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"PERFECTIONNEMENTS AUX CAISSONS POUR VOLETS ROULANTS OU ANALOGUES. "
La présente invention est relative à des caissons pour des volets roulants ou analogues, destinés à être utilisés dans l'industrie du 'bâtiment.
L'invention a pour but de réaliser un cais- son amélioré qui soit susceptible d'utilisations multiples et présenté sous la forme d'un élément de construction.
Jusqu'à ce jour, pour des raisons de soli- dité et de résistance mécanique,les caissons de e genre i
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""-:-1.:'n'; it=T 2 . l'Il:':'3 fronton des ienlt;.>= -'jeul"- et avr3 l.ue 15dit9 frcaton.3 aient été réalisés ln c>#- : 3'?'lUgnC, avec u.:.l6 solidité suffisante. Cad enta7:.ait une T djpae supplémentaire limitait par ailleurs lo& 1 r dt s Z:rJ9 3up16en3i9 ut liuitait par ailler6 lo lareurs possibles des ouvertures. Si l'on voulait réaliser e lin- teau dans 1 'épaisseur du plafond, on devait sur la plupart
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dea constructions reprendre dans ce plafond, zalsr4 que ceci auente notablement le prix de revient de la construction.
Dans d'autres cas, pour des raisons pratiques, il était
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impossible de rézlieor des plafonds a corniches . L'invention a principalement pour but d'éviter les inconvénients des Cùà81$àIl3 de type connu et de réaliser un article amélioré 1 qui soir susceptible d'être utilisé en outre comme pièce
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porta-r.9 . la place d'un linteau da fanêtre, ce qui éconc-
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aiJe une place importante en hautaur. d Solon l'inventiont on parvient à ce but en ; réalisant un caisson pour volets roulants ou analogues, des- tiné à être utilise dans la construction de bâtiments, et qui soit forme d'un support profilé léger creux, suscapti- ble d'être ancré dans le béton .
Le fait de réaliser ce caisson également à la façon d'un organe porteur et de liaison, présente un grand nombre d'avantages. La rigidité t
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n'est pas définie uniquement en tenant compte du moment 1 1 d'r.<-Wße du support profilé, mais en prenant également en considération la section transversale du béton qui l'entoure de tous côtés. Ians ce cas, le montage de plusieurs été- ments déterminés par le calcul coopère avec l'ensemble de la section transversale du béton pour assurer la liaison ou l'ancrage au moyen de tampons ou de chevilles.
La con- figuration des cloisons ou nervures permet de tenir compte
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sur toute la périphérie, de. la poussée du béton ainsi que des efforts de cisaillement appliqués au caisson; les cloi- sons jouent: ainsi accessoirement le rôle de dispositifs de sécurité en cas de déformation . Une forme en L des cloisons, entretoises ou nervures, présente l'avantage particulier d'as-, surer une fixation simple, par exemple par soudure par points.
Bien entendu, pour des applications particulières, il est également possible de prévoir d'autres formes de nervures.
On peut ménager constatent un support, sur doux appuis, dé- fini du point de vue statique. De tels caissons peuvent par conséquentremplacer complètement le linteau d'une fenêtre si bien qu'il n'est pas nécessaire de prévoir ensuite un re- vêtement. Ceci parmet de réaliser une forme nouvelle et par- ticulièrement avantageuse du point de vue constructif, mais convenant plus epécialement à des ouvertures équipées de volais roulants etsituées sous les dalles de béton formant consoles pour supporter par exemple un balcon . Ce mode de construction permet par conséquent d'économiser de la ma- tière at de diminuer les poids .
Par ailleurs, cela rend également possible d'augmenter la largeur des ouvertures, par exemple jusqu'à cinq mètres ou davantage.
Suivant un mode de réalisation particulièr de l'invention, la poutre profilée légère est formée d'une tôle nervurée à profil en n, pourvue extérieurement de cloisons ou entretoises appropriées, et qui présente des plaques rigides à ses extrémités de support. La poutre a ainsi la forme d'un caisson en barillet qui, par support au moyen de deux plaques terminales rapportées ou incorpo- rées, joue le rôle d'un ensemble plié et entretoisé, qui comporte notamment une grande rigidité . La poitre eot ainsi
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ancrée aur la béton, et pas a--9mpLa dans la plafond, ce qui permet de lui applique' dos charges particulieramant élevées.
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On peut t pr{ "')ir sur les surfaces d'appui, d3g organes de fixation destinés assurer l'ancrage. Cn confère ainsi au caisson les caractéristiques d'un linteau, re normal en béton . Par ailleurs, l'ancrage par encastrement permet d'assurer une excellente portée et une bonne répar- tition des charges, étant donné que la forme du support n'agit pas dans la zone du caisson de tôle.
On peut par ailleurs prévoir perpendiculai- rement aux extrémités supérieures des plaques terminales, un ou plusieurs plateaux de poussée destines à éviter ri-
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goureu33--ent toute torsion . Cn peut également utiliser de:? caissons qui définissent '-me cavits intérieure de très grandes dimensions et qui, ne pouvant alors plus trouver appui sur touta la largeur du. mur, dépassent par conséquent
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h.>r3 du plan défini pa= celui-ci . Cn paut ainsi accepter que le profilé de liaison d3s3s en porte-a-faux au-de9- sua du plan de support .
Le choix de la forme de la poutre profilée légère est secondaire, étant donné que les pla-
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teaux de poussée prévus au so:.:gt dei3 plaques prennent ccns- tamment appui dans le plafond de béton qui est notablement plus rigide, si bien que les appuis ne risquent pas de
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e1 jcr9 et qu'on se trouve au jontraira en présence d'ur. encastrement très rigide. Il es.; également possible de prévoir sur la poutre profilée légère, des nervures
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do renfort réalisées par ex,)--pie sou9 la forme de moulures.
De tellos nervures permettant d'obtenir un renfort aupplé- mentaire.
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Une autre caractéristique importante de l'in- vention provient de ce que la forme creuse de la poutre pro- filée légère définit des arêtes longitudinales de renfort, par exemple dans le cas de sections transversales en V, ou polygonales à quatre, six ou huit cotes. On obtient ainsi un renforcement: également dans la sens longitudinal . Le caisson peut être par conséquent réalisé suivant n'importe quelle forma creuse, et non pas seulement avec une section transversale circulaire, arrondie, ovale ou elliptique, malgré que cela ait été représenté sur les dessins comme étant un mode de réalisation préféré de l'invention.
On prévoit également que la poutre profilée logera peut être réalisée en une ou en plusieurs parties dont les extrémités supérieures comportent des rebords lon- gitudinaux susceptibles d'être assemblés les uns aux autres.
Ces parties constitutives peuvent présenter par exemple des faces planes convenablement pliées, de façon à définir un profil creux à section transversale polygonale, et non plus une forme en barillet. De toute façon, la poutre ne doit pas âtre obligatoirement fabriquée en une seule pièce sui- vant un processus compliqué nécessitant une durée de mise en oeuvre importants, niais au contraire pouvoir être montée simplement, sur place ou en atelier, pour constituer l'élé- ment désiré.
