FR1464994A

FR1464994A - Chaufferettes

Info

Publication number: FR1464994A
Application number: FR44332A
Authority: FR
Original assignee: Matsushita Electric Industrial Co Ltd
Current assignee: Panasonic Holdings Corp
Priority date: 1965-09-01
Filing date: 1965-12-30
Publication date: 1967-01-06
Also published as: DE1491198C3; DE1491198B2; DE1491198A1; GB1079640A; US3315658A

Description

Chaufferettes.

L'invention concerne des chaufferettes, du type conçu pour brûler un combustible liquide sous l'action catalytique du platine, qui sont utilisables pour réchauffer toute partie voulue du corps de l'usager, par exemple ses reins, ou son ventre, au besoin à l'aide d'une courroie et qui peuvent être posées sur ses genoux ou sous son séant lorsqu'il est assis. Ce type de chaufferette convient particulièrement pour une utilisation en plein air, par exemple pour le spectateur de jeux sportifs et pour le pêcheur.

La présente invention a pour but de fournir une chaufferette simple, sûre et efficace, du type ci-dessus défini, dans laquelle tous les éléments nécessaires pour brûler un combustible liquide sous l'action catalytique du platine, y compris un réservoir à combustible, un porte-élément de combustion supportant un élément en platine amiante, une plaque de fermeture s'adaptant sur l'ouverture ménagée dans le boîtier de la chaufferette en vue du changement de l'élément de combustion et comportant une plaque-couvercle auxiliaire, des moyens interrupteurs d'allumage et des moyens d'alimentation en combustible comprenant un orifice de remplissage du combustible et un orifice d'admission du combustible, sont montés de façon compacte sur le boîtier de la chaufferette, de sorte que l'opération de montage puisse être effectuée avec commodité, simplicité et efficacité, assurant impeccablement l'allumage et la combustion du combustible, tout en garantissant en même temps une utilisation de toute sécurité.

Un autre but de la présente invention est de fournir une chaufferette du type défini, de forme généralement cintrée en coupe transversale, présentant des surfaces avant et arrière arquées pour faciliter le contact avec la partie du corps de l'usager qui doit être réchauffé, cette chaufferette étant donc rationnelle dans sa forme générale, très efficace dans sa capacité de chauffage et utilisable avec commodité.

Un autre but de la présente invention est de fournir une chaufferette du type décrit, dans laquelle le réservoir à combustible est traversé, de part en part par un trou en tunnel, disposé en son centre et substantiellement dans l'alignement de l'ouverture pour le changement de l'élément de combustion dans le fond du boîtier; un orifice d'alimentation en combustible gazéifié est formé dans la paroi dudit trou tandis qu'une mêche d'allumage est disposée au voisinage immédiat de cet orifice d'alimentation, pour se présenter au bloc d'allumage, qui comprend un élément chauffant d'allu- mage, de sorte que lors de l'actionnement de l'interrupteur d'allumage de la chaufferette, l'élément chauffant d'allumage soit mis sous tension par le courant d'une pile pour provoquer sans défaillance l'allumage du combustible et, en conséquence, tout amoindrissement de l'efficacité de la combustion par suite de la contamination de l'élément de platine-amiante, inévitable dans le cas où l'on utilise une allumette pour enflammer le combustible, est effectivement éliminé; l'élément de combustion peut être convenablement remplacé, avec une extrême facilité, par l'ouverture de changement ménagée dans le fond du boîtier, simplement par démontage de la plaque de fermeture, quand il le faut au cas où l'élément en platine-amiante est contaminé ou endommagé d'une quelconque autre manière, ou lorsque le circuit d'allumage est coupé, par exemple par suite d'une brusque rupture de l'élément chauffant.

Un autre but de la présente invention est de fournir une chaufferette du type décrit, dans laquelle un trou en tunnel, circulaire, elliptique, carré ou doté d'une autre forme appropriée en coupe transversale, traversant de part en part, est formé excentriquement dans le réservoir à combustible, de façon à s'étendre entre les parois supérieure et inférieure de ce réservoir, de sorte que, quand la chaufferette est par exemple placée en position verticale, son bord opposé à l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié étant dirigé vers le bas, la partie du combustible liquide précédemment maintenue dans le réservoir d'un côté du trou traversant en tunnel soit précipitée, sous l'action de la gravité, de l'autre côté du réservoir, à travers ses passages resserrés formés le long du trou de traverse, de sorte que tout écoulement du combustible liquide à travers l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié et, par suite, son égouttement sur le bloc de combustion sont empêchés, ce qui élimine de façon valable le danger de flammes jaillissantes ou d'une combustion anormale, garantie de sécurité dans l'utilisation de Ia chaufferette.

Un autre but encore de l'invention est de fournir une chaufferette du type décrit, comprenant un bloc de combustion de construction compacte et robuste qui peut être adapté de façon amovible dans la chaufferette avec une grande facilité et qui comprend un porte-élément de combustion en un matériau métallique résistant à la chaleur et à la corrosion, profilé en U en coupe transversale et comportant une ouverture pour former l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié et une patte de montage qui s'étend latéralement à partir de l'un des bords longitudinaux de ladite ouverture, un certain nombre de trous de traversée étant formés dans les deux branches du support en U pour l'alimentation en air de l'élément en platine-amiante, lequel est monté dans le support en U à faide d'une bague de retenue perméable aux gaz, résistant à la chaleur et à la corrosion, qui encercle l'élément de platine-amiante et dont le déplacement vers ladite ouverture est empêché par des pattes rabattues, formées sur les branches opposées du support en U.

Un autre but de l'invention est de fournir une chaufferette améliorée du type décrit, dans laquelle le bloc de combustion comprenant un porte-élément de combustion et un élément en platineamiante est disposé sur l'une des parois latérales du trou de traversée en tunnel de grand volume formé au centre du réservoir à combustible, de façon à obtenir une augmentation du taux de gazéification du combustible, ce qui permet la production de chaleur de combustion à un degré élevé, en dépit de la dimension limitée de l'élément en platineamiante.

Un autre but encore de la présente invention est de fournir une chaufferette du type décrit, présentant une grande sécurité à l'usage, comprenant une plaque d'extinction montée sur la plaquecouvercle auxiliaire qui s'ajuste à la plaque de fermeture, dans une position telle qu'elle recouvre le bloc d'allumage lorsque la plaque-couverele auxiliaire est fermée, coupant ainsi l'arrivée d'air au bloc d'allumage, en coopération avec le porte-élément de combustion et un organe en capuchon faisant partie du bloc d'allumage; on est ainsi assuré que la flamme qui se forme sur la mèche d'allumage est éteinte après avoir été transférée au bloc de combustion pour amorcer la combustion normale du combustible et que, pendant la combustion, la formation d'une flamme sur la mèche d'allumage est évitée de façon effective, même si le circuit d'allumage est intempestivement excité par une fausse manoeuvre de la part de l'usager.

Un autre but de l'invention est de fournir une chaufferette du type décrit, dans laquelle la plaque de fermeture porte, sur sa face interne, en regard du porte-élément de combustion, un dispositif indicateur de température comprenant un organe indicateur bimétallique et un regard qui permet à l'usager d'observer de l'extérieur l'indication de température donnée par cet organe, de sorte que l'usager peut s'assurer facilement de la température qui règne autour du bloc de combustion.

