BE489664A

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Description

"DISPOSITIF DE COMMANDE DES FENETRES ET DES PORTES EN VUE DE LA FERMETURE.DU VERROUILLAGE ET DE l'AERATION"
La présente invention couvre des perfectionnements aux portes -et aux fenêtres susceptibles de tourner autour d'un axe médian. Elle a pour objet principal un dispositif de com- mande permettant d'amener le châssis de fenêtre ou la porte à la position ouverte désirée et ce l'y maintenir, par exemple

on vue de l'aération, tout en laissant les rayons du soleil traverser sans obstacle l'ouverture de la fenêtre et, en assurant, de plus, la fermeture et le verrouillage de de la fenêtre ou/la porte.

On va maintenant décrit à titre d'exemple, en se référant aux dessins ci-joints, certaines formes d'exécution préférées de l'invention.

Sur ces dessins :
La Fig. 1 est une vue par l'avant d'une fenêtre.

La Fig. 2 en est une vue latérale.

La Fig. 3 est une vue en coupe suivant la ligne III-III de la Fig. 8 d'une fenêtre établie con- formément à l'invention et supposée en position fermée, la coupe passant par une ligne de gonds et montrant le dispositif associé aux dites lignes de gond, pour amener le châssis de fenêtre dans la position ouverte désirée.

Les Figs. 4, 5 et 6 sont des coupes représentant le châssis pivotant en différentes positions.

La Fig. 7 est une coupe semblable \ la Fig. 3 passant par les ponds ot le dispositif de commande de l'aération de l'autre côté de la fenêtre.

La Fig. 8 représente un détail de- la fenêtre vue par l'avant.

La Fig. 9 est une coupe de détail sui- vant la ligne IX - IX de la Fig. 8.

Les igs. 10 et 11 sont deux coupes d'une variante de l'invention.

Les Figs. 12 et 13 sont des coupes de détail du dispositif de commande de l'aération pour différentes posi- tions qui lui sont données.

La fig. 14 est une vue latérale représentant diffé- rentes positions d'aération que peut recevoir le châssis et dans lesquelles il peut âtre maintenu. les igs. 15 et 16 sont des coupes de détail d'autres formes d'exécution du dispositif de commande de l'aé- ration.

Les Fige. 17,18 et 19 sont des vues de détail d'une autre forme d'exécution de l'invention.

La Fig. 20 est une vue schématique du dispositif de transmission assurant la commande de la position d'aéra- tion d'une fenêtre.

La Fig. 21 est une vue du même dispositif dans une autre position avec vue en perspective partiellement en coupe d'un bâti à nervure de serrage.

La Fige 22 est une vue analogue du même dispositif représenté aux Figs. 20 et 21 mais dans une troisième posi- tion.

Les Figs. 23 et 24 sont des vues d'une variante représentant le dispositif de commande en deux positions dif- férentes.

La Fig. 25 représente une fenêtre comportant un levier de commande le long d'un bord vertical.

La Fig. 26 représente un châssis pour cette der- nière fenêtre comportant des ferrures rainées associées à des chevilles portées par une tige mobile dans le sens lon- gitudinal.

Les Figs. 27 à 31 représentent différentes combi- naisons d'organes d'aération et de verrouillage pour des fenêtres à axe médian horizontal.

Les Figs. 32 et 35 à 38 représentent des fenêtres à châssis susceptibles d se déplacer autour d'un axe médian et associés de différentes manières à d'autres châssis mobiles.

Les Figs. 33 et 34 sont des vues représentant la manière d'ouvrir les châssis de la Fig. 32 à des moments différents.

Les Figs. 39 à 42 sont des vues schématiques représentant différentes formes d'exécution d'un accouplement entre des dispositifs de verrouillage et d'aération de fenêtre-, à plusieurs châssis associés comme représenté en i'ig. 32.

Les Fige. 43, 44 et 45 sont des vues en élé- vation de différents modes d'exécution d'un dispositif de commande comportant un accouplement par bande métallique ou par chaîne cinématique entre des tiges se déplaçant longi- tudinalement suivant des directions perpendiculaires l'une à l'autre.

:La Fige 46 représente un autre dispositif compor- tant une banoe flexible en une pièce servant à accoupler des organes se déplaçant perpendiculairement l'un à l'autre.

La Fige 47 et la Fig. 48 sont respectivement une coupe et une vue partielle par-dessus d'une forme d'exécution

d'un guide cintré pour cette bande métallique flexible en une pièce.

Les Figs. 49 - 50 - 51 sont des vues en coupe de différentes variantes de ce guide.

Les Figs.52 et 53 sont des vues en coupe des coins d'un châssis de fenêtre comportant deux: bandes métal- liques parallèles formant un accouplement cinématique .

La Fige 54 est une vue en coupe suivant la ligne XII-XII de la Fig. 53.

Sur les dessins, 1 désigne le dormant de la fenêtre et 2 un châssis se déplaçant sur des gonds placés aux deux extrémités de lanière à ce que le châssis puisse tourner autour d'un axe horizontal médian. Le châssis comprend géné- ralement deux châssis accoudés élémentaires. Les deux gonds comprennent les deux pièces I-II montées respectivement sur le dormant et snr le châssis. La pièce II du châssis 2 com- porte à la manière habituelle un pivot 5 pénétrant dans une fente en arc de cercle 6 de la pièce 1 qui s'ouvre vers le haut et est fermée à son extrémité inférieure. Dans ce dispositif de type connu, le châssis '3 lorsqu'il est fermé repose par ses butées 3 sur les contre-butées 4.

Lorsqu'on ouvre la fenêtre, on fait d'abord pivoter le châssis par l'intermédiaire des butées 3 sur les contre-butées 4, tandis que les pivots 5 se déplacent dans les rainures 6 jusqu'à ce qu' 'ils atteignent le fond de celles-ci. Si l'on ouvre davantage le châssis, il tourne autour des pivots 5 qui demeurent au fond des fentes 6.

Le châssis 2 présente le long d'un de ses côtés au moins une cheville on saillie 7 disposée longitudinalement

dans un guide prévu dans le côté de la pièce mobile 8 du châssis, cette cheville agissant pour commander l'ouverture de la fenêtre en combinaison avec la ferrure la fixée au dormant 1 au voisinage de l'axe horizontal du châssis; cette ferrure est c onstituée de préférence par un prolongement vers le bas de la pièce 1 du gond portée par le dormant. Cette ferrure la comporte, pour travailler avec la cheville 7 une ou plusieurs rainures, cette rainure ou l'une de ces rainures se présentant de préférence sous la forme d'un évidement 9 de forme particulière.

A ce point de vue, il faut indiquer que les déplacements de la pièce mobile 8 sont compris comme étant synchrones ou comme dépendant des déplacements des chevilles réglables prévus à la partie inférieure et de préférence également à la partie supérieure du châssis. Ces dernières chevilles coopèrent pour la fermeture et le ver- rouillage de la fenêtre avec des fentes ménagées dans des ferrures du dormant, ces chevilles étant commandées par exemple au moyen d'un levier monté sur le côté inférieur du châssis et représenté en 10 sur la Fig. 1
Ce levier 10 sert à commander les déplacements des organes mobiles à chevilles de verrouillage semblables par exemple à l'organe mobile des Figs.

8 et 9 et peut être relié aux organes mobiles par des chevilles de verrouillage avec des organes de transmission dans les coins du châssis qui sont de préférence arrondis. Les organes mobiles avec les chevilles de commande 7 de l'ouverture peuvent toute- fois être accouplés cinématiquement aux organes mobiles à chevilles de verrouillage du levier de commande commun 10 de toute manière appropriée assurant le synchronisme ou

tout au moins l'asservissement entre les mouvements des chevilles do commande et des chevilles de verrouillage.

De même que les fentes 9 coopérant avec les chevilles de com- mande 7, les fontes non représentées coopérant avec les che- villes de verrouillage sont ouvertes à la manière habituelle à une extrémité de telle sorte que les chevilles peuvent sortir ces fentes lorsque le châssis a suffisamment tourné et revenir ensuite dans les fentes lorsque le châssis est revenu dans sa position fermée.

