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"Procédé et machine pour le lavage du linge".
La présente invention concerne un procède pour laver le linge dans une machine à laver comportant un tambour rote.- tif obturable.
Selon les procèdes de lavage connus de ce genre, on introduit d'abord le linge dans le tambour et on verse la lessi- ve dans la cuve dans laquelle le tambour qui est perfore, est monté à rotation. Ensuite, on ferme l'orifice du tambour et on recouvre la cuve d'un couvercle. On .et le chauffage de la cuve en .marche et, pendant que la lessive se réchauffe progressivement,
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on fait tourner le tambour dans des cens alternés avec la lin- ge qui se trouve dedans. La cuve est remplie d'eau ou de lessi- ve de telle sorte que seule une petite partie du tambour et linge se trouve sous le nivemau de l'eau.
L'effet de lavage est produit par le fait que', lorsque le tambour tourne, le linge est soulevé par des organes d'entraînement disposés à l'intérieur du tambour perpendiculairement à sa paroi, puis retombe, Lorsque la lessive commace à bouillir, on laisse le mouvement de rota-, tion en va-et-viont du tambour ce poursuivre jusqu'à ce que le linge soit propre.
Avec les machines à laver domestique usuelles, il faut généralement une heure environ pour que linre parvienne à l'ébullition, et le temps pondant lequel cette ébulistion est poursuivie (le tambour étant toujours entalné en rotation) est ! de 10 à 15 minutes.
Il existe en outre des procédés de lavage automatique selon lesquels on effectue tout d'abord un lavabo préalable pen- dant l'élévation de la température, puis le lavage proprement, dit après avoir chance l'eau ou la lessive, et enfin plusieurs essorages successifset un rinçage. afin de pouvoir, après un dernier essorage, enlever le linge de la machine pour le Mettre à sécher.
Avec le premier procédé cité, il faut dépenser de l' énergie pendant une durée totale d'au moins 70 minutes, aussi bien; pour le chauffage de la lessive et du linge que pour entraîner le tambour en rotation.
Le second procédé est lié à une dépense d'énergie et de matière particulièrement élevée du fait que le lavage préala- ble et le lavace proprement dit s'effectuent avec une élévation de température jusqu'à la température admissible, éventuellement ' jusque l'ébullition; de plus, il faut utiliser une quantité doubla de détersif, étant donné que le détersif employé pour le lavage préalable est évacué avec la lessive une fois ce lavage préalable termine.
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Le point commun à ces deux procédés est qu'ils ne sont rentables que pour une quantité minimum déterminée de lin- ge. pouvant représenter 3 Kg environ de linge sec. Pour des quan- tités de linge inférieures, la dépense d'énergie et de matière nécessaire rend ces procédés non économiques; c'est pourquoi les machines à laver construites pour la mise en oeuvre de ces pro- cédés doivent être calculées pour recevoir au moins la quantité minimum de linge sec précitée. Aussi leur prix de fabrication ne peut-il pas descendre au-dessous d'un prix relativement élevé.
Par ailleurs, on ne peut pas, dans ces machines, laver avec suc- cès les quantités de linge beaucoup moins importantes que l'on à laver chaque jour dans presque tous les ménages, parce que lt effet de lavage ne peut être satisfaisant du fait du remplis- sage insuffisant du tambour de lavage, le linge pouvant même être abîmé par le brassage fréquent qu'il subit à l'intérieur du tambour perforé.
Le procédé de lavage tel que le prévoit l'inven- tion a pour but de remédier à ces inconvénients.
A l'encontre des procédés connus, le procédé de la- vage de linge suivant l'invention consiste à utiliser une ma- chine à laver comportant un tambour rotatif pouvant être chauffé et refermé, à recouvrir en principe complètement de lessive le linge qui se trouve dans ce tambour, à le faire chauffer ou à le faire bouillir, à interrompre l'arrivée de ?.a chaleur, puis : -soit à refermer le couvercle de manière étanche à l'air et à l'eau et à faire tourner le tambour pendant quelques minutes dans des sens alternés, -soit à vider une partie de la lessive, à fermor le couvercle de manière étanche à l'air et à l'eau et à faire tour- ner le tambour pendant peu de temps dans des sens alternés.
Enfin on ouvre le couvercle et on sort le linge.
Par rapport aux procédés connus, le procédé tel que
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le prévoit l'invention a l'avantage technique de permettre une économie considérable de temps et d'énergie. Du fait qu'on in- terrompt l'arrivée de la chaleur lorsque le linge a été suffi- samment chauffé ou bien, si le linge le permet, dès le début de l'ébullition, il suffit de forunir de l'énergie jusqu'à ce que le linge soit porté à la température maximum admissible dési- rée en fonction de la nature du linge. En outre, on a constaté que lorsqu'on met en oeuvre le procédé objet de l'invention, il suffit, une fois que l'arrivée de la chaleur est interrompue et lorsque le linge est normalement sale, de faire tourner le tam- bour pendant quelques minutes.
