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Echafaudage à montants extensibles et réglables pour montage et démontage rapide à l'intérieur de bâtiments.
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La. présente invr. . rm, ' ,1! rnc un échafaudage à montants exten- sibles et réglables xy3xs 1.. '.. L et t c.E:montage rapide à l'intérieur de bâtiments caractérisa fin Cf '(1± lue montants télescopiout. nont:
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pourvue de moyens ajustables en hauteur pour que les dits montants se fixent par simple coincement entre le sol et une partie quelconque du bâtiment : charpente, plafond, linteau ou autre pièce, que cette partie de bâtiment soit à l'aplomb du point d'appui sur le sol ou déportée.
Elle est encore caractérisée par tout ou partie des dispositions ci-après prises ensemble ou isolément : - les montants sont constitués par deux tubes télescopiques dont la position réciproque est réglée par un collier qui est bloqué par serrage sur le tube de plus faible diamètre et qui est pourvu sur sa tranche inférieure d'un ergot qui pénètre dans un créneau du tube de gros diamètre de manière(que le collier arrête l'enfoncement du pre- mier tube dans le second et que l'ergot du collier empêche la rota- tion d'un tube par rapport à l'autre ;
- le chapiteau, formé d'une plaque sur laquelle on peut, soit fixer une semelle antidérapante, soit fixer des fiches ou butées d'arrêt, est pourvu en son centre d'une douille qui s'emboite dans le tube de petit diamètre dont le bord est pourvu de créneaux dans lesquels se logent des ergots disposés sur le pourtour de la douille afin d'évi.ter la rotation du chapiteau par rapport au tube ; - le socle est constitué d'une semelle antidérapante fixée sur deux plaques métalliques disposées dans un même plan et qui, en pénétrant dans une gorge creusée dans la tête hexagonale d'une vis, retiennent cette tête de vis dont la partie filetée se visse dans un écrou fixé à la base du tube de grand diamètre ;
- le chapiteau peut être remplacé par une douille avec ergots s'em- boitant dans le tube supérieur et pourvue d'une tige filetée sur la- quelle se vissent deux plaques entre lesquelles peut être serrée une partie quelconque de charpente du bâtiment dans lequel est monté l'échafaudage ; - des consoles maintenues sur le montant par colliers de serrage et pourvues d'un manchon crénelé sont destinées à recevoir un plancher
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de service avec garde-corps ou une plaque de chapiteau dont la douil- le centrale s'emboite dans le machon crénelé de la dite console.
En variante, elle est encore caractérisée par tout ou partie des dispositions ci-après prises ensemble ou isolément : - les montants constitués par deux tubes télescopiques ont leur position réciproque réglée par des trous percés à égale distance dans deux plans axiaux faisant entre eux un angle de 90 , trous dans lesquels on engage une fiche pourvue d'une tête à un bout et à l'autre bout d'un trou dans lequel on place une goupille ;
- le chapiteau, formé d'une plaque, sur laquelle on peut, soit fixer une semelle antidérapante, soit fixer des fiches ou butées d'arrêt, est pourvu à son centre d'uhe douille qui s'emboîte sur le tube de petit diamètre, la douille et le tube de petit diamètre étant percés de quatre trous distants l'un de l'autre de 90 pour placer une fiche avec goupille, comme dans le cas précédent, afin de fixer la position du chapiteau et éviter sa rotation par rapport au tube ; - la plaque du chapiteau est pourvue de deux coulisses disposées près des bords de plus petite largeur de ce chapiteau ;
- le socle constitué d'une semelle antidérapante, fixée sur deux plaques métalliques disposées dans un même plan, est pourvu d'une vis dont la tête cylindrique comporte quatre leviers de manoeuvre . permettant de faire tourner cette vis de réglage par rapport à la plaque de socle ; - le chapiteau peut être remplacé par un manchon percé de trous distants de 90 pour être fixé sur le tube de petit diamètre et ce manchon est pourvu de la tige filetée sur laquelle se visse les deux plaques entre lesquelles peut être serrée une partie quelconque de charpente du bâtiment dans lequel est monté l'échafaudage ; - les consoles sont maintenues sur le montant par des douilles pourvues de trous distants de 902 qui sont fixées sur le montant par des fiches avec goupille ;
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- les dites consoles comportent à leurs extrémités an manchon percé de quatre trous distants de 902 pour recevoir le chapiteau ou man- chon avec tige filetée destinés à fixer la partie supérieure du montant, soit par pression sous une poutre, soit par un accrochage dans un treillis ; - des consdes pourvues de manchons percés pour être fixés sur les montants, comportent à leurs extrêmités un goujon sur lequel on peut enfiler des tubes formant potelets pour maintenir les traversas du garde-corps.
