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La présente invention se rapporte à un mécanisme de cerclage pour colis, paquets, ballots, etc...., à l'aide d'une matière de cerclage souple ou flexible, du type comprenant essentiellement on dispositif d'amenée réversible, une pince de retenue, un guide servant à donner à la matière la forme d'une boucle entourant le colis, paquet, etc.,., un dispositif de sertissage ou de jonctionnement, et des organes de sectionnement, de façon telle que, la matière ayant été entraînée par le dispositif d'amenée (après avoir été prélevée à un dispositif fournisseur) au delà de la pince de retenue et des organes de sectionnement,
en passant à travers le dispositif de sertissage, puis à l'intérieur du guide, pour revenir dans la pince de retenue et pour passer . de nouveau à travers le dispositif de sertissage, en étant
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ce par la fermeture de la pince, le dispositif d'arenée soit ensuite inversé pour provoquer la contraction de @@@ parti''' le la matière formant la boucle, afin quelle soit resserrée sur le colis ou paquet, après quoi, et éventuellement en soumettant la boucle de matière ainsi contractée à l'action d'organes servant à lui donner une tension finale, les parties superposées de la Entière sont réunies l'une à l'autre et cette boucle est séparée du dispositif fournisseur par actionnèrent du dispositif de sertissage et des organes de sectionnement.
Dans les mécanismes de ce type, il a paru désirable que les parties superposées de la boucle no soient pas soumises à la tension pendant leur réunion, et afin que ces parties pénètrent en sens opposés dans le dispositif de sertissage à partir des pinces de retenue disposées de part et d'autre de celui-ci, de façon que la tension engendrée dans la boucle de matière soit conservée, il a été nécessaire d'assurer le sectionnement avant le sertissage et de prévoir une pince de retenue supplémentaire du côte du dispositif de .
sertissage opposé à la pince de retenue, aux organes de sectionnement et au dispositif démenée, cette pince supplés mentaire étant étudiée de manière à être refermée sur la boucle de matière quand celle-ci pénètre dans le uide, à la suite de la contraction de la boucle et de sa mise sous tension fine:. le.
Des recherches ont toutefois montra qu'il suffisait que l'une des parties se chevauchant ne soit pas sous tension pendant son sertissage avec l'autre partie, alors que celle-ci subit l'effet de la tension appliquée à la boucle, et il est 'donc possible d'éviter la complication résultant de la présence de cette pince supplémentaire précitée.
Dans un mécanisme du type précité suivent l'invention, le dispositif de sertissage comprend au amies deuk matrices
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disposées longitudinalement aux parties superposées de la
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ati\ère de contre laquelle elles peuvent venir applique.' SUC.C$ ssivem.en:c, l'Ut1.e de ces oia-trices étant mobile dans une mesure sufeiSs.nte pour maintenir au. moins
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les parties superposées avant que la matière ne soit
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sectionnée et séparée (lu disp()stti:.(' fournisseur, ce sections nement pr6cédont 11ttaqu de ces parties par la seconde
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matrice, entre le point de maintien de ces partie et à
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:l'tilndroi't où. le, aatit-re est ainsi sectionnée.
Le sectionnefaent 'effectué de cette manière peut être assuré de la iagon la
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plus judicieuse par un- organe de coupe prévu sur la seconde
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matrice et destiné à coopérer avec mie laùie fixe prévue du. oetê au dispositif de sertissage dirige vers le dispositif d'eem enée, lorsque cette matrice vient sur les parties é-ipoiiposées de la oeatiÉ;r,e Le S6J;'tissage peut ainsi être déclenché par la prem.ièrQ matrice, entre la première extrémité libre de la at1ère et la seconde partie aboutissant au. dispositif fournisseur, alors que cette seconde partie subit l'effet Àe la tension exercée par le dispositif d),taen,00/L'par le dispositif de mise sous tension, par a:iJ.lel.l1's, à la suite du. oeg<àiomicaxent e.t de la libération qui en résulte de la.
