BE520560A - - Google Patents

Description

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  ALIMENT POUR BETAIL, CONTENANT DE LA PENICILLINE ET PROCEDES DE
PREPARATION. 



   Il est connu qu'en ajoutant de petites quantités de pénicilline ou autres antibiotiques, tels que de la streptomycine, de l'auréomycine, de la bacitracine ou de la terramycine, aux aliments pour le bétail, on peut obtenir un taux accru de croissance par unité d'aliment pour bétail, outre une décroissance de la mortalité et un meilleur-aspect de la volaille, spécialement des poussins (J.F.   Elam   et autres, Proc. soc.   exp.   biol. and medo, vol 78   (1951),   pages 832-6), il est également connu que, de la même manière, le degré de croissance des porcs peut être amélioré sans augmenter la quantité ou la valeur nutritive de l'aliment. 



   On suppose que cet effet est   priacipalamsnt   dü à une limitation de certains micro-organismes dans le   cana.   alimentaire, grâce à quoi la croissance d'autres   micro-organismes   est favorisée. Cela suppose,9 entra autres choses, une   meilleure   utilisation des quantités de vitamines   B   disponibles dans le canal alimentaire. 



   En vue d'obtenir un dosage sür, il est nécessaire de mélanger les antibiotiques dans l'aliment pour bétail. Cependant, comme les antibiotiques sont peu stables lorsqu'ils sont mélangés dans des aliments pour bétail, la pénicilline y compris, il est en général nécessaire, pour éviter des pertes d'antibiotique, que l'usager effectue lui-mêmechaque jour ou pour une consommation de quelques jours, le mélange de l'antibiotique dans l'aliment pour bétail.

   Comme les quantités d'antibiotique utilisées sont extrêmement petites, par exemple,   50000   à   20.000   unités internationales de pénicilline par kg. d'aliment pour   'bétail,   ce qui correspond à 5 à 20 mgr. de pénicilline, le pesage doit être exacte ce que la plupart des usagers sont incapables de faire avec le degré de sécurité et d'exactitude nécessaire , et même si cela était le cas, les opérations de pesage et de mélange   demandent   du temps, du soin et du personnel spécialisé. 

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   Il est, par conséquent, désirable que l'aliment 'pour'bétail soit fourni à l'usager avec la teneur prescrite en antibiotiques'et, en conséquence, il est très important pour l'application d'antibiotiques à des fins alimentaires de trouver un moyen pour rendre, par exemple, la pénicilline stable dans les aliments. 



   Par certains essais réalisés par la demanderesse, il a été trouvé qu'un gramme de farine de blé, à 37 C, est capable, en une heure, de rendre inactive 1,5 unité internationale de pénicilline,et qu'un gramme d'aliment pour poussins ayant la composition suivante, à une température de 37 C,durant une heure,rendait inactives environ deux unités interna-   tionales   de pénicilline. 
 EMI2.1 
 
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  Poudre <SEP> de <SEP> babeurre <SEP> 3 <SEP> % <SEP> Avoine <SEP> 10 <SEP> %
<tb> Poudre <SEP> de <SEP> petit <SEP> lait <SEP> 2% <SEP> Farine <SEP> d'avoine <SEP> 10%
<tb> Farine <SEP> de <SEP> viande <SEP> et <SEP> d'os <SEP> 15 <SEP> % <SEP> Farine <SEP> de <SEP> luzerne
<tb> Farine <SEP> de <SEP> hareng <SEP> 3 <SEP> % <SEP> Son <SEP> de <SEP> blé <SEP> 15 <SEP> %
<tb> levure <SEP> séchée <SEP> 2 <SEP> % <SEP> Chlorure <SEP> de <SEP> sodium <SEP> 0,5 <SEP> $ <SEP> 
<tb> Farine <SEP> de <SEP> graine <SEP> de <SEP> lin <SEP> 4% <SEP> Carbonate <SEP> de <SEP> calcium <SEP> 1,5%
<tb> Orge <SEP> moulu <SEP> 12% <SEP> Farine <SEP> de <SEP> blé <SEP> 15 <SEP> %
<tb> 
 
On a de plus trouvéque si les deux aliments pour bétail, avant les essais,étaient chauffés pendant 10 minutes 'à 90 C, un gramme de farine de blé et un gramme   d'aliment   pour poussins,

   sous les   moïses     condi=   tions,rendaient inactives respectivement 0,2 et   0,3   unité internationale de pénicilline. Il doit, par conséquent, être supposé que l'inactivation de la pénicilline dans l'aliment pour bétail doit être expliquée,au moins principalement, par le fait que les bactéries et peut-être d'autres microorganismes présents dans l'aliment produisent l'enzyme pénicillinase.

