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"MISE EN CONCORDANCE DE FILMS CINEMATOGRAPHIQUES''
Dans différents procédés de cinématographie en couleur, il est nécessaire de mettre en concordance plusieurs films à séparation des couleurs avec un seul film composite.
.ainsi, dans le procédé à imbibition, on tire successivement un film vierge avec des matrices à couleurs séparées de façon à former un @film composite et, dans le cas d'un film composite à plusieurs couches dont les couches sensibilisées de façon différente sont réunies les unes aux autres au moyen d'un adhésif.transparent, une fois que le film a été exposé et développé, on a proposé de transférer les couches sur des bases séparées e façon à former des films à couleurs séparées, le transfert'impliquant la mise'en concordance'suc- cessive des bases séparées-avec le film composite, avant d'en enlever les couche.
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La meilleure façon d'obtenir la mise en concordance ci-dessus consiste à amener les films ensemble sur une courroie sans fin ou autres-transporteur muni de dents qui s'a- daptent dans les trous d'entraînement des films et circulent suivant un trajet fermé. On a trouvé toutefois que, malgré le plus rnd soin pris pour faire le support, la position des dents sur ce support varie légèrement sur sa longueur ce qui donne lieu à des erreurs de mise en concordance. Dans le tirage par imbibition, l'erreur fait que les tirages superposés, effectués à partir de matrices à séparation des couleurs sur le film composite, ne concordent pas exactement ce qui provo- que des franges de couleur et un manque de netteté.
En trans- férant des coucheâ d'images d'un film composite à plusieurs couches pour faire des films à couleurs séparées ou à sépara- tion des couleurs, l'erreur fait que les images correspondan- tes sur-les pellicules à séparation des couleurs ne sont pas dans la même relation par rapport à leurs trous d'entraînement voisins. En conséquence., lorsqu'on utilise des films à sépara- tion des couleurs pour donner des tirages composites', par imbibition ou autrement, les tirages superposés ne sont pas 'exactement en concordance.
La présente invention a pour but'de remédier aux difficultés ci-dessus de mise en concordance et d'obtenir celles-ci de façon parfaite malgré le manque d'uniformité inévitable des dents successives sur la longueur d'une cour- roie ou d'un autre transporteur de mise en concordance com- portant une série de dents sans fin.
Suivant une des caractéristiques de l'invention, celle-ci est relative à un procédé de mise en concordance successive de plusieurs films comportant une suite d'enregis- trements correspondants sur une courroie sans fin ou autre transporteur circulant en circuit fermé et muni d'une suite de dents de mise en concordance venant en prise dans les trous d'entraînement des films, le procédé consistant à amener les films sur le support de façon que les mêmes dents viennent en p rise dans les trous des différents'films correspondant aux mêmes enregistrements des suites respectives, de sorte qu'un manque d'uniformité dans les dents successives à un effet correspondantdans la mise en concordance,des différents films.
Suivant une caractéristique plus précise, le procédé consiste à-amener successivement les films à séparation des couleurs au contact d'un'film composite, sur les dents de mise en concordance ci-dessus,.de façon que les trous d'entraînement correspondants des différents'films soient en prise sur les mêmes dents. Suivant une caractéristique encore plus particu-
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lière,. le procédé consiste à amener les films à séparation des couleurs au contact d'un film composite en différents endroits sur le trajet des dents du.'transporteur mais avec les mêmes dents en-prise dans les trous d'entraînement des différents films à séparation des,couleurs comme on l'a dit ci-dessus.
Lorsqu'on transfère les différentes couches d'un film composite à plusieurs couches sur d'autres,bases de façon à faire des films à séparation- des couleurs, les bases sont amenées sur le transporteur à des endroits successifs, de préférence entre lè transporteur et le film composite et, dans le cas du tirage par imbibition, les matrices sont amenées sur,le transporteur en des endroits,successifs, de préféren- ce avec .le 'film composite entre le transporteur et les matrices respectives. Alors-que le film composite peut continuer avec le transporteur au delà des dits endroits, on retire de pré- férence le'film composite de sur le transporteur avec chacun des films à séparation dès couleurs et-on le ramène au transporteur avec le film à 'séparation des couleurs' suivant.
Lorsqu'on transfère-les couches d'un film à plusieurs couches, la couche à.enlever est de préférence quelque peu détachée avant que le film composite soit amené sur le transporteur, le détachage étant suffisant. pour permettre à la.couche de s'enlever de sur le film composite mais non suffisant pour qu'elle puisse se déplacer latéralement. Si le traitement pré- liminaire auquel le film composite est soumïs avant de l'a- mener au support affecte sensiblement le film portant les couches d'images, les bases des films à séparation des couleurs sont de préférence soumises au même traitement de telle sorte qu'elles sont affectées de la.même façon.
