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Machine et procédé d'ensachage et d'emballage combinés.
La présente Invention se rapporte à une machine et un procédé d'ensachage et d'emballage combinés et plus particulière- ment à une machine à ensacher et emballer dans laquelle le sac ou l'emballage termine est produit ou fabriqué à partir d'une bande continue d'une matière en feuille -appropriée. Le procédé envisagé par la présente invention comprend la formation du sac ou du réci- pient .autour de l'objet à emballer. Par conséquent, la fabrication du sac ou de l'emballage et l'enveloppement des :articles s'effec- tuent en une seule opération.
.Avantageusement, la machine ou l'appareil est.automati- que et peut être facilement réglé pour couper les sacs à des.lon- gueurs uniformes désirées à partir d'une source de matière en feuille appropriée, des dispositifs de sécurité étant incorporés
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pour arrêter automatiquement l'opération de coupe dans le cas d'une obstruction sur le trajet du mécanisme de coupe.
Les sacs ou emballages sont produits ou fabriqués à par- tir d'une bande continue de matière en feuille qui avance progres- sivement à travers la machine depuis une source d'alimentation, la matière étant coupée transversalement pour obtenir des sacs de longueurs déterminées dont le bord coupé ou les bords latéraux sont soudés* .Avantageusement, la matière en feuille est repliée sur elle- même suivant une ligne médiane longitudinale, .avec les bords longi- tudinaux libres disposés dans le même sens. La matière d'emballage est ainsi constituée sous la forme d'une feuille repliée et le bord longitudinal replié procure les extrémités fermées de réci- pients façonnés en forme de sacs qui sont obtenus à partir de lon- gueurs coupées transversalement dans la feuille repliée.
La feuille repliée est avancée ou introduite depuis une source d'alimentation, un rouleau par exemple, et descend en direction pratiquement verti- cale depuis un point voisin de la partie supérieure de la machine de façon à présenter le bord longitudinal ouvert vers l'ouvrier qui peut se placer devant la machine.
Un dispositif d'ouverture disposé verticalement est monté sur la machine sur le trajet vertical descendant de la matière en feuille repliée pour écarter les côtés de l'extrémité ouverte d'une distance suffisante pour permettre l'introduction facile de l'arti- cle à ensacher ou emballer. ±près que la matière en feuille a été introduite ou enfilée dans la machine jusqu'en un point situé au delà du dispositif d'ouverture, la matière en feuille est soudée ou fermée transversalement au voisinage de l'extrémité intérieure du dispositif d'ouverture et en dessous de celui-ci de façon à donner au premier sac ou récipient un bord latéral fermé, la coupe s'ef- fectuant également au point de soudure pour éliminer tout excès de matière d'emballage.
Un objet à ensacher ou à emballer peut être introduit entr< les couches opposées de matière en feuille et vient reposer sur la surface intérieure du bord du côté fermé ou soudé précité,
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en faisant avancer la matière en feuille jusqu'en un point situé en dessous du dispositif d'ouverture, l'objet à emballer ayant alors dépassé le dispositif de fermeture transversal et de coupe, et en commandant ce dispositif de fermeture et de coupe en ce point pour détacher un sac rempli et façonné de l'extrémité de la matière en feuille repliée. Les bords latéraux du sac :.ont alors fermés., une extrémité est fermée par le bord longitudinal replié de la matière en feuille et l'autre extrémité est ouverte.
Un autre dispositif de fermeture et de coupe peut être prévu, fonctionnant avantageusement .avec le dispositif de fermeture et de coupe transversal, pour fermer l'extrémité ouverte du sac. De cette manière, on obtient un .article entièrement enveloppé dans son emballage.
La matière en feuille qui sert à former les sacs peut être une pellicule oléfinique plastique soudable à chaud, par exemple polyéthylène, polypropylène, etc., transparente, et le dispositif de fermeture et de coupe peut être une lame chauffée à l'électricité qui permet de souder le côté latéral d'un élément de sac en même temps qu'elle le tranche pour le séparer de la feuille élémentaire repliée* Lorsqu'un élément de sac passe dans le disposi- tif de fermeture et de coupe, l'avancement de la matière en feuille pliée est arrêté par un dispositif synchronisé pour permettre la fermeture et la coupe,
la machine fonctionnant par intermittence pour faire avancer un nouvel élément de sac en place pour le rem- plissage et pour couper un sac rempli au cours de chaque cycle d'opération.
Un but essentiel de la présente invention est de procurer 1 une machine combinée à ensacher ou emballer., de construction simple et de fonctionnement très efficace.
D'autres buts de l'invention sont de procurer : une machine combinée à ensacher et emballer dans laquelle la réserve de matière d'emballage en feuille descend verticalement; une machine combinée à ensacher et emballer dans laquelle 1 l'emballage formé est suspendu pour le détacher de la feuille qui a
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servi à le former et tombe de la machine .après avoir été coupé ; une machine combinée à ensacher et emballer qui fabrique des sacs à extrémité ouverte pour permettre d'en retirer facilement l'article à emballer; une machine combinée à ensacher et emballer qui produise des emballages complètement fermés dont le contenu ne peut être retiré sans rompre la matière d'emballage;
une machine combinée à ensacher et emballer et un nouveau procédé pour son fonctionnement, particulièrement utile pour l'em- ballage d'articles "mous", par exemple des vêtements comme des che- mises, des pull-overs, etc., .ainsi que du linge et d'autres objets semblables.
D'autres buts et -avantages de l'invention ressortiront de la description qui suit faite avec référence:aux dessins ;annexés, dans lesquels :
Fig. 1 est une vue en perspective d'une machine combinée à ensacher et emballer illustrant une forme de la présente inven- tion ;
Fig. 2 est une vue en perspective à plus grande échelle de la tête de la machine de la Fig. 1 sans son couvercle;
Fig. 3 est une vue en perspective à grande échelle du mécanisme pour faire -avancer la matière d'emballage en feuille dans la machine et régler la longueur qui avance à chaque cycle de fonctionnement; Fig. 4 est une coupe partielle à grande échelle suivant la ligne 4-4 de la Fig. 2;
Fig. 5 est une vue en perspective partielle montrant le mécanisme à oeil électrique qui peut être utilisé au lieu de l'appa- reil de réglage ajustable représenté à la Fig. 3 pour déterminer la longueur de matière en feuille qui avance à chaque cycle de fonctionnement; la Fig. 6 est une vue de détail en coupe à grande échelle suivant la ligne 6-6 de la Fig. 2 du mécanisme de soudure et de coupe horizontal pour exécuter la soudure latérale entre les
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sacs -adjacents; la Fig. 7 est une coupe de détail semblable à la Fig. 6 représentant le mécanisme de soudure en position légèrement avan- cée, le mouvement vers l'avant ayant été interrompu par la garde de sûreté qui .. rencontré une obstruction;
la Fig. 8 est une vue de détail en coupe suivant la ligne 8--8 de la Fig. 2 représentant le mécanisme de soudure vertical en position inactive, mécanisme qui sert à fermer le fond de chaque sac et tranche la matière en excès; la Fig. 9 est une vue de détail en coupe semblable à la Fig. 8 et représentant le mécanisme de soudure vertical en position de soudure et de coupe; la Fig. 10 est une vue de détail en coupe semblable à la Fig. 9 montrant le mécanisme de fermeture du fond en position ré- tractée, la soudure et la coupe ayant été effectuées, avec le méca- nisme d'enlèvement des déchets retenant à l'écart la matière tranchée en excès;
Fig. 11 est une vue de détail en coupe suivant la ligne 11--11 de la Fig. 8 représentant l'appareil d'enlèvement des déchets en position bloquée ;
Fig. 12 est une vue en coupe partielle représentant le mécanisme de déblocage pour l'appareil d'enlèvement des déchets;
Fig. 13 est une vue en coupe partielle semblable à la Fig. 12 représentant l'appareil d'enlèvement des déchets en posi- tion débloquée;
Fig. 14 est une vue de détail en coupe suivant la ligne 14--14 de la Fig. 2 représentant le dispositif de montage et de commande des mâchoires de soudure;
Fig. 15 est une vue de détail en coupe suivant la ligne 15--15 de la Fig. 14;
Fig. 16 est une vue de détail en coupe suivant la ligne 16#16 de la Fig. 15 ;
Fig. 17 est une vue de détail en coupe suivant la ligne
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17#17 le la Fig. 15 ;
Fig. 18 est une vue de détail en coupe suivant la ligne
18--18 de la Fig. 14;
Fig. 19 est une vue schématique du circuit électrique de la machine de la Fig. 1;
Fig. 20 est un schéma du système hydraulique de l'appa- reil ;
Fig. 21 est une vue en perspective d'une forme modifiée de machine à ensacher et emballer suivant la présente invention qui permet d'exécuter un réglage angulaire sélectif de l'appareil;
Fig. 22 est une vue en plan de dessus de la machine modi- fiée représentée à la Fig. 16 ;
Fig. 23 est une vue en élévation de côté de la forme modifiée de la machine à ensacher et emballer;
et,
Fig. 24 est une vue en coupe verticale suivant la ligne 24--24 de la Fig. 20.