Un autre but encore de l'invention est de fournir une chaufferette du type décrit qui comprend des moyens d'alimentation en combustible dont le modèle est simple et rationnel, comprenant un orifice de remplissage tubulaire saillant vers l'intérieur, formé dans le fond de l'enveloppe de la chaufferette, un orifice d'admission du combustible formé dans la paroi du réservoir à combustible dans une position en regard de l'extrémité de l'orifice tubulaire de remplissage, un manchon d'admission du combustible traversé axialement par un passage et capable de S'ajuster étroitement sur l'orifice de remplissage et un disque de soupape monté à l'intérieur du réservoir à combustible de façon à être normalement maintenu en contact étroit avec l'extrémité voisine du manchon d'admission de combustible, de sorte que le remplissage puisse être effectué simplement par application de l'extrémité du tube distributeur de combustible contre le disque de soupape: dès que le tube distributeur de combustible est retiré après l'opération de remplissage, le trou d'admission du combustible est automatiquement fermé, de façon à éviter un échappement du combustible gazéifié.

Un autre but de la présente invention est de fournir une chaufferette du type décrit qui comprend en outre un organe de guidage du combustible, monté à l'intérieur du réservoir à combustible et présentant une cavité en regard du manchon d'admission du combustible pour recevoir la pIaque de soupape, et un canal conducteur s'étendant depuis cette cavité vers l'extrémité de l'organe de guidage distante de la cavité et s'ouvrant dans l'orifice d'alimen- tation en combustible gazéifié, de sorte qu'une partie au moins du combustible chargé est immédiatement dirigée vers l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié et quitte ce dernier à l'état gazéifié, pour permettre un allumage du combustible et, mêrne dans les cas où la quantité de combustible chargée est réduite, il peut être immédiatement distribué par l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié, à l'état gazéifié, étant donné que le combustible est rassemblé pour noyer la région de l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié dès qu'il est chargé, de sorte que l'on peut obtenir la même efficacité satisfaisante de combustion, quelle que soit la quantité de combustible chargée, en considérant évidemment que la durée de combustion pour une charge réduite de combustible est limitée par rapport à celle dont on dispose lorsque le réservoir est complètement rempli.

Ces buts, caractéristiques et avantages de la présente invention ressortiront plus nettement, ainsi que d'autres, de la description détaillée suivante, considérée en liaison avec les dessins annexés
La figure 1 est une vue en coupe transversale d'une chaufferette suivant l'invention;
La figure 2 est une coupe partielle à échelle agrandie, selon la ligne A-A de la figure 4, illustrant le mode selon lequel l'enveloppe de la chaufferette et son couvercle sont fixés l'un à l'autre;
La figure 3 est une vue en plan inférieure du couvercle;
La figure 4 est une vue en plan inférieure du boîtier principal de la chaufferette;
La figure 5 est une vue en plan supérieure de la chaufferette, le couvercle ayant été enlevé;
La figure 6 est une vue à échelle agrandie représentant la partie où, dans le boîtier représenté sur la figure 4, se logent les piles, le couvercle de ce logement ayant été retiré;
La figure 7 est une vue en coupe transversale, à échelle agrandie selon la ligue B-B de la figure 4;
La figure 8 est une vue à échelle agrandie montrant la partie du boîtier représenté sur la figure 4 où se trouve l'ouverture pour le changement du bloc, la plaque de fermeture ayant été retirée;
La figure 9 est une vue en coupe transversale, à échelle agrandie, de la plaque de fermeture obturant l'ouverture pour le changement du bloc;
La figure 10 est une vue inférieure de la plaque de fermeture représentée sur la figure 9;
La figure 11 illustre la partie de la figure 10 où se trouve l'indicateur de température, à l'état découvert;
La figure 12 est une vue partielle en coupe transversale, selon la ligue C-C de la figure 5, illustrant le mode selon lequel le réservoir à combustible est monté sur le boîtier principal;
La figure 13 est une vue en coupe transversale selon la ligne D-D de la figure 5;
La figure 14 est une vue en coupe selon la ligne E-E de la figure 8;
La figure 15 est une vue en perspective, à échelle agrandie, de l'ensemble d'allumage représenté sur la figure 8;
La figure 16 est une vue en plan supérieure de l'organe de guidage du combustible;
La figure 17 est une vue en coupe selon la ligne F-F de la figure 16;
La figure 18 est une vue partielle en coupe représentant une forme d'un ensemble interrupteur d'allumage;
La figure 19 est un schéma du circuit d'allumage.

Pour se reporter aux dessins, le chiffre de réfé- rence 1 désigne un boîtier principal rectangulaire en tôle d'acier ou d'un autre métal, comprenant des parois latérales 2 et une ouverture 3 qui occupe la majeure partie du haut du boîtier. Le boîtier 1 présente une forme générale arquée en coupe transversale, comme on peut le voir sur la figure 1, de sorte qu'il puisse épouser le contour des reins ou de l'abdomen de l'usager auxquels il est adapté.

Un couvercle matelassé ou organe de fermeture 4 est fixé de façon amovible en haut du boîtier, pour recouvrir son ouverture 3, et comprend une feuille 5 d'acier ou d'un autre métal conducteur de la chaleur, cintrée transversalement selon le profil arqué du boîtier et dimensionnée de façon correspondante, pour former l'ouverture supérieure 3 du boîtier.

Sur la face inférieure de la tôle métallique 5 sont formées plusieurs pattes 8 de support en U, dont le rôle sera décrit ci-après. La surface externe de la tôle métallique 5 est recouverte par un tissu 7, avec interposition d'une matière de matelassage 6, par exemple une mousse de résine synthétique, du feutre ou un textile. Le couvercle 4 est fixé au boîtier 1 au moyen des pattes de support et, en service, il sert à répartir la chaleur et en même temps donne une sensation agréable à l'usager lorsqu'il est appliqué contre la partie de son corps à réchauffer, du fait de l'emploi du matériau de matelassage 6 et du tissu 7. De préférence, les bords du tissu 7 sont rabattus sur la face inférieure de la plaque-couvercle métallique 5, pour y être fixés à l'aide d'un adhésif résistant à la chaleur. Le chiffre de référence 9 désigne des embases plates formées sur le fond du boîtier en regard des pattes de support 8, et des pieds 10 en caoutchouc ou en un matériau analogue sont fixés au fond de ces embases 9. Un trou commun 11 est formé dans cha cune des embases 9 et dans le pied 10 qui lui est associé et un boulon fileté 13 est introduit dans le trou 10 pour se visser dans le trou fileté 12 (fig. 2) formé au fond de la partie de support voisine 8, de façon à maintenir rigidement le couvercle 4 dans sa position de recouvrement de l'ouverture supérieure 3 de la chaufferette.

Sur les côtés opposés du boîtier 1, deux éléments de fixation 14, en tôle métallique, sont fixés par exemple par des organes filetés 16, et chacun d'entre eux présente un oeillet 15. Deux maillons de raccor dement 17, 17' en fil métallique, de forme trianguladre ou rectangulaire, s'adaptent avec jeu dans les oeillets 15 des éléments de fixation 14 (fig. 1 et 4).

Des bandes de transport de la chaufferette 18, 18' en résine synthétique ou en un matériau analogue, sont fixées à l'une des extrémités des maillons de raccordement correspondants 17, 17' à l'aide de rivets ou d'autres moyens appropriés et une boucle 19 est fixée à l'extrémité libre de l'une de ces bandes 18 en vue de s'accrocher de façon détachable à l'extrémité libre de l'autre bande 18'. Cette boude 19 a la forme d'un cadre rectangulaire muni d'une barrette transversale qui délimite deux ouvertures rectangulaires, de sorte que lorsqu'on la fait passer en zigzag à travers la boucle, l'extrémité libre de l'autre bande 18' est maintenue en position réglable par rapport à l'extrémité associée de la bande 18, ce qui fournit une longueur de bande combinée qui s'adapte à toutes les circonstances particulières dans lesquelles la chaufferette est utilisée. Un coulissant 20 peut se déplacer sur le segment côté extrémité libre de la bande 18, qui porte la boucle, afin de retenir le segment extrémité libre de l'autre bande 18' lorsqu'il s'étend au-delà de la boucle, le long de la partie terminale de la bande 18, à son contact immédiat.