Dans des cas favorables, il suf- fit que le tambour tourne pendant une minute environ au régime d'un tour par seconde environ. Dans les cas les moins favorables, de il faut compter/quatre à cinq minutes. On voit donc que l'écono- mie d'énergie et de temps par rapport aux procédés de lavage connus est très importante.
On a constaté qu'il se produit pendant la rotation , après que le tambour a été refermé de manière étanche à l'air et à l'eau, une surpression intérieure, bien qu'il n'y ait plus d'apport de chaleur de l'extérieur. Pour éviter que, lors- qu'on ouvre le couvercle, il puisse se produire un jaillissement de vapeur, il est rationnel d'équilibrer la pression régnant à l'intérieur du tambour par rapport à la pression extérieure, en laissant échapper de la vapeur avant d'ouvrir le couvercle.
Par rapport aux procédés de lavage connus, il devient rentable, du fait de l'économie d'énergie et de temps réalisée grce un procédé, objet de l'invention, de laver même de très petites quantités de linge, notamment du linge fin, qui peut être
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lavé beaucoup plus rapidement et avec une dépense d'énergie infi- Ajouté 1 mot nirnent moindre que cela n'est le cas avec les procédés de lavage pprouvéi connus.
Le besoin qui se fait sentir du procédé de lavage sui- vont l'invention est en outre justifié par le fait qu'on est souvent obligé de laver de petites quantités de linge fin , qui
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ne justifient pas la aise on oeuvre des procédés connus, et que fréquemtn on ne dispose pas de la place nécessaire pour installer comma\odémetn l'une des grosses mancines à laver connues, ce qui est notamment le cas de personnes vivant seules ou de familles peu nombreuses qui ne disposent que d'une petite sur- face habitable,
Les {machines à laver connues présentent un tambour monté b erotation dans une cuve pouvant Être chauffée et conte- nant la lessive.
Le tambour comporte un orifice obturable par lequel on introduit le linge et présente des troua qui sont assez petits pour que le linge ne puisse sortir du tambour à travers aux, tandis que l'eau ou la lessive peut passer facile- ment à l'intérieur vers l'extérieur du tambour, et Inversement, selon un Gouvernent de va-et-vient. Le tambour est mont' par son axe dans l'une ou dans les deux faces terminales de la cuvo, qui peut tire refermée par un couvercle ou pur une porte.
Par contre, dans la machine à laver devant tire uti- lisée pour la mise en oeuvre du procédé, objet de l'invention, le tambour lui-même peut Être chauffa et obturé sur tout son pour-] tour par raport à l'extérieur, de manière étanche à l'eau et à l'air. Il est monté par son axe sur un bâti ouvert formant sup- port et peut être entraîna en rotation au moyen d'une manivelle.
Le linge à laver et la lessive sont placés dans le taabour. Si l;' on effectue le lavage selon le procédé, objet de l'invention, tel qu'il vient d'être décrit, on constate cet effet technique remarquable que le linge est parfaitement lavé et absolument pro- pre lorsqu'on /fait tourner le tambour à l'aide de la manivelle pendant seulement une à trois minutes.
Pendant ce court temps de lavage, le refroidissement du contenu du tambour est si insigni-
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fiant qu'il n'a pratiquement aucune importance. jouté 6 mots Les dimensions de la machine à laver, objet de l'in- 'prouvés vention, sont si réduites qu'elle peut être placée dans n'importe pièce et sur n'importe quelle quelle/table en vue de son utilisation et qu'elle peut être lais- sée de côté après son utilisation jusqu'à la prochaine lessive
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sans exiger beaucoup de place.
On a constaté que, dans la cas d* un tambour cylindrique, un diamètre de cylindre de 30 eÀ zig' es et
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une hauteur de paroi latérale cylindrique de 16 à 4j cas sent suffisants pour satisfaire aux bosoinr qui se présentent dans la pratique.
Il est possible d'obtenir une amélioration très sen-
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sible de l'effet de lavare en disposant aur la surface intfadnuw des ré/deux flasques opposas du ta:G;our au moins une nervure conti- nue ou discontinue, orientée radialement et faisant suill.ic- vers l'intérieur. Les deux nervures opposées doivent, notassent, être sensiblement perpendiculaires l'une à l'autre et avoir ap-
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proxitnativemont en section droite la forme d'un triangle rec- tangle isocèle, le gom.iet de l'nle droit, 1^reraent arrondit faisant saillie vers l'intérieur du tambour.
