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On sait que la caractéristique de toutes les ratières con- siste en ce qu'elles sont montées sur les métiers- dans des condi- tions peu logiques tant,en ce qui concerne l'encombrement et le poids qu'en ce qui concerne la difficulté d'accès aux différents organes utilisés pour relier le métier aux lisses.
La ratière que l'on va décrire ci-aprs se différencie sensiblement de toutes les constructions connues à ce jour, en ce qui concerne tant la nouvelle conception du fonctionnement de la chaîne cinématique que sa disposition rationnelle et cela sans aucun accroissement de l'encombrement périphérique et en hauteur
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du métier, ce qui permet de supprimer les poulies, câbles, chaînes, arbres de transmission, etc. et tous autres organes de transmis- sion et de liaison avec les lisses, d'où il résulte une améliora- tion du rendement après suppression d'une grande partie des jeux et des frottements habituels dans les autres constructions anté- rieures.
La ratière perfectionnée peut être disposée à l'intérieur d'un métier de type quelconque, étant donné que l'espace libre sous les lisses est toujours important et suffit à cet effet, et cette disposition assure une plus grande facilité de vérification et de démontage des différents organes constitutifs de la ramière. La commande de l'embrayage et de débrayage de tous les organes servant au déplacement des lames est entièrement mécanique et est assurée au moyen de fils d'acier montés dans des gaines appropriées réunies sous la forme d'un faiseau pour aboutir à un bottier de commande disposé à l'extérieur et portant les cylindres avec les cartons.
Tous les organes de la chaîne cinématique dans le cadre de la ratière et dans le boîtier de commande sont maintenus en cours de travail en permanence sous un courant d'huile lubrifiante circu- lant sous pression sous l'action d'une pompe à double effet disposée à l'intérieur du cadre.
On a représenté à titre d'exemple.aux dessins annexés: en figure 1 une coupe transversale du cadre de la ratière, en figure 2 une coupe longitudinale de celui-ci, en figures3 et 4 des détails du dispositif de réglage des lisses, la figure 3 étant une vue dans la direction Y (fig. 2) après enlèvement du couvercle 31 tandis que la figure 4 est une vue semblable mais où le levier se trouve en position de travail.
En figure 5 on voit une coupe du bottier de commande avec les cylindres et les organes de commande des câbles transmettant les impulsions aux organes d'embrayage et de débrayage des platines et en figure 6 une vue d'ensemble de la ratière et du boîtier de
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commande montés sur le métier.
La position du cadre de la ratière est imposée tandis que celle du bottier de-commande peut varier, les deux groupes d'or- ganes étant reliés à distance de diverses manières et par exemple, comme on le voit sur le dessin, au moyen de câbles flexibles.
Revenant à la figure 2, 1 désigne le cylindre-came entrai- né par l'arbre central 36 par l'intermédiaire d'une chaîne robuste 34 comme représenté en figure 6 avec rapport de démultiplication de 1:1. A la périphie du cylindre-came est creusée une rainure-for- mant la came creuse dont le développement définit le mouvement pendulaire oscillant du secteur denté 2, avec deux éléments de repos s'étendant sur 650 à chaque demi-tour et correspondant à la durée d'arrêt des lisses pendant le passage de la navette. Le secteur denté 2 est relié à la came 1 par l'intermédiaire du galet 3 se déplaçant dans la rainure-came prévue sur le cylindre 1.
Les dents du secteur 2 sont en prise avec la crémaillère 4 portant les barrettes 5 se déplaçant d'un mouvement de va-et-vient dans un plan vertical le long du guidage 6. Dans les deux faces du cylindre 1 (fig.2) sont formés des éléments de rainure constituant des cames 7 le long desquelles se déplacent les galets 8 portés par le levier coudé 9. Les cames 7 se trouvent à 90 par rapport aux éléments de repos s'étendant sur 5 sur la came prévue à la périphérie du cylindre 1.
