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in BRIQUET"
La présente invention est relative aux briquets portatifs.
Le briquet selon l'invention contient tous les or- ganes nécessaires et il est capable de s'allumer et de rester
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allumé dans des courants d'air violents.
Le mécanisme du briquet est de construction simple, il comporte des pièces facilement remolaçables et un obtura- teur fuit de manière à régler le volume de gaz allant du ré- servoir à gaz au brûleur de manière à donner une flamme brû- lant pendant un tempe déterminé.
Ce briquet est muni d'un carburateur en forme de tube de Venturi au moyen duquel un mélange efficace d'air et de combustible peut accéder au brûleur.
Le système d'allumage du briquet peut comporter un jeu de piles sèches et un catalyseur qui y est relié, un interrupteur étant associé à l'obturateur réglant le passa- ge du gaz au brûleur de manière à faire pascer du courant de la pile au catalyseur lorsque l'obturateur est ouvert, en chauffant ainsi le catalyseur suffisamment pour que les gaz s'allument dans le brûleur.
Le système d'allumage électrique du briquet peut comporter une ou plusieurs piles, une bobine d'induction et un condensateur actionné par ce système d'allumage, le circuit étant excité par un interrupteur qui est fermé quand l'obturateur à combustible est ouvert, en donnant ainsi une étincelle chaude dans le brûleur pour l'allumage, lorsque le gaz y passe.
Le briquet peut être muni d'un allumeur actionné par pression monté au voisinage immédiat d'un élément donnant une étincelle, voisin du brûleur, de sorte que, lorsque le gaz sous pression sort du réservoir par l'ouverture de l'obturateur, le mouvement d'avance d'un piston met l'allu- meur en prise avec l'élément produisant une étincelle, en allumant ainsi les gaz qui passant dans le brûleur.
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Le catalyseur contenu dans le brûleur peut être chauffé par d'autres moyens que le courant électrique qui y passe pour allumer le gaz dans le brûleur alors que le catalyseur est soumis à l'action du courant de Gaz.
Le briquet peut être muni de plusieurs réservoirs à gaz qui sont interchangeables lorsque le gaz du réservoir en service est épuisé.
D'autres avantages et particularités de l'invention ressortiront de la description qui va suivre de diverses formes de réalisation, faite en se référant aux dessins annexés dans lesquels : la figure 1 est une vue en élévation de face du briquet, montrant la construction du boîtier extérieur.
La figure 2 est une vue par dessus du briquet, montrant la position du brûleur le couvercle étant enlevé.
La figure 3 est une coupe verticale , avec vue en élévation partielle du briquet, montrant la position des ré- servoirs à gaz inflammable par rapport au mécanisme de manoeu- vre du briquet, la coupe étant faite suivant la ligne 3-3 de la figure 2.
La figure 4 est une vue de détail à plus grande échelle du réservoir à gaz, montrant la construction du col d'un réservoir à gaz et la position de son filtre.
La figure 5 est une coupe, à plus grande échelle, du raccord de sortie du réservoir, montrant en partie la position d'une aiguille de percement placée dans son boî- tior et montrant également le filtre dans le boîtier.
La figure 6 montre les positions relatives du raccord d'entrée du gaz par rapport au carburateur du type Venturi, lequel est visible en coupe de détail à légèrement plus grande échelle.
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La figure 7 représente, à plus grande échelle, en coupe et partiellement en élévation, un détail de l'obtura- teur, montrant son bouton poussoir et son plongeur par rapport à la conduite do gaz.
La figure 8 est une vue de détail par dessus de l'obturateur, montrant la position de son élément rétracta- ble.
La figure 9 est une coupe verticale et partielle- ment en élévation du briquet, montrant une variante de l'appareil d'allumage du gaz.
La figure 10 est une vue analogue, montrant l'ap- plication de piles sèches, d'une bobine d'allumage et d'un condensateur, avec des moyens d'allumage des gaz dans le brûleur.