Lorsqu'on fait tourner le tambour avec le linge qui se trouve dedans, zmLara'.3''l"'a lorsque la nervure de l'un des flasques du tambour :.anF,e dans la lessive et la brasse, la lesuive et le linge qui sa trouvent, contre cette nervure ou à proximité de cel-e-ci sont rwfou? f dsnz[
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l'eau en direction du milieu du tambour, avec une forcluè Après que le tambour a tourné de 90 suppléée nta ire s, ce phé- noracne se reproduit depuis l'autre flasque du tambour, de aorte que la lessive et le linge qui s'y trouvent sont rejetas dans la direction opposée, vers le milieu du tambour et ainsi de
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suite.
Du fait de ces impulsions ae répétant à chaque ddplu- cecont angulaire de 90" et projetant le linge en sens inverses vers le milieu du tambour, on obtient un brassage si intense
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(ménageant cependant le linge) que l'effet de lavage est consi- rablement renforcé et qu'ainsi le temps de lavage peut être réduit-;
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)Uté 1 mot à la courte durée précitée. prouv: Etant don/té, que, lurs de la rotation du tambour, l'orifice par lequel on introduit et on retire l'eau et. la lessi- r
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ve passe également par le bas, cet orifice, prévu à la péri- phérie du tambour et refermé par un couvercle, est rendu étan- che par une matière d'étanchéité élastique, par exemple par du cacoutchouc.
Bien qu'on verse dans le tambour de l'eau froide, il suffit de laisser le chauffage électrique en service jusqu'à ce que l'eau soit très chaude ou commence à bouillir. On pout alors arrêter le chauffage et on procède au lavage avec le tam- bour non chauffé, comme décrit précédemment. Pour cette raison, il n'est pas nécessaire que le câvblew d'alimentation en courant électrique soit, raccordé à demeure au tambour, et il suffit de prévoir sur ce dernier une prise de courant à laquelle on raccor- de une fiche ou une couille avant d'entraîner le tambour en ro- tation, c'est-à-dire alors que le tambour est immobile.
On peut également prévoir une soupape de suret'! afin qu'il ne se produise pas de surpression dangereuse dans le cas où on oublierait de retirer ù temps la prise de courant.
L'élément chauffant électrique, constitué par une résistance, peut Être monté à demeure à l'intérieur du tma- bour et isolé du reste de la cavité de celui-ci par un fond per- foré. Hais la résistance électrique peut être également fixée à un serment de cylindre spécial formant une partie de la péri- phérie du tambour, rendu étanche par uno matière d'étanchéité élastique, par exemple par du caoutchouc, et pouvant ête rom- placé par un autre serment de cylindre ne comportant pas d'élé- mont chauffant, le serment portant la résistance séparant cel- le-ci de l'intérieur du tambour par un fond perforé et do l' extérieur par une soupape de sûreté.
Grâce à un tel agencament. l'utilisateur ou l'utilisatrice peut à volonté utiliser le seg- ment portant la résistance électrique, afin de chauffer l'eau qui est à l'intérieur du tambour, ou le segment ne comportant pas de résistance, lorsqu'il n'a pas besoin de chuafige. Le segamet portant la résistance et c-elle n'en portant pas peuvent, comme
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le reste de la périphérie intérieure du tambour, être munis de nervures axiales telles que celles décrites précédemment. Les nervures du segment portant la renfonce peuvent être fixées sur le fond perforé.
Afin de pouvoir remplir et vider la machine à laver de façon rapide et aisée, il est rationnel de fixer au tam- bour le segemnt de cylindre intermchaeblae protant la résistan- ce et le servent interchangeable n'en portant pas par un dis- positif de fermeture tel qu'un dispositif de serrage à excen- trique de type connu. Le frottement de l'excentrique se produi- sant au moment de la fermeture peut être réduit à un minimum au moyen d'un galet.
Il n'est pas nécessaire que la résistance électrique se trouve dans un segment amovible ; elle peut être montée à demeure dans le tambour avec le fond perforé précité, la prise de courant étant amovible.
On a déjà indiqué que, lorsque le couvercle est reti- ré après que le tambour a terminé sa rotation, il se produit à l'intérieur une pression de vapeur considérable, qui s'échappe sous forme d'un jet violont au moment où l'on ouvre le tambour pour la première fois. Afin d'éviter le risque de brûlures qui en résulterait, l'agencement doit être étudié de telle sorte que le couvercle recouvre l'orifice du tambour à la manière d' une calotte ou que le bord de l'orifice du tambour présente une collerette faisant saillie par rapport au bord du couvercle. Le jet de vapeur est alors dirigé vers l'extérieur du tambour ou con- tre la surface intérieure de la collerette.