Par exemple, si le traitement préliminaire est un traitement par un liquide qui provoque l'allongement des films,. il faut soumettre à la fois le film composite et les films à séparation des cou- leurs au même traitement de manière qu'il s'allonge de la même façon.
L'invention porte'également sur,un appareil compor- tant une courroie sans fin ou autre transporteur-muni d'une suite de dents dé mise en concordance venànt en prise dans -les trous d'entraînement.du film, avec des-moyens permettant d'amener successivement des films à séparation des couleurs au contact du film composite sur les dents d'enregistrement, de façon que des trous d'entraînement'correspondants des diffé- rents films viennent en prise.sur les mêmes dents de telle sorte qu'un manque d'uniformité, des dents sur la longueur du transporteur donne un effet correspondant dans la mise en concordance des différents films à séparation des couleurs avec le film composite.
Suivant une caractéristique plus
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particulière, les moyens servant à amener les films à sépa- ration des couleurs sur le transporteur sont répartis en des endroits distants les uns des autres sur le circuit fermé du transporteur. titre d'exemple, on a représenté des formes de réalisation typiques de l'invention @ sur le dessin annexé dans lequel :
La figure 1 est une vue schématique d'un appareil de séparation servant à transférer des couches d'images d'un .film composite sur des bases séparées de façon à faire des films à séparation des couleurs.
Les figures 2 à 9 sont des coupes suivant les lignes 2 à 9 de la figure 1, certaines parties étant en arrachement.
La figure 10 est une vue schématique d'un appareil de tirage par imbibition.
La figure 11 est une coupe suivant la ligne 11-11 de la figure 10.
On a représenté sur la figure 3 un type de,film composite convenant pour être utilisé sur la machine à séparer de la figure 1. Ce type comporte une base ordinaire 6 avec trois couches d'émulsion 7, 8 et 9, la couche 2 étant montée en permanence sur la base à la façon habituelle, la couche 8 étant montée sur la couche 7 au moyen d'un adhésif soluble dans l'alcool et la couche .2 étant montée sur la couche 8 au moyen d'un adhésif soluble dans l'eau. De cette façon, on peut détacher la couche .2 avec de l'eau, sans détacher la couche 8 et l'on peut ensuite enlever la couche ¯8 sans détacher la couche 7. Toutefois, il est bien entendu que la présente invention, au moins dans son acception la plus large, est indépendd.nte du mode de réalisation particulier du film composite.
Comme cela est représenté sur la figure 6, la matière de base séparée 10 sur laquelle les couches d'é- mulsion doivent être transférées peut comporter une base de film cinématographique ordinaire.
La forme de réalisation particulière de l'invention choisie comme xemple sur les figures 1 à 9 comporte deux tambours ou poulies 11 sur lesquels passe une courroie Jans fin 12 sur les bords de laquelle se trouvent des rangées d'ergots ou de dents de mise en concordance 13, s'adaptant dans les trous d'entraînement des films. Bien que les dents puissent être montées sur la courroie de diff érentes'façons, elles s'adaptent de préférende dans des perforations de la courroie-correspondant aux perforations des films, avec des têtes 14 portant contre le dos de la courroie. De pré- férence, la courroie et les dents sont en métal et les têtes 14 sont.soudées au dos de la courroie.
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Comme cela est représenté sur la figure 1, le film composite 6 arrive dans la machine en venant d'une
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bobine 16 et la matière de base non-recoliverte 10 vient d'une bobine 17, le film 10 étant amené à'la-courroie entre une paire de rouleaux 18 qui appliquent solidement le film sur la courroie avec les-dents 13 passant dans-les trous d'entraî- nement du film et le film composite 6 étant amenée à la cour-
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roie, entre une paire analogue de rouleaux d'applieation-19, en le superposant au,film 10.
En venant à la courroie, le film composite passe dans-un'bac à eau 20 de façon à ramollir l'adhésif compris entre les couches 8 et 9, le film circulant en zig-zag sur'des'paires opposées de rouleaux de.guidage 21 'pour donner le temps à l'eau de'-ramollir un peu l'adhésif, ,
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mais pas'suffisamment' pouifla couche se déplace avant que le' ' film composite soit appliqué sur la courroie.
Etant.donné que le film peut a,-illà4sor légèrement nous 3.'otion de l'eau,, la base 10-10 est soumise-au même traitement en circulant en zig-zag sur des i]0)x analogues de-ronleaox 22-de sorte¯ que les deux films sont également''affectés. La courroie pénètre dans le bac à eau et en sort par des -fentes étroites qui ne donnent lieu qu'à de légères fuites lesquelles sont.continuellement compensées par une alimentation.appropriée. Après que la cour- roie est sortie du bain, les films sont encore serrés l'un sur l'autre et contre ,la courroie à .l'aide d'une autre paire de rouleaux d'application 23. Lorsque la courroie commence à
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tourner sur le tambourll;wun autre rouleau 25. serre étroite- ment les films contre la courroie.
