Ainsi que montré dans la figure.13, le transporteur C
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est monté sur un galet fou postérieur 6et sur un galet froubal conduit 9 qui ont des axes latéraux horizontaux. Ce galet conduit 9 tourne de manière intermittente dans la marne direction par pulsations angulaires égales respectives dune l'angle peut être réglé afin d'alimenter la bande supérieure 7 vers l'avant et longitudinalement vers les aiguilles 3 et 4 en courses intermittentes vers l'avant, de longueurs choisies égales. Lorsque le galet 9 se trouve placé comme dans la figure 17, il tourne de manière intermittente dans le sens des aiguilles d'une montre.
Cela peut se faire au moyen de divers mécanismes bien connus en eux-mêmes.
Ainsi que montré dans la figure 14, le galet conduit 9 présente des nervures latérales dans la direction de son arbre horizontal 10 disposé latéralement. Ainsi que montré dans la figure 13, l'arbre 10 peut tourner dans des tourillons fixés aux parois verticales de l'enveloppe 21. Le g&let 9 est fixé à l'arbre latéral 10. Cela peut se faire par une ou plusieurs vis de pression 11 montrées dans la figure 16, qui sont disposées dans des enfoncements radiaux du galet conduit 9.
Ainsi que montré dans la figure 16, chaque face d'extrémité du galet conduit 9 présente un enfoncement d'extrémité axial ou latéral de forme cylindrique.
Un enfoncement cylindrique d'extrémité du galet 9 possède un organe d'actionnement que l'on fait osciller en pulsations alternées et opposées, actives et inuctives. Cet organe d'actionnement engage le galet 9 et le fait tourner dans les pulsations actives du dit organe d'actionnement, et celui-ci libère le galet 9 dans les courses inactives de sens opposé de l'organe d'actionnement, de sorte que le galet 9 tourne de manière intermittente en une seule direction.
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Tous noyons conventionnels peuvent, être employés dans ce ant
Dans ce mode de réalisation et sans une l'invention y solt limitée, l'organe d'actionnement consiste en une plaque 12 en organes d'embrayage en une seule direction.
Comme matré dans la figure 17, lorsque la plaque 12 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, ses organes d'embrayage engagent la périphérie cylindrique interne de 1 enfoncement d'extrémité respectif du galet 9, en faisant ainsi tourner ce palet 9 d'un angle choirs dans le sens des aiguilles d'une montre à l'unisson avec la plaque 12 comme montré dans la figure 17.
Lorsque la plaque 12 tourne dans le sens opposé à celui des aiguilles d'une montre, comme montré dans la figure 17, les dits organes d'embrayage à une seule direction libèrent le galet 9 qui reste fixe lorsque la plaque 12 est; ainsi tournée, de sorte que le galet 9 ne tourne de manière intermittente que dans la direction des aiguilles d'une montre, comme montré dans la figure 17.
La plaque 12 est montée de Manière lâche sur l'arbre 10 de sorte que la plaque 12 peut tourner librement vers l'arrière et vers .L'avant par rapport à l'arbre 10.
La plaque 12 présente une série de parois ou faces planaires horizontales et latérales 15. Un galet d'embrayage 14 qui peut tourner autour de son axe horizontal et latéral par rapport à la face respective 15, vient buter de manière mobile et à rotation contre chaque face 15. Chaque galet d'embrayage 14 est associé à un piston 16 qui s'engagea glis- sement dans un alésage respectif de la plaque 12. Chaque piston 16 est situé dans le sens opposé à celui des aiguilles d'une montre par rapport à son galet Il+ lorsqu'il se trouve dans la position de la figure 17. Chaque piston 16 est associé
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à un ressort de compression 17.
Les ressorts de compression
17 obligent les pistons 16 à forcer lef. galets d'embrayage 14 le long de leurs parois ou faces planaires respectives 15 vers les extrémités étroites des espaces prévus entre les faces 15 et la périphérie cylindrique interne respective des enfoncements d'extrémité respectifs du galet 9. Par con- séquent, les galets d'embrayage 14 engagent la périphérie cylindrique.interne d'un enfoncement d'extrémité du galet conduit 9 afin de faire tourner ce galet conduit 9 à l'unisson avec la plaque 12 lorsque cette plaque 12 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, comme montré dans la figure 17.
Lorsque la plaque 12 tourne dans le sens opposé à celui des aiguilles d'une montre, comme montré dans la figure 17, les galets d'embrayage rotatifs 14 tournent autour de leurs axes respectifs et glissent par rapport au galets conduits 9 et ne font pas tourner le galet 9 vers l'arrière.
La plaque 12 est fixée à un disque ou plaque 18 au moyen de vis 20, de sorte que la plaque 18 oscille à l'unisson avec la plaque 12. La plaque -10 est également montée de manière lâche sur l'arbre 10.
Ainsi que montré dans la figure 16, l'une des extrémités d'une bielle 22 est connectée à articulation sur la plaque¯18.
Cela se fait au moyen d'une vis pivotante 23 ayant un fût cylindrique lisse qui vient s'adapter dans un alésage cylin- - drique lisse de la bielle 22. La vis 23 est fixée'sur la plaque 18. La figure 13 montre une encoche arquée 112 prévue dans une paroi verticale de l'enveloppe 21 par laquelle passe lé fût cylindrique pivotant de la vis 23. Cette vis 23 se meut vers l'avant et vers l'arrière dans la dite encoche
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arquée 112.
Ainsi que montré dans la figura 13,l'autre extrémité de la bielle 22 est fixée de manière réglable et amovible sur une tige 23 au moyen de filetages coopérants . L'une des extrémités de la tige 24 présente une bille 24a qui s'adapte à rotation dans un socle sphérique prévu à l'une des extrémités d'une tête 25 pour former un accouplement à joint universel. L'axe vertical de la sphère 24a coïncide avec l'axe vertical de la cheville pivotante 110, autour de laquelle l'enveloppe 21 peut tourner.
