BE495694A - - Google Patents

Description

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  COMPOSITIONS-ANTICRYPTOGAMIQUES STABLES ET LEUR PROCEDE DE 
PREPARATION. 



   Certains composés anticryptogamiques, tels que certains composés de cuivre sont solides à la température ambiante et insolubles, sinon très peu solubles dans l'eau et la plupart des solvants organiques. On les emploie de préférence sous forme de suspensions aqueuses diluées avec lesquelles on arrose les plantes ou parties de plantes à protéger. Ces suspensions aqueu- ses peuvent être obtenues en agitant le composé actif à l'état de fine divi- sion dans l'eau en ajoutant un agent de dispersion approprié. On mélange sou- vent les substances actives à l'état de fine division avec un agent de disper- sion et les poudres dites mouillables ainsi obtenues sont mises en magasin et expédiées. On met en suspension un instant avant de les appliquer effec- tivement.

   Les poudres mouillables contiennent généralement des proportions considérables de supports inertes solides. 



   Les suspensions aqueuses diluées ainsi sont généralement peu sta- bles. Une portion notable de la substance en   suspension'se   dépose au bout de peu de temps, en empêchant d'obtenir une répartition uniforme et en provo- quant aussi éventuellement des obstructions dans les appareils d'arrosage. 



  En général la stabilité est particulièrement faible, lorsque la dilution s'ef- fectue avec de l'eau pure. Il doit évidemment être possible dans la pratique agricole de pouvoir se servir de l'eau dont on dispose en quantités   suffisam:   ment grandes sans prendre de précautions spéciales. 



   Certains agents anticryptogamiques, en particulier ceux qui font partie de la catégorie des composés organiques ne peuvent être facilement ob- tenues à l'état de division assez fine, à moins qu'on ne les mélange intime- ment avec une quantité beaucoup plus forte d'une substance de support solide inerteopération qui est compliquée, augmente les frais de transport,, et même diminue dans une certaine mesure l'action anticryptogamique. 



   Telle est la principale raison pour laquelle certains agents an- ticryptogamiques excellents tels que le dérivé de cuivre de la 8- hydroxy qui- noléine n'ont pas été employés jusqu'à présent sur une grande échelle. 

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   L'invention concerne de nouvelles compositions anticryptogamiques qui consistent en suspensions concentrées,   stabilisées,', d'agents   anticrypto- gamiques ne contenant pas de substances de support solides inertes. Elle con- cerne aussi un procédé de préparation de ces compositions. 



   Les compositions suivant l'invention permettent d'obtenir facile- ment des préparations prêtes à être utilisées par dilution avec de l'eau même avec de l'eau dure. Ces liquides d'arrosage sont stables et peuvent être u- tilisés sans prendre aucune mesure spéciale. 



   On prépare les compositions suivant l'invention en broyant une substance anticryptogamique solide avec une huile d'hydrocarbure de viscosité moyenne, qui ne commence pas à bouillir à une température inférieure à   10CPC   environ, dans laquelle la substance anticryptogamique n'est pas, sinon peu soluble et ne contenant sensiblement pas d'éléments possédant des propriétés phytocides, en ajoutant avant, pendant ou après l'opération de broyage un agent de dispersion approprié servant à émulsifier l'huile d'hydrocarbure dans l'eau et consistant principalement de préférence en composés émulsifiants non ioni- ques, tandis qu'on ajoute avant,pendant ou après l'opération de broyage de préférence une quantité d'eau limitée, par exemple de 10 à 50 % en poids. 



   On a constaté avec surprise qu'en ajoutant l'huile d'hydrocarbure on obtient de bons résultats dans le broyage des substances anticryptogamiques, même de celles qui en raison de leur bas point de fusion ou de leur ramollis- sement à température modérément élevée ont tendance à former des agglomérés. 



  L'application du procédé décrit ci-dessus a toujours permis de résuire la gros- seur des particules à la valeur qu'on désire. 