Dans le fond du boîtier 1, le long de I'un de ses côtés latéraux, est formée une ouverture allongée 21, le long du pourtour de laquelle sont fermées des zones marginales déprimées 22. Dans I'une des zones déprimées 22, dirigée longitudinalement, il est formé à distance du bord latéral voisin de l'enveloppe, un trou fileté 23 et, dans l'autre zone longitudinale déprimée 22, il est formé plusieurs ouvertures d'assemblage 24. Le numéro de référence 25 désigne un couvercle de logement de piles, en tôle métallique ou en une résine synthétique, profilé pour s'adapter aux zones marginales déprimées 22. Sur l'un des bords longitudinaux du couvercle 25, une patte 27 est munie d'un trou traversant 26, disposé de manière à s'aligner avec le trou fileté 23, tandis que des pattes 28 sont formées sur l'autre bord longitudinal du couvercle 25, en vue de coopérer avec les ouvertures d'assemblage 24. Pour fixer le couvercle 25 en place sur le boîtier 1, il est tout d'abord positionné par insertion de ses pattes 28 dans les ouvertures correspondantes 24, puis une vis de serrage 29 est vissée dans le trou 23 à travers le trou 26 formé dans la patte 27 du couvercle 25, de façon à serrer de manière amovible le couvercle 25 sur le boîtier 1 (fig. 1 et 4).

Un certain nombre de trous d'aération 30 sont formés dans le couvercle 25 du logement des piles, afin d'éviter toute élévation excessive de température dans le logement 31. Le logement des piles 31 est d'une forme générale en U en coupe transversale, son ouverture correspondant à l'ouverture 21 formée dans le fond du boîtier. Comme on peut le voir sur la figure 6, des pattes 32 sont formées sur le bord périphérique de l'ouverture 21 pour maintenir en place dans le boîtier 1 le logement 31 des piles, exécuté en une tôle métallique ou en une résine synthétique, de sorte que des piles 33 puissent être adaptées dans le logement 31 à travers l'ouverture 21. Le logement 31 des piles comprend une plaque de butée 36 en un mr-lériau conducteur de l'électricité, fixée par exemple par soudage à une extrémité du logement en U 31, un ressort 34 conducteur de l'électricité, en laiton ou en un autre matériau en fil, est maintenu par des pattes 35 formées sur la plaque de butée 36. A son autre extrémité, le logement 31 comporte une plaque de butée 37 en bakélite, en nilca ou en un autre matériau isolant, maintenue en place par matage ou par un autre moyen approprié. Une pièce de contact 38, en laiton ou en un autre matériau conducteur, est fixée au centre de la plaque de butée 37, par exemple par matage, de façon à la traverser. Des conducteurs isolés 39 et 39' sont respectivement raccordés à la pièce de contact 38 et à la butée conductrice 36, pour constituer un circuit d'allumage qui sera décrit ci-après (fig. 1, 5, 6 et 7). Pour obtenir la capacité nécessaire pour chauffer au rouge l'élément chauffant d'allumage, chacune des piles de 1,5 V est montée en série dans le logement. La borne positive de la série des piles, ordinairement au nombre de deux, est maintenue en contact avec la pièce de contact 38 et la borne négative avec le ressort 34, ce qui assure un contact satisfaisant entre les piles et entre la pièce de contact ou le ressort 34 et la pile voisine, pour réduire à un minimum la résistance de contact entre les éléments.

Une ouverture 40 pour le changement de l'élément de combustion, de forme approximativement elliptique, est exécutée dans la plaque de fond du boîtier 1, en position médiane, s'étendant parallèlement à l'ouverture 21 pour l'insertion des piles.

Le long du pourtour de l'ouverture 40 est exécuté un épaulement circonférentiel 42, déprimé ou en retrait, présentant une encoche 43 au voisinage de l'un des sommets de l'ouverture et un trou fileté 44 au voisinage de l'autre sommet. Une plaque de fermeture 45, prévue pour recouvrir l'ouverture de changement 40, est exécutée en tôle métallique ou en un autre matériau résistant à la chaleur et profilée pour s'adapter à l'épaulement 42. Une patte d'ajustage 46 est formée à l'une des extrémités de la plaque de fermeture, dans une position où elle peut coopérer avec l'entaille 43 formée dans l'épauz lement circonférentiel 42, tandis qu'un trou traversant de part en part 47 est percé à l'autre extrémité de la plaque de fermeture, dans une position où il s'aligne avec le trou fileté 44. La plaque de fermeture 45 peut être fisée au fond de l'enveloppe selon un mode analogue à celui qui a été décrit à propos du couvercle 25 du logement des piles, c'est-à-dire en plaçant tout d'abord la patte d'ajustage 46 en prise avec l'évidement 43, puis en vissant un bouton 48 à travers le trou traversant 47 dans le trou fileté 44, de manière à serrer de façon amovible la plaque de fermeture 45 sur le fond de l'enveloppe (voir fig. 4, 8 et 9).

Un réservoir à combustible 49 est monté dans l'espace ménagé entre le fond du boîtier 1 de la chaufferette et son couvercle matelassé 4 et maintenu sur le fond du boîtier au moyen d'un certain nombre de supports en gradin 50, en position convenable par rapport à l'owçerture 40 pour le changement de l'élément de combustion. Chacun des supports 50 comprend une branche interne en gradin, désignée par 51, destinée à supporter la partie marginale voisine 49a du fond du réservoir de combustible, et une branche externe qui est raccordée à la branche interne par un segment supérieur percé d'un trou fileté 52; ces supports sont fixés par soudage ou par un autre moyen convenable à la face interne du fond du boîtier 1.

Le réservoir à combustible 49 présente une forme cylindrique aplatie et sa hauteur est sensiblement égale ou inférieure à la profondeur du boîtier; au niveau des bords opposés 49a de son fond, il est supporté par les parties en gradin 51 des supports 50, comme on l'a déjà indiqué. De plus, le réservoir à combustible 49 est rigidement maintenu dans sa position d'appui au moyen d'éléments de retenue 53 fixés au sommet des supports en gradin 50 (fig. 12).

Comme on l'a représenté, chacun des éléments de retenue 53 comporte un trou fileté 53b, destiné à recevoir une vis de serrage 54, Laquelle est vissée dans le trou 52 formé au sommet du support.

Chacun des éléments de retenue comporte une saillie 53a qui prend contact avec la paroi supérieure du réservoir à combustible 49, pour maintenir fermement ce dernier dans le boîtier 1.

Le réservoir à combustible 49 est composé d'un corps concave 55, en laiton ou en tôle métallique, et d'un couvercle plan 56, du même matériau, recouvrant l'ouverture supérieure du corps 55, les bords périphériques de ces deux parties étant assemblés de façon étanche aux liquides, par exemple par un joint soudé, Cette forme de réservoir est préférable, au point de vue étanchéité comme au point de vue construction. En particulier, il est préférable de donner au réservoir un profil circulaire en plan. Pour raccorder les bords périphériques superposés du corps et du couvercle du réservoir à combustible par soudage, les bords 55a et 56a sont, les uns comme les autres convenablement rabattus préalablement, comme on l'a indiqué sur la figure 13.