Suivant une autre forme de réalisation pré- férée de l'invention, on prévoit sur au moins l'une des parties constitutives, un ou plusieurs organes d'ancrage tels que par exemple des ferrures obliques ainsi que des surfaces qui font saillie vers le haut et pénètrent dans le béton afin que la partie principale de l'ensemble puisse
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abaisser les poupées déve appées. Dans ce cas, le citon incorporé ou rapporte au forint du montage dans les parties verticales latérales définiepar les parois ou par des ta- bilers, ne joue aucun rôle d@ point de vue statique, tout au moins en ce qui concerne un ancrage par tampons ou chevil- les.
Le béton et les cloisons ou cornières transversales de liaison qu'il enrobe, assurent l'essentiel du raidissement des tôles nervurées minces en vue de leur éviter un éventuel colquage.
Il est en outre important que les extrémités d'appui de la poutre profilée légère comportent dea couver- cles latéraux qui y sont engagés et présentent ou non des goujons de support ou de mise en plac3, pour la cas où des considérations constructive3 et s ta tiques conduiraient à renoncer à l'utilisation de couvercles latéraux rapportés et pourvus de plateaux de poussée. De tels goujons peuvent être utilisés pour les raccordements d'ancrage. Toutefois, leur 'rôle principal est d'encaisser les éventuelles contrain- tes de torsion si le raidissement produit par les plaques de couverture en béton ne s'avéra pas suffisant pour supporter un éventuel moment de torsion.
Cn peut rapporter sur la poutre profilée légè- re , des profilés de renfort tels -La- exemple des cloi- sons transversales, des cornières de liaison ou analogues, ou encore des longerons. le nombre des cloisons qui en ré- sulte et que le calcul indique devoir être réduit en consé- que::ce, peut être utilisé au niveau du plafond pour complé- ter la résistance de l'ensemble aux différentes poussées.
En ce qui concerne la rigidité, il s'agit dans le cas d'un caisson selon l'invention, d'une poutre de liaison prenant
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appui sur deux eupporte à ).\ne position statiquement définie avec un organe de résistance élevée à la traction, et un organeds poussée en béton,poutre dont la fibre neutre se trouve située dans la section transversale. Si l'on renfor- ce les sections porteuses de l'organe de traction, par exem- ple en y prévoyant des barres ou fers plats profilés, on aug- mente considérablement par ce fait la rigidité d.e la poutre de liaison.
Suivant un mode de réalisation important de l'in- vention, on prévoit une.'partie médiane en forme de U at deux parties latérales pourvues de rebords pliés longitudinaux.
La poutre profilée légère est ainsi formée de trois parties, dont deux (à savoir les parties latérales) peuvent être fa- briquée:? sous la forma d'éléments standard susceptibles d'être assemblés avec des parties médianes différentes. Ce mode de réalisation présente l'avantage de conférer à l'en- semble une rentabllité commerciale particulièrementintéres- sante en ce qui concerne la fabrication, tandis que par ailleurs les possibilités de combinaisons multiples et d'adaptation aux conditions rencontrées sont également accrues.
En montant une partie médiane de largeur appropriée, on peut assembler par une sorte de système de jeu de cons- truction, des caissons présentant chacun la largeur désirée, tandis que par ailleurs on peut modifier également la lon- gueur de 1'ensemble par montage de flasques d'éléments à recouvrement, ou d'orgues d'épaisseur .
Pour terminer le montage, on déversa dans les espaces intermédiaires définis entre les parois internes et externes, un béton qui peut être lourd ou léger, ou encore une mousse de matière plastique chargé ou non d'une substan- ce de remplissage; par ailleurs, dans les conitions de la
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statilue, la partie médiana prévue sur le raccordement au plafood, notamment dans le cas d'une section transversale polygonale ou en force de tonneau au niveau de la @ection transversale élargie du. béton, peut être équipée de béton lourd ou de béton léger à haute résistance à la traction et à la compression, en descendant jusqu'à des sections transversales de béton aussi faibles que possible,
ce qui permet de loger n'importe quelle scrte de poutre latérale de parement.
Suivant une autre caractéristique de l'invention,' au moins la poutre profilée légère est en matière plastique armée, et par exemple en une résine polyester renforcée avec de la fibre de verre. Un tel mode de réalisation est parti- fulièrement indique chaque fois que les conditions de rigi- dité ne sont pas trop sévères, alors qu'au, contraire on ajoute une grande importance à obtanir un poids réduit.
La poutre profiléelégère peut être pourvue d'une isolation thermique qui consiste par exemple en une couche de matière isolante appliquée extérieurement ou inté- rieurement, collée, couina , mise en place à la presse, ou présentée sous forme de mousse . Cette couche isolante peut être en outre fixée à la poutre par des moyens d'ancrage quelconques ou par sa propre adhérence . On utilise encore avantageusement des organes en forme ( par exemple de sup- port ) qu'on rapporte par collage, et qui sont notamment réalisés en matière plastique. Cn obtient alors l'avantage particulier suivant lequel on supprime l'emploi de pièces conductrices de la chaleur, lesquelles constitueraient no- tamment un point froid à l'intérieur de la pièce.
Etant donné que la section transversale de la
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poutre profilas légère présente au moins sur une partie de sa périphérie des cavités et ou des matières thermiquement et acoustiquement isolantes, on réduit l'influer.ce du froid ou de la chaleur. Par ailleurs, on cbtient une protection op- tima contre les bruits extérieurs .
Suivant un mode de réalisation a7anta- geux de l'invention, la poutre profilée légère comporte une section transversale sensiblement en U, formée d'un manteau intérieur et d'un manteau extérieur; ce dernier est convena- . blement écarté du précédent qu'il recouvre au soins en partie la cavité intermédiaire définie entre eux étant alors rem- plie d'une matière isolante telle que par exemple du polye- tyrol . Cetts ccuche isolante assure également en permanen- ce une protection efficace contre l'humidité . En pratique, ce moie de construction peut être réalisé simplement et conduire à un coût de fabrication réduit.
Au lieu du mods de réalisation suivant lequel le manteau interne et/ou le manteau exturne compor- tent ou définissent entre eux des cavités fermes de façon étanche à l'air, et préférablement constituées sous le forme de chambres maintenues en dépression, on peut encore ne prévoir que le manteau interne qui comporte alors des cavi- tés closes de façan à assurer une isolation efficace.
Les deux manteaux peuvent titre réalisés en matière plastique et armés au moyen d'insertions de ren- fort, par exemple en fibres de verre, en bois, en métal, en carton imprégné ou analogue, ou bien encore être pourvus d'organes de raidissement. Grâce à cette disposition, on peut notamment alléger le caisson tout en lui conserva nt ses caractéristiques de résistanct mécanique, si bien que ,
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la caisson seon l'invention est d'un emploi avantogeux et très rentable. Les ariatures de renfort confiront une ré- sistance mécanique élevée, auesi bien dans le sans vertical que dans le sens horizontal.
Pour des torses de réalisation plus longues ou des portées plus grades, on augmente la section transversale renforcée à la fibre de verre, par insertion de mèches de fibres do verre ou de nattes tissées.
Sur la périphérie externe de la poutre profilée légère, on peut prévoir des cloisons ou entretoises de matière plastique, de bois, de carton, de métal ou ana-- logue, qui y sont fixées à des intervalles donnés. Cn offre j ainsi au béton une grande surface d'ancrage au moment de la coulée.
