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MEMOIRE DESORITTIF déposé à l'appui d'une demande de BREVET !7 r IIi.tI iT'TGD1 par la société anonyme : "Société Belge des Bétons" "Cintre pour ouvrage en béton"
La présente invention est relative à un cintre pour ouvrage en béton, destiné à être incorporé à l'ouvrage après mise en place du béton frais.
Dans le présent brevet, le mot "cintre" désigne un appareil porteur s'étendant entre deux appuis et servant à la sustentation du béton frais mis en oeuvre à. 1'emplacement de ].'ouvrage.
La sustentation peut se faire sans appuis intermé- diaires. Le cintre d'un ouvrage selon l'invention peut présen- ter des contours rectilignes ou courbes selon les formes extérieures de l'ouvrage à réaliser.
Afin de faciliter la réalisation d'un cintre de ce genre, il est prévu de le constituer de poutres jumelées à une certaine distance l'une de l'autre et présentant l'une vers l'autre un rebord formant le fond d'un caisson ouvert vers le haut dans lequel le béton doit être mis en place.
La présente invention est également relative à un cintrepour ouvrage en béton constitué de nervures solidaires @
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d'un hourdis .qui les surmonte, le dit cintre étant destiné
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3 être incorporé a l'ouvrage s.pr-s en place du béton frais et c:)¯.l.':ru"L.)U1J.t t #J c .J1= chaque nervure un caisson ouvert t v e 1 le haut et, pour le hourdis, un fond porte par les nervures.
Dans les cintres de ce genre connus, le fend Remet-
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tant de ooulGr le béton du hourdis est constitué par des dalles indépendantes 3 JC:3 ncrvnres qui reposent, soit ùirectenent 5Lir les ';;.ro:;.5 ,s 1- u 1: .:1 1? .,. 1, e dss c,:¯lr':;':)I1S dans s 1, :3 1: <j ù #* '- le e 1=. oÔ .t ,J # .':¯ ;< norvnres doit .l 1 '1 1 . coulé, soit sur des s x .a 1, lL =, 1 e Interales 1;.Í:: p:'éserite.":t ces parois. i u jL v i; vii; l'invention, les parois latérales des c;-: i 8:";0113 sont solidaires d'ailes latérales '=lui constituent le fond ;d.u hourdis.
La présente :; 1 ;.: " ' . < .i:. ,j. :.>n e .#: é [;8..1 ..> ..:. :, :.'olative un cintre pour ouvrage en béton présentant des nervures longitudinales solidaires d'un hourdis qui les surr.ionte, dit t cintre btant décline a être incorporé a l'ouvrage aprs Mise en place du bâton fraie et con¯renant =Ja::i chaque nervure longitudinale a.- , ; -- ., i ¯ . ; , . ouvert vers le haut, et, pour lu hourdis, un fond porte par les nervures.
.'-fin de erL.ettre la aolidarisation facile des nervu- res longitudinales par des nervures transversales, suivant l'invention, les Caissons longitudinaux ouverts vers le haut
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sont solidaires de e e#e j i j¯ - e éz 1 s i or! transversaux également ouverts vers le haut.
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Afin de parnettre la. réalisation de nervures transversales continues, il est en outre prévu que les caissons ' lonpituainaux présentent des ouvertyres pour le passage d'ar- natures des nervures transversales.
Lesdeai-eaissons transversaux du cintre suivant
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l' .;..:lV(;.:tL"111 ;;;;oi.:t solidaires do poutres junelôes telles que celles dont il a été question plus haut lorsque de telles jumelées poutres/sont utilisées pour la réalisation des caissons lon-
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gitudinaux.
Dans le cas où les caissons longitudinaux sont solidaires d'ailes latérales du genre de celles dont il a été question plus haut, ces ailessont interrompues, tout au moins sur une partie de leur largeur, aux endroits om elles surmontent les demi-caissons transversaux.