Seqçnde partie1 cette opération peut être cotâplétÓe par le, aecende tricq entre cette, seconde partie et cette première $artio, eetfe dernière <µten.à onintenant placée sous tension entre la F:ram1èN:I matrice et la pince de retenue, 911 biei suppçrtyx une tension qui n'est pas aussi :Ëorte, telle que oglle qui existe dans l'enseúlble de la boucle à la suite de ja rjgmvortiq>e de la pince 1=6cliEttement après que les parties sont yetenues par la première matrice, ces parties sont par QOAS0ÇJ.\,J,ant attaquées par les deux matrices quand . lJ I"me des est libérée et que 1>a\.1t)e est 130L\q tt24$;
lQ,P..,
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L'iivention est applicable en particulier quand on utilise du feuillard comme matière flexible de cerclage et pom la forÙ1é.t.ion de joints entre des parties se chevauchant de ce feuillard, les matrices étant utilisées pour former des incisions épaulées longitudinales dans ces parties superposées et pour provoquer un déplacement relatif des portions de feuillard résultantes entre ces incisions,' en , dehors du plan de ce feuillard et de part et d'autre de ce plan, de sorte que les épaulements coopèrent pour retenir ces parties par un léger déplacement relatif entre ces dernières sous l'influence de la tension existant dans'la boucle, lorsque lesdites parties sont libérées par suite de l'écartement ou du retrait des matrices,
'
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Dans un dispositif de sertissage ou de jonctionnement utilisab16,euivat l'invention, les matrices immédiatement voisines l'une de loutre peuvent judicieusement être appliquées sur les parties superposées de la matière flexible
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et peuvent en être écartées par des manotons, des excentriques ou des dispogitifa analogues, montés sur un arbre pouvant tourner dans un seul sens et étudié de manière à effectuer une révolution pendant une partie d'un cycle de travail du
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mécanisma considéré dans son ensemble, ce mouvement étant déterminé par une révolution de 1''h e à cames principal, sous la aotnmande d,1UJ:
!. embrayage réalisant un accouplement. gur 360et cette révolatioxi du premier e-bre cité peut être &/i;\Ijf"U,1éc (!Ilon une relation déterminée dans le temps avee les autres opépationg effectuées par l'arbre à samea principal, avec le =Lxverae-at d'aoeenéa, la fermeture de là Pl -=$ de retenue, l invar gion du dispo5it;r d'amenée, la miel, sous tension additionnelle, si -cela est
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néoe sa1re, et l'ouverture de la pince de retenue,' Les matrices de ert1aage qui peuvent être
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c;.;i.o!lX1Ó(;;. d.to cette manière peuvent être reunies dans un ensemble craEo.x:rue, , la pince de retenue prévue du côté d-i ces .w .i:-:
dirige vers le dispositif d'Gae.n.e Une pince de ce type peut se présenter sous la forme d'lm poussoir mobile vers le haut) présentant un oeilleton trsnsversal à travers lequel 7,.., :..x<e flexible est avancée et rappelée par le dispositif dao-urne, et dans lequel, si le ;;câ.o.t,G ment de la mâtine eist assuré cornue cela est. ,x^:L'c.r,'a..e entre cette pince et le dispositif è10 sertissage, par exemple CJ.u moyen d'UJ.'1 organe de coupa (noJ.lt,(; sur la iJl:.t:t.'i(,1f; du cD'\:.6 dirige vers la diapositif el 'ntil,t:;,Q6p" de 1*lx 1fii:;\1:ü,è"@ tJ.\1jàr mentionnée, 1 . satiëre rJ.CHÍ'\QI.j3,'t;? f:-u.l...'e4.i de fagon :r=1,l.inLt ce poussoir da la pinee peut ,yf ; ts;l3z rr wW-.1,15,É,' vers tme poaition ouverte, ot il peut. 13"i.'e :f'0J.'mÓ pas. 1.1Xl arëFe eaaea Q.W:1J.1l;'iQ, relié a 19{J,1fJe . <;i.knoo p5;'j,);,P;;,J. et Ls6. dQ 111L.'-4:
& Ç1'.1''.C!4.i' 14n,o seule :;,6VOJ,\.'!:t,()fi zée oe1u.1...01.