En général une partie des fentes associées aux chevilles de verrouillage considérée à partir de leurs extrémités ouvertes se dirige dans un sens diagonal pour produire le serrage du châssis dans le dormant lorsqu'on amène les chevilles de verrouillage dans les fentes en agissant sur le levier de commande lo lorsque on ferme la fengtre et ces fentes continuent en étant à peu près parallèles à la ligne de déplacement des chevilles de verrnuillage dans une sec onde partie pour assurer le ver- rouillage du châssis en position fermée.

Comme il a été déjà dit, la fente 9 présente une forme spéciale comprenant une partie intérieure 9 qui coïn- cide avec la ligne suivant laquelle se déplace la cheville d'aération 7 lorsqu'on ouvre la fenêtre fermée et que les chevilles de verrouillage sont amenées par le levier de commande 10 de la position de verrouillage à l'ex- térieur des fentes et ensuite une partie extérieure appro- priée 9b en diagonale ou en arc de cercle dans laquelle la cheville 7 est amenée de manière réglable par le levier 10 lorsque les chevilles de verrouillage ont cuitté leurs fentes.

Lorsque la fenêtre fermée est déverrouillée, on peut, par déplacement du levier de commande 10, repousser les chevilles 9 dans les parties extérieures 9b des fentes 9 afin de com- mander l'ouverture de la fenêtre (igs. 5 et 11). Lorsque le châssis a basculé au-delà de l'angle correspondant à l'aé- ration, les chevilles 7 quittent les fentes 9 par leurs ex- trémités ouvertes (en Fig. 6)
Suivant le mode d'exécution des Fige. 3 à 7, le dispositif de commande est tel que lorsque le levier 10 a été poussé dans un sens donné et que la fenêtre a été déverrouil- lée, le levier doit être ramené en arrière pour pouvoir in- troduire les chevilles 7 dans les parties extérieures 9b des fentes 9.

Ce mouvement est rendu plus facile par com- mande du levier 10 par une main tandis que l'autre main re- pousse le châssis 2 dans la direction du déplacement. Il est très facile au moyen du levier de commande 10 d'obtenir la dimension d'ouverture désirée pour l'aération entre le dor- mant et le châssis au-dessus et au-dessous de ce dernier* En déplaçant le levier de commande dans le sens opposé pour pousser les chevilles 7 dans les parties extérieures 9b des fentes 9, on profite du fait Que le levier de commande n'a pas besoin de tourner plus ou'il n'est nécessaire pour la commande des chevilles de verrouillage.

Suivant le mode d' exécution représenté aux Figs. 10 et 11, les chevilles sont amenées dans la partie 9b des fentes 9 correspondant à l'aération on faisant tourner le levier de commande 10 dans le même sens lorsque le châssis est déverrouillé et lors- qu'on l'ouvre en vue de l'aération.

Il est clair que la différence entre ces deux modes d'exécution est due à ce que la partie intérieure 9a de la fente suivant les Figs. 10 et 11 forme un prolongement à peu près tangentiel de la partie extérieure en arc de cercle 9b tandis que les parties 9a et 9b des Figs. 3 à 7 sont reliées par un arc dont elles forment approximativement des prolongements tangentiels. La Fig. 15 représente un mode d'exécution où la fente a une forme telle ou' il faille tour- ner le levier de commande à tour de rôle dans les deux sens pour faire passer la cheville 7 d'une extrémité de la fente à l'autre.

Conformément à un mode d'exécution très avantageux, les organes mobiles avec leurs chevilles forment partie d'un dispositif enroulé autour du châssis, dispositif nui peut être manoeuvré par le levier de commande de telle sorte que les deux chevilles 7 montées latéralement sur la fenêtre se dé- placent en sens opposés, autrement dit lorsque la cheville d'un côté est repoussée vers le haut, l'autre est repoussée vers le bas et inversement.

Dans le mode d'exécution conforme aux Fige. 3 à 7, les fentes 9 prévues de part et d'autre de la fenêtre doivent .être dirigées en eens opposés comme on le voit en comparant les Figs. 3 et 7 ou encore les Figs. 10 et 11.

Les fentes 9 peuvent présenter un ou plusieurs évi- dements 11 le long des bords des parties extérieures 9b pour recevoir les chevilles 7 afin de maintenir le châssis dans une position ouverte ou dans une position choisie parmi plu- sieurs positions d'aération bien déterminées. Il est égale- ment possible de prévoir sur le levier de commande 10 des

moyens pour le maintenir sûrement dans certaines positions correspondant à certaines position d'aération désirées.

Pour autant que le dispositif conforme à l'inven- tion a été décrit jusqu'ici, le dispositif sert à comman- der et à maintenir le châssis en position d'aération : le châssis ne pivote que sur un angle faible, son coté infé- rieur s'écartant vers l'extérieur par rapport à la position de fermeture en laissant libres à la partie inférieure et à la partie supérieure de la fendre de petites ouvertures d'aération. La fente 9 formée spécialement pour le c oulis- sement ce la cheville d'aération 7 peut être utilisée plus particulièrement lorsqu'on désire obtenir une commande pré- cise des dimensions de ces ouvertures.

Le dispositif de commande conforme à l'invention peut être appliqué cependant le cas échéant pour commander l'ouverture du châssis jusqu'à des angles entre 90 et 180 par rapport à la position de fermeture. A cet effet, la fer- rure 1 ou le cas échéant une autre ferrure peuvent comporter un ou plusieurs evidements 12 disposés de telle manière que la cheville mobile 7 du châssis puisse sous l'effet de la commande exercée sur le levier 10 pénétrer dans cet évide- ment ou dans l'un de ces évidements lorsqu'on a fait bascu- ler le châssis dans une position pour laquelle cet évidement se trouve sur le trajet de cette cheville 7 (Fige 12-13-15 et 16). Lorsque la cheville 7 pénètre dans un des évidements 12, le châssis 2 se trouve maintenu d'une manière sûre dans la position correspondante.

Dans les fenêtres comportant un châssis monté à pivot sur un axe médian, il arrive souvent

que l'on désire placer le châssis non seulement dans des positions d'aération pour lesquelles le châssis a basculé en faisant un petit angle par rapport à la position fermée mais encore dans des positions pour lesquelles le châssis bascule pour prendre des positions faisant un angle de 90 à 100 à partir ce la position de fermeture, par exemple de manière à ce oue le soleil puisse entrer dons la chambre aussi librement que possible sans rencontrer d'obstacle, c.à.d. sans que les rayons aient à traverser une ou plusieurs vitres.

Comme on le voit en Fig. 16, la fente 9 peut être remplacée le cas échéant par des évidements 13 disposés dans la ferrure la de préférence solidaire de la ferrure 1, ces évidements étant analogues aux évidements déjà décrits 12,- avec la seule différence qu', ils sont disposés de manière que les chevilles 7 puissent y pénétrer lorsque le châssis se trouve dans des positions entre environ 0 et 90 par rapport à le position de fermeture. Il est, de plus, possible de remplacer les évidements repréentés aux Figs. 12, 13, 15 et 16 par une fente convenablement disposée;plus ou moins équivalente ou semblable à la fente 9 déjà décrite et servant a assurer la commande précise du châssis oui est rendue possible par l'amenée du levier de commande dans toute position voulue.

Les Figs. 17 à 19 représentent en détail les gonds et dispositifs de commando dans une variante de l'invention convenant plus particulièrement aux fenêtres dont les châssis déverrouillés tendent sous l'action d. la pesanteur à prendre avec leur suspension une certaine position ouverte équilibrée et stable. Les détails des gonds correspondent à ceux donnés

ci-dessus ot ont été représentés d'une manière analogue.

Cependant les chevilles mobiles 21 ont été disposées dans ce cas d'un côté du dormant dans les guides 22 Qui peuvent être constitués en une seule pièce avec la ferrure voisine I des gonds. La ferrure II montée sur le châssis comporte un prolongement avec une fente 23. Lorsque la cheville 21 repré- sentée en Fig. 17 comme se trouvant à la partie supérieure du guide 22 se déplace vers le bas, elle pénètre dans la fente 23 et le châssis se mot à pivoter pour prendre la position représentée en Fig. 18. Si on pousse la cheville 21 plus loin vers l'extrémité inférieure de la fente 22, le châssis bascule et vient prendre la position d'équilibre de la Fig.19.