L'invention est encore caractérisée en ce que, si-le montant télescopique doit se placer entre deux plans d'appui qui ne sont pas parallèles entre eux, il est intercalé, entre le montant tubulaire et la surface inclinée, des moyens d'articulation qui permettent, à la semelle,, d'une part, et à la plaque de chapiteau, d'autre part, de s'appliquer sur la surface d'appui.
Suivant une autre caractéristique de l'invention les moyens d'articulation sont des étriers entre les branches desquels pivote la douille-support du chapiteau eu de la semelle.
Suivant encore un autre mode préféré de réalisation de l'inven- tion l'articulation est formée par un =dispositif à rotule.
Elle est encore caractérisée par tout ou partie des dispositions ci-après prises ensemble ou isolément : - les potelets pour garde-corps sont pourvus à mi-hauteur et à la partie supérieure d'arceaux avec vis de serrage pour maintenir les traverses de garde-corps constituées avantageusement par des tubes ; - les arceaux des potelets pour garde-corps sont avantageusement doublés pour permettre de croiser les extrémités des tiges ou tubes qui constituent les traverses de garde-corps ; - à la base des potelets des garde-corps sont prévues des ferrures ou languettes relevées pour former des coulisses dans lesquelles on peut accrocher une plinthe de protection contre la'chute des outils ;
- pour la pose des traverses des garde-corps contre les montants-
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supports il est prévu des manchons pouvant être fixés sur les mon- tants par fiches ou goupilles et qui comportent des arceaux avec vis de serrage ; - pour la pose de plinthes sur les montants-supports il est prévu des manchens pouvant être fixés sur les montants par fiches ou goupilles avec lamelles relevées pour former coulisses ;
En variante, suivant une autre caractéristique de l'invention la console supportant le chapiteau déporté ou les consoles suppor- tant les plachers de service sont pourvues d'un moyen d'accrochage ouvert, avec verrou de sécurité, permettant la fixation rapide de ces chapiteaux sur les montants déjà placés, des fiches disposées dans les perforations des montants constituant butées qui arrêtent la position des dites consoles.
L'accès aux plates-formes,de service est, dans la partie 'haute des supports, facilité par, des échelons fixés sur une douille pourvue de trous pour le passage d'une fiche ou goupille*.
En variante, ces échelons peuvent comporter .dans* leur prolonge- ment une tige fileté qu'on passe dans un des trous du montant et sur laquelle on visse un écrou approprié pour maintenir l'échelon sur le tube, cet échelon étant pourvu. d'une cpntrefiche avec fourche qui prend appui sur, le tube.
En variante, suivant une autre caractéristique de l'invention les échelons d'accés aux plates-formes de. service sont pourvus de moyen d'accrochage ouvert, avec,verrou de sécurité, permettant la fi- xation rapide de ces échelons sur les montants déjà placés, une ou plusieurs fiches disposées dans les perforations des montants cons- tituant butées qui arrêtent la position des dits échelons, une vis de rattrapage de jeu étant prévue dans le collier d'accrochage pour permettre la pose de l'échelon sur des tubes de diamètres différents.
Suivant encore une autre caractéristique de l'invention les supports des traverses de garde-corps sont constitués par des qr- ceaux fixés à l'extrêmité d'une fiche destinée à être placée dans
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une perforation du montant et qui est percée à son extrémité pour re- cevoir une goupille d'arrêt.
L'invention est encore caractérisée en ce que des étriers avec vis de serrage pour leur fixation sur des passerelles comportent à chaque bout un goujon sur lequel on peut enfiler la base d'un potelet support pour la pose d'un,garde-corps.