Ainsi, à chaque tour du cylindre 1, on obtient deux arrêts des'mouvements en sens opposés du secteur denté, arrêts pendants lesquels le levier coudé 9 exécute un mouvement également de va-et-vient correspondant à l'abaissement et au soulèvement des tiges prismatiques 10 dont le rôle consiste à verrouiller et à déverrouiller respectivement les masses pendulaires Il oscillant par rapport à l'arbre 12. Les platines 13 pivotent sur.les coulis- seaux 14 présentant des saignées 15 dans lesquelles se déplacent le, ets 16 portés par le balancier 17 (fig.l). Sur l'axe de ce balancier sont montées à pivotent les bielles 18 soumises à l'ac-
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tion des lames ou biellettes 19 aux extrémités opposées desquelles sont fixées les tiges 20 reliées aux lisses 21 comme on le voit sur la figure 6.
L'axe autour duquel tournent les lames 19 coin- prend deux moitiés a et b maintenues par les bagues c. Une telle construction permet un retour facile des lisses au zéro comme on le décrira ci-après avec plus de détail.
Les câbles de traction disposés dans les gaines 23(fig.5) partent du bottier de commande où ils sont fixés sur les crochetas 24 maintenus au contact des couteaux 25 par les aiguilles tâteuses 26 par l'intermédiaire des déflecteurs 27. Les couteaux 25 se dé- placent simultanément dans les saignées de guidage 30 et ils s'ap- prochent et s'écartent suivant une loi déterminée pendant la pé- riode de travail sous.l'action de l'arbre de transmission 37 et de cames. Les aiguilles tâteuses 26 sont soulevées et abaissées suivant une cadence déterminée par la palette 28 à chaque tour de l'arbre de commande 36 et elles sont maintenues dans leur position haute ' pendant tout le temps où le cylindre 22 entraînant les cartons avance d'un pas.
Si, au cours de la descente ultérieure, les ai- guillestâteuses 26 ne se trouvent pas en face d'un trou dans le carton, le poinçon 29 déplace le déflecteur 27 portant le crochet 24 en prise avec le couteau supérieur 25 qui doit l'entraîner en même temps que le câble 23 vers le haut. Au même moment, le prisa 10 (fig.l) s'abaisse grâce à ce qu'il est commandé, comme'indiqué, par le levier 9, de manière à déverrouiller l'organe pendulaire 11 qui, sous l'action du câble 23,se déplacera en repoussant le crochet de la platine 13 sous la barrette 5. Cette dernière, dans sa descente ultérieure, entraînera le coulisseau 14 en même temps que le balancier 17 vers le bas, ce qui produit par l'intermédiaire des bielles 18 et deslames 19 la montée des lisses.
En position de travail, l'organe pendulaire 11 assure l'accrochage du coulisseau 14 sur la barrette 5 et cette dernière, dans sa course de rappel vers le haut, ramène le coulisseau 14 à sa position de départ. Le
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mouvement de va-et-vient continue tant que la platine 13 demeure accrochée à la barrette 5, c'est-à-dire tant que l'aiguille tâteuse
26 se trouve devant elle un trou dans le carton. Lorsque l'aiguille tâteuse 26 ( voir fig.5) demeure soulevée parce qu'elle ne trouve pas de perforation devant elle, le déflecteur 27 qui n'est plus déplacé par le poinçon 29 amène le crochet 24 en prise avec le couteau inférieur 25 ce qui oblige ce crochet 24 à descendre et à repousser pendant cette descente le câble ou tirant 23 et par suite l'organe pendulaire 11 (voir fig.l).
Cet organe déverrouillé à ce moment par rapport au prisme 10 amène la platine 13 à sa position de repos et les lisses demeurent fixes dans leur position inféri- eure. Lorsqu'au contraire les lisses doivent demeurer fixes dans leur position supérieure, les deux aiguilles correspon- dantes 26 -..s'abaisseront et produiront su/ccessivement l'embrayage des platines 13 de droite et de gauche ; barrette de droite 5 descend.et entraîne avec elle le coulisseau 14 ce qui provoque le soulèvement des lisses tandis que la barrette de gauche monte et, arrivée à sa position supérieure, la platine de gauche 13 se trouve accrochée.
A ce moment, pendant que le balancier-17 remonte du côté droit, il sabaisse vers la gauche en effectuant ainsi un mouvement oscillant maintenant son axe fixe, le.s bielles 18 restant dans leur plan vertical ; parsuite, les lisses demeurent dans leur position supérieure jusqu'à,ce que l'une des aiguilles tueuses 26 demeure soulevée en 1' absence de toute perforation dans le carton devant elle, les lisses reprenant alors à partir de leur position d'arrêt supérieur leur mouvement de va-et-vient.