   Cependant, il serait trop coûteux de détruire la pénicillinase contenue dans l'aliment en chauffant celui-ci,avant son mélange avec la   pénicilline.     0 En   outre, on a trouvé que des pertes de pénicilline de cette manière ne peuvent pas   4tre   évitées dans l'aliment, car celui-ci est réinfecté de bactéries et d'autres micro-organismes formant à nouveau de la   pénicillinase.   



   L'objet de la présente invention consiste à procurer un aliment pour animaux, contenant de la pénicilline, dans lequel la teneur en pénicilline est stable durant l'emmagasinage pendant des périodes de temps qui ordinairement sont requises du point de vue commercial sous les conditions imposées de ce fait. 



   Un second objet de l'invention consiste à procurer une préparation de pénicilline appropriée à la production dudit aliment pour animauxo
Un troisième objet de l'invention consiste à prévoir des procédés de production de ladite préparation de pénicilline. 



   Dans l'aliment pour animaux suivant l'invention, la   pénicil-   line est présente sous la forme d'un composé de pénicilline, qui est modérément soluble dans l'eau et dont les particules sont incluses dans des particules d'une substance organique colloïdale hydrophile digestible, ayant une teneur en eau inférieure à 5   %,   lesdites particules étant uniformément réparties dans   l'aliment.   



   Le terme digestible utilisé dans la présente description signifie que la substance sera susceptible d'étre décomposée et amenée en solution par les enzymes du canal alimentaire des animaux, de manière que le composé de pénicilline puisse influencer la flore bactérienne du canal intestinal. 



   Si la substance colloïdale hydrophile est trop fragile à ladite faible teneur en eau,on peut ajouter un mélange d'une substance plas- 

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 tifiante, telle que du sucre, un alcool   polyvalent,   ou un polyéther conden- sé de   celui-ci.   



   On a trouvé que les pertes de pénicilline par emmagasinage de cet aliment sont sensiblement moindres que si la pénicilline a été direc- tement mélangée à l'aliment, par exemple, sous la forme de pénicilline de procaïne. 



   Comme composés de pénicilline, modérément solubles, on peut employer des sels de pénicilline avec des bases organiques ayant des constan- tes de dissociation supérieures à 10-8, de préférence des sels du type dont la solubilité dans l'eau est inférieure à 2 à 3 %. Parmi ces bases organi- ques, on peut mentionner la mélamine et la plupart des alcaloïdes exempts d'effets physiologiques indésirables, par exemple, le quinquina, et spécia- lement certaines amines tertiaires,par exemple la   procalne,   le diéthylami- noéthyl ester d'acide   p-oxybenzoique,   et la N,N'-dibenzyléthylènediamine. 



  De plus, certains esters de pénicilline avec des amino-alcools, et spécia- lement les iodhydrates, peuvent être utilisés, par exemple l'iodhydrate de   diéthylaminoéthyl   ester de pénicilline. 



   Gemme substance colloïdale hydrophile, on peut utiliser en solution, par exemple, de   l'amidon,   de la colle,de la gélatine, des déri- vés solubles dans l'eau de cellulose,tels que de la carboxyméthyl- ou de l'éthyl-cellulose, des alginates, des   caséinates,   de la méthyl- et éthylcellulose, et des gommes naturelles solubles dans l'eau. 



   Suivant l'invention, la préparation de pénicilline peut être produite en mettant en suspension le composé de pénicilline dans une solution aqueuse de la substance colloïdale hydrophile digestible, capable de former une masse cohérente au séchage, ladite solution étant ensuite concentrée à une teneur en eau inférieure à 5 %, et le produit concentré pul-   vérisé .    