Suivant un mode préféré de réalisation de l'invention la traverse de l'étrier destiné à supporter les montants des garde-corps est for- mé de deux éléments qui peuvent se fixer l'un sur l'autre, soit par coincement, soit par goupillage, soit par accrochage, de manière à modifier la longueur de l'ensemble suivant la largeur adoptée pour les passerelles de service.
Les dessins annexés montrent schématiquement, à titre d'exemple non limitatif, diverses formes de réalisation de l'invention.
La figure 1 est une vue en élévation, avec arrachements partiels, du montant d'échafaudage avec son chapiteau et son socle.
La figure 2 est une vue du dessus de la plaque de chapiteau.
La figure 3 représente séparément une fiche d'arrêt qu'on peut fixer sur le chapiteau.
La figure 4 est une vue en plan du collier de Blocage du tube de plus faible diamètre.
La figure 5 est une vue en plan d'une plaque antidérapante.
La figure 6 représente de profil la douille avec ergots pourvue d'une tige filetée destinée à remplacer lé chapiteau.
La figure 7 est une vue perspective d'une console.
La figure 8 est une vue perspective, avec arrachements, de.la plaque de socle.
La figure 9 est une vue perspective schématique de la mise en oeuvre de l'échafaudage.
La figure 10 est une vue en élévation, avec arrachements partiels d'une variante du montant d'échafaudage avec son chapiteau et son socle.
La figure 11 est une vue du dessous de la plaque de chapiteau
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modifié.
La figure 12 est une vue de profil d'un échelon sur douille.
La figure 13 est une vue perspective d'un échelon sur consoles.
La figure 14 représente de profil une vàriante de la douille pourvue d'une tige filetée destinée à remplacer le chapiteau.
La figure 15 est une vue de profil d'une variante d'une console destinée à recevoir le chapiteau.
La figure 16 est une vue perspective, avec arrachements' partiels d'une variante de la plaque de socle.
La figure 17 est-une vue de profil d'une variante d'une console destinée à recevoir une passerelle de service.
La figure 18 est une vue de profil de la douille support de cet% console.
La figure 19 est une vue de profil d'un potelet -cour garde- corps.
,La figure 20 représente une douille avec arceaux; pour la fixa- tion de traverses de garde-corps sur les montants-supports.
La figure 21, est une vue perspective schématique d'un échafau- dage partiel avec garde-corps et plinthes de sécurité.
La figure 22 est une,vue, perspective de .février destine a fixer 'des ets intermédiaires pour garde-corps.
La figure 23 est une vue perspective de l'étrier qui s'inter- cale entre le montant télescopique et le. chapiteau pour permettre une oscillation limitée de,ce chapiteau pour que la plaque antidérapante du chapiteau s'applique bien sur une surface inclinée comme représen- té à la figure 24.
'La figure 25 représente en coupe la vis de vérin montée sur la partie supérieure du dispositif à rotule dont la partie inférieure est fixée sur la semelle antidérapante appliquée elle-même sur une surface inclinée.
La figure 26 représente la goupille avec arceaux pour fixation de traverses de garde-corps sur les montants tubulàires.
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La figure 27 ést une vue perspective d'une variante de l'étrier destiné à fixer des potelets intermédiaires pour garde-corps.
La figure 28 représente en perspective une chaise de plancher de service avec dispositif d'accrochage à verrou.
La figure 29 représente en perspective une console pour maintenir le chapiteau déporté.
Les figures 30 et 31 représentent en perspective et en élévation un échelon amovible avec dispositif d'accrochage par collier et verrou.,
Le montant est composé de deux tubes télesccpiques 1 et 2 pou- vant ooulisser à frottement doux l'un dans l'autre. Leur position réciproque est réglée par le collier de serrage 3 qu'on peut bloquer sur le tube 2.et qui vient s'appuyer sur le haut du tube 1. Ce collier est pourvu sur sa tranche inférieure d'un ergot 4 qui peut pénétrer dans un créneau 5 du tube 1 de façon à empêcher la rotation du tube 2 par rapport au tube 1.
