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I1liùCHIUZ POUR DECCuBRR .LE CARTON, LE CUIR ET AUPRES 1iiA:L'Il!;RES EN FEUILLES ######## "¯ # # #
La présente invention concerne une machine perfectionnée pour découper, avec facilité, rapidité et précision, des matières en feuilles, telles que le
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carton, le cuir, certains métaux tendres etc...
Cette- machine assure le découpage simultané d'un certain nombre de feuilles empilées en paquet, les unes sur lcs autres et ceci suivant un contour qui peut être ou- dessiné sur la feuille supérieure exposée à la vue de l'opérateur, ou matérialisé par un modèle ou
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gabarit appliqué contre le paquet de feuilles G,1l1il(s.
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La machine comprend essentiellement un tranchet étroit, fixé rigidement à une bielle qui est d'une part assujettie à passer, avec faculté de coulissement, par un point fixe et d'autre part articulée par une extrémité à un maneton de manivelle ou d'excentrique animé d'un mouvement de rotation continu, grâce à quoi le taillant du tranchet, qui se trouve vers l'autre extrémité de la bielle, au delà du point fixe, est amené à décrire une trajectoire fermée, de forme rappelant celle d'une ellipse dont le grand axe scraitégal au double de l'excentricité du maneton, tandis que son petit axe aurait une longueur déterminée par le rapport entre les distances respectives du taillant et du point fixe vis- à vis de l'axe de rotation du maneton,
La ma.chine comporte une table de travail qui reçoit les feuilles à découper et qui présente une fente de préférence réglable en position, et dans laquelle pénètre l'extrémité du taillant du tranchet.
Suivant une forme de réalisation, la machine comporte également un pied de biche à ressort disposé au-dessus de la table de travail, au voisinage immédiat du tranchet de manière à exercer une certaine pression verticale sur les feuilles dans la région où le tranchet travaille. Ce pied de biche comprend, de préférence , deux branches indépendantes l'une de l'autre, de manière à pouvoir se placer à des niveaux différents et à permettre de découper des feuilles à l'aide d'un gabarit appliqué sur elles. Ce gabarit s'engage avec le paquet de feuilles sous l'une des branches du pied de biche, tandis que l'autre branche appuie seulement sur la partie des faill- les qui dépassent le contour du gabarit.
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Des dispositifs de relevage simultané ou indépendant, des branches du pied de biche, avec faculté d'immobilisation dans la position relevée, sont en outre prévus pour compléter la gamme des modes d'utilisation de la machine.
D'autres particularités secondaires de la machine apparaîtront au cours de la description suivante d'une forme d'éxecution représentée à titre d'exemple aux dessins annexés. Dans ces dessins :
La fig. 1 est une vue en perspective de l'ensemble de la machine.
La fig.2 est une vue de profil de la tête de découpage.
La fig.3 est une vue de face de la tête de découpage,
La fig.4 est une vue en plan du pied de biche
La fig.5 est une coupe du pied de biche suivant la ligne V-V de la fig.4.
La fig.6 est une coupe du pied de biche suivant la ligne VI-VI de la fig.4.
La fig.? est un schéma montrant la trajectoire décrite par le taillant du tranchet au cours du fonction- nement.
Les fig.8 et 10 sont des vues de deux formes de réalisation du taillant du tranchet.
Les fige 9 et 11 sont des coupes suivant les lignes IX-IX et XI-XI respectivement des ig. 8 et 10.
La machine représentée sur la figure 1 est supposée placée sur un établi 11; elle comprend un socle ou table de travail 12 surmontée d'un col de cygne 13 à l'extrémité de laquelle se trouve la tête de découpage 14
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cette tête aboutit un arbre 15 (fig.2) qui est supporté par le col de cygne 13 et qui porte une poulie 16 sur laquelle passe une courroie d'entraînement 17 provenant d'un moteur électrique 18, monté sur ou sans l'établi 11. A'l'extrémité opposée à la tête de découpage, le col de cygne 13 comporte une meule 19 pour l'affûtage du tranchet de découpe. Un embrayage 21 permet à l'arbre 15 d'entraîner cette meule lorsque cela est nécessaire.
La mise en marche et l'arrêt de la machine sont assurés soit à la main par un interrupteur 22 placé sur le col de cygne 13; soit au pied par une pédale 20 qui commande un rhéostat 30 intercalé dans le circuit du moteur 18 et permettant de faire varier la vitesse de la machine.
