tat&1on, toit à droit., soit à gaucho# do Ïa 8$tt, Diaprés non pt'Owb1J*' sm*ulers,, nous ayons éonsut4 qu'il était trêt f*on* de taire tourner la o1et.t. p4r urée *!%plu prv*ai>n à <HMT<'< !)t toumant, A l'.ld. d'un seul doigt 4. la Min 4!t tv4rleur dq 1.. nt.M rent4m buàuenip plus simple qui ,,1u:
. 40 roi .ifrt9 Ilsn?,14)e tntor O.-a n.>nkre# ii4r11@ft,
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Une fois que l'on aura effectua le travail de remontage ou de mise à l'heure au moyen de la molette, l'on devra veiller à ce que la molette soit arrêtée à un endroit correspondant au point mort de la graduation se trouvant sur le cadran, c'est-à-dire index en regard du "0". Ce point mort noua fera savoir que les rouages sont libérén de toute contrainte
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mécanoemagnétiqua, soit de mise à l'heure, soit de remontage, L'on pourrait envisager, ai la chose s'avérait nécessaire,, d'ajouter, en regard de l'épaisseur do la molette, orcat..d6ire face à son pourtour extérîeurl une sorte de verrou va-et-vient maintenant la molette dans sa position point 1h:)rt.
D'après non prototypes grenier", répétons-lep nous pouvons déjà certifier que les dites JI'Iol,1:.t.., quoique plus grandes que Ion couronnes employies pour le ramcsntags traditiomelo feront plutôt moine épaisses* Le prix de revient de ces molettes ne sera pas plus élevé que celui dois
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couronnée de remontoirs traditionnels En effet, les mutir3au servant à la construction de con molettes sont relativement bon naî'chc â:: le coulage par pression (frittage) est un procédé 400noniquo, i> .l'1.t te remplacement éventuel d'une molette, s'il #'avérait nécessaire dan3 den cas très rues.. ce remplacement serait dix fois plus facile que lui d'une couronne de remontoir traditionnel.
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Très important :
Nous n'avons décrit tout ce systéme de remontagoe et de mise à l'heure au moyen d'un inverseur et d'une molette magnétique que par souci d'exposer toutes les variantes que permet l'invention M.E.R. et surtout afin de donner le moyen de remonter et de remettre à zéro ou de mettre à l'heure, par influence magnétique, toutes les montrée ou tous les appareils qui ne sont pas automatiques car, comme nous l'avons dit plus haut, il ne sera plus nécessaire avec le système M.E. R. exposé dans notre 1er principe de remonter les montres automatiques.
De ce
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fait, les montres automatiques n'auront pas la surêpaisseur nécessaire pour y loger le mécanisme d'inverseur et sa molct*Aa Par :..: -Wl:e:s, elles pourront même être beaucoup plus plates que des montres non automatiques, étant donné que, nous l'expliquerons plus loin, les mouvementé pourront 8tre plus petits en ayant un rendement égal à celui des grands mouvements.
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3éme PRINCIPE
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" µY8tZt NOUVF'...\U T# FIIR?10N ET D'ISÇIéTION¯D¯1#$Iµ>IQ%J¯¯1$%mQLÇi# CES K".T:TS..JAK3.
LEUR BOITIER.- ¯ Ce aJ'1ltbe permet une fixation solide et durable servant en outre de second aaortisseur (incabloc) au aouveaent, permettant d'isoler le Mouvement y compris son cadran, du boîtier en l'occurrenco dtenviron 'un amimètz-0 oireonfereneiel en ce qui concerne le cadran, de quelques dlxièxes de millimétre en ce qui concerne le verso du mouvement et,* voire K8ne, de plusieurs aulimètres entre le mouvenon% et la paièci du bottier,, #ou$ avons t,xpUqu' dans le leur principe coment, par un système nouveau, le cadran sera fixé au mouvement d'une façon solide et durable,,
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L'on voit au dessin n* 1 que l'on a estampé (ou uait'1é) la platine du fond du mouveaMtt de manibre à obtenir trois branches et tuminant en fora# de petite net,,
Ces petite nez d8V%'Ont corzoeapondro à 'trois petites cavités prévue. dans la paroi intérieure du bottierp cavités dlt--oLêe8 le raniére régulière sur la oircontdrence de cette pare!,, s''93t"?9 écartèeâ d* 120* l'une par rapport à l'autre. Le point de dt:1pl!.:;'i.. da ces cavités aura été déferait en fonction de l'emplacement des index du cadran par rapport aux anses soudés (ou coules) au bottier*
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On presaera les branches au moyen d'une pince ayant trois #Sehoiree disposées à 120 l'une de l'autre. Naturellement, l'extrémité de ces méchoires doit pouvoir pénétrer dans le bottier en profitant du minimètre de différence existant entre le cadrant et l'orifice du bottier.
