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La présente invention a pour objet un emballage étanche, notam- ment pour du fluide liquide.ou gazeux, du type comprenant un récipient, par exemple un sac en matière souple,plastique ou thermoplastique, présentant une ouverture munie d'une valve de fermeture automatique constituée par un conduit aplati et susceptible d'être ouverte par introduction d'un tube dans ledit conduit, par exemple d'un tube rigide de forme cylindrique ou conique, le conduit étant en général constitué, soit par un tube aplati, soit par deux feuilles soudées entre elles par leurs bords latéraux et plaquées l'une contre l'autre.
La pratique a montré que de telles valves n'empêchent pas de ma- nière certaine le suintement d'un fluide tel qu'un liquide, par suite de l'ef- fet de capillarité se produisant en raison du fait que du liquide peut s'in- troduire et rester entre les lèvres de la valve lors du remplissage du sac.
La présente invention a pour but d'éviter l'inconvénient précité.
L'emballage faisant l'objet de cette invention est caractérisé en ce que le conduit aplati et formé par deux parois comprenant chacune deux parties opposées plaquées de façon permanente chacune contre la partie correspondante de l'autre paroi, et en ce qu'il comprend, en outre, un dispositif maintenant les parois du conduit écartées l'une de l'autre sur un tronçon de conduit, de manière à provoquer la formation dans au moins une des parois du conduit d'un pli tendant à maintenir la valve fermée à son extrémité intérieure, indépendamment de la pression régnant dans le récipient.
Ledit dispositif facilite le repérage de l'ouverture lorsque l'on veut introduire un tube intermédiaire pour le remplissage ou la vidange du récipient, surtout lorsque cette introduction doit se faire dans l'obscurité.
Ce dispositif pourra présenter diverses formes et dimensions, ainsi que décrit ci-après,-.' sans pour cela modifier le principe de l'invention.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, plusieurs-formes d'exécution et plusieurs variantes de l'emballage faisant l'objet de l'invention.
La figure 1 est une vue latérale d'une première forme d'exécution.
La figure 2 en est une vue analogue après enlèvement d'une capsule de fermeture et introduction d'un tube de vidange.
La figure 3 en est une vue frontale.
La figure 4 est une vue en perspective d'une deuxième forme d'exécution.
La figure 5 est une vue en perspective d'une troisième forme d'exécution.
La figure 6 est une vue frontale partielle d'une quatrième forme d'exécution.
La figure 7 est une vue frontale analogue d'une cinquième forme d'exécution.
La figure 8 est une vue frontale analogue d'une sixième forme d'exécution.
La figure 9 est une vue latérale partielle d'une machine pour le remplissage d'emballages, montrant également une septième forme d'exécution.
La figure 10 est une vue en coupe selon 10-10 de la fig.. 9.
La figure 11 est une vue en coupe selon 11-11 de la fig. 9.
Les figures 12 à 14 sont des vues frontales partielles-de variantes de la septième forme d'exécution représentée à la fig. 9.
La figure 15 est une vue en plan, prise depuis le dessus de la
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variante représentée à la fig.14; et les figures 16 et 17 sont des vues frontales partielles de deux autres variantes encore de la forme d'exécution représentée à là fig. 9.
Les figures 1 à 3 représentent une première forme d'exécution qui comprend un récipient formé par un sac 1 en matière souple, par exemple en matière plastique ou en caoutchouc, et un conduit de remplissage et de vidange 6. Le récipient est formé à partir d'un tube en matière souple. Le con- duit 6 est fixé dans un orifice supérieur du récipient 1 par des soudures 5 fermant le récipient à son extrémité supérieure et fermant également partiellement le conduit 6. Celui-ci est formé de deux feuilles d'une matière thermoplastique qui sont reliées l'une à l'autre le long de leurs bords longitudinaux par des soudures 9. Ces soudures s'étendent parallèlement l'une à l'autre et aux bords du conauit 6, de sorte que celui-ci présente un étranglement formé par la soudure 5.