La cheville 21 a alors quitté la fente 23 de la ferrure dont la forme est telle que le châssis est d'abord libre et peut pivoter librement dans l'une ou l'autre direction autour du pivot 5 ou de la butée 3 et ensuite qu'il soit amené sous l'effet du dispositif de commande à une position d'ouverture inférieure pour être enfin fermé. La ferrure comportant la fente 23 est disposée de telle manière sur le châssis que la cheville 21 pénètre automatiquement dans la fente 23 lors- qu'on la repousse. On obtient ainsi l'avantage de faciliter la commande et, de plus, la cheville '21 n'est plus en prise lorsque le châssis atteint se position d'équilibre.

Une caractéristique commune à tous les modes dexé- cution représentés consiste en ce que les chevilles 7 com- mandant les différentes ouvertures de la fenêtre en dehors de la fermeture et du verrouillage en position fermée se déplacent perpendiculairement ou à peu près perpendiculai- rement à l'axe de pivotement du chassis, c.à.d. en se rap- prochant ou en s'éloignant de celui-ci.

Parmi les nombreux

avantages évidents de ce dispositif, on peut mentionner qu'il est très simple, d'une manoeuvre sûre et facile et quon peut aisément le modifier de toute nanière appropriée suivant les nécessités. les possibilités de modification ne sont pas limi- tées par les dispositifs représentés aux dessins et décrits ci-dessus et elles sont au contraire si nombreuses qu'il se- rait trop long de les décrire plus en détail.

Quelques indica- tions complémentaires pourront suffire. La direction du dépla- cement des chovilles mobiles 7 au lieu de se trouver entière- ment d'un coté de l'axe pourrait s'étendre de part et d'autre de celai-ci grâce à une forme correspondante donnée à la fente ou aux fentes avec lesquelles la cheville est destinée à tra- vailler. Lorsque la fento présente des évidements sur l'un de ses bords ou sur les deux bords, il n'est pas nécessaire que cette fente soit ouverte pour que la cheville puisse sortir de la fente, puisque, dans ce cas, la fente peut pren- dre la forme approximative d'une spirale plane de telle sorte que la cheville puisse rester dans la fente pour toutes les positions du. châssis.

Il n'est pas indispensable que la che- ville se céplace par rapport au châssis et Que la ferrure comportant une fente soit montée sur le dormant parce que l'inverse pourrait se foire aussi bien. Quand les chevilles mobiles 7 sont disposées sur le dormant au lieu de l'être sur le châssis, bien entendu, il faut que le levier de com- mande et les chevilles de fermeture et de verrouillage soient 'également montres sur le formant au lieu de l'être sur le châssis. Bien entendu, l'invention peut s'appliquer à des fenêtres dont l'axe médian est aussi bien vertical qu'hori- zontal et, bien entendu, également aux portes montées dans un

dormant, et cela en principe de la même manière que pour les fenêtres considérées.

L'expression "axe médian" uti- lisée dans la présente description ne doit pas âtre prise à la lettre irais elle doit 'être considérée comme couvrant par exemple le cas d'un chassis monté sur un axe médian présentant deux pivots ou davantage de chaque coté de telle manière que le châssis au début de son ouverture commence à tourner autour d'un axe et ensuite autour d'un autre axe parallèle au premier et il peut se faire que ni l'un ni l'autre de ces axes ne se trouve exactement au centre par rapport aux bords supérieur et inférieur du chassis et même les deux axes peuvent être disposés quelque peu- plus bas. Les chevilles 7 ne sont pas nécessairement rondes mais peuvent aussi présenter la forme d'une saillie portée par les organes mobiles de support 8.

La distinction entre les dispositifs d'aération et de verrouillage s'est montrée préférable on particulier dans le cas des grandes fenêtres pouvant par exemple se dé- placer autour d'un axe horizontal médian et qui doivent être maintenues dans certaines positions d'aération, l'ouverture de cas fenêtres devant être réglée entre la position fermée et une position d'ouverture relativement grande.

Pour rendre possible le réglage précis de l'ou- verture, l'invention a pour objet la possibilité d'effectuer différente mouvements pour les organes mobiles du di sposi- tif d'aération et pour les organes correspondants du dis- positif de verrouillage.

Etant donné ou'il est avantageux de pouvoir com- mander l'ouverture du chassis 11 intérieur d'une gamme

d'ouvertures assez étendue, le dispositif de commande de 1'aération doit se trouver en prise plus près de l'axe de pivotement du châssis que le dispositif de verrouillage qui est monté de préférence aussi loin que possible de l'axe pour assurer un verrouillage optimum. Lorsque le chassis est ver- rouillé, il doit être appliqué contre les nervures de serrage et à cet effet il est nécessaire d'utiliser une force relati- vement élevée.

Un autre objet de l'invention consiste donc à dis- poser une transmission à démultiplication variable entre le levier de commande et les organes mobiles disposés'dans les côtés de la fenêtre de manière à permettre la transmission d'une force supérieure -au dispositif de verrouillage celle transmise au di sposi tif d'aération.

Un autre objet de l'invention consiste à transmettre le mouvement du levier de commande d'abord au dispositif de verrouillage et ensuite au dispositif d'aération lorsqu'on ouvre la fenêtre et inversement lorsqu'on ferme la fenêtre.

Conformément au mode d'exécution représenté en Figs.

20. 21 et 22, les deux dispositifs de transmission assurent la commande prdes leviers mobiles. Ceux-ci sont représentés sous la forme d'une pièce de tôle susceptible de pivoter 80 et présentant un trou carré 81 dans lequel pénètre le levier de commande. Le tôle 80 est reliée par les biellettes 82 et 83 aux tiges mobiles dans le sens longitudinal 84-85 servant à la commando des ferrures, des chevilles mobiles et des autres organes commandant respectivement le verrouillage et l'aé- ration,

les biellettes 82 ot 83 sont reliées à la tôle 80 en des points se trouvant à des distances différentes de son pivot de telle sorte que l'on arrive à donner à la tige

d'aération 85 un déplacement plus grand qu'à la tige de verrouillage 84 tandis que la force agissant sur la tige de verrouillage est supérieure à la force agissant sur la tige d'aération.

Il faut ajouter à ce point de vue qu'on premier lieu, les angles entre les lignes passant par les pivots 86 ou 87 des biellettes 82 ou 83 sur la tôle 80 et par le pivot de cette dernière et ensuite la position de la tôle 80 par rapport au levier de commande, sent telles que le pivot 87 effectue pendent la première partie du déplacement du levier de commande un arc dont la corde est nécessarrement perpendiculaire à la tige d'aération 85 de telle sorte que le dispositif de ventilation n'est pas actionné.

La cheville 86 formant le pivot de la biellette 82 de la tige de verrouillage décrit au contraire un arc dent la corde est essentiellement parallèle à la tige 84 qui se déplace donc fans le sens longitudinal et oblige le dispositif de verrouillage à n'être plus en prise avec le ou les chassis avant que le dispositif d'aération ne soit actionna pendant la deuxième partie du déplacement du levier de commande. Lorsque le levier de commande est rame- né en arrière, les différents organes reviennent en prise dans le sons opposé.

La Fig. 21 qui représente en perspective et en coupe un dormant en bois 88 avec une nervure de serrage 89 montre également comment on peut disposer les tiges mobiles 84 et 85 dans ure gorge 90 du dormant. L'invention peut toutefois s'appliquer également à des fenêtres établies en profilés métalliques.

L'axe du levier de commande et la tôle 80 peuvent être montés à l'intérieur de la nervure de serrage 89 de telle manière que le levier se trouve au contact immédiat de la surface 91 de la dite nervure et que ce levier puisse tourner sensiblement plus que dans le cas précédent sans que la nervure gêne la ma- noeuvre. Le levier ou la manette peut être utilisé comme conne- xion entre le (formant et le châssis pour maintenir le châssis dans sa position pour laquelle il a tourné de plus de 90 afin de laisser entrer directement les rayons du soleil.