A cette tin, ces extrémités seront légèrement arrondies et auront un peu moine d'un millimètre d'épaisseur. 11 suffira qu'automatiquement cette pince rapproche les branches et maintienne le mouvement en bonne position tant verticalement qu'horizontalement et ce, au moyen d'un petit poussoir central à la pince.
La pinse introduira le mouvement dans le bottier et, en pivotant légèrement, permettra aux branches de se détendre en faisant ressort et les petits nez iront automatiquement se loger avec pression adéquate dans leurs cavités respectives.
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Pour empêcher que le mouvement ne tourne pendant que la pince
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pivote, on aura prévu sur le bord du cadran une toute petits enecchot dans laquelle viendra et loger une branche ta13ant partie de la pi!1\':'J, tais néanmoins indépendante du mouvement pivotant, e'ettt"A'-diyc Matant immobile tandis que le* dahoirea tenant. lois branches pivotenté Na,turenementg c'est la finition des prototype$ qui, seule, déterminera les dimensions des branches (longueur, largeur, épaisseur), leur écartement par rapport au mouvement et leur r6e;
ietance, 616.,tenta qui seront calculés en vue d'obtenir une bonne fixation et isolation du mouvement, tout en conservant une très légère 8oUplell8t et on tenant ritoepto que les branches devront ne maintenir de nombreuses années dans leur cavité sans prendre de jeu et que les pointa de contact entre lun nox et la paroi du bottier doivent être réduits au ministua indinpenxable.
Ça gv%iij do Ilxatlôn, outre qu'il maintient le mouvement d'une laçon solide et luruble, permet. le placement automatique den aouvezxntt dans les bottiers. Il nous donner en plue, la certitude d'une bonne holation thewdqu du Mouvcaentt En effet, le mouvs8:ont n'aura plue d6cer- :nais qu': q'ia2.q&sa i iéxes de tailiizé±ro d; contact dir4Jct avec le boftier et# de id laîtp nous obtiendront un ré,age, non seulement partait, maie encore constant, dans sa précision, !1:.tO/tlC ave!* de rt1t:l bn..1Anc1t11"t'3, petite bl,\n(::.cr ctO.:'1t no1.lt'. d6a}aîitrof9KS ian-5 aotM 5i;;,;;. prineipo, la valeur et la. certitude da bon funetiormuaent.
Il va de 80i qio, potir les petits nauveeatat 't dL>ira &\'011' r)t. platine du fond 16géren*ni plus grande que le boîtier; un intaepora ou on usiner* cette plaque de manière à obtenir de* bMMhas rium xr-nr1-i et "'cariant beaucoup plus du Cet <?Hrt.?"R& 3<rs <'l'...** mont d'autant plue fort que 1 boîtier tera plus p'AnJ pAr rc.r.r{)rf.. eu aouvomont.
4àa* PRINCIPE TIf' ..t 1!It-..4di ¯x#jf¯¯i!t]Jt¯à$fi¯#FyçyàÇ% PÇ& lE z'"" n !)' 'T':.."L"'r! ,').... il n'WXJittart plus ÙM l'innnt.1on ëceFO"4 ni p ni 11,. dont noua n4aymne rk* 4 t'ftlnctNt lornlue 1* ettr4 imio tliU,J1I Vider d* d'enf#fl#n% do r.1 ul4culalrs par Ithuile ervnt . la, lubrititations
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En effet, le procède de nitruration nous permet d'obtenir un bon fonctionnement de frottement (roulgment)p fonctionnement auquel l'huile serait mtme néfaste* En effets Il est impossible d'employé? de l'huile ou de la graisse lorsquton utilise un pièce nîtrurde toumant soufre ima Autre plhe nonrd.tJ:'W'4..