On va maintenant décrire le réglage des lisses. Comme on le voit sur les figures 1 et 3, l'axe des lames 19 comprend, comme indiqué, deux barrettes convenablement incurvées et b assujet- tissant la bague c sur"la périphérie extérieure de laquelle oscil- lent les lames proprement dites(fig.l). Les barrette a et b sont verrouillées à leur tour dans la position indiquée par des coulis-
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Seau den tés d et f susceptibles de se déplacer dans les -deux sens le long des deux rainures de guidage 35 du cadre. Les crémaillères portées par les coulisseaux à et'! sont en prise avec le pignon i qui engrène lui-même avec le'secteur denté 1 calé sur l'arbre m.
Le bras n (figures 2 et 6) calé sur le même arbre est relié à une bielle portant un levier susceptible d'être actionné à la main à l'extérieur du métier tandis qu'un dispositif de- sécurité empêche tout risque d'effectuer le réglage des lisses pendant le- fonction- nement du métier.-
Les coulisseaux d et f présentent à leurs extrémités deux plans inclinés o et le long desquels peuvent se déplacer les pe- tits galets ± et ± des barrettes lorsque les coulisseaux d et f s'effacent. Les leviers coudés s et t pivotent en u et sont reliés aux coulisseaux en v par an bras tandis que l'autre bras de cha- que levier coudé porte à son extrémité une tige w qui relie ces leviers sur les côtés opposés du bâti.
La figure 4 montre les bar- rettes a et b en position d'écartement comme on le voit en figure 1. Les coulisseaux d et f-verrouillent les barrettes a-et b lorsque les petits galets 0 et r se trouvent sur les plans longitudinaux parllèles des coulisseaux, c'est-à-dire en position d'ouverture maxima. Pour régler les lisses, il convient de rapprocher les barr ettes a et b de manière à supprimer le pivot autour duquel tournent les lames 19.
On arrive à ce résultat en retirant les coulisseaux d et f par rotation du secteur denté 1 et avec lui du pignon i par l'intermédiaire du bras n.Les leviers coudés s et t étant reliés aux coulisseaux d et f tourneront alors autour du u en soulevant la tige w et celle-ci en se soulevant soulèvera à son tour progrès* sivement les lames et avec celles-ci les lisses basses tandis que les lisse hautes descendront sous l'action de leur propre poids jusqu'à ce qu'elles rencontrent à mi-chemin la.tige w. A ce moment les barrettes a et b se trouveront réunies de part et d'autre de l'axe Commun en déverrouillant les bagues e ( voir fig.l).
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Pour remettre en place les lisses, il convi.tJYre renverser le déplacement du bras n et de ramener les coulisseaux et i'; J 7'¯ S4 *'. z. 'l 'i'1 dans leur position de travail. En se déplaçant vers 1' extérieur, les surfaces coniques ou prismatiques des coulisseauxs'introdui- sant entre les galets des barrettes a et b qui se trouvent ainsi écartées jusqu'à ce quelles verrouillent à nouveau les bagues c ; en même temps, la tige w s'abaissera en s'écartant des lames 19.
La description ci-dessus et les dessins annexés sont donnés bien entendu à titre purement indicatif en ce sens que toute ratière mécanique quelconque avec mise au zéro des lisses basée sur le principe du déverrouillage par une commande exté- tournent rieure du pitot autour duquel/les biellettes du métier qui comman- dent les lisses, avec montage de la ratière à l'intérieur du métier lui-même au-dessous des lisses elles-mêmes et commandé à distance par un bottier extérieur portant les cylindres, les aiguilles et tous les autres organes nécessaires à la commande à distance, est entièrement du domaine de l'invention considérée.
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We know that the characteristic of all dobbies consists in that they are mounted on the looms - under conditions that are not very logical, both as regards size and weight and as regards the difficulty. access to the various components used to connect the loom to the beams.
The dobby that will be described below differs significantly from all the constructions known to date, with regard to both the new design of the operation of the kinematic chain and its rational arrangement and this without any increase in size. peripheral and in height
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of the trade, which eliminates pulleys, cables, chains, transmission shafts, etc. and all other transmission and linkage members with the heddles, resulting in an improvement in efficiency after removing a large part of the play and friction usual in other prior constructions.