La figure 11 est une coupe horizontale de détail de l'obturateur, faite suivant la ligne 11-11 de la figure 10.
La figure 12 est une coupe verticale des contacts, faite suivant la ligne 12-12 de la figure 11.
La figure 13 est une coupe verticale partielle d'une variante du briquet comportant des piles sèches et un système d'allumage par catalyseur pour allumer les gaz dans le brûleur.
La figure 14 est une vue par dessus du briquet, montrant le couvercle 'en position, sur le brûleur.
Le briquet comporte un boîtier 2 (fig. 3), avec partie supérieure 4, partie médiane 6 et partie inférieure 8, cette dernière et la partie supérieure 4 étant amovibles de sorte que l'on peut assembler, remplacer ou remettre en état, lorsqu'on le désire ou que cela est nécessaire, l'allu- meur, désigné dans son ensemble par 10.
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La partie supérieure 4 présente, sur son bord supérieur 12, une ouverture 14 livrant passade au gaz provenant d'un brûleur 16. Les parties 6 et 8 du boîtier comportent des cloisons intérieures 18 constituant des compartiments servant à loger les parties essentielles du briquet.
Dans le boîtier 2, se trouve également une console 20 placée dans la partie de boîtier 4, en -faisant partie in- tégrante de la partie supérieure de la cloison 18. Toutes les pièces de manoeuvre de l'allumeur 10 sont montées sur cette cloison.
Le brûleur 16 est maintenu en place sur la console 20 au moyen de consoles 22 et il en part un carburateur 24 en forme de tube de Venturi dans lequel se trouve uns aiguil- le il-'6 maintenue en position par une console 28. L'aiguille 25 est reliée à une chambre d'accumulateur 0 portée par la console 28, la partie supérieure de la chambre étant re- liée à une conduite 32.
Celle-ci se'prolonge par un tuyau auxiliaire 4 qui monte d'abord, puis forme un anneau circulaire qui recouvre le bord de l'ouverture 14, puis descend en 36 pour se raccorder à un tuyau 38 d'arrivée de gaz.
L'extrémité supérieure 40 du tuyau 38 est branchée sur l'extrémité fermée d'un cylindre 42 dans lequel coulisse un piston 44. Une extrémité 46 de ce piston porte une tige 48 sur l'extrémité libre de laquelle pivote une barre d'allu- mage 50. Sur cette barre pivote à son tour un allumeur 50 dont l'extrémité est voisine d'un élément on cérium 54. Un ressort 56, dont une extrémité est fixée à la console 20 et dont l'autre pousse la barre 50 par dessous, soulève cette
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barre et, en conséquence, maintient l'allumeur 56 contre
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l'élément en cérium 54, pendant le va et vient du piston 44 dans le cylindre 42, pour l1 on 'jG r une pluie d'étincelles lorsque l'allumeur se déplace vers la gauche.
L'extrémité inférieure .2ê du tuyau 8 est branchée sur un obturateur 60, au moyen d'un tube élastique 62 dont la partie centrale 64 passe dans l'obturateur 60 et son autre
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extrémité (ist reliée par un raccord 66 à une sortie de gaz 68.
Celle-ci est portée par une console 70 fixée à la
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console 20 et elle comporte une chambre 72 (fig. 5) dans laquelle se trouve un filtre 74. Dans le bas de cette sortie 68, est vissée une aiguille 2µ¯ du genre d'une aiguille hypo-
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dermique, avecpassage ?Q, descendant à travers la cloison 18, comme on le voit en 80 sur la figure 3. L'extrémité 82 de 'l'aiguille 6 descend à travers une fermeture étanche 84 placée dans le col d'un réservoir à gaz 86 contenant du gaz liquéfié, par exemple du propane, à une pression d'environ
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10 kg/cm2.