.Du octd des tJ,',3, 1:# ao<?tixiiogo oppoxd au . ài"11o1tlf éVlAw'@1J.Ó@, on peu;\;. 3Jtté âana 1>e;=i>er*blo p;;éeité tm guide .d.$ pO!.W'f:1J.1t -1e pl'\I;ef;,'t,g11 43f34' la 6'ét' cl$un autre poussolv ains,1,oiae 1L:t pauaseiï' de la pinee de retenue, et mie butée teï'6Hn.la qui pavent (jtl":
tous dg1X rappelcs cp arrière et qui pauvent 3.0 .0 0 Lise. çac-iit êti-e actiomids par 1@ mêae 6sitla3F3 trI ht#liGôL4 Ç}.f,b;il.i11>:!','(J, loquet peut 'se prolonger ù cet 9.6! 4 travers dsCd1l4ssc en L.t.bli.Wb6Fi écarte de 1'arb3:'E! vilebrequin ou à sn .,'d,4iu don.t il ost parallèle, et par lequel leµ matrieea de sertissage aont actionnées. i4'tEL. peut îW:l9ïaatt le:A<mt une électroda de soudage montre du 06t' opposé au dispositif epUIÁCntEe, pouvant s'adapte sur les parties superpo$6os de la matière
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flexible, en vue de réaliser une liaison supplémentaire entre
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elles.
Cette électrode peut Être ooru.b1.c.6e avec ce poussoir
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<3't guide à>al1gleoeent et, lorsque les joints ainsi réalisés sont du type précité et présentent des incisions épaulées, il suffit qu'elle soit amenée dans sa position de travail après le retrait des matrices de sertissage, '
Le dispositif d'amenée peut comporter'un galet monté
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sur le même arbre et conjugué à deux éléments deaécoupleraeat tournant de façon constante mais en sens opposés, qui sont mobiles axialement de façon simultanée dans chaque sens, afin.
que l'un ou l'autre d'entre eux vienne coopérer par friction ' avec ce galet, ces deux élément s pouvant être tous'deux ' écartés du galet pour' venir occuper une position de repos ou
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neutre, ce mouvement axial des éléments d'accouplement étant assuré judicieusement par une came montée sur l'arbre à cames ; principal.
Un dispositif de mise sous une tension finale peut être disposé entre le dispositif démenée et' le dispositif de sertissage; il comprend une pince qui, normalement, est maintenue en position ouverte pour permettre le libre passage
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de la. matière flexîbo dans les deux mazet sous 13LU:cluence de ce 8.6pOQ,'i di,, cette pince se'pMeyaant sur à Native lOrstà'3..
Bt déplacé@ vers le, dispositif aaende, en vue de la mise sous tension, mais étant ouverte de nouveau
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pendant son mouvemunt de retour, me fois que cette mise sous tension a été assurée, de façon à revenir librement le long de la t3r, Cette matière cet, de. pr6férencet sectioanëe juste après la. réouverture de cette pince de aise sous tension, et le mouvement de retour de la pince le long de la amtière se produit alors que cette démise eat retenue par le
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dispositif dâaaendet qui se trouve dans une position de repos, ce mouvement de la pince de aise sous tension peut être assuré judicieusesant pr , u.
autre came prévue sur 1'ebùe à cames principal, et les mouwaents de fermeture et dcurtur de=
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cette pince résultent automatiquement de ce déplacement.
La description qui va suivre, faite en regard des , dessins annexés donnés à titre dexemples non .limitatifs et montrant Lui mode de réalisation possible de la machine à cercler suivent l'invention permettra de mieux comprendre cette dernière..
La fige lest .une vue de face de l'ensemible de la machine à cercler qui comprend un mécanisme fournisseur tel demande de que celui décrit dans la/brevet belge - déposée au nom de la même société le 4 juin 1957, pour "Procédé et. mécanisme . pour fournir une matière souple continue à une machine".
monté sous la table ou plate-forme, ainsi qu'un mécanisme , demande de formation d'une boucle du type décrit dans la/brevet belge ' déposa au non de la même société le 15 'juin 1937, pour "Mécansiem pour la formation d'une boucle de cerclage autour de colis", aucun de ces deux mécanismes n'appartenant toutefois directement à la présente invention,
La fig 2 est une vue en plan correspondante, la table ou plate-forme, le guide de formation de'la boucle et le galet de pression supérieur du dispositif d'amenée ayant été enlevés.
La fig 3 est une vue d'extrémité en regardant dans la direction de la flèche 3 sur la fig. 2,
La fig. 4 est une vue schématique en perspective montrant la manière dont le feuillard est attaqué par les organes actifs principaux.
La fig. 5 est une vue en plan du dispositif d'amenée du feuillard proévu sur la machine (sauf le galet de pression supérieur).
La fi. 6'est une vue en coupe par la ligne 6-76 en fig. 5.
. La fig. 7 est une vue prise en regardant dans
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la direction de la flèche 7 sur la fig . 6, et la fig. 7A est- une vue de détail par la ligne 7A-7A en fig. 7.
