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. L'invention a pour objet un projectile perfectionné à charge creuse, plus spécialement du type à revêtement, tel que, par exemple, une roquette, une grenade à fusil ou tout autre projectile à charge creuse.
Plus spécialement encore, l'invention se rapporte à de tels projectiles à charge creuse munis d'un générateur électrique de tête ou d'ogive et d'un système d'amorçage de culot.
Le projectile perfectionné selon l'invention est caracté- ristique en ce qu'il comporte, seules ou en combinaisons diverses, une ou plusieurs des caractéristiques suivantes : le dispositif de sécurité de culot portant l'amoce comporte, en principal, un
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élément rotor.ique balourde dont le déplacement angulaire de sécurité, c.à.d. l'écart angulaire entre la position de sécurité et la position "armée" est supérieur à 90 ; ce support rotorique de l'amorce est maintenu dans sa position de sécurité par un ver- rou y engagé dont le profil d'allure conique est particulier;
ledit support rotorique de l'amorce est conditionné en sorte qu'étant sollicité par les effets d'inertie pendant la phase d'ac- célération du projectile, il se déplace angulairement dans le sens opposé au sens de rotation du déverrouillage; ledit verrou de sécurité'est complété par une goupille de sûreté disposée dans la trajectoire du mouvement de recou@ du verrou.
Ces différentes caractéristiques d'ordre mécanique sont complétées par des moyens de sécurité d'ordre électrique. Notam- ment, les contacts électriques de liaison sont réalisés latérale- ment; la liaison entre le générateur d'ogive et l'amorce est as- ' surée par un conducteur traversant le revêtement de la charge creuse à proximité de la base de ce revêtement ou bien encore par un conducteur passant au travers d'une bague de fixation dudit revêtement.
L'invention se trouve également dans la disposition rela- tive des différents éléments constitutifs du mécanisme de mise à feu de la charge en sorte de présenter, à la fois, le maximum de sécurité et le maximum d'efficacité.
Toutes ces caractéristiques apparaîtront davantage de la description détaillée ci-après d'une exécution préférée, la- quelle se réfère aux dessins annexés dans lesquels: la figure 1 est une vue schématique en élévation du pro- jectile perfectionné conforme à l'invention; la figure 2 est une vue en élévation avec coupe partielle par un projectile.perfectionné conforme à l'invention; la figure 3 est une coupe selon la ligne III-III de la figure. 2;
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la figure 4 est une vue en plan avec coupe partielle du dispositif de sécurité d'amorce, l'enveloppe de ce dispositif étant montré en coupe radiale ; la figure 5 est une vue en plan du dispositif de 'sécurité en position de repos, avec,/coupe partielle par le mécanisme de verrouillage ;
la figure 6 est une vue en plan du dispositif de sécurité montré dans la position de la figure 5, avec coupe partielle montrant l'obstruction du passage vers la charge; la figuré 7 est une vue semblable à la figure 5, le mé- canisme de sécurité étant montré dans sa position finale d'action nement;' la figure 8 est une vue semblable à la figure 6, le méca- nisme de sécurité étant montré dans sa position finale d'action- nement; la figure 9 est une coupe selon la ligne IX-IX-IX de la figure 8 ; la figure 10 est une vue en élévation partielle du baril- let du dispositif de sécurité d'amorce; la figure 11 est une coupe selon la ligne XI-XI de la figure 10 représentée en vue explosée; la figure 12 est une variante de la figure 3; la figure 13 est une variante de la partie antérieure de la figure 2.
Dans cette exécution, le projectile auquel se rapporte l'in- vention comporte substantiellement un générateur de tête ou d'o- give 1, une tête 2 comportant la charge creuse, le ,dispositif de sécurité d'amorce 3, le corps et la queue à empennage 5.