Donc, nous le Sp4tonop il fitayère que le procèdê de nitruration t< pour l'usage qui nous occupe, beaucoup meilleur à tous les pointa de vue que le procède de graissage ou huîlage et que le.9 mo... biles tournent aveo une beaucoup plus grande facilité. Il va de soi que ceent bien pour l'usage qui noua occupe car nous savons qu'il n'en serait paa de xcome .'il y avait. vitexae, chaleur 'ou frottement lourd.
C'eet ainsi que n'ayant pas encore pu avoir la preuve que l'échappèsent, qui a un frettenent plus rapide, pourrait tourner de nombreuses ann("tJ tan3 inconvènie-it, noua pensons qu'il serait peut-être nécessaire (remarques que nous avons dit peut-Stra, Biais il y a 99 chances sur 100 pour que ce ne toit pas néC8anire) d'employer pour ces mobiles des nortes de rubis 3ynth6tiqueD &uto-lub?i.fis. Quoi qu'il en soit, .ce ne tom. pas le Toltxme de ces quelqupg petitei pièces en matière ynthét1que qui pourrait. A chp-Eeur 4.':1bil..'1tot a1.tôx'el" le vide par un déiagement de gaz l'I\o16culdro et il est bien entendu que six inymisembablrment, l'on devait employer ce précède et ce, uniquement pour les pibces de l'éúh4ppnt, il no 1srait alors eun quection de nitrurer les dites p1èoc.
En *ftot# 1* plo !1t que des piùcen nitrurées tourn-iraient contre de:! pi&<:oe a.4to-lubrifiéoô serait nuînibloo Par souci de précidon, noue répétonl qui.1 ne s'agirait évontuellCl:l1lUit. que de l'échappe- <tent< Nous n'1nvf.ntonllt 4vidtcent. pas le procedd de nitruration; cependan%, Roua en t'ev<'ndiquo!M expressément l'emploi pour le problème qui à1oU eoeupe.
5è PRINCIPE vnw ..C!¯?.....' f)'#::J r:r. ft.L!:;'S1o;t CEIiBI Hr::E On *gr% 10 sou#1 de ehaitift tant puvr le* lIou.,..nt.a que pour les bottl rs# den u4t4rlaux sans défaut# ,,'fUl1.-Aoodl,.. que la tière du bvttltr d4trA t4wrt solide# bion hmu&nt ot non porsugo et non pr4conî- fin # un bon ehN.ltull!8 à 1'!nt4r18tu' du bottier,#
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L'on devra également veiller à bien étuver toutes les pièce.
du mouvement ainsi que le bottier afin d'éviter tout dégagement de gaz moléculaire, Noua n'envisageons cependant pas de recuits spéciaux des pièces et du bottier,, ni devoir incorporer à l'intérieur du boîtier des produits absorbant ou annihilant les gaz moléculaires car les mou- vements mis sous vide et isoles n'atteindront jamais qu'un, tempéra- ture d'environ 16 à 20' C (chaleur ambiante), température qui ne peut provoquer de dégagement de gaz moléculaires hors de la matière solide* Ces quelques degrés de différence n'auront qu'une influence très minime sur le comportement de la matière au point de vue dilatation et rétraction;
c'est pourquoi, même de tout petits balanciers (spiraux) donneront sous vide un meneur réglage que de grands balanciers nous atmosphère. De plus,, faut-il le préciaer, les mobiles ne subiront plus le freinage atmosphérique; par conséquent, nous pouvons envisager des ressorte beaucoup plus faibles, des mobiles et des dentures plus faibles 'Salement, étant donn4 qu'il n'y a plus de chocs intempestifs provenant du remontage et de la Mise à l'heure puisque, désormais, ce remontage et cette mise à l'heure se font en douceur et sans à-coupe par notre système magnétique
Les dents des roues et des pignons peuvent donc être plus fines et, par conséquente plus nombreuses;
c'est ainsi que le barillet,, par excepta pourra avoir un plus grand nombre de dents pour le mime diamètre et, par conséquent, une plus grande réserve de marche, tout en employant des alternances rapides,, d'où meilleur réglage naturellement, Est-il besoin de dire que la basse pression qui devra régner à l'intérieur des bottiers sera distribuée avec la plus grande précision possible* En effet, en tenant compte de la résistance de tous les matériaux servant à confectionner tout le bottier, y compris le verre, résistance qui devra être suffisante pour supporter, non seulement la pression atmosphérique,
mais encore les poussées ou les chocs que fatalement la montre devra subir, nous avons calculé que ce bottier devait pouvoir supporter un 'bon vide".. c'est-à-dire un vide d'un centième de torr environ, sans rien enlever àl'esthétique d'une belle montre.