Dans la partie courbe du trajet de la courroie, sur environ 180 du pourtour du tambour,, 'les dents de la courroie s'écartent en.éventail en appliquant les films plus étroitement l'un sur l'autre. Une fois que les films ont été ainsi soumis -au traitement liquide puis serrés- ensemble sur .la courroie, ils'se déplacent avec'celle-ci sur .
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une distance suffisante pour que la.
couche supénïe'ure'ji - achère plus solidement sur-la nquvelle 'base 10,,que sur la couche inférieure'S, la couche 2 adhérant à -la nouvelle base, du fait de la' nature collante.-de la gélatine ou autre matière qui s'est formée dans la couche du.'fait du traitement préala-'
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blé par 1'eatr Par suite,- lorsque les films se déplacent sur la courroie, ils sont maintenus en concordance exacte par les dents de la courroie'tandis'que la couche .2 est transférée 'du film composite sur. la'base ²le
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Une fois. que la couche g,a été solidement fixée.sur la nouvelle base, les deux filmas quittent la courroie sur un
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rouleau 26, -ils passen6' e.ntre ceux rouleaux 27 sur lesquels les deux films se séparent, 'le,film composite 6 avec les couches restantes 7¯ 'et 8 (figure 4) s'en allant à droite et la
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base 10 avec la couche 2 (figure 7) allanb à gauche. Le film 10 va et vient sur es paires de rouleaux de guidage 28 placées dans un compartiment de séchage 29 jusqu'à ce que le film soit sec, puis il s'enroule sur une bobine réceptrice 30.
Le film composite 6 vaet vient sur des paires de rouleaux ne guidage 31 dans le compartiment de séchage, puis passe sur des rouleaux de guidage 32 et 33 pour aller à un deuxième poste où il est ramené sur la courroie en étant superposé à une nouvelle base 34 (figure 8) sur laquelle 1- couche 8 doit être transférée.
Au deuxième poste, se trouve un bac 35 correspondant au bac 20 du premier poste et servant à mouiller de la même façon les deux filme. Si la coucne est réunie à la couche 7 à l'aide d'un adhésif soluble dans l'alcool, le bac 35 con- tient de l'alcool. Le film vierge 34 arrive dans le bac en venant d'une bobine d'alimentation 36, il va et vient sur des paires de rouleaux de guidage 37 puis arrive sur la cour- roie entre deux rouleaux de serrage 38. Le film composite 6 va et vient sur des paires de rouleaux de guidage 39 puis arrive sur la courroie en se superposant à la base 34 entre deux rouleaux de guidage 40.
Après sortie du bac 35, la cour- roie passe entre deux rouleaux de serrage 41, sous un autre rouleau de serrage 42, tourne sur le tambour de gauche 11, puis parcourt une distance suffisante pour permettre à la couche 7 d'adhérer solidement à la nouvelle base 34 après quoi les deux films quittent la courroie sur le rouleau de guidage 43 pour aller à deux rouleaux de guidage 44 où les deux films se séparent. Le film composite 6 sur lequel ne reste plus que la couche 7¯ (figure 5) va à gauche'dans un compartiment de séchage 45 puis sur une bobine d'enroulement 46 et la base 34 avec la couche 8 qui y adhère (figure 9) va à droite dans le compartiment de séchage, puis à la bobine ré- ceptrice 47.
De cette façon, le film composite de la figure 3 est converti en trois filme à séparation de couleurs, repré- sentés sur les figures 5, 7 et 9.
L'appareil de tirage par imbibition représenté sur les figures 10 et 11 comporte deux tambours ou poulies 51 avec une courroie 52 à dents, analogue à la courroie 12 de la figure 1, passant sur ces tambours. Le film vierge 53, à imprimer par imbibition à partir des matrices 54 et vient d'une bobine 56 en traversant un bac à eau 57, puis va à la courroie 52 entre des rouleaux d'application 58. La matrice 54 vient d'une bobine 59, en passant dans un bac 60 contenant un colorant de couleur appropriée, puis dans un bac de lavage 61 de façon à enleyer le colorant adhérant superficiellement à la surface du film, il passe dans le bac à eau. 57 et va de
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là à la courroie 52, entre les rouleaux d'application 62.
