"Assemblage de liaison pour systèmes à deux composantes" L'invention concerne un assemblage de liaison pour systèmes à deux composantes.
Dans un assemblage connu de ce type (la demande de brevet allemand publiée 27.50.887). le récipient interne (5) qui est ouvert dans sa partie supérieure comporte une bordure (12) périphérique extérieure et il est tenu suspendu par une partie retournée externe supérieure du récipient externe (1,2). Les récipients interne et externe ont un couvercle commun (13) qui est muni d'un joint (16) fixé à l'aide
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interne (5) du récipient externe (1.2): de plus; pour remettre le couvercle, on peut le poser sur le récipient externe (1,2) et le récipient interne (5), mais il est impossible de les fermer de façon étanche. La bordure (12) du récipient interne qui se trouve dirigée vers le haut et située entre la partie retournée (17) et le crochet d'attache (15) du couvercle rend le système d'obturation compliqué et coûteux.
La présente invention a pour but de rendre plus simple et plus fonctionnel le système d'obturation du récipient externe au moyen du couvercle et d'améliorer le fonctionnement et la manipulation du récipient interne.
Ce but est atteint par la présente invention qui concerne en effet un assemblage de liaison pour systèmes à deux composantes, qui comporte, d'une part, un récipient externe métallique recevant la première composante, pouvant se fermer à l'aide d'un couvercle, ayant la forme d'un seau et présentant sur sa périphérie un bossage tourné vers l'extérieur, et qui comporte, d'autre part, un récipient interne recevant la deuxième composante, placé de façon amovible dans le récipient externe et venant s'intégrer dans la partie supérieure de la cavité interne du récipient externe, caractérisé en ce que le récipient interne est entièrement disposé à l'intérieur de la cavité du récipient externe et en ce qu'au moins un élément de maintien du récipient interne dirigé vers l'extérieur s'engage élastiquement dans la cavité interne <EMI ID=2.1>
rétrécissant vers le bas. au moins depuis le bossage. Le récipient interne est avantageusement en une matière plastique qui est résistante par rapport à son produit de remplissage. Cette fabrication est d'un coût relativement avantageux, tout en permettant d'obtenir une très grande précision dans les mesures dudit récipient interne. On peut envisager d'utiliser, par exemple, du polyéthylène basse pression. Le récipient interne peut par exemple contenir un durcisseur et le reste de la
cavité interne du récipient externe la laque de base qui va avec le durcisseur.
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récipient interne entièrement à l'intérieur de la cavité du récipient externe et ainsi, la zone d'obturation du récipient externe et du couvercle se trouve libérée et complètement séparée du récipient interne. De cette façon, on peut utiliser n'importe quel couvercle approprié du commerce et toute bordure adéquate de récipient externe, sans avoir à faire attention à ce qu'il soit compatible avec un élément de jonction du récipient interne. Bien qu'il n'y ait pas de liaison avec ladite zone d'obturation, le récipient interne, conformément à l'invention, est
fixé de façon suffisante au récipient externe à l'aide d'au moins un élément de maintien. Les éléments de maintien forment, avec le bossage du récipient externe, une sorte de fermeture à ressort qui peut,sans difficulté, avoir des dimensions et une forme telles qu'elles empêchent le moindre mouvement entre le récipient interne et le récipient externe.
L'élément de maintien peut n'être constitué que
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avoir une fonction d'étanchéité et empêcher que la première composante arrive de façon indésirée dans la partie supérieure du récipient interne.
Selon une variante, on dispose, par intervalles,
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interne. On peut ainsi régler de façon particulièrement précise la force de maintien élastique. En outre, lorsqu'on vent enfoncer le récipient interne dans le récipient externe ou retirer le premier du second, une circulation gazeuse est possible entre les éléments de maintien voisins, ce qui facilite le mouvement du récipient interne par rapport au récipient externe.
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Les éléments de maintien sont d'une fabrication particulièrement simple et économique. si au moins un élément de maintien est solidaire du récipient interne.