   De plus on a constaté que le broyage peut s'effectuer au moyen d'un désintégrateur quelconque approprié, même au moyen d'une machine très simple, telle qu'un broyeur à cylindres du type d'usage courant dans l'indus- trie de la peinture. Bien entendu on peut aussi se servir de désintégrateurs d'un type plus spécial et plus coûteux, par exemple des broyeurs à colloides. 



  Mais pour des raisons d'économie on donne la préférence au broyeur à cylindres à peinture. 



   Il est très important que la substance anticryptogamique ne soit pas soluble, sinon très peu dans l'huile d'hydrocarbure, sans quoi les varia- tions de température en magasin seraient susceptibles de provoquer la disso- lution ou la précipitation d'une certaine quantité de la substance active. 



  Il en résulterait dans ce dernier cas que certaines des petites particules s'aggloméreraient entre elles. 



   Il est évident que l'huile d'hydrocarbure endommagerait les plan- tes ou parties de plantes arrosées s'il contenait des substances possédant des propriétés   phytocides   et par suite ces substances, si elles existent à l'origine doivent être éliminées, au moins dans une mesure dans laquelle le risque d'endommager les plantes ou parties de plantes par le liquide anti- cryptogamique d'arrosage n'a plus aucune importance pratiquement. 



   Les huiles d'hydrocarbures à ajouter sont choisies de préférence parmi l'huile blanche, l'huile de broche, les fractions analogues d'huiles lubrifiantes minérales fortement raffinées, qui ont donné des résultats très   .sati sfaisant s .    



   Etant donné qu'on s'efforce dans la pratique évidemment d'obtenir une forte teneur en substance active dans les préparations de stock, on limi- te la proportion d'huile d'hydrocarbure ajoutée à celle qui est nécessaire pour obtenir un résultat satisfaisant. Des proportions comprises entre envi- ron 25 à 15 % en poids par rapport à la substance anticryptogamique suivant la nature de cette substance ont été trouvées généralement suffisantes. 



   Le produit concentré obtenu par le procédé suivant l'invention auquel on n'a pas ajouté d'eau a la consistance d'une pâte et ne se verse pas facilement. Le plus souvent dans la pratique, on désire qu'il se verse mieux, car il est alors beaucoup plus commode de mesurer la quantité qui doit être ajoutée pour préparer les suspensions diluées. Outre l'addition d'une quan- tité d'eau limitée on peut parfois rendre le produit encore plus facile à ver- 

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 ser en dissolvant dans l'eau des sulfonates ou des sels d'alkyl esters de l'a- cide sulfurique, qui possèdent une activité superficielle, tels que le produit connu, dans le commerce sous le nom de   Teepol   ou des substances analogues. 



  On peut empêcher la thixotropie des produits concentrés ainsi obtenus qui se produit dans certains cas par l'addition d'une faible quantité d'un.sel alca- lin d'un acide carboxylique polybasique, par exemple le citrate de sodium. 



   L'agent de dispersion peut consister en un ou plusieurs agents de mouillage connus et substances analogues à activité superficielle, du type anion actif, mais on donne la préférence aux émulsifiants non ioniques et en particulier aux produits de condensation d'oxyde d'éthylène avec les alkyl phénols ou leurs dérivés, car on supprime ainsi sensiblement le risque de for- mation des dépôts après dilution dans l'eau dure. Cependant il est parfois a- vantageux, ainsi qu'il a déjà été dit, d'ajouter des émulsifiants ioniques' de même que pour rendre le produit facile à verser.

   Ces émulsifiants, par exemple le produit déjà cité connu sous le nom de Teepol ou les sulfonates d'huiles minérales., tels que les sels de sodium des acides sulfoniques solu- bles dans l'huile obtenus au cours du raffinage des huiles lubrifiantes peu- vent être combinés si on le désire avec des émulsifiants non ioniques. On peut aussi ajouter des substances solubilisantes, telles que le crésol. 