Se référant à ces dessins et comme le montrent plus par- ticulièrement les Figs. 1 et 2, la nouvelle machine à ensacher et emballer de la présente invention comprend une base de support 20 portant un montant vertical 21. Une surface de travail ou table 22 est fixée au montant 21 à un niveau intermédiaire désirable pour recevoir une série d'objets à emballer. La surface de travail peut être munie de rebords postérieurs et d'extrémité et avantageusement peut être disposée à droite de la machine pour les ouvriers droi- tiers ou à gauche de la machine pour les ouvriers gauchers et les objets à emballer peuvent être empilés ou placés d'une autre manière sur la table de façon à être facilement accessibles à l'ou- vrier.
On comprendra que, bien qu'on ait dit que cette surface de travail était fixée au dispositif, ceci n'est pas essentiel et que les objets peuvent être supportés d'une autre manière ou présentés à l'ouvrier de toute façon appropriée.
Une boite appropriée désignée d'une manière générale en 23 est montée sur le montant 21 au voisinage de son extrémité supérieure pour supporter une réserve de matière d'emballage en
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feuille et un mécanisme qui permet de faire avancer cette matière à travers la machine pour exécuter les fonctions de formation des sacs et d'emballage.
Cette matière d'emballage en feuille 24 a la forme d'un rouleau 25 porté sur un arbre ou un manchon 26 tourillonnant à l'intérieur de la boite 23 et peut être une matière plastique appro- priée, par exemple polyéthylène, polypropylène ou..analogue, et est repliée suivant une ligne médiane longitudinale 27 pour disposer ses deux moitiés juxtaposées 28 et 29 dans le même sens général et former une extrémité longitudinale fermée suivant la ligne médiane 27 et une extrémité ouverte entre les bords longitudinaux libres des demi-portions 28 et 29, formant .ainsi une poche continue qui s'étend sur toute la longueur de la feuille.
Du rouleau d'alimentation 25, la feuille ou pellicule 24 passe en dessous d'un rouleau de guidage 30 dont une extrémité est montée sur le montant 21 et l'autre supportée dans un support 31 porté par la boite 23 et de là dans un dispositif de festonnement approprié 32 qui comprend une tige ou une barre 33 dont les extrémi- tés opposées tourillonnent respectivement dans le support 31 et le montant 21. Une plaque d'espacement 34 est fixée sur la barre 33 près d'une de ses extrémités et une paire écartée de plaques sembla- bles 35 et 36 sont fixées sur la barre .au voisinage de l'extrémité opposée tandis qu'une seconde barre ou tige 37 s'étend entre ces plaques d'espacement dans un rapport parallèle fixe avec la barre 33.
La matière d'emballage en feuille est enfilée ou intro- duite dans la machine en la faisant passer du rouleau d'alimentation 25 en dessous du rouleau de guidage 30, -au-dessus de l'arbre 33, en dessous de l'arbre 37 puis au-dessus d'un rouleau d'alimentation ou d'entraînement 38 qui sera décrit plus en détail dans la suite.
Un dispositif de freinage approprié est prévu pour l'arbre ou le manchon 26 qui porte le rouleau d'alimentation 25 et ce dispo- sitif (voir Fig. 4) peut comprendre une garniture de frein 39 dispo- sée sur un toambour de frein 40 monté sur 1'.arbre 26. Une extrémité de la garniture de frein 39 se termine en une boucle 41 qui
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est disposée autour d'un tenon 42 fixé sur une plaque de support 43 portée par la coite 23.
L'extrémité opposée de la garniture de frein est montée sur un tenon ou un boulon 44 disposé à l'intérieur de l'extrémité fourchue 45 d'une barre applicatrice de tension 46. Un bloc ou analogue 47 est monté sur la p3aque de support 43 de façon à pivoter et est percé d'une ouverture par laquelle passe la barre du frein 46. L'extrémité libre ou inférieure de la barre est :filetée pour recevoir un écrou papillon ou .analogue 48 et un ressort à boudin 49 placé entre le bloc 47 et l'écrou de réglage 48 de façon à obtenir un engagement élastique entre la garniture de frein 48 et le tambour 40.
Un câble ou analogue 50 est relié par une de ses extré- mités au tenon ou. boulon 44 dans l'extrémité fourchue de la barre du frein, et l'autre extrémité de ce câble est fixée comme indi- qué en 51 à la barre 33 du dispositif de festonnement qui pivote librement dans ses paliers opposés. De cette manière, lorsque la matière en feuille avance sur le rouleau d'alimentation 38, le dispositif de festonnage tourne légèrement dans le sens des aiguil- les d'une montre en entraînant le câble avec lui et en supprimant la pression de la garniture de frein sur le tambour 40 tandis qu'une certaine longueur de matière est avancée.
Ensuite,, lorsque l'alimen- tation de la feuille est arrêtée, le dispositif de festonnement re- prend sa position normale rappelée par le ressort de traction 49 et le rouleau d'alimentation est freiné simultanément. De cette maniè- re, la feuille alimentaire peut avancer par intermittence au cours du fonctionnement de la machine, le dispositif de fsstonnement fonctionnant automatiquement pour éviter le mou au cours de ces fonctionnements intermittents.