Le haut du tube 2 est pourvut de créneaux 6 dans lesquels s'en- castrent les ergots 7 disposée à la partie supérieure de la douille 8 fixée au centre de la plaque de chapiteau 9. En emboitant la douille 8 dans le haut du tube 2 et en plaçant les ergots 7 dans les créneaux 6 on fixe la position de la plaque de chapiteau 9.
'Sur cette plaque de chapiteau 9 on peut fixer par vis passées dans les trous 10 des semelles antidérapantes 11 telles que repré- sentées séparément à la figure 5 ; ces semelles, qui comportent avan- tageusement un gaufrage peuvent être en toute matière appropriée : caoutchouc, matière plastique, feutre ou autre.
La plaque 9 comporte avantageusement deux coulisses 12 dans les- quelles on peut fixer des fiches 13 comme représentées séparémént à la figure 3 pour former arrêts quand le chapiteau doit être appliqué sous la face inférieure d'une poutre ou solive étroite. Dans ce mode de construction les semelles antidérapantes 11, telles que représen- tées à la figure 5, sont fixées de part et d'autre des coulisses 12.
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Le socle du montant est constitué par une semelle antidérapante
14, analogue aux semelles 11, fixée par vis 15 sur deux plaques métalliques 16 et 17 disposées dans un même plan et pourvues d'une échanérizre (non visible au dessin) qui pénètre dans une gorge 18 creusée dans la tête hexagonale 19 d'une vils 20 dont la partie fi- letée se visse dans' un écrou 21 fixé'à la'base du tube 1.
On conçoit qu'après un premier réglage approximatif par le , collier de serrage 3 il suffit d'agir avec une clé, sur la tête hexagonale 19 pour serrer le montant' entre le sol et une'poutre ou un plafond (voir'figure 9) et fixer, ainsi solidement la position de ce montant.
pans les charpentes métalliques, pour un montage spécial, on peut remplacer le chapiteau par un'.accrochage direct tel que repré- senté à la figure 6 constitué par une douille 22, qu'on emboite dans le tube 2, avec collerette 23' qui''s'appuie sur le haut du tube 2 et /'ergots 24 qui pénètrent clans, les créneaux du tube 'Sur la' douille(-22 est fixee solidement une tige filetée 25, qui reçoit une plaque taraudée 26 *- on serre la charpente métallique entre cette plaque taraudée 26 et une autre plaque 27 par l'écrou à ailettes 28.
Pour appliquer le chapiteau contre un linteau ou une poutre qui ne se trouve pas au-dessus de l'emplacemrnt disponible pour la semelle du montant on utilise une console telle que représentée à la figure 7.,Cette console est maintenue par collier de serrage 29 et 30 et comporte un manchon 31 pourvu de créneaux 6' qui rece- vront les ergots 7 de la douille 8 de la plaque de chapiteau 9 ou les ergots 24 de la douille 22 du dispositif représenté à la figure 6.
Comme représenté à la figure 9 l'échafaudage peut servir à de nombreux montages tels que plateformes, passerelles, rateliers divers, portiques, etc. Il se place très rapidement et très solidement par simple serrage d'une vis entre le sol et le plafond ou une partie
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quelconque de la charpente du. bâtiment.
Comme représenté à la figure 9, sur le montant Tubulaire on pla- ce des consoles 32 fixées par deux colliers de serrage. Sur ces consoles on dépose un plancher quelconque 34.
Entré deux éléments tubulaires, on peut ainsi obtenir une plate- forme de 5 à 6 mètres de longueur. Cette utilisation est très prati- que pour l'installation de tuyauteries, de câbles électriques,, etc...
Pour la sécurité des ouvriers travaillant sur cette plate-forme, on peut placer un montant tubulaire dans la partie recourbée 33 de la console 32 auquel on accrochera un garde-corps quelconque.
L'accès de la/plate-forme peut être réalisé directement sur l'élément tubulaire, en fixant sur le tube 1 et éventuellement sur le tube prolongateur 2 des édelons 35 fixés, soit par soudure, soit par collier de serrage.
En plaçant les éléments tubulaires sur deux ou plusieurs rangs, on obtient un plancher de grande dimension nécessaire pour les tra- vaux de maçonnerie, peinture, etc... avec passerelles de liaison 36.
