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"DISPOSITIF DE COMMANDE DES FENETRES ET DES PORTES EN VUE DE LA FERMETURE.DU VERROUILLAGE ET DE l'AERATION"
La présente invention couvre des perfectionnements aux portes -et aux fenêtres susceptibles de tourner autour d'un axe médian. Elle a pour objet principal un dispositif de com- mande permettant d'amener le châssis de fenêtre ou la porte à la position ouverte désirée et ce l'y maintenir, par exemple
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on vue de l'aération, tout en laissant les rayons du soleil traverser sans obstacle l'ouverture de la fenêtre et, en assurant, de plus, la fermeture et le verrouillage de de la fenêtre ou/la porte.
On va maintenant décrit à titre d'exemple, en se référant aux dessins ci-joints, certaines formes d'exécution préférées de l'invention.
Sur ces dessins :
La Fig. 1 est une vue par l'avant d'une fenêtre.
La Fig. 2 en est une vue latérale.
La Fig. 3 est une vue en coupe suivant la ligne III-III de la Fig. 8 d'une fenêtre établie con- formément à l'invention et supposée en position fermée, la coupe passant par une ligne de gonds et montrant le dispositif associé aux dites lignes de gond, pour amener le châssis de fenêtre dans la position ouverte désirée.
Les Figs. 4, 5 et 6 sont des coupes représentant le châssis pivotant en différentes positions.
La Fig. 7 est une coupe semblable \ la Fig. 3 passant par les ponds ot le dispositif de commande de l'aération de l'autre côté de la fenêtre.
La Fig. 8 représente un détail de- la fenêtre vue par l'avant.
La Fig. 9 est une coupe de détail sui- vant la ligne IX - IX de la Fig. 8.
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Les igs. 10 et 11 sont deux coupes d'une variante de l'invention.
Les Figs. 12 et 13 sont des coupes de détail du dispositif de commande de l'aération pour différentes posi- tions qui lui sont données.
La fig. 14 est une vue latérale représentant diffé- rentes positions d'aération que peut recevoir le châssis et dans lesquelles il peut âtre maintenu. les igs. 15 et 16 sont des coupes de détail d'autres formes d'exécution du dispositif de commande de l'aé- ration.
Les Fige. 17,18 et 19 sont des vues de détail d'une autre forme d'exécution de l'invention.
La Fig. 20 est une vue schématique du dispositif de transmission assurant la commande de la position d'aéra- tion d'une fenêtre.
La Fig. 21 est une vue du même dispositif dans une autre position avec vue en perspective partiellement en coupe d'un bâti à nervure de serrage.
La Fige 22 est une vue analogue du même dispositif représenté aux Figs. 20 et 21 mais dans une troisième posi- tion.
Les Figs. 23 et 24 sont des vues d'une variante représentant le dispositif de commande en deux positions dif- férentes.
La Fig. 25 représente une fenêtre comportant un levier de commande le long d'un bord vertical.
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La Fig. 26 représente un châssis pour cette der- nière fenêtre comportant des ferrures rainées associées à des chevilles portées par une tige mobile dans le sens lon- gitudinal.
Les Figs. 27 à 31 représentent différentes combi- naisons d'organes d'aération et de verrouillage pour des fenêtres à axe médian horizontal.
Les Figs. 32 et 35 à 38 représentent des fenêtres à châssis susceptibles d se déplacer autour d'un axe médian et associés de différentes manières à d'autres châssis mobiles.
Les Figs. 33 et 34 sont des vues représentant la manière d'ouvrir les châssis de la Fig. 32 à des moments différents.
Les Figs. 39 à 42 sont des vues schématiques représentant différentes formes d'exécution d'un accouplement entre des dispositifs de verrouillage et d'aération de fenêtre-, à plusieurs châssis associés comme représenté en i'ig. 32.
Les Fige. 43, 44 et 45 sont des vues en élé- vation de différents modes d'exécution d'un dispositif de commande comportant un accouplement par bande métallique ou par chaîne cinématique entre des tiges se déplaçant longi- tudinalement suivant des directions perpendiculaires l'une à l'autre.
:La Fige 46 représente un autre dispositif compor- tant une banoe flexible en une pièce servant à accoupler des organes se déplaçant perpendiculairement l'un à l'autre.
La Fige 47 et la Fig. 48 sont respectivement une coupe et une vue partielle par-dessus d'une forme d'exécution
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d'un guide cintré pour cette bande métallique flexible en une pièce.
Les Figs. 49 - 50 - 51 sont des vues en coupe de différentes variantes de ce guide.
Les Figs.52 et 53 sont des vues en coupe des coins d'un châssis de fenêtre comportant deux: bandes métal- liques parallèles formant un accouplement cinématique .
La Fige 54 est une vue en coupe suivant la ligne XII-XII de la Fig. 53.
Sur les dessins, 1 désigne le dormant de la fenêtre et 2 un châssis se déplaçant sur des gonds placés aux deux extrémités de lanière à ce que le châssis puisse tourner autour d'un axe horizontal médian. Le châssis comprend géné- ralement deux châssis accoudés élémentaires. Les deux gonds comprennent les deux pièces I-II montées respectivement sur le dormant et snr le châssis. La pièce II du châssis 2 com- porte à la manière habituelle un pivot 5 pénétrant dans une fente en arc de cercle 6 de la pièce 1 qui s'ouvre vers le haut et est fermée à son extrémité inférieure. Dans ce dispositif de type connu, le châssis '3 lorsqu'il est fermé repose par ses butées 3 sur les contre-butées 4.
Lorsqu'on ouvre la fenêtre, on fait d'abord pivoter le châssis par l'intermédiaire des butées 3 sur les contre-butées 4, tandis que les pivots 5 se déplacent dans les rainures 6 jusqu'à ce qu' 'ils atteignent le fond de celles-ci. Si l'on ouvre davantage le châssis, il tourne autour des pivots 5 qui demeurent au fond des fentes 6.
Le châssis 2 présente le long d'un de ses côtés au moins une cheville on saillie 7 disposée longitudinalement
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dans un guide prévu dans le côté de la pièce mobile 8 du châssis, cette cheville agissant pour commander l'ouverture de la fenêtre en combinaison avec la ferrure la fixée au dormant 1 au voisinage de l'axe horizontal du châssis; cette ferrure est c onstituée de préférence par un prolongement vers le bas de la pièce 1 du gond portée par le dormant. Cette ferrure la comporte, pour travailler avec la cheville 7 une ou plusieurs rainures, cette rainure ou l'une de ces rainures se présentant de préférence sous la forme d'un évidement 9 de forme particulière.
A ce point de vue, il faut indiquer que les déplacements de la pièce mobile 8 sont compris comme étant synchrones ou comme dépendant des déplacements des chevilles réglables prévus à la partie inférieure et de préférence également à la partie supérieure du châssis. Ces dernières chevilles coopèrent pour la fermeture et le ver- rouillage de la fenêtre avec des fentes ménagées dans des ferrures du dormant, ces chevilles étant commandées par exemple au moyen d'un levier monté sur le côté inférieur du châssis et représenté en 10 sur la Fig. 1
Ce levier 10 sert à commander les déplacements des organes mobiles à chevilles de verrouillage semblables par exemple à l'organe mobile des Figs.
8 et 9 et peut être relié aux organes mobiles par des chevilles de verrouillage avec des organes de transmission dans les coins du châssis qui sont de préférence arrondis. Les organes mobiles avec les chevilles de commande 7 de l'ouverture peuvent toute- fois être accouplés cinématiquement aux organes mobiles à chevilles de verrouillage du levier de commande commun 10 de toute manière appropriée assurant le synchronisme ou
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tout au moins l'asservissement entre les mouvements des chevilles do commande et des chevilles de verrouillage.
De même que les fentes 9 coopérant avec les chevilles de com- mande 7, les fontes non représentées coopérant avec les che- villes de verrouillage sont ouvertes à la manière habituelle à une extrémité de telle sorte que les chevilles peuvent sortir ces fentes lorsque le châssis a suffisamment tourné et revenir ensuite dans les fentes lorsque le châssis est revenu dans sa position fermée.
En général une partie des fentes associées aux chevilles de verrouillage considérée à partir de leurs extrémités ouvertes se dirige dans un sens diagonal pour produire le serrage du châssis dans le dormant lorsqu'on amène les chevilles de verrouillage dans les fentes en agissant sur le levier de commande lo lorsque on ferme la fengtre et ces fentes continuent en étant à peu près parallèles à la ligne de déplacement des chevilles de verrnuillage dans une sec onde partie pour assurer le ver- rouillage du châssis en position fermée.
Comme il a été déjà dit, la fente 9 présente une forme spéciale comprenant une partie intérieure 9 qui coïn- cide avec la ligne suivant laquelle se déplace la cheville d'aération 7 lorsqu'on ouvre la fenêtre fermée et que les chevilles de verrouillage sont amenées par le levier de commande 10 de la position de verrouillage à l'ex- térieur des fentes et ensuite une partie extérieure appro- priée 9b en diagonale ou en arc de cercle dans laquelle la cheville 7 est amenée de manière réglable par le levier 10 lorsque les chevilles de verrouillage ont cuitté leurs fentes.
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Lorsque la fenêtre fermée est déverrouillée, on peut, par déplacement du levier de commande 10, repousser les chevilles 9 dans les parties extérieures 9b des fentes 9 afin de com- mander l'ouverture de la fenêtre (igs. 5 et 11). Lorsque le châssis a basculé au-delà de l'angle correspondant à l'aé- ration, les chevilles 7 quittent les fentes 9 par leurs ex- trémités ouvertes (en Fig. 6)
Suivant le mode d'exécution des Fige. 3 à 7, le dispositif de commande est tel que lorsque le levier 10 a été poussé dans un sens donné et que la fenêtre a été déverrouil- lée, le levier doit être ramené en arrière pour pouvoir in- troduire les chevilles 7 dans les parties extérieures 9b des fentes 9.