Afin de pouvoir fixer et enlever facilement le cou- vercle sans contact avec le jet de vapeur, il peut être prévu au- dessus du couvercle un levier pouvant pivoter autour d'un axe médian, associé de chaque côté et à quelque distance de cet axe à des systèmes de leviers à deux bras montés dans des paliers pi-
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votais, ces leviers prônant j>pu1. sur d.3 6Ur.onu Op.o;.üa du | bord supérieur du couvercle et zloni, e4nt par leurs oxtr6n.itt libres danu des organes de retenue fixés au labour, QPp11quent p le couvercle aur l'orifice du tambour en assurant une 4tv.nch4i t' t parfaite. Les leviers à deux bras peuvent ne trouver dans une h eouttiire de euidage fixée au couvercle, cette \,0'" '1ère pou- vant outre tl1e-:.t...6 recouverte.
V Un rep're peut être i -révu sur le tambour afin dlln- diquer l'inclinaison nécessaire pour vider ileau, cette inclinui- non étant déterminée par exemple par rapport & l'un don taon- tante du support sur lequel est placé le tambour. Ce repère est placé de telle sorte que, selon le procédé indique au début de
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cette description, l'eau aldeoule jusqu'à ce qu'il en reste en- viron de '}/4 lA 2/3 de la quantité initiale lorsque le repère ar- rive en coïncidence avec le montant du supporte
Il peut tire prévu un thermomètre et éventuellement
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un thermostat, afin de régler aut.oat1quent la température régnant à l'intérieur du tambour et à ne pas la laisser etdlo- ver, au cours du chauffage, au-dessus d'une valeur déterminée.
Une graduation peut indiquer pour chaque type de linge la
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température L laquelle la le8ive doit 8tre portée, à quel mo- ment il faut vider le tambour au degré précité, et combien de temps il faut faire tourner ce tambour.
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L'expérience a démontré que la machine àl8Ver, objet de l'invention, maintient la lessive de même que le linge lui-
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mfioe dans une condition d'agitation continue du fait que lea nervures plongent dans la lessive à des intervalles de temps très rapprochée.
Etant donne que la vitesse de rotation d la machi- ne est approximativement d'un tour par seconde, s'il est prévu six nervures, les nervures plongent dans le liquide à des intervalles d'un sixième de seconde et impriment ainsi eu 1 linge un mouve-
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ment de secouage de courte amplitude et de fréquence élevée.
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Les essais qui ont conduit à l'invention ont 6plQ"r." . permis de constater que l'effet de J>avure obtenu &Voc une '-- : plitude aussi faible et une fréquence aussi élevée peut âtrfj en* core augmenté lorsque la lessive et li- linge no sont #A ::,.ac'J'J.6Z dans la labour, naia sont entraînés en rotation et en oici"'i'"i.
Afin d'obtenir ce traitement plus intense du linc, il nte;5 pee- vu sur la paroi cylindrique intérieure du tambour que Ótèu.:', T\e:;f"" vures longitudinales o ,osée1 c'est-à-dire écartées l'une eu autre de loo. Lorsqu'il est prévu six nervures lo::.tudlr.al=s sur la paroi cylindrique intérieure du tambour, la lessive et la linge sont secoues, il est vrai, par de petites impulsions se succédant rapidement mais, par suite de leur inertie ils ns
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se déplacent pas sensiblement l'un par rapport à l'autre et es- tent môme sensiblement à la mémo place. Maie a'il n* 5t prér4 dans le tambour que deux nervures opposées, lorsque le tan.bour tourne, les pièces de linge se trouvant à proximité des nervu- res longitudinales sont progressivement retournées.
Ainsi dt autres parties de ces pièces viennent constamment en contact avec d'autres pièces de linge, ce qui améliore l'effet de lavât* .
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Il est possible d'améliorer encore cet effet do 1 ¯ vage en produisant, au lieu du tlouvemcnt de secourt, d!:t.1lec:ont un mouvement de va-et-vient du linge dans le sens axial.
A cet effet, il est prévu sur chacun des deux flasques du tam-
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bour, d'un seul c6té de l'axe, une nervure s'étendant sspproxi- mativement de la région de l'axe jusqu'8 la périphérie du tam- bour, les deux nervures prévues sur les deux flasques étant dé- calées de 1800 environ l'un-3 par rapport à l'autre.
Grâce à cet agencement, on obtient un effet techni- que nouveau du fait que, lorsque l'une des nervures vient frap- per la surface libre de la lessive, la lessive est projetée avec le linge contre l'autre flasque. A peu près au même moment., alors
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que le choc se produit sur l'autre Ha3que, la nervura qui s'y
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Les easaia qui ont conduit à l'invention ont d'a-est permis de constater que l'effet de 1)uvuge obtenu s.voc une uru- plitude aussi faible et une fréquence aussi élevée peut éltrs en- core augmenté lorsque la lessive et Lt linge M sont peet secoués dans le tambour, main sont entraînes en rotation et en odJ1:.t,ion.