Si- la poutreprofilée légère qui compor- te une paroi horizontale, une paroi oblique , et deux flas- ques latéraux, présenta sur les extrémités libres de ces derniers des profilés de renfort en bois, en métal ou ana- logue, qui constituent simultanément des baguettes de fixa- tion pour le couvercle refermant le caisson, ces différents éléments permettent d'assurer plusieurs fonctions ; en par- ticulier, les profilés de renfort sont prévus aussi bien pour raidir l'ensemble que pour fixer le couvercle du caisson- Les flasques latéraux limitant la poutre profilée légère comportent sur les faces terminales, des profilés de renfort qui sont prolongé:! de façor. à constituer des baguettes de parement.
Du point technique, cela constitue un avantage important par rapport aux dispositifs connus . Pour fixer la couche isolante, on prévoit des cornières, ou organes d'ancrage repliés analogues, qui entourent la poutre profilée et sont fixés latéralement par collage, vissage, clouage,
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soudage par points ou par tout autre procède, sur les ex- trémités libres des flasques limitant la pcutre profilée légère à section, en U . Les cornières ou organes d'ancrage repliés présentent une aile libre qui dépasse vers l'exté- rieur de façon à constituer,grâce à des évidements qu'elle comporte, un support ou élément de liaison réunissant le ' béton au caisson; par cette disposition, on maintient en place la couche isolante tandis qu'on assure son ancrage dans le béton .
Pour protéger la couche isolante lors de la coulée du béton, on prévoit au moins à la partie supérieu- re du caisson, entre ladite couche isolante et les cornières ou analogues de liaison, une feuille préférablement métal- lique intercalée à cet endroit.
On obtient une isolation thermique particulié- rement efficace en utilisant des modes de réalisation où l'ensemble est entouré d'un système d'alvéoles ou de cellu- les ou eneore de cavités closes renfermant de l'air . Dans ce cas, la couche isolante est formée par une structure cel- lulaire tissée, du genre dit " nids d'abeilles ,qu'on pose, colle ou presse sur le manteau interne . On définit ainsi des cavités correspondant à des coussins d'air stagnant en- tre les manteaux interne et externe . Ces cavités ou alvéo- les pouvant être également délimités par des entretoises fixées au manteau interne , et logées entre ce dernier et le manteau externe.
Dans la poutre profilée légère du caisson, on peut en outre prévoir un embout pourvu d'une ouverture pour le passage des sangles, qui soit réglable en fonction de l'épaisseur des parements . On simplifie ainsi l'instal- lation des voleta rculants de même que le système de .
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commande par traction, tout en diminuant le temps de montage.
Un tel embout pour la sortie des sangles peut comporter au moins un galet de guidage qui traverse les parois de ferme- ture d'une pièce en tôle fixée sur l'embout. Celui-ci, qui est susceptible d'être introduit par coulissement, peut également être remplacé par une pièce unique en matière plastique équipée d'un galet pour le guidage de la sangle.
Un tel embout avec sortie de sangle peut être formé d'une bordure périphérique ou par des surfaces de guidage ou bos- aages montés, rapportés à la presse, ou injectés sur le manteau, réalisés en matière plastique ou non, tandis que par ailleurs il comprend un noyau pourvu d'un galet de gui- dage et portant la pièce da tôle. Ce noyau est susceptible d'être déplacé dans un évidement des bossages ou surfaces de guidage. La fixation de cet embout est assurée sur les bords au moyen de via qu'on utilise simultanément pour fi- xer -.'extrémité du tablier et/ou la pièce de tôle. Le noyau mobile fournit la possibilité de compenser par un réglage de correction simple, len différences d'épaisseur du parement.
La fixation des deux parties s'effectue de façon très simple au moyen de vis suffisamment longues prévues au nombre de deux, ou au maximum de quatre, qu'on visse entre deux rebords adjacents et qui, par effet de coincement, assurent une immobilisation suffisante pour la noyau mobile. Suivant un autre mode de réalisation possible, qui est particulièrement avantageux pour le guidage infé- rieur de la sangle, on prévoit deux galets de guidage de la sangle, galets qui sont placés entre les deux parties latérales de la pièce de tôle montée dans l'une des pa- rois terminales de l'embout. Il est particulièrement
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avantageux de fixer et de visser la partie terminale repliée et emboutie du tablier, an moyen de la pièce de tôle enga- gée à cet effet,
et ceci en introduisant ces organes par le bas dans l'embout. Les galets de guidage de la sangle se raccordent ainsi à la surface de fermeture de la pièce do tôle.
Pour délimiter l'ouverture et refermer simultanément le parement, on peut prévoir à droite et à gauche dans la partie inférieure du caisson, des traverses pourvues de buttes latérales obtenues par poinçonnage cu par emboutissage. Une baguette de bois représentée sur l'ensemble ou montée dans le tablier intérieur au moyen d'or- ganes repliés, est utilisée pour fixer le couvercle qui re- ferme la partie intérieure du caisson.
Le dessin annexé, donné à titre d'exem- ple, permettra de mieux comprendre l'invention, les carac- téristiques qu'elle présente et les avantages qu'elle est susceptible de procurer:
Fig. 1 est une élévation en coupe d'un caisson selon l'invention.
Fig. 2 en est une vue en plan.
Fig. 3 est une élévation en coupe d'un autre mode de réalisation possible d'un caisson selon l'in- vention dépourvu de couvercle latéral.
Fig. 4 en est une vue on plan avec cou- pe partielle.
Fig. 5 est une coupe transversale d'un autre mode de réalisation possible d'une poutre profilée légère fabriquée en trois parties at considérée isolément.
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Fig. 6, 9, 12 et 15 représentent diffé- rentes variantes du caisson.
Fig. 7 et 8 sont des coupes suivant les parois latérales représentées on fig. 6.
Fig. 10 et 11 sont des coupes suivant les parois latérales illustrées en fig. 9.
Fig. 13 et 14 sont des coupes suivant les parois latérales montrées en fig. 12 .
Fig. 16 et 17 sont des coupes suivant les parois latérales illustrées en fig. 15.
Fig. 18 est une vue de face d'un embout prévu pour assurer la sortie d'une sangle.
Fig. 19 est une élévation en coupe du noyau de cet embout.
Fig. 20 est une section verticale sui- vant XX-XX (fig. 18).
Fig. 21 est une coupe horizontale sui- vant XXI-XXI (fig. 20) où l'on a représenté le galet de sangle.
Fig. 22 est une vue en plan de la pièce de tôle équipée de la tôle de couverture.
Fig ; 23 est une vue par la bas d'un au- tre mode de réalisation de l'embout pour sortie de sangle.
Fig. 24 est une coupe verticale suivant XXIV-XXIV (fig. 23).
On voit en fig. 1 que le caisson selon l'invention est formé d'une paroi de t8le 1 à profil en n qui est raidie par des cloisons ou nervures 2, tandis qu'on le referme à ses deux extrémitéspar des plaques terminales
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3 . Sur ces drnièrl;l3 sont prévue des raccord* d'anarage 5 destinés à aaaurer la fixation duni le béton d'un support latéral 10 (fi6. 2) . 1-arliendiculairement aux extrémitd4 supérieures des plaques terminales 3, on place des plateaux de poussée 8 doutinéa à trunsformer tout moment de torsion en un ellae,,bl. de deux réactions qui exercent dei poussées auportË8 kar un plafond du béton 9 .