Ce mouvement est rendu plus facile par com- mande du levier 10 par une main tandis que l'autre main re- pousse le châssis 2 dans la direction du déplacement. Il est très facile au moyen du levier de commande 10 d'obtenir la dimension d'ouverture désirée pour l'aération entre le dor- mant et le châssis au-dessus et au-dessous de ce dernier* En déplaçant le levier de commande dans le sens opposé pour pousser les chevilles 7 dans les parties extérieures 9b des fentes 9, on profite du fait Que le levier de commande n'a pas besoin de tourner plus ou'il n'est nécessaire pour la commande des chevilles de verrouillage.
Suivant le mode d' exécution représenté aux Figs. 10 et 11, les chevilles sont amenées dans la partie 9b des fentes 9 correspondant à l'aération on faisant tourner le levier de commande 10 dans le même sens lorsque le châssis est déverrouillé et lors- qu'on l'ouvre en vue de l'aération.
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Il est clair que la différence entre ces deux modes d'exécution est due à ce que la partie intérieure 9a de la fente suivant les Figs. 10 et 11 forme un prolongement à peu près tangentiel de la partie extérieure en arc de cercle 9b tandis que les parties 9a et 9b des Figs. 3 à 7 sont reliées par un arc dont elles forment approximativement des prolongements tangentiels. La Fig. 15 représente un mode d'exécution où la fente a une forme telle ou' il faille tour- ner le levier de commande à tour de rôle dans les deux sens pour faire passer la cheville 7 d'une extrémité de la fente à l'autre.
Conformément à un mode d'exécution très avantageux, les organes mobiles avec leurs chevilles forment partie d'un dispositif enroulé autour du châssis, dispositif nui peut être manoeuvré par le levier de commande de telle sorte que les deux chevilles 7 montées latéralement sur la fenêtre se dé- placent en sens opposés, autrement dit lorsque la cheville d'un côté est repoussée vers le haut, l'autre est repoussée vers le bas et inversement.
Dans le mode d'exécution conforme aux Fige. 3 à 7, les fentes 9 prévues de part et d'autre de la fenêtre doivent .être dirigées en eens opposés comme on le voit en comparant les Figs. 3 et 7 ou encore les Figs. 10 et 11.
Les fentes 9 peuvent présenter un ou plusieurs évi- dements 11 le long des bords des parties extérieures 9b pour recevoir les chevilles 7 afin de maintenir le châssis dans une position ouverte ou dans une position choisie parmi plu- sieurs positions d'aération bien déterminées. Il est égale- ment possible de prévoir sur le levier de commande 10 des
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moyens pour le maintenir sûrement dans certaines positions correspondant à certaines position d'aération désirées.
Pour autant que le dispositif conforme à l'inven- tion a été décrit jusqu'ici, le dispositif sert à comman- der et à maintenir le châssis en position d'aération : le châssis ne pivote que sur un angle faible, son coté infé- rieur s'écartant vers l'extérieur par rapport à la position de fermeture en laissant libres à la partie inférieure et à la partie supérieure de la fendre de petites ouvertures d'aération. La fente 9 formée spécialement pour le c oulis- sement ce la cheville d'aération 7 peut être utilisée plus particulièrement lorsqu'on désire obtenir une commande pré- cise des dimensions de ces ouvertures.
Le dispositif de commande conforme à l'invention peut être appliqué cependant le cas échéant pour commander l'ouverture du châssis jusqu'à des angles entre 90 et 180 par rapport à la position de fermeture. A cet effet, la fer- rure 1 ou le cas échéant une autre ferrure peuvent comporter un ou plusieurs evidements 12 disposés de telle manière que la cheville mobile 7 du châssis puisse sous l'effet de la commande exercée sur le levier 10 pénétrer dans cet évide- ment ou dans l'un de ces évidements lorsqu'on a fait bascu- ler le châssis dans une position pour laquelle cet évidement se trouve sur le trajet de cette cheville 7 (Fige 12-13-15 et 16). Lorsque la cheville 7 pénètre dans un des évidements 12, le châssis 2 se trouve maintenu d'une manière sûre dans la position correspondante.
Dans les fenêtres comportant un châssis monté à pivot sur un axe médian, il arrive souvent
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que l'on désire placer le châssis non seulement dans des positions d'aération pour lesquelles le châssis a basculé en faisant un petit angle par rapport à la position fermée mais encore dans des positions pour lesquelles le châssis bascule pour prendre des positions faisant un angle de 90 à 100 à partir ce la position de fermeture, par exemple de manière à ce oue le soleil puisse entrer dons la chambre aussi librement que possible sans rencontrer d'obstacle, c.à.d. sans que les rayons aient à traverser une ou plusieurs vitres.
Comme on le voit en Fig. 16, la fente 9 peut être remplacée le cas échéant par des évidements 13 disposés dans la ferrure la de préférence solidaire de la ferrure 1, ces évidements étant analogues aux évidements déjà décrits 12,- avec la seule différence qu', ils sont disposés de manière que les chevilles 7 puissent y pénétrer lorsque le châssis se trouve dans des positions entre environ 0 et 90 par rapport à le position de fermeture. Il est, de plus, possible de remplacer les évidements repréentés aux Figs. 12, 13, 15 et 16 par une fente convenablement disposée;plus ou moins équivalente ou semblable à la fente 9 déjà décrite et servant a assurer la commande précise du châssis oui est rendue possible par l'amenée du levier de commande dans toute position voulue.
Les Figs. 17 à 19 représentent en détail les gonds et dispositifs de commando dans une variante de l'invention convenant plus particulièrement aux fenêtres dont les châssis déverrouillés tendent sous l'action d. la pesanteur à prendre avec leur suspension une certaine position ouverte équilibrée et stable. Les détails des gonds correspondent à ceux donnés
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ci-dessus ot ont été représentés d'une manière analogue.
Cependant les chevilles mobiles 21 ont été disposées dans ce cas d'un côté du dormant dans les guides 22 Qui peuvent être constitués en une seule pièce avec la ferrure voisine I des gonds. La ferrure II montée sur le châssis comporte un prolongement avec une fente 23. Lorsque la cheville 21 repré- sentée en Fig. 17 comme se trouvant à la partie supérieure du guide 22 se déplace vers le bas, elle pénètre dans la fente 23 et le châssis se mot à pivoter pour prendre la position représentée en Fig. 18. Si on pousse la cheville 21 plus loin vers l'extrémité inférieure de la fente 22, le châssis bascule et vient prendre la position d'équilibre de la Fig.19.
La cheville 21 a alors quitté la fente 23 de la ferrure dont la forme est telle que le châssis est d'abord libre et peut pivoter librement dans l'une ou l'autre direction autour du pivot 5 ou de la butée 3 et ensuite qu'il soit amené sous l'effet du dispositif de commande à une position d'ouverture inférieure pour être enfin fermé. La ferrure comportant la fente 23 est disposée de telle manière sur le châssis que la cheville 21 pénètre automatiquement dans la fente 23 lors- qu'on la repousse. On obtient ainsi l'avantage de faciliter la commande et, de plus, la cheville '21 n'est plus en prise lorsque le châssis atteint se position d'équilibre.
Une caractéristique commune à tous les modes dexé- cution représentés consiste en ce que les chevilles 7 com- mandant les différentes ouvertures de la fenêtre en dehors de la fermeture et du verrouillage en position fermée se déplacent perpendiculairement ou à peu près perpendiculai- rement à l'axe de pivotement du chassis, c.à.d. en se rap- prochant ou en s'éloignant de celui-ci.
Parmi les nombreux
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avantages évidents de ce dispositif, on peut mentionner qu'il est très simple, d'une manoeuvre sûre et facile et quon peut aisément le modifier de toute nanière appropriée suivant les nécessités. les possibilités de modification ne sont pas limi- tées par les dispositifs représentés aux dessins et décrits ci-dessus et elles sont au contraire si nombreuses qu'il se- rait trop long de les décrire plus en détail.
Quelques indica- tions complémentaires pourront suffire. La direction du dépla- cement des chovilles mobiles 7 au lieu de se trouver entière- ment d'un coté de l'axe pourrait s'étendre de part et d'autre de celai-ci grâce à une forme correspondante donnée à la fente ou aux fentes avec lesquelles la cheville est destinée à tra- vailler. Lorsque la fento présente des évidements sur l'un de ses bords ou sur les deux bords, il n'est pas nécessaire que cette fente soit ouverte pour que la cheville puisse sortir de la fente, puisque, dans ce cas, la fente peut pren- dre la forme approximative d'une spirale plane de telle sorte que la cheville puisse rester dans la fente pour toutes les positions du. châssis.
Il n'est pas indispensable que la che- ville se céplace par rapport au châssis et Que la ferrure comportant une fente soit montée sur le dormant parce que l'inverse pourrait se foire aussi bien. Quand les chevilles mobiles 7 sont disposées sur le dormant au lieu de l'être sur le châssis, bien entendu, il faut que le levier de com- mande et les chevilles de fermeture et de verrouillage soient 'également montres sur le formant au lieu de l'être sur le châssis. Bien entendu, l'invention peut s'appliquer à des fenêtres dont l'axe médian est aussi bien vertical qu'hori- zontal et, bien entendu, également aux portes montées dans un
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dormant, et cela en principe de la même manière que pour les fenêtres considérées.
L'expression "axe médian" uti- lisée dans la présente description ne doit pas âtre prise à la lettre irais elle doit 'être considérée comme couvrant par exemple le cas d'un chassis monté sur un axe médian présentant deux pivots ou davantage de chaque coté de telle manière que le châssis au début de son ouverture commence à tourner autour d'un axe et ensuite autour d'un autre axe parallèle au premier et il peut se faire que ni l'un ni l'autre de ces axes ne se trouve exactement au centre par rapport aux bords supérieur et inférieur du chassis et même les deux axes peuvent être disposés quelque peu- plus bas. Les chevilles 7 ne sont pas nécessairement rondes mais peuvent aussi présenter la forme d'une saillie portée par les organes mobiles de support 8.
La distinction entre les dispositifs d'aération et de verrouillage s'est montrée préférable on particulier dans le cas des grandes fenêtres pouvant par exemple se dé- placer autour d'un axe horizontal médian et qui doivent être maintenues dans certaines positions d'aération, l'ouverture de cas fenêtres devant être réglée entre la position fermée et une position d'ouverture relativement grande.
Pour rendre possible le réglage précis de l'ou- verture, l'invention a pour objet la possibilité d'effectuer différente mouvements pour les organes mobiles du di sposi- tif d'aération et pour les organes correspondants du dis- positif de verrouillage.