   La concentration de la solution aqueuse de la substance colloidale est maintenue, de préférence, aussi élevée que possible, grâce à quoi la quantité d'eau à évaporer ensuite est diminuée. A cette fin, il est préférable de travailler à des températures élevées, grâce à cela, la concentration est accrue sans que la viscosité ne devienne plus élevée que le taux convenable pour la répartition du composé de pénicilline dans la solution. 



   Après la répartition du composé de pénicilline dans la solution, par exemple, au moyen d'un agitateur à rotation rapide, le séchage de la solution peut être réalisé de diverses manières, tout en gardant en vue qu'une quantité considérable d'eau doit être enlevée, ce qui durant la première phase peut être effectué par évaporation. Si on a recours à ce processus, l'évaporation est, de préférence, réalisée sous le vide en gardant la température d'ébullition si basse que la perte de pénicilline devienne minime et la viscosité si élevée que sensiblement aucune écume ne se produise durant l'ébullition. 



   Le séchage convenable peut, par exemple, s'effectuer en fines couches dans des plateaux chauffés plats, sur lesquels un courant d'air ayant un haut pouvoir séchant est amené. Il est encore possible, si nécessaire, après une concentration préliminaire, de refroidir la solution à une température telle qu'elle fasse prise en un gel qui ensuite est découpé en tranches ou feuilles, qui sont séchées dans un courant d'air chaud de la même manière que de la gélatine en feuille. Le séchage devrait être réalisé à la teneur la plus basse possible en eau, en vue d'assurer la stabilité du composé de pénicilline.

   En vue d'obtenir cela, les feuilles formées peuvent etre déplacées à contre-courant par rapport à l'air de séchage, et en vue d'augmenter le pouvoir séchant de l'air, il peut préalablement être refroidi, par exemple. jusqu'à 0 à 5 C avant d'ètre chauffé à la température à laquelle il est introduit dans l'appareil de séchage. 



  Dans le même but, le séchage peut encore être réalisé sous le vide ;la pres- 

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 sion est de préférence maintenue si basse ou si abaissée par la suite que les vapeurs s'échappant durant le séchage doivent être condensées par refroidissement séparé;, ou absorption dans une substance de fixation aqueuse, ou une solution ayant une pression d'eau inférieure à la tension de la   gla-     ce.   Le produit obtenu au moyen de ces méthodes de séchage est finement pulvérisé avant   d'être   mélangé à l'aliment pour bétail. Il faut prendre soin que la matière ne soit pas chauffée si fort, durant la pulvéri sation, que des pertes de pénicilline ne se produisent. 



   En général, il convient de mélanger une telle quantité du composé de pénicilline dans la solution de la substance colloïdale que la solution séchée de la substance colloïdale contienne 5 à 20% de pénicilline. 



  Lorsqu'on utilise une telle matière, il est nécessaire, en vue d'obtenir 5 à 20 unités internationales de pénicilline par gramme d'aliment, de mélanger le produit intermédiaire dans une si grande quantité d'aliment que l'opération est difficile   à   réaliser sans l'application de procédés spéciaux ; par   exemple ,   une partie du produit intermédiaire peut être mélangée avec dix parties d'aliment, et ce mélange peut ensuite être mélangé avec la partie restante de l'aliment. Il est également possible, au moyen d'un transporteur-alimenteur à vis sans fin, d'alimenter le produit intermédiaire à l'entrée d'un transporteur   à   vis sans fin plus grand (le transporteur de mélange) qui porte   l'aliment,   et de mélanger en même temps ce dernier avec le produit intermédiaire.

   De préférence, une canbinaison des deux méthodes est appliquée   d'une   manière telle que,d'abord, une petite quantité de l'aliment est mélangée avec le produit intermédiaire dans un transporteur de mélange à vis sans fin, le mélange ainsi obtenu étant ensuite mélangé dans un second transporteur de mélange avec le reste de   l'aliment   pour bétail. Ce processus peut, si nécessaire, être réalisé en un plus grand nombre encore de phases en utilisant un   nombre   correspondant de transporteurs de mélange à vis sans fin. 



   Par un procédé modifié suivant l'invention, la préparation de pénicilline à mélanger dans l'aliment pour animaux peut être produite de manière continue en mettant en suspension le composé de pénicilline dans une solution aqueuse de la substance colloïdale hydrophile digestible, capable de former une masse cohérente au séchage, en dispersant cette solution dans de   l'air,   et en la séchant en cet état au moyen de chaleur transmise par l'air.