En position excentrique le long de son axe transversa, il est formé dans le réservoir à combustible 49 un trou traversant 57, en tunnel, de forme elliptique, circulaire ou rectangulaire, qui traverse le réservoir dans l'alignement de l'ouverture 40 formée dans le fond du boîtier pour le changement de l'élément de combustion (fig. 1 et 5). Les parois 58 délimitant le trou traversant 57 sont formées d'une seule pièce avec le corps 55 du réservoir et sont fixées, de façon étanche aux liquides, par soudage au bord périphérique d'une ouverture pratiquée dans le couvercle 56 du réservoir. Le réservoir à combustible 49 construit de cette manière est rempli d'une matière absorbante, tee que le feutre ou le coton, pour emmagasiner un combustible liquide volatil tel que la benzine. Dans l'une des parois longitudinales 58 accessibles de l'extérieur par l'ouverture 40 de changement, il est formé un trou 60 d'alimentation en combustible gazéifié, qui s'étend dans la direction transversale du trou traversant 57 et est délimité par une paroi circulaire allongée 60a. Un grillage 61 de fil métallique ou d'un autre matériau résistant à la chaleur et à la corrosion est fixé, par exemple par soudure, à l'intérieur de l'orifice 60 d'alimentation en combustible gazéifié de façon à recouvrir ce dernier pour maintenir en place la matière imprégnée de combustible 59 qui remplit le réservoir 49.

Le numéro de référence 62 désigne un porteélément de combustion, en forme de canal, exécuté en laiton ou en un autre matériau métallique résistant à la chaleur et à la corrosion et s'ouvrant latéralement, par exemple en 63 pour s'adapter sur la paroi 60a de l'orifice 60 d'alimentation en combusbible gazéifié. Le porte-élément 62 constitue un bloc de combustion, en association avec un élément en platine-amiante qui sera décrit ci-après. Sur l'un des bords longitudinaux de l'ouverture 63 est formée une patte de montage 64 qui peut être fixée de façon amovible à la portion du fond du réservoir 49 qui est accessible par l'ouverture 40 de changement et qui présente un trou fileté 65 destiné à recevoir une vis de serrage 66 introduite par un trou percé dans la patte 64 (fig. 1 et 8). Sur les côtés opposés de la patte de montage 64 se trouvent des pattes de serrage 67 qui s'en détachent vers l'louver ture 40 de changement lorsque le porte-élément est en position de montage. On comprendra que les pattes 67 sont prévues pour faciliter une introduction et une extraction manuelles du porte-élément 62 à travers l'ouverture 40 de changement. Les parois ou branches opposées du corps 68 en forme de canal du porte-élément 62 présentent respectivement un certain nombre d'ouvertures 70 pour le passage de l'air d'alimentation vers l'élément 72 en platine-amiante logé dans le corps 68 du porteélément en forme de canal. Un élément de retenue 71, perméable aux gaz et exécuté en un matériau résistant à la chaleur et à la corrosion, est utilisé pour retenir l'élément 72 en platine-amiante et, comme on l'a représenté, il a la forme d'un ressort hélicoïdal Chacune des parois opposées du corps 68
du porte-élément en forme de canal porte des pattes 73 rabattues vers le haut, qui s'étendent dans un plan parallèle à l'axe de la bague de retenue 71 et s'en écartent légèrement vers l'ouverture 63 du porte-élément 62 en forme de canal pour prendre contact avec une partie de la bague de retenue n, de sorte que l'élément 72 en platine-amiante ne puisse pas se déplacer vers l'ouverture 63 du porteélément de combustion 62. Par ailleurs, l'élément en platine-amiante 72 est retenu dans le corps 68 en forme de canal du porte-élement 62 par des pattes (non représentées) qui s'opposent à un déplia cement ixias et qui s'étendent à partir des extrémités opposées du corps 68 en forme de canal du porteélément, pour prendre contact avec les portions d'extrémité correspondantes de la bague de retenue 71 (fig. 1, 5 et 8).

L'élément en platine-amiante 72 est une masse d'amiante à laquelle adhère du platine, convenablement préparée en mélangeant entre eux de l'amiante et du platine dans le rapport pondéral de 100:2 à 15 et c'est le catalyseur préféré pour la combustion d'un combustible gazéifié de benzène ou similaire, dans des conditions appropriées de température et d'alimentation en air. Les pattes d'ajustage, formées aux extrémités opposées du corps 68 en forme de canal du porte-élément, en rapport avec la bague de retenue n, servent non seulement pour maintenir cette dernière en place, mais aussi pour faciliter l'allumage du combustible, étant donné la présence de l'ouverture du porte-élément, avec augmentation de l'alimentation en air de l'élément en platine-amiante.

Dans une partie de Ia paroi 58 du réservoir qui est au voisinage immédiat d'une extrémité de l'orifice allongé 60 d'alimentation en combustible gazéifié est formé un trou traversant de petit diamètre, dans lequel s'ajuste, de façon étanche aux fluides, un porte-mèche tubulaire 74, en un matériau métalbique. Dans ce porte-mèche tubulaire 74 est ajustée serré une mèche d'allumage 75 constituée d'un écheveau de filaments de verre ou de coton. L'une des extrémités de la mèche 75 est noyée dans la matière 59 imprégnée de combustible qui remplit le réservoir 49, tandis que l'autre extrémité de la mèche est maintenue dans le trou traversant en tun- nel 57, dans une position opposée à la cavité 98 vers l'autre extrémité du guide-combustible. L'extrémité ouverte du canal de conduite 99 est disposée dans l'orifice 60 d'alimentation en combustible gazéifié, de sorte que le combustible liquide chargé par le manchon 96 d'admission de combustible est immédiatement conduit dans l'orifice 60 d'alimentation en combustible gazéifié.

Dans la cavité 98 formée dans le guide-combustibie 97 se trouve un organe élastique de poussée 100, exécuté en corde à piano ou en un matériau à ressort analogue. Une plaque de soupape 101, en un matériau résistant à la corrosion est montée à l'une des extrémités de l'organe élastique de poussée 100 et est normalement maintenue sous tension dans une position où elle prend étroitement contact avec l'orifice d'admission 96a du manchon 96 d'admission du combustible. Lorsque le chaufferette fonctionne, quand on veut charger le réservoir 49 de combustible liquide, on introduit le bec d'un distributeur de combustible approprié à travers l'orifice 96 de remplissage du boîtier principal 1 et à travers le manchon 96 d'admission du combustible, pour déprimer le disque de soupape 101, contre l'élasticité de l'organe de poussée 100, puis on actionne le bec pour distribuer le combustible selon les besoins. Lorsque est achevé le remplissage en combustible, le tube distributeur de combustible est retiré et dégage le disque de soupape 101 qui peut reprendre sa position initiale sous l'effet de l'élasticité de l'organe de poussée 100, position dans laquelle il est étroitemeyt en contact avec le bord adjacent du manchon96 d'admission de combustible. On comprendre aisément qu'avec ce dispositif, le remplissage en combustible liquide peut être effectué avec une grande commodité et que toute fuite ou vaporisation du combustible chargé peut être évitée effectivement du fait que l'orifice 96a d'admission du combustible est automatiquement obturé chaque fois que l'opération de remplissage est achevée (fig. 1).