Le caisson ont en- touré d'une isolation thermique 6, renforcée par exemple par
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des nervures de métal profilé, par du tissu à structure al- véolaire ou utialoeue, et il out revêtu d'une poutre de pare- ment 11 . Cette isolation 6 peut être utilisé* accessoire- ment comme coffrage perdu ou comme poutre de soutien, et
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être recouvert son tour d'un parement 7 . La variante for- mant cotirade kardu peut tiré également réalisée simplement ou en combinaison à ç'urt1l' de plaquée d'isolation en fibre de bois. On voit en outre en fig. 1 que le caisson pour vo- lets roulants selon l'invention dépassé notablement par
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ea partie saillante B hors de l'éj>aiea0ur du mur.
Bien enter.du, on peut également prévoir des modèla qui affleu- rent à la surface du mur et aur lesquele son( montée* des
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plaques terminales 3 noi renforcéaa, tandis que las plateaux da poussée 8 deviennent superrlus
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Fixé. 2 montre à grande échelle le nueliort dans lequel on loge un calaeon sulon l'invention. On voit que la paroi de tôle 1 eat @olidaire d'un nombre donné de
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cloisons ou nervures 2 qui sont raportea par des pointa de aouduro 4. La plaque torminnie 3 est aoudée à lu cloÁ8on de tôle' 1 suivant un cordon da.soudure continu.
Cette pla-
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que 3 porte un raccord d'wi><rado 5 qu'on y fixe .r tout procédé cowiu ample, et riatuuuuatit au moyan dd via, do
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riveta, par collage ou analogue, ou bief encore par des pointa ou par des cordons du soudure. A l'extrémité supé- rieure de la plaqua terminale 3, on re@arque la plateau de
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pouaeje 8 qui se prolonge jusque dans la zona Inférieure de la plaque da couverture où il prend a,,pui.
Pour les caissone salon l'invention, on Duit
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un processus de dimensionnement ridourausomont défini. Four des grosseurs de caisson dépassant au-delà du plan moyen du mur, le moment exercé sur le support est transformé en un ensemble de deux efforts appliqués sur les plaques tarmi-
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nalea rl6ides. La ()L1a:,h8 qui est dirigée environ à 45 vara .l'intérieur des plaques de couverture, se trouva de toute façon appliquée dans la zune de traction ou sur la fibre
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ioutre.
Liéma pour des supporte da ijlufond pau éloienéa, la précontrainte de poussée ae trouve eur con3équent notable- ' ment diminuée et elle atteint dans la zone des moments
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-Maxima, une valeur auffiaamment faible pour qu'on puisse , ;la nélier en ce qui concerna lu stabilit4 et la bonne ,'hU8 de lu dalle du plafond. La poussée vera le bas qui ré- sulte de l'apparition de ces deux forces est encaissée par adhérence de friction entre la partie en béton de la poutre de liaison au niveau des appuis, et le reste de la rr.açonne-
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rla. Ceci permet do charger oonvenabletnent le béton et sans prendre de précautions liarticulibroi, étant donné que l'ensemble de cas deux forces est indépendant de l'intensi-
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té de la réaction transversale observée.
L'enaefubla est 0mpàché de basculer et de g11sse1' avec un coefficient de sécurité nettement auirérieur à 6,0 , Il est aussi important que la poutre de li-
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alson salon l'invention soit placée jar deux supjortn
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détinia en tenant compta des coi4ditiQait statique@. Les va- .1atone de longueur qui rdaulteut du la dilatation, du
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fluage, ou d'un retrait quelconque, n'ont ainsi pratique-
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ment pas d'influença s.ur les efforts de cieuill4atat aux- quels cet doumîa la uyatùme.
Il est importaiit que lu poutre soit réali- @de avec de@ parois partlauliarement mine,., et notu...:I.Ilnt. avec des tales dont 1161aienour *et par exemple de l'ordre,
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de deux à trois millimètres. Suivant uns autre variant* de réalisation
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possible repréat.±té4 an fi,. 3 ot 4 , la paroi de t8ls 1 oowl;r4nd doux partiea 15 it 16 dout le accu4t comporte un bord rabattu. Cee borde lori4itudinaux 17 sont reliât yar deu pointa de moudare 4. Les extrJw1té. intérieures de* partieu 15 et 16 sa rolùneut Jusqu'aux IXlr'u.1t'. 33 du tublier dunu laquai on pout avoir Iturl.>b' des erofilà de niul'vl't 20 cormtituar yur iJ(8I!J.le Á'bl' àon '.1" ylatu.
La J.lu'oi da t01* d<ta rtita 1" ok 16 aat raidit vur un nombre de aloi.on. 2 r.lt1v.m.p' réduit par rappprt à la variante représenté* en fins. 1 et 2,'alora qu* yar ail- leurs elle comporte plusieurs cornières ou oriant. de liaison coudée 21 intercalée entre les entretoises ou oloi- sons 2. Ces cornière@ 21 présentent der échancrures 22 et el. les sont fixées à la paroi de t8l4 1 par oxemele par des pointa de soudure.
Lee eloieone ou entretointe 2 et les oornières 21 permettent d'éviter tout éventuel eloquage, et elles sont prévu4e pour .noai8r loti effort* do your- Bée@ tandis que par ailleurs elle@ assurent la liaison avec la mt1r. plastique ou le béton 26, lourd ou l6ger,
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qu'on peut d'ailleura rapporter sur place ou en atelierp
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Au niveau de lu partie extérieure 15 on pout utiliser pour cela ausi bien du béton lourd ou léger que de la matière
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plastique, alors que contre la P4 tie 16, cloat-à-dire du g8té da l'1ut8ur, il eut avantageux de noeuployer que du béton 1±6*r ou de la matière plautictue. Sur le sommet horizontal do la y<trci< 16, on fixe à la aroi de tôle 1 des ort:;!1ll's d'ancrage 18 qui sont par exemple soudée, vixuéa, rai- vé4 ou collé .
Ainsi que cala ayoarait en fig. 4, ces orna- ne& d'ancrage 18 comportent don partira coudées et lla s'é- tendent vara le haut dans le plafond de béton 9, ce qui leur permet dleiicaiuner leu poussées en cours d'utilisation.
A l'extérieur du béton 26, chaque isolation thermique 6 avec ou sans poutre de parement auxiliaire 11 peut être rapportés avec un éventuel enrobage de béton ou parlant 7 qui est relié par un rebord rabattu aux extrémités 23 du tablier ou ella affleure. lorsque, comme cela apparaît en fig. 3, la
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profondeur de la poutre profilée légère est sup4rieure à l'épaiaaeur A du mur, la partie dépassante B de cette pou- e donne naissance à un moment de toraion.
Contrairement la variante reyr6sentée en fig. 1 et 2, les efforts de torsion ainai produits sont ancaissés d'une part par les borda rabattus longitudinaux 17 ou périphériques du couver
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a18 rarforcé latéral 8 qu'on engage en place et, d'autre part, par des e;oujona de raccordement ou analogues 24 qu'on diayoee do façon agymétrique sur les couveralea Ihtéraux 19 (fig. 4).