La tête de découpage, plus spécialement représentée aux figures 2 et -3 comprend comme pièce principale une bielle 23. qui forme à sa partie supérieu- re une fourche 24 entre les branches de laquelle est maintenu un coulisseau de bronze 25 Ce coulisseau forme coussinet pour le maneton 26 d'un excentrique qui termine l'arbre 15 de la machine. L'excentricité du maneton 26 est relativement faible : environ trois millimètres dans les machines courantes.
Le coulisseau 25, déjà guidé dans la fourche 34. est solidaire d'une broche 27 qui traverse librement la fourche 24 dans deux fentes longitudinales et qui sert d'axe de rotation à deux joues 28, réunies par une entre- toise extérieure 29. Chaque joue 28 comporte une fente 31 excentrée par rapport à l'axe 27 et dans ses deux fentes 31 sont engagées les extrémités d'une broche 32 indépen- dante du coulisseau 25 mais solidaire de la fourche 24
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de la bielle 23. Un ressort 33. attaché d'une part à la bielle 23 et d'autre part à l'une des joues S8, rappelle constamment ces dernières dans la position montrée sur les ligures 2 et 3.
La bielle 23 s'étend vers la table de travail 12. et à son dernier tiers inférieur elle traver- se une oreille 34 qui forme vers l'arrière, une tige ho- rizontale 35 maintenue à frottement doux dans une douille 36, fixée au col de cygne 13 de la machine. Cette oreille est retenue contre tout mouvement de coulissement, par des écrous 37, mais elle peut librement tourner autour de l'axe de la tige 35.
Pour éviter que la bielle 23 puisse tourner à l'intérieur de l'oreille 34, cette bielle est munie d'une colonnette 38 légèrement déportée parallèlement et traversant, elle aussi, l'oreille 34.
Au dessus et au desbous de l'oreille 24, la bielle 23 comporte deux colliers ou.bossage 40 dans chacun desquels est pratiquée une fente telle que 39 accompagnée d'une vis de serrage 41; cette disposition permet de fixer à la bielle 23 parallèlement à elle, un tranchet 42 (fig.S) qui se termine à sa partie infé- rieure par untaillant aigu 43 (fig.8 à 11).
A l'aplomb du tranchet 42. la table de travail 12 comporte une pastille d'acier 44, dans laquelle est pratiquée une fente 45 où peut pénétrer le taillant 43 du tranchet 42.
La pastille 44 est maintenue par une bague circulaire filetée 46 dans une platine 47 logée, avec jeu dans la table 12 et fixée par vissage dans un chariot 48 maintenu par un écrou 49 sur une tige 51 susceptible de coulisser horizontalement, dans une portée 52 fixée sous la table 12.
La tige 51 comporte une douille fendue et
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taraudée 53 dans laquelle péné tre l'extrémité filetée 54 d'une autre tige 55, portée par la table 12 et ter- minée par un bouton de manoeuvre 56. La tige 55 peut tourner sur elle-même mais est assurée contre tout mouvement longitudinal par une bague de retenue 57. autour de la douille fendue 53 est disposé un collier 58 muni d'une via 59 dont la tête est engagée dans un trou 61 de la table de travail 12. Cette vis une fois serrée bloque la douille 5 sur la portée filetée 54 de sorte que le chariot 48, la platine 47 et la pastille 44 sont alors immobilisés.
La tête de la machine comporte également un pied de biche formé de deux branches 62 et 63 entre lesquelles passe le tranchet 42, comme le montre la figure 4. La branche du pied de biche 62 comporte un bec d'engagement 65 quelque peu relevé vers le haut (fig.S). A ce bec succède une partie horizontale garnie d'une plaquette 66 qui s'étend contre le franche! 42 suivant une partie en équerre 67 relevée vers le haut.
A son autre extrémité, la branche 62 du pied de biche est fixée à deux tiges parallèles 68 et 69, qui s'engagent dans un bloc 71 porté par une console en équerre 72 fixée au col de cygne 13 par des boulons munis d'écrous 75 (figure 3).
L'autre branche 65 du pied de biche ne comporte pas de bec d'engagement, mais elle est munie d'une plaquette horizontale 74 qui vient s'étendre contre le tranchet 42 suivant une partie en équerre 75 orientée vers le bas (figure 2).
Comme le montre la vue en plan de la figure 4 on voit qu'en avant du tranchet 42 la plaquette 74 forme un redan 76 dont la saillie correspond à l'épais-
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seur du tranchet 42.