Par conséquent, l'enveloppe 21 et son transporteur 0 peuvent tourner autour d'un axe vertical commun de la sphère 24a et de la chevilla pivotante 110, pour venir se placer dans la position illustrée dans la figure 12, sans libérer la tige 24 de la tête 25. Cela fournit un moyen très avantageux d'avoir accès à la machine à coudre S chaque fois qu'on- le désire. Il n'est pas nécessai- re de déconnecter le mécanisme moteur du transporteur pour -faire tourner l'enveloppe 21 autour de l'axe vertical commun, La connexion par joint universel entre la tige 24a et la tête 25 permet également à la bielle 22 de tourner par rapport à la tête 25 lorsque la bielle 22 est actionnée, tandis que le transporteur C se trouve dans la position opérante de la figure 1.
L'autre extrémité de la tête 25 est connectée à rotation à une cheville pivotante 26, qui est située de manière réglable dans une encoche 27 d'une plaque 28, Après avoir réglé la cheville pivotante 26 dans une position choisie dans l'encoche 27, la cheville 26 peut être tenue de manière amovible dans sa position réglée dans l'encoche 27 par tous moyens conventionnels.
Ainsi, la cheville 26 peut être serrée dans sa
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position réglée choisie dans l'encoche 27, puisque la tête 25 peut tourner par rapport à la cheville pivotante 26.
Ainsi que montré dans la figure 2, .l'extrémité inférieure de la plaque 28 est connectée par un pivot 108 à l'une des extrémités d'une tige ou bielle 107, dont l'autre extrémité est connectée par le pivot 109a au châssis de la machine. Un peut ainsi faire osciller la plaque 28 autour du pivot 108, en actionnant ainsi la bielle 22 vers l'avant et vers l'arrière, et en faisant ainsi osciller la plaque 12 et le galet 9 à l'unisson pour actionner la bande supérieure 7 du ,transporteur C vers l'avant vers le poste de couture par pulsations ou courses d'alimentation de . longueur réglée, déterminée par le réglage de la cheville 26 dans l'encoche 27.
La plaque 28 est oscillée autour de son pivot 108 au moyen d'une bielle ou tige 105.
Ainsi que montré dans les figures 2,5 et 13, la plaque 28 est connectée par une cheville pivotante 29 à l'une des extrémités de la dite bielle ou tige 105, dont l'autre extrémité est articulée par une cheville pivotante
106 au bras basculant 30 montré dans les figures 2 et 5.
Ainsi que montré dans la figure 2, la cheville pivotante
106 est réglable dans une encoche 104 de la.tête solidaire
103 du bras basculant 30, ce qui fournit des moyens supplémentaires de réglage de la course de C. La cheville pivotante 106 est maintenue dans sa position réglée par des moyens conventionnels. Ainsi que montré dans la figure 2, le bras basculant 30 peut tourner autour d'une cheville pivotante 31 fixée au châssis F de la machine à coudre S.
A l'une de ses extrémités, le bras basculant 30 est connecté
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par une cheville pivotante 32 à une tige 33 qui est solidaire de la bande excentrique respective usuelle ou manchon 5a qui s'adapte sur l'un des excentriques E fixés sur l'arbre principal 5 de la machine à coudre S. L'excentrique E et son manchon ou bande 5a agissent de manière à actionner les tiges 30 et à l'aire basculer le bras 30 autour d'un pivot 31, en action- nant ainsi la bielle 105 dans une course alternative de longueur choisie. Comme mentionné ci-dessus, le pivot 29 de la plaque 28 est connecté à l'extrémité adjacente de la tige ou bielle 105 de telle sorte que la oielle 105 fait osciller la plaque 28, en actionnant ainsi la bielle 22, le galet 9 et le transporteur C.
Les bras 30 et la bielle 105 font ainsi osciller ou basculer la plaque 28 autour de l'axe de la cheville pivotante 108, en actionnant ainsi la tête 25 et la bielle 22 pour faire osciller la plaque 12 et le galet 9 et faire actionner la bande supérieure 7 du transporteur C en courses d'alimentation intermittentes vers l'avant, vers la machine à coudre S.
L'autre enfoncement d'extrémité cylindrique du galet conduit 9 présente une imité de freinage qui empêche la rotation en sens opposé du galet 9, de sorte que la bande supérieure 7 de la courroie C n'est actionnée que vers l'avant. Cette direction en sens opposé; est opposée à la rotation des aiguilles d'une montre, comme montré dans la figure 17.
Cette unité de freinage comprend une plaque-qui est identique à la plaque 12, et des galets de freinage 14a qui sont identiques aux galets d'embrayage 14. La dite unité de freinage présente également des pistons 16 et des ressorts de compression 17. La plaque de l'unité de freinage est . le
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à une plaque associée 18a qui est fixée sur la paroi verti- cale respective de l'enveloppe 21 par une ou plusieurs vis 115 montrées dans la figure 16.
Comme montré dans la figure 17, les positions des galets de freinage 14a et de leurs pistons et des surfaces planaires de la plaque de la dite unité de freinage, sont renversées par rapport aux positions de ces éléments dans l'organe d'actionnement du galet 9.
Dès lors, l'unité de freinage permet aux galets 9 de tourner dans la. direction choisie ou d'alimentation, et empêche la rotation en sens inverse du galet 9. Comme mentionné ci-dessus, il existe de nombreux mécanismes bien connus, pour faire tourner le galet conduit 9 en courses intermittentes d'angle choisi en une seule direction, et on peut employer n'importe lequel de ces mécanismes.
Ainsi que montré dans la figure 1, une échelle longi- tudinale de longueur 43 est fixée à chaque paroi verticale de l'enveloppe 21.