The improved dobby can be placed inside any type of loom, since the free space under the rails is always large and sufficient for this purpose, and this arrangement ensures greater ease of checking and disassembly. of the various constituent organs of the ramière. The control of the clutch and disengagement of all the members used to move the blades is entirely mechanical and is ensured by means of steel wires mounted in suitable sheaths joined together in the form of a bundle to end in a casing of order arranged outside and carrying the cylinders with the boxes.
All the components of the kinematic chain in the frame of the dobby and in the control box are kept in operation permanently under a current of lubricating oil circulating under pressure under the action of a double-acting pump. arranged inside the frame.
There is shown by way of example in the accompanying drawings: in Figure 1 a cross section of the frame of the dobby, in Figure 2 a longitudinal section thereof, in Figures 3 and 4 details of the heddle adjustment device, the Figure 3 being a view in the Y direction (Fig. 2) after removal of the cover 31 while Figure 4 is a similar view but where the lever is in the working position.
In Figure 5 we see a section of the control unit with the cylinders and the control members of the cables transmitting the impulses to the clutch and disengagement members of the plates and in Figure 6 an overview of the dobby and the housing.
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command mounted on the loom.
The position of the frame of the dobby is imposed while that of the control box can vary, the two groups of organs being connected at a distance in various ways and for example, as seen in the drawing, by means of flexible cables.
Returning to Figure 2, 1 denotes the cam cylinder driven by the center shaft 36 via a heavy duty chain 34 as shown in Figure 6 with a gear ratio of 1: 1. At the periphery of the cam cylinder is hollowed out a groove-forming the hollow cam, the development of which defines the oscillating pendulum movement of the toothed sector 2, with two rest elements extending over 650 at each half-turn and corresponding to the duration of stopping of the beams during the passage of the shuttle. The toothed sector 2 is connected to the cam 1 via the roller 3 moving in the cam groove provided on the cylinder 1.
The teeth of sector 2 are engaged with the rack 4 carrying the bars 5 moving in a reciprocating motion in a vertical plane along the guide 6. In both faces of the cylinder 1 (fig.2) groove elements are formed constituting cams 7 along which move the rollers 8 carried by the angled lever 9. The cams 7 are located at 90 relative to the rest elements extending over 5 on the cam provided at the periphery of cylinder 1.
Thus, at each revolution of cylinder 1, two stops of movements in opposite directions of the toothed sector are obtained, pending stops which the angled lever 9 also performs a back and forth movement corresponding to the lowering and raising of the rods. prismatic 10, the role of which consists in locking and unlocking respectively the pendular masses II oscillating with respect to the shaft 12. The plates 13 pivot on the sliders 14 having grooves 15 in which the, and 16 carried by the balance 17 (fig.l). On the axis of this balance are mounted to pivot the connecting rods 18 subjected to the ac-
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tion of the blades or rods 19 at the opposite ends of which are fixed the rods 20 connected to the rails 21 as seen in Figure 6.
The axis around which the blades 19 revolve takes two halves a and b held by the rings c. Such a construction allows easy return of the stringers to zero, as will be described below in more detail.
The traction cables arranged in the sheaths 23 (fig.5) start from the control box where they are fixed to the hooks 24 held in contact with the knives 25 by the feeler needles 26 via the deflectors 27. The knives 25 are held together. simultaneously move in the guide grooves 30 and they approach and move apart according to a law determined during the working period under the action of the transmission shaft 37 and cams. The feeler needles 26 are raised and lowered at a rate determined by the pallet 28 on each revolution of the control shaft 36 and they are maintained in their upper position during the whole time that the cylinder 22 driving the cartons advances by one. not.
If, during the subsequent descent, the needle doughters 26 do not face a hole in the carton, the punch 29 moves the deflector 27 carrying the hook 24 into engagement with the upper knife 25 which should drive at the same time as the cable 23 upwards. At the same time, the catch 10 (fig.l) is lowered thanks to the fact that it is controlled, as indicated, by the lever 9, so as to unlock the pendulum member 11 which, under the action of the cable 23, will move by pushing the hook of the plate 13 under the bar 5. The latter, in its subsequent descent, will cause the slide 14 at the same time as the balance 17 downwards, which produces through the connecting rods 18 and deslames 19 the rise of the stringers.