Le rouleau d'entraînement ou rouleau d'alimentation 38 se termine par des extrémités 52 qui peuvent avoir un diamètre réduit et dont l'une tourillonne dans une plaque 53 fixée au support 31 tandis que l'autre est montée dans un support d'angle 54 fixé au montant 21. Avantageusement, le rouleau d'alimentation peut compren- dre plusieurs surfaces en relief 55 sur lesquelles est
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supportée la feuille alimentaire et des garnitures de frein 56 ou analogues embrassent le rouleau 38 entre ses parties en relief et empêchent le mouvement de rotation de ce rouleau lorsque le mécanis- me d'avancement de la feuille ne fonctionnepas.
Les extrémités des garnitures de frein 56 peuvent être fixées sur une barre de réglage 57 montée à l'intérieur de la plaque opposée 53 et du support 54 parallèlement et à une certaine distance du rouleau d'alimentation 38. L'application de force de rotation à la barre de réglage 57 fait: varier le degré de contrainte imposé .au rouleau alimentaire 38 par les garnitures de frein 56.
Comme on peut le voir particulièrement à la Fig. 3 des dessins, l'extrémité 52 du rouleau d'alimentation 38 passe par le support 54 et tourillonne dans une plaque palier ou support 58 et un, accouplement à sens unique 59 est monté sur l'extrémité en saillie 52 au voisinage immédiat du support 54.
Une portion de cet .accouple- : ment est fixée au support 54 et une autre portion à l'extrémité 52 et de cette manière le mouvement du rouleau d'alimentation ne peut tourner que dans un seul sens comme il est bien connu dans la partie.'
Un pignon d'entraînement 60 est monté sur l'arbre ou extrémité 52 entre l'accouplement 59 et la plaque palier 58 et ce pignon attaque une crémaillère 61 dont l'extrémité inférieure est filetée pour se monter dans le piston 63 d'un cylindre hydraulique 64 fixé au montant 21, comme indiqué en 65- Lorsque la crémaillère 61 est élevée par un mouvement ascendant du piston., le rouleau d'all- mentation 38 tournant dans le sens opposé à celui des aiguilles d'une montre pour faire avancer la feuille 'alimentaire 24 depuis le rouleau supporté sur le rouleau 26.
Un dispositif réglable est prévu pour faire avancer par intermittence des segments uniformes et déterminés de matière en feuille. Ce dispositif peut comprendre une barre 66 placée dans le sens vertical et réglable montée de façon à être animée d'un mouve- ment alternatif dans une ouverture 67 prévae dans une plaque de guidage 68 fixée à la partie filetée 62 de la crémaillère 61,
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une vis de blocage ou analogue 69 étant prévue pour retenir la barre 66 en position choisie.
Lorsque la crémaillère 61 monte, elle fait tourner le pignon 60 pour faire avancer la feuille jusqu' à ce que l'extrémité supérieure 70 de la barre 66, barre qui peut se déplacer avec la crémaillère, entre en contact avec un évent ou une purge 71 montée sur le montant 21. Ceci a pour effet d'inverser le passage du fluide dans cette partie du système hydraulique et le mouvement inverse du piston 63 ramène la crémaillère 61 et la barre 66. Par suite de la présence de l'accouplement à un seul sens 59 -aucun mouvement de rotation n'est communiqué au rouleau d'alimenta- tion 38 lorsque le pignon 60 tourne au cours du renvoi de la cré- maillère en position initiale.
.Avantageusement, la matière en feuille est maintenue en contact de frottement avec le rouleau d'alimentation à tout moment et ceci peut être obtenu grâce à une série de rouleaux auxiliaires 72 (une paire de rouleaux est représentée) dont chacun est monté de façon à tourner à une extrémité d'un bras 73 porté par une tige 74, les extrémités de cette tige étant montées respectivement dans le montant 21 et le support 31. Les rouleaux 72 sont sollicités en contact avec la matière en feuille par des ressorts à boudin 75, chacun de ceux-ci entourant la tige 74 et fixé par une extré- mité à cette tige, l'extrémité opposée libre 76 de chaque ressort pouvant se placer dans une encoche ou entaille analogue 77 prévue dans le bras correspondant 73.
A mesure que la matière en feuille descend au delà du rouleau d'alimentation 38, les moitiés juxtaposées 28 et 29 de la feuille sont séparées par un mécanisme d'ouverture approprié disposa sur le trajet du déplacement de la feuille. Ce mécanisme d'ouverture (voir Figs. 2 et 5) peut avoir la forme de plaques 78 et 79 disposée verticalementet à une certaine distance et fixées aux montants 80 et 81 attachés à une barre transversale 82.
On a constaté que les moitiés juxtaposées 28 et 29 de la
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w.ê.ti=c rl peivent -avoir tend---ice érer -une 1-1-autre à cause de l'électricité statique ou pour une autre raison et
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pour éviter cette difficulté un éliminateur d'électricité statique
83 peut être prévu, monté sur un support approprié et peut compren - dre un ou plusieurs éléments tubulaires dont chacun est mis à la terre et est percé d'un certain nombre de perforations espacées à sa surface supérieure.
Une barre conductrice de courant électrique (non représentée) présentant un certain nombre de saillies ou d'aiguilles s'étendant vers les perforations espacées passe à travers chaque élément tubulaire; lorsqu'on applique un courant électrique à la barre conductrice et à ses aiguilles, ce courant passe à l'élément tabulaire et assure l'ionisation de l'air qui l'entoure comme il est bien connu dans la partie, ce qui entraine l'élimination de l'électricité statique éventuellement présente dans la matière en feuille.
Un appareil horizontal de soudure et de coupe est placé à l'intérieur de la machine en dessous du niveau du mécanisme d'ouverture et, au cours d'une première opération du cycle de fonc- tionnement de la nouvelle machine de la présente invention, une soudure transversale S est exécutée au voisinage de l'extrémité de la matière en feuille après que celle-ci a avancé au delà des pla- ques d'ouverture 78 et 79. Cette soudure transversale qui est effec- tuée est soumettant l'extrémité de la feuille à l'.action de l'appa- reil de soudure et de coupe transversal (décrit plus loin) devient un bord latéral du premier des sacs à détacher successivement de la feuille de base et chaque opération de soudure et de coupe qui lui fait suite forme simultanément l'autre bord latéral ainsi que le premier bord latéral du sac suivant.
Comme on peut le voir particulièrement sur les Figs. 6 et 7 des dessins, l'appareil horizontal de soudure et de coupe con- prend une lame 84 munie d'un¯appareil de chauffage à bande 85 dispo- sé en dessous de lui et d'une bande résistant à la chaleur ou élé- ment 86 monté au-dessus. Cet ensemble est fixé dans un profilé 87, un dispositif thermostatique 88 étant prévu pour maintenir l'appa- reil de chauffage à bande et la lame de soudure à une température constante déterminée. Pour empêcher ùn contact physique entre
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la lame et la matière en feuille, un écran protecteur 89 en matière appropriée, du Téflon par exemple, peut être prévu.
Un second profilé 90 entoure l'assemblage comprenant la lame de soudure et l'aile supérieure 91 du profilé 88 porte une gardé de sécurité réglable 92 fixée sur cette aile et disposée au-dessus du trajet de la lame de soudure 84, tandis que l'aile infé- rieure 93 porte une garde de sécurité correspondante.