Etant donné ou'il est avantageux de pouvoir com- mander l'ouverture du chassis 11 intérieur d'une gamme
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d'ouvertures assez étendue, le dispositif de commande de 1'aération doit se trouver en prise plus près de l'axe de pivotement du châssis que le dispositif de verrouillage qui est monté de préférence aussi loin que possible de l'axe pour assurer un verrouillage optimum. Lorsque le chassis est ver- rouillé, il doit être appliqué contre les nervures de serrage et à cet effet il est nécessaire d'utiliser une force relati- vement élevée.
Un autre objet de l'invention consiste donc à dis- poser une transmission à démultiplication variable entre le levier de commande et les organes mobiles disposés'dans les côtés de la fenêtre de manière à permettre la transmission d'une force supérieure -au dispositif de verrouillage celle transmise au di sposi tif d'aération.
Un autre objet de l'invention consiste à transmettre le mouvement du levier de commande d'abord au dispositif de verrouillage et ensuite au dispositif d'aération lorsqu'on ouvre la fenêtre et inversement lorsqu'on ferme la fenêtre.
Conformément au mode d'exécution représenté en Figs.
20. 21 et 22, les deux dispositifs de transmission assurent la commande prdes leviers mobiles. Ceux-ci sont représentés sous la forme d'une pièce de tôle susceptible de pivoter 80 et présentant un trou carré 81 dans lequel pénètre le levier de commande. Le tôle 80 est reliée par les biellettes 82 et 83 aux tiges mobiles dans le sens longitudinal 84-85 servant à la commando des ferrures, des chevilles mobiles et des autres organes commandant respectivement le verrouillage et l'aé- ration,
les biellettes 82 ot 83 sont reliées à la tôle 80 en des points se trouvant à des distances différentes de son pivot de telle sorte que l'on arrive à donner à la tige
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d'aération 85 un déplacement plus grand qu'à la tige de verrouillage 84 tandis que la force agissant sur la tige de verrouillage est supérieure à la force agissant sur la tige d'aération.
Il faut ajouter à ce point de vue qu'on premier lieu, les angles entre les lignes passant par les pivots 86 ou 87 des biellettes 82 ou 83 sur la tôle 80 et par le pivot de cette dernière et ensuite la position de la tôle 80 par rapport au levier de commande, sent telles que le pivot 87 effectue pendent la première partie du déplacement du levier de commande un arc dont la corde est nécessarrement perpendiculaire à la tige d'aération 85 de telle sorte que le dispositif de ventilation n'est pas actionné.
La cheville 86 formant le pivot de la biellette 82 de la tige de verrouillage décrit au contraire un arc dent la corde est essentiellement parallèle à la tige 84 qui se déplace donc fans le sens longitudinal et oblige le dispositif de verrouillage à n'être plus en prise avec le ou les chassis avant que le dispositif d'aération ne soit actionna pendant la deuxième partie du déplacement du levier de commande. Lorsque le levier de commande est rame- né en arrière, les différents organes reviennent en prise dans le sons opposé.
La Fig. 21 qui représente en perspective et en coupe un dormant en bois 88 avec une nervure de serrage 89 montre également comment on peut disposer les tiges mobiles 84 et 85 dans ure gorge 90 du dormant. L'invention peut toutefois s'appliquer également à des fenêtres établies en profilés métalliques.
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L'axe du levier de commande et la tôle 80 peuvent être montés à l'intérieur de la nervure de serrage 89 de telle manière que le levier se trouve au contact immédiat de la surface 91 de la dite nervure et que ce levier puisse tourner sensiblement plus que dans le cas précédent sans que la nervure gêne la ma- noeuvre. Le levier ou la manette peut être utilisé comme conne- xion entre le (formant et le châssis pour maintenir le châssis dans sa position pour laquelle il a tourné de plus de 90 afin de laisser entrer directement les rayons du soleil.
La forme du dispositif de verrouillage peut également être telle qu'une partie de la commande de l'aération puisse se faire par son intermédiaire*
L'invention peut s'appliquer de préférence à des fe- nêtres comportant des châssis se déplaçant sur des gonds et présentant une position déterminée, stable, équilibrée, cor- respondant à une ouverture d'aération. Les dispositifs de com- mande sont alors disposés de manière à amener le ou les châs- sis de leur position fermée 8. cette position équilibrée.
Une variante de l'invention est représentée aux Figs.
23 et 24. Le levier de commande 92 présente dans ce cas un pro- longement avec une fente 93-94. Le levier est articulé sur le (Formant, sur le châssis ou sur une nervure- de serrage par l'in- termédiaire d'un pivot 95 et il sert à la commande de l'ouver- ture de la fenêtre en combinaison avec la cheville 96 du chas- sis. Le dormant ou la nervure de serrage se trouve, dans ce 'cas, en avant du dessin. Le verrouillage de la fenêtre se fait d'une manière analogue à celle décrite ci-dessus par l'intermédiaire du levier 97, de la biellette 98 et de la tige
99 pendant que la cheville 96 se trouve libre dans la partie
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93 de la fente. Le levier de commande est représenté 'pour la position fermée de la fenatre de la Fig. 23 et en position ouverte en Fig. 24.
Si le levier tourne en s'écartant davantage de la position représentée en Fig.
24, la cheville se trouvera libre, après quoi, on pourra faire tourner davantage le châssis en le tirant ou en le poussant directement. Dans ce mode d'exécution de l'invention, le levier de commande doit être monté à proximité do l'axe de pivotement du châssis pour que les déplacements de la cheville 96 dans la fente provoquent l'amenée du châssis sous un angle satisfaisant. Au lieu de leviers, des roues d'engrenage ou un disque à came pourraient être utilisés soit seuls soit combinés aux leviers ou dispositifs analogues.
On saitque pour déplacer les pièces mobiles dis- posées sur les côtés à angle droit l'un avec l'autre de la fenêtre ou de la porte sous l'effet d'un levier de commande commun, il est possible de fixer ou de coupler à la manière habituelle ces organes à deux organes mo- biles longitudinalement à angle droit l'un pr rapport à l'autre le long des côtés de la fenêtre ou de la porte, en accouplant, de plus, ces organes cinématiquement dans le coin réunissant les cotés considérés. Jusqu'à présent, l'accouplement cinématique des organos se déplaçant sui- vant des directions perpendiculaires dans le coin sépa- rant ces organes a été obtenu au moyen d'organes de trans- mission articulés sur ces poins et formant des leviers coudés ou analogues.
Le dispositif de commande des organes mobiles de verrouillage, de fermeture et d'aération
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comprenait ainsi un assez grand nombre, d'éléments et plusieurs-points d'appui, de telle sorte que sa fabri- cation était relativement onéreuse, ainsi que sa mise en place, tout en exigeant l'entretien, le graissage, otc, des différents points d'appui pour empêcher tout jeu, toute perte d'énergie dans l'entraînement et tout bruit en fonctionnement.
Conformément à l'invention, l'accouplement cm- nématique entre les deux organes mobiles longitudinalement suivantdeux cotés à angle droit de la fonêtre ou de la porte comprend un organe flexible sans joint s'étendant en vue du but envisagé dans le coin reliant ces deux cotés entre les deux organes. mobiles suivant un arc avec ses extrémités fixées aux organes en question pour transmettre des efforts de traction et de compression entre les organes mobiles suivant des directions de déplacement perpendi- culaires l'une à l'autre.
Comme on l'a montré par des ex- périences et des essais, on atteint ainsi une simplifica- tion radicale et une réduction considérable du prix de revient du dispositif de commande des organes mobiles, en même temps que les exigences de graissage sont extrêmement réduites ainsi que le reste de l'entretien permettant d' éviter le jeu, l'excès de puissance d'entraînement et des bruits en fonctionnement Dans le coin séparant les deux cotés perpendiculaires le long desquels se déplacent les deux organes accouplés flexibles et sans joint, il peut être prévu ou ménagé un guidage en arc de cercle pour rece- voir l'arc formé par l'organe flexible de liaison.
Dans une forme d'exécution appropriée de l'in-
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vention, l'organe flexible et sans joint assurant l'accou- plement cinématique est constitué par une bande métallique, par exemple en acier.
Suivant une autre forme d'exécution avantageuse de l'invention, l'organe flexible et sans joint formant l'ac- couplement cinématique comprend deux bandes métalliques sen- siblement parallèles, flexibles et sans joints, suscep- tibles de transmettre les efforts de traction et de compres- sion entre les organes mobiles suivant des directions de - déplacement perpendiculaires l'une à l'autre.
Sur les Figs. 43 et 44, le chiffre de référence 121 désigne le châssis de fenêtre établi par exemple au moyen d'un profilé métallique et comportant des coins arrondis obtenus en recourbant le profilée Ce châssis comporte le long de chacun de ses quatre cotés, par exemple suivant les rainures du châssis, des organes mobiles constitués par exemple par des tiges 122 sur toutes ou certaines des- quelles sont disposés les organes de commande du verrouil- lage, de la fermeture ou de l'aération constitués par des chevilles 123 ou analogues destinés à pénétrer par exemple dans les rainures des ferrures portées par le dormant de la fenêtre non représenté pour ,maintenir le châssis de fenêtre articulé sur l'axe médian horizontal du châssis, en position fermée ou en une ou plusieurs positions d'aé- rations.
Une des tiges mobiles 122, de préférence celle disposée suivant le coté inférieur peut âtre déplacée par un levier de commande non représenté qui lui est relié.
Sur cette tige mobile sont accouplées les tiges 122 suscep- tibles de se déplacer dans des directions perpendiculaires
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le long des côtés verticaux de la fenêtre, l'accouplement étant obtenu au moyen d'une bande métallique flexible sans joint 124, par exemple en acier inoxydable, s'étahdabt suivant un arc dans le coin séparant le coté inférieur du cote vertical correspondant du châssis et les extrémités de cette bande sont reliées aux tiges se déplaçant dans des directions perpendiculaires. Cette bande flexible 124 ne présente pas de joints comme il a été dit, autrement dit, ses extrémités sont solidarisées par exemple par sou- dure avec les extrémités des tiges mobiles 122.