La forme de la plaque de fermeture 45 va être ciaprès décrite de façon plus détaillée. Comme on peut le voir sur les figures 9 et 10, la plaque de fermeture 45 comporte une ouverture d'allumage 102 en posi tlon opposée à la mèche d'allumage 75. L'ouverture d'allumage 102 présente un épaulement 102 le long de son bord périphérique, pour recevoir une plaque couvercle auxiliaire 91, exécutée dans le même matériau que la plaque de fermeture 45, comme on l'a précédemment indiqué.

La plaque-couvercle auxiliaire 91 est montée à pivotement par l'une de ses extrémités sur une paire de goujons 104 dont sont munies les pattes-supports 106 respectives, rabattues vers le haut, formées aux extrémités opposées d'une plaque-support 105 qui, à son tour, est fixée par exemple par soudure au bord de l'ouverture d'allumage 103, à distance de la patte, 46. Comme on peut le voir un ressort à lame 107 passe en pont entre la plaque de fermeture 45 et le couvercle auxiliaire 91. Pour cette disposition en pont, il est prévu une fixation 109 dont une extrémité s'insère en position fixe dans l'espace 108 ménagé entre la plaque de fermeture 45 et la plaque support 105. La fixation 109 porte à son autre extrémité un maillon 110 formé de façon à recevoir l'une des extrémités en crochet 107a du ressort à lame 107, dont l'autre extrémité en crochet 107b s'engage dans l'espace 112 entre la plaque-couvercle auxiliaire 91 et une pièce d'arrêt 111 qui y est fixée au voisinage immédiat de la jonction pivotante de la plaque-couvercle 91. Le ressort en lame 107 est arqué et a pour effet de maintenir élastiquement la plaque-couvercle auxiliaire 91 dans sa position de service, fermée ou ouverte. En d'autres termes, lorsque la plaque-couvercle auxiliaire 91 est déplacée de sa position de fermeture indiquée en traits pleins vers sa position d'ouverture en traits discontinus ou vice versa, le ressort en lame 107, qui résiste tout d'abord au mouvement de la plaque-couvercle, commence à aider ce mouvement à l'instant où l'une de ses extrémités en crochet 107b est déplacée à travers le plan qui contient l'autre extrémité à crochet 107b et l'axe de pivotement de la plaque. couvercle auxiliaire 91.

L'opération d'ouverture ou de fermeture de la plaque-couvercle auxiliaire 91 peut être donc effectuée très doucement et très légèrement avec un minimum de force manuelle d'actionnement, ce qui constitue une grande commodité pour l'usager.

Sur la plaque de fermeture 45, il est également prévu un dispositif indicateur de température qui comprend un regard 113 placé en position centrale de la plaque et des moyens indicateurs prévus en arrière de la plaque de fermeture 45, dans une position convenable par rapport au regard 113.

Les moyens indicateurs comprennent une bande de bimétal 115 qui est fixée par l'une de ses extrémités à une partie de la plaque de fermeture 45 voisine de l'ouverture traversante 47, au moyen d'un étrier 114, de façon à permettre une déformation de la bande de bimétal le long de la surface arrière de la plaque de fermeture 45. Une plaque indicatrice 116 est prévue pour les lectures à travers le regard 113 et comporte, à l'une de ses extrémités une patte 116a qui est fixée par rivetage à l'extrémité mobile de la bande de bimétal 115.

Un couvercle rectangulaire 117 est fixé à l'arrière de la plaque de fermeture 45, de façon à recouvrir le regard 113. Le couvercle 117 a une largeur qui correspond à celle de la plaque de fermeture 45 et est transversalement profilé en U. D'une seule pièce avec l'étrier 114 qui porte la bande de bimétal 115 est formé un segment saillant 114a, dont la hauteur correspond à la profondeur du couvercle en U 117 et ce dernier est fixé par une vis 118 au segment saillant 114a de l'étrier. Le fond plan du couvercle en U 117 est découpé, au voisinage de la plaque-couvercle auxiliaire 91, pour former une paire d'oreilles parallèles 120, de part et d'autre de la bande de bimétal 115, ménageant une paire de trous d'aération 119 dans le couvercle 117. Les oreilles 120 servent à aider la bande de bimétal à se mettre à la température ambiante, élevée par la combustion du carburant liquide dans le bloc de combustion, tout en servant de moyen d'arrêt pour limiter le degré du mouvement de déformation de la bande de bimétal 115. La plaque indicatrice 116 porte, sur sa surface vis-à-vis du regard 113, des repères représentant les états de combustion et de non-combustion de la chaufferette, de préférence en couleurs rouge et blanche respectivement pour ces états de la chaufferette. Le dispositif indicateur de température ci-dessus décrit peut être utilisé très commodément pour déterminer visuellement la température de l'atmosphère dans la région de combustion, de la manière suivante
Tandis que la température de l'atmosphère autour de la bande de bimétal 115 est élevée par la combustion du combustible gazéifié sur l'élément de platineamiante 72 du bloc de combustion, la bande de bimétal 115 est déformée dans la direction indiquée par la flèche de la figure 11, dans cette forme d'exécution, ce qui amène la plaque indicatrice 116 à modifier sa position par rapport au regard 113, de sorte que l'usager peut facilement déterminer la température ambiante dans la région de l'élément de combustion, en observant simplement la plaque indicatrice 116 à travers le regard 113.

Le numéro de référence 121 désigne une ouverture tubulaire d'interruption formée dans le fond du boîtier principal 1, à un endroit convenable à distance du réservoir 49, cette ouverture recevant un interrupteur d'allumage ci-après décrit. La paroi tubulaire de l'ouverture de commutation 121 s'étend vers l'intérieur à partir de la paroi du boîtier et est munie d'une bride à son extrémité, désignée par 122, cette bride prenant contact avec un support d'interrupteur 123 qui présente un trou central 124 s'adaptant sur la paroi tubulaire de l'ouverture de commutation 121, paroi à laquelle le support est fixé par matage ou par un autre moyen convena ble. Un ensemble interrupteur à bouton-poussoir 125 est fisé au support d'interrupteur 123 par des vis 126 et comprend un bouton-poussoir 127 mobile verticalement dans l'ouverture de commutation 121. R est préférable que l'ensemble du commutateur 125 soit monté de sorte que le bouton-poussoir en position normale ne dépasse pas la surface du fond du boîtier 1.

L'ensemble interrupteur à bouton-poussoir 125 représenté sur Ia figure 18 comprend un boîtier 130 en bakélite, en porcelaine ou en un autre matériau électriquement isolant, comportant une cavité rectangulaire allongée 128 et une paire de pattes de montage opposées 129 Le boîtier d'interrupteur 130 comporte, dans sa paroi qui fait face à l'ouverture de commutation 121, un trou de montage 131 et une tige d'actionnement 132, qui porte le bouton-poussoir 127 s'adapte à glissement dans le trou de montage 131. La tige d'actionnement 132 comporte un prolongement coaxial ou segment de diamètre réduit 132a qui s'adapte avec jeu, au niveau de son extrémité, dans un trou de montage 133 formé dans la paroi opposée du boîtier d'interrupteur 130. Un ressort hélicoïdal 134 est disposé entre la paroi opposée du boîtier 130 et l'épaulement annulaire formé sur la tige d'actionnement 132, pour repousser normalement cette dernière vers l'ouverture de commutation 121.

Une paire de bornes laminaires 135 est montée de part et d'autre du segment à diamètre réduit 132a de la tige d'actionnement 132, dans la cavité 128 délimitée par le boîtier 130 de l'interrupteur, chaque borne laminaire comportant une patte de connexion 135a qui s'étend vers l'extérieur à travers la paroi voisine du boîtier.