De même que la branche 62 du pied de biche, la branche 63 est fixée deux tiges parallèles 77 et 78 engagées dans le bloc 71 déjà décrit.
Comme le montre la vue en coupe de la figure 5 les tiges 68 et 77, sont identiques et sont entourées, à leur partie inférieure, par des douilles entretoises 70 qui pénétrent partiellement dans le bloc 71 et forment ainsi chacune, un épaulement 79, servant d'appui à un ressort 81 encourant la tige et comprimé par un écrou 82 se vissant dans le bloc 71. A leur partie supérieure les deux tiges 68 et 77 sont réunies par une traverse 83. L'articulation de cette traverse sur chacune de ces tiges s'effectue dans une fente telle que 84 de sorte que les mouvements des tiges 68 et 77 peuvent être dans une certaine mesure indépendants.
La traverse 83 est att chée en son milieu à l'extrémité d'un levier de relevage simultané 80, arti- culé à une chape 85 fixée au bloc 71. Un léger ressort 86 rappelle constamment ce levier 80 vers le bas, mais son action est , bien entendu, insuffisante pour vaincre celle des ressorts 81 des tiges.
Les tiges 69 et 78 traversent le bloc 71 et à leur extrémité supérieure elles sont articulées à un levier de relevage individuel 87. Comme le montre la figure 6, l'une de ces articulations s'effectue dans une fente 88 grâce à quoi le mouvement de pivotement du levier 87 peut se traduire en mouvement rectiligne rela- tif des tiges 69 et 78, dans un sens ou dans l'autre.
Ces deux tiges 69 et 78 comportent chacune à l'endroit convenable une gorge 89 ; de plus, entre les tiges 69 et 78, le bloc 71 porte un verrou pivotant 91 dont une extrémité est tronquée en 92 en regard de la ti- ge 69.
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La position du bloc 71 sur la console 72 est, de préférence réglable;à cet effet, comme le montre la figure 5, une vis 92, munie d'un boulon 93 est portée par la console 72, de manière à pouvoir tourner sur elle- même sans mouvement longitudinal; d'autre part cette vis est engagée dans une portée taraudée 94 du bloc 71.
Ainsi la rotation de cette vis se traduit par un coulis- sement du bloc 71 sur la console 72; Une vis de serrage 95 (figure 3) assure l'immobilisation du bloc 71, dans la position convenable.
Le fonctionnement de la machine ainsi décrite est le suivant : le moteur 18 étant mis en marche, par la manoeuvre de l'interrupteur 22 ou de la pédale 20 qui agit sur le rhéostat 30, l'arbre 15 tourne et, avec lui, le maneton excentré 26. La partie supérieure de la bielle 23 décrit donc une trajectoire circulaire ayant pour rayon l'excentricité du maneton.Comme d'autre part, la bielle 23 est assujettie à passer dans l'oreille 34, elle y coulisse alternativement dans un sens et dans l'autre, tandis que l'oreille 34 oscille autour de l'axe dela tige 35.
Tous les points de la bielle décrivent donc des courbes fermées et si l'on considère notamment le taillant 43 du tranchet 42 fixé le long de la bielle, on peut se rendre compte d'après le schéma de la fig.7 que sa trajectoire est une courbe ovale rappelant la forme d'une ellipse dont le grand axe serait égal au diamètre du cercle décrit par le maneton 26 et dont le petit axe est d'autant plus court que le taillant est plus rapproché de l'oreille 34.
La machine met à profit ce mouvement particu- lier du taillant 43 pour découper les matières en feuil- les qu'on fait glisser vers lui, sur la table de travail
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12 dans la direction de' la flèche F des figures 3 et 7 La demi-courbe supérieure constitue la course pendant laquelle la matière est découpée; la demi-courbe inférieure correspond au recul du tranchet que l'opérateur met à profit pour faire avancer la matière et la présenter pour la course de découpe suivante. il est à remarquer que le taillant frotte sur la matière qui vient d'être découpée de sorte que dans sa course de recul, ila ten- dance à entraîner la matière avec lui, si bien que l'effort d'avancement à exercer par l'opérateur est à peu près nul;
l'opérateur n'a donc qu'à guider la matière plutôt qu'à la pousser, il peut aussi concentrer son attention à suivre le contour du dessin ou du gabarit, suivant lequel la matière doit être découpée.
La réaction de la matière sur le tranchet, en- gendre dans la bielle 2;5,un couple de torsion qui tend à la faire tourner dans l'oreille 34 mais qui est contre balancé par la présence de la colonnette 38.