On peut compléter la réalisation de la poutre de liaison légère selon l'invention, en prévoyant en ou- tre des ouvertures 12 pour les sorties de aangle, des cornières ou pièces rabattues de support pourvues d'une ou
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plusieurs baguettes de bois pour assurer la fixation d'un couvercle obturateur prévu à la partie inférieure, et enfin des traverses qui équipent les extrémités de support pour la couverture de parement et afin d'assurer l'étanchéité .
La cornière de support ou analogue peut être remplacée par des bords rabattus dans le tablier interne, ce qui fournit un espace plus important pour introduire le volet roulant tandis que l'appui correct dudit volet peut être vérifié exactement depuis le bas.
Pour l'utilisation comme caisson de volet roulant ne jouant aucun rôle statique, il est également avan- tageux de rapporter l'isolation thermique 6 immédiatement sur la paroi de tôle 1 de la partie 16, puis de la recouvrir d'une feuille de protection pour la maintenir finalement au moyen de cornières de liaison 21 ou analogues rappcrtées et soudées par points sur la paroi de tôle de la partie 5 et sur les extrémités 23 du tablier de la partie 16 . On améliore ainsi l'isolation thermique et on élimine prati- quemment les risques de détérioration de la couche d'isola- tion, laquelle peut être par exemple formée d'une mousse légère de polyuréthane.
L'effet de pliage qui s'exerce au niveau des supports, et la réaction qui en résulte pour encaisser les moments de torsion, sont supportés par la paroi de tôle
1 grâce aux ailes ou rebords repliés périphériques et soudés par points, notamment sur les couvercles latéraux 19, si bien qu'au moins une cloison ou entretoise est prévue en supplément sur l'ancrage du couvercle au niveau de chaque support, afin de transmettre les poussées dans le béton.
Le couvercle latéral 19 porte un raccorde ment d'ancrage et, si cela est nécessaire, des goujons,
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pattes de support ou analogues. Les rebords longitudinaux 17 ne doivent pas n'étendre sur la totalité de la longueur de la poutre. Dans de nombreux cas, il suffit de pr6voir égale- ment des tronçons relativement courts.
On a représenté séparément en fig. 1 un autre mode de réalisation d'un caisson selon l'invention où la poutre profilée est réalisée en trois parties, à savoir une partie extérieure 15, une partie intérieure 16, et une partie centrale 25 à profil en U. En outre, cette partie 25 compor- te des organes d'ancrage 18 . Les parties 15, 16 et 25 sont assemblées par soudure par points le long de leurs bords rabattus longitudinaux 17.
Suivant un autre mode de réalisation de l'in- vention (fig. 5 à 15), on prévoit essentiellement une poutre profilée légère 35 et un couvercle obturateur 44. La poutre 45 est formée d'une paroi horizontale 63 repliée suivant une paroi oblique 62 qui se termine par une paroi latérale 61 ; elle comprend en outre un manteau 31, et des parties terminales repliées de façon à constituer un tablier qui affleure par rapport aux éléments voisins.
Le manteau 31 comporte aux extrémités libres de la partie 61, des profi- lés de renfort 38 et 39 en bois, en métal, ou en tout autre ; matériau solide, qui servent également de butée pour le couvercle et notamment pour l'isolant à base de substances poreuses ou cellulaires qui garnit ledit couvercle ; onuti- lise ces profilés à la façon de baguettes où l'on monte les via de fixation du couvercle. Sur l'une des faces du man- teau 31, on dispose à un certain écartement un autre manteau extérieur 42.
Entre les deux manteaux 31 et 42, on prévoit une couche'isolante qui est préférablement réalisée suivant
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une structure d'ensemble poreuse, cellulaire, ou en nids d'abeilles, en tissu de verre, en tiesu textile durci, en coton, ou en des matières métalliques telles que par exem- ple de l'acier, des métaux durs ou -'Légers, utilisés sous 1 forme de feuilles ou de bandes minces corvenablerent confo mées. Le caisson est réalisé en matière plastique et il est par conséquent léger à transporter.
On peut également prévoir dans l'espace intermédiaire, des cloisons ou entretoises 40 qu'on colle ou qu'on injecte sur le manteau intérieur 31 . On obtient ainsi une rigidité particulièrement grande à la torsion lorsqu'en outre sur les cloisons 40 fraîchement enduites, on appliqua sous pression le manteau extérieur 42 en ma- tière plastique ,préalablement réalisé suivant le profil coudé voulu .
La polymérisation de la matière plastique d'enduction contre le manteau rapporté 42, assure une liai- son rigide et étanche . On obtient de cette façon un ansem- ble qui définit des chambres d'air de grandes dimensions, réparties suivant une forme alvéolaire ou en nids d'abei les , et qui assure l'isolation au moyen d'une couche d'air parfaitement stagnante .Les chambres ainsi délimitées peu- vent être également placées sous un vide plus ou moins par- tiel . Suivant un autre mode de réalisation possible, on enduit la manteau intérieur 31, et avant polymérisation, on y applique des tissus à structure alvéolaire , ensuite après polymérisation, on enduit de matière plastique ;le manteau extérieur 42 qui est renforcé à la fibre de verre.
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Sur l'autre face du av - :. 1t4q", on prévoit uniquement des nervure 40 gci .... ¯ i ¯za tion 'g,u moment, de la coulée du béton. Les ie>-1 -".;1 . ...' 2': 3: 47 U
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présentent sur leurs 1#ces supérieures externes, in revête- @ent de sable de quarts 45. Ce dernier peut être rapporta au -accent du montage sur les manteaux 31 et 42, alors qu'il est encore mou. Le revétement de sable de quartz 45 permet d'augmenter 1'adhérence ou la qualité de l'ancrage de la coucha extérieure du bton coulé.
On ménage dans la poutre profilée légère 35, un dispositif de sortie de sangle 32 qui peut être réalisé par exemple par injection ou à la presse. Ce dispositif peut être éventuellement lui aussi isolé du point de vue thermiqu' et par conséquent ne constituer, ni un passage de courant d'air, ni un organe susceptible de transmettre le froid.
Sur les extrémités libres de la poutre pro- filée légère 35, on monte des flasques d'extrémités 36 ou des couvercles latéraux 19 engagés en place. Ces organes sont rendus solidaires de la poutre, par exemple par un.cor- don ou par des points de soudure. Sur ces flasques d'extrémi. té ou organes latéraux 36, on prévoit des paliers 51 pour le ou les arbres qui sont destinés à porter le volet roulant
L'ouverture inférieure du caisson est refer- mée par un couvercle 44 qui porte sur les traverses 37 et sur le profilé de renfort 39 cù on le visse. A l'opposa du profilé de renfort 39, on introduit de façon étanche un cou- vercle de fermeture 44 en le rapportant dans le bas de l'en- cadrement do la fenêtre, si bien qu'on définit un cous,3in d'air stagnant également à l'intérieur même du caisson.
Le couvercle 44 du caisson comporte des évidements, fentes ou analogues qu'on utilise par exemple pour laisser passer levolet roulant, ou pour monter des organes de l'encadre - ment d'uns orte ou d'une feutre.