Un organe de contact 136 est fixé par sa partie médiane à l'épaulement annulaire 1326 formé sur la tige d'actionnement 132 et il est constitué de bronze au phosphore ou d'un autre matériau conduc teur en tôle : il présente une forme générale en V, ses extrémités opposées portant des pièces de contact 196a en face des bornes laminaires correspondantes 135. Lorsque l'ensemble interrupteur à boutonpoussoir 125 est mis en service, quand l'usager enfonce le boutompoussoir 127 à travers l'ouverture de commutation 121, contre la tension du ressort hélicoïdal 134, les pièces de contact 136a que porte l'organe de contact 136 sont mises en rapport de contact avec les segments à épaulement 1356 des bornes laminaires 135 pour fermer le circuit d'allumage schématiquement représenté sur la figure 19 par conséquent pour allumer le bloc de combustion. Après que l'allumage ait été effectué, le bouton-poussoir 127 est relâché pour ouvrir le circuit d'allumage. On comprendra aisément que les moyens de commutation de l'allumage ci-dessus décrits peuvent être actionnés avec une grande commodité et sont extrêmement pratiques si on les compare aux cas où l'allumage est réalisé à l'aide d'une allumette ou d'un autre moyen d'allumage. R est manifeste que des moyens de commutation de divers types, différant du type à bouton- poussoir ici décrit et représenté, par exemple des micro-interrupteurs tels qu'il en existe maintenant dans le commerce, peuvent être également utilisés aux fins d'allumage, dans la mesure où leur fonc tionnement n'assure la fermeture du circuit que lorsqu'ils sont actionnés en vue de l'allumage.

De même, les piles servant de source dans le circuit d'allumage peuvent être éliminées si l'on prolonge les fils conducteurs raccordés à l'élément chauffant d'allumage jusqu'à des bornes placées à l'extérieur du boîtier principal 1. Dans ce cas, l'élément d'allu- mage peut être mis sous tension en maintenant momentanément les bornes d'une pile, non incluse dans la chaufferette, en contact avec les bornes prévues sur le boîtier principal.

En service, on applique la séquence suivante pour faire fonctionner la chaufferette de la présente invention. Tout d'abord, on charge de la benzine ou un autre combustible liquide volatil dans le réservoir 49 par l'orifice de remplissage 93, de sorte que le combustible, immédiatement gazéifié, est fourni, par l'intermédiaire de l'orifice 60 d'almentation en combustible gazéifié, à l'élément de platine-amiante 72 dans le bloc de combustion, tandis que le bloc d'allumage 77 reçoit également du combustible gazéifié par la mèche d'allumage qui est imprégnée du combustible liquide dont est rempli le réservoir 49. Puis la plaque-couvercle auxiliaire 91 montée sur la plaque de fermeture 45 est manuellement placée dans sa position d'ouverture indiquée par les traits discontinus de la figure 9, et ensuite, le bouton-poussoir 127 de l'ensemble interrupteur d'allumage est enfoncé pour fermer le circuit d'allumage. Ce faisant, l'élément chauffant d'allumage 89 monté dans le circuit est mis sous tension, rougit et allume le combustible gazéifié qui l'entoure, enflammant en même temps la mèche d'allumage 75. La flamme de combustion ainsi formée sur la mèche d'allumage 75 émet une fumée à l'extérieur de la plaque-couverele auxiliaire 91, de sorte que l'usager est averti de la flamme de combustion sur la mèche d'allumage 75.

A ce moment, il cesse de presser le bouton-poussoir
127 pour ouvrir le circuit d'allumage et désexciter ainsi l'élément chauffant d'allumage 89. D'autre part la flamme de combustion sur la mèche 75 a pour effet de chauffer l'élément de platine-amiante 72 par la structure perforée, perméable aux gaz, du porte-élément de combustion 62, de sorte que la combustion du combustible est maintenue sous des alimentations continues en air et en combustible gazéifié, sous l'action catalytique de l'élément de platine-amiante 72 maintenu à haute température.

Dès que la combustion sous action catalytique est déclenchée, la plaque-couvercle auxiliaire 91 est fermée à la main, de sorte que l'ensemble d'allu
mage 77 est enfermé par la plaque extinctrice 92
montée sur la plaque de fermeture 45, en coopération avec le porte-élément de combustibon 62 et le
capuchon 78 du bloc d'allumage lui-même. En
conséquence, la flamme de combustion sur la
mèche d'allumage 75 est éteinte, par suite de l'interruption de l'alimentation d'air vers l'ensemble d'allumage 77. Tandis que la combustion se pour
suit sous l'action catalytique de l'élément 72 en
platine-amiante, la bande de biémétal 115 du dispositif indicateur de température est progressivement déformée, entraînant la plaque indicatrice 116, de sorte que l'usager peut facilement observer la température de l'atmosphère autour du bloc de combustion, en regardant la plaque indicatrice 116 à travers le regard 117.

Il est généralement impossible d'arrêter la combus tion du combustible favorisée par l'élément en platine-amiante 72 à un moment quelconque voulu.

L'usager qui désire éteindre la chaufferette est donc obligé d'attendre que la combustion sous l'action catalytique s'achève lorsque le combustible liquide chargé dans le réservoir 49 est épuisé.

En service, la chaufferette de la présente invention est appliquée sur le corps de l'usager, le cou vercle matelassé 4 étant maintenu en contact direct avec celui-ci. n peut être facilement appliqué sur les reins ou sur le ventre de l'usager, maintenu sur ses genoux ou placé sous son séant lorsqu'il est assis.

S'il est nécessaire de maintenir la chaufferette en contact avec le corps de l'usager, on peut commodément utiliser les bandes 18 et 18'.

On a mis expérimentalement en évidence qu'il ne peut pas se former de flamme pendant la combustion normale sous l'action catalytique de l'élément 72 en platine-amiante, même si le bouton-poussoir 127 est pressé pour mettre sous tension l'élément chauffant d'allumage 89, car à ce moment le bloc d'allumage se trouve enfermé et, d'un côté, communique librement avec l'élément en platine-amiante, ce qui élimine toute alimentation notable du bloc d'allumage en oxygène. Cela est évidemment valable, même lorsqu'on utilise le couvercle auxiliaire 91.

Comme il ressort de la description ci-dessus, donnée à propos d'une forme préférée d'exécution de l'invention, la chaufferette est conçue de sorte qu'elle peut être convenablement montée avec une grande facilité et une grande efficacité, tous les éléments composants nécessaires - y compris le réservoir, le porte-élément de combustion, la plaque de fermeture pour l'ouverture de changement, qui porte une plaque-couvercle auxiliaire, l'ensemble commutateur d'allumage et les moyens d'alimentation en combustible avec les orifices de remplissage et d'admission du combustible étant montés de façon compacte sur le boîtier principal de la chaufferette.

En outre, conformément à la présente invention, le réservoir à la partie centrale duquel il est formé un trou traversant un tunnel, en regard de l'ouverture pour le changement de l'élément de combustion formée dans le boîtier principal, comprend un
orifice d'alimentation en combustible gazéifié formé
dans la paroi qui délimite le trou traversant en tunnel, et une mèche d'allumage disposée dans
cette même paroi au voisinage de l'orifice d'ali
mentation en combustible gazéifié, comme on l'a précédemment décrit Ainsi, la mèche d'allumage peut être facilement allumée au moyen d'un élément chauffant d'allumage qui est mis sous tension par des piles, sous la commande d'un interrupteur d'allumage. Avec cette disposition, on comprendra que l'usager de la chaufferette n'a pas besoin de porter avec lui une allumette ou un briquet, puisque l'allumage du combustible et sa combustion peuvent être effectués précisémentparmise sous tension de l'élément chauffant d'allumage à l'aide d'une pile logée dans la chaufferette, et toute réduction de l'efficacité de la combustion par suite d'une contamination de l'élément en platine-amiante, inévitable au cas où l'on utilise des allumettes pour l'allumage du combustible, peut être effectivement éliminée. En outre, s'il est nécessaire de changer le bloc de combustion, par exemple lorsque l'élément en platine-amiante est contaminé pour une raison quelconque, le bloc de combustion peut être facilement changé par l'ouverture de changement, en enlevant la plaque de fermeture.