Pour limiter le mouvement de va et vient du piston 44 dans le cylindre 42, pendant le fonctionnement de l'allu-
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meur, le cylindre por'ce, sur son extrémité avant 88 une bride 90, dirigée vers l'intérieur, formant siège pour une extré- mité d'un ressort 92. L'autre extrémité de ce ressort porte contre la surface 46 du piston 44. Une console 94, fixée sur la console 20, supporte le cylindre 42 en position de travail convenable.
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Le brûleur 16 comporte un boîtier .2.± qui pe,: t, si on le désire, être de forme cylindrique, la partie supérieure L du brûleur étant placée sur l'ouverture 14 du boîtier 2,
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en dessous de la bagne constituée par le tuyau 34, un passage 100 étant prévu dans le brûleur, comme on le voit sur les figures 3 et 9.
Ce passage 100 reçoit un prolongement tabulaire 102 sortant du boîtier 96, au dessus du bord de l'élément en cérium 54, en dirigeant ainsi les étincelles de celui-ci dans le boîtier 96 du brûleur lorsque l'on actionne l'allumeur 52.
Le boîtier 6 comporte un épaulement 104 et un rebord 106 servant à porter un bec de brûleur 108 en position appropriée, un peu au-dessous du passage 100 dos étincelles et au-dessus de l'extrémité de sortie 110 du carburateur 24.
On remarquera que l'aiguille 26 avec sa conduite est placée dans la partie étranglée 112 du tube de Vonturi.
Le carburateur 24 a une ouverture d'entrée 114 légèrement élar gio pour laisser l'air entrer librement dans la chambre où il se mélange avec le combustible, en donnant ainsi un mélange facilement combustible pendant la fonctionnement du briquet.
On peut remarquer également que le bec 108 comporta une chambra do mélange 116 de gaz et d'air avec ouverture centrale 118 ainsi que plusieurs passages à gaz 120 servant ensemble au passage du gaz passant dans le bec. Ce mode de construction particulier du brûleur et du carburateur 24 maintient avantageusement l'intensité convenable- de la flamme produite, d'où il résulte que la flamme ne s'éteint pas dans le cas de violents courants d'air dirigés sur l'ouverture 14 du brûleur.
Afin de régler le passage du combustible à haute pression dans l'obturateur 60, la pattie élastique 64 du tube 62 est maintenue entre deux organes de serrage 12 et
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126 (fig. 7). Ces organes de serrage comportent un étricr à cheval sur un axe 130 monté dans le corps de l'obturateur 60 et, de préférence solidaire d'un bras 132 fixé sur la console 20.
L'organe 124 est, de préférence, fixe tandis que
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l'autre, 26, est flexible, est légèrement plus long et monte, sur son extrémité libre étant munie d'une encoche 134, ou dispositif analogue dans laquelle se loge une barre de
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déclenchement 136. Cette barre 136 est articulée ur un bossage 1>89 au moyen d'un pivot 140. Elle est munie en dessous d'une saillie 142 venant en prise sur l'extrémité de l'organe
126, l'extrémité 144 de cette, barre s'étendant, à l'arrière, vers une came 146 sur laque lle vient porter l'extrémité inclinée 148 de la barre. Pour maintenir la barre en position
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de fonctionnement convenable, un ressort 150, fixé à la console 20 tend à faire descendre cette barre.
Celle-ci est maintenue en place par un 1)os;::a[;e ou plongeur 152 coulissant dans une douille 154 ménagée dans le corps due l'obturateur 60, entre lf organe de serrage 126 et un ressort à lame 158 fixé sur le corps de l'obturateur. Un bouton 16, actionné à la main, coulisse dans le boîtier 4, dé l'autre côté du ressort 158 pour actionner le plongeur
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152 et, en conséquence, la barre lorsqu'on le pousse dans le boîtier.
Le réservoir à gaz contient une cartouche allongée
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10, dont le fond 162 est fermé et comportant, dans sa partie supérieure 164 (fig. 4), un col 166 faisant saillie à l'intérieur de la cartouche. La base du col 166 forme un passage. 168 avec bord recourbé vers l'intérieur 170.