Ainsi que montré dans la figure 14, une plaque rigide 40 en forme de U renversé' est -fixée au moyen de vis 41 aux parois parallèles verticales de l'enveloppe 21. Cette plaque 40 présente une nervure supérieure médiane verticale, longitudinale, 42 sur laquelle se trouve située la bande supérieure du transporteur C. La partie médiane de la bande supérieure 17 vient buter à glissement contre'la partie supérieure de la nervure 42. Un sommet médian longitudinal est ainsi formé dans la bande supérieure 7 ainsi que dans le corps non fendu de la pièce brute B à la partie supérieure de la nervure 42. La pièce brute B présente une maille sautée longitudinale ou autres moyens de marquage longitudinal.
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L'opérateur place à la main cet élément de marquage de la pièce brute B à la partie supérieure de la nervure 42 et le long de cette partie supérieure, et il presse à la main les pieds latéraux de la bande supérieure flexible 7 et de la pièce brute B et presse également à la main les rubans 38 et 39 vers le sommet de la bande supérieure 7 à l'extrémité externe respective de la pièce brute B. L'élément de marquage de la pièce brute B est ainsi maintenu en coïnci- dence à glissement précis avec la nervure 42. La pièce B et les rubans 38 et 39 sont ainsi empêchés de se déplacer l'un par rapport à l'autre à l'arrière ou vers l'extrémité formant le col de la pièce tubulaire B et aux extrémités postérieures des longueurs mesurées des rubans 38 et 39.
La pièce B et la bande supérieure 7 et les extrémités postérieures des longueurs mesurées des rubans se déplacent à l'unisson par rapport à la nervure fixe 42. Les rubans 38 et 39 sont retirés de bobines respectives.
L'opérateur forme d'abord deux ou trois points de chaîne d'ancrage à l'extrémité supérieure de la pièce B et dans les parties adjacentes des bandes 38 et 39, au moyen des aiguilles 3 et 4 et des crochets 44 et 45, en actionnant dans ce but la machine à coudre S. Ces points d'ancrage sont formés dans chacune des deux rangées 49 de points. A ce moment, la pièce brute B n'est pas encore fendue. La pédale P est abaissée en position de serrage en serrant ainsi l'extrémité frontale de la pièce brute non fendue ainsi que les bandes de renforcement.
L'opérateur mesure alors les longueurs des deux bandes 38 et 39 à partir de leurs points d'ancrage, par exemple une longueur de 19 pouces pour chaque bande.
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Gela se fait facilement grâce aux échelles 43. La partie* supérieurede la pièce B est à ce moment montée sur sa longueur normale non-étirée sur la bande supérieure 7 du transporteur C. C'est-à-dire, la pièce B possède maintenant sa longueur non-étirée qui peut être plus grande ou plus petite que la longueur correcte pour la taille respective -du chandail, ou autre vêtement.
L'opérateur peut alors déterminer facilement si la longueur normale non-étirée de la pièce B est égale à, ou plus petite ou plus grande que les longueurs mesurées correctes des bandes non découpées et non étirables 3 et 39.
Si la pièce non fendue tubulaire tricotée à la machine B est trop courte pour la taille respective, l'opérateur étire la pièce B jusqu'à la longueur choisie, . correcte, des bandes non découpées, et tient à la. main la pièce B dans sa longueur étirée, en même temps les bandes 38 et 39, à l'extrémité postérieure formant le col non ancré de la pièce B, comme montré dans la figure 1. La pièce B et les extrémités postérieures des longueurs mesurées correctes des bandes 38 et 39 sont pressées latéralement vers la nervurefixe 42 qui fournit un appui approprié pour le doigt.
Si la pièce non-fendue B est trop courte, elle est ainsi tenue à la main, étirée à la longueur convenable pour la dimension choisie, sur la bande supérieure 7, tandis que la pièce B et les canons 38 et 39 et la main de l'opérateur se meuvent vers l'avant vers la machine à coudre à l'unisson avec la bande supérieure 7 du transporteur C. Dans ce cas, l'alimentation de la griffe d'aliment; lon frontale D qui agit pour ali.-ienter la pièce B vers le: aiguilles et 4, peut avoir le même taux d'alimentais
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que 1 "alimentation de la bonde supérieure '7. ilinsi qu"il a été dit ci-dessus, cette griffe frontale D n'agit que sur la matière de la pièce B.
Un peut, si on le désire, avoir une alimentation de la griffe frontale D plus longue ou plus courte que l'alimentation de la bande supérieure '7, selon chaque cas en particulier.
Dans tous les cas, si la longueur normale non étirée de la pièce B est plus courte que les longueurs mesurées correctes des bandes 38 et 39, dont les longueurs mesurées correspondent à la taille convenable choisie, la pièce B est tenue étirée jusqu'à la longueur correcte choisie pendant que les bandes 38 et 39 sont cousues à la pièce B avant la phase du découpage ou d'incision.'extrémité postérieure ou formant le col de la pièce B et les bandes 38 et 39 peuvent être libérées à la main à l'endroit des aiguilles 3 et 4, ou tout près de ces aiguilles.
Si la pièce originelle non fendue B est trop longue pour la taille respective, la paroi supérieure de la pièce B pendant que son extrémité frontale et les bandes sont ainsi tenues fixes par la pédale, ou à la pédale P, est repliée ou froncée en plis transversaux entre son extrémité frontale ancrée et extrémité postérieure qui est saisie à la main, de sorte que la longueur de la pièce B sur la bande supérieure 7, telle que mesurée sur une ligne droite entre son extrémité frontale d'ancrage et son extrémité postérieure saisie, à laquelle la pièce B est saisie jusqu'aux extrémités posté- rieures des longueurs mesurées correctes des bandes 38 et 39, est la longueur correcte choisie des deux longues bandes non découpées 38 et 39.
Dans ce cas, l'alimentation antérieure de la griffe
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frontale D est réglée pour fournir une alimentation différen- tielle plus rapide que l'alimentatien antérieure de la bande supérieure 7 du transporteur C. Par conséquent une telle alimentation différentielle de la griffe frontale D est dans ce cas plus rapide que l'alimentation vers l'avant de la griffe postérieure M. Dans ce cas, les taux de l'alimentation de la bande supérieure 7 et de la griffe postérieure peuvent être égaux.