Le conduit 6 est muni d'une embouchure 15 qui est enfoncée à force dans le passage laissé ouvert par les soudures 5.
Cette embouchure a la forme d'un petit entonnoir. Ainsi qu'on peut le voir à la fig. 2, elle facilite l'introduction à travers le conduit 6 et jusqu'à l'intérieur du récipient 1 d'un tube de remplissage et de vidange 4. D'autre part, en maintenant les parois du conduit 6 écartées l'une de l'autre sur un tronçon de ce conduit, à l'entrée du récipient, l'embouchure 15 provoque la formation dans les parois du conduit 6 de plis 16 tendant à maintenir ce conauit fermé à son extrémité intérieure, indépendamment de la pression régnant dans le récipient.
Après remplissage du récipient 1, le conauit ae remplissage et de viaange de celui-ci est fermé à son embouchure 15, de façon étanche à la poussière, par mesure d'hygiène. Gomme représenté à la fig. 1, cette fermeture est assurée par une membrane 17 collée ou souaée aux bords extérieurs de l'embouchure 15. Lorsqu'on désire extraire du liquide du récipient 1, on enlève tout d'abord ou on crève la membrane 17, par exemple par simple introduction du tube 4 dans l'embouchure 15.
Il convient de remarquer qu'une membrane telle que la membrane 17, au lieu d'être appliquée sur l'embouchure 15 après remplissage du récipient, pourrait aussi être venue de fabrication avec ladite embouchure et être disposée soit à l'extérieur ae celle-ci, comme représenté à la fig. l, soit à son col 18, soit encore à son extrémité inférieure. Le remplissage du récipient s'effectuerait alors avant que l'embouchure 15 n'ait été fixée dans l'orifice du conduit 6 et cette embouchure serait fixée dans ledit orifice par collage ou soudage, après le remplissage du récipient. Il serait également possible de fabriquer le conduit 6 et l'embouchure 15 d'une seule pièce.
Une deuxième forme d'exécution représentée à la fig. 4 se distingue de la première en ce que le dispositifmaintenant écartées les parois du conduit 6, à l'extrémité de celui-ci qui est raccordée dans l'orifice du récipient 1, comprend aeux lames 20 et 21 présentant chacune une partie médiane incurvée 22. Ces deux lames sont accolées l'une à l'autre et constituent le bord supérieur du récipient 1, leurs parties incurvées 22 étant disposées en regard l'une de l'autre et constituant les deux bords opposés de l'orifice d'entrée du conduit 6.
Les lames 20 et 21 peuvent être constituées par un renforcement des bords du récipient ou encore par deux lames, par exemple en matière plastique ou en une autre matière présentant une certaine rigidité et qui sont collées ou soudées à la partie supérieure du récipient. Le tube 4 peut être introduit dans le récipient à travers le conduit 6 en l'engageant entre les parties incurvées 22 des lames 20 et 21.
La figure 5 représente une troisième forme d'exécution dans laquelle le dispositif maintenant écartées les parois du conduit 6 à l'endroit où celui-ci est raccordé au récipient 1 est constitué par une bague 23 fixée entre
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les bords de l'extrémité extérieure dudit conduit, Cette bague peut être fai- te d'une matière plastique ou autre et être collée ou soudée dans l'orifice du conduit.
Une quatrième forme d'exécution représentée à la fig. 6 comporte également une embouchure 15 en forme d'entonnoir. Cette embouchure présente, à son extrémité inférieure, une nervure périphérique 24 qui l'empêche de res- sortir du conduit 6. Comme dans la troisième forme d'exécution, l'embouchure
15 est collée ou soudée aux bords de l'orifice du'conduit 6 mais, grâce à la nervure 24, elle ne peut être retirée dudit orifice, même au cas où elle se décollerait ou se désouderait desdits bords.