Les perfectionnements, objets de l'invention, concernent plus spécialement le conditionner très particulier du géné- rateur de tête ou d'ogive 1, le dispositif de sécurité d'amorce le la liaison particulière entre ledit générateur d'ogive 1 et
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ledit mécanisme de. sécurité d'amorce 3, ainsi queues dispositions originales décrites ci-après.
Comme représenté en coupe radiale à la figure 3, le géné- rateur de tête ou d'ogive 1, par exemple du type piézo-électrique, comporte un cristal 6 logé dans une coupelle 7 dont le fond 8 est prolongé par une borne tubulaire 9 dans laquelle est fixé le bout dénudé 10 du conducteur 11 reliant le générateur d'ogive au dis- positif dè sûreté de l'amorce. En tête de l'ogive 12 est sertie une bague 13 sur laquelle est solidement fixée une bonnette 14, par exemple en acier, venant s' ppliquer sur la: face extérieure dudit cristal 6¯ par l'intermédiaire d'une paroi de protection 15.
La coupelle 2 prend elle-même solidement appui sur le disque term -nal 16 lequel porte très fermement sur le bout redressé corres- pondant de l'ogive 12 dans ladite bague 13.
Cette combinaison est telle que, quel que soit l'impact, le cristal 6 fournira -la ou les impulsions nécessaires pour géné- rer la quantité de courant électrique suffisante pour la mise à feu de l'amorce. Egalement, cette combinaison est telle que le- dit cristal 6 présente des dimensions relativement réduites.
Le conducteur 11 est, comme représenté à la figure 2, ap- pliqué le long de la paroi interne de l'ogive 12, traverse la paroi conique 17 de la charge creuse en étant protégé, dans cette traversée, par un élément tubulaire 18 en une matière isolante, ledit conducteur 11 étant alors appliqué contre la paroi de la tête ¯2 pour aboutir au dispositif de sécuritéd'amorce.
Ce dispositif de sécurité d'amorce est placé en arrière de la charge creuse et ses parties essentielles sont représentées aux figures 4 à 8.
Dans cette exécution, le dispositif comporte un corps cylindrique 19 découpé, sur sa'longueur, de manière à présenter une surface plane 20 limitée, vers l'avant, par le disque 21 et, vers l'arrière, par une portion de disque 22. Dans cett partie
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plane, est creusée une cuvette cylindrique 23 dont le fond 24 comporte un trou 21; la même cuvette cylindrique 23 comporte, diamétralement opposés et disposés dans l'axe longitudinal du
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corps cylindrique 19 j deux orifices 26.-2J. Le trou 26 débouche dans un alésage 28 dont la profondeur s'étend sur une partie de l'épaisseur du disque frontal 21.
Dans ladite surface plane 19
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sont creusées'deux paires de trous taraudés 9,-3,0¯ et 3j.-2, res-t pectivement vers le disque frontal 21 et vers la portion de dis- que postérieur 22.
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Dans la cuvette 23 est introduit, sans frottement, un bar3 l'et 33 présentant un axe inférieur 34 engagé dans le trou g2 du fond de ladite cuvette 23; supérieurement et dans le prolonge ment du premier, ledit barillet présente un second bout d'axe 35.
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Le barillet 3 présente une large échancrure 36 résultant du sectionnement du barillet par un plan B-B parallèle à l'axe A-A de rotation du barillet et tangent au bout d'axe supérieur
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31 et un second plan* C-C perpendiculaire au plan B-B et approximativement tangent au même bout d'axe 3;
le'barillet 33 est tra- versé de part en part par un orifice 37 perpendiculaire à la face déterminée par la coupe du susdit plan B-B et tangent ou approxi- mativement tangent à la face déterminée par la coupe suivant le plan C-C.
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li, son autre bout, ledit orifice 31 présente, sur une' très faible longueur, une réduction de diamètre formant un épaulement périphérique 3 S. iùltre l'arête 12 et la sortie à diamètre réduit de l'orifice 3Z? le barillet 33 présente un trou borgne 40' dans le .fond duquel débouche un canal taraudé 41 issu de la face plane déterminée dans le barillet par la coupe selon le plan B-B. Dans ledit trou borgne 40 est fixée'une cheville 42 parallèle à l'axe de rotation A-A du barillet.