De petites fronces uniformes peuvent ainsi être formées dans la partie de la pièce brute B qui vient buter contre la bande supérieure 7 du transporteur C devant les aiguilles
3 et 4, et les bandes 38 et 39 sont cousues sur le tissu froncé de la pièce brute B.
Les extrémités postérieures des longueurs mesurées correctes des bandes sont également venues contre l'extrémité postérieure non ancrée de la pièce B jusqu'à ce que cette extrémité postérieure se trouve devant, ou tout près des 'aiguilles 3 et 4. Les longueurs mesurées correctes des bandes 38 et 39 sont tenues tendues dans chaque cas, sans fronces, pendant que la machine coud.
En travaillant n'importe quelle pièce brute B, on peut choisir au commencement de chaque opération sur la pièce B, les taux respectifs de l'alimentation du transporteur 0 et des griffes d'alimentation D et M, qui seront décrites ci-après de manière plus complète.
Le transporteur C est tenu sous une tension.longitudi- nale choisie par des moyens appropriés. Dans ce mode de réalisation, l'arbre latéral et horizontal 34 du galet pos- térieur fou 8 passe à travers des fentes longitudinales respectives 36 dans les deux parois verticales de l'enveloppe 21.
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.ue ;.,1.e"t lJOstÔ'"i0ur l'OU 1.5 pout nuuir uno rV:"0 l.luI! sur son .rare latéral ..J4. Cet arbre -il. présente aj: !J0tec externes j5. Une vis longitudinale de r6;Ü.lte /( eut ,:cxtÉ:e à rotation dans une patte de chaque paroi verticale (le l'enveloppe 21. En faisant tourner les vis 37, elles forcent les têtes 35 et l'arbre 34 longitudinalement vers la paroi d'extrémité postérieure de l'enveloppe 21 qui se trouve à gauche de la figure 1, en appliquant ainsi sélectivement une tension longitudinale au transporteur C. L'arbre 34 peut glisser dans des fentes 36.
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GuIDJd pû5 BANDAS.
Chaque bande j8 et 39 est déroulée d'une bobine ou galet approprié. Chaque bande a originellement une forme plate.
Les bandes 38 et 39 passent à travers des guides angulaires respectifs 47 et 48 qui se trouvent devant le poste de couture .qui est formé par les aiguilles 3 et 4 et leurs crochets 44 et 45. Les bandes 3& et 39 sont ainsi repliées angulairement par leurs guides 47 et 48 à l'avant du poste de couture en leur donnant des formes angulaires, chaque ruban étant ainsi replié de manière à avoir un bras vertical et un bras latéral horizontal. Les bras horizontaux des bandes 38 et 39 s'éten-
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dent latéralement en directions opposées'à partir des bras verticaux. Chaque rangée de points 49 est formée dans un bras de bande horizontal respectif ainsi que dans la paroi supérieure de la pièce non-fendue B.
Les bandes '38 -et 39 sont flexibles, mais elles possèdent une rigidité suffisante de telle sorte qu'elles sont retenues sous les formes angulaires ci-dessus à la station de découpage, de sorte que la fente longitudinale de la paroi supérieure de la pièce B est formée entre les bras verticaux.
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La figure 9 montre une griffe d'alimentation D qui n'agit que devant les aiguilles 3 et 4, pour n'alimenter que la paroi supérieure de la pièce non fendue B vers les aiguilles 3 et 4 et leurs crochets 44 et 45. Ainsi qu'il a été.expliqué ci-dessus, la direction de l'alimentation est de droite à gauche dans la figure 9, de sorte que la fente-DS est une fente frontale de la plaque à aiguilles 83. Cette plaque à aiguilles 83 présente également deux fentes longi- tudinales MA, et une autre fente à aiguilles 100. La griffe d'alimentation D agit dans les trois fentes MA-DS-MA de la plaque à aiguilles 83.
Cette griffe d'alimentation D présente un châssis rigide 65 ayant trois rangées parallèles, longitudinales, de dents-62, 63, 64 qui agissent dans les fentes MA-DS-MA de la plaque à aiguilles 83 devant les trous d'aiguilles 80 et.81 de la plaque à aiguilles 83. La courte .fente intermédiaire DS définit la longueur de la course . d'alimentation de la griffe frontale D.
La figure 9 montre également la griffe d'alimentation postérieure M qui agit par pulsations d'alimentation à l'avant et.à l'arrière des aiguilles 3 et 4 pour alimenter la pièce brute,B, pour alimenter également les bandes 38 et 39 vers les aiguilles 3 et 4 et également pour faire avancer la pièce B avec ses bandes cousues, en les éloignant des aiguilles 3 et 4 vers le poste de découpage et à travers celui-ci. Cette griffe M présente trois rangées parallèles et longitudinales 50,51, 52.
Ces dents 50, 51, 52 agissent dans des fentes
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respectives de la plaque à aiguilles 83. La rangée médiane
51 des dents de la griffe M agit seulement dans la fente à aiguille 100 derrière les aiguilles 3 et 4. Les rangées externes 52 et 50 agissent dans des fentes MA, en partie devant et en partie derrière les aiguilles 3 et 4.
La griffe postérieure M présente un châssis 53 fixé à une tige longitudinale cylindrique 54. Cette tige 54 est montrée cassée dans la figure 9 pour la facilité de l'illus tration.
Cette tige longitudinale 54 s'adapte à glissement dans un alésage cylindrique d'une tête 55 qui est solidaire du châssis 65 de la griffe frontale D. Ce châssis-65'est montré cassé dans la figure 9 pour la facilité de l'illus- tration. Des moyens appropriés peuvent être prévus pour empêcher la tige 54 de tourner autour de son axe longitudinal dans le dit alésage cylindrique de la tête 55.