L'extrémité intérieure de l'embouchure 15 de la quatrième forme d'exécution présente un prolongement allant en se rétrécissant jusqu'à son extrémité intérieure et constituant des lèvres élastiques 25 qui peuvent, soit être en;contact les unes avec les autres, soit rester légèrement écartées en position de repos. Lors de l'introduction d'un tube 4 à travers le conduit 6 et par l'embouchure 15, ces lèvres 25 viennent s'appliquer contre le tube 4 de manière à constituer un joint étanche entre ladite embouchure et ledit tube et à empêcher toute remontée de liquide entre ce tube et cette embouchure.
Un prolongement constituant des lèvres élastiques telles que les lèvres 25 représentées à la fig. 6 pourrait également être prévu dans l'une quelconque des autres formes d'exécution décrites ci-dessus, pour constituer un joint empêchant toute remontée de liquide entre le tube de remplissage 4 et l'embouchure du conduit 6. Dans les cinquième et sixième formes d'exécu- tion respectivement représentées aux fig. 7 et 8, les parois du conduit 6 sont maintenues plaquées l'une contre l'autre sur deux parties opposées l'une par rapport à l'autre et situées de chaque côté de l'axe longitudinal du conduit, par des soudures 9.
De la sorte, également dans le cas où le conduit 6 est constitué par un tube aplati et non pas à partir de deux feuilles superposées; des soudures 9 servent à maintenir les parois du conduit plaquées l'une contre l'autre, les bords du conduit n'étant pas soudés longitudinalement. Les soudures 9 contribuent, conjointement avec le dispositif maintenant les parois du conduit 6 écartées l'une de l'autre à l'extrémité d'entrée de ce conduit, à former un pli 16 dans chacune des parois du conduit. Dans la cinquième forme d'exécution représentée à la fig. 7, les soudures 9 s'étendent perpendiculairement aux bords du conduit 6 tandis que, dans la sixième forme d'exécution représentée à la fig. 8, les soudures 9 ont chacune la forme d'un V et sont opposées l'une à l'autre par leurs pointes respectives.
Dans cette sixième forme d'exécution, l'embouchure 15 présente deux fentes opposées 26 qui partagent longitudinalement sa partie intérieure en deux moitiés 27 et 28. Ces moitiés sont normalement écartées l'une de l'autre comme représenté à la fig. 8.
L'embouchure 15 ainsi constituée peut être introduite dans l'orifice de'l'extrémité extérieure du conduit 6 en rapprochant élastiquement l'une de l'autre les deux moitiés 27 et 28, en les introduisant et en les faisant passer à travers ledit orifice, et en les laissant ensuite reprendre leur position relative écartée, de sorte qu'elles empêchent l'embouchure de ressortir de l'orifice du conduit.
Aux figures 4 et 5, on voit que le récipient 1 est muni sur deux côtés opposés de soufflets 19 qui lui donnent une forme permettant de le faire tenir debout sur son fond, une fois qu'il est rempli.
Selon une variante, pour faciliter le repérage de l'orifice de l'extrémité extérieure du conduit 6, une partie du dispositif constitué par une embouchure 15 dans les formes d'exécution représentées aux fig.-l, 3, 6, 7 et 8, par les lames 20 et 21 dans la forme a'exécution représentée à la fig. 4 et par la bague 23 dans celle représentée à la fig. 5 pourrait être luminescente.
La figure 9 représente une machine semi-automatique pour le remplissage d'emballages étanches tels par exemple que l'un de ceux représentés aux fig. 1, 3, 6 et 8. Cette machine comprend une glissière 31 comportant deux
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ùandes métalliques parallèles et écartées l'une de l'autre au moyen desquelles des empallages désignés de façon générale par le signe ae référence 1 sont suspenaus par leur emoouchure 15. La machine comporte des moyens pour stériliser les emballages avant leur remplissage. Dans ce out, les emballages s'acheminant par gravité vers un poste de remplissage comportant un bec ae remplissage 32 passent entre des tubes luminescents 33 émettant des rayons ultra-violets.