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Le bord supérieur 172 du col 166 va en s'évasant vers l'extérieur, comme on le voit, pour maintenir , cn assurant la fermeture, un couvercleavec bride 174. Ce cou- vercle présente une partie 176 refoulée vers le bas, en tronc de cône, avec passage 178, pour une aiguille 76 et qui sert de guide lorsque l'aiguille 76 est enfoncée lors de la mise cn place du réservoir à gaz.
Dans le col 166, se loge une garniture 180 en une matière élastique présentant dans le bas une creusure 182 et une saillie centrale 184, servant de fermeture autour de l'aiguille 76 lorsque cellu-ci la traverse.
Dans la cartouche 160 et au voisinage immédiat du col 166, se trouve un filtre 186 empêchant le fluide de sortir à l'état liquide de la cartouche et qui facilite la gazéification du gaz liquéfié avant de passer dans l'ouverture 78 de l'aiguille, en particulier lorsque le réservoir 86 est autrement qu'en position verticale.
Pour empocher que des matières solides tombent dans le boîtier 96 du brûleur 16 où s'y déposent, une grille 188 (fig. 2 et 3) est placée sur l'ouverture 14, dans la pas- sage constitué par l'anneau 190 ou tube auxiliaire 34.
En fonctionnement, lorsque l'on ouvre l'obturateur 60 en appuyât sur le bougon 156, une certaine quantité de gaz inflammable passe dans le tube 38. Il n'est toutefois liboré qu'une quantité déterminée de gaz, car à la fin de la course de l'obturateur, la barre 136 est soulevée par la came
146, en libérant ainsi l'extrémité 134 de l'organe do serra- ge 126 qui, en conséquence, revient sur le tube 64 an le fermant pour interrompre 1' écoulement du gaz dans ce tube.
Be cotte façon, il n'est libéré qu'une certaine
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quantité de az qui passe par le tuyau 38 dans les tubes 36 et 40.
De ce dernier, le gaz va dans le cylindre 42,
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cn faisant déplacer rapidement le piston 44Jvors la gauche. jetant donné que le ressort 56 tend à soulever la tige 30, l'allumeur 52 vient en prise par friction sur la surface du cérium 54. Les étincelles ainsi produites sont dirigées -dans le pas cage 100 et, de là, dans le brûleur 16.
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En mGr,let3GlpS, le gaz passant dans le tube 5 passe dans l'anneau 190, puis dans le tube 4 et la chambre 30 De cclle-ci, le gaz purt par la conduite 26 pour aller, avec une certaine quantité d'air, dans le carburateur 24 et,
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finalement, dans lo bac 108 situé dans le haut du brûleur 16 où il s'allume au moyen des étincelles produites par l'allu- mer z2, comme on l'a dit plus haut.
Les gaz allumés chauffent; l'anneau 10 on faisant dilater les ,;az qui s'y trouvent. De plus, le ,au, qui est entré d'abord dans le cylindre 42, en est expulsé, lorsque le piston recule sous l'action du ressort 92, et pase dans le
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tuyau 36 et , de là, dans l'anneau 19Q. En limitant la passa- go dans la conduite de gaz 2µ¯, il n'y a qu'une quantité limitée de Gaz qui puisse y passer. Par suite, il n'y a qu'une quan- tité limitée de gaz qui brûle dans le brûleur 16, normalement pondant trois à quatre secondes. En actionnant plusieurs fois l'obturateur 60, on peut libérer du gaz supplémentaire du réservoir 86, si l'on désire une pins longue combustion.
Lorsque le gaz du réservoir actif 86 est épuisé, on peut enlever le fond 8 du boîtier 2 pour enlever ce ré- servoir' On peut alors le remplacer facilement par un autre des réservoirs de rechange 192 où 194 en poussant celui-ci
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vers le i:aut jusqu'à ce que l'aiguille 76 perce la fermeture 89 et la traverse, comme on l'a dit plus haut.