Cette cheville 42 fait légèrement saillie sur la face supérieure du barillet de manière à former
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un petit doigt saillant 43.. jur la face du plan B-B du barillet
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est fixe, par une vis 44 engagée dans le canal taraudé 41 un sup -port formé d'une petite plaque métallique mince 45 disposée en-
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tre deux plaques en matière isolante, 46-;
le trou 48 par lequel la vis de fixation 44 traverse la plaque riétallique est de dia -mètre sensiblement plus grand que le diamètre de ladite vis et
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plus grand que le diamètre des trous Lr UO-50, respectivement des ' # plaques isolantes 46.-47., d'une telle' manière que ladite vis de fixation 44 n'entre pas en contact avec ladite plaque métallique 45, en sorte aussi que cette dernière soit totalement isolée.
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Le'sdites plaques isolantes 46-42. sont aussi plus longues que lazzi- te plaque métallique 45 et présentent, vers leur autre bout,
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une échancrure, respectivement .21-.
Les trois plaque 45-46-47 présentent encore, disposés en regard l'un de l'autre, un orifice,
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respectivement jl--22; au travers de l'orifice 22 de le. plaque -i-7 passe le prolongement o6 d'une buselure métallique 22 qui vient se fixer, par exemple par rivetage, sur ladite plaque métal- lique 45, cette buselure 57 présentant une embase 58 par laquelle elle s'appuie fermement sur la plaque isolante adjacente 47.
D'autre part, la plaque métallique 45 est, sur un bord lon- gitudinal, découpée et redressas de manière a présenter un flanc d'allure triangulaire 59 portant, vers son sommet, -un doigt métal-
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lique 60 d'allure '-cylindro-conique dont la partie cylindrique dépasse la face supérieure du barillet 33.
Sur la plaquette isolante 46 vient s'appliquer l'une des faces d'about de l'amorce 61 dont un fil conducteur 62 est intro- duit et fixé dans la buselure métallique 57 et dont le second con- ducteur 63, dûment isolé pour éviter tout contact avec ladite buselure 17, vient se fixer dans une plaquette,métallique 64 fixée
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sur la plaque isolante 47 par la susdite mrîà de'fixation 44.
Sur le plat 20 du corps cylindrique 19 est fixée une pla- quette métallique 65 par le moyen des deux vis 66-67. Cette pla- quette est traversée par le bout d'axe supérieur 35 du barillet
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elle présente, en outre, une échancrure 68 dont la largeur est'légèrement supérieure au diamètre de la partie cylindrique du susdit doigt 60 solidaire du barillet. Le bout d'axe du barillet est radialement traverse par l'un des bouts d'un fil en acier 69 enroulé hélicoldalement autour dudit axe 35, l'autre bout dudit fil d'acier venant se fixer à la vis 66. On réalise ainsi un ressort de rappel du barillet 33 et de tous les éléments qu'il porte.
Dans l'orifice axial 27 du corps cylindrique 19 est engagée la partie cylindrique 70 d'un verrou dont la position limite d'en -gagement est assurée par une embase 71 et dont la tête cylindro- conique 72 est engagée normalement dans le trou borgne 40. La partie conique est disposée d'une telle manière que la grande base soit disposée au droit du bout libre dudit verrou. La partie ainsi évasée se trouve normalement enclenchée par la cheville 42 et forme butée pour celle-ci à l'encontre de l'action de rappel du ressort filiforme 69.
Complémentairement, ledit verrou 70-71-72 est normalement empêché de s'effacer par la présence d'une goupille de sûreté 73 prolongée au-delà de l'enveloppement du dispositif de sécurité 3, par un anneau de traction 74.