La fig. 8 est une vue en plan du dispositif de mise sous tension de la machine.
La fig. 9 est une vue en' élévation de l'avant de ce dispositif.
La fig. 10 est une vue en coupe par .la ligne 10-10 en fi g. 9k,
La fig, 11 est une vue en plan du dispositif servant à maintenir, à sertir et à sectionner le feuillard,
La fig. 12 est une vue d'extrémité en regardant dans la direction de la flèche 12 sur la fig, 11
La fige 13 est une vue en coupe par la ligne 13-13 en fig 12.'
La fig, 14 est une 'vue an coupe par la ligne 14-14 en fig. 13.
La fig, 15 est une vue en coupe par la ligne 15-15 en fige 11.
La fig. 16 est une vue en coupe par la ligne 16-16 en fige 11.
La fig. 17 montre l'extrémité opposée du même dispositif en regardant dans le même sens que sur la fig, 13, ce dispositif étant modifié par l'incorporation, dans le guide d'alignement latéral, d'une électrode de soudage servant à réaliser une liaison supplémentaire.
La fig, 18 est une vue en coupe analogue à la fig, 16, par la ligne 18-18 en fig, 17..
Dans la machine représentée, le colis ou paquet est supporté de la manière usuelle sur une table ou plate-forme ' 10, à l'intérieur'd'un guide 11 de foumation d'une boucle et au-dessus du dispositif 12, qui est encastré dans le bord' avant de cette table et qui comprend, dans le plan de cerclage,
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la pince de retenue 13 disposée du côté de deux matrices de sectionnement inférieures 14 et 15 dirigé vers le dispositif d'amenée, la matrice 15 étant étudiée afin d'assurer le sectionnement du feuillard en combinai son'avec' la lame de'cisaillement 16, et un guide d'alignement 17 pouvant s'effacer latéralement, ainsi qu'une butée terminale 18, prévue du côté opposé des matrices, il est prévu également dans le plan de cerclage,
du'côté du dispositif 12 correspondant à la pince 13, un galet 19 d'amenée du feuillard, muni d'une rainure périphérique, contre lequel le feuillard provenant du dispositif fournisseur est .normalement appliqué par friction de. façon constante, par un galet de pression supérieur 20, qui est toutefois étudié de manière à être soulevé à la main au moyen d'un levier 12 par exemple quand cela est nécessaire pour l'introduction ou pour le réglage longitudinal du feuillard.
Il est prévu entre .le dispositif d'amenée et le dispositif 12 une pince 22 de mise sous unetension finale, qui normalement demeure ouverte pour permettre le passage du feuillard à travers' . elle dans l'un et l'autre sens sous l'influence du dispositif d'amenée, mais qui, lorsqu'elle est déplacée vers ce dernier, se referme sur le feuillard en assurant ainsi une mise sous tension dans cette 'direction.
Si¯l'on se reporte à la fig. 4, on voit qu'au début - d'un cycle de travail, -le feuillard qui est demeuré dans la machine lors du cycle précédente et dont l'extrémité sectionnée (partie SI) se trouve sous la lame 16, s'étend entre cette lame et le dispositif fournisseur, en passant entre les galets d'amenés 19 et 20, et en traversant librement la pince de mise sous tension 22 et l'oieilleton
13a de la pince de retenue ouverte !3.
Le dispositif d'amenée est alors actionné vers l'avant., afin de déplacer
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1'extrémité du. feuillard au-dessus des deux matrices de sertissage 14 et 15, qui sont toutes deux abaissées, et, au-dessous de la matrice supérieure fixe 'avec laquelle elles peuvent coopérer, jusqu'au delà du guide d'alignement
17 et de la butée terminale 18, cette dernière devant demeurer dans une position d'effacement à ce moment, puis autour du guide de formation de la boucle 11, pour revenir au dispositif, en formant la partie S2 du feuillard, qui pénètre dans la pince 13 et qui passe au-dessus de la lame 16, et'ainsi au-dessus des matrices de sertissage, pour parvenir enfin à la butée 18,
laquelle-estrevenue dans l'intervalle à sa position de travail La pince 13 se referme sur la partie S2 du feuillard immédiatement après que l'extrémité de celui-ci a atteint cette butée, et le mouvement d'avance du dispositif d'amenée est simultanément interrompu. Ce dispositif d'amenée est ensuite entraîné en sens inverse, et le feuillard s'écarte par suite du guide 11 pour être resserré sur le colis, avec' 'une tension 'initiale dont la valeur est déterminée par un ' dispositif d'accouplement qui sera décrit plus loin, prévu dans la commande du galet d'amenée 19, cette opération étant suivie par une mise sous tension finale du feuillard dans ' le même sens, au moyen de la pince 22, dans la mesure nécessaire. montée La matrice de sertissage 14 du côté opposé au dispositif .