La forme du dispositif de verrouillage peut également être telle qu'une partie de la commande de l'aération puisse se faire par son intermédiaire*
L'invention peut s'appliquer de préférence à des fe- nêtres comportant des châssis se déplaçant sur des gonds et présentant une position déterminée, stable, équilibrée, cor- respondant à une ouverture d'aération. Les dispositifs de com- mande sont alors disposés de manière à amener le ou les châs- sis de leur position fermée 8. cette position équilibrée.

Une variante de l'invention est représentée aux Figs.

23 et 24. Le levier de commande 92 présente dans ce cas un pro- longement avec une fente 93-94. Le levier est articulé sur le (Formant, sur le châssis ou sur une nervure- de serrage par l'in- termédiaire d'un pivot 95 et il sert à la commande de l'ouver- ture de la fenêtre en combinaison avec la cheville 96 du chas- sis. Le dormant ou la nervure de serrage se trouve, dans ce 'cas, en avant du dessin. Le verrouillage de la fenêtre se fait d'une manière analogue à celle décrite ci-dessus par l'intermédiaire du levier 97, de la biellette 98 et de la tige
99 pendant que la cheville 96 se trouve libre dans la partie

93 de la fente. Le levier de commande est représenté 'pour la position fermée de la fenatre de la Fig. 23 et en position ouverte en Fig. 24.

Si le levier tourne en s'écartant davantage de la position représentée en Fig.

24, la cheville se trouvera libre, après quoi, on pourra faire tourner davantage le châssis en le tirant ou en le poussant directement. Dans ce mode d'exécution de l'invention, le levier de commande doit être monté à proximité do l'axe de pivotement du châssis pour que les déplacements de la cheville 96 dans la fente provoquent l'amenée du châssis sous un angle satisfaisant. Au lieu de leviers, des roues d'engrenage ou un disque à came pourraient être utilisés soit seuls soit combinés aux leviers ou dispositifs analogues.

On saitque pour déplacer les pièces mobiles dis- posées sur les côtés à angle droit l'un avec l'autre de la fenêtre ou de la porte sous l'effet d'un levier de commande commun, il est possible de fixer ou de coupler à la manière habituelle ces organes à deux organes mo- biles longitudinalement à angle droit l'un pr rapport à l'autre le long des côtés de la fenêtre ou de la porte, en accouplant, de plus, ces organes cinématiquement dans le coin réunissant les cotés considérés. Jusqu'à présent, l'accouplement cinématique des organos se déplaçant sui- vant des directions perpendiculaires dans le coin sépa- rant ces organes a été obtenu au moyen d'organes de trans- mission articulés sur ces poins et formant des leviers coudés ou analogues.

Le dispositif de commande des organes mobiles de verrouillage, de fermeture et d'aération

comprenait ainsi un assez grand nombre, d'éléments et plusieurs-points d'appui, de telle sorte que sa fabri- cation était relativement onéreuse, ainsi que sa mise en place, tout en exigeant l'entretien, le graissage, otc, des différents points d'appui pour empêcher tout jeu, toute perte d'énergie dans l'entraînement et tout bruit en fonctionnement.

Conformément à l'invention, l'accouplement cm- nématique entre les deux organes mobiles longitudinalement suivantdeux cotés à angle droit de la fonêtre ou de la porte comprend un organe flexible sans joint s'étendant en vue du but envisagé dans le coin reliant ces deux cotés entre les deux organes. mobiles suivant un arc avec ses extrémités fixées aux organes en question pour transmettre des efforts de traction et de compression entre les organes mobiles suivant des directions de déplacement perpendi- culaires l'une à l'autre.

Comme on l'a montré par des ex- périences et des essais, on atteint ainsi une simplifica- tion radicale et une réduction considérable du prix de revient du dispositif de commande des organes mobiles, en même temps que les exigences de graissage sont extrêmement réduites ainsi que le reste de l'entretien permettant d' éviter le jeu, l'excès de puissance d'entraînement et des bruits en fonctionnement Dans le coin séparant les deux cotés perpendiculaires le long desquels se déplacent les deux organes accouplés flexibles et sans joint, il peut être prévu ou ménagé un guidage en arc de cercle pour rece- voir l'arc formé par l'organe flexible de liaison.

Dans une forme d'exécution appropriée de l'in-

vention, l'organe flexible et sans joint assurant l'accou- plement cinématique est constitué par une bande métallique, par exemple en acier.

Suivant une autre forme d'exécution avantageuse de l'invention, l'organe flexible et sans joint formant l'ac- couplement cinématique comprend deux bandes métalliques sen- siblement parallèles, flexibles et sans joints, suscep- tibles de transmettre les efforts de traction et de compres- sion entre les organes mobiles suivant des directions de - déplacement perpendiculaires l'une à l'autre.

Sur les Figs. 43 et 44, le chiffre de référence 121 désigne le châssis de fenêtre établi par exemple au moyen d'un profilé métallique et comportant des coins arrondis obtenus en recourbant le profilée Ce châssis comporte le long de chacun de ses quatre cotés, par exemple suivant les rainures du châssis, des organes mobiles constitués par exemple par des tiges 122 sur toutes ou certaines des- quelles sont disposés les organes de commande du verrouil- lage, de la fermeture ou de l'aération constitués par des chevilles 123 ou analogues destinés à pénétrer par exemple dans les rainures des ferrures portées par le dormant de la fenêtre non représenté pour ,maintenir le châssis de fenêtre articulé sur l'axe médian horizontal du châssis, en position fermée ou en une ou plusieurs positions d'aé- rations.

Une des tiges mobiles 122, de préférence celle disposée suivant le coté inférieur peut âtre déplacée par un levier de commande non représenté qui lui est relié.

Sur cette tige mobile sont accouplées les tiges 122 suscep- tibles de se déplacer dans des directions perpendiculaires

le long des côtés verticaux de la fenêtre, l'accouplement étant obtenu au moyen d'une bande métallique flexible sans joint 124, par exemple en acier inoxydable, s'étahdabt suivant un arc dans le coin séparant le coté inférieur du cote vertical correspondant du châssis et les extrémités de cette bande sont reliées aux tiges se déplaçant dans des directions perpendiculaires. Cette bande flexible 124 ne présente pas de joints comme il a été dit, autrement dit, ses extrémités sont solidarisées par exemple par sou- dure avec les extrémités des tiges mobiles 122.

La tige se déplaçant le long du coté supérieur du châssis de fe- nêtre est accouplée à une bande métallique flexible 124 disposée de manière analogue etassurant la c onnexci on de cette tige horizontale avec la tige 122 dans l'un des côtés verticaux du châssis (Fig. 43) ou avec les tiges verticales des doux cotés du châssis comme représenté en Fig. 44. La bande d'accouplement flexible sans joint 124 est suscep- tible de transmettre les efforts de compression et de trac- tion entre les tiges mobiles suivant d.es directions perpen- diculaires.

En Fig. 45, les tiges 122 se déplaçant suivant des directions perpendiculaires l'une à l'autre sont re- présentées comme montées sur le dormant 125 d'une porte ou d'une fenêtre auquel cas les ferrures recevant les chevilles 123 de verrouillage, de fermeture ou d'aération portées par les tiges 122 sont montées sur le châssis d'une fenêtre ou de la porte monté dans le dormant.

De plus, la tige disposée suivant le coté inférieur de la porte ou de la

fenêtre est représentée comme subdivisée à la manière habi- tuelle en deux parties 122a et 122b se déplaçant en sens in- versas le long de ce coté, ces éléments pouvant être c onsti- tués à la manière habituelle par des crémaillères engrenant avec un pignon commun qui les sépare et dont la rotation sous l'action d'une manivelle ou analogue assure le déplace- ment des éléments ce tige 122a et 122b l'un vers l'autre ou en s'écartant l'un de l'autre. Les tiges se déplaçant le long des côtés verticaux du dormant sont accouplées aux éléments de la tige correspondants 122a, 122b par l'intermédiaire de bandes de métal flexible et sans joint disposées comme dé- crit précédemment.