Les gardes de sécurité 92 et 94 s'étendent normalement .au delà du bord de soudure protégé de la lame 84 et servent à maintenir les couches juxtapo- sées 28 et 29 de la matière en feuille contre un plateau ou un tam- pon 95 monté sur un support 96 porté par une mâchoire de soudure 97, tandis que s'effectuent la soudure et la coupe- Si on le désire, le plateau 95 peut être recouvert d'une matière appropriée, Téflon ou analogue, pour éviter que la matière en feuille puisse adhérer .au plateau lui-même.
Le profilé 90 est disposé à l'intérieur d'une mâchoire de soudure en forme de C désignée d'une façon générale en 100 et com- prenant une paroi postérieure-verticale 101 sur laquelle sont montées par des boulons ou analogues 102, des paires écartées d'éléments d'écartement 103 placés auz extrémités opposées du profilé 93. Ces éléments d'écartement portent des plaques verticales 104 auxquelles est fixée par soudure, brasage ou de toute autre manière désirée, une barre de support horizontale 105 à laquelle est fixé le profilé 87 portant l'ensemble comprenant la lame de soudure.
Une paire de barres ou de tenons 106 dépassant vers l'ar- rière sont montés sur le profilé 90, un près de chacune de ses extrémités, et les extrémités libres de ces tenons passent à travers des ouvertures appropriées ménagées dans la paroi postérieure 101 de la mâchoire de soudure 100. Des ressorts à boudin 107 sont pla- cés sur les tenons 106 et servent normalement à pousser le profilé 90 contre le bord opposé de la barre de support 105.
En fonctionnement normal, les mâchoires 97 et 100 sont rapprochées l'une de l'.autre jusqu'au moment où le bord tranchant de la lame de soudure 84 entre en contact à travers le bouclier
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protecteur 89 -avec les couches juxtaposées 28 et 29 de la matière en feuille qui, à ce moment, sont retenues contre la couverture 98 du plateau 95 par les gardes ou doigts 92 et 94. La lame chauffée
84 fond les deux couches de matière en feuille et les coupe, un bord soudé étant formé au-dessus et en dessous du point de coupe.
Avantageusement, un dispositif de sécurité est prévu pour empêcher la fermeture des mâchoires en cas d'obstruction et pour éviter tout risque de blessure ou de dégâts.
Ce dispositif de sécurité peut comprendre un support en forme de L 108 monté à l'intérieur de la machine à proximité étroite de la mâchoire de soudure 100, et une paire de contacts de sécurité
109 montés sur ce support, un de ces contacts étant associé à cha- cun des tenons 106. Chaque contact comprend un déclencheur 110 fai- sant saillie vers l'avant et, comme représenté particulièrement à la Fig.
7 des dessins, lorsque l'une ou l'autre des gardes de sécurité 92 ou 94 rencontre une obstruction 111 la suite du mouvement vers l'avant du profilé 93 est arrêtée et à mesure que la mâchoire 100 continue à se rapprocher de la position de soudure, la compression des ressorts à boudin 107 fait que les doigts 106 entrent en contact avec les déclencheurs 110, ce qui inverse le sens du courant de fluide dans le mécanisme hydraulique et inverse le mouvement des mâchoires de soudure qui restent inactives jusqu'à ce que l'obstruc- tion soit enlevée.
Un mécanisme approprié décrit ci-après et qui peut être hydraulique est prévu pour fermer automatiquement les mâchoires de soudure 97 et 100 après chaque avance intermittente de la matiè- re en feuille dans la machine. ¯Ainsi, par exemple, un ouvrier in- troduit un objet à emballer entre des couches opposées de matière thermoplastique et par une commande électrique décrite plus loin, amorce le mouvement de la matière d'emballage en feuille.
Lorsqu'une longueur déterminée de cette matière contenant un objet entre les couches repliées passe au delà du mécanisme d'ouverture et que l'ex- tr.émité supérieure de la barre 66 attaque l'évent 71 pour arrêter
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le mouvement descendant de la matière en feuille, les mâchoires de soudure sont rapprochées pour effectuer une soudure latérale et séparer un sac contenant un objet emballé. Chacun de ces sacs pré- sente une extrémité ouverte. , seuls les bords latéraux étant soudés et coupés par le fonctionnement intermittent du mécanisme de sou- dure horizontal décrit plus haut.
Avantageusement, un mécanisme de soudure et de coupe ver- tical est également prévu, fonctionnant en même temps que le mécanis. me de soudure horizontal et servant à souder et couper l'extrémité ouverte de chaque sec, l'excès de matière d'emballage étant éliminé pour obtenir un paquet fermé des trois côtés, le bord restant étant constitué par la pliure médiane 27 de la matière d'emballage en feuille.
Comme représenté particulièrement .aux Figs. 8, 9 et 10 des dessins, le dispositif de soudure vertical ou d'extrémité com- prend une lame de soudure 112 avec un appareil de chauffage à bande 113 monté à l'intérieur du profilé 114. Un support ou montant 115 auquel est fixé le profilé 114 est porté par la mâchoire de soudure 100, l'ensemble étant agencé de façon que les bords des lames de soudure 84. et 112 soient en .alignement direct, la première se trou- vant dans un plan horizontal tandis que la seconde est disposée dans le sens vertical.
Une garde de sécurité 116 destinée à exercer une fonction identique à celle de la garde 92 est prévue, cette garde étant fixée .au bras 117 d'un support en L 118, le bras plus court 119 de ce support s'étendant au delà du support 115 et étant placé de façon à rencontrer le déclencheur 120 d'un contact de sécurité à fluide 121 monté sur une plaque ou un support 122. Si la garde de sécurité 116 frappe un obstacle, le déclencheur 120 est immédiatement pressé, ce qui arrête la machine et empêche les dégâts à l'emballage, l'appareil et protège l'ouvrier.
Pour faire sortir l'excès d'air du sac formé, une paire de tampons de compression opposés 123 et 124 -avantageusement en
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matière relativement tendre, le caoutchouc mousse par exemple, sont utilisés. Ces tampons de compression sont fixés aux extrémités opposées de bras coulissants 125 et 126 respectivement, qui sont supportés de façon à s'effacer à l'intérieur des guides 127 et 128.
Le guide 127 est fixé sur le support 115 ; defaçon analogue, comme représenté à la Fig. 9 des dessins, le guide 128 est monté sur un montant ou un support 129 porté par la mâchoire de soudure horizon- tale 97.
Les bras des tampons de compression 125 et 126 s'étendent dans les guides associés et opposés 127 et 128 et chacun de ces bras est muni près de son extrémité libre d'un organe d'arrêt approprié 130 destiné à limiter le mouvement vers l'intérieur de ces bras. Comme on peut le voir sur les dessins, ces organes d'ar- rêts peuvent avoir la forme de galets élastiques supportés sur des tenons filetés 131 qui dépassent des bras 125 et 126 et sont fixés en position par des écrous 132. Des ressorts à boudin ou analogues 133 sont prévus pour solliciter les tampons de compression vers l'intérieur, une extrémité de chaque ressort étant fixée à un bloc de guidage comme en 134, tandis que l'extrémité opposée reçoit un écrou 132.
De cette manière, les bras des tampons de compression et ces tampons eux-mêmes sont sollicités l'un vers l'autre et au cours de l'opération de soudure d'extrémité immédiatement avant que la soudure soit effectuée, les tampons de compression entrent en contact avec l'objet à emballer à travers les demi-portions 28 et 29 de la matière d'emballage et en évacuent l'excès d'air.