Chacune des griffes D et M se meut en une course 'd'alimentation longitudinale supérieure vers l'avant, c'est-à-dire vers les aiguilles, et également en une course longitudinale inférieure folle ou de non-alimentation, en direction opposée ou postérieure. Chaque griffe D et M reçoit un faible mouvement vertical à la fin de chaque course longitudinale d'alimentation et à -la fin de chaque course inactive, comme cela se produit en général en actionnant les griffes d'une machine à coudre.
La figure 6 montre chacune des griffes d'alimentation D et M, dans sa position inférieure de non alimentation à la!fin d'une cour.se postérieure à vide. Dans cette position les parties supérieures des dents des griffes D et M se trouvent dans le même plan horizontal inférieur par rapport
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à la face supérieure de la plaque à aiguilles 83 et en-dessous de cette face qui est montrée en coupe dans les figures 6 et 7.
La figure 7, montré la griffe D et la griffe M dans leurs positions supérieures au commencement de leurs courses d'alimentation respectives vers l'avant. Les parties supérieures des dents des griffes D et M se trouvent alors dans le même plan horizontal.
Ces griffes d'alimentation D et M se déplacent à l'unisson dans leurs mouvements verticaux. Ainsi qu'il a été dit ci-dessus, la tête creuse 55 est solidaire du châssis 65 de la griffe frontale D, et le' châssis 53 de la g riffe postérieure M est solidaire de, la. tige cylindrique 54, qui s'adapte de manière étroite et à glissement dans un alésage cylindrique de la tête creuse 55.
Cette tête 55 se meut vers le haut et vers le bas, afin de mouvoir les griffes D et M verticalement à l'unisson.
Dans ce but, et ainsi que montré dans la figure 9, une bielle 69 est articulée en 70 à la tête creuse 55, et cette bielle 69 est articulée en 68 au bras basculant 66. Des portions seules du bras basculant 66 sont montrées dans la figure 9 pour la clarté de l'illustration. Le bras basculant 66 est articulé en 67 au châssis F, et l'extrémité du bras basculant 66 qui n'est pas montrée dans la figure 9, est articulée sur la tige ou cheville 31 fixée au châssis F de la machine S. Le bras basculant 66 est actionné comme le bras basculant 30, au moyen d'un excentri que correspondant disposé sur l'arbre principal 5 de la machine à coudre S. La tige 33a correspond à la tige 33 et le pivot 32a correspond au pivot 32.
La seule fonction du bras basculant 66 est de déplacer la tête
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55 vers le haut et vers le bas, en déplaçant ainsi verticale- ment à l'unisson les griffes D et M.
La tige 54 qui est fixée au châssis 53 de la griffe postérieure M s'adapte également dans un manchon 56 et passe à glissement à travers ce manchon,'lequel est solidaire de la tête 55. La tige 54 s'adapte également dans l'alésage d'une tête 57 et passe à glissement à travers cet alésage, la dite tête 57 étant solidaire du manchon 56. L'extrémité postérieure de la tige 54 est fixée à un étau 58 solidaire de la tête 59. Ainsi qu'il a été mentionné ci-dessus, le châssis 65 de la griffe postérieure B est fixé à la tête 55 de sorte que le châssis 65 est rigidement fixé à la tête 57.
L'une des extrémités d'une bielle 72 est connectée à la tête 57 au moyen d'un pivot 71. L'autre extrémité de la bielle 72 peut subir une rotation autour d'une cheville d'articulation 73 qui est retenue de manière réglable et amovible dans la fente 74 d'un bras angulaire 75. Ainsi que cela arrive dans d'autres cas où une cheville est réglable dans une fente, des moyens conventionnels sont prévus pour tenir la cheville 73 serrée de manière amovible en position réglée choisie dans la fente 74.
Le bras 75 présente un prolongement angulaire rigide connecté par un pivot 79 à la tête 59 laquelle, ainsi qu'il a été mentionné ci-dessus,.est fixée de manière rigide à la tige 54 et de cette manière au châssis 53 de la'griffe postérieure M.
Le bras 75 est connecté par un pivot 76 aux extrémités supérieures d'une paire de bielles 77. Ces deux bielles 77 sont connectées à leurs extrémités inférieure par un pivot 78
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à l'une des extrémités d'un bras basculant, qui peut subir une rotation autour de la cheville d'articulation 31 fixée au enâssi F de la machine S. Ce bras ol est articule on 60 à la tête 59. Le moyeu du bras 61 sur la chevillerixe 31 peut être rendu solidaire du moyeu du bras 31. ou bien être fixé à celui-ci,- ou bien le bras 61 peut être actionné par un excentrique correspondant disposé sur l'arbre 5.
L'on considère à, titre d'exemple que la cheville d'articulation 73 est réglée dans la fente 74 jusqu'à ce que l'axe de la cheville 73 vienne coincider avec l'axe de la cheville 79. Ainsi qu'il a été mentionné ci-dessus, la cheville 79 relie à rotation le prolongement du bras 75 à la tête 59. On considère que le oras basculant 30 tourne dans le sens opposé à celui des aiguilles d'une montre depuis sa position de la figure 9, autour de l'axe de la cheville d'articulation 51.
Le bras 61 tournera dans le sens opposé à celui des aiguilles d'une montre autour de la cheville 31 à l'unisson avec le bras 30, parce que les moyeux des bras 01 et 50 sur le pivot 31 sont soit' solidaires, soit fixés rigidement l'un avec l'autre, ou bien le bras 61 est actionné à l'unisson avec le bras 30 par un excentrique correspondant disposé sur l'arbre 5. A cause de la connexion à articula- tion 60 entre le bras 61 et la tête 59, ce mouvement tournant du bras 61 fera tourner la tête 59, la tige 54 fixée à la tête 59 par l'étau 58, et la griffe postérieure M fixée à la tige 54, vers la gauche de leurs positions respectives montrées dans la figure 9, en déplaçant ainsi la griffe postérieure M en une course d'alimentation vers la gauche.