Pendant la course ascendantede l'outil, il est nécessaire que la.matière ne soit pas soulevée. C'est pourquoi, les deux branches 62 et 63 du pied de biche, reuoussées vers la table 12 par les ressorts 81 sont destinées à maintenir la matière sur la table.
Si le contour suivant lequel doit être faite la découpe est simplement destiné sur la feuille supérieure du paquet, les deux branches 62 et 63 restent toujours au même ni- veau.Mais dans la plupart des cas la découpe s'effectue l'aide d'un gabarit de la forme voulue, posé à plat sur le paquet de feuilles; dans ces conditions, la bran- che 62 du pied de biche appuie à la fois sur le gabarit et les feuilles tandis que la branche 63 appuie sur les feuilles seules; elle reste donc à un niveau inférieur,
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'ce. qui justifie l'indépeudance des'deux branches 62 et 63. Suivant les épaisseurs du paquet de feuilles et du gabafit, on règle la pression des branches du pied de biche au moyen des écrous 82.
Au cours de la découpe suivant gabarit,ce dernier doit rester tangent au tranchet 42 sans que celui ci puisse mordre dans le gabarit; c'est dans ce but qu'on a prévu sur la plaquette 74 de la branche 63 le redan 76, contre lequel vient buter le gabarit.Lorsque le contour à découper comporte des courbes rentrantes à faible rayon, il arrive parfois que le gabarit doive s'engager partiel- lement sous la branche 63 du pied de biche, c'est pourquoi la plaquette 74 de cette dernière comporte un rebord 75 dirigé vers le bas; ainsi se trouve ménagé le dégagement nécessaire au passage éventuel du gabarit.
Pour engager la matière sous les branches du pied de biche, au début du travail, on soulève celles-ci simultanément au moyen du levier de relevage 80 en abais- sant celui-ci.
Si la découpe doit se faire à l'intérieur des feuilles, il est nécessaire de relever le tranchet avant de placer les feuilles sur la table 12; pour cette manoeuvre on soulève l'entretoise 29 de manière à faire pivoter les joues 28; grâce aux rampes 31, la bielle et le tranchet se relèvent par rapport au coulissau 23.
après engagement des feuilles à découper sous le pied de biche ,on rabaisse la traverse 29, la biell3 descend et le tranchetperce le paquet de feuilles à l'endroit voul" on peut alors commencer le travail
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Cependant, lorsque la matière est très dure, il est préférable de pratiquer préalablement un trou à l'endroit où le tranchet doit s'engager.
Le pied de biche subit fréquemment, au cours de travail, des pressions dirigées dans le sens transversal.
C'est le cas notamment lorsque le tranchet perce le pa- quet de feuilles comme il vient d'être dit, et a ainsi tendance à fléchir par flambage. De même, lorsque la découpe a lieu suivant gabarit,pour que le tranchet suive bien le contour de ce dernier, l'opérateur doit pousser l'ensemble du paquet de feuilles et du gabarit transver- salement vers le redan 76.
Cependant , il f, ut que dans tous les cas, les deux branches du pied de biche restent bien en place, de part et d'autre du tranchet et parallè- lement à ses faces latérales; c'est pourquoi on a disposé les tiges de guidage 69 et 78. Or, la.'présence de ces tiges est, également, mise à profit pour permettre le relevage permanent de la branche 63 ou des deux bran- ches du pied de biche.
Par exemple, si le gabarit est tellement épais que son passage éventuel sous la branche 63 du pied de biche serait impossible ou si le contour à découper présente des régions où le rayon de courbure est trop faible pour qu'on ne soit pas gêné par le rebord 75 et le redan 76, on agit vers le bas sur le levier 87 jusqu'à ce que la gorge 89 de la tige 78 vienne au niveau du verrou 91 et on fait piioter ce dernier jusqu'à la position figurée en II sur la figure 4.Ce verrou s'en- gage dans la gorge 89 et maintient la branche 63 du pied de biche en position relevée.Comme le verrou 91 est tronqué en 9S, la tige 69 ne gène pas pour effectuer ce pivotement.
Si l'on veut maintenir relevées,simultanément les deux branches du pied de biche,on abaisse le levier
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80 et l'on fait pivoter le verrou 91 jusqu'à la position III de la figure 4, ce verrou s'engage alors dans les deux gorges 89 des tiges 69 et 78 et maintient le pied de biche relevé. Dans cette position, on peut procéder, avec quelques précautions, au découpage, à vue, de la matière en feuilles.