Afin d'obtenir ce traitement plus intense du linge, il n'est prévu sur la paroi cylindrique intérieure du tambour que deux ner- vures longitudinales opposées, c'est-à-dire écartées l'une de l'
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autre de 1600. Lorsqu'il est prévu six nervures longitudinal* sur la paroi cylindrique intérieure du tambour, la lessive ot le linge sont accoude, il est vrai, par de petites impulsions
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dans le tambour que deux nervures opposées, lorsque le tartbour tourne,
les pièces de linge se trouvant à proximité des nox'Y1l- res longitudinales sont progressivement retournées. Ainsi, d' autres parties de ces pièces viennent constatent en contact avec d'autres pies de linge, ce qui améliore l'effet de lavage.
Il est possible d'améliorer encore cet effet de la-
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vae en produisant, au lieu du mouvement de secoua., égaleront : un mouvement de va-et-vient du linge dans le sens axial* A cet effet, il est prévu sur chacun des deux flasques du tan- ! bour, d'un seul côté de l'axe, une nervure s'étendant apprêt
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mativement de la région de l'axe jusqu'à la périphérie du te-m- bour, les deux nervures prévues sur les deux flasques étant dé- calées de 1800 environ l'un* par rapport à l'autre.
Grâce à cet agencement, on obtient un effet techni-
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que nouveau du fait que, lorsque l'une des nervures vient frap- per la surface libre de la lessive, la lessive est projetée avec le linge contre l'autre flasque. A peu près au même moment, alors que le choc se produit sur l'autre flasque, la nervure qui s'y
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trouve et qui est décalée de 180 renvoie la lessive et le linge contre le premier flasque cité,d'où la lessive et le linge sont de nouveau déplacés par la nervure que porte ce flasque.
Il est possible de régler la vitesse de rotation de telle sort que les projections d'un flasque à l'autre se succèdent et et équilibrent à la manière d'un mouvement en résonance, en produi- sant conjointement une pénétration intense du linge par la lessi- ve.
Au total, ce mouvement de va-et-vient de la lessive et du linge se superpose au mouvement de rotation décrit ci- avant, de sorte qu'en définition obtient de tous côtés, grâce au tourbillonnement de la lessive et du linge qui en résulte, un brassage très efficace du linge, qui est pouvant ménagé.
Les essais effectués ont en outre montré qu'il n' est pas rationnel de faire agir les nervures comme des organes d'entraînement soulevant le linge hors de la lessive et l'y laissant retomber. Les tissus fins, en particulier, peuvent être détériorés par ces nervures lors d'un entraînement effectif.
L'effet le plus efficace des nervures est au contraire obtenu lorsqu'elle frappent la surface libre de la lessive ou refoulent celle-ci et par conséquent le linge, en imprimant ainsi à la lessive une impulsion énergique en direction de l'autre flasque du tambour, où se trouve la nervure opposée. Grâce à cette im- pulsion donnée à la lessive, le linge est entraîné dans la zone tourbillonnaire des mouvements superposés et est repoussé par chaque nervure dans la zone d'action de la nervure opposée.
Pour obtenir ce résultat, les nervures ne doivent pas présenter une pente trop forte par rapport à la paroi inter- ne du tambour, mais elles doivent avoir un angle d'inclinaison de 40 à 50 environ, l'angle d'inclinaison pouvant être légère- ment plus accentué sur le côté antérieur des nervures, orienté dans le sens de rotation, que sur leur côté postérieur. Il résul- te de cet angle d'inclinabon relativement faible qu'à l'encontre
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de ce qui se passe dans les machines à laver connues, dont les nervures font plus fortement saillie dans la chambre de lavage, l'angle d'inclinaison des nervures suivant l'invention est assez faible pour em êcher que le linge ne soit entraîné lorsque les nervures sortent de la lessive.
La pratique mon- tre qu'on obtient un effet de lavage particulièrement favorable lorsque la hauteur de chaque nervure représente approximative- ment 10% du diamètre du tambour.
Pour son fonctionnement, le tambour peut être adapté un amoviblement sur/simple support en forme d'étrier renversé. Afin que ce support puisse être rangé, quand IL n'est pas utilisé, tout en tenant le moins de place possible, il doit être ration- nellement repliable. Lorsque/1' angle de cet étrier de support ne peut être ouvert que jusqu'à une valeur maximum, limitée par une butée, on évite que les pieds du support ne s'écartent trop et que l'axe du tambour ne soit placé trop bas, ce qui ferait frotter le tambour sur la surface sur laquelle la machine est posée. Comme indiqué ci-avant, cette surface peut être consti- tuée par une table. Afin d'éviter de rayer la table, les bar- rettes faisant office de pieds de l'étrier peuvent être gar- nies d'une bande de caoutchouc.