   Ce procédé peut être mis en oeuvre dans le type d'appareul ordinairement utilisé pour le séchage dit par pulvérisation,   c'est-à-   dire, une chambre dans la partie supérieure de laquelle la solution à sécher est atomisée ou vaporisée en un brouillard par des gicleurs à travers lesquels la solution est introduite de force par de l'air sous pression, ou en faisant tourner rapidement des disquqs ou autres éléments, les gouttelettes du brouillard étant mises en contact, dans ladite chambre, avec de l'air à haut pouvoir séchant et étant transformées ainsi en particules solides. Celles-ci sont recueillies dans la partie inférieure conoïdale soit de la chambre de séchage, soit d'une chambre collectrice, dans laquelle la poussière est entraînée par l'air de séchage utilisé.

   La poussière est enlevée des chambres, par exemple, au moyep d'un transporteur à vis sans fin. 



   En vue d'obtenir une faible teneur en eau avec une consommation raisonnable de chaleur par kg d'eau évaporée, il est nécessaire de mettre en oeuvre ce séchage par vaporisation en deux ou plusieurs phases, à contre-courant par rapport à l'air de séchage, de telle manière que le produit séché venant de la première phase soit redispersé dans de l'air de haut pouvoir séchant dans une chambre suivante, et ainsi de suite avec un nombre de phases suffisant pour obtenir 1'économie de chaleur désirée, 
La faible teneur en humidité requise peut également être obtenue dans un procédé à phase unique en vaporisant une suspension du canposé de pénicilline dans une solution de la substance colloïdale hydrophile dige stible,

   sur une substance de support maintenue en suspension   tourbil-   

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   lonnante   par un courant, dirigé vèrs :la haut, d'air préchauffé introduit par la partie inférieure de la chambre de séchage. Si celle-ci a une hau- teur convenable:, les particules solides resteront dans la chambre, tandis que l'air quitte celle-ci par une ouverture prévue à la partie supérieure de cette dernière. 



   Lorsqu'une fournée de produit a été séchée à la teneur en humidité désirée,ce qui, avec de l'airà 50 C, demande environ 15 à 20 minutes, l'ouverture d'entrée pour l'air est fermée par un   dispositif   appro- prié quelconque, et le produit séché se déposera alors dans le cbne d'oû il peut être enlevé par une ouverture prévue dans la paroi dudit cône
La substance de support devrait, de préférence, être une ma- tière applicable comme composant de mélanges alimentaires pour animaux, par exemple, de la luzerne séchée, ou un composant minéral, de préférence du carbonate de calcium. 



   La solution colloïdale, contenant de la pénicilline, à sé- cher devrait, de préférence, contenir autant de substance sèche que possi-   ble.   D'autre partla concentration ne devrait pas être plus élevée que la quantité permettant une vaporisation ou atomisation aisée de la solution dans la chambre de séchage. On peut convenablement tenir compte de ces deux exigences en utilisant une solution d'amidon avec de l'amylase pour réaliser une hydrolyse partielle de l'amidon. Au séchage, une telle solution donne un milieu capable de protéger le composé de pénicilline utilisé. 



   La solution peut recevoir une teneur du composé de pénicilline,correspondant à environ 20.000 à 100.000 unités internationales par ml de la solution.   Si 'un   support solide est utilisé, une teneur se rapprochant de la plus basse des quantités données ci-avant convient le mieux. 



   Si une farine de luzerne séchée est utilisée comme support, et de l'amidon traité par amylase   comme   substance colloïdale, la proportion peut, par   exemple,   être de deux parties de farine de luzerne pour une partie d'amidon. Des proportions similaires peuvent être employées avec   d'au-   tres supports et substances colloïdales parmi ceux mentionnés ci-avant. 



   EXEMPLE 1. 