La tige se déplaçant le long du coté supérieur du châssis de fe- nêtre est accouplée à une bande métallique flexible 124 disposée de manière analogue etassurant la c onnexci on de cette tige horizontale avec la tige 122 dans l'un des côtés verticaux du châssis (Fig. 43) ou avec les tiges verticales des doux cotés du châssis comme représenté en Fig. 44. La bande d'accouplement flexible sans joint 124 est suscep- tible de transmettre les efforts de compression et de trac- tion entre les tiges mobiles suivant d.es directions perpen- diculaires.
En Fig. 45, les tiges 122 se déplaçant suivant des directions perpendiculaires l'une à l'autre sont re- présentées comme montées sur le dormant 125 d'une porte ou d'une fenêtre auquel cas les ferrures recevant les chevilles 123 de verrouillage, de fermeture ou d'aération portées par les tiges 122 sont montées sur le châssis d'une fenêtre ou de la porte monté dans le dormant.
De plus, la tige disposée suivant le coté inférieur de la porte ou de la
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fenêtre est représentée comme subdivisée à la manière habi- tuelle en deux parties 122a et 122b se déplaçant en sens in- versas le long de ce coté, ces éléments pouvant être c onsti- tués à la manière habituelle par des crémaillères engrenant avec un pignon commun qui les sépare et dont la rotation sous l'action d'une manivelle ou analogue assure le déplace- ment des éléments ce tige 122a et 122b l'un vers l'autre ou en s'écartant l'un de l'autre. Les tiges se déplaçant le long des côtés verticaux du dormant sont accouplées aux éléments de la tige correspondants 122a, 122b par l'intermédiaire de bandes de métal flexible et sans joint disposées comme dé- crit précédemment.
La disposition comportant une bande d'accouplement flexible et sans 4-oint 124 est représentée à une plus grande échelle en Fige 46 et la Fig. 47 représente un guide en arc de cercle 126 pour l'arc formé par la bande d'accouplement dans le coin entre les côtés du châssis ou du dormant qui sont perpendiculaires l'un à l'autre et qui portent les tiges 122 mobiles suivant des directions perpendiculaires et ac- couplées cinématiquement par la bonde d'accouplement 124.
Les Figs. 49, 50 et 51 sont des vues en coupe du guide pour différentes variantes de ce dernier. Comme on le voit sur la Fig. 51, le guide peut être constitué entièrement ou en par- tie par des galets 127 pour obtenir un frottement de roulement au lieu d'un frottement de coulis sèment entra le guide et la bande c'accouplement flexible et sans joint 124 se déplaçant dans le dit guide.
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En Figs. 52, 53 et 54, le chiffre de référence 131 désigne un dormant présentant une fente 132 obtenue par fraisage ou autrement pour recevoir les organes mobiles cons- tités par des tiges 133-134 et 135 associées aux ferrures, accouplements et guides. Les ferrures sont représentées sous forme de chevilles 136 fixées à des tiges destinées à venir en prise avec des ferrures rainées prévues sur le châssis non représenté. On a supposé, dans ce cas, que le châssis est articulé sur un axe horizontal médian; l'une des tiges, par exemple de la tige verticale 134, est destinée à être déplacée sous l'effet d'un levier de commande non représenté qui lui est relié.
Sur cette tige sont articulées les tiges mobiles horizontalement 133 et 135 portées pr les côtés perpendiculaires au côté vertical et cela par l'intermédiaire de deux bandes métalliques 137, par exemple en acier. Ces deux bandes parallèles flexibles et sans joint prennent la forme d'un arc dans le coin séparant les côtés vertical et horizontal de la fenêtre, les: extrémités de ces bandes étant fixées aux tiges 133-134 et 135 qui sont susceptibles de se déplacer suivant des directions perpendiculaires. Les bandes ne présentent pas de joint, autrement dit, elles sont solidarisées avec les tiges à angle droit l'une par rapport à l'autre, par exemple par soudure ou rivetage.
Les tiges 133, 134, 135 sont mobiles dans des guides montés àces distances appropriées et dont l'un est représenté en Fig. 5 sous forme d'une tôle 138 présentant une fente 139 pour recevoir la cheville 136. La tige 134
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peut être subdivisée en deux éléments ne se joignant pas directement et dont les déplacements sont commandés dans les deux sens par uh engrenage formant partie du dispositif de commande, leurs déplacements se faisant sur des distances différentes ou pendant des durées différentes ,fin d ' obteni r certains déplacements des dispositifs de verrouillage et d'aération.
On utilise comme guide pour les accouplements ci- nématiques dans les coins, dans le mode d'exécution repré- senté, une barre métallique 140 en forme d'il que l'on a cin- trée de manière à présenter la forme en arc de cercle dé- sirée. Il est prévu entre les bandes d'accouplement un rem- plissage approprié 141 afin d'empêcher toute tendance des bandes 137 à s'aplatir.
Le remplissage peut être constitué par une cour- roie, une bande flexible, du caoutchouc etc.
Les fenêtres de ce type présentent sovvent de telles dimensions qu'il est nécessaire d'appliquer des efforts de rotation considérables pour accélérer leur mou- vement et pour surmonter le frottement qui pourrait se pro- duire entre le dormant et le cassis et dans les pivots.
Les organes mobiles et en particulier les organes de transmission dans les coins de la fenêtre avaient re- çu primitivement de grandes dimensions à ce point de vue.
Un autre inconvénient qui s'est produit à l'origine sans dépendre toutefois de détails relatifs à la structure pro- prement dite consiste en ce que le levier ou peignée de commande était disposé au voisinage et au-dessus de
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l'allège de la fenêtre sur lequel les ménagères ont l'habi- tude de placer des pots de fleurs ou analogues. Il est né- cessaire pour la commande de la poignée de disposer d'une grande partie de l'espace correspondant à l'allège.
En appli- quant la nouvelle invention oui, entre autres, est caracté- risée par le toitque le levier ou poignée de commence ainsi que les dispositifs destinés principalement au réglage de l'aération du châssis sont disposés sur un c8té vertical du dormant dans la nervure de serrage prévue sur ce dernier ou encore sur le châssis en un point plus proche de l'axe que ne le sont les organes de verrouillage du châssis, grâce à quoi ces inconvénients sont éliminés et en même temps d'autres avantages sont, obtenus. Dans le cas ce fenêtres très hautes, le levier de commande se trouvait antérieurement disposé très bas de telle sorte qu'il était nécessaire de se baisser pour l'atteindre. En plaçant la poignée conformé- ment à l'invention suivant un coté vertical, on arrive à rendre possible sa fixation à une hauteur appropriée.
En Fig. 25, on a représenté une fraction de pa- roi avec une fenêtre comportant un châssis 31 tournant autour d'un axe horizontal médian ou encore on utilise deux châssis associés pour permettre le passage de la lumière et rendre possible l'aération et la vue au dehors. Dans les construc- tions antérieures de telles fenêtres, on a placé une mani- velle destinée au verrouillage et à la commande du chassis mobile 31 au milieu du côté horizontal intérieur 33 du dor- mant 33-33 34-35.
Pour permettre d'atteindre plus facilement la manivelle et pour faciliter son mouvement, il faut débar- rasser une grande pnrtie de l'allège des pots à fleurs et
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autres objets décoratifs; pour des fenêtres peu larges, il faut débarrasser à cet effet un tiers de la longueur de l'al- lège. Conformément à l'invention, les organes de commande avec leurs engrenages et le levier 36 assurant l'aération et le verrouillage sont disposés sur un côté vertical 32 du dormant de la fenêtre. Comme on le voit sur la Fig. 25, les organes de commande n'envahissent pas la zone de l'allège.
En général, les rideaux cachent le profil de la fenétre mais pour plus de clarté, on a omis de )représenter les rideaux sur les dessins. Les rideaux, pendant le cas éché- ant en avant du levier 36, peuvent être écartés sans dif- ficulté au moment do la manoeuvre.
On a représenté schématiquement en Fig. 26 un mode de commande de fenêtre haute conforme à l'invention.
On y a représenté en perspective un châssis pivotant autour des gonds 37. Sur l'un des côtés verticaux, un dispositif de verrouillage 38, Et une commande (l'aération 39 comportent une fente ou des évidements correspondants 40-41 associés aux chevilles de verrouillage 42 et à une cheville de ré- glage 43 respectivement, ces chevilles étant montés sur une tige 44 susceptible de coulisser longitudinalement dans le côté correspondant du dormant non représenté.
Le dépla- cement de la tige 44 se fait sous l'action ou levier 36 et le déplacement de celui-ci est transmis à la tige par un engrenage représenté schématique ment par une couronne den- tée 45 Que l'on fait tourner au moyen du levier et qui engrène avec la crémaillère 46 portée pat la tige 44 ou solidaire de celle-ci*
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La Fig. 27 comme la Fig.
26 représente une fenêtre relativement haute mais où la commande est subdivisée pour âtre assurée par deux séries d'organes. Le premier de ces groupes comporte un dispositif ce verrouillage pour le châs- sis et une tige 47 portant une cheville 48 venant en prise avec le dispositif de verrouillage et pouvant coulisser dans le dormant. L'autre groupe comporte des ferrures sur le côté vertical du chossis et près de ses coins inférieurs, d'autres ferrures du même côté au voisinage de l'axe de pi- votement et enfin une tige coulissante 49 portant les che- villes 50 et 51 en prise avec ces ferrures.
Les ferrures aux coins inférieurs du châssis et la cheville 50 qui leur est associée sont destinées à fonctionner après déverrouil- lage du châssis afin de faire tourner la fenêtre pendent la première partie du déplacement de la dite fenêtre, au mo- ment où le frottement entre le dormant et le châssis peut être relativement élevé. On peut amener le chassie en posi- tion d'aération en utilisant la ferrure placée ou voisinage de l'axe de pivotement et la cheville correspondante 51.
Pour fermer la fenêtre on se sert de ces dispositifs dans le sens inverse. Le levier de commence et le train d'engre- nages qui lui est relié ont été supprimés sur la Fig. 27 ainsi nue sur les Figs. suivantes 28 à 31.
Les Figs. 28 à 31 représentent différentes formes d'exécution de l'invention appliquée à des fenêtres plus larges qui demandent un verrouillage au moins en un point des cotés horizontaux du châssis.