On remarquera également que, si on le désire, l'aiguille 76 peut être plus longue comme cela est représenté sur la figure 10, auquel cas on peut supprimer le filtre 186.
On a constaté que le filtre 74, lorsqu'il est placé dans la chambre 72 de la sortie¯¯5µ. comme sur la figure 5, est'très suffisant pour le but cherché.
On peut également noter que des réservoirs à gaz 86, 192 et 194 peuvent être chargés et fermés de la façon la plus commode en pratique et peuvent être alors mis à la disposition des usagers du briquet.
La figure 9 représente une variante, en particulier en ce qui concerne l'obturateur 200 et le mécanisme de com- mande 202 donnant l'étincelle d'allumage des gaz dans le brûleur.
L'obturateur 200 comporte un boîtier 204 avec sup- port 206 d'une partie du tube' à gaz élastique 64, ce support 206 étant 'monté sur la console 20.
Dans le support 206, se trouve un passage 208 pour un organe obturateur 210, en forme de bille ou de galet, comprimant le tube élastique 64 pour limiter le passage du gaz dans celui-ci.
L'organe 210 est maintenu en place par un bouchon élastique 212 dans lequel passe une tige 214. L'extrémité de cette tige est articulée sur un levier 216 pivotant sur un axe et portant, à l'autre extrémité, un crochet 218 dont on verra le rôle plus loin.
Très près du levier 216, une roue de déclenchement 220 est montée sur un axe central 222 et porte, sur un coté,
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un erGot de déclenchement 224. En un point diamétralement opposé de la roue, pivote un levier 226 relié au. levier
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228 actionnant l'allumeur et pivotant sur un axe 230. Sur l'extrémité inférieure du levier 228, est attelée une extré- mité d'un ressort de traction 2 2 dont l'autrejaxtrémité est prj¯se}9an s un crochet 234. Le haut du levier z28 porte une chape 236 entourant un axe fixé à une barre 238 d'allumeur.
Celle-ci coulisse dans le châssis 240, fixé sur la console 20 au moyen de vis, la partie avant de la barre 238 portant un allumeur 242 pivotant sur une barre élastique
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244 fixée à la barre 28 La barre élastique z maintient le point aal1t de l'allumeur 242 contre la surface du morceau de cérium 4,. portait ainsi L'allumeur en position de fonc- tionnement pendant l'action de l'appareil à étincelles.
Pour actionner ce dernier, il est prévu une pièce 246 sur, laquelle porte le doigt et qui pivote sur un axe
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248. Elle porte une butée 2J3O à son extrémité supérieure 252.
Un ressort 254 pousse la pièce 246 vers sa position de repos, représentée en pointillé.
Sur la pièce 246 pivote un levier transversal 256 présentant une encoche 258 venant cn prise sur l'ergot 224.
L'extrémité 260 du levier 256 vient normalement en prise dans le crochet 218 du levier 216. Lorsque celui-ci se déplace jusqu'à la limite de sa rotation en sens inverse des aiguilles
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d'une montre lorsque l'on pousse vers l'intérisur' la pièce 246, le levier 256 s'est ,0éplacé vurs l'intérieur d'une quan- tité suffisante pour que l'encoche 2S passe au delà de l'er- zoet 224. Le levier 228 est alors libre et est tiré par la rassort 232' Il en résulte que l'extrémité 242 de l'allumeur porte sur le cérium 4, donnant une suite d'étincelles onvo-
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yées dans le passage 100, au brûleur 16.
Pour empêcher que les matières étrangères pénètrent et s'accumulent dans le brûleur 16, un couvercle 262 coulisse sous le dessus 4 au bottier 2, en ossous de l'ouverture 14.
Le couvercle 262 présente une ouverture 264 et un prolongement 266, muni d'un pivot 268 sur lequel est en prise une chape 270 de l'extrémité d'un levier 272 lequel pivote sur un axe 274 porté par la console 20.