La face garnie du film 53 est'située à l'opposé de la courroie et le côté d'impression de la matrice 54 est du côté de la courroie de sorte que les deux films sont serrés face à face par les rouleaux d'applications'62. Après être sortis du bac 57,les deux films sont encore serrés l'un sur l'autre par deux rouleaux de serrage 63 puis par un rouleau de serrage unique 64. Une fois que les deux films ont circulé en contact sur une distance suffisante pour que le colorant ait été transféré par imbibition de la matrice sur le film vierge, les deux films quittent la courroie sur un rouleau de guidage 65 et, de là, vont entre deux rouleaux 66 où les films se sé- parent. La matrice 54 va et vient' alors sur des paires de rouleaux de guidage opposés dans le compartiment de séchage puis va à la bobine d'enroulement 68.
Après avoir circulé -entre des paires de rouleaux de guidage opposées dans le compartiment de séchage, le film 53. va, en passant sur d'autres rouleaux de guidage 69 et 70 dans uh autre bac à eau 71 dans lequel il est,à nouveau mis en état pour recevoir un tirage par imbibition, avant.'de revenir à la courroie entre les rouleaux de serrage 73' Après être passée dans des bacs à colorant et de lavage'correspondants à 60 et 61, la deuxième matrice 55 arrive dans le bac 71 sur la courroie 52 entre les rouleaux d'application 72. Après être sortis du bac 71, les films sont encore serrés-l'un sur l'autre par les rouleaux d'application 74 et le rouleau de serrage 75.
Après avoir continué àcirculer au contact l'un de l'autre sur une certaine longueur de courroie suffisante pour effectuer le transfert du colorant, les deux films quittent la courroie sur un rou- leau 76 pour aller à une paire de rouleaux 77 où les deux films se séparent, le film tiré 53 passant dans le comparti- ment de séchage 78 pour.aller à la bobine d'enroulement 79 et la matrice 55 passant dans le compartiment de séchage pour aller à une bobine d'enroulement 80:
De cette façon, le film composite 53 est tiré avec deux séries d'images de couleurs complémentaires à partir de matrices 54 et 55 à séparation des-couleurs.
Au lieu qu'il n'y ait que deux séries d'images,- on peut imprimer trois sé- ries de couleurs différentes, auquel cas la courroie peut passer sur deux paires de tambours en forme d'une double bou- cle ou trois tambours peuvent être placés aux trois coins d'un triangle de sorte qu'en'passant d'un tambour à un autre la courroie passe successivement sûr les trois côtés du triangle, un film à séparation de couleur-étant amené à la courroie suivant chacun des trois côtés du.triangle.
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Selon l'invention, les films à séparation des cou- leurs sont amenés au contact, du film composite sur ladite courroie de façon telle que des trous d'entraînement corres- pondants des films différents viennent en prise sur les mêmes dents de la courroie. Ainsi, sur la figure 1, les dents qui viennent en prise dans les trous du filin composite 6 contigus à chaque image viennent également en prise avec les trous d'entraînement des deux films à séparation des cou- leurs 10 et 34 contigus à des scènes correspondantes.
Par exemple, les films 6 et 34 sont amenés sur la courroie à l'endroit des rouleaux d'application 40 de façon que les dents qui viennent en prise avec les trous d'entraînement des deux films contigus à la première image soient les mêmes que celles qui viennent en prise avec les films 6 et 10 sur les rouleaux d'application 19 contigus à la première image de la première scène du film 6. Evidemment, il -en est de même pour chacune des images successives de toute-la série.
De même, dans le procédé de tirage par imbibition représenté sur la figure 10, les matrices sont amenées à la courroie de façon que les dents qui viennent en prise avec les trous d'entraînement de la première matrice contigus à la première image soient les mêmes que celles qui viennent en prise avec les trous d'entraînement de chacune des matrices successives, contigus à la première image.
Une des façons permettant d'identifier les diffé- rentes dents consiste à appliquer des numéros sur la courroie, par exemple un numéro à chaque dent ou un numéro pour chaque groupe de dents correspondant à la longueur d'une image. Tou- tefois, en pratique, il est, en général, suffisant de marquer une dent ou une paire de dents, par exemple en donnant à celle-ci une couleur distinctive auquel cas chacun des films peut être amené à la courroie de façon que cette dent ou paire de dent particulière soit en regard de la première image de chaque film. Si on le désire, on peut utiliser comme marque le raccord réunissant les deux extrémités de la courroie.
Dans le cas de négatifs pack intégral, les diffé- rents enregistrements en couleur des couches respectives doi- vent en général être développés de façon différente. Par exemple, il peut être bon d'utiliser des solutions de déve- loppement différentes et/ou des temps de développement différents. Ceci peut facilement se faire, selon l'invention, en développant les couches respectives après les avoir trans- férées sur leurs nouvelles bases.
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Il est bien entendu que la description ci-dessus n'est donnée qu'à titre d'exemple et que l'invention comporte toute modifications ou variante conforme à son e-sprit.