Le châssis 31 de la Fig. 28 est commandé par un dispositif de verrouillage et de déverrouillage sur les
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deux côtés horizontaux du châssis, ces dispositifs étant associes à des chevilles 53 portées par des tiges coulissantes 52. Les tiges 52 sont articulées sur la tige coulissante ver- ticale 55 aux coins du châssis par l'intermédiaire des le- viers coudés 54. Le long du coté vertical du dormant se trouve également une tige 49 avec des chevilles 50 et 51 pénétrant dans les ferrures dans le côté vertical du châssis en vue du réglage de la position d'aération.
Le châssis de la Fig. 29 est amené en position par les 'chevilles de verrouillage 56 sur le côté inférieur horizontal, par les chevilles de déver- rouillage 53 sur le côté horizontal supérieur et enfin par une cheville d'aération 51 sur l'un des cotes verticaux du châssis.
Les chevilles 56 sont fixées à la tige horizontale 57 qui est articulée par l'intermédiaire d'une bande d'acier flexible se déplaçant dans un guide ménagé dans le châssis sur la tige verticale 49 portant la cheville d'aération* Les chevilles de déverrouillage 53 sont disposées sur une tige 52 reliée une tige verticale 55 par un levier coudé 54.
La Fig. 30 représente le dispositif mobile de com- mande assemblé de manière à. ne former qu'un système mobile unique au moyen de bandas d'acier 58 servant à transmettre le mouvement du côté vertical aux côtés horizontaux du dormant.
Les organes de commande représentés en Fig. 31 sont semblables à ceux de la Fig.29 sauf en ce que l'on utilise des bandes d'acier 58 sur les deux coins du dormant.
On peut encore imaginer beaucoup d'autres modes d'exécution du dispositif de commande considéré sans sortir pour cela du domaine de l'invention. Par exemple, on peut régler la fenêtre en utilisant simplement les tiges 49 et 57
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de la Fig. 29. Les organes mobiles peuvent être constitués par un ensemble sans fin entourant le formant et, de plus, les dispositifs prévus dans les coins pour la transmission du mouvement peut être établis de plusieurs manières diffé- rentes.
On a l'habitude, plus particulièrement dans les écoles, les hôpitaux etautres bâtiments publics de prévoir ' des fenêtres à châssis associées de différentes manières de façon à jouer divers rôles. On utilise pour obtenir un maxi- mum de lumière des châssis de grondes dimensions montés sur un axe central horizontal.On utilise souvent un châssis pi- votant autour de son bord inférieur dans le même dormant que le châssis pivotant. De plus, ce châssis auxiliaire est, entre autres, destiné à être réglé en vue d'une aération de faible importance pendant une durée plus longue, ce qui peut être intéressant dans le cas de salles de réunion où un grand nombre de personnes se trouvent enracine temps.
Lorsqu'on dé- sire une aération plus efficace pendant une durée réduite, on ouvre également le châssis le plus grand. On peut très facilement disposer dans le dormant correspondant au châssis auxiliaire ou à sa place dea arillages moustiquaires. L'in- vention est destinée, dans ce cas, à coordonner les disposi- tifs de commande des différents châssis de manière à simpli- fier et à rendre plus économique la fabrication des fenêtres et à faciliter le réglage du châssis.
La fenêtre représentée en Fig. 32 comprend un dor- mant 101 avec un châssis 102 pivotant autour d'un axe hori- zontal médian ainsi qu'un châssis 103 pivotant autour de son bord inférieur. Le châssis 102 est monté sur les gonds 104
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dans les côtés verticaux du dormant ICI, ces gonds étant de tout type approprié comportant un ou deux pivots de chaque côté de la fenêtre et pouvant présenter également ou non un système de freinage. Le châssis 103 pivotant autour de son côté inférieur tourne autour des gonds 105 sur la traverse horizontale 106 du dormant 101. Les châssis peuvent être simples ou doubles suivant le climat et les autres conditions régnant aux endroits où l'on doit utiliser les fenêtres.
Pour toutes les fenêtres représentées aux Figs.32 à 42, les châssis comportent au moins un côté 107 n'ayant pas de coins arrondis. Ceci est nécessaire lorsqu'on vent utiliser des écrans 108 de différents types tels que des stores, des rideaux, des jalousies, etc et il peut être prévu des supports, des guides, des organes de commande pour de tels écrans.-. Certains des autres coins peuvent être arrondis, par exemple de telle manière due les matériaux formant les châssis se présentent sous la forme de profilés cintrés dans leur ensemble et certains de ces coins arrondis peuvent faci- liter le montage des guides prévus pour les organes de com- mande mobiles en raison de ce que le dormant présente des coins arrondis correspondants.
Sur les Figs. 39 à 42 on a re- présenté des organes de commande qui peuvent convenir pour les châssis représentés en Figs. 32. Une manette 109 (Fig.32) disposée en un point approprié de la fenêtre permet de comman- der ur: engrenage non représenté pour transformer le mouvement de la manette en déplacement d'un système 110 (Fig. 39) sus- ceptible de se déplacer dans les guides du dormant et présen- tant des chevilles de verrouillage 111 et des chevilles d'aé- ration 112 pénétrant dans les ferrures correspondantes dans
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les côtés dos châssis pivotant par rapport au dormant ou encore à la traverse. Bien entendu, on peut disposer les choses de telle manière que des ferrures mobiles agissent en combinaison avec des chevilles fixes ou analogues.
Les chevilles 111 et 112 sont montées sur des tiges réglables ou analogues réunies l'une à l'autre dans les coins du châssis par des leviers, des chaînes, des bandes de métal flexible et analogues. En Fig. 32, les tiges de verrouillage s'engagent sur les deux cotés du dormant 102 parallèlement à l'axe de pivotement etsur un seul côté du châssis 103 en travaillant parallèlement à son axe. Un mode d'exécution analogue du dispositif de commande apparaît en Fig. 33 qui ne diffère de la Fig. 32 qu'en ce qu'iln'ya plus de chevilles (Le long du côté inférieur du châssis 102.
On peut utiliser une telle forme d'exécution dans le cas de châssis de dimensions relativement faibles. Le verrouillage des châssis devrait se faire sur les cotés du châssis paral- lèlement à l'axe de pivotement. La Fig. 41 représente un sys- tème 113 de ce genre pour le verrouillage des chevilles 111 et un autre système 114 pour les chevilles c'aération 112.
Toutefois, on peut établir les choses de telle .nanière que les chevilles de verrouillage et d'aération du châssis pivo- tant autour de son bord inférieur soient accouplées et que les chevilles de verrouillage et d'aération pour le grand châssis (Fig. 42) soient également accouplées, les deux sys- tèmes ce chevilles étant commandés par une seule manette ou un seul levier et par un engrenage intermédiaire. Les systèmes mobiles peuvent être disposés de manière ou' un châssis soit
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ouvert avant l'autre ou les autres, comme représenté en Fige 33 qui donne une coupe verticale du dormant 101 de la Fig. 32.
Le châssis 103 tourmnt autour de son bord inférieur est complètement ouvert comme représenté à titre d'exemple avant que le châssis principal ne s'ouvre. La Fig. 34 est également une coupe verticale du dormant 101 'de la Fig. 32, mais ici'les organes de commande sont couplés ensemble de manière que les deux châssis 102 e,t 103 s'ouvrent en même temps. Les modes d'exécution représentés ne forment que quelques exemples choisis parmi plusieurs possibilités.
Les châssis peuvont être associés de différentes manières; on peut modifier le mode de distribution des charnières et l'on peut effectuer de nombreuses manières dif- férentes l'accouplement entre les organes de commande.
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"CONTROL DEVICE FOR WINDOWS AND DOORS FOR CLOSING, LOCKING AND VENTILATION"
The present invention covers improvements to doors and windows capable of rotating about a central axis. Its main object is a control device making it possible to bring the window frame or the door to the desired open position and to maintain it there, for example.
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view of the ventilation, while allowing the sun's rays to pass through the window opening without hindrance and, in addition, ensuring the closing and locking of the window or / the door.
Certain preferred embodiments of the invention will now be described by way of example, with reference to the accompanying drawings.
On these drawings:
Fig. 1 is a view from the front of a window.
Fig. 2 is a side view.
Fig. 3 is a sectional view taken on line III-III of FIG. 8 of a window established in accordance with the invention and assumed to be in the closed position, the section passing through a line of hinges and showing the device associated with said hinge lines, for bringing the window frame into the desired open position.
Figs. 4, 5 and 6 are sections showing the pivoting frame in different positions.
Fig. 7 is a section similar to FIG. 3 passing through the ponds ot the ventilation control device on the other side of the window.
Fig. 8 shows a detail of the window seen from the front.
Fig. 9 is a detail section taken along the line IX - IX of FIG. 8.
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The igs. 10 and 11 are two sections of a variant of the invention.
Figs. 12 and 13 are detail sections of the ventilation control device for different positions given to it.
Fig. 14 is a side view showing various ventilation positions which the frame can accommodate and in which it can be maintained. the igs. 15 and 16 are detail sections of other embodiments of the aeration control device.
The Fige. 17, 18 and 19 are detail views of another embodiment of the invention.
Fig. 20 is a schematic view of the transmission device ensuring the control of the ventilation position of a window.
Fig. 21 is a view of the same device in another position with a partially sectioned perspective view of a clamping rib frame.
Fig 22 is a similar view of the same device shown in Figs. 20 and 21 but in a third position.
Figs. 23 and 24 are views of a variant showing the control device in two different positions.
Fig. 25 shows a window with a control lever along a vertical edge.
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Fig. 26 shows a frame for the latter window comprising grooved fittings associated with pegs carried by a rod movable in the longitudinal direction.
Figs. 27 to 31 show different combinations of ventilation and locking members for windows with a horizontal central axis.
Figs. 32 and 35 to 38 show windows with frames capable of moving around a central axis and associated in different ways with other movable frames.
Figs. 33 and 34 are views showing how to open the frames of FIG. 32 at different times.
Figs. 39 to 42 are schematic views showing different embodiments of a coupling between locking devices and window ventilation, with several associated frames as shown in i'ig. 32.