Ce mouvement tournant dans le sens opposé à celui des
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Ei7.;llril.eS du. bris rl fera f;[;;,1';i:1Gl1t tournai' 3e br; le sens
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des aiguilles d'une montre autour de son articulation 79, au moyen des bielles 77 qui sont entièrement indépendantes du bras basculant 30 et de sa tête 103. C'est-à-dire, la seule connexion entre le bras basculant 30 et le bras 75 est la connexion formée par les bielles 77 et le pivot 78.
Le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre du bras 75 et de son prolongement, autour de l'articulation 79, fera actionner la bielle 72 pour déplacer la tête 57 (qui peut glisser par rapport à la tête 59 et tige 54) en une course d'alimentation longitudinale égale vers la gauche, si les pivots 73 et 79 se trouvent sur le même axe horizontal.
Dans ce cas, si les axes des chevilles d'articulation 73 et 79 sont maintenus horizontalement en coincidence, les deux griffes M et D seront actionnées selon des courses longitudi- nales égales du même nombre de pulsations par minute, de sorte que les deux griffes M et D auront les mêmes taux d'alimentation.
On supposera maintenant que, ainsi que montré dans la figure 9, l'axe horizontal du pivot 73 se trouve en-dessous de l'axe horizontal du pivot 79.
Dans ce cas, la tête 57, le manchon 56, la tête 55; le châssis 65 et la griffe frontale D, auront une même course longitudinale plus longue que 59-58-54-M.
Las griffes D et M auront ainsi le même nombre de courses par minute, et la griffe D aura un taux a'alimentation plus grand que celui de la griffe M.
Les courses d'alimentation des griffes D et M sont toujours dans la même direction, et leurs courses en sens opposé ou à vide ou de non-alimentation, sont toujours dans la même direction. C'est-à-dire, ainsi que montré dans -
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la figure 9, lorsque -Le bras 75 tourna dans le sens opposé à celui des aiguilles d'une montre autour du pivot 79 par les bielles 77 et bras basculant 30, cela tait pousser van la droite la bielle 72 et l'assemblage 57-5055-D; ut le bras 61 et le pivot oO poussent également simaltané sant vers la droite, 1'assemblage 59-54-la.
Dès lors, si la pièce brute normale ou non 6 tirée
B possède la longueur correcte, le pivot 73 estréglé cime la fente 74 jusqu'à ce que les axes horizontaux des pivots
73 et 79 viennent en coïncidence. Dans ce cas, la longueur des courses d'alimentation de la bande supérieure 7 eput être . réglée jusqu'à ce que la bande supérieure 7, la mâchoire frontale D, la mâchoire postérieure N possèdent des courses d'alimentation de ,nême longueur et de même nombre par minute.
Dans ce cas, le taux de l'alimentation sera le même vers les aiguilles 3 et 4, et en s'éloignant des aiguilles 3 et 4 vers la station d'incision ou production de la fente.
A titre d'exemple, si la longueur normale non étirée' de la pièce B est plus grande que la longueur proprement dite pour la taille correspondante, la cheville d'articulation 73 est réglée en dessous de sa position pour laquelle son axe horizontal coïncide avec l'axe horizontal du pivot 79, en fournissant ainsi un taux d'alimentation plus grand de la griffe frontale D, pouvant être plus grand que le taux d'alimentation du transporteur C.
La fente 74 peut avoir une hauteur suffisante de telle sorte que lorsque la cheville 73 se trouve à la partie supérieure de la fente 74, l'axe du pivot 73 peut venir en coïncidence avec l'axe du pivpt 79 ou bien se trouver au-dessus de celui-ci.
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bi l'axe de la chveille d'articulation 7j est Maintenu au-dessus de l'axe du pivot 79, on assure une alimentation différentielle différente.
Ainsi qu'il a été mentionné ci-dessus, il est bien connu de régler la longueur de la course d'alimentation d'une griffe par des moyens bien connus, lesquels pourront être utilisés lors de l'application de la présente invention.
MECANISME D'INCISION ou PRODUCTION DE LA FENTE.
Une barre plate verticale ou console 89 est fixée au moyen de vis 59 sur la tête de la machine à coudre. Un bras basculant 92 est articulé en 29a a la dite tête. Le bras basculant 92 est oscillé au moyen d'un excentrique corres- pondant E disposé sur l'arbre principal 5. La tige 33b correspond à la tige 33. La tige 33b est connectée à articulation, par exemple au moyen d'un joint à rotule, au bras basculant 92. Ce bras basculant 92 déplace verti- calement d'un mouvement alternatif les aiguilles 3 et 4.
Une tige-couteau angulaire 85 est articulée en 81 au bras basculant- 92 et est également articulée en 88 à la console 89. Une vis 101, qui présente un écrou de blocage 102, passe à travers un alésage fileté de la console 29 pour venir buter contre la tige-couteau angulaire 86.
Un couteau 02 est fixé de manière réglable à la tige-couteau 82 au moyen de vis de serrage 87. Ce'couteau 82 présente une patte 84 logée de manière mobile dans la fente 100 de la plaque à aiguilles 83. Le dit couteau présente un bord coupant 85. La patte 84 présente également un bord coupant.
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le couteau 82 est ainsi actionné dans se course d'incision taudis que 1' avancement de la picce de are ve est arrête'.
La figure 20 contreun autre avantage important de la présente invention, Les bandes 38 et 39 sont désignées bandes non-découpées, parce qu'elles peuvent avoir n'importe quelle longueur.
Après qu'une pièce B a été cousue aux bandes 58 et j9 et qu'elle a été ensuite fendue, l'alimentation des bandes 38 et 39 peut continuer, avant de placer une autre pièce B sur la bande supérieure 7. Cela a pour résultat une chaine de pièces brutes B avec des espaces intermédiaires 97'
Après formation d'une chaine de pièces brutes de n'importe quelle longueur, les bandes 38 et 39 peuvent être découpées latéralement pour venir se placer de niveau avec les extrémités des pièces B.