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Le caisson ainsi assemblé peut alors être utilisé comme coffrage et être complété en y collant un béton 46 lourd ou léger, pour obtenir finalement un coffrage se présentant sous la forme d'un ensemble terminé. Les pro- filés de renfort 38 et 39 peuvent être élargis et réalisés sous la forme de baguettes de parement.
Dans la variante représentée en fig. 9 à 11, le manteau extérieur 42 n'étend au-dessus d'une paroi laté- rale 61, de la paroi oblique 62, et de la paroi horizontale 63. De cette façon, on obtient encore une couche isolante 47 à structure alvéolaire ou analogue.
On a représenté en fig. 12 à 14 un coffrs où la poutre profilée légère 35 est renforcée sur toute sa périphérie au moyen d'entretoises ou nervures 40, et de cor- nières de liaison 50 . Sur la surface 31 en matière plastique, préalablement enduite et détachée, on applique une couche iso- lante 47 d'épaisseur oorrespondante, jusqu'à une baguette de fermeture 48 disposée sur la cloison supérieure 63 ; puis, pour assurer une protection contre la couche de béton, on re- couvre l'ensemble au moyen d'une t8le mince 49 en acier .
La couche isolante 47 et la tôle 49 sont fixées par des élé- mente 50 préparés à l'avance et constituée par exemple par des cornières, ce qui permet de les maintenir appliqués con- tre le manteau intérieur. Les cornières 50 sont fixées aux profilés de renfort 38 et 39 et elles possèdent le long do leur aile libre, des ouvertures 52 qui permettent d'améliorer l'ancrage dans la couche intérieure ou extérieure de béton lourd ou léger.
On a représenté en figures 15 à 17 un cais- son terminé et prêt à l'utilisation, tout en possédant un
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coffrage latéral perdu 59. Ce coff:.ge peut être réalisé de différentes manières et en particulier au moyen de plaques dures en fibres agglomérées liées par du ciment, sous la forme d'une poutre de parement r@die, ou par exemple au moyen de couches superposées, av:c ou sans couches isolan- tes complémentaires. Ce coffrage reforme l'ensemble latéra- lement pour permettre de couler tans les cavités ainsi délia mitées, soit sur place, soit en @telier, du béton lourd, lé- ger, ou contenant de la matière plastique, ou encore des mas- ses de compositions diverses.
La pièce terminée ainsi obte- nue est légère, tout en présentant une stabilité particuliè- rement bonne et une grande rigidité à la torsion ; onpeut l'utiliser telle quelle sur le chantier, sans dépenses sup- plémentaires notables.
Aux extrémités libres des différentes varian- tes de poutres profilées légères, sont montées des pièces terminales ou brides, soit sous la forme de flasques, rappor- tés 3 soudés suivant un cordon continu, c'est-à-dire formant une plaque rigide munie de plateaux de poussée, soit sous la ferme de couvercles latéraux 19 à bords rabattus, encastrés en place et coulés par point sur les parois de tôle 1 , soit encore sous la forme d'une paroi verticale lisse 3 en matiè- ; re plastique, entourent la poutre profilée sur laquelle elle peut être , ou bien conformée en place, ou bien appliquée sous pression, ou bien enfin rapportée par injection ou par enduction. Ces pièces terminales comportent une plaque de support 54 munie d'un guidage 55, qui est destinée à rece- voir un palier ou analogue réglable .
Cette plaque de support 54 est mobile latéralement . Un nupport 56 de forme évasée, est pourvu au-dessus du palier en vue de recevoir un
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roulement à billes; ce support est pourvu des deux côtés c perçage 57 à travers lequel peut pénétrer une goupille ou agrafe 58 destinés à contenir le roulement à billes ou l'a bre du volet roulant.
On a représenté en tige 18 à 23 le mode de montage d'un embout prévu pour assurer la sortie d'une san- gle sur un caisson selon l'invention. On uide la sangle au moyen d'un.galet 71 disposé de telle façon qu'il travers la. face terminale 72 d'une pièce de tôle 74, laquelle est fixée sur l'embout 73. Le galet 71 tourne sur un axe 75 qui relie les deux parties latérales de la pièce de tôle 74.
Cette dernière comporte dea évidements 77 et des trous de fixation 78, ainsi que cela apparaît plus particulièrement en fige 22 . Cette pièce de tôle 74 est profilée de façon à venir s'encastrer exactement contre l'embout 73 sur le noyau 84 duquel elle se raccorde plue particulièrement. Dan l'ensemble de réalisation représenté, l'embout 73 est prin- cipalement formé d'une pièce périphérique 82 qui délimite une ouverture centrale 83 dans laquelle est susceptible de se déplacer le noyau 84. Ce dernier peut par conséquent être amené à une position telle qu'il s'adapte à la profondeur dé finie par l'épaisseur C du parement utilisé. Ensuite, on le fixe au moyen de vis 86 qui rendent les deux bords 85 de la pièce périphérique 82 solidaires du noyau 84, en partie par effet de coincement.
La pièce de tôle 74 est fixée sur le noyau 84 au moyen de vis 81 qui peuvent également ser- vir à fixer une tôle de couverture 87 .
On voit en fig. 20 et 21 que pour monter
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l'embout de sortie de Dangle 73, on se - -. ;:,t '3.':(\nt'3.t:'"'''.1:.nment de la pièce terminale 79 d'un tablier":..:.';. Il) ¯ im:r cet
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embout 75 plus particulièrement par @ pièce périphérique 82 . On voit en outre en fig. 21 commit une plaque à san- gle 88 peut être disposée par rapport @ l'embout de sorti 73 .
On a représenta en fi@ 23 et 24 une autre variante de réalisation posaible d'un Embout de sortit de sangle. Dans ce cas, on prévoit deux @lets 71 pour guider la sangle. Ces galets tournent à nouveu sur des axes 75 qui relient les parties latérales 96 d'une pièce de tôle 7- On introduit cette dernière à travers la partie terminale à bords repliée 79 du tablier 80, et on la fixe au moyen de -via 81. Le tablier 80 et une ner@re ou cornière 89 servant à fixer l'embout de sortie de sangle 73 .
La largeu de cet embout est déterminée par :'écartement des cornières son épaisseur par la hauteur de la face interne des ailes desdites cornières, et sa hauteur par l'angle maximum défi- ni par le guidage de la sangle, lequel angle correspond à la ligne indiquée en traits interrompus en fig. 24.
Pour réaliser des poutres profilées légères en matière plastique armée de fibres de verre, on réalise l'embout de sortie 73 sous la forme d'une surface de guidai périphérique pourvue des bossages ou butées nécessaires poc recevoir et guider le noyau 84 ; des organes sont prévus dès la fabrication des faces interne :et externe des manteau par un procédé quelconque d'injection ou d'emboutissage .
Le domaine de l'invention ne se limite pas au caisson, mais on peut l'utiliser pour toutes les sortes de poutres qui doivent être légères tout en constituant dei éléments de liaison prêts à être incorporés à des bâtiment! En particulier, on paut fabriquer suivant le même principe /
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des ensembles de poutres, trav'lillant n- , , , -, '-. '. J.L''':1.3n, pour des constructions en super3ruct:.