Sur le même plat 20, en opposition avec la plaquette 65, est fixée, par les vis 75-76, une traverse 77 en une matière isolante. Sur cette traverse est fixée, par une vis 78, une pla- quette métallique 79 dont l'un des bouts, 80, est enroulé sur lui-même de manière à former un élément tubulaire dans lequel 'vient fermement se fixer le bout libre du susdit conducteur 11 venant du générateur d'ogive 1. Le bord longitudinal extérieur 81 est légèrement relevé versle haut et le bord longitudinal op- posé est partiellement prolongé et replié de manière à présenter une languette élastique 82 sur la trajectoire du susdit doigt de contact conique 60 porté par le barillet.
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Cette disposition du dispositif de sécurité d'amorce pré- sente encore les caractéristiques très particulières suivantes : le barillet. 33. est, à l'encontre de l'action de rappel du ressort
69, immobilisé par le verrou 70-71-72 d'une telle manière que l'axe longitudinal D-D de l'amorce 61 forme, avec l'axe longitu- dinal E-E du projectile, un angle [alpha] supérieur à 90 et générale- ment de l'ordre de 120 .
Dans cette position, la partie pleine du barillet 33 obstrue l'orifice 26 établissant la communication avec la charge creuse. D'autre part, autour du corps cylindrique 19, est glissé, frottement doux, un manteau léger 83 dont le fond présente, centralement, un orifice 8 dont le diamètre est supérieur au diamètre de l'embase 71 du verrou. Egalement, dans le prolonge- ment de l'orifice axial 27 du corps cylindrique 19 est prévu un espace libre 85 dont la profondeur L est supérieure à la longueur du corps 70 du verrou, l'épaisseur de l'embase 71 comprise.
Une autre caractéristique encore se trouve dans le .fait que le ressort de rappel 69 agit dans le sens opposé au sens de sollicitation du barillet par le couple déterminé par l'effet d'inertie sur le barillet dont le centre de gravité est déplacé par rapport à son axe de rotation -4-±; en l'occurrence, le ressort de rappel 69 tend à faire tourner le barillet dans le sens de la flèche F1, tandis que l'effort d'inertie dû à l'accélération du projectile sollicite ledit barillet dans le sens de la flèche F2.
En ce qui concerne le générateur d'ogive, s'il est piézo- électrique, sa face¯antérieure sera en contact avec une paroi rigide généralement métallique, par exemple en acier trempé, en laiton dur ou autre et, en tout cas, d'une telle manière qu'un effort suffisent soit transmis au cristal, quelle que soit la position du projectile à l'impact.
Egalement, une caractéristique de l'invention consiste à
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interposer.encore, entre le cristal et ladite paroi rigide, une enveloppe en une matière telle que ledit-cristal maintienne une sensibilité'maximum. Dans un même but de sécurité, les fils conducteurs du détonateur seront de préférence choisis en une matière telle que l'oxydation ne puisse pratiquement pas'modifier la valeur du contact électrique. On fera donc choix de conducteur en acier inoxydable, en argent ou en autre métal ou alliage adé- quat.
Le fonctionnement du projectile, ainsi conditionné se com- prend comme suit :au repos, les différentes parties constituti- ves du projectile se trouvent telles que schématisées dans leurs éléments essentiels aux figures 1 à 11. Le barillet 33 est immobilisé par le verrou 70-71-72, d'une telle manière que le détonateur 61 soit écarté de l'orifice de communication 26 avec la charge creuse d'un angle supérieur à 90 , ledit orifice de communication étant dûment obstrué par ledit barillet; le verrou 70-71-72 est immobilisé principalement par la goupille 73 et, complémentairement, par l'effort de frottement résultant de la pression exercée par la goupille 42 solidaire du barillet, lui- même sollicité par le ressort de rappel 69.
Le générateur d'ogive. est relié, par le conducteur 11, à la plaquette métallique 79, dont la lamelle de contact 82 est libre. Par ailleurs, ledit générateur est réuni, à la masse.