La pièce 22 montre comment le tissu de la pièce B est retourné pour former un pli 98 qui est espacé du rebord fendu. La bande correspondante est alors cousue à la pièce B par des points de couturé longitudinaux 99.
La figure 2 montre les coussinets "A114" de l'arbre 10.
Suivant la présente invention, on coud progressivement les bandes à une pièce brute non-fendue, tandis que la longueur en ligne droite de la pièce brute constitue la longueur correcte pour la taille correspondante de l'article, soit en étirant la pièce brute, soit en'formant des fronces dans la pièce brute si la longueur normale non-étirée ou non-froncée de la pièce brute n'est pas la longueur correcte pour la dite taille.
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.L,;.t courroie Lit, t.:Jul'2tt:a Li ri 0 il z c.v.:c :.t: ou poulie conduit'.' u, Ull oL.'n il peut y L'VOl!' un '..1i.:;j''l'l,t,
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::I1GI'.'. la C0U1Tùi0..:L ça poulie conduit'; S', du 1,.;J.L'1 sort!j çao xo taux de l'alimentation longitudinale du la iiuwlo 7 soit- .iloinu."è quu :j';Li n'y avaiu j3tA:i Clf: glisse. tient. i.-0m>ï ci 1101':.I;.10dont il n'y u pas de j;l:L:l:It:.rWIlG entra !±# c;Ut¯aEr'C?1.: li et Si, poulie bzz, ce .li::;S0'1011t [Jout. se produire eu appliquant une pression de 'r'tl?;jf"c: sur le afin SttJtn:ieLlC' 7, er .:lV,.y313 ell pressant feriarfiuent a la t.li.n.7.T1 1,. biJl,du :.'i¯Itj:rl.E.1'Llr:s contre la nervure h.!., ou par tout dispositif du freinage ré:;lé.
Ce-La peut êcre ut. il. ; pour rosier tz,u;.- 'i'.:.-Li:.i:t:,'ciun de la bande supérieure 7 vers la ;.i± chine a coudre, ou lieu de régler le taux d'alimentation ûo la ;:;ri1'±""" Í"roltti.-l.e U.
Ainsi, s'il n'y a pas de glissement enir la courroie G et sa poulie motrice y et si la pièce D est trop courte et doit être maintenue avec étirage loryiZ. ¯ . inal devant les aigui-f-les j et 4, le taux de llèiliilante-vi)n de la riffe frontale D peut tr0rég.Lé do manière à avoir la mène alimentation, ou une alimentation plus rapide que celle de la bande supérieure 7. également, si la pièce B est trop longue et est froncée sur la bande supérieure 7 la taux
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de xf alimentation de la 6riffe frontale b peut être ré(-;lé pour être plus rapide que la bande supérieure 7.
En produisent un glissement entre la courroie C et sa poulie motrice 9, le taux de l'alimentation sur .La bnde supérieure 7 est abaissé, en produisant ainsi le même effet que si la courroie C ne glissait pas et le taux de l'alimenta- tion de la griffe frontale D ust plus grand que le taux de
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l'alimentauion de la bande supérieure 7.
Des lors, la méthode aécrite ci-dessus peut être réalisée
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par divers :,Iacaltis:le.s. use nombreux Ch,tl1L;,;ments, L1..Qdi tiona, modifications et substitutions pourront Être apportés,- sans sortir de la portée de l'invention.
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1. rl;tîlU4le: nu ruai'orcu.1.oiit(Jtuilcj pit'ce brute l.tlyt¯i,.l.I': 1 en tissu, et de formation d'une 1\.:l1G0 ¯Lou;;.tuainuJ.(:
dans la dite pièce brute;, celle-ci étant renforcée en cousant (les bandes longitudinales respectives sur les rebords de la fente, la dite méthode consistant en ce que l'on alimente
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progressivement, lon!i tudin1..JlelJlent et vers l'avant la dite pièce brute et les dites bandes à l'unisson par pulsations ou courses intermittentes vers l'avant, lu dite pièce brute et les dites bandes étant ainsi alimentées successivement à travers un poste fixe de couture et un poste fixe d'incision, on coud les bandes progressivement à la pièce brute encore non-fendue au poste de couture, on forme progressivement la fente dans la pièce brute entre les bandes précédemment cousues,
on tient les bandes à l'état tendu et pratiquement parallèles à la ligne longitudinale de la fente pendant que la pièce orute et les bandes sont ainsi alimentées, en tenant également les extrémités arrières de longueurs choisies des dites bandes à l'extrémité postérieure de la pièce brute pendant que la pièce brute et les bandes sont ainsi alimentées, les dites longueurs choisies étant mesurées depuis l'extrémité frontale de la pièce brute.
2. Méthode telle que revendiquée dans la revendi-cation 1, @ dans laquelle .les bandes ont des formes plates normales, et ces bandes sont tenues sous une forme angulaire avant le poste de couture et à ce poste, et également entre le poste de couture et le poste d'incision, les dites formes angulaires ont des bras horizontaux et des bras verticaux, les bras horizontaux étant seuls cousus à la pièce brute non-fendue, la dite fente étant formée entre les bras verticaux.
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3. Méthode telle que revendiqués dans la revendication 1, dans laquelle la longueur en ligne droite de.la pièce orute de vêtement correspond à la longueur d'une taille de vêtement choisie, mais la longueur en ligne droite de la dite pièce brute de vêtement est plus courte que la dite longueur de taille, les extrémités frontales des bandes étant cousues initialement à l'extrémité frontale- de la pièce brute, les dites longueurs choisies des bandes ayant la longueur voulue, et la pièce urute de vêtement étant maintenue étirée à la dite longueur de taille pendant que l'opération de couture a lieu.