Pour la position I du verrou 91, le pied de biche est libre de laire pression sur les feuilles à découper.
Pour que la découpe soit franche et que la par- tie utile des feuilles découpées soit exempte de bavure, il est essentiel que la face du franche! 42 regardant vers la droite de la figure 2 soit bien en contact avc la paroi correspondante de la fente 45 de la pastille 44; de cette façon, si une bavure se forme elle sera sur le déchet et ne présentera pas d'inconvénient. Pour obtenir ce résultat, on doit amener la pastille 44 dans la posi- tion voulue par rapport au tranchet 42 et après desserrage de la. vi s 59 on agit sur le bouton 56 pour faire coulisser le chariot 48 dans le sens voulu et de la longueur conve- nable.Lorsque la position voulue de la pastille 44 est atteinte on resserre la vis 59 pour immobiliser toutes les pièces.
De même, pour l'obtention d'un travail satisfai- sant, le tranchet 42 doit passer juste entre les plaquet- tes 66 et 74 du pied de biche (fig.4) on obtient ce résul- tat en ajustant la position du pied de biche et ceci, sn agissant sur le bouton 93 après avoir desserré la vis de blocage 95 (figure 3); le bloc 71 se replace jusqu'à la position voulue et il ne reste plus qu'à resserrer la vis 95.
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Lorsqu'on découpe du carton ou du cuir, on utilise un tranchât dont le taillant est simplement cou- pant comme le montrent les figures 8 et 9 ; si la manière à découper est plus résistante comme c'est le cas lors- qu'il s'agit de carton bakelisé, ou de métaux tendres: zinc, aluminium, laiton, cuivre, acier doux etc.,il est préférable d'utiliser un tranchet dont le taillant, repré sente en 96 sur les figures 10 et 11, est en forme de scie; la figure 11 montre qu'une certaine "voie" est assurée à la scie ainsi réalisée.
Il est biem entendu que l'invention n'est pas limitée exclusivement à l'exemple qui vient d'être décrit et que, sans pour cela sortir de son cadre général on pourra apporter à la construction de la machine toutes les modifications de détail qui seraient jugées néces- saires.
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I1liùCHIUZ TO DECCuBRR. THE CARDBOARD, LEATHER AND NEAR 1iiA: The Il!; RES IN SHEETS ######## "¯ # # #
The present invention relates to an improved machine for cutting, with ease, speed and precision, sheet materials, such as
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cardboard, leather, certain soft metals etc ...
This machine ensures the simultaneous cutting of a certain number of sheets stacked in bundles, one on top of the other and this following an outline which can be drawn on the upper sheet exposed to the view of the operator, or materialized by a model or
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template applied against the packet of sheets G, 1l1il (s.
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The machine essentially comprises a narrow slicer, rigidly fixed to a connecting rod which is on the one hand subject to pass, with the ability to slide, by a fixed point and on the other hand articulated at one end to a crank or eccentric crank pin. animated by a continuous rotational movement, thanks to which the cutting edge of the cutter, which is towards the other end of the connecting rod, beyond the fixed point, is caused to describe a closed trajectory, of shape reminiscent of that of a ellipse whose major axis is equal to twice the eccentricity of the crankpin, while its minor axis would have a length determined by the ratio between the respective distances of the cutting edge and the fixed point with respect to the axis of rotation of the crankpin,
The machine has a work table which receives the sheets to be cut and which has a slot which is preferably adjustable in position, and into which the end of the cutting edge of the slicer enters.
According to one embodiment, the machine also comprises a spring-loaded presser foot arranged above the work table, in the immediate vicinity of the slicer so as to exert a certain vertical pressure on the sheets in the region where the slicer is working. This presser foot preferably comprises two independent branches, so as to be able to be placed at different levels and to allow sheets to be cut using a template applied to them. This template engages with the bundle of leaves under one of the branches of the presser foot, while the other branch only presses on the part of the flaps which go beyond the outline of the template.
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Simultaneous or independent lifting devices for the branches of the presser foot, with the option of immobilizing in the raised position, are also provided to complete the range of modes of use of the machine.
Other secondary features of the machine will become apparent from the following description of an embodiment shown by way of example in the accompanying drawings. In these drawings:
Fig. 1 is a perspective view of the whole machine.
Fig.2 is a side view of the cutting head.