Le profilé 114 constitue une mâchoire de l'ensemble de soudure d'extrémité et la mâchoire opposée 135 de cet ensemble com- prend un plateau 136 monté sur le montant 129, la soudure et la coupe étant exécutées par la lame de soudure 112 tandis que les couches juxtaposées de matière d'emballage thermoplastique sont rete- nues contre le plateau par la garde de sécurité 116. Avantageuse- ment, le plateau 136 présente une face inclinée vers l'avant et peut être muni d'une couche 137 de matière appropriée, le Téflon par
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exemple, pour éviter que la matière d'emballage puisse y adhérer.
On comprendra qu'il n'existe aucun problème de matière d'emballage en excès lorsqu'on effectue la soudure latérale entre des sacs adjacents; cependant, lorsqu'on exécute la soudure d'ex- trémité, la même situation ne se retrouve pas. Il est donc préfé- rable que le dispositif de soudure vertical d'extrémité comprenne un mécanisme d'élimination de la matière en excès ou des déchets.
La forme de ce mécanisme qui a été représenté .aux dessins comprend une lame d'enlèvement des déchets 138 montée de toute façon désirée, par exemple sur un bloc ou analogue, sur un arbre 139 dont l'extrémité supérieure tourillonne dans une plaque 140 fixée au montant 115, l'extrémité inférieure de cet .arbre tourillonnant dans une plaque palier 141 portée également par le montant Ils .au voisi- nage de son extrémité inférieure.
Un doigt ou pièce -analogue 142 dépasse vers l'avant de l'arbre de support 139 de la lame d'enlèvement des déchets et une extrémité d'un ressort à boudin 143 est en contact avec ce doigt, l'autre extrémité du ressort à boudin étant reliée à un support 144 monté sur le montant 116 du côté opposé à la lame d'enlèvement.
De cette manière, la lame d'enlèvement est sollicitée vers la mâ- choire de soudure d'extrémité 135 qui comprend un bras d'enlèvement des déchets 145 associé à la lame.
Le bras d'enlèvement des déchets 145 monté sur un arbre 146 tourillonnant à son extrémité supérieure dans une plaque 147 et à son extrémité inférieure dans un support 148 tous deux montés sur le montant 129 comprend une partie s'étendant vers l'arrière 149 qui peut présenter une encoche, comme indiqué en 150, pour corres- pondre exactement à l'extrémité de la lame d'enlèvement des déchets 138 lorsque s'effectue l'enlèvement des déchets et un dispositif élastique ou autre peut être prévu pour solliciter normalement la partie 149 du bras d'enlèvement des déchets contre le plateau 136 en un point voisin du trajet de la lame de soudure 112.
La lame d'enlèvement des déchets 138 repose normalement
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dans le même plan transversal que la garde de sécurité 116 jusqu'au moment où les mâchoires 114 et 135 de l'assemblage de soudure d'ex- trémité se sont refermées aucours de l'opération de soudure, moment où l'excès ou les déchets de matière d'emballage sont .atta- qués de part et d'autre par la lame d'enlèvement des déchets 138 et le bras 149. Cette position des pièces est représentée à la Fig. 9 des dessins.
Pour assurer le maintien,certain, de la matière en excès entre la lame et le bras d'enlèvement des déchets, après la soudure d'extrémité et la coupe et au moment'où les mâchoires du dispositif de soudure d'extrémité reviennent à la position ouverte normale, un dispositif de blocage 151 est prévu. Ce dispositif comprend une plaque en forme de secteur 152 fixée à 1'.arbre 139 relativement près de la plaque de support-supérieure 140 (voir Figs. 8 à 11 des dessins) qui présente un alésage transversal 153 pour recevoir un manchon 154 dans lequel se place un cliquet ou une bille 155 normale- ment poussé vers l'extérieur par un ressort à boudin 156.
La plaque en secteur 152 présente un alésage 157 complé- mentaire de l'alésage 153 de la plaque de support supérieure. Un . manchon 158 est retenu à l'intérieur de l'alésage 157 et sa partie inférieure a un diamètre intérieur réduit pour recevoir un tenon 159 qui. en position effacée normale, dépasse à travers la plaque en secteur et se trouve au-dessus de la surface d'une barre fixe 160 qui est creusée pour recevoir une came ou un galet 161.
Normalement, la bille ou le cliquet 155 est poussé à se bloquer dans les manchons 154 et 157 lorsque ceux-ci sont alignés et empêche le mouvement de rotation de l'arbre 139 qui porte la lame d'enlèvement des déchets 138 et la plaque en secteur 152.
Cependant, lorsque la mâchoire de soudure d'extrémité 114 atteint la position fermée, le tenon 159 attaque le galet de came 161 et est soulevé en entraînant le cliquet à bille dans le manchon 154 et en libérant ou en débloquant la plaque en secteur; ce moment l'arbre 139 tournera légèrement sous l'action de la force qu'exerce
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sur lui le ressort à boudin 143 et la matière en excès sera retenue entre la lame 138 et le bras 149 et détache? positivement de l'em- ballage soudé.
Lorsque les mâchoires de soudure d'extrémité sont reti- rées après que l'opération de soudage est terminée, la plaque en secteur 152 entre en contact avec une seconde came ou galet 162 monté sur la barre 160 en un point écarté du galet 161, ce qui force cette plaque à tourner en sens inverse contre l'action du ressort 143 jusque ce que les manchons 154 et 158 soient à nouveau en .alignement et à ce moment le cliquet à bille 155 revient en position de blocage.
Le mécanisme pour effectuer le mouvement alternatif des mâchoires de soudure qui permet d'effectuer des opérations de sou- dure intermittentes est illustré plus particulièrement aux Figs. 14 à 17 des dessins* Comme on peut le voire la mâchoire de soudure horizontale 100 est supportée sur un châssis rectangulaire 163 pré- sentant une partie terminale transversale 164 et la mâchoire de soudure 97 est supportée sur un châssis complémentaire 165 présen- tant une partie transversale terminale 166 disposée parallèlement à la partie 164. Ces châssis se trouvent dans le même plan horizontal et l'agencement est tel que le châssis intérieur 165 peut être animé d'un mouvement .alternatif à l'intérieur du châssis 163.
Un cylindre à fluide 167 est fixé sur la partie terminale transversale 164 du châssis extérieur 163 et le piston 168 de ce cylindre dépasse par une ouverture appropriée dans cette partie terminale transversale et est fixé sur la partie terminale trans- versale 166 du châssis intérieur 165 qui porte la mâchoire de sou- dure 9';. Ainsi, lorsque le piston 168 .avance, la mâchoire de sou- dure 97 est rapprochée de la position fermée ou position de soudure et un dispositif peut être prévu pour donner simultanément un mou- vemEnt inverse à la mâchoire de soudure 100, ces deux mâchoires se déplaçant alors à l'unisson l'une vers l'autre ou en s'écartant l'une de l'autre.
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Les structures des châssis 163 et 165 sont supportées par une poutrelle transversale 169 fixée au montent 21 comme indiqua en 170 et cette poutrelle comprend une paire opposée de boites d'en- grenages 171, .analogues à des manchons, dans lesquelles sont montées les parties latérales des châssis de façon à se déplacer d'un mou- vement alternatif. Comme on peut le voir particulièrement .aux Figs.