Enfin, lorsque la toiture du bâtiment est constituée par des nefs ou par des ogives, on peut atteindre le sommet, soit en prenant pour base de départ le premier plancher déposé sur les consoles 32, soit en assemblant des tubes ou fers profilée au sommet des éléments tubulaires.
On a représenté aux figures 10 à 22 des variantes et des per- fectionnements des dispositifs précédents.
Le montant est toujours compesé de deux tubes télescopiques 1 et 2 pouvant coulisser à frottement doux l'un dans l'autre. Leur position réciproque est réglée par une gou plusieurs fiches 37 main- tenues en place par une goupille 38 et que l'on place dans des trous 39 percés suivant deux plans axiaux perpendiculaires à des distances suffisamment rapprochées.
Le haut du tube 2 est percé au même niveau de quatre trous distants de 90 de manière à permettre la fixation par fiches et goupilleµ de la douille 8' fixée au centre de la plaque de chapiteau
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9' et qui s'emboîte sur le haut du tube 2.
Sur cette plaque de chapiteau 9' est fixée une ou plusieurs semelles antidérapantes 11 avantageusement pourvues d'un gaufrage.
Pour faciliter la pose des fiches 13 il est prévu au bord des deux côtés opposés de ce chapiteau 9' des coulisses 40 et 41.
Pour faciliter la manoeuvre de la vis 20 dont la tige filetée se visse dans l'écrou 21 fixé à la base du tube 1 il est prévu sur la tête de vis 19' des bras de levier 42 avantageusement disposés à angle droit. Ces bras de levier permettent de manoeuvrer la vis sans clé spéciale.
Pour permettre d'accrocher le haut du montant dans une charpente métallique on utilise toujours une tige filetée 25 qui reçoit une plaque taraudée 26 et une autre plaque 27 poussée par un écrou à ailettes 28, mais cette tige filetée 25 est fixée solidement sur une douille 43 percée dans un même plan de quatre trous 44 distants de 90 pour permettre la fixation par fiches et goupilles comme dans le cas ci-dessus.
Pour appliquer le chapiteau contre un'linteau ou'une poutre qui ne se trouve pas au-dessus de l'emplacement disponible pour la semelle du montant on utilise une console tel que représenté à la fi- gure 6 et analogue à celle de la figure 7. cette console est main- tenue au montant par des douilles 45 et 46 percées de trous dans un même plan mais à 90 l'un de l'autre pour la fixation par fiches et goupilles comme déjà indiqué. Cette console est pourvue d'un manchon 47 percé dans un même plan de trous distants de 902 pour permettre l'emboîtement et la fixation de la douille 8' de la plaque de chapi- teau 9' ou de la douille 43 du dispositif représenté à la figure 14.
. le montant et les consoles comportant ces perfectionnements peuvent être utilisés pour le montage de plates-formes, passerelles, rateliers divers, portiques, etc... Cet échafaudage se pose très rapidement et très solidement par simple serrage de la vis de vérin entre ie sol et le plafond ou une partie quelconque de la charpente du bâtiment.
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La console représentée à la figure 17 est fixée au montant tu- bulaire par les douilles 48 et 49 qui sont maintenues sur le montant par les fiches indiquées ci-dessus. Cette console porte à son extré- mité un goujon 50 sur lequel est fixée une ferrure ou languette 51 qui doit servir de coulisse pour maintenir une plinthe 52 (figure 21) qui est maintenue? l'autre bout par une coulisse analogue 53 fixée sur la douille 48. Cette plinthe est destinée à retenir les outils sur la passerelle 34.
Des potelets 54 formés de tubes, tels que représentés à la figure 19, doivent.servir à la' pose de garde-corps.
Chaque potelet est'enfilé sur un goujon 50 des consoles ; il comporte à sa base des languettes relevées 55 et 56 pour la pose de plinthes 57 ou 58 destinées à retenir les outils sur la passerelle.
Sur les potelets sont fixés des arceaux 59 et 60 d'une part, 61 et 62 d'autre part, avec vis de serrage 63 pour maintenir des tiges ou tubes 64 constituant les garde-corps. Ces arceau sont doublés pour permettre le croisement des extrémités des garde-corps comme représenté à la.figure 21.