Un autre avantage de la présente invention con siste encre que tout écoulement de combustible fiuide par l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié et, par suite son égouttement hors du bloc de combustion sont effectivement exclus, ce qui élimine le danger d'un jaillissement de flamme ou d'une combustion anormale de combusfflbe, garantissant ainsi la sécurité d'utilisation de la chaufferette. Cela est dû au fait que le trou traversant elliptique en tunnel, formé dans le réservoir, est allongé dans la direction de I'axe médian du boîtier principal I et que l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié est formé dans l'une des parois longitudinales de ce trou traversant, de sorte que, lorsque la chaufferette est mise en position verti caIe, son bord opposé à l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié et voisin du logement des piles étant dirigé vers le bas, la part de combus tible Iiquide qui était précédemment maintenue dans le réservoir d'un côté du trou traversant en tunnel est précipitée, sous l'effet de la gravité, de l'autre côté du réservoir, par ses passages rétrécis formés le long du trou traversant.

Un autre avantage de la présente invention consiste en ce que la flamme qui se forme sur la mèche d'allumage peut être éteinte en toute certitude après qu'elle ait servi à déclencher la combustion dans Ie bloc de combustion. Cela provient du fait que l'alimentation en air du bloc d'allumage est interrompue dès que Ia plaque-couvercle auxi Iiaire montée sur la plaque de fermeture est refermée pour enfermer le bloc d'allumage, en coopération avec Ie porte-élément de combustion et Ie capuchon du bloc d'allumage lul-meme.

On admettra que, conformément à la présente invention, il est fourni une chaufferette améliorée qui présente différentes caractéristiques avantageuses, telles que mentionnées ci-dessus et qui est facilement utilisable pour réchauffer toute partie voulue du corps lorsque I'usager se trouve en plein air, grâce à sa conception simple et rationnelle.

Bien que l'on ait ici représenté et décrit une forme d'exécution particulière de l'invention, tout spécialiste admettra que l'Invention ne se limite pas aux détails ici donnés, mais que de multiples variantes et modifications peuvent y être apportées sans que l'on s'écarte de l'esprit et des buts de l'invention, tels que définis dans le résumé annexé.

RÉsva6É
1. Cette chaufferette, du type dans lequel un combustible liquide est brûlé à l'aide d'un catalyseur au platine, comprend des éléments suivants un boîtier rectangulaire, de forme généralement arquée en coupe transversale et largement ouvert à sa partie supérieure, une ouverture allongée pour le changement de l'élément de combustion étant formée dans le fond de ce boîtier et s'détendant à sa partie centrale; un organe de fermeture fixé de façon amovible à ce boîtier, pour former l'ouverture supérieure de celui-ci; un réservoir à combustible cylindrique aplati, monté dans le boîtier et comportant un trou en forme de tunnel traversant de part en part, en position centrale, en regard de l'ouverture pour le changement de l'élément de combustion, un orifice d'alimentation en combustible gazéifié étant formé dans l'une des parois délimitent le trou traversant central du réservoir; un bloc de combustion comprenant un porte-élément de combustion raccordé à recouvrement avec l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié, un élément en platine-amiante étant maintenu dans ce porte-élément; une mèche d'allumage disposée au voisinage du trou d'alimentation en combustible gazéifié, dans la paroi mentionnée parmi celles qui délimitent le trou traversant en forme de tunnel; un bloc d'allumage comprenant un capuchon de tôle s'ouvrant vers le fond du boîtier et vers le porte-élément de combustion et portant un élément d'allumage; une plaque de fermeture fixée de façon amovible à l'ouverture pour le changement de l'élément de combustion et munie d'une plaque-couvercle auxiliaire montée à un pivotement et d'une plaque extinctrice montée sur la plaque-couvercle auxiliaire de façon à prendre et à quitter une position en regard du côté du capu chon qui fait face au fond du boîtier; un ensemble interrupteur d'allumage monté sur le fond du boîtier, à fintérieur, et actionnable pour ouvrir et fermer un circuit d'allumage contenant l'élément chauffant d'allumage, et des moyens d'ailmentation en combustible, comprenant un orifice de remplissage formé dans le fond du boîtier, un orifice d'admission en combustible, normalement

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims

**ATTENTION** debut du champ CLMS peut contenir fin de DESC **. précédemment décrit Ainsi, la mèche d'allumage peut être facilement allumée au moyen d'un élément chauffant d'allumage qui est mis sous tension par des piles, sous la commande d'un interrupteur d'allumage. Avec cette disposition, on comprendra que l'usager de la chaufferette n'a pas besoin de porter avec lui une allumette ou un briquet, puisque l'allumage du combustible et sa combustion peuvent être effectués précisémentparmise sous tension de l'élément chauffant d'allumage à l'aide d'une pile logée dans la chaufferette, et toute réduction de l'efficacité de la combustion par suite d'une contamination de l'élément en platine-amiante, inévitable au cas où l'on utilise des allumettes pour l'allumage du combustible, peut être effectivement éliminée. En outre, s'il est nécessaire de changer le bloc de combustion, par exemple lorsque l'élément en platine-amiante est contaminé pour une raison quelconque, le bloc de combustion peut être facilement changé par l'ouverture de changement, en enlevant la plaque de fermeture. Un autre avantage de la présente invention con siste encre que tout écoulement de combustible fiuide par l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié et, par suite son égouttement hors du bloc de combustion sont effectivement exclus, ce qui élimine le danger d'un jaillissement de flamme ou d'une combustion anormale de combusfflbe, garantissant ainsi la sécurité d'utilisation de la chaufferette. Cela est dû au fait que le trou traversant elliptique en tunnel, formé dans le réservoir, est allongé dans la direction de I'axe médian du boîtier principal I et que l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié est formé dans l'une des parois longitudinales de ce trou traversant, de sorte que, lorsque la chaufferette est mise en position verti caIe, son bord opposé à l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié et voisin du logement des piles étant dirigé vers le bas, la part de combus tible Iiquide qui était précédemment maintenue dans le réservoir d'un côté du trou traversant en tunnel est précipitée, sous l'effet de la gravité, de l'autre côté du réservoir, par ses passages rétrécis formés le long du trou traversant. Un autre avantage de la présente invention consiste en ce que la flamme qui se forme sur la mèche d'allumage peut être éteinte en toute certitude après qu'elle ait servi à déclencher la combustion dans Ie bloc de combustion. Cela provient du fait que l'alimentation en air du bloc d'allumage est interrompue dès que Ia plaque-couvercle auxi Iiaire montée sur la plaque de fermeture est refermée pour enfermer le bloc d'allumage, en coopération avec Ie porte-élément de combustion et Ie capuchon du bloc d'allumage lul-meme. On admettra que, conformément à la présente invention, il est fourni une chaufferette améliorée qui présente différentes caractéristiques avantageuses, telles que mentionnées ci-dessus et qui est facilement utilisable pour réchauffer toute partie voulue du corps lorsque I'usager se trouve en plein air, grâce à sa conception simple et rationnelle. Bien que l'on ait ici représenté et décrit une forme d'exécution particulière de l'invention, tout spécialiste admettra que l'Invention ne se limite pas aux détails ici donnés, mais que de multiples variantes et modifications peuvent y être apportées sans que l'on s'écarte de l'esprit et des buts de l'invention, tels que définis dans le résumé annexé. RÉsva6É