Selon une variante, chaque élément de maintien est essentiellement stable de par sa forme et est disposé contre une
partie de paroi du récipient interne, ladite partie de paroi étant élastique dans le sens radial. Cette forme des éléments de maintien leur
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Chaque élément de maintien présente une surface de butée inférieure et une surface de fonctionnement supérieure. Cette surface de butée assure la même fonction, tandis que la surface de fonctionnement facilite l'élasticité radiale des éléments de maintien lors de leur retrait.
De préférence, la surface de butée forme avec l'horizontale un plus petit angle que la surface de fonctionnement.
Selon un mode de réalisation préféré, la zone
de la surface interne du bossage, qui vient en contact avec au moins l'une des surfaces de butée est complémentaire d'au moins l'une des surfaces de butée et est inclinée par rapport à l'horizontale. Ce mode de réalisation assure, entre la surface de butée et le bossage, un contact sur une surface relativement grande et une bonne tension.
Le frottement du récipient interne sur le récipient externe, lorsqu'on introduit le premier dans le second ou qu'on l'en retire, peut être réduit au minimum au moyen d'une surface externe du récipient interne se trouvant complètement ou en grande partie à distance d'une surface interne du récipient externe. La manipulation en est donc d'autant simplifiée.
L'assemblage selon l'invention peut comporter un récipient interne qui présente, sur sa partie inférieure, une lèvre étanche périphérique et, lorsque le récipient interne se trouve à l'intérieur du récipient externe, ladite lèvre s'applique de façon élastique contre une zone étanche d'une surface interne du récipient externe. Cette lèvre étanche empêche que la première composante déborde du récipient interne dans le récipient externe, dans le cas où l'assemblage tombe ou qu'il soit fortement secoué pendant le transport. Il suffit d'ailleurs que la lèvre étanche exerce une force d'appui minime sur le récipient externe pour que ladite lèvre s'applique bien tout autour dudit récipient quand le récipient interne se trouve à l'intérieur du récipient externe.
Grâce à la lèvre étanche, seule la partie inférieure du récipient interne, située en-dessous de la lèvre étanche, peut être mouillée par la première composante. Une fois que l'on a retiré le récipient interne du récipient externe, on peut essuyer et nettoyer grossièrement le fond au moyen du bord supérieur du récipient externe. Le couvercle du récipient externe peut servir de support pour déposer le récipient interne ainsi nettoyé grossièrement.
La surface interne du récipient externe peut avoir, au-dessus de la zone étanche, un diamètre supérieur au diamètre de cette zone étanche, ce qui permet une circulation d'air entre la lèvre étanche et l'intérieur du récipient externe, tant que la lèvre étanche n'est pas en contact avec la zone étanche. Ceci facilite la manipulation du récipient interne.
Dans le cas où au moins une partie du fond du
récipient interne a la forme d'une membrane pouvant se déplacer vers
le haut ou vers le bas, on peut, très facilement, adapter l'assemblage de la présente invention à des quantités relatives différentes de la première et de la seconde composantes. Ainsi, on n'est pas obligé d'avoir en stock, pour différentes quantités de produit, des récipients internes ayant exactement le même contenu.
Le récipient interne présente l'avantage de pouvoir se fermer indépendamment du récipient externe; une paroi supérieure du récipient interne peut comporter une ouverture pouvant être fermée
à l'aide d'un obturateur; on peut, ainsi, par exemple, sceller le récipient interne à l'aide d'une feuille d'emballages on peut également l'obturer à l'aide d'un bouchon à vis. Dans ce dernier cas, il est possible de refermer l'ouverture de façon étanche. Quand le produit de remplissage est liquide, l'ouverture sert aussi bien à remplir qu'à vider le récipient.
En présence de produit de remplissage liquide, justement, et dans le cas d'une ouverture relativement petite, la paroi supérieure du récipient interne peut être avantageusement inclinée
en forme d'entonnoir vers ladite ouverture, ce qui permet de vider totalement et rapidement le récipient interne.
Quand le produit de remplissage est un produit visqueux qui ne s'écoule pas facilement, et que l'ouverture est relativement petite, le récipient interne comporte avantageusement à l'extérieur de l'ouverture une rainure de guidage dans le sens radial destinée à faciliter l'ouverture du récipient interne. On peut ainsi obtenir une ouverture particulièrement grande par ouverture du récipient interne le long de la rainure de guidage. A travers cette ouverture, on peut alors gratter le produit de remplissage pour l'extraire du récipient interne, à l'aide d'une spatule, par exemple.