Une extrémité 276 d'une tige 278 est articulée sur le levier 272, près de son pivot 274, l'autre extrémité 280 de cette tige est attachée à l'extrémité 260 du levier transversal 256. Par suite, lorsque l'on actionne la pièce 246 en sens inverse des aiguilles d'une montre, ce qui fait que le levier 228 actionne les pièces 242 et 54 donnant des étincelles, l'ouverture 264 du couvercle 262 vient en place sur l'ouverture du brûleur 16, pour permettre le passa- ge du gaz de combustion de celui-ci.
Lorsqu'on lâche la pièce 246, son ressort 254 la fait tourner dans le s.ens des aiguil- les d'une montre et, par la liaison constituée par les leviers 256, 278 et 272, le couvercle 262 revient en position fermée, ce qui ferme le passage du brûleur et l'ouverture 14.
Afin de réaliser une deuxième fermeture pour l'ou- verture 14, le haut 4 du boîtier 2 est muni d'un couvercle
282 actionné à la main comme on le voit sur la figure 14, 'tour mant sur un pivot 284 porté par la partie haute 4 et maintenu en position fermée par un petit bossage sur le dessus l2 du boîtier 2.
Les figures 10,. 11 et 12 représentent une autre variante du briquet dans laquelle le brûleur 16 comporte un bouchon isolant 286 portant un fil 288 dont l'extrémité fait
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saillie dans le passage 118 du bec et dont la pointe est voisine d'un jeu d'électrodes 290 de formation d'étincelles.
Le fil chaud 288 est relié par un fil à haute ten- sion 292 à une bobine d'induction 294 dont un côté est relié par un fil 296 à un condensateur 298 mis à la masse par un fil 300. Le fil 300 réunit également le condensateur à un côté 304 de l'interrupteur 302 formant obturateur.
Le condensateur 298 est également relié par un fil 306 à l'autre borne 308 de l'interrupteur 302. Les deux bornes 304 et 308, respectivement, ont des points de contact isolés en 310 et 312 (fig.12).
Ces points de contact, à faces angulaires, sont normalement juxtaposés, comme représenté, et ils sont montés élastiquemont de sorte que, pendant le va et vient de l'ob- turateur 302, les contacts 304 et 308 se mettent en prise en passant l'un vers l'autre dans un sens et glissent l'un sur l'autre, puis reviennent élastiquement enposition normale.
Lors du retour ou de la fermeture de l'obturateur 302, les côtés opposés des points de contact viennent de toucher et glissent l'un sur l'autre sur leurs parties isolées 310 et 312, après quoi ils retiennent en position normale.
De cette façon et pendant le fonctionnement de 1' obturateur 02, les contacts 304 et 308 établissent et cou- pent le courant électrique venant des piles 314 et passant par la bobine d'induction 294 ot le condensateur 298, en don- nant ainsi une étincelle chaude entre les points 290 et l'ex- trémité du fil 288, pour allumer les gaz passant dans le brûleur 16 .
Les piles 314 sont reliées par un fil 316 à la bobine 294 et elles sont isolées du boîtier par un manchon
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isolant 320. Un ressort 322 pousse les piles en place et assure en même temps une mise à la masse du système élec- trique.
Comme on le voit sur la figure 10, le boîtier 2 est muni d'une cloison 324 séparant le réservoir de réserve
192 du réservoir actif 86 qui est maintenu dans l'état voulu, comme dit plus haut et représenté sur la figure 3.
On peut noter que l'aiguille 76, avec sa conduite, peut être très longue (fig. 10), si on le désire, de façon que sa pointe 326 arrive à toute hauteur désirée du gaz li- quéfié contenu dans le réservoir actif 86.
L'interrupteur 302? formant obturateur, comporte un bouton 328 monté dans une douille 330 du boîtier 2, avec tige
332 passant dans une paroi 334 de la douille par rapport à laquelle il est maintenu en place par un écrou 336.