1. Cette chaufferette, du type dans lequel un combustible liquide est brûlé à l'aide d'un catalyseur au platine, comprend des éléments suivants un boîtier rectangulaire, de forme généralement arquée en coupe transversale et largement ouvert à sa partie supérieure, une ouverture allongée pour le changement de l'élément de combustion étant formée dans le fond de ce boîtier et s'détendant à sa partie centrale; un organe de fermeture fixé de façon amovible à ce boîtier, pour former l'ouverture supérieure de celui-ci; un réservoir à combustible cylindrique aplati, monté dans le boîtier et comportant un trou en forme de tunnel traversant de part en part, en position centrale, en regard de l'ouverture pour le changement de l'élément de combustion, un orifice d'alimentation en combustible gazéifié étant formé dans l'une des parois délimitent le trou traversant central du réservoir; un bloc de combustion comprenant un porte-élément de combustion raccordé à recouvrement avec l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié, un élément en platine-amiante étant maintenu dans ce porte-élément; une mèche d'allumage disposée au voisinage du trou d'alimentation en combustible gazéifié, dans la paroi mentionnée parmi celles qui délimitent le trou traversant en forme de tunnel; un bloc d'allumage comprenant un capuchon de tôle s'ouvrant vers le fond du boîtier et vers le porte-élément de combustion et portant un élément d'allumage; une plaque de fermeture fixée de façon amovible à l'ouverture pour le changement de l'élément de combustion et munie d'une plaque-couvercle auxiliaire montée à un pivotement et d'une plaque extinctrice montée sur la plaque-couvercle auxiliaire de façon à prendre et à quitter une position en regard du côté du capu chon qui fait face au fond du boîtier; un ensemble interrupteur d'allumage monté sur le fond du boîtier, à fintérieur, et actionnable pour ouvrir et fermer un circuit d'allumage contenant l'élément chauffant d'allumage, et des moyens d'ailmentation en combustible, comprenant un orifice de remplissage formé dans le fond du boîtier, un orifice d'admission en combustible, normalement fermé, formé dans le fond du réservoir en liaison avec l'orifice de remplissage, et des moyens destinés à conduire le combustible de cet orifice d'admission du combustible vers l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié.

2. En position excentrique sur le réservoir est formé un trou en forme de tunnel traversant de part en part qui s'étend entre les parois supérieure et inférieure de ce réservoir et présente une forme circulaire elliptique ou rectangulaire en coupe transversale.

3. Le bloc de combustion comprend un porte. élément de combustion, sous forme d'un organecanal profilé en U, en un métal résistant à la chaleur et à la corrosion, s'ouvrant dans une direction telle qu'il recouvre l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié et comportant une patte de montage qui s'étend à partir de l'une des parois latérales de l'organe-canal, une bague de retenue perméable aux gaz, résistant à la chaleur et à la corrosion étant placée dans cet organe-canal et un élément

en platine-amiante étant maintenu dans ia bague de retenue, l'organe canal comportant, dans ses deux parois latérales, un certain nombre d'ouvertures de traversée pour l'alimentation en air de l'élément en platine-amiante et portant des pattes qui s'étendent vers l'intérieur à partir des parois latérales correspondantes de l'organe-canal pour entrer en contact avec un segment de la bague de retenue, afin d'éviter un déplacement de celle-ci vers l'ouverture de l'organe-canal.

4. L'organe d'allumage comprend un capuchon en tôle métallique, qui déiimite un espace s'ouvrant vers le fond du boitier et vers le porte-élément

de combustion lorsque le bloc d'allumage est à l'état de montage dans la chaufferette, ainsi qu'un

élément chauffant d'allumage disposé dans cet

espace à faible distance et en regard de la mèche

d'allumage, l'un des côtés ouverts du capuchon

dans sa position de montage, étant recouvert par

l'organe-canal du porte-élément de combustion,

tandis que l'autre côté ouvert du capuchon est

recouvert par la plaque extinctrice disposée à une

pius ou moins grande distance de celui-ci.

5. La plaque de fermeture comporte une ouver

ture d'allumage formée dans sa partie en regard

de la mèche d'allumage, une plaque-couvercle auxiliaire susceptible d'être mise en position et

hors de position de recouvrement de l'ouverture

d'allumage, et une plaque extinctrice montée sur

la plaque-couverde auxiliaire en association avec le

côté du capuchon qui fait face au fond du boîtier,

cette plaque-couvercle auxiliaire étant montée

pivotante au niveau de l'une de ses extrémités sur

des pivots fixés aux bords opposés de l'ouverture

d'allumage dans la plaque de fermeture, et des

moyens en forme de lame de ressort arquée, dis

posés entre la plaque-couvercle auxiliaire et la plaque de fermeture de façon à aider le mouvement de pivotement de la plaque-couvercle auxiliaire dans l'un et l'autre sens et à maintenir celle-ci en position fermée ou ouverte.

6. La plaque de fermeture comprend un dispositif indicateur de température composé de moyens indicateurs qui comprennent une bande de bimétal sensible à la chaleur montée à l'intérieur de la plaque de fermeture vis-à-vis du porte-élément de combustion, et un regard formé dans la plaque de fermeture pour permettre à l'usager d'observer les moyens indicateurs depuis l'extérieur de la plaque de fermeture.

7. Les moyens d'alimentation en combustible comprennent un orifice de remplissage tubuiaire, formé dans le fond du boîtier et faisant saillie vers l'intérieur, un orifice d'admission de combustible formé dans le fond du réservoir, en regard de l'extrémité de l'orifice de remplissage, un manchon d'admission de combustible comportant un passage axial et ajusté dans l'orifice d'admission du combustible, ce manchon d'admission étant conçu pour s'adapter sur l'orifice de remplissage de façon étanche aux liquides, et un disque de soupape monté à l'intérieur de l'orifice d'admission en combustible et normalement poussé par un ressort de façon à prendre étroitement contact avec le bord voisin du manchon d'admission du combustible pour fermer l'orifice d'admission du combustible formé dans le fond du réservoir.

8. Les moyens d'alimentation en combustible comprennent un orifice de remplissage formé dans le fond du boîtier et faisant saillie vers l'intérieur, un orifice d'admission de combustible formé dans une partie du fond du réservoir, en regard de l'extrémité de l'orifice de remplissage, un manchon d'admission de combustible comportant un passage axial et s'adaptant dans l'orifice d'admission de combustible, ce manchon d'admission étant conçu pour s'ajuster sur l'orifice de remplissage de façon étanche aux liquides, un disque de soupape monté à l'intérieur de l'orifice d'admission de combustible et normalement poussé par un ressort pour prendre étroitement contact avec le bord voisin du manchon d'admission de combustible, de façon à fermer cet orifice d'admission de combustible, et un organe de guidage du combustible dans un segment d'extrémité duquel est formée une cavité destinée à recevoir la plaque de soupape, tandis qu'une conduite s'étend de cette cavité vers l'autre extrémité de l'organe de guidage du combustible et s'ouvre dans l'orifice d'alimentation en combustible gazéifié.