Ces rayons passent à travers une plaque de quarz 34 qui empêche les emballages 1 de venir en contact avec le tube luminescent 33 et de fondre à son contact. Des réflecteurs 35 et 36 assurent une irradiation sensiblement totale et uniforme aes emballages 1 par les rayons ultra-violets.
La aisposition symétrique de deux tubes 33 avec leurs plaques de protection 34 et leurs réflecteurs 35 ainsi que celle du réflecteur supérieur 36 est clairement risible à la fig. 10. On voit que chacun des réflecteurs 35 est suspendu de façon réglable à un support 37, au moyen d'une vis 38 passant à travers une fente 39 pratiquée dans ce support et à travers une oride 40 soudée par points au réflecteur 35, pour venir coopérer avec un écrou 41 soudé à la oriae 40, entre celle-ci et le réflecteur 35. On comprendra que le tube 33 avec sa plaque 34 est suspendu au réflecteur 35, au moyen d'une armature de n'importe quel type connu.
Après avoir passé en regard des tubes luminescents 33, les emballages s'accumulent au bas du plan incliné que présente la glissière 31, celle-ci présentant ensuite une bosse arrondie désignée par le signe de référence 42 à la fig. 9. Les emballages qui se sont accumulés entre ledit plan incliné et ladite bosse arrondie sont amenés à la main jusqu'en regard du bec ae remplissage 32. Au cours de ce déplacement, on les fait tourner de 90 autour de l'axe ae leur embouchure afin de les amener aans la position qu'occupe l'emoallage l' à la fig. 9.
Dans cette position, les emballages sont soutenus par un support réglable comprenant une partie 43 en forme a'équerre et deux prolongements 44 et 45 dont les positions respectives sont réglables transversalement à l'une, respectivement à l'autre des ailes de la partie 43, au moyen ae boutons 46. Au droit au bec ae remplissage 32, la machine comporte des moyens représentés à la fig. 11 et servant à immobiliser en regard dudit bec l'emoallage amené sur le support 43, de façon que le bec puisse être abaissé et introduit dans l'embouchure 15 duait emballage. Ces moyens comportent une pince 47 présentant Les mâchoires 48 et 49 susceptibles de venir serrer ladite embouchure, la pince étant articulée en 50 à une pièce fixe de la machine et ses bras étant articulés l'un à l'autre en 51.
A la figure 9, on peut voir une septième forme d'exécution d'emballage . Cette forme d'exécution comprend un récipient aplati et de forme rectangulaire présentant une ouverture munie d'une valve de fermeture automatique 6. Cette valve est constituée par deux feuilles d'une matière thermoplastique, par exemple de poly-éthylène, qui forment un conduit aplati et qui comprennent chacune deux parties opposées plaquées de façon permanente chacune contre la partie correspondante de l'autre feuille. Ces parties sont reliées l'une à l'autre par des soudures 9. Le conduit ménagé entre elles va en se rétrécissant vers l'intérieur du récipient. La valve 6 est soudée dans une ouverture que présente le boru supérieur au récipient.
Les soudures 5 de ce bord supérieur ferment également partiellement la valve en formant un étranglement ae celle-ci, à l'endroit où elle'est raccordée aux parois du récipient.
L'embouchure 15 est enfoncée à force dans l'ouverture subsistant entre lesdites soudures 5. Cette embouchure présente une partie extérieure 29, de plus grand aiamètre, dans laquelle est ménagée une rainure circulaire 30. La partie extérieure de l'emoouchure 15 est de révolution, de même que l'orifice de cette embouchure, de sorte que les emballages suspendus à la glissière 31 par leurs embouchures 15 peuvent être orientés dans tous les sens, à volonté.