The Fige. 43, 44 and 45 are elevational views of various embodiments of a control device comprising a coupling by metal strip or by kinematic chain between rods moving longitudinally in directions perpendicular to each other. the other.
Fig. 46 represents another device comprising a flexible one-piece banoe serving to couple members moving perpendicular to each other.
Fig. 47 and Fig. 48 are respectively a section and a partial view from above of an embodiment
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a curved guide for this flexible metal strip in one piece.
Figs. 49 - 50 - 51 are sectional views of different variations of this guide.
Figs. 52 and 53 are sectional views of the corners of a window frame having two parallel metal bands forming a kinematic coupling.
Fig. 54 is a sectional view taken along line XII-XII of FIG. 53.
In the drawings, 1 designates the window frame and 2 a frame moving on hinges placed at both ends of the strap so that the frame can rotate around a horizontal central axis. The frame generally comprises two elementary elbow frames. The two hinges include the two parts I-II mounted respectively on the frame and on the frame. Part II of frame 2 comprises in the usual way a pivot 5 penetrating into an arcuate slot 6 of part 1 which opens upwards and is closed at its lower end. In this device of known type, the frame '3 when closed rests by its stops 3 on the counter-stops 4.
When opening the window, the frame is first rotated via the stops 3 on the counter-stops 4, while the pivots 5 move in the grooves 6 until they reach the background of these. If we open the frame further, it rotates around the pivots 5 which remain at the bottom of the slots 6.
The frame 2 has along one of its sides at least one protruding pin 7 disposed longitudinally
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in a guide provided in the side of the movable part 8 of the frame, this pin acting to control the opening of the window in combination with the fitting fixed to the frame 1 in the vicinity of the horizontal axis of the frame; this fitting is preferably c onstituée by a downward extension of part 1 of the hinge carried by the frame. This fitting comprises it, in order to work with the pin 7, one or more grooves, this groove or one of these grooves preferably being in the form of a recess 9 of particular shape.
From this point of view, it should be indicated that the movements of the movable part 8 are understood as being synchronous or as dependent on the movements of the adjustable pegs provided at the lower part and preferably also at the upper part of the frame. These latter dowels cooperate for closing and locking the window with slots made in fittings of the frame, these dowels being controlled for example by means of a lever mounted on the lower side of the frame and shown at 10 on the figure. Fig. 1
This lever 10 is used to control the movements of the movable members with locking pins similar for example to the movable member of FIGS.
8 and 9 and can be connected to the movable members by locking pins with transmission members in the corners of the frame which are preferably rounded. The movable members with the control pins 7 of the opening can however be kinematically coupled to the movable members with locking pins of the common control lever 10 in any suitable manner ensuring synchronism or
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at least the slaving between the movements of the control pins and of the locking pins.
Like the slots 9 cooperating with the control pins 7, the castings not shown cooperating with the locking pins are open in the usual manner at one end so that the pins can exit these slots when the frame has rotated enough and then return to the slots when the frame has returned to its closed position.
In general, part of the slots associated with the locking pins considered from their open ends goes in a diagonal direction to produce the clamping of the frame in the frame when the locking pins are brought into the slots by acting on the locking lever. lo command when the window is closed and these slots continue being approximately parallel to the line of movement of the locking pegs in a second part to ensure the locking of the frame in the closed position.
As already mentioned, the slot 9 has a special shape comprising an interior part 9 which coincides with the line along which the ventilation pin 7 moves when the closed window is opened and the locking pins are closed. brought by the control lever 10 from the locking position to the outside of the slots and then a suitable outer part 9b diagonally or in an arc in which the pin 7 is brought in an adjustable manner by the lever 10 when the locking pegs have baked their slots.
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When the closed window is unlocked, it is possible, by moving the control lever 10, to push the pins 9 back into the outer parts 9b of the slots 9 in order to control the opening of the window (igs. 5 and 11). When the frame has tilted beyond the angle corresponding to the ventilation, the pegs 7 leave the slots 9 by their open ends (in Fig. 6).
According to the mode of execution of Fige. 3 to 7, the control device is such that when the lever 10 has been pushed in a given direction and the window has been unlocked, the lever must be brought back in order to be able to insert the pegs 7 into the parts. outside 9b of the slots 9.
This movement is made easier by controlling the lever 10 with one hand while the other hand pushes the frame 2 back in the direction of travel. It is very easy by means of the control lever 10 to obtain the desired opening size for ventilation between the sleeping unit and the frame above and below the latter * By moving the control lever in the opposite direction to push the pegs 7 into the outer parts 9b of the slots 9, advantage is taken of the fact that the control lever does not need to turn any more or is necessary for the control of the locking pegs.
According to the embodiment shown in Figs. 10 and 11, the dowels are brought into the part 9b of the slots 9 corresponding to the ventilation by turning the control lever 10 in the same direction when the frame is unlocked and when it is opened for the purpose of 'aeration.
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It is clear that the difference between these two embodiments is due to the inner part 9a of the slot according to Figs. 10 and 11 form an approximately tangential extension of the outer part 9b in the form of an arc of a circle, while parts 9a and 9b of FIGS. 3 to 7 are connected by an arc of which they form approximately tangential extensions. Fig. 15 shows an embodiment in which the slot has a shape such that the control lever must be rotated in turn in both directions to pass the pin 7 from one end of the slot to the other. .
According to a very advantageous embodiment, the movable members with their pegs form part of a device wound around the frame, which device can be operated by the control lever such that the two pegs 7 mounted laterally on the window move in opposite directions, ie when the ankle on one side is pushed up, the other is pushed down and vice versa.
In the mode of execution in accordance with Fige. 3 to 7, the slots 9 provided on either side of the window must be directed in opposite directions as can be seen by comparing FIGS. 3 and 7 or else Figs. 10 and 11.
The slits 9 may have one or more recesses 11 along the edges of the outer parts 9b to receive the pegs 7 in order to maintain the frame in an open position or in a position chosen from among several well-determined ventilation positions. It is also possible to provide on the control lever 10
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means for maintaining it safely in certain positions corresponding to certain desired ventilation positions.
Insofar as the device according to the invention has been described so far, the device is used to control and maintain the frame in the ventilation position: the frame only pivots at a small angle, its side lowered. - laughter moving outwards from the closed position, leaving free the lower part and the upper part of the slit of small ventilation openings. The slit 9 specially formed for the opening of the ventilation pin 7 may be used more particularly when it is desired to obtain precise control of the dimensions of these openings.
The control device according to the invention can however be applied if necessary to control the opening of the frame to angles between 90 and 180 with respect to the closed position. For this purpose, the fitting 1 or, where appropriate, another fitting may comprise one or more recesses 12 arranged in such a way that the movable pin 7 of the frame can, under the effect of the control exerted on the lever 10, enter this. recess or in one of these recesses when the frame has been tilted into a position for which this recess is on the path of this pin 7 (Figs 12-13-15 and 16). When the pin 7 enters one of the recesses 12, the frame 2 is held securely in the corresponding position.
In windows with a sash mounted to pivot on a central axis, it often happens
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that it is desired to place the frame not only in ventilation positions for which the frame has tilted at a small angle with respect to the closed position but also in positions for which the frame tilts to take positions forming an angle from 90 to 100 from this closed position, for example so that the sun can enter the room as freely as possible without encountering any obstacle, i.e. without the rays having to pass through one or more panes.
As seen in Fig. 16, the slot 9 can be replaced if necessary by recesses 13 disposed in the fitting 1a preferably integral with the fitting 1, these recesses being similar to the recesses already described 12, - with the only difference that they are arranged in so that the pegs 7 can enter it when the frame is in positions between approximately 0 and 90 with respect to the closed position. It is, moreover, possible to replace the recesses shown in Figs. 12, 13, 15 and 16 by a suitably arranged slot; more or less equivalent or similar to the slot 9 already described and serving to ensure the precise control of the frame yes is made possible by bringing the control lever to any desired position .
Figs. 17 to 19 show in detail the hinges and control devices in a variant of the invention more particularly suitable for windows whose unlocked frames tend under the action of d. gravity to take with their suspension a certain balanced and stable open position. The details of the hinges correspond to those given
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above ot have been shown in a similar manner.
However, the movable pegs 21 have been arranged in this case on one side of the frame in the guides 22 which can be made in one piece with the adjacent fitting I of the hinges. The fitting II mounted on the frame has an extension with a slot 23. When the pin 21 shown in FIG. 17 as being at the top of the guide 22 moves downwards, it enters the slot 23 and the frame is rotated to take the position shown in FIG. 18. If the pin 21 is pushed further towards the lower end of the slot 22, the frame tilts and comes to assume the equilibrium position of Fig.19.
The pin 21 has then left the slot 23 of the fitting, the shape of which is such that the frame is first free and can pivot freely in one or the other direction around the pivot 5 or the stop 3 and then that 'it is brought under the effect of the control device to a lower open position to be finally closed. The fitting comprising the slot 23 is arranged in such a way on the frame that the pin 21 automatically enters the slot 23 when it is pushed back. One thus obtains the advantage of facilitating the control and, moreover, the pin 21 is no longer engaged when the frame reaches its equilibrium position.
A characteristic common to all the embodiments shown is that the pins 7 controlling the various openings of the window apart from the closing and locking in the closed position move perpendicularly or more or less perpendicularly to the window. 'pivot axis of the chassis, i.e. approaching or moving away from it.
Among the many
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obvious advantages of this device, one can mention that it is very simple, of a safe and easy operation and that one can easily modify it of any appropriate nanière according to the necessities. the possibilities of modification are not limited by the devices shown in the drawings and described above and, on the contrary, they are so numerous that it would take too long to describe them in more detail.
A few additional indications may suffice. The direction of movement of the mobile chovilles 7 instead of being entirely on one side of the axis could extend on either side of the latter thanks to a corresponding shape given to the slot or to the slits with which the ankle is intended to work. When the slot has recesses on one of its edges or on both edges, it is not necessary for this slot to be open so that the ankle can come out of the slot, since, in this case, the slot can take - dre the approximate shape of a plane spiral so that the ankle can remain in the slot for all positions of the. frame.