14 et 17, une crémaillère 172 est fixée à la surface intérieure de chaque partie latérale du châssis 163 et une crémaillère complémen- taire est fixée à la surface extérieure opposée de chaque portion latérale du châssis 165. Un pignon 174 monté sur un bout d'arbre
175 tourillonnant à l'intérieur de chacune des boites d'engrenages ou manchons 171, est intercalé entre chaque paire de crémaillères
172 et 173 et engrène avec celles-ci.
Dans ces conditions, lorsque le châssis 165 portant la mâchoire de soudure 97 se déplace sous l'influence du piston 168 vers la position de soudure le châssis
163 portant la mâchoire de soudure correspondante 100 se déplace en sens opposé de telle sorte que les deux mâchoires de soudure opposées se déplacent ensemble à tout moment soit l'une vers l'autre soit en s'écartant l'une de l'autre.
Pour assurer davantage l'uniformité du mouvement alterna- tif des mâchoires de soudure et éviter tout risque d'anomalie pro- venant d'un défaut d'alignement ou analogue, une barre transversale 176 est prévue, cette barre portant à chaque extrémité deux crémail- lères 177 qui se font face, la. barre en elle-même étant supportée sur les boites d'engrenages ou manchons 171.
Chaque bout d'arbre 175 dépasse au-dessus de la boite d'engrenages 171 et porte un pignon 178 qui attaque ou engrène la crémaillère associée 177, des galets ou analogues 179 étant montés sur la surface supérieure de chaque boite d'engrenages pour retenir les crémaillères et pignons en engagement et assurer ainsi l'aligne- ment transversal de la barre 176 qui se déplace entre une position voisine de l'avant de la machine lorsque les mâchoires de soudure sont ouvertes vers une position voisine de l'arrière de la machine lorsque les mâchoires se ferment et que la soudure s'effectue. ;
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Si on le désire, comme illustré à la Fig. 14, des dispo- sitifs de support supplémentaires peuvent être prévus pour le châssis intérieur 165.
Ces dispositifs peuvent comprendre un prolongement 180 qui passe à travers la partie terminale transver- sale 164 du châssis extérieur 163. Un galet ou .analogue 181 monté sur un support 182 s'Appuie sur la surface supérieure du prolonge- ment 180 et empêche le châssis 165 de s'écarter du plan horizontal au cours de son mouvement alternatif.
Comme les mâchoires de soudure d'extrémité disposées verticalement 114 et 135 sont suspendues .aux mâchoires de soudure disposées horizontalement 100 et 97 et se déplacent en même temps que celles-ci, les soudures latérales et d'extrémité sont effectuées en une seule opération à chaque fin de course du piston 168, l'inver- sion de la pression du fluide retirant le piston et renvoyant les mâchoires de soudure en position ouverte, prêtes à une répétition du cycle de fonctionnement.
Comme illustré particulièrement à la Fig. 2, la plaque d'appui 141 qui est fixée au montant ou support 115 qui porte éga- lement la mâchoire de soudure d'extrémité 114 est munie d'un dispositif de déclenchement 183 relié à une soupape de commande du fluide 184. Un arrêt du commande réglable 185 est monté sur un bras 186 fixé au montant 129 qui porte la mâchoire de soudure 139 en alignement direct sur le déclenchement 183.
Lorsque les mâchoires se soudure se déplacent vers la position fermée, les lames de soudure latérales et d'extrémité 84 et 112 respectivement.ayant été pré- chauffées à la température de soudage, la soudure., et la coupe s'effectuent avec une extrême rapidité et c' est pendant ce bref intervalle que le mécanisme de déclenchement fonctionne pour inver- ser le courant de fluide vers le cylindre 167, ce qui termine un cycle d'opérations et renvoie les mâchoires de soudure en position ouverte.
La. durée exacte de fermeture des mâchoires de soudure n'est pas critique et dépend de la rapidité avec ¯laquelle le
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fluide initialement introduit dans le cylincre à pression peut s'échapper, après quoi le fluide .amené du côté opposé du piston peut intervenir pour inverser le mouvement et renvoyer les mâchoi- res de soudure dans leur position normale ouverte. L'échappement du fluide peut être commandé par une soupapepi.lote 187 associée -au piston 167 et sous l'influence d'un contact de commande varia- ble 188 monté sur le panneau de commande 189. Ces appareils de temporisation et ces contacts de commande sont bien connus et une discussion détaillée en paraît inutile.
.Avantageusement., le fonctionnement du rouleau alimentaire de la matière en feuille et des mâchoires de soudure est commandé par des cylindres pneumatiques ou hydrauliques à double effet comprenant des soupapes de commande incorporées qui inversent l'application de la pression de fluide par des orifices appropriés vers le piston et la bielle, faisant entrer ou sortir cette derniè- re. La soupape se déplace lorsque son côté situé à l'arrière du cylindre est décomprimé par la fuite d'air ou de fluide hydraulique de ce côté et ce fluide est éliminé de préférence par les soupapes d'échappement électro-magnétique ou, en variante, des soupapes à poussoir manuelles peuvent être utilisées. Ces soupapes et ces appareils de commande sont bien connus et ne doivent pas être examinés en détail.
Dans la forme préférée de l'invention représentée aux dessins, il y a un bouton de mise en marche 190 au panneau de comman- de 189 ou à un autre endroit, et une pression exercée sur ce bouton excite une soupape d'échappement électromagnétique qui laisse échap- per le fluide du cylindre 64., le piston 63 dans sa course vers l'extérieur commandant l'avance d'une longueur déterminée de matière d'emballage en feuille.
En fonctionnement, l'ouvrier introduit un .article à em- baller entre les plaques 78 et 79 du mécanisme d'ouverture qui sont réglables au point de vue rapport-angulaire, espacement, etc.
L'article vient reposer sur la soudure latérale transversale S
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qui a été formée antérieurement dans la matière d'emballage. L'ou- vrier presse alors le bouton de mise en marche 190 qui, par l'inter- médiaire du piston 63 de la crémaillère 61 et du pignon 60 fait tourner le rouleau d'alimentation 38 jusqu'à ce qu'une longueur déterminée de matière en feuille portant l'objet à emballer dans la poche formée entre ses plis, descend à travers la machine.
Le courant de fluide passant par le cylindre 64 est alors inversé sous l'action de la commande d'échappement 71 et simultanément par excitation de la soupape d'échappement électromagnétique associée au cylindre à fluide 167, les mâchoires de soudure horizontales sont fermées pour exécuter la soudure latérale S avec coupe en ce point et détachement d'un objet emballé., la soudure d'extrémité et la coupe étant également effectuées lorsqu'un tel mécanisme est prévu, comme décrit plus haut.
Le principe de la présente invention comprend d'autres moyens pour régler l'avance intermittente de la matière en feuille à travers la machine,une forme particulière étant illustrée à la Fig. 5 du dessin. Comme on peut le voir, un support ayant la forme d'oreilles écartées 191 peut être monté à un endroit approprié et associé au mécanisme d'ouverture, par exemple sur le montant 80 qui porte la plaque d'ouverture 78. Un bras faisant saillie vers l'arrière 192 est fixé sur le support 191 pour pivoter comme indi- qué en 193. Une coulisse 194 portant un bras 195 s'étendant vers le haut et obliquement est montée sur le bras 192 et un dispositif approprié tel qu'une vis papillon on analogue 196 est prévu pour bloquer la coulisse dans la position choisie.