In the working position, the pendulum member 11 hooks the slide 14 onto the bar 5 and the latter, in its upward return stroke, brings the slide 14 back to its starting position. The
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back and forth movement continues as long as the plate 13 remains hooked to the bar 5, that is to say as long as the feeler needle
26 there is a hole in the box in front of it. When the feeler needle 26 (see fig. 5) remains raised because it does not find a perforation in front of it, the deflector 27 which is no longer moved by the punch 29 brings the hook 24 into engagement with the lower knife 25 which forces this hook 24 to descend and push back during this descent the cable or pulling 23 and consequently the pendulum member 11 (see fig.l).
This member unlocked at this time relative to the prism 10 brings the plate 13 to its rest position and the heddles remain fixed in their lower position. When, on the contrary, the beams must remain fixed in their upper position, the two correspon- ding needles 26 - .. will be lowered and will automatically engage the plates 13 on the right and on the left; Right bar 5 descends and brings with it the slide 14 which causes the heddles to rise while the left bar rises and, when it reaches its upper position, the left plate 13 is hooked.
At this time, while the balance-17 goes up on the right side, it drops to the left, thus performing an oscillating movement maintaining its fixed axis, the connecting rods 18 remaining in their vertical plane; Thereafter, the stringers remain in their upper position until one of the killer needles 26 remains raised in the absence of any perforation in the carton in front of it, the stringers then resuming from their upper stop position. their back and forth movement.
We will now describe the adjustment of the stringers. As can be seen in Figures 1 and 3, the axis of the blades 19 comprises, as indicated, two suitably curved bars and b subjecting the ring c to "the outer periphery of which the blades themselves oscillate (fig. .l). The bars a and b are in turn locked in the position indicated by the sliders.
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Bucket of teeth d and f capable of moving in two directions along the two guide grooves 35 of the frame. The racks carried by the slides at and '! are engaged with the pinion i which itself meshes with the toothed sector 1 wedged on the shaft m.
The arm n (Figures 2 and 6) wedged on the same shaft is connected to a connecting rod carrying a lever capable of being operated by hand outside the loom while a safety device prevents any risk of performing the adjustment of the beams during the operation of the loom.
The slides d and f have at their ends two inclined planes o and along which the small rollers ± and ± of the bars can move when the slides d and f are retracted. The angled levers s and t pivot in a u and are connected to the v-slides by an arm while the other arm of each angled lever carries at its end a rod w which connects these levers on opposite sides of the frame.
Figure 4 shows the bars a and b in the spaced position as seen in figure 1. The sliders d and f-lock the bars a-and b when the small rollers 0 and r are on the longitudinal planes parallel to the slides, that is to say in the maximum opening position. To adjust the beams, the bars a and b should be brought together so as to eliminate the pivot around which the blades 19 turn.
This is achieved by removing the sliders d and f by rotation of the toothed sector 1 and with it of the pinion i via the arm n. The bent levers s and t being connected to the sliders d and f will then rotate around the u by lifting the rod w and the latter, when lifting, will in its turn raise the slats progressively and with these the lower rails while the high rails will descend under the action of their own weight until they halfway meet the rod w. At this time the bars a and b will be joined together on either side of the Common axis by unlocking the rings e (see fig.l).
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To replace the rails, it convi.tJYre reverse the movement of the arm n and bring the slides and i '; J 7'¯ S4 * '. z. 'l' i'1 in their working position. As they move outwardly, the conical or prismatic surfaces of the sliders insert themselves between the rollers of the bars a and b which are thus separated until they again lock the rings c; at the same time, the rod w will lower away from the blades 19.
The above description and the appended drawings are of course given purely as an indication in the sense that any mechanical dobby whatsoever with zeroing of the heddles based on the principle of unlocking by an external control of the pitot around which / them rods of the loom which control the heddles, with mounting of the dobby inside the loom itself below the heddles themselves and remotely controlled by an external casemaker carrying the cylinders, needles and all the others organs necessary for remote control, is entirely within the scope of the invention under consideration.