Pour faciliter la manipulation et permettre un travail particulièrement propre, le fond du récipient interne peut comporter une ouverture bordée par une surface d'appui et une surface
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interne peut coopérer avec la surface d'appui. Le fond est amovible,
de sorte que l'on peut extraire du récipient interne une partie de son produit. Pour cette extraction par le fond, on n'a plus besoin de
faire basculer le récipient interne. On peut prévoir pour la seconde composante une ouverture de remplissage séparée, dans l'une des parois supérieures du récipient interne, si l'on veut éviter de remplir ledit récipient interne par son ouverture inférieure.
Le corps de soupape peut être disposé au bout d'une tige filetée prenant appui contre la paroi supérieure du récipient interne. Grâce à cette tige filetée, le corps de soupape est d'une utilisation simple et sûre. Tige filetée et corps de soupape peuvent être fabriqués avec la même matière que le reste du récipient interne.
La tige filetée peut être vissée,dans un alésage fileté, à la paroi supérieure du récipient interne. On peut ainsi réaliser l'appui de la tige filetée contre le récipient interne de
façon particulièrement simple. Pour cela, on peut avantageusement pousser le corps de soupape de l'extérieur du récipient interne contre la surface d'appui.
Selon une variante, la tige filetée peut être vissée, dans l'alésage fileté, à l'intérieur de l'obturateur qui obture l'ouverture située dans la paroi supérieure, ce qui permet de presser
le corps étanche depuis l'intérieur du récipient interne contre la surface d'appui. L'ouverture située dans la paroi supérieure est telle que le corps de soupape peut passer au travers.
Selon un mode de réalisation, le fond du
récipient interne peut être incliné vers le bas en direction de la surface d'appui à la façon d'un entonnoir, ce qui facilite, d'une part, l'évacuation de la première composante de la partie inférieure du fond et, d'autre part, l'écoulement de la seconde composante le long de la surface interne du fond.
La présente invention sera mieux comprise à la lecture de l'exemple de réalisation ci-après donné à titre illustratif, nullement limitatif, référence sera faite au dessin annexé, sur lequel :
- la figure 1 est une coupe longitudinale d'une première forme de réalisation de l'assemblage;
- la figure 2 est une vue de dessus de l'assemblage selon la figure 1, couvercle enlevé;
- les figures 3 A et 3 6 sont des demi-coupes longitudinales d'une seconde forme de réalisation de l'assemblage, la figure 3 B se raccordant au bas de la figure 3 A;
- la figure 4 est une demi-coupe longitudinale du récipient interne selon la figure 3 A;
- la figure 5 est une demi-coupe longitudinale d'un autre récipient interne comportant une fermeture inférieure.et
- la figure 6 est une coupe longitudinale d'un autre récipient interne comportant une autre fermeture inférieure.
Sur les fig. 1 et 2. on voit un récipient externe
(1) en métal blanc, ayant la forme d'un seau et muni d'un fond (2) serti dans lequel est placé un plus petit récipient interne en matière
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fermée à l'aide d'un couvercle (4) qui peut avoir n'importe quelle
forme appropriée, telle que celle d'un couvercle à fermeture par pression. Le récipient externe (1) présente un tronçon (5) supérieur cylindrique
à section circulaire et un tronçon (6) inférieur conique, dont le sommet est dirigé vers le bas. Les tronçons (5, 6) sont séparés l'un de l'au-
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périphérique dirigé vers l'extérieur du récipient interne (3) s'engage élastiquement dans le bossage (7). Le récipient interne est ainsi préservé des rotations et en particulier des mouvements axiaux par
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Lorsqu'on introduit le récipient interne (3) dans le récipient externe
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avec une surface interne (10) du récipient externe (1) et est appliqué élastiquement contre celle-ci, vers l'extérieur et dans le sens radial. Si l'on continue à enfoncer le récipient interne (3), l'élément de maintien (6),par pression radiale, continue glisser vers le bas le long de la surface interne (10).jusqu'à ce que l'élément de maintien
(8) puisse s'engager dans le bossage (7) et puisse verrouiller le récipient interne (3) dans le récipient externe (1). Lorsqu'on retire le récipient interne (3) du récipient externe (1), ces opérations
ont lieu dans l'ordre inverse.