Un oeil électrique (cellule au sélénium) 197 est monté de façon à glisser sur le bras 195, et un dispositif de blocage tel qu'une vis papillon 198 est prévu pour fixer l'oeil électrique en position réglable dans le sens vertical. L'oeil électrique comprend un prolongement en L 199 dont un bras est écarté et sensiblement parallèle par rapport à l'appareil lui-même. Une moitié 28 de la matière d'emballage en feuille repliée qui est transparente se place dans l'espace entre l'oeil électrique et le bras ou
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prolongement 199 et cette partie présente des régions relativement limitées d'opacité 200.
Avec ce mécanisme à oeil électrique, le fonctionnement de la machine est amorcé comme indiqué ci-dessus en pressant sur le bouton-poussoir 190 pour amener la pression de fluide au cylin- dre 64, ce qui fait descendre la matière en feuille à travers la machine jusqu'au moment où une région opaque 200 passe dans l'appa- reil à oeil électrique interrompant son faisceau et commandant une soupape électromagnétique d'échappement associée au cylindre à fluide pour inverser le passage du fluide dans ce cylindre.
Une forme modifiée de machine à ensacher et emballer est représentée aux Figs. 21 à 24 des dessins et dans cette forme le rapport angulaire de la machine peut s'écarter de la verticale, si on le désire. Comme on 1-la représenté, la base 201 comprend une paire de supports verticaux 202 et 203. Un bras 21a est fixé à l'extrémité supérieure du montant 203 par une charnière 204 et le bras 21a qui est semblable au bras 21 de la forme de l'invention décrite plus haut fonctionne de façon pratiquement identique et supporte un mécanisme semblable.
Un bras 206 correspondant au bras 21a et disposé paral- lèlement à celui-ci est également prévu et la tête de travail de la machine est attachée à ces deux bras opposés qui la supportent.
Une plaque 207 est fixée à l'extrémité inférieure du bras 206 pour pivoter sur un support 209 monté à l'extrémité supérieure du mon- tant 202,un tenon de pivotement 208 reliant la plaque 207 au sup- port 209.
Une paire d'oreilles relevées 210 sont fixées à la base 201 en un point situé dans l'alignement du montant 203 et un organe de support tubulaire 211 est monté par son extrémité inférieure de façon à pivoter entre ces oreilles. Une seconde paire d'oreilles 212 est fixée au bras 21a en un point écarté de la charnière 204 et une barre filetée ou .analogue 213 est attachée aux oreilles 212 pour permettre un mouvement de pivotement, le diamètre exté- rieur de la barre lui permettant de se placer facilement dans
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l'organe de support tubulaire 211 de façon télescopique.
Une bague ou un écrou à filetage intérieur 213a -attaque la barre filetée 213 et le déplacement sélectif de cette bague détermine la mesure dans laquelle la barre filetée pénètre dans le support tubulaire et, par conséquent, la variation du rapport angulaire entre la tête de travail et les montants verticaux 202'eG 203 s'obtient de façon particulièrement facile.
-Avec l'inclinaison de la tête de travail et l'écart correspondant de la verticale du trajet de, la tiers d'emballage en feuille et des objets emballés, on trouvé avantageux d'utiliser un rouleau d'alimentation de matière en feuille -auxiliaire 214 qui amène la matière en Avant de la machine jusqu'à une position qui se trouve sensiblement dans l'alignement du mécanisme de sou- dure. Une commande par chaîne ou analogue peut être utilisée pour animer ce rouleau d'alimentation auxiliaire 214 d'une force de rotation uniforme. Comme on peut -le voir clairement aux Figs.
22 et 24, le rouleau d'alimentation 38 peut être muni d'une roue dentée 215 et d'une chaîne 216 qui .attaque la roue dentée 215 et une roue dentée correspondante 217 sur un bout d'arbre intermédiai- re 218 supporté sur le bras 21a. Ce bout d'arbre porte une seconde roue dentée 219 qui entraîne la chaîne 220 qui .attaque une autre roue dentée 221 sur le rouleau d'alimentation auxiliaire 214 qui tourillonne par ses extrémités dans des paliers opposés portés par les bras 21a et 206.
Des plaques d'ouverture réglables 222 et 223 comparables aux plaques 78 et 79 sont prévues et les parties repliées 28a et 29a de la matière d'emballage en feuille passent sur ces plaques tandis que la table 22a, les mâchoires de soudure, les mécanismes associés et le fonctionnement sont identiques à ceux qu'on a décrit plus haut avec référence à la forme de l'invention déjà décrite, l'emploi du mécanisme de soudure (non représenté) étant facultatif.
Avantageusement, un plateau 224 recevant les emballages est fixé à une plaque 225 qui est supportée de façon réglable par une barre ou analogue 226 portée par la table 222. Des fentes
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écartées 227 peuvent- être prévues dans la plaque 225, des vis de réglagle 228 traversant ces fentes et attaquant la barre 226. L'em- placement du plateau 224 peut être réglé facilement suivant l'épaisseur des emballages achevés. De ce plateau, les objets embêtés peuvent être transportés jusque un point de sortie de toute façon désirable, par exemple par un transporteur horizontal (non représenté) ou un autre mécanisme approprié.
Une représentation schématique du circuit électrique est donnée à la Fig. 19 des dessins. Comme on peut le voir, une source de courant électrique est reliée en 230 à l'appareil de chauffage à bande horizontal 85 et à l'appareil de chauffage à ban- de vertical 113, un contact principal 231 fermant le circuit et les appareils de chauffage à bandes 85 et 113 étant munis de thermo- éléments 232 et 233, respectivement, qui leur sont associés pour régler le cycle intermittent de ces .appareils de chauffage et main- tenir leur température dans des limites déterminées.
La fermeture des mâchoires de soudure ferme également le contact normalement ouvert 234 qui excite le système de temporisation 235 qui comprend un relais 236, des résistances 237 et 238, un redresseur 239 et des condenseurs 240 et 241. La durée d'excitation du système ae tempori- sation est déterminée par des potentiomètres 242 et 243 et, lorsqu' un intervalle de temps suffisant s'est écoulé, le relais 226 est fermé, ce qui excite le solénoide 244 qui inverse la course du piston 168 du cylindre hydraulique 167 et enregistre une impulsion , digitale sur un dompteur numérique 245 avantageusement placé sur le panneau d'instrument 189.
Ce circuit électrique est commandé à la main par un contact approprié 246 qui peut être également placé sur le panneau d'instrument et, si on le désire, une lampe indicatrice 247 peut être intercalée dans ce circuit.
Le courant est amené aux barres d'élimination de l'élec- tricité statique 83 par un transformateur 248 monté dans le circuit contenant le relais 207 et commandé par un contact 249 placé sur le panneau d'instrument et associé à une lampe indicatrice 250.
Le courant est amené à l'appareil photo-électrique
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251 par le contact 252 monté sur le panneau d'instrument en associa- tion avec les contacts 246 et 249 commandant :,'appareil de chauffa- ge à bande et l'élimination de l'électricité statique, et une lampe indicatrice 253 peut être .associée à ces contacts.