Fig. 3 is a front view of the cutting head,
Fig. 4 is a plan view of the presser foot
Fig. 5 is a cross section of the presser foot along the line V-V in fig. 4.
Fig.6 is a section of the presser foot along line VI-VI of fig.4.
Fig.? is a diagram showing the trajectory described by the cutting edge of the cutter during operation.
Fig.8 and 10 are views of two embodiments of the cutting edge of the slicer.
Figs 9 and 11 are sections along lines IX-IX and XI-XI respectively of ig. 8 and 10.
The machine shown in Figure 1 is assumed to be placed on a work bench 11; it comprises a base or work table 12 surmounted by a swan neck 13 at the end of which is the cutting head 14
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this head ends in a shaft 15 (fig. 2) which is supported by the gooseneck 13 and which carries a pulley 16 on which passes a drive belt 17 coming from an electric motor 18, mounted on or without the workbench 11. At the end opposite the cutting head, the gooseneck 13 has a grinding wheel 19 for sharpening the cutting knife. A clutch 21 allows the shaft 15 to drive this grinding wheel when necessary.
The starting and stopping of the machine are ensured either manually by a switch 22 placed on the gooseneck 13; or at the foot by a pedal 20 which controls a rheostat 30 interposed in the circuit of the motor 18 and making it possible to vary the speed of the machine.
The cutting head, more especially shown in FIGS. 2 and -3 comprises as main part a connecting rod 23. which forms at its upper part a fork 24 between the branches of which is held a bronze slide 25. the crankpin 26 of an eccentric which terminates the shaft 15 of the machine. The eccentricity of the crankpin 26 is relatively low: around three millimeters in current machines.
The slider 25, already guided in the fork 34, is integral with a pin 27 which freely passes through the fork 24 in two longitudinal slots and which serves as an axis of rotation with two cheeks 28, joined by an external spacer 29. Each cheek 28 comprises a slot 31 eccentric with respect to the axis 27 and in its two slots 31 are engaged the ends of a pin 32 independent of the slide 25 but integral with the fork 24.
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of the connecting rod 23. A spring 33. attached on the one hand to the connecting rod 23 and on the other hand to one of the cheeks S8, constantly recalls the latter in the position shown in figures 2 and 3.
The connecting rod 23 extends towards the work table 12. and at its last lower third it passes through a lug 34 which forms towards the rear a horizontal rod 35 held gently in a socket 36, fixed to the lug. gooseneck 13 of the machine. This ear is retained against any sliding movement, by nuts 37, but it can freely rotate around the axis of the rod 35.
To prevent the connecting rod 23 from being able to rotate inside the lug 34, this connecting rod is provided with a column 38 slightly offset parallel and also passing through the lug 34.
Above and below the ear 24, the connecting rod 23 comprises two collars ou.bossage 40 in each of which is made a slot such as 39 accompanied by a clamping screw 41; this arrangement makes it possible to attach to the connecting rod 23 parallel to it, a cutter 42 (fig.S) which ends at its lower part with a sharp cutting edge 43 (fig.8 to 11).
Plumb with the slicer 42. the work table 12 comprises a steel pellet 44 in which a slot 45 is made where the cutting edge 43 of the slicer 42 can penetrate.
The pellet 44 is held by a threaded circular ring 46 in a plate 47 housed, with play in the table 12 and fixed by screwing in a carriage 48 held by a nut 49 on a rod 51 capable of sliding horizontally, in a fixed bearing surface 52 under the table 12.
The rod 51 has a split sleeve and
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threaded 53 in which penetrates the threaded end 54 of another rod 55, carried by the table 12 and terminated by an operating button 56. The rod 55 can turn on itself but is secured against any longitudinal movement by a retaining ring 57. around the split sleeve 53 is disposed a collar 58 provided with a via 59 whose head is engaged in a hole 61 of the work table 12. This screw, once tightened, locks the sleeve 5 on the threaded bearing surface 54 so that the carriage 48, the plate 47 and the pad 44 are then immobilized.
The head of the machine also has a presser foot formed of two branches 62 and 63 between which the cutter 42 passes, as shown in FIG. 4. The branch of the presser foot 62 has an engagement spout 65 which is somewhat raised towards the top (fig.S). This nozzle is followed by a horizontal part furnished with a plate 66 which extends against the frank! 42 following an angled part 67 raised upwards.
At its other end, the branch 62 of the presser foot is fixed to two parallel rods 68 and 69, which engage in a block 71 carried by a square bracket 72 fixed to the gooseneck 13 by bolts fitted with nuts 75 (figure 3).