La disposition comportant une bande d'accouplement flexible et sans 4-oint 124 est représentée à une plus grande échelle en Fige 46 et la Fig. 47 représente un guide en arc de cercle 126 pour l'arc formé par la bande d'accouplement dans le coin entre les côtés du châssis ou du dormant qui sont perpendiculaires l'un à l'autre et qui portent les tiges 122 mobiles suivant des directions perpendiculaires et ac- couplées cinématiquement par la bonde d'accouplement 124.

Les Figs. 49, 50 et 51 sont des vues en coupe du guide pour différentes variantes de ce dernier. Comme on le voit sur la Fig. 51, le guide peut être constitué entièrement ou en par- tie par des galets 127 pour obtenir un frottement de roulement au lieu d'un frottement de coulis sèment entra le guide et la bande c'accouplement flexible et sans joint 124 se déplaçant dans le dit guide.

En Figs. 52, 53 et 54, le chiffre de référence 131 désigne un dormant présentant une fente 132 obtenue par fraisage ou autrement pour recevoir les organes mobiles cons- tités par des tiges 133-134 et 135 associées aux ferrures, accouplements et guides. Les ferrures sont représentées sous forme de chevilles 136 fixées à des tiges destinées à venir en prise avec des ferrures rainées prévues sur le châssis non représenté. On a supposé, dans ce cas, que le châssis est articulé sur un axe horizontal médian; l'une des tiges, par exemple de la tige verticale 134, est destinée à être déplacée sous l'effet d'un levier de commande non représenté qui lui est relié.

Sur cette tige sont articulées les tiges mobiles horizontalement 133 et 135 portées pr les côtés perpendiculaires au côté vertical et cela par l'intermédiaire de deux bandes métalliques 137, par exemple en acier. Ces deux bandes parallèles flexibles et sans joint prennent la forme d'un arc dans le coin séparant les côtés vertical et horizontal de la fenêtre, les: extrémités de ces bandes étant fixées aux tiges 133-134 et 135 qui sont susceptibles de se déplacer suivant des directions perpendiculaires. Les bandes ne présentent pas de joint, autrement dit, elles sont solidarisées avec les tiges à angle droit l'une par rapport à l'autre, par exemple par soudure ou rivetage.

Les tiges 133, 134, 135 sont mobiles dans des guides montés àces distances appropriées et dont l'un est représenté en Fig. 5 sous forme d'une tôle 138 présentant une fente 139 pour recevoir la cheville 136. La tige 134

peut être subdivisée en deux éléments ne se joignant pas directement et dont les déplacements sont commandés dans les deux sens par uh engrenage formant partie du dispositif de commande, leurs déplacements se faisant sur des distances différentes ou pendant des durées différentes ,fin d ' obteni r certains déplacements des dispositifs de verrouillage et d'aération.

On utilise comme guide pour les accouplements ci- nématiques dans les coins, dans le mode d'exécution repré- senté, une barre métallique 140 en forme d'il que l'on a cin- trée de manière à présenter la forme en arc de cercle dé- sirée. Il est prévu entre les bandes d'accouplement un rem- plissage approprié 141 afin d'empêcher toute tendance des bandes 137 à s'aplatir.

Le remplissage peut être constitué par une cour- roie, une bande flexible, du caoutchouc etc.

Les fenêtres de ce type présentent sovvent de telles dimensions qu'il est nécessaire d'appliquer des efforts de rotation considérables pour accélérer leur mou- vement et pour surmonter le frottement qui pourrait se pro- duire entre le dormant et le cassis et dans les pivots.

Les organes mobiles et en particulier les organes de transmission dans les coins de la fenêtre avaient re- çu primitivement de grandes dimensions à ce point de vue.

Un autre inconvénient qui s'est produit à l'origine sans dépendre toutefois de détails relatifs à la structure pro- prement dite consiste en ce que le levier ou peignée de commande était disposé au voisinage et au-dessus de

l'allège de la fenêtre sur lequel les ménagères ont l'habi- tude de placer des pots de fleurs ou analogues. Il est né- cessaire pour la commande de la poignée de disposer d'une grande partie de l'espace correspondant à l'allège.

En appli- quant la nouvelle invention oui, entre autres, est caracté- risée par le toitque le levier ou poignée de commence ainsi que les dispositifs destinés principalement au réglage de l'aération du châssis sont disposés sur un c8té vertical du dormant dans la nervure de serrage prévue sur ce dernier ou encore sur le châssis en un point plus proche de l'axe que ne le sont les organes de verrouillage du châssis, grâce à quoi ces inconvénients sont éliminés et en même temps d'autres avantages sont, obtenus. Dans le cas ce fenêtres très hautes, le levier de commande se trouvait antérieurement disposé très bas de telle sorte qu'il était nécessaire de se baisser pour l'atteindre. En plaçant la poignée conformé- ment à l'invention suivant un coté vertical, on arrive à rendre possible sa fixation à une hauteur appropriée.

En Fig. 25, on a représenté une fraction de pa- roi avec une fenêtre comportant un châssis 31 tournant autour d'un axe horizontal médian ou encore on utilise deux châssis associés pour permettre le passage de la lumière et rendre possible l'aération et la vue au dehors. Dans les construc- tions antérieures de telles fenêtres, on a placé une mani- velle destinée au verrouillage et à la commande du chassis mobile 31 au milieu du côté horizontal intérieur 33 du dor- mant 33-33 34-35.

Pour permettre d'atteindre plus facilement la manivelle et pour faciliter son mouvement, il faut débar- rasser une grande pnrtie de l'allège des pots à fleurs et

autres objets décoratifs; pour des fenêtres peu larges, il faut débarrasser à cet effet un tiers de la longueur de l'al- lège. Conformément à l'invention, les organes de commande avec leurs engrenages et le levier 36 assurant l'aération et le verrouillage sont disposés sur un côté vertical 32 du dormant de la fenêtre. Comme on le voit sur la Fig. 25, les organes de commande n'envahissent pas la zone de l'allège.

En général, les rideaux cachent le profil de la fenétre mais pour plus de clarté, on a omis de )représenter les rideaux sur les dessins. Les rideaux, pendant le cas éché- ant en avant du levier 36, peuvent être écartés sans dif- ficulté au moment do la manoeuvre.

On a représenté schématiquement en Fig. 26 un mode de commande de fenêtre haute conforme à l'invention.

On y a représenté en perspective un châssis pivotant autour des gonds 37. Sur l'un des côtés verticaux, un dispositif de verrouillage 38, Et une commande (l'aération 39 comportent une fente ou des évidements correspondants 40-41 associés aux chevilles de verrouillage 42 et à une cheville de ré- glage 43 respectivement, ces chevilles étant montés sur une tige 44 susceptible de coulisser longitudinalement dans le côté correspondant du dormant non représenté.

Le dépla- cement de la tige 44 se fait sous l'action ou levier 36 et le déplacement de celui-ci est transmis à la tige par un engrenage représenté schématique ment par une couronne den- tée 45 Que l'on fait tourner au moyen du levier et qui engrène avec la crémaillère 46 portée pat la tige 44 ou solidaire de celle-ci*

La Fig. 27 comme la Fig.

26 représente une fenêtre relativement haute mais où la commande est subdivisée pour âtre assurée par deux séries d'organes. Le premier de ces groupes comporte un dispositif ce verrouillage pour le châs- sis et une tige 47 portant une cheville 48 venant en prise avec le dispositif de verrouillage et pouvant coulisser dans le dormant. L'autre groupe comporte des ferrures sur le côté vertical du chossis et près de ses coins inférieurs, d'autres ferrures du même côté au voisinage de l'axe de pi- votement et enfin une tige coulissante 49 portant les che- villes 50 et 51 en prise avec ces ferrures.

Les ferrures aux coins inférieurs du châssis et la cheville 50 qui leur est associée sont destinées à fonctionner après déverrouil- lage du châssis afin de faire tourner la fenêtre pendent la première partie du déplacement de la dite fenêtre, au mo- ment où le frottement entre le dormant et le châssis peut être relativement élevé. On peut amener le chassie en posi- tion d'aération en utilisant la ferrure placée ou voisinage de l'axe de pivotement et la cheville correspondante 51.