D'autres particularités et détails de l'invention apparaîtront au cours de la description du dessin annexé au présent mémoire, qui représente schématiquement, et à titre d'exemple seulement, une forme de réalisation d.'un cintre suivant l'invention.
Ce dessin est une vue en perspective, après brisure partielle, d'un cintre suivant l'invention ainsi que d'arma- tures longitudinales et transversales mises en place pour la réalisation d'un ouvrage en béton dans ce cintre.
Le cintre représenté est destiné à la réalisation d'un ouvrage en béton oui doit comprendre des nervures longi- tudinales et des nervures transversales solidaires d'un hour- dis qui les surmonte.
Le béton destiné à former les nervures longitudinales est mis en place dans des caissons constitués par des poutres jumelées telles que 2 et 5 présentant l'une vers l'autre un rebord désigné respectivement par 4 et par 5. Ces deux rebords sont juxtaposés de façon à former le fond d'un caisson longitu- dinal 6 ouvert vers le haut. Les parois latérales 2 et 3 des caissons 6 sont solidaires d'ailes latérales 7 qui constituent le fond du hourdis.
Le'cintre représenté comprend en outre des demi- caissons transversaux 8 et 9 solidaires respectivement des poutres jumelées 2 et 3, Ces demi-caissons sont destinés à recevoir le béton des nervures transversales de l'ouvrage.
Pour permettre de rendre les nervures transversales, qui jouent le rôle d'entremises entre les nervures longitudinales,
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solidaires les unes des autres au moyen d'armatures telles que 10, on a prévu des ouvertures 11 à la partie inférieure des parois latérales 2 et 5 des caissons longitudinaux.
D'autres armatures transversales, telles que 12, sont disposées dans le béton du hourdis. Des armatures longitudinales, telles que 13 et 14, sont prévues respectivement à la partie inférieure des caissons 6 et au-dessus de ceux-ci. En outre, les armatures des caissons sont avantageusement ancrées dans le béton, coulé sur place, de manière à réaliser une bonne solidarité des caissons et du béton qui y est coulé sur place.
Afin de permettre la mise en place aisée du béton dans les caissons transversaux 9, les ailes latérales 7 des caissons longitudinaux 6 sont interrompues sur une partie de leur largeur aux endroits où elles surmontent les demicaissons transversaux. En d'autres termes, des encoches, telles que 15, sont ménagées dans les ailes latérales audessus des caissons transversaux,
Lorsque le béton est mis en place dans les caissons longitudinaux 5 et les caissons transversaux 8 et 9, ainsi qu'au-dessus des ailes 7, le cintre suivant l'invention est incorporé à l'ouvrage. Les armatures, telles que 10, 12, 13 et 14 sont noyées dans le béton, éventuellement en même temps que des étriers qui les relient et qui n'ont pas été représentés, pas plus que la nasse de béton coulé sur place.
Le cintre suivant l'invention peut être réalisé au moyen d'un matériau précontraint ou non et l'ouvrage auquel il est incorporé peut également être en un matériau précon- traiat ou non. Les caissons transversaux ne doivent pas né-
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ces;ja,j¯rtu:..cnt être on une matière u:1 'lon6ré D.
Bien que, en général, les caissons longitudinaux et transversaux soient réalisés en béton, les caissons transversaux, notenement, peuvent être réalisés en une autre matière, par exemple en bois. Dans ce cas, les pièces de
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' bois qui constituent ces caissons transversaux sont néan- moins solidaires des caissons longitudinaux.
Il est évident que l'invention.n'est pas-exclusive- ment limitée à la forme de réalisation représentée et que bien des modifications peuvent être apportées dans la forme, la disposition et la constitution de certains des éléments intervenant dans sa réalisation, sans sortir de la portée du présent brevet, à condition que ces modifications ne soient pas en contradiction avec l'objet de chacune des revendications suivantes. La nature de l'ouvrage réalisé au moyen d'un cintre suivant l'invention importe peu.