The other branch 65 of the presser foot does not have an engagement spout, but it is provided with a horizontal plate 74 which extends against the slicer 42 along an angled portion 75 facing downward (Figure 2 ).
As shown in the plan view of FIG. 4, it can be seen that in front of the slicer 42, the plate 74 forms a step 76 whose projection corresponds to the thick-
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slicer 42.
Like the branch 62 of the crowbar, the branch 63 is fixed two parallel rods 77 and 78 engaged in the block 71 already described.
As shown in the sectional view of Figure 5, the rods 68 and 77 are identical and are surrounded, at their lower part, by spacer sleeves 70 which partially penetrate into the block 71 and thus each form a shoulder 79, serving support for a spring 81 driving the rod and compressed by a nut 82 screwed into the block 71. At their upper part, the two rods 68 and 77 are joined by a cross member 83. The articulation of this cross member on each of these rods takes place in a slot such as 84 so that the movements of rods 68 and 77 can be to some extent independent.
The cross member 83 is attached in its middle to the end of a simultaneous lifting lever 80, articulated to a yoke 85 fixed to the block 71. A light spring 86 constantly recalls this lever 80 downwards, but its action is, of course, insufficient to overcome that of the springs 81 of the rods.
The rods 69 and 78 pass through the block 71 and at their upper end they are articulated to an individual lifting lever 87. As shown in figure 6, one of these articulations takes place in a slot 88 whereby the movement. of pivoting of the lever 87 can be translated into a relative rectilinear movement of the rods 69 and 78, in one direction or the other.
These two rods 69 and 78 each have a groove 89 at the appropriate location; furthermore, between the rods 69 and 78, the block 71 carries a pivoting latch 91, one end of which is truncated at 92 opposite the rod 69.
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The position of the block 71 on the console 72 is preferably adjustable; for this purpose, as shown in Figure 5, a screw 92, provided with a bolt 93 is carried by the console 72, so as to be able to turn on it. - even without longitudinal movement; on the other hand, this screw is engaged in a threaded bearing surface 94 of the block 71.
Thus the rotation of this screw results in a sliding of the block 71 on the console 72; A tightening screw 95 (FIG. 3) secures the immobilization of the block 71, in the suitable position.
The operation of the machine thus described is as follows: the motor 18 being started, by the operation of the switch 22 or of the pedal 20 which acts on the rheostat 30, the shaft 15 rotates and, with it, the Eccentric crankpin 26. The upper part of the connecting rod 23 therefore describes a circular path having for radius the eccentricity of the crankpin. As on the other hand, the connecting rod 23 is subjected to pass through the lug 34, it slides there alternately in a direction and the other, while the ear 34 oscillates around the axis of the rod 35.
All the points of the connecting rod therefore describe closed curves and if we consider in particular the cutting edge 43 of the cutter 42 fixed along the connecting rod, we can see from the diagram in fig. 7 that its trajectory is an oval curve recalling the shape of an ellipse, the major axis of which would be equal to the diameter of the circle described by the crankpin 26 and the minor axis of which is all the shorter as the cutting edge is closer to the ear 34.
The machine takes advantage of this particular movement of the cutting edge 43 to cut the material in sheets which one slides towards it, on the work table.
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12 in the direction of arrow F of Figures 3 and 7 The upper half-curve constitutes the stroke during which the material is cut; the lower half-curve corresponds to the backward movement of the slicer that the operator uses to advance the material and present it for the next cutting stroke. it should be noted that the cutting edge rubs on the material which has just been cut so that in its recoil stroke, it tends to drag the material with it, so that the forward force to be exerted by the operator is almost zero;
the operator therefore only has to guide the material rather than pushing it, he can also concentrate his attention on following the outline of the drawing or the template, according to which the material is to be cut.
The reaction of the material on the slicer, generates in the connecting rod 2; 5, a torque which tends to make it turn in the lug 34 but which is counterbalanced by the presence of the column 38.
During the upward stroke of the tool, the material must not be lifted. This is why the two branches 62 and 63 of the presser foot, pushed towards the table 12 by the springs 81 are intended to hold the material on the table.