   L'addition de l'émulsifiant ou d'au moins une proportion notable de l'émulsifiant à l'huile d'hydrocarbure avant de broyer la substance anti- cryptogamique avec elle est à recommander. Cependant on peut aussi ajouter l'émulsifiant en totalité ou en partie pendant ou après le broyage. 



   En broyant la substance anticryptomagique avec l'huile d'hydrocar- bure sans addition d'eau, mais en présence d'un émulsifiant on obtient un pro- duit concentré, à l'état de fine dispersion, stable'et analogue à une pâte, dans lequel les particules dispersées sont enveloppées par l'huile d'hydrocar- bure. En diluant ce produit avec une quantité d'eau limitée ou en ajoutant directement une quantité d'eau limitée avant ou pendant le broyage, on obtient des suspensions concentrées, fines et stables, contenant environ   40   à environ 60 % en poids de substance active, qu'il est facile de diluer à l'état de li- quide anticryptogamiques d'arrosage de la concentration habituelle.

   Etant donné qu'aucun appareil spécial de mélange ou d'homogénéisation n'est néces- saire à cette dilution,elle peut s'effectuer à l'endroit où le liquide d'ar- rosage doit être utilisé. 



   L'invention est particulièrement importante lorsqu'il s'agit des composés organiques anticryptogamiques, qui jusqu'à présent n'ont pas permis de préparer par les procédés appliqués à cet effet d'une manière générale des liquides d'arrosage possédant une stabilité suffisante. Le composé de cuivre de la 8- hydroxy quinoléine, qui possède par exemple une activité anticrypto- gamique exceptionnelle, n'a guère pu être utilisé jusqu'à présent sur une gran- de échelle dans la pratique. L'invention rend beaucoup plus commode l'appli- cation de ce composé ainsi que d'autres composés organiques anticryptogamiques, y compris ceux qui ne contiennent pas de cuivre, tels que par exemple les di- sulfures de thiurame.

   Mais l'invention s'applique aussi en donnant des résul- tats remarquablement satisfaisants dans le cas où les substances actives sont des composés de cuivre inorganiques insolubles dans l'eau ou à peu près, tels que l'oxychlorure de cuivre et l'oxyde cuivreux. Si on le désire on peut uti- liser diverses substances anticryptogamiques.. en combinaison et y ajouter aus- si des substances insecticides. 



   Les suspensions aqueuses obtenues par dilution des produits con- centrés peuvent servir d'une manière générale à détruire les micro-organismes végétaux nuisibles, tels que les champignons et leurs spores. Elles convien- nent particulièrement à titre de liquides d'arrosage en agriculture, horticul- ture, culture des fruits, pour protéger les plantes ou parties de plantes uti- les. 



   Les résidus qui subsistent sur les plantes une fois arrosées, pos- sèdent une très forte activité et en raison de leur résistance à l'action de la pluie cette activité   anticryptogamique''   dure très longtemps. 

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   Les exemples suivants indiquent de quelle manière l'invention peut s'appliquer dans la pratique, mais ne doivent pas être considérés comme la limitant. 



     Exemple 1 -   On.broie 45 parties en poids d'hydroxy-8-quinoléate de cuivre dans un broyeur à peinture avec 31,5 parties en poids d'une phase d'huile consistant en 27 parties en poids d'huile blanche dans laquelle on a dissous 4 parties en poids d'un émulsifiant non ionique, qui consiste en aryl-alkyl polyéther alcools et connu sous le nom de la marque déposée Triton X 155 et 0,5 partie en poids de sulfonates d'huile minérale solubles dans l'huile. 