Considérant le détonateur 61, l'un de ses conducteurs 62 est connecté à la plaquette 59, soit donc aussi au doigt de con- tact 60 porté par le barillet. Le second conducteur 63 du détona -leur est relié à la masse du barillet et, par conséquent aussi, des autres parties métalliques extérieures du projectile, via la vis 44 et la plaquette 64. Dès lors, pour fermer le circuit entre le générateur d'ogive 1 et le détonateur 61, il suffit d'amener le doigt 60 porté par le barillet 33 en con-tact avec la lamelle 82. En position de repos, ces deux éléments de contact sont mutuel
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-lement écartes, comme représente plus spécialement aux figures 4 et 6.
Avant 'la mise à feu du projectile, la goupille 73-74 est arrachée, ce qui libère la partie postérieure du verrou 70-
71-72. La charge de propulsion étant allumée, le projectile est anime d'un mouvement accéléré rapide. Ce mouvement a deux effets quasi instantanés mais successifs . le premier est de déplacer le 'barillet 33 d'un certain angle à rencontre de Inaction de rappel du ressort 69, dans le sens de la flèche F2. Ce mouvement angulaire écarte la cheville 42 de la tête de verrou- 72, libérant ainsi celui-ci; le deuxième effet est le recul rapide dudit ver- rou 70-71-72 lequel chute dans l'espace libre 85 et libère totale -ment le barillet 33.
Celui-ci, sous Inaction du ressort de rap- pel 69, tourne dans le sens de la flèche Fl et s'immobilise par le fait que ladite cheville 42 vient buter contre le bord 86 de la plaquette 65 et cette position étant telle que le.détona- t,eur 61 se trouve exactement en regard de l'orifice de passage
26 vers la charge creuse. 4 ce moment, le doigt 60 porté par le barillet entre en contact avec la lamelle 82, ferment ainsi le circuit d'allumage 'au détonateur.
Le projectile se déplace donc avec le circuit du détonateur ainsi fermé et dans lequel se trouve le générateur d'ogive 1.
Dès lors, à l'impact, quelle que soit la position du projectile à ce moment, le choc transmis au générateur piézo-électrique déterminera une quantité de courant électrique suffisante pour générer le courant électrique nécessaire à la rise à feu du détona- teur.
On constate donc que le projectile ainsi conditionné com- porte un ensemble de sécurité tel que toute :aise à èu intempesti.. ve est systématiquement exclue et que, de plus, la mise à feu ne peut être assurée que dans les conditions d'utilisation normale du: .projectile.
11 est évident que.les différents dispositifs caractéristi-
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ques susdécrits peuvent être réalisés sous des formes construc- tives essentiellement variables, chaque élément constitutif pouvant être remplacé par un élément de fonction équivalente et la position relative des éléments pouvant elle-même subir certaines modifications sans changer de fonction.
A titre indica- tif, dans la figure 12 on a représenté une légère variante du moyen d'accouplement entre le conducteur électrique 11 et la borne tubulaire' du générateur d'ogive. En l'occurrence, un bout de fil électrique 87, coudé, est, par une branche et au moyen d'une vis de serrage 88, fermement fixé sur ladite borne 9; ledit bout de fil 87 est fixé au conducteur électrique 11 par une pièce d'ac- couplement 89.
En ce qui concerne le conducteur 11, il est, d'une manière caractéristique, disposé le long de la paroi'interne de la tête cylindro-biconique 2. Dans l'exemple précédent, il traverse la paroi de la charge creuse. Dans l'exemple schématisé à la figure 13, il traverse la bague 90 au droit d'une surépaisseur 91.
Il est évident aussi que toutes les dispositions décrites seront dûment adaptées au genre de projectile à équiper et que l'invention s'étend également à tous les projectiles ainsi équi- pés.
REVENDICATIONS.
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