It is not essential that the plug moves in relation to the frame and that the fitting with a slot is mounted on the frame, because the reverse could happen as well. When the movable pegs 7 are arranged on the frame instead of on the frame, of course, it is necessary that the control lever and the closing and locking pegs are also watch on the forming instead of be on the chassis. Of course, the invention can be applied to windows the median axis of which is both vertical and horizontal and, of course, also to doors mounted in a frame.
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dormant, and this in principle in the same way as for the windows considered.
The expression "center line" used in the present description should not be taken literally, but should be taken to cover for example the case of a frame mounted on a center line having two or more pivots of each. dimensioned in such a way that the frame at the beginning of its opening begins to rotate around one axis and then around another axis parallel to the first and it may happen that neither of these axes is located exactly in the center of the upper and lower edges of the frame and even the two axes can be arranged somewhat lower. The pegs 7 are not necessarily round but can also have the shape of a projection carried by the movable support members 8.
The distinction between ventilation and locking devices has been shown to be preferable, particularly in the case of large windows which can for example move around a central horizontal axis and which must be kept in certain ventilation positions, the opening of case windows to be adjusted between the closed position and a relatively wide open position.
To make possible the precise adjustment of the opening, the object of the invention is the possibility of performing different movements for the movable members of the aeration device and for the corresponding members of the locking device.
Since it is advantageous to be able to control the opening of the chassis 11 inside a range
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wide enough openings, the aeration control device should be engaged closer to the pivot axis of the frame than the locking device which is preferably mounted as far from the axis as possible to provide optimum locking. When the frame is locked, it must be pressed against the clamping ribs and for this purpose it is necessary to use a relatively high force.
Another object of the invention therefore consists in arranging a variable reduction transmission between the control lever and the movable members arranged in the sides of the window so as to allow the transmission of a greater force to the control device. locking that transmitted to the aeration device.
Another object of the invention is to transmit the movement of the control lever first to the locking device and then to the ventilation device when the window is opened and vice versa when the window is closed.
According to the embodiment shown in Figs.
20. 21 and 22, the two transmission devices provide control prdes movable levers. These are shown in the form of a piece of sheet metal capable of pivoting 80 and having a square hole 81 into which the control lever penetrates. The sheet 80 is connected by the connecting rods 82 and 83 to the movable rods in the longitudinal direction 84-85 serving to command the fittings, the movable pins and the other members controlling the locking and ventilation respectively,
the rods 82 ot 83 are connected to the sheet 80 at points located at different distances from its pivot so that one manages to give the rod
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ventilation 85 a greater displacement than the locking rod 84 while the force acting on the locking rod is greater than the force acting on the ventilation rod.
We must add to this point of view that first, the angles between the lines passing through the pivots 86 or 87 of the rods 82 or 83 on the sheet 80 and through the pivot of the latter and then the position of the sheet 80 relative to the control lever, feels such that the pivot 87 performs during the first part of the movement of the control lever an arc whose cord is necessarily perpendicular to the aeration rod 85 so that the ventilation device is not not actuated.
The pin 86 forming the pivot of the rod 82 of the locking rod, on the contrary, describes an arc where the rope is essentially parallel to the rod 84 which therefore moves in the longitudinal direction and forces the locking device to no longer be in contact. taken with the frame (s) before the aeration device is actuated during the second part of the movement of the control lever. When the control lever is pulled back, the various components re-engage in the opposite sound.
Fig. 21 which shows in perspective and in section a wooden frame 88 with a clamping rib 89 also shows how the movable rods 84 and 85 can be placed in a groove 90 of the frame. The invention can however also be applied to windows made of metal profiles.
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The axis of the control lever and the sheet 80 can be mounted inside the clamping rib 89 such that the lever is in immediate contact with the surface 91 of said rib and that this lever can rotate substantially. more than in the previous case without the rib hindering the maneuver. The lever or the joystick can be used as a connection between the (former and the frame) to keep the frame in the position it has rotated more than 90 ° in order to let direct sunlight.
The shape of the locking device can also be such that part of the ventilation control can be done through it *
The invention can preferably be applied to windows comprising frames moving on hinges and exhibiting a determined, stable, balanced position, corresponding to a ventilation opening. The control devices are then arranged so as to bring the frame or frames from their closed position 8 to this balanced position.
A variant of the invention is shown in Figs.
23 and 24. The control lever 92 has in this case an extension with a slot 93-94. The lever is articulated on the (Forming, on the frame or on a clamping rib by means of a pivot 95 and it is used to control the opening of the window in combination with the pin. 96 of the frame. The frame or the clamping rib is, in this case, in front of the drawing. The window is locked in a manner analogous to that described above by means of the lever 97, connecting rod 98 and rod
99 while the ankle 96 is free in the part
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93 of the slot. The control lever is shown for the closed position of the window of FIG. 23 and in the open position in FIG. 24.
If the lever rotates further away from the position shown in Fig.
24, the peg will be free, after which the frame can be further rotated by pulling or pushing it directly. In this embodiment of the invention, the control lever must be mounted near the pivot axis of the frame so that the movements of the pin 96 in the slot cause the frame to be brought at a satisfactory angle. Instead of levers, gear wheels or a cam disc could be used either alone or in combination with levers or the like.
It is known that in order to move the moving parts arranged on the sides at right angles to each other of the window or the door under the effect of a common control lever, it is possible to fix or couple in the usual way these members with two movable members longitudinally at right angles to each other along the sides of the window or the door, by coupling, moreover, these members kinematically in the corner uniting the sides considered. Until now, the kinematic coupling of the organos moving in perpendicular directions in the wedge separating these organs has been obtained by means of transmission members articulated on these points and forming bent levers or the like. .
The device for controlling the movable locking, closing and ventilation components
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thus included a fairly large number of elements and several-points of support, so that its manufacture was relatively expensive, as well as its installation, while requiring maintenance, lubrication, otc, different support points to prevent play, loss of drive energy and noise during operation.
In accordance with the invention, the cmnematic coupling between the two movable members longitudinally following two sides at right angles to the door or the door comprises a flexible member without a seal extending for the intended purpose in the corner connecting these two. quoted between the two bodies. movable in an arc with its ends fixed to the members in question to transmit tensile and compressive forces between the movable members in directions of displacement perpendicular to each other.
As has been shown by experiments and tests, a radical simplification is thus achieved and a considerable reduction in the cost of the control device of the moving parts, at the same time as the lubrication requirements are extremely reduced. as well as the rest of the maintenance allowing to avoid the play, the excess of driving power and noise in operation In the corner separating the two perpendicular sides along which move the two flexible and jointless coupled members, a guide in the form of a circular arc may be provided or arranged to receive the arc formed by the flexible connecting member.
In a suitable embodiment of the in-
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vention, the flexible and jointless member ensuring the kinematic coupling is constituted by a metal strip, for example of steel.
According to another advantageous embodiment of the invention, the flexible and jointless member forming the kinematic coupling comprises two substantially parallel metal bands, flexible and without joints, capable of transmitting tensile forces. and compression between the movable members in directions of movement perpendicular to one another.
In Figs. 43 and 44, the reference numeral 121 designates the window frame established for example by means of a metal profile and comprising rounded corners obtained by bending the profile This frame comprises along each of its four sides, for example according to the grooves of the frame, of the movable members constituted for example by rods 122 on all or some of which are arranged the control members of the locking, the closing or the aeration constituted by pins 123 or the like intended to penetrate for example in the grooves of the fittings carried by the window frame, not shown, to maintain the window frame articulated on the horizontal median axis of the frame, in the closed position or in one or more ventilation positions.
One of the movable rods 122, preferably that arranged along the lower side, can be moved by a control lever, not shown, which is connected to it.
On this movable rod are coupled the rods 122 capable of moving in perpendicular directions.
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along the vertical sides of the window, the coupling being obtained by means of a flexible metal strip without joint 124, for example of stainless steel, extends in an arc in the corner separating the lower side from the corresponding vertical dimension of the frame and the ends of this strip are connected to the rods moving in perpendicular directions. This flexible strip 124 does not have any joints as has been said, in other words, its ends are made integral, for example by welding, with the ends of the movable rods 122.
The rod moving along the upper side of the window frame is mated to a flexible metal strip 124 similarly disposed and ensuring the connection of this horizontal rod with the rod 122 in one of the vertical sides of the frame ( Fig. 43) or with the vertical rods on the soft sides of the frame as shown in Fig. 44. The seamless flexible coupling band 124 is capable of transmitting the compressive and tensile forces between the movable rods in perpendicular directions.
In Fig. 45, the rods 122 moving in directions perpendicular to each other are shown as mounted on the frame 125 of a door or a window in which case the fittings receiving the pins 123 for locking, closing or ventilation carried by the rods 122 are mounted on the frame of a window or door mounted in the frame.
In addition, the rod arranged along the lower side of the door or the
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window is shown as subdivided in the usual way into two parts 122a and 122b moving in reverse direction along this side, these elements being able to be constituted in the usual way by racks meshing with a common pinion which separates them and whose rotation under the action of a crank or the like ensures the movement of the elements of this rod 122a and 122b towards one another or away from one another. The rods moving along the vertical sides of the frame are coupled to the corresponding rod members 122a, 122b through flexible, seamless metal bands arranged as previously described.
The arrangement with a flexible, non-4-anointed coupling strip 124 is shown on a larger scale in Fig. 46 and FIG. 47 shows a circular arc guide 126 for the arc formed by the coupling strip in the corner between the sides of the frame or the frame which are perpendicular to each other and which carry the rods 122 movable following directions perpendicular and kinematically coupled by the coupling plug 124.
Figs. 49, 50 and 51 are sectional views of the guide for different variants of the latter. As can be seen in FIG. 51, the guide may be formed wholly or in part by rollers 127 to obtain rolling friction instead of grout friction between the guide and the flexible and jointless coupling band 124 moving in the said guide.
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In Figs. 52, 53 and 54, the reference numeral 131 designates a frame having a slot 132 obtained by milling or otherwise to receive the movable members constituted by rods 133-134 and 135 associated with the fittings, couplings and guides. The fittings are shown in the form of plugs 136 fixed to rods intended to engage with grooved fittings provided on the frame, not shown. It was assumed, in this case, that the frame is articulated on a median horizontal axis; one of the rods, for example the vertical rod 134, is intended to be moved under the effect of a control lever, not shown, which is connected to it.