Cependant,, ce n'est pas quelques fractions de centième de torr en plus ou en moins qui auraient une influence sensible sur le réglage.
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D'aprla8 ma calcul'" ensci ne pourrait faire varier le dit réglage que de quque8 ailliemeet de seconde à l'heure.
En ce qui concerne le 'ferre, le verro l!11ntbtStique est à proscrire pour la adwe sous ride,, Nous aoemoet en effett certaine que ce verre dégagerait du Sas moléculaire et que son adh4r*noep biatl que suffisante pour .1tt 1" à 1-8&u et aux poussières# ne ..rait pas suffisante pour 1N.int,n1r le idd< datxr Ion bottier*,,
Nous devrons donc employer un verre on cristal trempé. Ces serres seront électionnés et soigneusement choisies c'est-à-dire qu'ils se. ront tous uniformes et que leur résistance aura été calculée suivant les éléments énoncés plus haut.
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-et 22 eonnéguelt écano9ni. e dtattec. àyf%¯ 1¯j , arr,t.on des 1'1l.'!uvC'''!ents dans, bottiers et la mifle eoulJ tfdm at ,de* . antrea eoit .,da \U, .ut" apP4r.eU, de 1"!Scbion" d2.-' l.'!.+à. ,oe,àcfl:,,.iàÉ.tt' évidemment, les bottiers auront été préparée de N!Mi & ce qu'il #oit possible d'y tain la vide, o'#8%-àCiro u.e seront 2Quni8 d'une soupape construit@ de la manière suivantes Dans un bottier du type monob.oc, on soudera, soit dans la paroi latérale, agit aille8 dans l'épn.isaeu1" du bottier, une bunelm-e en Saillie vers l'intérieur du dit bottier. Naturellement, cette buselure sera placée à un endroit libre.
Son emplacement n'est pas indiqué au dessin n 1 étant donné que ce dessin représente un grand mouvement qui n'est pas prévu pour
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étre mis sous vide et peut donc recevoir un verre synth6tiqua.
Si l'on veut mettre nous vide un grand mouvement, on placera une buselure dans la paroi du bottier, mais en saillie vers l'extérieur.
Cependant, comme nous l'avons fait ressortir plus haut, la mise sous vide noua permet d'employer des mouvements plus petits. Pour ceux.. cinous aurons entre le mouvement et le bottier une place suffisante pour y loger la buselure puisque,, corne nous l'avons déjà expliqué, pour les petits mouvements, les branches de fixation changeront de forme et s'écarteront davantage du mouvement
Nous n'allons pas expliquer les diamètres, longueur et épaisseur de cette buselure et nous ne l'avons pas dessinée car nous estimons que la description qui va suivre est suffisamment clair .
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A cette buaelure en métal anti...gntiq,ue. on Boudera un fond en
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matière magnétique aimantées et ce fond sera perce d'un petit trou*
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La buselure sera filetée, à l'intériour, sur une certaine profondeur et ce filetage servira A recevoir un bouchon,, bouchon ég&letl1nt fileté* Dans ce filetage du bouchon), on prévoira deux rainures perpendiculaire
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l'une à droite, l'autre à gauche, rainures un peu plus profondes que
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.l'épaisseur du filet et qui serviront à l'évacuation de l'air as trou-
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vant dans le bottier.