Pour fermer la fenêtre on se sert de ces dispositifs dans le sens inverse. Le levier de commence et le train d'engre- nages qui lui est relié ont été supprimés sur la Fig. 27 ainsi nue sur les Figs. suivantes 28 à 31.

Les Figs. 28 à 31 représentent différentes formes d'exécution de l'invention appliquée à des fenêtres plus larges qui demandent un verrouillage au moins en un point des cotés horizontaux du châssis.

Le châssis 31 de la Fig. 28 est commandé par un dispositif de verrouillage et de déverrouillage sur les

deux côtés horizontaux du châssis, ces dispositifs étant associes à des chevilles 53 portées par des tiges coulissantes 52. Les tiges 52 sont articulées sur la tige coulissante ver- ticale 55 aux coins du châssis par l'intermédiaire des le- viers coudés 54. Le long du coté vertical du dormant se trouve également une tige 49 avec des chevilles 50 et 51 pénétrant dans les ferrures dans le côté vertical du châssis en vue du réglage de la position d'aération.

Le châssis de la Fig. 29 est amené en position par les 'chevilles de verrouillage 56 sur le côté inférieur horizontal, par les chevilles de déver- rouillage 53 sur le côté horizontal supérieur et enfin par une cheville d'aération 51 sur l'un des cotes verticaux du châssis.

Les chevilles 56 sont fixées à la tige horizontale 57 qui est articulée par l'intermédiaire d'une bande d'acier flexible se déplaçant dans un guide ménagé dans le châssis sur la tige verticale 49 portant la cheville d'aération* Les chevilles de déverrouillage 53 sont disposées sur une tige 52 reliée une tige verticale 55 par un levier coudé 54.

La Fig. 30 représente le dispositif mobile de com- mande assemblé de manière à. ne former qu'un système mobile unique au moyen de bandas d'acier 58 servant à transmettre le mouvement du côté vertical aux côtés horizontaux du dormant.

Les organes de commande représentés en Fig. 31 sont semblables à ceux de la Fig.29 sauf en ce que l'on utilise des bandes d'acier 58 sur les deux coins du dormant.

On peut encore imaginer beaucoup d'autres modes d'exécution du dispositif de commande considéré sans sortir pour cela du domaine de l'invention. Par exemple, on peut régler la fenêtre en utilisant simplement les tiges 49 et 57

de la Fig. 29. Les organes mobiles peuvent être constitués par un ensemble sans fin entourant le formant et, de plus, les dispositifs prévus dans les coins pour la transmission du mouvement peut être établis de plusieurs manières diffé- rentes.

On a l'habitude, plus particulièrement dans les écoles, les hôpitaux etautres bâtiments publics de prévoir ' des fenêtres à châssis associées de différentes manières de façon à jouer divers rôles. On utilise pour obtenir un maxi- mum de lumière des châssis de grondes dimensions montés sur un axe central horizontal.On utilise souvent un châssis pi- votant autour de son bord inférieur dans le même dormant que le châssis pivotant. De plus, ce châssis auxiliaire est, entre autres, destiné à être réglé en vue d'une aération de faible importance pendant une durée plus longue, ce qui peut être intéressant dans le cas de salles de réunion où un grand nombre de personnes se trouvent enracine temps.

Lorsqu'on dé- sire une aération plus efficace pendant une durée réduite, on ouvre également le châssis le plus grand. On peut très facilement disposer dans le dormant correspondant au châssis auxiliaire ou à sa place dea arillages moustiquaires. L'in- vention est destinée, dans ce cas, à coordonner les disposi- tifs de commande des différents châssis de manière à simpli- fier et à rendre plus économique la fabrication des fenêtres et à faciliter le réglage du châssis.

La fenêtre représentée en Fig. 32 comprend un dor- mant 101 avec un châssis 102 pivotant autour d'un axe hori- zontal médian ainsi qu'un châssis 103 pivotant autour de son bord inférieur. Le châssis 102 est monté sur les gonds 104

dans les côtés verticaux du dormant ICI, ces gonds étant de tout type approprié comportant un ou deux pivots de chaque côté de la fenêtre et pouvant présenter également ou non un système de freinage. Le châssis 103 pivotant autour de son côté inférieur tourne autour des gonds 105 sur la traverse horizontale 106 du dormant 101. Les châssis peuvent être simples ou doubles suivant le climat et les autres conditions régnant aux endroits où l'on doit utiliser les fenêtres.

Pour toutes les fenêtres représentées aux Figs.32 à 42, les châssis comportent au moins un côté 107 n'ayant pas de coins arrondis. Ceci est nécessaire lorsqu'on vent utiliser des écrans 108 de différents types tels que des stores, des rideaux, des jalousies, etc et il peut être prévu des supports, des guides, des organes de commande pour de tels écrans.-. Certains des autres coins peuvent être arrondis, par exemple de telle manière due les matériaux formant les châssis se présentent sous la forme de profilés cintrés dans leur ensemble et certains de ces coins arrondis peuvent faci- liter le montage des guides prévus pour les organes de com- mande mobiles en raison de ce que le dormant présente des coins arrondis correspondants.

Sur les Figs. 39 à 42 on a re- présenté des organes de commande qui peuvent convenir pour les châssis représentés en Figs. 32. Une manette 109 (Fig.32) disposée en un point approprié de la fenêtre permet de comman- der ur: engrenage non représenté pour transformer le mouvement de la manette en déplacement d'un système 110 (Fig. 39) sus- ceptible de se déplacer dans les guides du dormant et présen- tant des chevilles de verrouillage 111 et des chevilles d'aé- ration 112 pénétrant dans les ferrures correspondantes dans

les côtés dos châssis pivotant par rapport au dormant ou encore à la traverse. Bien entendu, on peut disposer les choses de telle manière que des ferrures mobiles agissent en combinaison avec des chevilles fixes ou analogues.

Les chevilles 111 et 112 sont montées sur des tiges réglables ou analogues réunies l'une à l'autre dans les coins du châssis par des leviers, des chaînes, des bandes de métal flexible et analogues. En Fig. 32, les tiges de verrouillage s'engagent sur les deux cotés du dormant 102 parallèlement à l'axe de pivotement etsur un seul côté du châssis 103 en travaillant parallèlement à son axe. Un mode d'exécution analogue du dispositif de commande apparaît en Fig. 33 qui ne diffère de la Fig. 32 qu'en ce qu'iln'ya plus de chevilles (Le long du côté inférieur du châssis 102.

On peut utiliser une telle forme d'exécution dans le cas de châssis de dimensions relativement faibles. Le verrouillage des châssis devrait se faire sur les cotés du châssis paral- lèlement à l'axe de pivotement. La Fig. 41 représente un sys- tème 113 de ce genre pour le verrouillage des chevilles 111 et un autre système 114 pour les chevilles c'aération 112.

Toutefois, on peut établir les choses de telle .nanière que les chevilles de verrouillage et d'aération du châssis pivo- tant autour de son bord inférieur soient accouplées et que les chevilles de verrouillage et d'aération pour le grand châssis (Fig. 42) soient également accouplées, les deux sys- tèmes ce chevilles étant commandés par une seule manette ou un seul levier et par un engrenage intermédiaire. Les systèmes mobiles peuvent être disposés de manière ou' un châssis soit

ouvert avant l'autre ou les autres, comme représenté en Fige 33 qui donne une coupe verticale du dormant 101 de la Fig. 32.

Le châssis 103 tourmnt autour de son bord inférieur est complètement ouvert comme représenté à titre d'exemple avant que le châssis principal ne s'ouvre. La Fig. 34 est également une coupe verticale du dormant 101 'de la Fig. 32, mais ici'les organes de commande sont couplés ensemble de manière que les deux châssis 102 e,t 103 s'ouvrent en même temps. Les modes d'exécution représentés ne forment que quelques exemples choisis parmi plusieurs possibilités.

Les châssis peuvont être associés de différentes manières; on peut modifier le mode de distribution des charnières et l'on peut effectuer de nombreuses manières dif- férentes l'accouplement entre les organes de commande.