d'amenée est alors soulevée pour être appliquée contre les ,parties se chevauchant du feuillard, la partie S1 supportant la tension totale appliquée à la boucle, et ,la partie S2 faisant librement' saillie au delà de la pince 13 Après .que ,les parties ont été ainsi attaquées par la matrice 14, au moins dans une mesure suffisante'pour assurer leur maintien, la matrice de sertissage 15 visine du dispositif d'amenée est .
soulevée tuut d'abord pour sectionner la partie -SI,
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en combinaison avec la lame 16, puis pour attaquer les deux parties superposées, ,cette partie S2 supportant maintenant une tension qui est de préférence celle existant dans l'ensemble de la boucle après la réouverture de la pince 13, immédiatement après que les parties ont été maintenues par , la matrice 24' tandis que la partie SI fraîchement-sectionnée s'étend librement à partir de cette matrice, qui a, dans l'intervalle, complété sà course de sertissage.
Finalement, ' après le retrait du guide 17 et de la butée 18 et labais= ' sèment des deux matrices 14 et 15, ce qui termine le cycle de travail, la boucle sertie peut être dégagée vers l'avant de la machine, de sorte qu'il demeure dans celle-ci un brin .
' de feuillard Sl pouvant être déplacé au début du cycle suivant.
Quand une liaison par soudage supplémentaire est nécessaire et que le guide d'alignement 17 comprend à cet effet une électrode, ce guide subit un second déplacement vers le haut pour amener cette électrode dans une position ;de coopération avec les parties superposées du feuillard.
Quand le jonctionnement est du type précité, utilisant des incisions épaulées exigeant un léger déplacement longitudinal relatif entre les parties du feuillard sous l'influence de, . la tension régnant dans la boucle, il est nécessaire que l'abaissement des matrices 14 et 15 soit suffisant pour libérer ces parties en vue de ce déplacement relatif, afin que celui-ci se produise avant la seconde course vers le haut du guide 17, pour que le jonctionnement principal soit réalisé complètement avant cette liaison par soudage qui, autrement, empêcherait bien entendu ce mouvement relatif des parties du feuillard.
Ce fonctionnement de la machine est assuré d'une manière entièrement aromatique par un moteur 24 qui entrai
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des poulies montées sur un arbre intermédiaire 25 (par lequel le mécanisme précité servant à fournir le feuillard à partir d'une bobine fournisseuse 26, à travers un collecteur 2,7, sous.
l'influence d'un contre-poids 28, est actionné)(une poulie 29 montée sur l'arbre de commande principal 30 de la machine, qui s'étend¯ transversalement au plan de cerclage et qui tourne ainsi de façon continue, Cet arbre de commande , est utilisé en outre pour l'entraînement en rotation de l'arbre à cames principal 31, qui s'étend parallèlement au .plan de cerclage, à raison d'une rotationpendant chaque cycle de travail de 'la machine, par l'intermédiaire d'une vis sans fin 32 et d'un embrayage positif 33 de type approprié assurant un entraînement sur 360 , comme cela est usuel sur .
les machines du type considérée et dont le fonctionnement est déclenché par 1-'opérateur', par exemple au moyen de la pédale
34, par une timonerie appropriée 35.
L'arbreporte égalementdes pignons 36 et 37 clavetés sur lui, servant à entraîner le galet d'amenée 19 de la manière suivante, décrite en regard des figs. 5 à 7.
Ce galet est monté fou au milieu d'un arbre fixe 38, qui est parallèleà l'arbre 30, par un roulement 39. De chaque côté de celui-ci, le même'arbre porte deux éléments d'accouplement
40 et 41, qui sont étudiés de manière à attaquerles faces latérales opposées de ce galet par friction, afin de provoquer un mouvement du feuillard vers l'avant et vers l'arrière. Chacun de ces éléments d'accouplement est monté sur un manchon de support 42, 43 par un roulement 44, 45, ces supports pouvant coulisser le long de cet arbre avec les éléments d'aaccouplement conjugués. Ces derniers portent des dentures externes-.