If the contour along which the cut is to be made is simply intended for the top sheet of the packet, the two branches 62 and 63 always remain at the same level. But in most cases the cut is made using a template of the desired shape, laid flat on the packet of sheets; under these conditions, the branch 62 of the crowbar presses both on the template and the leaves while the branch 63 presses on the leaves alone; it therefore remains at a lower level,
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'this. which justifies the independence of the two branches 62 and 63. Depending on the thickness of the packet of leaves and the template, the pressure of the branches of the crowbar is adjusted by means of the nuts 82.
During the cutting according to the template, the latter must remain tangent to the cutter 42 without the latter being able to bite into the template; it is for this purpose that the step 76 has been provided on the plate 74 of the branch 63, against which the jig abuts. When the contour to be cut comprises re-entrant curves with a small radius, it sometimes happens that the jig must engage partially under the branch 63 of the presser foot, this is why the plate 74 of the latter has a flange 75 directed downwards; This provides the necessary clearance for the possible passage of the template.
To engage the material under the branches of the presser foot, at the start of work, they are simultaneously raised by means of the lifting lever 80, lowering the latter.
If the cutting must be done inside the sheets, it is necessary to raise the slicer before placing the sheets on the table 12; for this maneuver, the spacer 29 is raised so as to cause the cheeks 28 to pivot; thanks to the ramps 31, the connecting rod and the cutter are raised relative to the slide 23.
after engagement of the sheets to be cut under the presser foot, the cross member 29 is lowered, the rod 3 descends and the slicer pierces the packet of sheets at the desired location "we can then begin work
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However, when the material is very hard, it is preferable to make a hole beforehand where the slicer must engage.
During work, the presser foot is frequently subjected to pressure directed in the transverse direction.
This is the case in particular when the slicer pierces the bundle of sheets as has just been said, and thus has a tendency to bend by buckling. Likewise, when the cutting takes place according to the template, so that the slicer follows the contour of the latter, the operator must push the whole of the packet of sheets and the template transversely towards the step 76.
However, it f, ut that in all cases, the two branches of the crowbar remain in place, on either side of the slicer and parallel to its side faces; this is why the guide rods 69 and 78 have been arranged. However, the presence of these rods is also used to allow the permanent lifting of the branch 63 or of the two branches of the presser foot. .
For example, if the template is so thick that its possible passage under the branch 63 of the presser foot would be impossible or if the contour to be cut has regions where the radius of curvature is too small so that one is not hampered by the flange 75 and step 76, the lever 87 is acted downwards until the groove 89 of the rod 78 comes to the level of the latch 91 and the latter is made to pin until the position shown in II on the figure 4. This lock engages in the groove 89 and maintains the branch 63 of the presser foot in the raised position. As the lock 91 is truncated in 9S, the rod 69 does not interfere with performing this pivoting.
If you want to keep both branches of the presser foot raised simultaneously, you lower the lever.
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80 and the lock 91 is pivoted to position III of FIG. 4, this lock then engages in the two grooves 89 of the rods 69 and 78 and keeps the presser foot raised. In this position, one can proceed, with some precautions, to cutting, visually, the material into sheets.
For position I of the lock 91, the presser foot is free from the pressure on the sheets to be cut.
In order for the cut to be clean and the useful part of the cut sheets to be free of burrs, it is essential that the face of the cut! 42 looking to the right of Figure 2 is in contact with the corresponding wall of the slot 45 of the patch 44; this way, if a burr forms it will be on the waste and will not present a problem. To obtain this result, the pellet 44 must be brought into the desired position relative to the slicer 42 and after loosening of the. vi s 59 we act on the button 56 to slide the carriage 48 in the desired direction and the appropriate length. When the desired position of the pad 44 is reached, the screw 59 is tightened to immobilize all the parts.
Likewise, to obtain a satisfactory job, the slicer 42 must pass just between the plates 66 and 74 of the presser foot (fig. 4). This result is obtained by adjusting the position of the foot. doe and this, by acting on the button 93 after having loosened the locking screw 95 (figure 3); the block 71 is replaced to the desired position and all that remains is to tighten screw 95.
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When cutting cardboard or leather, a slicer is used, the edge of which is simply cutting as shown in Figures 8 and 9; if the way to cut is more resistant as is the case with bakelized cardboard, or soft metals: zinc, aluminum, brass, copper, mild steel etc., it is preferable to use a slicer whose cutting edge, shown at 96 in Figures 10 and 11, is saw-shaped; Figure 11 shows that a certain "way" is provided to the saw thus produced.
It is understood that the invention is not limited exclusively to the example which has just been described and that, without departing from its general framework, it is possible to make to the construction of the machine all the modifications of detail which would be deemed necessary.