Etant donné que la machine à laver, objet d l'inven- tion, est surtout destinée à servir pour les petits lavages et à être posée sur une table, il sbst révélé rationnel de pré- voir une cuvette de forme plate, pour y placer le support, cette cuvette faisant saillie des deux côtés par rapport au diamètre du tambour. On évite ainsi de mouiller la table en vidant l'eau.
A cette cuvette peuvent être fixés des profilés de section par
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Ajouté mot exemple en forme d'U, pour y engager les pieds du support, afin Approuvât e. quo celui-ci se place au bon endroit. La cuvette peut être munie de pieds de caoutchouc afin d'éviter qu'elle ne glisse et qut elle ne raye la table.
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Afin de pouvoir également poser la machine à laver, objet de l'invention, sur une baignoire, il peut Être prévu des bras de support présentant dos butées en forme d'arc de
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cercle, permettant de la suspendre dans la baignoire. Ces trams de support peuvent être munis d'orf.une due fixation, par exemple de via ou de boulons et d'écrous à oreilles, pour fixer le sup- port.
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le tambour peut être en outre muni d1 Striera ou d'anses permets uni de le transporter facilement. Ainsi, il est possible, r;r;lce ces Striera, de soulever facilement ce tam- bour hors de son support et de le transporter, ainsi que de stocker séparément le tu--bour et le support, ce qui nécessite caoir. de place que si ces deux él..ent5 demeuraient a:1;;r:bUs.
Les dessins en partie schématiques un:,ex9s montrent, titre d'oxeCif'1e3 non limitatifs, plusieurs codes de réali- sation possibles de la machine à laver, objet de l'invention.
La figure 1 est une vue en coupe médiane, perpendicu-
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laire z l'axe de rotation, de la machine à laver, objet de l'in- vention, prise par "- ligr.e 1-1 en figure 2.
Lu i'icure 2 est une vue en perspective de lu Lauchine à laver, prise de trois quarts avant.
La figure 3 est une vue en perspective du couvercle.
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La figure 4 montre un éldrûent do paroi amovible ne comportant pas de résistance électrique.
La figure 5 montre un serment muni d'une résistance sans le fond perforé.
La figure u est une vue en perspective de trois quarts avant d'une variante do réalisation de la machine à lave<r, objet ; de l'invention.
La figure 7 est une vue de dessus montrant le système de leviers à deux bras prise dans le sens de l'axe longitudinal, le couvercle' étant représenté en coupe et la gouttière de gui-
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dage n'étant pas recouverte.
La figure est une vue en coupe par la ligne
VIII-VIII en fiture 7.
La fipure 9 est uno vue de dessus d'un bras de sup- port pouvant être fixé à un pied du support permettatn de sus- pondre la machine dans une baignoire.
La figure 10 est une vue en perspective d'un;; autre variante du tambour sur laquelle les nervures intérieures ont été Indiquées en traits interrompus.
La figure 11 est une vue en coupe par la litgne X1-X1 en figure 10.
Si l'on se reporte par exemple aux figures l et 2.on voit que le tambour 1, fermé de tous côtés de maière étanche à l'eau et à l'air, est muni d'un couvercle 2 et d'un semet chauffant 3. Sur la périphérie interne du tambour se trouvent des nervures 4 de section de préférence triangulaire, do telle 1 sorte que la pointe en principe arrondie du triangle fasse sail- li à l'intérieur du tambour. Sur l'un des flasques 5 du tabojr 1 sont fixées des nervures analogues 6 et 7, qui se trouvant des deux cotes de l'axe de rotation 8.
Les deux nervures 6 et 7 peuvent cependant ne faire qu'une seule nervure, car l'axe de rotation ne traverse pas l'intérieur du tambour, mais se temi- ne à l'extérieur de chaque flasque, par exemple par un palier rapporté par soudage.
Le flasque 9, qui fait face au flasque 5, porte des nervures correspondantes 10 et 11, celle-ci étant cependant per- pendiculaires aux nervures 6 et 7, comme montré sur la figure l en traits interrompus. Par suite de la coopération des deux ner- vures opposées, le linge est projeté alternativement selon un mouvement de va-et-vient dans der directions opposées lors de la rotation du tambour et il est ainsi secoua ds que la lessive est
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refoulée vers le milieu par les nervures au cours de la rotation du tambour.