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De plut, le dit bouchon aura reçu une rainure :sur Na face sup<Sriaur@ pour pouvoir le vicacri, rainure qui sera placée de tello -morte qu'elle communique à chacune de ses extrémités avec les rainures prü.tiqu6os
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dans le filet du bouchon.
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Du ceu opposé à cette dernière rainure, il y Aura, dans le bou<*hM un trou bormney trou qut pensottra d'introduire avec jeu rne j:atite bille métàlliç,ae 4i.L'!1l1n"6h Lu trou du dit bouchon vera :J.fll)l'J, profond pour que la blue puiace avoir un jeu en hauteur et# pour plus de facilite dans '.et manipulationa du bouchon, on défoncera 14gér#menµ le bord du dit trou, de manière à ce que la bavure produite par ce dét('.. coment "Uppot la bill'' dans son loecments maift clnrl4nt. do la Imrir.-3,tra à la bille de laismer sortir une partie 4* lîon volume en Udhora du trou du bouchon.
Naturel estent il no .'Mira plus de pefll\nt.M1" une tni3 Ive le bouchon eera vis16 j<a=1qu'à une ar%a1;o proi\1!'1d'3iJ't' .anD 1" l;;ufltfll!J"û fI111qu'à ce -%mont$ clest 1 taluniAt.ion qui attirom la bille sur 10 rebord du trou du bouchon* La blJr1ohrl1 w) tolu tt'!mln", avee son bouchon, et tioutlêti au bottierg celui-CI sot pr$t à recevoir 1..OUy,=,t. notre prveôd6 d* fixation et d'hol,.t1Qtt 04erit Au J8;w principe P"!'t":"It,tr 3<' t\rn14 autoMtqM des mvnt. Cano lem bo1t1or. bu l1iu du rcntxge nu.l ployê juoqueâ patent.
A de et wo ant, t<Jut"'!'I 'dee raM'-M seront =OElPl'*"=='n± .iutx ntiquT? .'icz:i'à la, fi;ltià>n 1."';.it.(I < 1>
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montre
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La chAfne de ltC'ntut!u ,1411N par r-tlAh zngy>ù>;*wo., i,,i=> r.l1.fit. eutte ehatm sera partlell.nt, atclt. en mat,1+rw ig,,lar+T, toit en m4t*1 a.nt.1MgnHtu!t.
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La preciiere epsilon Som$ 4videmment, de placer automatiquement.
108 Nouvemente termines dans leu bottiers L'opération suivante consistera à placer le verre en eristal trempé d&na le drageoir,$ sans jeu excessif. Ce verre en cristal aura été platinisi sur et base. La platinisation du verre peut me faire.. par moyen élactroltiques à partir d'une solution ehlopcpla.tiHique ou de chlorure de platine. Mais le procédé électrolytique roui3 psrmet 'gI11emont d'aurifier cette base,, ou de'l'argenter, ou de la cuivrer.
D'autre part, dans l'angle du fond du dragooîrp on aura, au pr4-'alabl-ej,
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placé un tout petit joint (filin) de soudure à basse température, prit'
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exemple, soudure Ca3tolin n* 137 -' point de fusion 230ê 0 - r6cictan;<: 10 Kge/Ir.m.2, soudure spécialement préparée pour l'acier inoxydable 18/8.
Viendra alors l'opération Bouduro, par tiaute fréquence et par Interférence* La tielt qui sort A sonder par interf4ronc? fle-J, de dimentiona r.rrepondant le plue pocaible au un drageoir, de laqon que cette colt communique sa chaleur 1 l'endroit précis oÙ 88 trouve la ?t!.1tiro, '!R*!s toucher leb parties métauîquos de la montro.