Pour permettre la pose des garde-corps contre les montants principaux il est prévu des douille s 65 comme représenté à la figure 20. Ces douilles sont percées de trous 66 suivant deux plans axiaux perpendiculaires pour les maintenir sur les tubes prolongateurs 2 par fiches et goupilles ; elles comportent des arceux 67 et 68 avec vis de serrage 63 devinée à maintenir les traverses des,garde- corps.
Pour permettre la pose d'un garde-corps à l'extrémité d'une passerelle il est prévu des étriers, comme représenté à la figure .
22, formés d'un fer plat 69 fixé sur un crochet 70 pourvu d'un. gou- jon 71 et sur une pièce en équerre 72 avec goujon 73 et vis de serra- ge 74. Cette vis de serrage 74 permet de fixer cet étrier sur la passerelle tandis que les goujons 71 et 73 permettent la pose des potelets 54 représentés à la figure 19.
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Pour accéder à la plate-forme il est prévu des échelons 75 (figure 12) fixés sur une douille 76 pouvue de trous pour le passage d'une fiche avec goupille.
Il peut être avantageux d'utiliser des échelons tel que repré- senté à la figure 13 qu'on peut facilement démonter et qui compor- tent une tige filetée 77 qu'on passera dans un des trous 39 du mon- tant et sur laquelle on vissera un écrou approprié pour les main- tenir sur le tube 1(ou éventuellement sur le tube prolongateur 2).
Cet échelon comporte une contrefiche 78 et une fourche 79 qui prend appui sur le tube.
On a représenté à la figure 24 le chapiteau 9' pourvu de sa douille 8' et de la semelle antidérapante 11 qui est fixé par une fiche 37 maintenue en place par,une goupille 38 sur le cadre 80 fixé sur l'étrier 81 qui est lui-même fixé sur une douille 82 analogueà la douille 8' prévue pour maintenir le chapiteau.
En intercalant l'étrier tel'que représenté à la figure 23 en- tre le tube 2 .du montant et le chapiteau on peut appliquer convena- blement la semelle antidérapante 11 contre une paroi inclinée tel qu'indiqué à la figure 24 et coincer le montant de l'échafaudage entre le sol et une partie quelconque supérieure du bâtiment, soit plafond, soit linteau, soit pièce de charpente.
Comme représenté à la figure 25 la tête 19' de la vis de calage 20 est montée dans un boitier 83 pouvu d'un couvercle 84 et qui comporte à sa base une rotule 85 qui peut pivoter dans un boitier 86, le dit boitier étant pourvu d'une embase avec gorge 88 qui se fixe entre les plaques 16 et 17 du socle 14. Ce socle 14 peut ainsi être posé sur une surface en pente et permettre le coincement du montant de l'échafaudage entre le sol et le plafond ou une pièce de charpente comme indiqué ci-dessus.
Il est avantageux de prolonger la vis 20 par une partie non filetée 20' pour éviter tout déboitement de la vis de son écrou 21 en cas de dévissage exagéré.
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Comme représenté à la figure 26 une fiche 89 percée à son extrê- mité pour recevoir une goupille 90 et pourvue de bagues ou arceaux 67,68 -avec vis de serrage 63 peut être placée sur un montant 2 pour maintenir les traverses des garde-corps.
On a représenté à la figure 27 une variante de l'étrier destiné à permettre la pose d'un'garde-corps à l'extrémité d'une passerelle, Cet étrier est composé d'un crochet 70 pourvu d'un goujon 71 et d'une autre pièce 72 avec goujon 75 mais, pour permettre la pose de cet étrier sur des passerelles de largeurs différentes, le.fer plat qui relie les crochers 70 et '72 est formé de deux parties 69a et 69b qui peuvent s'accrocher l'une à l'autre de façon à modifier à volonté la longueur utile du fer plat.
Un mode de réalisation du dispositif d'accrochage est représenté sous forme de boutons 91 fixés sur la ',. partie / 69b qui s'accrochent dans des boutonnières 92 prévues dans la partie 69 .
