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Dans le brevet principal n 545*846,il est décrit un étançon métallique de section transversale circulaire et qui est blocable dans son extension en hauteur au moyen d'un galet de profil spécial logé dans un étrier latéral au fût et dont l'axe est maintenu en position horizontale entre une clavette supérieure et une clavette inférieure.
La présente invention est relative à des perfectionnements à 1l'etancon métallique du type susdit.Ceux-ci ont pour objet de réaliser un soutènement et une construction plus efficaces.
A cet effet,le fût fixe et le montant mobile,tous deux à sections cylindriques sont remplacés,d'une part par un fût fixe et d'autre part par un montant mobile,tous deux de forme rectangulaire, permettant au galet cylindrique,lo-
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, gé danslétrier du fût de presser selon une génératrice entière et normalement au plan vertical de la partie coulissante et d'obtenir ainsi une augmentation considérable de résistance au coulissement.
. En enfonçant la clavette supérieure,on provoque une pression sur le galet et on amorce et amplifie ainsi l'effet de coinçage automatique à une pression élevée qui est fonction de l'inclinaison de l'étrier ainsi que de la résistance au- frottement et au roulement,ceci selon la nature des métaux mis en oeuvre.
D'autre part,la clavette inférieure,par sa position établie,lors du montage,permet de dégager le galet et de régler progressivement la hauteur du coulissement demandée.
Une forme rectangulaire du fût et du montant permet une construction en matériaux appropriés et notamment par profilés convenablement soudés.Ce dernier genre de construction met en oeuvre des matériaux de résistance appropriés,de grande sécurité et de qualité métallographique connue et contrôlable.
De même que dans ltinvention de base n 545.846,une forme de réalisation avantageuse rend possible l'exécution du mon-, tant mobile en le surmontant d'un chapeau comportant un deuxième montant ou tube coulissable sur le premier.Dans ce cas, le deuxième montant coulissable et le premier montant coulissable présentent des ouvertures opposées et appropriées à l'insertion d'une clavette permettant d'ajuster,en gros,la hauteur du chapeau par rapport au premier montant coulissable.Ceci permet de placer le sommet du chapeau dans les environs immédiats du plafond'qu'il doit supporter.
Les détails et particularités de la présente invention apparaîtront plus clairement d'un exemple de réalisation
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d'un étahçon métallique dont la description est donnée ci-après,à titre non limitatif et avec référence aux dessins annexés dans lesquels : @
La figure I est une coupe verticale partielle de l'étan- çôn selon A.B. de la figure 2;
La figure 2 est une coupe partielle selon la ligne D.C. de la figure I;
La figure 3 est une coupe selon la ligne brisée E.F.G.H. de la figure I;
-L'étançon métallique représenté comporte un pied I dont est solidaire un fût à section rectangulaire 2 dans lequel est susceptible de coulisser un montant 3 également à section rectangulaire et emboîté à sa partie supérieure dans un cha- peau non figuré mais faisant corps amovible avec lui.
Le fût 2 est solidaire d'un étrier-boîtier formé de deux flasques latérales et parallèles dont les faces font corps avec la partie supérieure du fût 2.Ces flasques sont reliées entre elles par une paroi inclinée 7 faisant avec l'axe de l'étançon un angle a.De préférence,! 'étrier-boîtier 7 est fermé à sa partie supérieure par une plaque.Celle-ci est dans l'exemple représenté de niveau avec le bord supérieur du fût 2.
Intérieurement à l'étrier-boîtier 7,le fût 2 est ouvert de manière à dégager le montant mobile 3.
Le boîtier 7 renferme un galet 12 dont l'axe a tendance naturelle à se maintenir en position horizontale.Le galet est capable de se déplacer librement entre les flasques latérales de l'étrier-bottier.On comprend que par gravité,le galet 12 aura donc tendance à descendre le long de la paroi inclinée 7 et à se coincer entre celle-ci et le montant mobile 3,pour presser ce dernier contre la paroi opposée du fût 2 et à le maintenir ainsi dans une position de hauteur réglable.
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Pour dégager le galet 12 et libérer le montant mobile 3, on utilise,de façon connue,une clavette de déblocage 13 pas- sant sous le galet 12.Cette clavette est engagée dans des ou- vertures opposées,appropriées et ménagées dans les flasques latérales de l'étrier-boîtier 7.Par l'enfoncement de la cla- vette de déblocage 13,le galet 12 est repoussé vers le haut et cesse de presser le montant mobile 3 contre le fût 2. A ses extrémités,la clavette de déblocage 13 est pourvue de bu- tées prohibant sa sortie des ouvertures ménagées dans les flas- ques.Ces butées sont conditionnées de manière à permettre le calage aisé,par exemple, à coups de marteau.
La friction du montant 3 contre le fût 2 et la position rigoureusement verticale et coulissante du premier par rap- port au second sont assurées automatiquement selon un coeffi- cient de frottement particulièrement favorable.
Ainsi qu'il ressort de ce qui précède,dans l'étançon selon l'invention, la position en hauteur du montant mobile 3 est assurée directement ou indirectement selon une surface et deux arrêtes du galet.
Selon l'invention pour accentuer lthorizontalité permanen- te de l'axe du galet 12,lorsque celui-ci se trouve en positi- on de blocage,on prévoit une clavette de blocage 20,à bord inférieur horizontal. Celui-ci passe au-dessus du galet 12 qu'il presse vers le bas et est retenu par ailleurs dans les ouvertures appropriées ménagées dans des flasques latérales de l'étrier-boîtier 7.
Par 1'enfoncement de la clavette de blocage 20,1e coinça- ge du galet 12 se trouve anorcé et puis renforcé par suite de l'inclinaison de la paroi 7.11 n'y aura en conséquence aucune tandenes au basculement du galet 12 qui restera par- faitement horizontal en assurant un contact parfait avec le montant obile 5.
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Etant caries que la clavette 20 peut être maintenue à de- meure dans l'étrier-boïtier, ses extrémités comportent également des butcs organisées pour en permettre le dégagement et 1'engagement,éventuellement à coups de marteau. bur libérer le montant mobile 3,on desserre la clavette @ blocage 20,puis on enfonce la clavette de déblocage 13 qui soulève le galet 12.
Avantageusementet pour permettre l'écoulement des eaux qui se seraient introduites dans le fût 2, celui-ci comporte . sa partie inférieure des trous 26,à proximité du pied I.
Il est bien entendu que l'in ntion n'est nullement limitée à la forme de réalisation décrite ci-avant en se référant aux dessins annexés,et que des modifications pourraient y être apportées, pourvu qu'elles ne soient pas en contradiction avec l'une ou l'autre des revendications subséquentes.
REVENDICATIONS I.-Etançon métallique composé notamment d'un montant à section rectangulaire coulissable dans un fût également à section rectangulaire et ouvert en regard d'un étrier-boîtier qu'il supporte et qui présente une paroi inclinée vers le bas et opposée au montant mobile,d'un galet dont l'axe se trouve être maintenu horizontal pour le blocage à volonté en hauteur du montant mobile contre le fût,par son coincement entre le montant mobile et la paroi inclinée vers le bas,et d'une clavette ou analogue inférieure au galet pour le dégagement, caractérisé en ce que le galet de forme cylindrique prend appui contre la paroi inclinée et celle du montant coulissant.