L'orifice 12 du tambour 1, prévu pour le remplir d' eau et de linge, peut être refermé par un couvercle 2 de façon étanche à l'air et à l'eau. A cet effet, le bord du couvercle est constitué par une gouttière 14 à l'intérieur de laquelle se trouve un bourrelet ou une bande 15 de matière élastique (par exemple de caoutchouc) qui, lorsqu'on pose le couvercle sur le tambour, coopère avec le bord 16 de l'orifice 12. Des cro- chets 17 sont prévus des deux cotés du couvercle. Ces crochets permettent de serrer le couvercle contre le tambour au moyen de dispositifs de fermeture rapide 18. Afin d'améliorer l'effet de lavage, le couvercle peut être lui-même muni d'une nervure .19.
En face du couvercle 2 est fixé de la même façon au tambour un segment de cylindre amovible 3. Ce serment contient la résistance électrique 20, qui pout être alimentée en courant par une prise de courant 21. La résistance électrique 20 est séparée de l'intérieur du tambour par un fond perforé !3, de tel- le sorte que le linge ne puisse venir en contact avec elle. Pour améliorer l'effet de lavage, une nervure 31 peut être également prévue sur le fond perforé. Il est rationnel de prévoir une sou- pape de sûreté 22 sur ce serment rapporté, afin que la pression de la vapeur ne s'élève pas de façon excessive à l'intérieur du tambour si, par inadvertance, on oublie de couper la courant de chauffage.
Mais la soupape do sûreté peut être également disposée sur le couvercle 2, de telle sorte qu'elle puisse agir dans toue les cas, même si le tambour n'est pas chauffé. L'avantage est que, en cas de surchauffe, l'eau ne s'échappa pas par la soupape de sûreté 22 qui se trouve au bas du tambour, celle-ci permettant seulement l'échappement de vapeur. Cette soupape de sûreté peut être munie d'un sifflet de façon connue.
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Il y a une autre raison de prévoir une soupape de sûreté. En effet, après le chauffage ou l'ébullition, le tam- bour n'étant plus chauffé, il se produit à l'intérieur de ce tambour une augmentation de pression de vapeur dès que le conte- nu constitué par l'eau, le linge et le détersif, est entraîné en rotation avec lui. C'est cette augmentation de pression de la vapeur qui, en partie, produit le bon effet de lavage permet- tant d'abréger l'opération. Si, du fait que l'on a calculé de façon irrationnelle la quantité d'eau, la température, le dé- tersif, etc..., la pression de vapeur régnant dans le tambour non chauffé devait prendre une valeur trop élevée lors de la ro- tation du tambour, la pression excédentaire serait ramenée par la soupape de sûreté à une valeur admissible.
Au lieu d'un segment 3 comportant une résistance, il est possible d'utiliser un élément 23 sans résistance. Ce segment est muni comme le couvercle 2 d'une garniture élastique et est serré contre le tambour par un dispositif à fermeture rapide 24, comme le couvercle 2 et le segment 3 muni d'une résistance.
Le support sur lequel repose l'axe de rotation du tambour est constitué par un étrier renversé 25 dans lequel l'axe 8 est engagé de manière facilement amovible. Ce support peut pivoter autour de son sommet. A cet effet, ses deux cotés sont séparés l'un de l'autre en 26 de telle sorte qu'ils puis- sent être rabattus presque parallèlement pour ranger le support.
Afin d'empêcher que la table sur laquelle on pose la machine à laver soit rayée, la barrette 27 formant le pied du support peut Atre munie, sur l'arêtre par laquelle elle repose sur la table, d'un bourrelet ou d'une bande de caoutchouc 28 La ma- chine peut Atre facilement soulevée de son support 25 par l' étrier 29 monté à pivotement sur le tambour 1.
Pour entraîner le tambour en rotation, on se sert de
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la manivelle 30, qui peut être également montée de mainre faci- lement amovible, ainsi qu'il est connu. Lorsqu'on fait tourner le tambour au moyen de la manivelle, à raison d'un tour par ce- conde, l'efolet de lavage mnionné est déjàobenu au bout d'uen ou de quelques minutes
Suivant le mode de réalisation que montre la fjgure 6, les parois 32 de l'orifice du tambour peuvent être relevées en forme de cylindre et chevauchées par le couvercle 33.
Au couvercle 33 est fixée une gouttière de guidage 34 à section en forme d'U, sur les ailes libres de laquelle est monté l'axe de pivotement 35 du levier 3b. Des deux cotes de l'axe de pivo- tement 35 le levier 36 est attaqué par des biellettes 37 dont les autres extrémités sont montées à pivotement chacune sur un le- vier 38; ces leviers 38 peuvent pivoter autour des axes 39 mon- tés sur le couvercle 33 ou sur le gouttière de guidage 34. Sur chaque levier 3b est montée à pivotement une autre biellette 34 dont l'extrémité libre forme un crochet 41 N'engageant dans un oeilleton 42 fixé au tambour 1.