   On ajoute en agitant à la pâte épaisse ainsi obtenue 23 parties en poids d'une eau de la distribution locale de dureté moyenne, dans laquel- le on dissout 0,5 partie en poids de citrate de sodium. On obtient une mas- se homogène qui se verse facilement et contient 45 % en poids de substance active. On n'observe pratiquement aucun dépôt, même au bout d'une durée de stockage prolongée. Ce produit est facile à diluer à la concentration d'arro- sage en le versant dans l'eau en agitant. Le liquide d'arrosage est suffi- samment stable pour être utilisé dans la pratique, même q'il est répandu par un avion, à bord duquel il n'est pas possible de vérifier l'état de liquide en cours de-vol et de l'agiter s'il y a lieu. 



   On a déterminé l'activité anticryptogamique de la préparation en l'essayant contre la Sclerotinia fructicola (Wint.) Rehm. LD 50,   c'est-à-dire   la concentration qui est nécessaire pour détruire 50 % de la prolifération de spores et on a constaté qu'une concentration ne dépassant pas 0,1 partie par million {teneur en cuivre = 0,0065 partie par million) est suffisante, tandis qu'avec une solution aqueuse de sulfate cuivrique LD 50 = 20 parties par million (teneur en cuivre = 5 parties par million). 



   Exemple 2 - On broie 30 parties en poids d'hydroxy-8-quinoléate de cuivre avec 30 parties en poids d'huile blanche et 4 parties en poids de Triton'X 155 à l'état de pâte épaisse dans un broyeur à peinture, à cylindres. 



  On mélange la pâte en agitant sans cesse avec 20 parties en poids d'une solu- tion aqueuse de Teepol (contenant 33 % en poids d'alkyl sulfate secondaire de sodium) et avec 16 parties en poids d'eau de la distribution locale de du- reté moyenne. 



   Le produit concentré ainsi obtenu se verse facilement et est fa- cile à diluer à l'état de liquide d'arrosage stable anticryptogamique. On n'observe pratiquement aucun dépôt dans le produit concentré même au bout d'une période de longue durée. 



   Exemple 3 - On broie dans un broyeur à peinture à cylindres 40,4 parties en poids de disulfure de tétraméthyl thiurame avec 29,6 parties en poids d'huile de broche,   4,3   parties en poids d'un émulsifiant non ionique consistant en aryl-alkyl polyéther alcools et connu dans le commerce sous le nom de Triton X 100 et 0,5 partie en poids de sulfonates d'huile minérale so- lubles dans l'huile. 



   On agite la pâte épaisse ainsi' obtenue avec 25,2 parties en poids d'eau et on obtient un produit concentré qui se verse et se dilue facilement dans lequel on n'observe guère de dépôt au bout d'une période de stockage pro- longée. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

1. REVENDICATIONS 1. Compositions anticryptogamiques consistant en suspensions con- centrées de substances anticryptogamiques à l'état de fine division, ne con- tenant pas de substance de support solide inerte, lesquelles suspensions sont stabilisées au moyen d'une huile d'hydrocarbure de viscosité moyenne, à point d'ébullition d'au moins 100 C, dans laquelle la substance anticryptogamique est insoluble sinon peu soluble et qui ne contient sensiblement pas d'éléments possédant des propriétés phytocides, les suspensions susdites étant stabili- sées'davantage au moyen d'un ou plusieurs agents de dispersion, susceptibles en totalité ou au moins en grande partie d'émulsifier l'huile d'hydrocarbure <Desc/Clms Page number 5> dans l'eau,

   de façon à obtenir des compositions qui se dispersent facilement dans l'eau en formant des liquides d'arrosage anticryptogamiques stables.

   2. Compositions anticryptogamiques suivant la revendication 1, contenant aussi une faible quantité d'eau suffisante pour les rendre facile a verser.

   3. Compositions anticryptogamiques suivant l'une ou l'autre des revendications 1 & 2, caractérisées en ce qu'une proportion notable au moins des agents de dispersion est du type non ionique, comme les émulsifiants ob- tenus par condensation de l'oxyde d'éthylène avec des alkyl phénols ou leurs dérivés.