Ln cur Icual c trouva la Rosira devra pouvoir pivoter 4'ww fmction de tours afin que le point de fusion de la soudure toit attoînt la plus rAp!1.nt possible), u'eY -à-diro en quelques necondone Pen :'I',i 1V:'t)nt. tte-i fp*t$ afin ci" fhîtettt1,Ii':u' tee exactement la :1>itÔS puur alàwàndra go point do tu.ion do la soudure et r,,,1o%" en ("';)"91fq,\.!tnco la Mehine Mt6!satiquat t"l}l'1 pr-4v,!rA 1!;'i\l""H':lt, "ntre ee aaele et la montre une Mjrte de nuve4t,t h clrf;14t.ir,.n de liquide de ï'sfraidiettMaHt ou de gaz frigsri" fique- .fin Q'p4ahur tout rayonnement de chaleur au couru de l'opéra- \.10f' eoudMt Mou, tyon3 fiit des 9 ti< (r08.1r..n pMatat les pr4éautionJ 4n%o>4r$ed i-d.lf' et nove avons on6 q7at ce prot4 de soudure -19*ltrtît <!4 rien la ph4tôtrtyur* du mB4R, cvmrto t,tlf.l.1 de, ce clum, 4an# ). q flytl(";1'\ , b t:
'l1d,.n devi-4 8tN trait,! pgr le 'lUt3" JIN" ; '>':X tige, celui .xplàqu4 pour la base du vorra wt I;ane V11'1\3, v,arr' les aQ\lYeMnt.# ah eout vldo, bien entendue
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Dans Cil conditions, le cadran ne peut. étre abtxî par la chaleurt d'àutafit plus q,u'avec notre oystbma de fixation et dimo3.stian, le cadran ne touche pas le revers du drageoir et, par conséquent, ne touche pas non plue le Verrez
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Il est bien entendu qu lee bottiers et les nouvonnbo, avant doe passer à l'opération auirrartta, qui est la mise nous vide, devront liN refroidis juau' une température d'environ 18 k 20- Ce Des essais de laboratoire d'termineront combien de temps exactement les boîtier* dopvent séjourner dans la cuvette de refroidissement pour 8tre 1'aJIeta. 1 la température indiquée;
ces essais noua diront également s'il y a lieu d'établir un contrôle de la soudure du verre avant la mine nous vide.
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Les bottiers sont alore dirigea, toujours autosnatiquernsnt, vera la pompe à vide. La. vanno-raocord de la pompe à vide viendra buter, autsmatiquement, -aveo pression adéquate, peur l'orifioe -de la bueelure conto- nant la soupape. La vanna-raccord sera fabriquée do telle sorte que son extrémité forme un joint partait sur les bords de la cavité. Peur plus
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de sécurité et pour avoir la certitude d'obtenir un autcr::.!i.t1a parfait, cette Y?oMe-rMQord sera 6leQtrQétiquet Une toia le contact étata entre la. vann...raOOON oh le bottierJ 3. tupll'&tion d, 1& pompe A 7:;ÇJ doublé* de ltiraluence mAgn6t.iq\t& de la VArmt, va éaoelemant tain re- monter la petite bille dans son logement et permettre ainsi l'évacuation de l'air se trouvant dans le bottier.
C'eat la jauge de la machine à faire la vide qui commandera l'ouverture et la fermeture de la vanne-raccord ainsi que l'admission ou l'interruption de l'électro-magnétisme eur la vanne-raccord.
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Dès l'interruption de l'influence électro-magndtique de la Tanne. celle-ci cesse son aspiration et, instantanément, la petite bille formant soupape va, par l'influence magnétique, boucher le petit trou du fond de la buselure.
La vanne se retire alors automatiquement et la montra entraînée
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par la chaenef passe à l'opération suivante, c'eat-1-dire au blocage du bouchon sur la bille, par un tournevis automatique.
A l'opération suivante et toujours automatiquement naturellement, une pompe spéciale injectera au-dessus du bouchon une goutte de scella
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weellé qui sera .tur.aeent d'une coapoaitioa et d'un* consistance tdéqaatAt. t'opération .u1w.nte sort la rattaya,a do :L'orifioe $talé* Ensuit* toujours attct.tueen et sur la atm@ chaîna ecaentneett la réglage dot contres ou des appareils# qui 'ai,t l'objet de notre 6a principe.