A titre d'indica ti ;r., '1 : ;-.';-.. w l'énu:n:::-at1on qui va suivre n'est :lu.llq":3:} :¯.:".:1::-1, -la peut utilisar l'invention pour réali3e¯ :; ::0:: f= f-
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ntres de type quelconque, des 'vitrines -)our-iuf3 'i'ue grille de protection, de jalousies et analogues. d :! éf.>,zz3 3 I) rem- placement pour des plafonds en béton ar7.,; d'a:..3r. 'Du- vertures pour laisser pas3er des canal L.5.1::' 3 :.'":..'.3 ,.3 pla- fonds en béton armé d'acier, ou encore des uit3 ci .:,naax
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pour le passage de câbles. Dans le cas de pcut:- :r3vi1lant à la flexion, et utilisées avec des plafonds sn b--',ton arT± d'acier, on peut employer plus par tzculi 4¯ e : :- ';::¯":.C -..cc. res des caissons dépassants selon l'invention dcn : 1# :<:'''. 'noyen ne coïncida pas avec le plan dea appuis.
Des essais ont confirma l'extraordinairg ri- gidité de la construction selon l'invention. Il e'est avéré en particulier que cela permet de prévoir des épisceurs
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de pe.roià particulièrement faibles par =aiço=t ± e qui était connu ou même normalisé jusqu'à ce jour.
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Il doit d'ailleurs être e^':e: c'¯u Tue 1-\ des- cription qui précède n'a été donnée qu'à titre d'e::;:l3 et qu'elle ne limite nullement le domaine de l'ir-;er.;ic¯ i0 on ne sortirait pas en remplaçant les détails d'exécution ar tous autres équivalents .
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Selon l'invention, il est ir', - 1--- ¯n 1¯ 1 , poutre profilée légers présente au moins en ¯?=z.i '1-! gi vécles périphériques et/ou, des garnitures 3- ': :.'.bl-:G d'assurer une bonne isolation, aussi bien (}::'.\; .} "'2 acoustique que calorifique. Ceci pr3e::, ::'.:' é....:..*-.;.;z ,
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non. soutenant -:L:.:'".D 1.>z :r?t'a:.qü9C où 1 'en tient compta des F?C:itW^.¯,%3 d'2 C'!.'.13' =.::.i..3 T¯¯t,C'¯^3 '91 9'"y"8t de réaliser 3: ¯ :G!','3 T:
r;f;0 :::C:1/'1:.J s ¯ . . ... ¯3are de moyens très 3..:':):;;:3 11l ":C::.!31",T".:.. ..:",3.¯" )r:9è'1U.'.:l- peu da main. d'oeuvra J3 3 r'2."'."8r3nt u34 7.=¯W.--W yi% ::-3:ta'bl(:'4 R Zj V E N D 1 C A T ION 3 1- Caisson pour voir, roulant ou analogue 3stiné à 3tre utilisé d::r;9 l'indus.tri!) dl.l b±tixw1t, carac téri 3é en ce qu'il est foI'1h =10 d'une cutre 'f16e :4gre creusa susceptible d'être au-
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créa dans du béton.
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2- Caisson suivant la revendication 1 caractérisé en ce que la poutre profilée creuse est or é d'une paroi de tôle en for- de 21, pourvue do cloisons ou antratoisea extérieures, et é,.wip4e de pla;:;'ne3 r.i-.L1.:J à qeJ extrémités.
3- Caisson suivant les nvendicaticna 1 ou 2, caractérisé en ce çoe; la poutre profilas C0rte des organe d'ancrage pour -JSUT3t sa fixation a3 1a3 supports.
4- ù±É3S<JA suivant les revendication 1 à 3, caractérisé en ce qu'on prévoit un ou .;,l::::.-"u:r::3 plateaux de poussée disposés 9rpdiculairen 3üX ,a:±t=à=it4s supérieures des plaques.
5- Caisson suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la poutre profilée l-ger'3 Tiporto des nervuras de renfort réa- li54es par ee;apl er sr a d3 moulures, 6- C.;.3-:cn suivant la r7Jnicati0 1, 3=aotrisé en ce que la or0 creusa de la poajro .:I7¯î ¯6t;:G' définit des ar0tes di ra;Ld-'..?3=-.5nt 1.;r¯1=< <1--1=aù,#5 , correspondant par exemple à a3 sections =an3ar9:}:'] .,.¯33:3, rectangulaires, hexagona- les, octogonales ou an ':'o"":3 1.* % .
7- Cai33on suivant 'la :3va.^.3ic : io:l , caractérisé en ce que la pcutn Ji'O.'é.3 j¯W ;-,-; :0:.:.5 d. fne ou plusieurs parties
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POU::-VUC3 3. leur sommet de IObOSdJ 1 " -.. ' - ..-: L'.. ;:-. .:.1::1c d'êt=s ancrés les uns contre les :J.'.....4::..-, 8-Caiason auivant la revendication 7, c .. ¯ ¯ , ... r 1 en ne qu'au moins l'une des parties du caissor. CO'1A..';:';>=: .>,i ou pJ,'.1.Hieu.rs organes d'ancrage définissant dea 3a::'!1 ¯ ¯ ¯ , : vers 1
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haut dans le béton.
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9-Caisson suivant la revendication 7, c:;'::'3.c,5'i"'>. .111 ce qui sur les extrémités de support de la pou.tre =,Àr,.".:.:0 Id6re, on rapporte des couvercles latéraux j;1;.=i, ¯=a:o:.! t3 en place , et fixéa à la tôle du ou dos w:.rw...: .-ar <1<30 pointa do soudure, chacun de ces couvercles t :' ¯ .::c :J:1.9'Jrte:lt de: aXB ou goujons de fixation ou de 9UYO ii;1 <zn d;ja3Jt 10- Caisson suivant la revendication 1, CàZ'UC ÎÎ2'É2Ô .31i à? u1on rapporte sur la poutre profilée lége 13] c:18 d3 ren- fort, J t'orlL8S notamment par dos 'traver¯i3.;, 13 .:::or:".::"8.:";:3 ou pièces coudées de li.eison ou encore doe 1^..ro-,.
11- Caisscn suivant la revendication 1t cara#-;.àz"iJ4 ,se qu'il comprend un3 partie centrale à profil en J, D Jaux parties latérales pourvues chacune de rebords repliés ::"or::;i. tvldin3.ux.
12- Caisson suivant la revendication 1, carctirl6 en c3 lue la poutre profilée légère est en matière ]311L r9J
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et par exemple en résine polyester renforces par des fibres de verre.
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13- Caisson suivant la revendication 1, C3s=::r' an C2 tao
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la poutre profilée légère est équip6e a' 1 :.:' ¯io;¯:: thar- mique , formée par exemple d'une c0u:h - '.';''-3 z..r:.te appliquée, collée, coulée, ou rapport4 3 . ,..::e mousse; qui est reliée à ladite poutre par 1 - .'3 ou
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par son adhérence propre.