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Claims

REVENDICATIONS 1. Dispositif de commande pour le verrouillage, la fermeture et l' aération des fenêtres et êtes portes montées sur un axe médian caractérisé par le faitque des chevilles mobiles disposées au voisinage de l'axe de la fenêtre e de la porte au droit de l'intervalle entre le dormant et cette porte ou le châssis de fenêtre et servant à amener le châssis de fenêtre ou ici porte dans la position d'ouverture désirée en combinaison avec des fentes prévues dans des ferrures por- tées pnr le dormant ou par le châssis de fenêtre ou par la porte,

sont montées sur des organes mobiles dans des guides portés par le châssis de fenêtre ou par la porte ou par le dormant suivant'le cas et soumis à l'action d'un levier de <Desc/Clms Page number 33> commande, les emplacements de ces chevilles se faisant à angle droit par rapport à l'axe du châssis ou. de la porte de toile sorte que les chevilles associées aux fentes se déplacent dans la direction de l'axe et dans la direction opposée.

3. Dispositif de commande suivant la revendication 1 caractérisé par le fait que la fente ou l'une des fentes des ferrures forme un guidage pour la cheville mobile cor- respondante pendant au moins une partie du déplacement du châssis ou de la porte à partir de sa position fermée et vers celle-ci.

3. Dispositif de commande suivant la revendica- tion 2 caractérisé par le fait que la fente comporte sur l'un de ses bords ou sur ses deux bords un ou plusieurs crans correspondant à une position d'ouverture désirée ou à plusieurs positions désirées d'ouverture pour le châssis de fenêtre ou la porte, ce cran ou l'un de ces, crans se trouvant sur le trajet de la cheville, mobile de telle sorte que l'on puisse amener en prise ou hors de prise avec ce cran la cheville par déplacement de la barre portant la dite cheville.

4. Dispositif de commande suivant la revendication 3 caractérisé par le fait que le levier de commando est dispo- sé de manière à déplacer les chevilles mobiles en prise avec des fentes ouvertes pour assurer la fermeture et le verrouillage du châssis, ces fentes ayant une forme telle qu'elles présentent une partie intérieure qui correspond au trajet de la cheville mobile pendant que la fenêtre ou la porte fermée et est déverrouillée et que se produit l'ouver- <Desc/Clms Page number 34> ture du châssis ou de la porte tandis que les chevilles de verrouillage sont amenées par le levier de commande de leur position de verrouillage à une position en dehors de ces fentes de verrouillage ouvertes,

les fentes considérées comportant encore une partie extérieure oblique ou en arc de cercle dans laquelle la cheville mobile peut se déplacer sous l'action du levier de commande pour amener le châssis ou la porte à une position déterminée.

5. Dispositif de commande suivant la revendication 4 caractérisé par le fait eue les fentes pour les chevilles d'aération de même que les fentes pour les chevilles de ver- rouillage comme les fentes pour les chevilles de verrouil- lage sont ouvertes à leurs extrémités extérieures et sont disposées de manière que les chevilles d'aération sortent des fentes lorsqu'on ouvre la porte ou la fenêtre et que le châssis de fenêtre ou la porte tourne d'un certain angle à l'intérieur d'une gamme d'ouvertures d'aération pour la- quelle le châssis ou la porte laisse libre des ouvertures relativement petites entre ses bords parallèles à l'axe et le dormant 6.

Dispositif de commandesuivant la revendication 5 caractérisé par le fait que la fente prévue dans les fer- rures montées sur le dorant présente une partie en arc de cercle se terminant à l'extérieur et à l'intérieur par des EMI34.1 prolongements a peu ¯p.rès tangentiels de manière que l'on puisse faire tourner le levier de commande dans une direc- tion pour déverrouiller la fenêtre ou la porte et dans le sens opposé pour régler l'ouverture. <Desc/Clms Page number 35>

7. Dispositif de commande suivant la revendica- tion 6 caractérise par le fait Que les barres mobiles por- tant les chevilles mobiles forment ensemble une boucle en- tourant le châssis ou la porte, cette boucle pouvant être déplacée dans les deux sens par le levier de commande de manière à déplacer les chevilles disposées sur les cotés opposés de la fenêtre en sens opposés- 8. Dispositif de commande suivant la revendication 7 caractérisé par le fait que la ferrure comportant une fente pour la cheville mobile est constituée par un prolon- gement d'un élément des gonds servant à porter le châssis mobile ou la porte.

9. Dispositif de commande suivant la revendication 8 caractérisé par le fait que les ferrures comportent des crans destinés à venir en prise avec les chevilles mobiles lorsqu'on fait tourner le châssis de fenêtre ou la porte d'un angle compris entre 90 et 1800 à partir de la position fermée, ces crans se trouvant sur la ligne de déplacement des chevilles, ligne de déplacement oui se trouve à angle droit ou à peu près à angle droit par rapport à l'axe.

10. Dispositif de commande suivant la revendica- tion 9 caractérisé par le fait que les crans destinés à venir en prise avec les chevilles sont disposés de part et d'autre de l'axe de la fenêtre ou de la porte, c.à.d. en partie au-dessus ot en partie au-dessous de l'axe si celui- ci est horizontal.

11. Dispositif de commande pour les fenêtres sui- vent la revendication 10 pour fenêtres montées sur un axe médian comportant des gonds ayant un ou plusieurs axas de <Desc/Clms Page number 36> pivotement de chaque 'coté et présentant ou non des freins associés aux onc's, ces fenêtres une fois:

déverrouillées tondant à prendre sens l'effet de les pesanteur et de leur suspension une certaine position ouverte d'aération équi- librée et stable, ce dispositif étant caractérisé par le fait que les fentes dans les ferrures du châssis ou du dor- mont présentent une forme telle et sont associées à des chevilles mobiles de telle manière que le châssis puisse être amené et maintenu dans toute position désirée entre la position de fermeture et la position d'équilibre.

12. Dispositif de commande suivant la revendication 11 caractérisé par le fait que les fentes sont forcées de telle manière que les chevilles mobiles puissent pour la position d'équilibre du châssis être amenées en prise avec les fentes par simple déplacement du levier de commande en vue de réduire l'ouverture tandis que par ailleurs les che- villes sont libres par rapport aux fentes et permettent le déplacement du châssis dans les deux directions, tout en venant en prise automatiquement avec les fentes pour le ré- glage de l'ouverture.

13. Dispositif de commande pour fenêtre comportant des ferrures séparées pour le verrouillage et l'aération en différents points de la fenêtre, par guidage de chevilles mobiles commandées par des tiges, biellettes, chaînes ou ana- logues à partir d'une transmission commune sous l'action d'un levier de commande, le transmission étant telle qu'elle as- sure le déplacement des organes mobiles des commandes de ver- rouillage et d'aération sur des distances différentes. <Desc/Clms Page number 37>

14. Dispositif de commande suivant la revendi- cation 13 caractérisé par le fait que la transmission est telle que les organes de réglage des commandes de ver- rouillage et d'aération reçoivent des vitesses différentes.

15. Dispositif de commande suivent la revendica- tion 13 caractérisé par le fait que la transmission est telle nue les organes mobiles qui commandent le verrouil- lage et l'aération soient soumis à des forces de valeur différente .

16. Dispositif de commande suivant la revendica- tion 13 caractérisé par le fait que la transmission est destinée à faire fonctionner les organes de réglage des commandes de verrouillage et d'aération pondant ces pé- riodes différentes.

17. Dispositif de commande suivant la revendica- tion 15 caractérisé par le f it que les organes de réglage des dispositifs de verrouillage et d'aération se trouvant tous doux au voisinage de la transmission se déplacent en sens opposés* 18. Dispositif de commande suivant la revendica- tion 15 caractérisé par le fait sue les organes de réglage des dispositifs de verrouillage et d'aération se trouvant au voisinage de la 'transmis si on se déplacent dans la même direction.

19. Dispositif de commande suivant la revendica- tion 17 caractérisé par le fait que la transmission est associée à des leviers se déplaçant avec le levier de dom- mande et accouplés respectivement à une tige de verrouillage et à une tige d'aération avec de tels angles entre le le- vier de commande etles autres leviers que pondant la pre- <Desc/Clms Page number 38> mière partie du déplacement de levier de commande, seule la tige de verrouillage se déplace tandis que pensant la deuxième partie de ce mouvement seule la tige d'aération se déplace.