L'intensité des rayons lumineux émanant de la source lumineuse dans l'appareil à cellule photo-électrique 197 qui est relié directement à l'appareil photo-électrique 251 est commandée par le potentiomètre 254. Lorsque le faisceau lumineux de l'oeil photo-électrique est interrompu, un relais de l'appareil photo-électrique 251 est fermé, ce qui exci- te le solénolde 255 par des contacts de sûreté 256 et 257 et amorce le mouvement vers l'avant du piston 168 du cylindre hydraulique 167 pour amener les mâchoires de soudure en position fermée.
Si l'un ou l'autre des contacts de sûreté 256 ou 257 est ouvert par suite d'un obstacle sur le trajet des mâchoires de soudure, ou à cause d'un article qui n'a pas passé entièrement dans la machine, l'appa- reil photo-électrique ne fonctionne pas jusqu'à ce que la situation soit corrigée et que les contacts de sûreté soient à nouveau fermés.
Si l'on désire utiliser une pédale auxiliaire de mise en marche 258 pour amorcer l'avancement de la matière d'emballage en feuille dans la machine au lieu du système de bouton-poussoir décrit antérieurement pour faire avancer la crémaillère 61 et faire tourner le rouleau d'alimentation 38, ce contact est alors relié au contact principal 231 et sa fermeture excite un solénoïde 259 qui met en marche le mécanisme hydraulique qui provoque l'avancement du piston 63 du cylindre 64, ce piston entraînant la crémaillère 61 avec lui, comme décrit plus haut.
Une représentation schématique du système hydraulique est. donnée à la Fig. 20 des dessins. Le piston 63 du cylindre 64 comman- de l'avance intermittente de la matière d'emballage en feuille et 1' Inversion du sens de déplacement de ce piston est commandée par la soupape de purge 71. De même, le piston 168 du cylindre 167 com- mande le fonctionnement du mécanisme de soudure et l'inversion du sens de déplacement de ce piston est commandée par la soupape 184.
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Les cylindres 64 et 167 comprennent des soupapes pilotes incorporées indiquées en 64V et 167V respectivement, placées à l'arrière de ces cylindres et ces soupapes pilotes se déplacent d'avant en arriè- re transversalement au cylindre, dirigeant le fluide ou l'air sous pression vers le piston et déplaçant la bielle d'un côté ou de l'autre.
Avantageusement, la machine est commandée par pression pneumatique, la gamme optimum étant 95 livres/pouce carré (6,65 kg/cm2). De l'air sous pression est amené d'une source appro- priée (non représentée) par un tuyau d'entrée ou conduite 260 et son débit est commandé par les vannes 261 et 262, un manomètre 263 étant intercalé entre celles-ci; lorsqu'on pousse sur le bouton de mise en marche 190 (ou qu'on ferme le contact 258 lorsqu'on utilise la pédale électrique) pour amorcer le cycle d'alimentation de la ma- tière d'emballage en feuille, l'air peut s'échapper d'un côté du cylindre 64 et la bielle du piston 63 se déplace vers l'extérieur ouvrant la soupape de purge 71 à la limite de sa course.
La soupape de purge 71 laisse passer l'air dans la conduite 265 venant du côté opposé du cylindre 64, renvoie le piston 63 à sa position rétractée et laisse simultanément échapper l'air par la conduite 266 d'un côté du cylindre 167 qui commande le mécanisme de soudure, ce qui provoque la sortie de la bielle du piston 168 et ferme les mâchoires de soudure tout en actionnant le mierocontact 234, excitant ainsi le système de temporisation électrique 235 et le solénoïde 244, de telle sorte qu'après la durée prévue pour la soudure, la soupape 184 laisse échapper l'.air du côté opposé du cylindre 167 par la conduite 267 pour ramener la bielle du piston 168 et faire reprendre aux mâchoires de soudure leur position normale ouverte.
La soupape de commande 184 du mécanisme de soudure et les soupapes de sûreté 268 et 269 (ces différentes soupapes étant actionnées lorsqu'un obstacle s'oppose au mouvement libre des mâchoires de soudure) sont reliées au côté de rappel du cylindre 167 par la conduite 270. Lorsque l'une ou l'autre de ces soupapes de
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sûreté intervient, l'air sort du cylindre 167 ce qui arrête le mou- vement vers l'avant de la bielle de piston 168 (et des mâchoires de soudure) et renvoie la bielle de piston en position rétractée*
Une paire de soupapes de purge à main 271 et 272 peut être prévue pour les essais de la machine -au point de vue avance de la matière d'emballage et soudure avant la mise en marche du fonctionnement automatique.
La soupape 271 est reliée au circuit d'alimentation de la matière d'emballage par la conduite 273 et la soupape 272 est reliée au circuit de soudure par la conduite 274.
Lorsqu'on utilise un oeil électrique pour commander l'avance intermittente de la matière d'emballage en feuille, une soupape d'échappement électromagnétique 275 est prévue pour.arrê- ter l'action d'alimentation et commencer le soudage lorsque le faisceau lumineux est interrompu par une région opaque de la ma- tière d'emballage normalement transparente.
Le fonctionnement de la machine a été clairement décrit ci-dessus. L'ouvrier, après que la matière d'emballage en feuille a été introduite dans la machine, effectue une soudure latérale initiale, introduit un objet à emballer à l'intérieur des plaques d'ouverture et lui permet de venir reposer sur cette soudure. Une pression sur le bouton de mise en marche (ou sur la pédale éven- tuellement prévue) fait avancer la matière en feuille et l'objet emballé jusqu'à la position de soudage où les soudures latérales et d'extrémité sont effectuées simultanément et sans autre effort de la part de l'ouvrier. Les cycles subséquents de fonctionnement se déroulent de La même manière.
Le réglage des dimensions des sacs peut être effectué avec une facilité particulière et, lorsqu'on désire obtenir des sacs ouverts, le mécanisme de soudure vertical d'extrémité et l'appareil d'enlèvement des déchets qui lui est associé peuvent être rendus inactifs ou démontés, si on le désire. Quant à l'élimination des déchets, la matière en excès est détachée sous forme d'une bande continue et se prête à la récupération ou à d'autres fins.
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Bien entendu, l'invention n'est pas limitée par les dé- tails représentés aux dessins et décrits ci-dessus, elle en couvre au contraire toutes les variantes.
REVENDICATIONS.
1.- Machine à ensacher ou emballer comprenant un disposi- tif d'alimentation réglable pour faire descendre par intermittence une longueur déterminée de matière d'emballage thermoplastique en feuille repliée, un appareil d'ouverture pour ouvrir le caté latéral de cette matière en feuille, un dispositif de soudure et de coupe chauffé animé d'un mouvement alternatif monté en dessous de l'.appa reil d'ouverture pour détacher un élément de sac de la matière en feuille, un mécanisme d'enlèvement des déchets porté par le dispositif de soudure et de coupe pour éliminer la matière d'embal- lage en excès lorsque la soudure a été exécutée, une garde portée par le dispositif de soudure et de coupe se déplaçant avec lui,
un dispositif de commande auxiliaire de sécurité du dispositif de sou- dure et de coupe commandé par la garde, et un dispositif de commande soumisau dispositif d'alimentation réglable permettant d'amorcer le déplacement du dispositif de soudure et de coupe vers la position de soudure lorsqu'une longueur déterminée de matière en feuille a été avancée.