La denture 46 de Isolément 40 .engrène avec le pignon 36, 'de manière à être entraînée constamment en rotation en liens opposé par rapport à l'arbre de commande
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30, et la denture 47 de Isolément 41 engrène avec le pignon
37 par l'intermédiaire d'un pignon monté fou 48, de, manière à être entraînée constamment en rotation dans le même sens que l'arbre 30.. Les dents des pignons 36 et 48 sont nettement plus longues que les dents 46 et afin que les dentures demeurent constamment en prise malgré le mouvement axial des éléments d'accouplement 40 et 41 et de leurs supports.
Ce mouvement des éléments se produit simultanément dans chaque sens, afin d'amener l'un ou l'autre d'entre eux en contact ,par friction avec le galet !19, ou pour les amener tous deux dans la position de repos ou neutre, comme montré, sous l'influence dune came'à deux levées 49 portée par l'arbre cames principal 31. A cet effet, chacun des manchons de support est, relié par des tourillons 50, 51 à l'extrémité supérieure d'une chape 52, 53 dont l'extrémité inférieure est montée sur un pivot fixe 52a, 53a ces chapes étant , reliées par une biellette 54, de sorte que la came 49 est capable de faire basculer simultanément les deux chapes, , comme cela est nécessaire, par l'intermédiaire du galet palpeur 55, et malgré la force du ressort de rappel 56,
ce qui assure la coopération de l'élément d'accouplement 41 avec le galet 19. Par ailleurs, lors de l'attaque de l'élément d'accouplement 40 par le galet 19, par poussée directe de cette came, il est désirable de prévoir des organes servant à introduire une élasticité supplémentaire réglable, le support 42 de cet élément étant à cet effet formé de deux par= . ties, comme cela est miaux visible sur la fig.
7A, la première partie 42a par-laquelle le roulement 44 de cet élément est porté étant soumise à une sollicitation axiale par rapport à . la seconde partie' 42b,, à laquelle la chape 52 est', reliée, au .moyen des ressorts 42c,
L'arbre à carnet principal 31 porte ensuite, après
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la came de commande d'amenée 41, .une came 57 munie d'une rainure périphérique 57a servant actionner la pince de mise sous tension 22 par l'intermßdiare d'un bras 58 basculant dans le plan horizontal, conjugué à un galet 58a coopérant avec cette rainure, l'extrémité avant de ce bras formant une fourchette, comme montré en 59,
afin de coopérer avec un axe dirigé vers le bas à partir dune extrémité d'un manchon 61, qui est ainsi repoussé positivement par la came vers le dispositif d'amenée (c'est-à-dire vers la droite en regardant les figs. 8 et 9) pour la mise sous tension. Ce manchon peut ainsi 'coulisser le long d'un arbre fixe 62, qui.est parallèle au feuillard et qui porte également le taquet de retenue principal 63, lequel peut, de mène, coulisser- sous l'influnece de la poussée exercée par .le manchon (31, agissant par l'intermédiaire d'un ressort hélicoïdal puissant 64, dont la compression limite la valeur de la tension appliquée.
La partie S1 du feuillard traverse la pince en provenance du. dispositif démenée, en passant le long de la gouttière 65, sous la mâchoire supérieure 66 du taquet 63, 'contre lequel elle peut être appliquée par la mâchoire excentrée inférieure montée à pivotement dans ce taquet.
Cette mâchoire . inférieure.est normalement maintenue en position'ouverte ¯quand la-pince 22 est au repos, par butée d'un talon 68 de cette mâchoire contre une butée 69 afin de permettre le libre passage du feuillard dans les deux sens sous l'influence du dispositif d'amenée, comme cela est nécessaire, Toutefois, quand la pince se ferme sous l'effet de la course de mise sous tension .du taquet 63, ce talon 68 s'écarte de cette butée) en. permettant à la mâchoire 67 de se fermer sous l'influence du ressort 70.