La tige 332 (fig. 11) présente un prolongement 338 passant dans une bague de guidage 340 d'un garde 342 et se terminant par un logement 344 de bille.
Le garde 342 est de section transversale circulaire et il porte une bille '346 qui peut y rouler à volonté à moins qu'elle se trouve dans le bas du garde et dans l'ali- gnement d'un logeaient de bille 348. Ce lui-ci est ménagé à l'extrémité d'une tige 350 dont l'extrémité est maintenue en place par l'extrémité d'un ressort 352 dont l'autre extrémité est maintenue par un bossage d'un côté de la console 20.
La tige 350 porte, d'un côté, une saillie formant la monture élastique du" contact 304, et, de l'autre coté, une tige de soupape 354. Cette tige passe dans une garniture élastique 356 formant pivot, placée dans un logement de soupape 358, une soupape à bille 362 étant montée librement
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sur l'extrémité 360 duo la tige. La bille 362 ferme normale- ment le passage de sortie 364 du raccord 366 débouchant
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dans le tube annulaire 190 (fig. 10) du briquet.
L'arrivée do gaz 66 (fig.ll) déboucha dans le loge- ment de soupape 358 et la pression du gaz applique la bille
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6 contre le passage de sortie 364 Far suifs, un appuyant sur le bouton 328, si la bille est dans sa position de mise en prise dans le garde 342, dans l'alignement dos lo-
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gements 344 et 348, la poussée exercée sur la tige 350 fait que les contacta 04 et 308 glissent l'un sur l'autre en fermant le circuit allant à l'électrode 288.
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En appuyant sur l'obturateur 302, la tige 0 recule en comprimant le ressort 352. Ce changement de posi- tion de la tige 30 fait que la tige z pivote dalles la garniture élastique 336 cn écartant la bille 362 de son siège constitué par l'extrémité du passage de sortie 364. Lorsqu'on lâche le bouton poussoir 28, le ressort 352 ramené la tige 350 en position normale, la tige 354 pivote dans le sens des aiguilles d'une montre, en ramenant la bille 362 sur son siège et fermant la sortie 364.
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Lorsquejla bille 362 ouvre le passage 24, le gaz passe du tube d'entrée 66 dans le logement de soupape 358, puis dans le pa.asage 364 d'où il arrive au bec 108 ou brûleur
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16, pour y brOley---.
Sur la figure 13 qui représente une légère variante du dispositif de la figure 10, on peut utiliser tout type d'obturateur 302, mais comportant toutefois un jeu de con- tacts 304 et 308, tels que ci-dessus.
Toutefois, ence cas, on utilise un jeu de piles
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sèches >14, cn contact électrique avec une plaque 368 d'où
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part un fil 370 reliant les piles à une borne 372 reliée au contact 308.
Dans la brûleur 16, se trouve un catalyseur 374 au platine ou au palladium qui peut y être monté de la meilleure façon en pratique. Un côté du catalyseur 374 est mis à la masse, tandis que l'autre côté est relié par un fil 376 au contact 304. Par suite, lorsque les contacts 304 et 308 de l'interrupteur 302 se déplacent l'un par rapport à l'autre, comme on l'a dit, un circuit passant par le catalyseur est fermé et le catalyseur est chauffé suffisamment pour allumer le gaz passant dans le brûleur 16.
On voit que lo briquet ci-dessus décrit, suivant l'une ou l'a&tre de ses variantes, peut servir non seulement à allumer dos cigarettes ou des cigares, mais aussi qu'il peut servir pour allumer du gaz sortant d'une tuyauterie ou pour donner une flamme pour toute autre application.
Bien que l'invention ait été décrite c i-de ss us en détail, il est évident que l'on peut y apporter de nombreuses variantes. Elle n'est en conséquence pas limitée aux détails précis de construction représentés et décrits ici et elle peut comporter toutes modifications conformes à son esprit.