4. Méthode telle que revendiquée dans la revendication 1, dans laquelle la longueur en ligne droite de la pièce de vêtement brute correspond à la longueur d'une taille de vêtement déterminée, mais la longueur en ligne droite de la pièce de vêtement brute est plus longue que la dite longueur de taille, les extrémités frontales des bandes étant 'initialement cousues à l'extrémité frontale de la dite pièce brute;, laquelle est maintenue froncée avant l'opération de couture pour donner à la pièce brute froncée une longueur modifiée en ligne droite égale à la dite longueur de taille et les pulsations ou courses intermittentes par lesquelles la pièce orute froncée est alimentée vers le poste de couture sont plus longues que les pulsations intermittentes par lesquelles les bandes sont alimentées vers le poste de couture.
5. Méthode telle que revendiquée dans la revendication 1, dans laquelle la longueur des bandes est plus grande que
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les longueurs totales de deux pièces brutes, les deux bandes étant alimentées longitudinalement à travers lus dits postes après que la pièce brute a été fuiidue, et les extrémités postérieures de longueurs supplémentaires mesurées des dites bandes sont appliquées à une seconde pièce brute, ces opérations étant répétées sur la seconde pièce brute, afin de former une chaîne de pièces brutes renforcées et fendues. o.
Machine comprenant un transporteur à courroie sans fin ayant une bande longitudinale supérieure, un support ayant des poulies rotatives sur lesquelles se trouve monté le transporteur à. courroie, lequel présente une extrémité frontale et une extrémité arrièr..:
, ce trans- porteur ayant une forme telle qu'il puisse passer à travers une pièce brute tabulaire et .supporter la partie supérieure de la pièce brute ,sur la oande .supérieure, une machine à coudre tenue à un poste de couture en position fixe à l'extrémité frontale, .cette machine à coudre possédant 'des organes permettait d'effectuer la.
couture, des organes d'incision disposés à un poste d'incision situé verrière la machine à coudre, ces organes d'incisison ayant un couteau qui peut se mouvoir vers l'avant et vers l'arrière, la machine à coudre ayant une griffe frontale d'alimentation et une griffe arrière d'alimentation, la griffe frontale étant située devant les organes servant à la couture et ne fonctionnant qu'à cet endroit pour alimenter la pièce brute depuis la bande supérieure du transporteur vers les organes de couture, dus guides étant disposés latéralement pour les bandes situés devant les organes servant à la coutrure, ces guides ayant une forme telle qu'ils puissent replier des bandasplates
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.Il 0\..1",.;3 t2J 1\)1'.J0 ,T1,11e:
.t..'.'. .##v-c 'i-îc p.-.rtios V!al:.Iti. Wt:':1' oouoi-e la pince JC'lli,t', 1; ire buter lu IC:Ca, Â)l'¯rt,: 'I [J.:i zur ..lZiCtlj Wi: :1 coudre, d.;:;. or.-'\jie;.) espacés :.':I'c;xlt Lh il:.fcS brute dans les postes de couture ut d'incision, les dites
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parties venant buter contre la pièce brut; É t<.nt-., couu';
à la pièce brute au poste de couture, la ±,;rÍ1'l'o Eo..:ac.rv:.urra tant située devant et à l'arrière des ornes servant à 1s couture 4t opérant aussi bien à l'avant u'à lTe.friLre Vt dans le poste d'incision, des organes sont prévus pour actionner à l'unisson la bande supérieure et les griffes
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d'ali:.entütion en pulsations ou courses intermittentes vers -L'avant, le dit couteau opérant par pulsations ou courses intermittentes de découpage entre les pulsations ou courses intermittentes d'alimentation.
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'. 1-tS.ehine selon la revend.! cation u, dans laquelle la bande supérieure présente un support ayant un sommet longitudinal.
8. Machine telle que revendiquée dans -'La revendication o, ayant des moyens de réglage du rapport des pulsations d'alimentation vers les organes servant à la couture aux pulsations d'alimentation derrière les organes de couture.
9. La chine telle que revendiquée dans la revendication 0, dans laquelle les organes d'actionnement sont disposés de manière à être connectés lorsque l'extrémité frontale s'éloigne de la machine à coudre, le dit support étant monté sur un pivot afin de permettre la rotation de l'extrémité
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f-ronta 1 e. rx 'éloignant de la machine à coudre.
1. l.u.chine telle que revendiquée dans la revendication o, dans 1 ,ur,Üle lu griffe d'alinentation frontale ebt tJ.cti0.-,nr;o . .;¯ r des organes différuutiels pour ré; La
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course d'alimentation de la griffe frontale d'alimentation.
11. Machine telle que revendiquée dans la revendication 6, dans laquelle le transporteur à courroie possède un glissement par rapport aux poulies, et le transporteur à courroie possède une poulie motrice connectée aux moyens moteurs, le glissement étant réglable a.u moyen d'une pression de freinage.
12. Une chaîne de pièces brutes de vêtements qui possèdent des fentes longitudinales, les dites pièces brutes ayant une forme tubulaire avant l'incision et étant reliées par des bandes cousues sur les bords longitudinaux des dites fentes, les pièces brutes étant successivement cousues sous forme préalablement fendue aux dites bandes, la fente de chaque pièce brute consistant en sections fendues successives situées entre les sections successives préalablement cousues des dites bandes.
13. Chandail tricoté en forme de veste dont le tissu 'peut s'étirer dans la direction de la longueur du chandail, celui-ci ayant une fente longitudinale, une bande de renfor - cernent étant cousue sur chaque bande de la fente, et-les bandes ainsi cousues ayant la longueur correcte pour la taille de chandail voulue, la dite fente consistant en une série de sections fendues, formées entre -les sections succes- sives cousues des dites bandes.
14. Méthode de manipulation d'une pièce tubulaire brute de vêtement faite en matière tricotée et qui.peut s'étirer en direction de sa longueur, qui consiste à coudre des bandes de renforcement longitudinales espacées latérale- ment sur la pièce brute par sections successives cousues, alors que la pièce brute est encore non fendue, et former
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une fente longitudinale par sections fendues successives entre les sections de la bande, les sections fendues étant. formées à la même vitesse que la vitesse à laquelle les dites sections de bande sont cousues.