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externe (11) du récipient interne (3) se trouve à une certaine distance de la surface interne (10) du récipient externe (1). Conformément à la fig. 1, l'élément de maintien (8), lorsqu'il est encastré, a simultanément pour fonction d'assurer l'étanchéité par rapport à la surface interne
(10) du récipient externe (1), de telle sorte qu'une première composante qui se trouverait dans le récipient externe (1), essentiellement en-dessous du récipient interne (3), dans une cavité interne (12) du récipient externe (1), ne puisse pas remonter vers le haut à côté de l'élément de maintien (8), ni inonder la partie supérieure du récipient interne (3).
Une partie médiane (13) d'un fond (14) du récipient interne (3) a la forme d'une membrane pouvant être déplacée vers le
haut et vers le bas. Sur la fig. 1. on voit que cette partie médiane
(13) est, d'une part, en trait plein, dans sa position extrême supérieure, relevée dans une cavité interne (15) du récipient interne (3) et
qu'elle est, d'autre part, en pointillés, dans sa position extrême inférieure, abaissée dans la cavité interne (13) du récipient externe
(1). Par ce moyen, on peut faire varier l'une par rapport à l'autre les quantités de la seconde composante du récipient interne (3) et de la pre-
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Le récipient interne (3) présente sur sa paroi supérieurs (16) une ouverture (17) relativement petite, excentrée, que L'on peut ouvrir et fermer au moyen d'un obturateur (18) en forme de )ouchon à vis. A l'extérieur de l'ouverture (17), la paroi supérieure (16) <EMI ID=15.1>
de créer une grande ouverture permettant de puiser dans le récipient interne (3). La paroi supérieure (16) comporte des poignées (20) diamétralement opposées, munies d'encoches, qui facilitent la manipulation du récipient interne (3).
Dans les exemples de réalisation conformes aux fig. 3 A. 3 B et 4, les éléments identiques aux fig. 1 et 2 portent les mêmes références.
Sur la fig. 3 A, on voit que le couvercle (4) est maintenu contre le récipient externe (1) par l'intermédiaire
d'une bande de sécurité (21) périphérique, qui le borde au-dessous d'une partie retournée (22) du récipient externe (1). Des oeillets (23) diamétralement opposés, prévus pour une anse (24) sont fixés à la portion cylindrique.
La paroi supérieure (13) du récipient interne (3) comporte également des oeillets (25) prévus pour une anse (26).
L'anse (26) sert, d'une part, à sortir le récipient interne (3) du récipient externe (1) et, d'autre part, à porter le récipient interne (3) ainsi sorti du récipient externe (1).
Comme on le voit plus particulièrement sur la fig. 4, la paroi supérieure (16) du récipient interne (3) est inclinée en forme d'entonnoir vers l'ouverture (17) . permettant de vider plus facilement ledit récipient interne.
Sur les fig. 3 A et 4, on voit qu'un certain nombre d'éléments de maintien (27) sont répartis, à distance les uns des autres, sur la surface du récipient interne (3). Les éléments de maintien (27) ont une forme essentiellement stable et chacun est moulé sur la partie de paroi (9) du récipient interne (3), qui est élastique dans le sens radial. Chaque élément de maintien (27) présente une surface de butée (28) inférieure et une surface de fonctionnement (29) supérieure. La surface de butée (28) forma, avec une ligne horizontale, un plus petit angle que la surface de fonctionnement (29). Conformément à la fig. 3 A, une zone (30) de la cavité interne du bossage (7) entrant
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;elle-ci, est inclinée par rapport à l'horizontale. Ainsi, il en résulte que le récipient interne (3), lorsqu'il est à l'intérieur du récipient externe (1), en position de fonctionnement, a une assise sûre et une surface de contact définie par rapport à ce dernier. Simultanément, les surfaces de fonctionnement (29) étant relativement pentues, il est facile de sortir le récipient interne (3) du récipient externe (1), sans qu'en souffre la sécurité de la fixation axiale du récipient interne (3) par rapport au récipient externe (1).