Dans cette septième forme d'exécution, l'embouchure 15 tout entière est d'ailleurs de révolution, et on remarquera qu'elle maintient les parois du conduit de la valve 6 écartées l'une de l'autre sur un tronçon de ce conduit et provoquent la formation dans au moins une desdites parois d'un pli 16 tendant à
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maintenir la valve 6 fermée à son extrémité intérieure, ipdépendamment de la pression du fluide contenu dans le récipient. Il est clair que l'embouchure 15 facilite l'introduction aans le conduit de la valve 6 d'un tube qu'on introduit à travers cette valve jusqu'à l'intérieur du récipient, dans le but de prélever une partie du contenu de celui-ci à travers ce tube.
Ainsi qu'on peut le voir à la fig. 9, l'embouchure 15 facilite en outre le remplissage de l'emballage du fait qu'elle présente un siège conique pour l'extrémité du bec de remplissage 32 et forme ainsi avec lui un joint étanche au fluide.
La variante représentée à la fig. 12 se distingue de la septième forme d'exécution en ce que l'embouchure 15 présente, juste au-dessous des soudures 5, une nervure annulaire 24 maintenant cette embouchure encore plus fermement dans l'orifice de la valve 6 du conduit. Les soudures 9 de cette valve sont représentées parallèles l'une à l'autre, ce qui est rendu possible par la formation du pli 16 qui améliore notablement l'étanchéité d'une telle valve.
La variante représentée à la fig. 13 se distingue de celle de la fig. 12 en ce que l'embouchure 15, au lieu de présenter une rainure 30, ne présente qu'un rebord supérieur 29.
La variante représentée aux fig. 14 et 15 comprend une embouchure profilée dont la section présente deux pointes diamétralement opposées.
Cette embouchure est soudée au récipient, entre les bords supérieurs de la valve 6, en même temps qu'on pratique les soudures 5. Deux rainures transversales dégagent deux pointes latérales 29' qui servent à supporter l'emballage sur une glissière telle que la glissière 31. Toutefois, au cas où l'on ferait tourner l'emballage par rapport à cette glissière et autour de l'axe de l'embouchure 15, les pointes 29' seraient dégagées de la glissière et l'emballage pourrait alors tomber librement. Cette disposition peut être avantageuse dans certains cas. Elle n'est pas appropriée pour le remplissage de l'emballage au moyen de la machine représentée aux fig. 9 à 11.
Les figures 16 et 17 représentent encore deux variantes d'emballages. La variante de la fig. 16 est analogue à celle de la fig. 13 dont elle se distingue par le fait que l'embouchure 15 ne présente pas de nervure 24.
La variante de la fig. 17 est analogue à celle de la fig. 12 dont elle se distingue en ce que la rainure 30 est remplacée par deux tétons 30' diamétralement opposés et moulés d'une seule pièce avec ladite embouchure. On conçoit que la surface extérieure d'une embouchure 15 en forme d'entonnoir telle que celles des formes d'exécution des fig. 1 à 3,6 et 8 peut également coopérer avec une glissière telle que celle de la machine représentée aux fig. 9 à'll et servir à suspendre l'emballage à cette glissière.
REVENDICATIONS
1) Emballage étanche, notamment pour du fluide, comprenant un récipient présentant une ouverture munie d'une valve de fermeture automatique constituée par un conduit aplati et susceptible d'être ouverte par introduction d'un tube dans ledit conduit, caractérisé en ce que le Qonduit aplati est formé par deux parois comprenant chacune deux parties opposées plaquées de façon permanente chacune contre la partie correspondante de l'autre paroi, et en ce qu'il comprend, en outre , un dispositif maintenant les parois du conduit écartées l'une de l'autre sur 'un tronçon du conduit, de manière à provoquer la formation dans au moins une des parois du conduit d'un pli tendant à maintenir la valve fermée à son extrémité intérieure, indépendamment de la pression régnant dans le récipient.