     264.   gro d'une solution de gélatine à 38% étaient chauffés jusqu'à   40   à 45 C et, avec agitation dans un agitateur rapide, 20 gr. de pénicilline de   procalne,   finement pulvérisée, étaient ajoutés. la mélange était poursuivi pendant 5 minutes ; ensuite, on ajoutait 136 gr. d'une solution contenant 35% de sucre de canne, 23% de glucose et 42% d'eau. Après agitation pendant 3 minutes supplémentaires, la suspension visqueuse était versée   dansdes   plateaux en couches de 5 MM d'épaisseur,les plateaux étaient placés dans un appareil de séchage sous le vide sur des plaques de fer qui étaient chauffées au moyen d'eau à 50  circulant d'un bout à l'autre de ces plaques, et la suspension était évaporée par une pression qui était ensuite abaissée de 14 à 3 mm de Hg.

   Les produits   concentré.5,,   qui contenaient 3.5% d'eau, étaient pulvérisés dans un moulin à boulets, et on trouvait que leur teneur était de 100.000 unités internationales par gramme. 



   2 gr. du produit intermédiaire, obtenu de cette manière, étaient mélangés soigneusement avec 10 kg. d'aliment pour poussins, de la composition donnée ci-avant, ensuite on déterminait que la teneur en pénicilline était de 20 unités internationales par   grammea   Après emmagasinage pendant six mois à la température ambiante, un gramme contenait encore 18 unités internationales de pénicilline. De cette manière, la perte était de 10%, ce qui se trouve en dedans de l'exactitude de la détermination ("agrcup-test"). 



     Exemple   2. 



   A 2,5 litres d'une solution de pectineà 3%, on ajoutait, avec agitation, 10 gr. de pénicilline de procaine et 150 gr. d'une solution de sucre de canne à 50%,et la suspension était évaporée sous le vide jusqu'à environ 0,5   kg.,   qui était évaporé sous le vide et pulvérisé de la même ma- 

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 nière   qu'à   l'exemple 1. Les produits évaporés contenaient 90.000 unités internationales de pénicilline par gramme. 



   2 gr. des produits intermédiaires, réalisés de cette manière, étaient soigneusement mélangés avec 10 kg. d'un aliment pour bétail composé de céréales moulues et de son, contenant 50% d'orge , 25% d'avoine, 15% de mais et 10% de son de blé. On déterminait que la teneur en pénicilline du mélange était de 18 unités internationales par gramme. Après emmagasinage pendait 6 mois à la température ambiante, la perte de pénicilline   n'excé-   dait pas 15 pour   mille.   



   Par contraste avec cela, un autre test montrait que 10 kg. du dernier aliment ci-avant contenant   0,20   gr de pénicilline de   procalne,   après un emmagasinage de 3 semaines, avaient une perte de 40% de la teneur en pénicilline. 



   REVENDICATIONS. 



   1. Aliment pour bétail contenant de la pénicilline, dans lequel la pénicilline est présente sous la forme d'un composé de pénicilline modérément soluble dans l'eau, dont les particules sont incluses dans les particules d'une substance organique colloïdale hydrophile digestible, ayant une teneur en eau inférieure à 5%, lesdites particules étant uniformément réparties dans l'aliment.

Claims (1)

1. 2. Procédé de production de l'aliment pour bétail suivant la revendication 1, qui comprend les phases de mise en suspension du composé de pénicilline dans une solution aqueuse de la substance organique hydrophile digestible,de concentration de la solution à une teneur en eau inférieure à 5%-, de pulvérisation du produit concentré, et de répartition du produit de manière uniforme dans les autres composants de l'aliment pour bétail.

   3. Procédé de production de l'aliment pour bétail suivant la revendication 1, comprenant les phases de mise en suspension du composé de pénicilline dans une solution aqueuse de la substance colloïdale hydrophile digestible,de dispersion de la solution dans de l'air, de son séchage dans cet état au moyen de chaleur transmise par l'air, et de répartition du produit séché dans les autres composants de l'aliment pour bétail.

   4. Procédé de production de l'aliment pour bétail suivant la revendication 1, comprenant les phases de mise en suspension du composé de pénicilline dans une solution de la substance colloïdale hydrophile di- gestible, de vaporisation de la suspension sur une substance de support maintenue en une suspension tourbillonnante dans une chambre de séchage par un courant, dirigé vers le haut, d'air préchauffé introduit par la partie inférieure de la chambre de séchage, et de répartition du produit séché ainsi obtenu, de manière uniforme, dans les autres composants de l'aliment pour bétail.