Pendent cette-course,deux cliquets montés 'sur. ce'talon chevauchent une crémaillère
72 avec laquelle ils sont amenés en prise, avec un pas
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correspondait à un demie entre-dent, cette venue en prise s'effectuant sous l'influence de ressorts 73, qui sont pins faibles que le ressort %, de manière à ne'pas tendre à ouvrir de nouveau la mâchoire 67 à ce moment. Toutefois, ,pendant la course de retour du .bras 58 et pendant la course de retour correspondante du taquet 63 à la suite.'de la mise sous tension, les cliquets viennent attaquer les faces abruptes des dents de la crémaillère,
ce qui surmonte ainsi la force du ressort 70 et qui provoque une ouverture positive partielle de la mâchoire dans une mesure suffisante pour permettre le libre mouvement de retour de la pince 22 le long de cette partie du feuillard, jusque ce que, finalement, cette pince s'ouvre complètement contre la butée
Au delà de la came 57 prévue à l'extrémité opposée de Marbre à cames principal 31 par rapport à l'accouplement 33, cet arbre porte les engrenages nécessaires pour actionner le dispositif servant à maintenir, à sertir et à sectionner le feuillard, que l'on 'décrira maintenant en regard des figs.
13 à 16. Ces engrenages comprennent tout d'abord un pignon droit 74 claveté sur cet arbre et engrenant avec un pignon analogue 75 claveté sur un arbre à cames auxiliaire 73, qui traverse ce dispositif dans une direction parallèle à l'arbre 31 et qui, de même que ce dernier, effectue pour chaque cycle de travail une révolution complète pendant laquelle il actionne la pince de retenue voisine 13 et le guide d'alignés:
ment latéral opposé 17, ainsi que la butée terminale 18. 'ce train d'engrenages comprend également un' secteur denté 77, qui est également claveté sur l'arbre 31'et qui est étudia de manière à venir attaquer., pendant une partie seulement de ce cycle, un pignon droit 78 monté fou sur l'acre 76 et engrenant, constamment avec un autre pingon droit, 79 clavceté
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sa;
, un arbre vilebrequin ou à excentriques 80, traversait. le dispositif parallèlement à l'arbre 76, en vue d'actionner les deux matrices de sertissage 14 et 15, la coopération du secteur 77 avec le pignon 78 étant telle quelle provoque à cet effet une révolution complète de l'arbre 80 au moment approprié. la pince 13 se présente sous la forme d'un. poussoir sollicite ,normalement vers.
le .bas, c'est-à-dire dans une position d'ouverture de cette pince, par un ressort 81, en opposition avec lequel 'ce poussoir est soulevé à la manière d'un linguet, par l'intermédiaire d'un culbuteur 82 dont le' galet 83 coopère avec une came 84 portée par l'arbre 76, une élasticité étant introduite, lors de la fermeturevers le haut de la pince de cette manière contre la plaque conjuguée 85., par un ressort intérieur 86 Comme déjà indiqué, ' cette pinceest montée de préférence de manière à s'ouvrir de nouveau dès que la partie S2 du feullard est maintenue 'par la matrice 14,
bien que cette ouverture puisse être 'retardée jusque la fin du cycle de travail. Le guide 17 se présente de même sous la forme d'un poussoir actionné en antagonisme à la force du ressort par lequel il est . rappelé normalement en arrière, par un culbuteur 88 dont le . galet palpeur- 89 coopère avec une came 90 montée sur 1-*arbre à cames. Lors da réglage de ce guide, la particularité dont on doit 'tenir compte est son rappel (voir la fig. 16) à la fin du cycle de travail, afin de permettre le dégagement du.colis cerclé.
Toutefois, étant donn6 qu'il est Judicieux égalementd'utiliser la face active 91 de ce guide pour - diriger l'extrémité libre du feuillard vers le guide 11 de formation de la boucle,, il est préférable que cette face parvienne dans la position de travail quand cette extrémité se rapproche, après son premier passage au-dessus des matrice
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14 et 15.
En ce qui concerne 'la butée 18, il est essentiel quelle soit effacée quand cela est nécessaire pour permettre le passage initial du feuillard, et qu'elle soit amenée dans sa position de travail lors dusecond passage de ce feuillard, c'est-à-dire d'une façon à peu Près simultanée au soulèvement de la pince. 13, L'actionnement de la butée de la manière, indiquée est assuré par' la Came 92, portée par'l'arbre 76, par 1 intermédiaire du galet porté par le culbuteur 94, et malgré la résistance 'du'ressort 95.
Les matrices 14 et,15 sont disposées au voisinage immédiat l'une de l'autre et peuvent venir s'adapter contre les parties superposées du feuillard (en sectionnant la partie SI par coopération avec la lame 16 dans le cas de la matrice IL,5) et elles'sont ensuite rappelées, en arrière dans l'ordre décrit précédemment, par les excentriques conjugués 96,97 portés par l'arbre 80 par les bielles 98 et 99.