20. Dispositif de commande suivant la revendica- tion 19 caractérisé par le fait que les leviers présentent des longueurs différentes.

21. Dispositif de commande suivant la revendication 16 caractérisé par le fait que le levier de commande monté sur le dormant où le châssis comporte un prolongement avec une fente en prise avec une cheville correspondante, portée par le châssis mobile ou par le dormant suivant le cas, pour régler l'ouverture tandis que le verrouillage est assuré par un levier et d'autres organes.

22. Dispositif de commande pour fenêtres à axe horizontal médian suivant l'une des revendications 13 à 21 caractérisé par le fait u'une partie des organes de commande est associée aux gonds du châssis de telle manière que ceux-ci agissent en combinaison avec les organes d'aération pour amener le châssis dans une position d'ouverture équi- librée.

23. Dispositif de commando pour fenêtres à axe médian caractérisé pr le fai-t que la forme et la position du dispositif de commande sont toiles ou'il puisse être ame- né à des positions pour lesquelles il puisse servir de con- nexion entre le châssis et le formant.

24. Dispositif de commande pour l'aération et le verrouillage de fenêtres et de portes comportant au moins deux organes se déplaçant le long de chacun de deux cotés <Desc/Clms Page number 39> perpendiculaires l'un à l'autre du dormant ou du châssis ou de la porte et accouples cinéma tique:

ment dans le coin séparant ces deux cotés caractérisé par le fait que l'ac- couplement cinématique comprend un organe flexible sans joint s'étendant entre les deux organes mobiles suivant un arc. dont les extrémités sont fixées aux organes considérés, cet organe flexible étant susceptible de transmettre les efforts de traction et de compression entre les deux organes mobiles suivant leurs directions de déplacement perpendi- culaires l'une à l'autre.

25. Dispositif de commande suivant la revendication 24 caractérisé par le fait que l'organe flexible et sans joint formant l'accouplement cinématique est constitué par une bande métallique.

26. Dispositif de commande suivant la revendication 24 caractérisé par le fait que l'organe flexible ot sans joint formant l'accouplement cinématique comprend deux bandes métalliques sensiblement parallèles, flexibles et sans joint.

27. Dispositif de commande suivant la revendication 26 caractérisé par le fait que l'organe flexible formant l'accouplement cinématique est constitué par deux bandes mé- talliques sensiblement parallèles, flexibles et sans joints avec un remplissage entre elles.

28. Dispositif de commande suivant la revendication 27 caractérisé par le fait que le remplissage est constitué par une bande de cuir. textile, caoutchouc ou analogue ou par une association de telles matières. <Desc/Clms Page number 40>

29. Dispositif de commande suivant la revendication 27 caractérisé par le fait que le remplissage- comprend plu- sieurs éléments transversaux en matière dure.

30. Dispositif de commande suivant la revendication comportant un guidage en arc de cercle pour l'arc formé par l'organe flexible, ce guidage étant disposé dans le c oin sé- parant les deux cotés à angle droit suivant lesquels les deux organes accouplas avec l'organe flexible sans joint se dé- placent.

Si* Dispositif de commande suivant la revendication 30 caractérisé par le fait que le guidage est constitué par un profilé métallique en forme de U incurvé en arc cle cercle approprié etdont les cotés servent respectivement de guides à deux bandes métalliques parallèles.

32. -Dispositif de commande applicable aux fenêtres présentant un chassas monts sur un axe horizontal médian et destiné à verrouiller ce châssis et à régler son ouverture ou encore présentant plusieurs châssis mobiles accouplés au moyen d'une manette ou d'un levier de commando commun ca- ractérisé par le fait que le levier ou la manette de com- mande ainsi Que les organes destinés particulièrement au réglage de 1' ouverture sont disposés sur un coté vertical du dormant, d'une nervure de serrage montre dans ce dernier ou du châssis lui-même en un point plus proche de l'axe de pivotement que les organes destinés au verrouillage du châssis* 33.

Dispositif de commande suivant la revendication 32 caractérisé par le fait que les organes de verrouillage et d'aération sont commandés par une tige coulissant dans le <Desc/Clms Page number 41> côté vertical considéré de la fenêtre, cette tige se dépla- çant lorsqu'on ouvre la fenêtre dans une direction donnée et dans l'autre direction lorsqu'on ferme et que l'on ver- rouille la fenêtre.

34. Dispositif de commande suivant la revendication 33 caractérisé par le fait qu'on déplace la tige mobile longitudinale mont lorsqu'on règle l'ouverture de la fenêtre et qu'on la f ai t tourner lorsqu'on verrouille la fenêtre.

35. Dispositif de commande suivant la revendication 32 caractérisé par le fait que le dispositif de verrouillage et le dispositif d'aération sont commandes par deux tiges se déplaçant en sens opposés et monter sur le côté considéra de la fenêtre.

36. Dispositif de commande suivant la revendication 35 caractérisé par le fait que la première tige verticale commando le dispositif de verrouillage tandis que l'autre tige commande le dispositif déterminant.l'ouverture d'aéra- ti on.

37. Dispositif de commando suivant la revendication 32 caractérisé par le fait que, suivant une variante, les organes de verrouillage sont montés sur les côtés horizontaux de la fenêtre.

38. Dispositif de commande suivant la revendication 32 caractérisé, par le fait que suivant une variante les or- ganes de commande portés par un côté horizontal de la fenêtre- assurent le verrouillage tandis que ceux portés par l'autre côté horizontal correspondent au déverrouillage et à la fer- meture et enfin ceux portés par un côté vertical règlent 1' aérati on. <Desc/Clms Page number 42>

39. Dispositif de commande applicable aux fenêtres ayant un châssis pivotant autour d'un axe médian et asso- cié avec un ou plusieurs châssis mobiles et destiné au réglage de châssis et à leur verrouillage, caractérise par le fait que les ferrures ou les chevilles ou autres éléments de ce dispositif se déplacent dans des guidages du .dormant dans lesquels viennent s'engager les chevilles ou ferrures correspondantes montées sur le châssis, sous l'action d'un ou plusieurs systèmes communs mobiles.

40. Dispositif do commande suivant la revendica- tion 39 caractérisé par le fait que le ou les systèmes mo- biles comportent un levier de commande commun etune trans- mission commune ainsi rue des organes mobiles communs pour le verrouillage de plusieurs châssis d'une part et pour le réglage de l'ouverture de plusieurs châssis d'autre part.

41. Dispositif de commande suivant la revendi- cation 40 caractérisé par le fait que le dispositif do ver- rouillage est disposé sur les côtés de la fenêtre parallèle- ment à l'axe tandis que les organes de ventilation sont dis- posés sur les cotés perpendiculaires à l'axe du châssis.

42. Dispositif de commande suivant la revendi- cation 39 caractérisé par le fait que la transmission entre le levier de:commando et les systèmes mobiles est destines à commander les organes d'aération mobiles à des moments différents et que le chasses monté sur un axe mé- dian ne s'ouvre que lorsqu'un autre ou l'autre châssis est ouvert.

43. Dispositif de commande suivant larrevendica- tion 39 caractérisé par le fait que la transmission - <Desc/Clms Page number 43> est destinée à faire fonctionner les dispositifs d'aération en même temps et à ouvrir les chassis simultanément.

44. Dispositif de commando suivant la revendication 39 caractérisé par le fait qu'un ou plusieurs châssis pré- sentent des coins arrondis etque le (formant est arrondi d'une manière correspondante et comporte des guides dans les coins pour les organes mobiles.

45. Dispositif ce commande suivant la revendica- tion par le fait que l'un des côtés des châssis ne présen- tant pas de coins arrondis est destiné à recevoir dans des évidements appropriés, des jalousies, des rideaux ou ana- logues.

46. Dispositifs de commande pour le verrouillage, la fermeture et l'aération des portes et des fenêtres, éta- blis comme décret et représenté aux dessins ci-joints.