6d PRINCIPE
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RY..GLAGE: EL'1!:O'l'Ro-KiGNETIQUE. PAR L'EXTERIEUR iE3 û0i DES fOi3tli'T3 'MiS SOUS VIDE....
Les xouyemente seront munis d'une raquette permettant le règlage par influence dlectro-tnagnétique à travers le boîtier. On remarque cette raquette de réglage au deain n. l. Comme indiqué au dessin, une partie de cette raquette ont en métal a.nt.isnét1que, ts.nd1o que loutre putie est en métal ugn4tlQ.1J.e.
L'on M'icarque également au dessin que la partie JltS,gf1&tique à un volume très important, en diamètre naturellement, et ceci à seule fin de pouvoir recevoir une influence suffisamment grande et même avec une grande réserve de certitude afin que le poussoir du vibrographe
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(chmno-ccmparateur) puisse faire glisser la dite raquette aussi faci- lement que dans les réglages dea raquettes ordinaires dans l'horlogerie traditionnelle.
L'on comprend aisément que le crayon magnétique qui doit servir à la mise à l'heure ne peut créer aucune perturbation de la dite ra-
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quette et ce, zatme si le porteur de la montre voulait etamuser à trait ner son crayon magnétique de mise à l'heure au-dessus de la raquette de réglage. En effet, une puissance dix fois plus grande que celle du crayon magnétique pourrait, seule, faire varier la dite raquette.
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Eat-il besoin d'ajouter que, seule une puissance éleetro-ttagnétique correspondant à la puissance électro-magnétique du poussoir du vibro- graphe pourrait contrarier le réglage étant donné que, nous le répé- tons, le volume de la partie magnétique de la raquette est de très loin plus important que le volume de l'aiguille des minutes décrite dans le 2a principe*
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Caci dit, nous revenons à la chaîne de montage pout 1?op±ratiin de réglage.,
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La vibrographe (ohrono-comparateur) de réglage aura un poussoir au lieu d'une griffe comme dans les opérations de réglage traditionnel.
L'appareil en lui-même ne devra être modifié en rien, exception fait*
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que le dit poussoir ne terminera par un aimant éloctro-magntit1que.
Lorsque les alternances du vibrographe seront en concordance avec les alternances de l'objet à régler$ automatiquement 'électro-aimant du poussoir du vibrographe cessera son influence magnétique, Dès lors la montre quittera la chaîne de montage.
Il ne restera plus alors qu'à contrôler le vide existant à l'intérieur des objets règles* Un premier contrôle grossier pourra s'et... tectuer A l'aide de calibres.
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En effets noue savons qurà la basée pression d'un centibie de torr établie dans les boîtiers, le fléchissement naturel Ces métaux de
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ce bottier et du verre donnera X dixiémes de millimètre- de ditt4nclt d'épaisseur entre ce bottier et le néme boîtier toun atroophtro.
Par eon8quent, noua saurons, avec un certitude absoluo, que de* tractiens de centième de torr de différence de basse pression nous donneront une différence d'4paisaeur extérieure des bottiers de X centiaoa de millimétre,
Ceci dit par souci d'un premier contrôle du bon vide établi dans
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lex bottiers car, on effet, la constance du filage du rouyt4."er.11 ourap elle, la '!JUp(4r-eontrle du bon vide.
En effet, ai la banne pression *et cor);"11'Jctf'l, les Aglagon ne doivent pas varier* peaiant# une dltfdr*nce do quelquoo fractions de centièmes de torr en plus ou en moins ne pourraient avoir, noue l'avons déjà dit, qu'une influence sinisa à savoir quelques milllémes de seconde par heurt* Ceci est d'autant
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plus certain que noua nft.ron; plu6 oraindre (le trousen répercussions provetun4 ;l.' c1.i>nj;in:>nta du t.#'1Iper:\turo puisque, Mua l'avons d4 dit et 1."ér>6t.& les i"f1a"M?t :icce: n'aur1.)nt ph!\'t ",.. l':1\v\'nt,1>.;n Ît.3.ôi. :i" t u.. :nler,ner 'vut&-iat nF.Ut1'l&bl't..