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1- ']1...:j'3Q:l 3t1.'Is^ : -...1....".":d.....i';n '1 caractérisé en ce que '.-.. 3:;r3 :::":L'':'':;-, i; .j=j , J": :I):--:;.e d'un manHa'J intérieur
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T. 3--;i)::1 1=anù.;a=J.ì 3:::Jl::l'-'3nt en U, et d'un manteau 1::)U COV3:1e, écart>d du précèdent dont il recou- ur=.3 u moina uns or:,i.:, l'espace intermédiaire ainsi défini <]iaL;.>b ou nJn la rrl=C3, cloisons ou autres organes do rai 1133eht, 3a xcse :aï.t 90U3 la. forma de cavités dans les- -a3-!lES an reau en cutra rapjo=ter des matiéres isolantes tru3 et a^ous ti?uos .
15- Caisson a;1-J=rt la revendication 14, caractérisé en ce que la pustre profilée lê;8re copore one ou plusieurs couches 9up erpaséas.
16- Caisson J,Ji.van.t la ;a-: r.¯ ca tior¯ 14, caractérisé en ce que les manteaux iú6=i0ur 2/Oa 3xt.s;ieur définissent chacun ou entre "",lX) des Ce,'llIé3 C10S33 '3t étanches à l'air qui poa'[eilt tr nûÎ3tnen,5 plaças sous un vide plus OU ZOin3
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partiel .
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17- Caisson saj,iant .les r'3-endications 1 à 14, caraotéri s6 en
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ce que les manteaux extérieur et intérieur, sont tous deux
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en matiére plastique renforcée au moyen d'armatures en fi- =e3 de -verre, sn bois, en métal ou en carton imprégné.
13- Caisson suivant l1une des revendications précédentes, carac- i=i3J ce que :8 ;ot=a profllaa 1=gère comporte sur ea sriphéri'?, des c1<>t-ssns ou nervures en niatiëre plastique, <9r. bois, en papier, S>:1..:léA;,:Ü ou analogues , qui sont conve- na:9ent espacées et t ".1: r':it i e3 . la poutre profilée.
13-Caisson suivant l'une 'ï±;3 r3"endications $J'écéàeflt=S, carac- t4r#x4 e ce q'il CO.",¯. =-1'-' U poutre profilée légère for-
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cl lure cloison ho¯ ::. -- l9, do deux cloisons bliues et 13 , ;1"'11"" ,-..:. . l.-T#.:.- ." '--'litéa libres desquelles bzz
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sont prsvus des profilés de renfon : , ¯ .-: , 3= ..¯ , ¯.¯ .1 analo:;u.e 9, qui jouent t 113 rôle d 2?,g il ,' 12 11 ±- 5A acur le couvercle refermant le caisson.
20- Caisson suivant l'une des revnd:.'3.--,:! ¯::'.::;.-;. ':'\::.'a::- téris en ce que les parois latéral3a i 5:':. '; - ': 1.:: 1. p:;utre profilée légère comportent des prcfiléa de renfcrt qui peu..
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vent être prolongea sous la force de iJ?¯j.=e-i"#.3 '3 a=sar.t. 21- Caisson, suivant l'unie des revendicatijra ¯;=-1.;4<ia#;,ai, cara.c- térisé en ce que, pour fixer la coucha @sblante, on prévoit des cornières ou organes de liaison coudés, qui entourent la
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poutre profilée légère à profil en U e u- j0n xé.3 aux extrémités libres des parois latérales de ce caisson, la
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fixation étant effectuée par soudure Dur ;0in), ur collage, par vissage, par clouage ou analogue.
22- Caisson suivant la revendication 21, ca: :¯ :., ¯s¯ ca lue 1es cornières ou organes de liaison coud:: ''; -:'.:::-0:' ::2nt des échancrures sur leur aile qui dépassant a L'a.izé=1:ia=, éh¯:.- cruros qui contribuent à assurer la liaison d'anorage antre le caisson et le béton.
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23- Caisson suivant la revendication. 14, ca= .c.;4=".i=F ze que, pour protéger la couche isolante, on prévoit une feuille préférablement métallique insérée au sommet du. caisson entre la couche isolante et la ou les cornières incérassées.
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24- Caisson suivant la revendication 14 carcri3 or. co à la structure cellulaire ou alvéolaire J. 1 en "':;0.::: <;,z#;:1%#e- ment.
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25- Caisson suivant la revendication 4 et 1',. - ..;.3 C 7% tions suivantes, caractérisé en ce que 1: ,'..-:; -;1"':? est formée d'un tissu poreux ou aJ.:vé0::1i::.: ;:-.:;; .'.,:: LJ man- teau intérieur, de façon à ce lU9 i?.3 c,,1..' ¯ ¯ . ¯ . -=- ';,3.1ll
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d"'fnij33nt 3ntre ...3 1,atlÉfl.'ÀX P*ri.dL: 8t extérieur des ,zç=riàns d'air stânp.n!:.
25- éalsïcfl 3u.iv9.nt Ô-'MX>.3 z-3 rvan.licationa précédentes, caracté-. ri3 un ce que la 'r.s':3 taE1 la poutre profiler légers qui est r zi3 vers l'e,<';5=ie<;;., e r4.alàsé< de façon à assurer l'ancrage d'une couche de l'évitèrent en sable de quartz.
27- Caisson suivant les revendications 14 et 19 , caractérisé en ce que la poutre profilée légère posséda à ses extrémités des flasques, revêtus par coulage ou par production de mousse, d'un béton léger, d'une mousse ou analogue, aveo ou sans char+ ge spéciale incorporée.
28- Caisson suivant la revendication 14 et l'une des revendications
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z,aiz.1:.ie3, caractéric4 ùn, ce eue les manteaux intérieur et ex- térieur sont for--4e de m-at4-re plastique renforcée avec des fibres de verre, et des cloisons ou nervures rappor- tas et/ou des organes do rnfor*;, tandis que l'ensemble est entouré d'une mousse d,;
:..aÇi$ plastique dëfiniasant une ;ou- tre de parement complémentaire, 29- Caisson suivant 'L'une des précédentes, carac- térisé en ce que pour permettre de régler latéralement l'af- bre qui supporte le volet roulant, on prévoit une plaque
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aori?-g.*lie= gL=1 est robâl3 latéralement dans un guidage ver- tiTil O;;t¯' ,.C 31:Z'L' un iE'-i:,J.33 nii hauteur du palier quion y ont'3. j1-. ¯¯.¯33C:1 suivant l'une dea précédentes, cùrec- f:n:.^:
g 8t1 ce que dans la ?3u.r'3 profilée légère, se trouve défini? une sertie de sangla rï^ble en fonction de l'épais xeir da xarezent, sortie de 3.üla ;or.t la fixation ou le coincement au niveau des bords périphérique? est assuré par des vis.
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31- Caisson suivant l'une des reve:.àßca¯¯ ¯ , ¯ .¯ ,¯, ,., <;¯ii,ac, térisé en ce que la poutre rofi11! r=;,,i j ¯j c i.n
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forme d'un élén:ent de construction dei.t en 1:.,>u; c¯::sir la longueur ou les dimensions tran3versle3, ]n ri¯>pcrt*nt 8 soudace, par rivetaee, par v9SA.,e i.l: "....:
..L.,,, #, flas- ques, organes à recouvrement, ou aCC231!3 ,;r0¯, 4is ou non d'une isolation, chacun de ces ô14.=ô;,tn OJ!dnt des dimensions standard et se présentant sous la forte
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d'une pièce prête à âtre utilisée.