Au lieu d'utiliser des'colliers pour.maintenir sur lès montants les chaises pour planchers de service on a prévu, comme représenté
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à la' figure 28, un crocheta oui. s'accroche, autour du montant 2 au-dessus d'une fiche d'arrêt 37 maintenue par une goupille 38. Pour éviter le décrochage il est prévu un verrou 94 pouvant pivoter autour ' d'un axe 95, ce verrou se rabattant par son propre poids sur la tra- verse horizontale de la chaise. La contrefiche 96 de la chaise s'appuie par un demi-collier 97 contre le montant 2. Ce demi-collier 97 est lui-même fixé sur un demi-collier 98 pourvu'-de trous ou d'encoches 99 pour permettre la pose d'une fiche 100 qui traverse le montant 2.
Par cette disposition du crochet 93 et des demi-colliers 97,98 on peut placer la chaise sur un montant 2 déjà coincé contre le sol et une partie du plafond ou de la charpente alors qu'auparavant il fal- ' lait enfiler les douilles sur le montant.
On a représenté à la figure .29 le même mode de fixation par 'collier 93 et verrou 94 de la console pourvue de la douille 47 qui doit recevoir le chapiteau qui s'appuie sur me poutre déportée ou
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sur un linteau. La contrefiche àe cette console s'appuie également par demi-colliers 97,98 contre le montant 2 et le demi-collier 98 comporte aussi des trous ou encoches pour la pose d'une fiche.
On a représenté aux figures 30 et 31, en perspective et en élé- vatbn un échelon amovible 75 fixé sur un collier constitué de deux parties 101 et 102 pour'pouvoir être placé sur un montant sans dé- montage. La partie 102 pivote autour d'un axe 103 et vienne rabattre dans une encoche 104 prévue dans le demi-collier 101, ce dernier est percé d'un trou 105 pour le passage de la fiche de fixation 106 une encoche 107 est prévue dans la pièce 102 pour le passage de la fiche 106.
Pour pouvoir utiliser l'échelon 75 indifféremment sur les par- ties 1 et 2 du montant il est prévu une vis 108 de rattrape de jeu et de calage. Cette vis peut traverser le demi-collier 101 ou une patte 109 prévue à cet effet.
L'une des applications les plus intéressantes concerne l'utilisa-] tion des éléments tubulaires en échafaudage particulièrement dans les magasins ou ateliers dont le sol est encombré de machines ou de mar- chandises de toutes sortes.
L'encombrement du sol de ce genre d'échafaudage est réduit au strict minimum, il se place partout et ne gêne en rien les travaux exécutés sur les machines des ateliers.
On sait, d'autre part, que dans le temps passé par un ouvrier d'entretien; maçon, cimentier, électricien , tuyauteur, peintre, etc., il faut compter un temps' mort assez important pour le déplacement de de l'échafaudage. En-utilisant l'élément tubulaire, ce temps mort est réduit dans une proportion très importante. De plus, au cours de l'éxécution des.travaux, le déplacement de l'échafaudage se fait progressivement, élément par élément.
Il va sans dire que les formes, détails, matières premières et dispositions diverses ou modes de fixation des éléments par serrage ou goupillage peuvent varier sans sortir du cadre de la présente
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invention, qui a pour but de former un échafaudage dont les montants extensibles et réglables doivent être coincés entre le sol et une partie supérieure quelconque du bâtiement : charpente, plafond, lin- teau ou autre pièce directement/au-dessus de la semelle ou déportée.
L'invention s'applique à tout dispositif de vérin qui permet de coincer le montant, que ce dispositif de vérin soit mécanique, pneumatique ou hydraulique et quel que soit l'emplacement du vérin sur le montant.
REVENDICATIONS 1) Echafaudage à montants extensibles et réglables pour montage et démontage rapide à l'intérieur de bâtiments caractérisé en ce que les montants télescopiques sont pourvus de moyens ajustables'en hau- teur pour que les dits montants, se fixant- par simple coincement entre le sol et une partie quelconque du bâtiment : charpente,-plafond;
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linteau ou autre pièc qI--i ase partie deWât.ment soit à. "l'aplomb du point d'appui. sur le ô o. déportée'.
2) Echafaudage àomry ''etreid2catii par tou-G'ou partie des dispositionsJci-après prises ensëttrble ou isolémen'c ? - les montants sopt'emne;5ftués par doux tubes téléocopiques-a-ont
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