Quand le guide comprend une,électrode 100 servant à réaliser une.liaison supplémentaire, comme montré sur les figs. 17 et 18, le poussoir 17a du guide est en matière isolante, et il est constitué par un manchon ou fourreau entourant cette électrode, dont la pointe fait saillie par - rapport à ce manchon sous l'influence d'un ressort intérieur Une came de commande 90a à deux levées est utilisée dans ce cas sur l'arbre 76 afin de soulever une première fois le manchon 17a de la manière déjà décrite, pour 1?amener dans une position lui permettant de remplir sa première fonction, après quoi,
à un moment qui est déterminé de manière à suivre l'abaissement des matrices 14 et 15 dans une.mesure suffisante pour libérer-les parties du feuillard en vue de' leur application l'une contre l'autre par leurs épaulements. ce manchon ou fourreau est soulevé de nouveau pour amener ' -
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l'électrode 100 dans une position de soudure contre les parties précitées, afin quelle coopère avec l'électrode supérieure fixe 102, après quoi le poussoir 17a est rappelé complètement en arrière.
.Pour-obtenir un'fonctionnement convenable de la machine, il est nécessaire que la partie SI du feuillard ne soit pas déplacée longitudinalement après le .sectionnement, mais que son extrémité demeure au.'point de sectionnement.
Autrement, la distance sur laquelle le feuillard est entraîné vers l'avant, qui est déterminée par la durée d'embrayage de Isolément daccouplement 40 avec le galet 19 sous l'influence de la came en fonction de la longueur du guide 11, s'effectue au hasard au cours de cycles de travail successifs.
Afin d'empêcher cette extrémité d'être rappelée en arrière à la suite du sectionnement, le mouvement d'entraînement en sens inverse assuré par.la coopération de l'autre élément d'accouplement 41 avec ce galet doit, par-suite, être terminé (c'est-à-dire que les éléments d'accouplement doivent être revenus à une position de repos) avant que cette partie SI ne soit sectionnée par la matrice 15, et également avant qu'elle " soit libérée par la pince 22.
Dans cette position de repos, le dispositif d'amenée est capable de maintenir le feuillard d'une façon: suffisamment ferme pour'éviter tout risque d'entraînement du feuillard avec cette pince quand celle-ci est partiellement ouverte.
Etant donné que le mouvement de retour de la pince le long du feuillard (sous l'influence du basculement en retour du bras 58 et de l'engrènement positif, dans ce sens des dents
71 avec la crémaillère 72) est incapable de provoquer un glissement indésirable vers l'avant de l'extrémité sectionnée, on peut de même, sans 'difficulté, empêcher un déplacement vers 3.'arrière, de cette dernière (tel que celui qui pourrait
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résulter de la libération brusque de la compression pouvant être présente dans le ressort;
64 si le sectionnement se produisait alors que cette pince est encore fermée sur le feuillard) en retardant le sectionnement jusqu'après la réouverture de la pince (par le début du basculement en retour du bras 58) de sorte que la pince est ainsi tout' d'abord libérée, afin de pouvoir se déplacer lelong du . feuillard dans le sens de arise sous tension (étant donné que la nature de la coopération entre les dents 71 et la crémaillère 72 permet un mouvement dans ce sens quand la bande n'est pas sous tension) dans une mesure exigée par. l'expansion de ce ressort à sa longueur normale, avant ce mouvement de retour de la pince, alors que le basculement en retour du bras 58 est encore en train de s'effectuer.
Que.la réouverture de la pince 22 précède ou non le section= nement, il est préférable que l'entraînement en sens inverse , se poursuive jusque ce ,que cette réouverture se produise (à condition qu'il soit définitivement interrompu avant le -sectionnement quand ce dernier suit la réouverture) afin 'd'éviter toute formation d'une légère boucle de Feuillard entre le dispositif d'amenée et cette pince (quand celle-ci est, fermée pendant la mise sous tension.) comme cela pourrait se produire si le dispositif d'amenée se trouvait alors à wne position de repos, ce qui pourrait aboutir à une modification de la distance sur laquelle l'extrémité sectionnée fait saillie au cours de cycles successifs.
Les détails de réalisation peuvent être modifiés, dans le domaine des équivalences techniques, sans s'écarter de l'invention,