   4. Compositions anticryptogamiques suivant'les revendications 2 et 3, caractérisées en ce qu'elles contiennent outre l'émulsifiant non ioni- que des sulfonates ou des sels d'alkyl esters de l'acide sulfurique, possédant une activité superficielle, tels que le produit connu dans le commerce sous le nom de Teepol.

   5. Compositions anticryptogamiques suivant l'une ou l'autre des revendications 2 et 4, caractérisées en ce qu'elles contiennent une faible proportion d'un sel alcalin d'un acide carboxylique polybasique, tel que le citrate de sodium.

   6. Compositions anticryptogamiques suivant l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisées en ce qu'elles contiennent un com- posé organique comme élément actif. , 7. Compositions anticryptogamiques suivant la revendication 6, caractérisées en ce qu'elles contiennent un dérivé de thiurame, tel que le disulfure de tétra-méthyl thiurame comme élément actif.

   8. Compositions anticryptogamiques suivant la revendication 6, caractérisées en ce qu'elles contiennent le dérivé de cuivre de la 8-hydroxy quinoléine comme élément actif.

   9. Compositions anticryptogamiques suivant l'une ou l'autre des revendications précédentes, caractérisées en ce qu'elles contiennent de l'hui- le blanche, de l'huile de broche, ou des fractions analogues d'huiles lubri- fiantes minérales fortement raffinées comme huile d'hydrocarbure.

   10. Procédé de préparation de compositions anticryptogamiques sui- vant la revendication 1, caractérisé en ce que l'on broie la substance active avec l'huile d'hydrocarbure et on ajoute un ou plusieurs agents de dispersion avant, pendant ou après le broyage, mais de préférence avant le broyage.

   11. Procédé suivant la revendication 10, caractérisé en ce qu'au moins une proportion notable des agents de dispersion ajoutée est du type non ionique, comme les émulsifiants obtenus par condensation de l'oxyde d'éthyle- ne avec des alkyl phénols ou leurs dérivés.

   12. Procédé suivant l'une ou l'autre des revendications 10 et 11, caractérisé en ce qu'on ajoute une quantité limitée d'eau avant, pendant ou après le broyage, cette quantité étant suffisante pour rendre les produits obtenus faciles à verser.

   13. Procédé suivant la revendication 12, caractérisé en ce que l'eau ajoutée contient un ou plusieurs sulfonates ou sels d'alkyl esters de l'acide sulfurique, possédant une activité superficielle, tels que le produit connu dans le commerce sous le nom de Teepol.

   14. Procédé suivant l'une ou l'autre des revendications 12 et 13, caractérisé en ce que l'eau ajoutée contient une faible quantité d'un sel al- calin d'un acide carboxylique polybasique, tel que le citrate de sodium.

   15. Procédé suivant l'une ou l'autre des revendications 10 à 14, caractérisé en ce qu'un composé organique anticryptogamique est broyé avec l'huile d'hydrocarbure.

   16. Procédé suivant la revendication 15, caractériséen ce qu'on <Desc/Clms Page number 6> emploie un dérivé de thiurame, tel que le disulfure de-tétra-méthyl thiurame comme composé organique.

   17. Procédé suivant la revendication 15, caractérisé en ce qu'on emploie le dérivé de cuivre de la 8-hydroxy quinoléine comme composé organi- que.

   18. Procédé suivant l'une ou l'autre des revendications 10 à 17, caractérisé en ce qu'on emploie de l'huila blanche, de l'huile de broche, ou des fractions analogues d'huiles lubrifiantes minérales fortement raffinées comme huile d'hydrocarbure.

   19. Liquide d'arrosage anticryptogamique, préparé en diluant une composition suivant l'une ou l'autre des revendications 1 à 9, avec de l'eau.

   20. Procédé pour combattre les champignons et organismes nuisi bles analogues, caractérisé en ce qu'on les arrose à l'aide d'un liquide sui- vant la revendication 19.