On this rod are articulated the horizontally movable rods 133 and 135 carried by the sides perpendicular to the vertical side and this by means of two metal bands 137, for example of steel. These two flexible and seamless parallel bands take the form of an arc in the corner between the vertical and horizontal sides of the window, the ends of these bands being fixed to the rods 133-134 and 135 which are capable of moving according to perpendicular directions. The bands do not have a joint, in other words, they are secured to the rods at right angles to one another, for example by welding or riveting.
The rods 133, 134, 135 are movable in guides mounted at these appropriate distances and one of which is shown in FIG. 5 in the form of a sheet 138 having a slot 139 to receive the pin 136. The rod 134
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can be subdivided into two elements which do not join directly and whose movements are controlled in both directions by a gear forming part of the control device, their movements being made over different distances or for different durations, end of obtaining some movement of the locking and ventilation devices.
As a guide for the kinematic couplings in the corners, in the embodiment shown, an eye-shaped metal bar 140 which has been bent so as to present the arched shape of the corner is used. desired circle. There is a suitable infill 141 between the coupling bands to prevent any tendency for the bands 137 to flatten out.
The filling can consist of a belt, a flexible band, rubber etc.
Windows of this type have such dimensions that it is necessary to apply considerable rotational forces to accelerate their movement and to overcome the friction which could occur between the frame and the blackcurrant and in the pivots. .
The movable members and in particular the transmission members in the corners of the window had initially received large dimensions from this point of view.
Another drawback which originally arose without, however, depending on details relating to the structure itself, consists in the fact that the control lever or comb was arranged in the vicinity and above.
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the window sill on which housewives are accustomed to placing flowerpots or the like. It is necessary for the control of the handle to have a large part of the space corresponding to the sill.
Applying the new invention yes, among other things, is charac- terized by the roof that the starting lever or handle as well as the devices intended mainly for the adjustment of the ventilation of the frame are arranged on a vertical side of the frame in the rib. clamping provided on the latter or on the frame at a point closer to the axis than are the frame locking members, whereby these drawbacks are eliminated and at the same time other advantages are obtained. In the case of these very high windows, the control lever was previously placed very low so that it was necessary to bend down to reach it. By placing the handle in accordance with the invention along a vertical side, it is possible to make it possible to fix it at an appropriate height.
In Fig. 25, there is shown a wall fraction with a window comprising a frame 31 rotating around a median horizontal axis or else two associated frames are used to allow the passage of light and make ventilation and sight possible. outside. In previous constructions of such windows, a crank for locking and controlling the movable frame 31 has been placed in the middle of the interior horizontal side 33 of the sleeper 33-33 34-35.
To make it easier to reach the crank and to facilitate its movement, a large part of the spandrel of the flowerpots must be removed.
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other decorative objects; for windows that are not very wide, a third of the length of the ledge must be cleared for this purpose. According to the invention, the control members with their gears and the lever 36 ensuring ventilation and locking are arranged on a vertical side 32 of the window frame. As can be seen in FIG. 25, the controls do not invade the area of the sill.
In general, the curtains hide the profile of the window but for the sake of clarity, we have omitted to) represent the curtains in the drawings. The curtains, in the event that occur in front of the lever 36, can be moved aside without difficulty during the operation.
Schematically shown in FIG. 26 a high window control mode according to the invention.
There is shown in perspective a frame pivoting around the hinges 37. On one of the vertical sides, a locking device 38, and a control (the ventilation 39 have a slot or corresponding recesses 40-41 associated with the pins of locking 42 and to an adjusting pin 43 respectively, these pins being mounted on a rod 44 capable of sliding longitudinally in the corresponding side of the frame, not shown.
The displacement of the rod 44 is effected by the action or lever 36 and the movement of the latter is transmitted to the rod by a gear shown schematically by a toothed crown 45 which is rotated by means of of the lever and which meshes with the rack 46 carried by the rod 44 or integral with the latter *
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Fig. 27 as in FIG.
26 shows a relatively high window but where the control is subdivided for hearth provided by two series of members. The first of these groups comprises a locking device for the frame and a rod 47 carrying a pin 48 which engages with the locking device and which can slide in the frame. The other group comprises fittings on the vertical side of the chossis and near its lower corners, other fittings on the same side in the vicinity of the pivot axis and finally a sliding rod 49 carrying the studs 50 and 51 engaged with these fittings.
The fittings at the lower corners of the frame and the peg 50 associated with them are intended to operate after unlocking the frame in order to rotate the window during the first part of the movement of said window, at the moment when the friction enters. the frame and the frame can be relatively high. The chasie can be brought into the ventilation position by using the fitting placed in or near the pivot axis and the corresponding peg 51.
To close the window, these devices are used in reverse order. The start lever and the gear train connected to it have been omitted in FIG. 27 thus naked in FIGS. following 28 to 31.
Figs. 28 to 31 show different embodiments of the invention applied to wider windows which require locking at least at one point on the horizontal sides of the frame.
The frame 31 of FIG. 28 is controlled by a locking and unlocking device on the
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two horizontal sides of the frame, these devices being associated with pegs 53 carried by sliding rods 52. The rods 52 are articulated on the vertical sliding rod 55 at the corners of the frame by means of the angled levers 54. The rods 52 are articulated on the vertical sliding rod 55 at the corners of the frame. Along the vertical side of the frame there is also a rod 49 with dowels 50 and 51 penetrating the fittings in the vertical side of the frame for adjusting the ventilation position.
The frame of FIG. 29 is brought into position by the locking pins 56 on the lower horizontal side, by the unlocking pins 53 on the upper horizontal side and finally by a ventilation pin 51 on one of the vertical sides of the frame.
The pegs 56 are fixed to the horizontal rod 57 which is articulated by means of a flexible steel strip moving in a guide formed in the frame on the vertical rod 49 carrying the ventilation pin * The release pins 53 are arranged on a rod 52 connected to a vertical rod 55 by an angled lever 54.
Fig. 30 shows the mobile control device assembled so as to. to form a single mobile system by means of steel bands 58 serving to transmit the movement from the vertical side to the horizontal sides of the frame.
The control members shown in FIG. 31 are similar to those of Fig. 29 except that steel strips 58 are used on both corners of the frame.
It is also possible to imagine many other embodiments of the control device considered without going beyond the scope of the invention for this. For example, the window can be adjusted by simply using the rods 49 and 57
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of Fig. 29. The movable parts can be constituted by an endless assembly surrounding the forming and, moreover, the devices provided in the corners for the transmission of the movement can be established in several different ways.
It is customary, more particularly in schools, hospitals and other public buildings to provide sash windows associated in different ways so as to perform various roles. Large dimension frames mounted on a horizontal central axis are used to obtain maximum light. Often a frame pivoting around its lower edge in the same frame as the pivot frame is used. In addition, this auxiliary frame is, among other things, intended to be adjusted for a ventilation of little importance for a longer period, which can be advantageous in the case of meeting rooms where a large number of people are present. root time.
If you want more efficient ventilation for a shorter period of time, you also open the larger sash. One can very easily have in the frame corresponding to the auxiliary frame or in its place dea mosquito nets. The invention is intended, in this case, to coordinate the control devices of the different frames so as to simplify and make more economical the manufacture of the windows and to facilitate the adjustment of the frame.
The window shown in FIG. 32 comprises a sleeper 101 with a frame 102 pivoting about a median horizontal axis as well as a frame 103 pivoting around its lower edge. The frame 102 is mounted on the hinges 104
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in the vertical sides of the ICI frame, these hinges being of any suitable type comprising one or two pivots on each side of the window and may or may not also have a braking system. The frame 103 pivoting around its lower side rotates around the hinges 105 on the horizontal cross member 106 of the frame 101. The frames can be single or double depending on the climate and other conditions prevailing at the places where the windows are to be used.
For all the windows shown in Figs. 32 to 42, the frames have at least one side 107 having no rounded corners. This is necessary when wind screens 108 of different types such as blinds, curtains, blinds, etc. are used, and supports, guides, control members may be provided for such screens. Some of the other corners may be rounded, for example in such a way that the materials forming the frames are in the form of curved profiles as a whole and some of these rounded corners may facilitate the assembly of the guides provided for the control members. - mobile order due to the fact that the frame has corresponding rounded corners.
In Figs. 39 to 42, control members have been shown which may be suitable for the frames shown in Figs. 32. A handle 109 (Fig. 32) placed at an appropriate point in the window controls: a gear not shown to transform the movement of the handle into the displacement of a system 110 (Fig. 39) which can be suspected. to move in the guides of the frame and having locking pins 111 and ventilation pins 112 penetrating into the corresponding fittings in the
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the back sides of the frame pivot relative to the frame or to the cross member. Of course, things can be arranged in such a way that movable fittings act in combination with fixed pegs or the like.
The pegs 111 and 112 are mounted on adjustable rods or the like joined together at the corners of the frame by levers, chains, flexible metal bands and the like. In Fig. 32, the locking rods engage on both sides of the frame 102 parallel to the pivot axis and on one side of the frame 103 while working parallel to its axis. A similar embodiment of the control device appears in FIG. 33 which does not differ from FIG. 32 only in that there are no more pegs (Along the underside of frame 102.
Such an embodiment can be used in the case of frames of relatively small dimensions. Locking of the frames should be on the sides of the frame parallel to the pivot axis. Fig. 41 shows one such system 113 for locking the ankles 111 and another system 114 for the ventilation ankles 112.
However, it can be established in such a way that the locking and ventilation pins of the frame pivoting around its lower edge are mated and the locking and ventilation pins for the large frame (Fig. 42). ) are also coupled, the two systems and the pegs being controlled by a single handle or a single lever and by an intermediate gear. The mobile systems can be arranged so that a frame is either
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opened before the other or the others, as shown in Fig. 33 which gives a vertical section of the frame 101 of FIG. 32.
The frame 103 rotates around its lower edge is fully open as shown by way of example before the main frame opens. Fig. 34 is also a vertical section of the frame 101 'of FIG. 32, but here the controls are coupled together so that the two frames 102e, t 103 open at the same time. The embodiments shown only form a few examples chosen from among several possibilities.
The frames can be combined in different ways; the mode of distribution of the hinges can be modified and the coupling between the control members can be effected in many different ways.
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