La position du système de leviers pivotants est équilibrée de telle sorte que, lorsque le levier 36 pivote vers la gauche comme montré sur la figure 7, les cro- chets 41 puissent être introduits dans les oeilletons 42.
Lorsqu'ensuite on fait pivoter le levier vers la droite, les cro- chets 41 sont ancrés solidement dans les oeilletons 42 et le couvercle 33 est appliqué fortement par les joints 43 sur le bord terminal de la paroi 32 de l'orifice. Lorsqu'on donne au ,levier pivotant 3b la forme qu'il a sur les figures, il s'appli- que en position de fermeture sur le coté du couvercle de telle sorte qu'il ne soit pas gênant.
Pour poser la machine à laver, objet de l'invention, sur une table il est prévu une cuvette plate 44 dans laquelle
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,uté mots sont fixés des profilés 45 à section en forme d'U,pouvant receoute nota prouvé! voir les barres 27 formant le pied du support 25. Lorsqu'on fait le tourner le tambour pour vider l'eau jusqu'à ce que /repère 46 porté sur ce tambour. coïncide avec l'un des montants du support !
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25, la cuvette 44 empêche la table d'être mouillée si l'on ren-
Verne do l'eau. Sur l'un des flasques du tambour 1, on peut pré- voir un thermomètre 47 et une graduation 48 indiquant les carac- téristiquea de lavage, selon le linge traité.
Afin d'empêcher que la personne qui de sert de la machine à laver puisse se pincer ou se blesser avec le sys- tème de leviers à deux bras, et pour éviter également qu'elle se salisse, il peut être prévu un profilé de recouvrement 49à sec- tion en forme d'U.
Lorsque la machine à laver, objet de l'invetion, doit être utilisée sur une baignoire 50, il peut être prévu pour chaque pied 27 deux brun de support 51 munis de butées
52 en forma d'arc de cercle, qui retiennent les bras de support sur le bord intérieur de la baignoire 50, lorsque les bras de support 51 sont constitues par des tubes, il est possible de dé- couper dans chaque tube une surface d'application 53 en forma d'
U dans laquelle le pied 27 peut être fixé au moyen de vis 56d et d'écrous à oreilles 55. Au lieu de prévoir deux bras de support
51 séparés l'un de l'autre pour chaque pied, on peut égalemetn utiliser un bras de support d'une seule pince.
Afin d'éviter ci abîmer la baignoire, les bras de support 51 peuvent 8tre recou- verts d'un revêtement ou d'une garniture 56 constitua par du caoutchouc ou par une matière plastique.
La soupape de sûreté 22 peut être placée sous le pro- filé de recouvrement 49 en forme d'U,
Dans le tambour 1 pourvu d'un couvercle 33 assurant une obturation étanche à l'air et à l'eau se trouve, comme mon- tré sur les figures 10 et 11, une nervure 58 placée sur la sur- -face intérieure du flasque 57, cette nervure s'étendant depuis la périphérie intérieure du tambour jusqu'à proximité de l'axe 8.
A l'intérieur de l'autre flasque 59 est prévue également une ner- vure identique 60, décalée angulsiemtn de 180 par rapport à la nervure. 58.
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Avant de procéder au chauffage, ou bien on remplit le tambour d'eau et on y ajoute le détersif , ou bien on peut remplir le tambour avec la lessive préalablement préparée, des- tinée au lavage.
Il s'est révélé que les dimensions favorables du tam- bour correspondent à un diamètre de 30 à 50 cm environ et à un écartement des deux flasques de 25 à 45 cm, ce qui donne une machine à laver de ménage facilement transportable, pouvant être ! posée sans difficulté sur une table ou sur une baignoire ainsi qu'il a déjà été exposé.
Au lieu d'être entraîné par une manivelle, le tambour peut être également entraîné par un moteur électrique.
Le dispositif de fermeture à excentrique représenté sur la figure 10 est monté sur une collerette 64 fixée par exem- ple par soudage sur le tambour 1 et présentant des axes 65, L'excentrique 66 est relié à l'étrier 67, que l'on peut faire pivoter au moyen d'une poignée 68. Les parties 69 de l'excentrique 66 les plus éloignées des axes 65 exercent, lorsqu'on rabat l' étrier 67, une pression d'auto-blocage sur le couvercle 70, qui peut être enlevé au moyen de l'étrier 71. Du fait que la poignée 6b est suffisamment éloignée du bord du couvercle 70, on évite le risque de brûlures par la vapeur qui s'échappe au moment où ou ouvre le couvercle.
Les détails de réalisation peuvent Atre modifiés, sans s'écarter de l'invention, dans le domaine des équivalences.