Le récipient interne (3) est muni, à proximité
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le récipient interne (3) est à l'intérieur du récipient externe (1). s'applique élastiquement contre une zone étanche (10') de la surface
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la première composante se trouvant dans le récipient externe (1)
inonde la partie supérieure du récipient interne (3). La zone étanche
(10') faisant partie du tronçon conique (6) dont le sommet est dirigé vers le bas, la lèvre étanche (31), lorsqu'on enfonce le récipient interne (3), entre relativement tard en contact étanche avec la
surface interne (10) et permet,jusqu'à cet endroit.à l'air comprimé dans la cavité interne (12) de s'échapper. La surface externe (11) du récipient
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étanche (31), se trouve en grande partie à une certaine distance de la surface interne (10) du récipient externe; de cette façon, on crée
des rapports d'appui et de frottement définis de façon appropriée pour assurer la fonction d'étanchéité de la lèvre (31) et, de façon générale, pour la manipulation du récipient interne (3) par rapport au récipient
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translucide, tel qu'une matière plastique, il peut, conformément à la fig. 4, porter une échelle (32) qui permet d'évaluer, de l'extérieur, la quantité de la seconde composante restant encore dans le récipient interne (3). Sur la fig. 4, on voit également que le récipient interne
(3) présente, dans l'ouverture (17) qui, dans ce cas, est centrale,
un filetage externe (33), auquel correspond un filetage interne complémentaire pour l'obturateur (18) en forme de bouchon fileté.
Dans les fig. 5 et 6, les mêmes éléments portent à nouveau les mêmes références que dans les figures précédentes.
Sur la fig.5,on voit qu'un corps de soupape (34) en tronc de cône, muni d'une surface étanche (35). vient s'appuyer, <EMI ID=21.1>
complémentaire (36) qui délimite une ouverture (37) du fond du récipient interne (3). Une tige filetée (38) est fixée à la soupape (34). ladite tige filetée. dirigée vers la haut, traversant l'alésage fileté (39)
de l'obturateur (18). A l'extrémité supérieure libre de la tige filetée
(38). on place ultérieurement un bouton (40) permettant d'actionner
la tige filetée (38).
La seconde composante est avantageusement versée dans le récipient interne (3) par une ouverture (42) pouvant être
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fait défaut, on peut, après avoir revissé la soupape (34), se servir de l'ouverture (37) inférieure pour le remplissage, après qu'elle ait été tournée vers le haut. Lorsque le récipient est dans cette position de remplissage, on visse alors la soupape (34) contre la surface d'appui (36), jusqu'à obtention du contact étanche. On peut alors amener le récipient interne (3) dans sa position de fonctionnement
et l'introduire dans le récipient externe (1).
Pour sortir la seconde composante du récipient interne (3), il suffit de tourner le bouton (40) et de soulever la soupape (34) en la sortant de sa position étanche qui est indiquée à
la fig. 5, jusqu'à ce que l'ouverture (37) inférieure soit suffisamment ouverte. Grâce à l'échelle (32), on peut bien suivre l'évacuation de
la seconde composante du récipient interne (3), lorsque celui-ci est
en matériau translucide.
Sur la fig. 6, on voit que la tige filetée
(38) est vissée à travers la paroi supérieure (16) du récipient interne (3), par l'intermédiaire d'un alésage fileté (43). Le bouton
(40) est ensuite fixé à l'extrémité supérieure libre de la tige filetée (38). Dans ce cas, sil l'on veut rendre étanche l'ouverture inférieure (37) du récipient interne (3), on tire la soupage (34) à l'aide de la tige filetée (36) par l'extérieur du récipient interne (3) contre la surface d'appui (36).
Sur la fig. 5 comme sur la fig. 6, on voit que
le fond (14) est incliné, en forme d'entonnoir, vers le bas,en direction je la surface d'appui (36).
REVENDICATIONS
1. Assemblage de liaison pour systèmes à deux composan-
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tourné vers l'extérieur et qui comported'autre part un récipient interne (3) recevant la deuxième composante, placé de façon amovible dans le récipient externe (1) et venant s'intégrer dans la partie supérieure de la cavité interne (12) du récipient externe (1), caractérisé en ce que le récipient interne (3) est entièrement disposé à l'intérieur de la cavité
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