*t If.;>{'!, 11 t1llt rwate pluo À i.:nvaston,,'.. '1ut\L"t "t't\1 zinc ta1b1e, *'Q3',>liT'"r4' 1p tre4a du vorro pr\idu1t. pér un reste incami14'r+ du porteur da la 'Mutrs (on de 1 t At'pAr..n). Pmlx, a:r==;.xe. Nt!.tt laC',1M ttt-ra c:a..4 iltlc1 pat très I.n;.aape. kan <ff<'tt il ant lr:1Q.!Je de croil"1r '11l\" $13'k.
Si,urS"tf d'ici J}.fIl.it disposer d'Uti wvrxo s*mà du
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cristaux transparents, aussi solide que l'acier sinon plues et noue
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revendiquons, d'ores et déjà,. aon utili88.t.O", nnn souletaent pour en recouvrir le cadran, mais également pour confectionner des bottiers comploétemenbt en verre, bottiers qui seront naturellement en deux pièces, l'un. servant à la lecture daa inscriptions du cadran et l'autre soudée
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à la premiére, toujours par le proeéd6 expliqué plus haut.
Naturelle- ment, c'est cette seconde partie qui recevra la soupape et qui pourra
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ttrt décoré. pour répondre & l'esthétique que l'on attend d'une belle'' montre, car le verre actuel ne laisse d6jà, par les moyens elecircly tiqueup platinisdr, ou aurifiôr, ou chromer, eu1v&nt l'upeet que l'on de aire obtenir,, @ Comme il va de soi et comme il ressort d'ailleurs de ce qui prê-
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cède, l'invention 409W* ne ce limita aucunemont à celui de mes modes ' d'application, non plue qu'à ceux des modes de réalisation de ses di-
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Yerses parties, ayant été plus spécialement indiqués,- elle en tafbya.Me au contmirop toutes les variantes, notamment *,elles qui onoictaiQ11t à utilince s4par±ment chacun de nos principes ou deux do ceux-ci,
par eMtlple, le* deux premier. principes qui, réunie, pormottt-aiQnt de fabriquer des montres automatiques, avec masse oscillante disposes laté- ralement et sans remontoir, !lait! en conservant de grands mouvements
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et des iraryes synthêtîques contée dans l'horlogerie traditionnelle.
Dans le ntme ordre d'ideon, nous revendiquons toutes les variantca concernant la mise nous vide des mouvemonts et notamment:
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lèr.2 varltnt4k Au lieu d'.mployer des boîtiers r.onobloc, on utilise un bottier en deux pièces cuvette et paroi* On soude la verre en cristal trempé à la parci du bottier avant d'y placer le mouvement.
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Le boîtier comporte toujours uns mour>ape rixde à la paroi ou à lu CHV9tt9. tpr. afoir pl&c6 10 Bouv<'s'.nt f1 1 suivant la pl'Oc6c.!.I$ faisant leobjot do notre 9 principe)) on vioaora la cuvette avec un jolnt approprié au vide.
La o.4.ve wou9 Vide, la t1.nit.ion et b x4flaéa seront alora exécuté* de iaçEn àeon>àq4e à celle d4crite dan9 les 50 et 6<! prineipaat g* o*r',n',, Unn totidera 4pxl*ment# M pr4tlable, un *ter" en cristal A la pAt'Ol
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d'un bottier en deux pièces,, mais sans soupape.
Ensuite, l'on procédera à la fixation du mouvement suivant le procédé faisant l'objet de notre 3e principe.
Ensuite, les boîtiers munis de leur mouvement seront diriges vers une chambre à vide où les mouvements seront réglés fous vide par des vibro- -graphes qui fonctionneront.. non plus magnétiquement, mais en attaquant directement la .raquette de réglage comme ils le font actuellement pour les réglages sous atmosphère,, Après ce réglage et toujours sous vide, on vissera la cuvette avec joint. Une fois lea cuvettes vissées fermement sur leur joint, les montres sortent de la chambre .. vide.