Cet ouvrage peut être, par exemple, une voûte, un arc, un tunnel, une poutre.
REVENDICATIONS
1. Cintre pour ouvrage en béton, destiné à être in- corporé à l'ouvrage après mise en place du béton frais, caractérisé en ce qu'il comprend, à une certaine distance l'une de l'autre, des poutres jumelées présentant l'une vers l'autre un rebord formant le fond d'un caisson ouvert vers le haut dans lequel le béton doit être mis en place.
@ Cintre pour ouvrage en béton constitué de nervu- res solidaires d'un hourdis qui les surmonte, le dit cin- tre étant destiné à être incorporé à l'ouvrage après mise en place du béton frais et comprenant, pour chaque nervure, un caisson ouvert vers le haut et, pour le hourdis, un fond porté par les nervures, caractérisé é en ce que les parois latérales'des caissons sont solidaires d'ailes latérales qui constituent le fond du hourdis.
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DESORITTIVE MEMORY filed in support of a PATENT application! 7 r IIi.tI iT'TGD1 by the limited company: "Société Belge des Bétons" "Hanger for concrete work"
The present invention relates to a hanger for a concrete structure, intended to be incorporated into the structure after placing the fresh concrete.
In the present patent, the word "hanger" designates a load-bearing device extending between two supports and serving to support the fresh concrete used in. The location of the work.
The lift can be done without intermediate supports. The hanger of a structure according to the invention may have rectilinear or curved contours depending on the external shapes of the structure to be produced.
In order to facilitate the production of a hanger of this type, provision is made to constitute it of twin beams at a certain distance from each other and presenting a rim towards each other forming the bottom of a box open towards the top in which the concrete is to be placed.
The present invention also relates to a hanger for a concrete structure consisting of integral ribs @
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of a slab which surmounts them, the said hanger being intended
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3 be incorporated into the structure without fresh concrete and c:) ¯.l. ': Ru "L.) U1J.tt #J c .J1 = each rib an open box tve 1 the top and, for the slab, a bottom carried by the ribs.
In known hangers of this kind, the slits Remet-
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so much where the concrete of the slab is made up of independent slabs 3 JC: 3 ncrvnres which rest, or ùirectenent 5Lir the ';;. ro:;. 5, s 1- u 1:.: 1 1? .,. 1, e dss c,: ¯lr ':;' :) I1S in s 1,: 3 1: <j ù # * '- the e 1 =. oÔ .t, J #. ': ¯; <norvnres must .l 1' 1 1. cast, either on sx .a 1, lL =, 1 e Interales 1; .Í :: p: 'éserite. ": t these walls. iu jL vi; vii; the invention, the side walls of c; - : i 8: "; 0113 are integral with side wings' = constitute the bottom; of the slab.
The current :; 1;.: "'. <.I :., j.:.> Ne. #: É [; 8..1 ..> ..:.:,:.' Olative a hanger for concrete work with longitudinal ribs integral with a slab which surr.ionte them, known as a bending hanger declined to be incorporated into the work after Placement of the spawned stick and containing = Ja :: i each longitudinal rib a.-,; - -., i ¯.;,. open towards the top, and, for the slabs, a bottom carried by the ribs.
.'- end of erL.ettre the easy joining of the longitudinal ribs by transverse ribs, according to the invention, the longitudinal boxes open upwards
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are integral with e e # e j i j¯ - e éz 1 s i or! transverse also open upwards.
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In order to cover the. production of continuous transverse ribs, provision is also made for the lonpituainaux caissons to have openings for the passage of arches of the transverse ribs.
The transverse lesdeai-eaissons of the following arch
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l '.; ..: lV (;.: tL "111 ;;;; oi.:t integral with junction beams such as those mentioned above when such twin beams / are used for the realization of caissons lon-
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gitudinal.
In the case where the longitudinal boxes are integral with side wings of the kind referred to above, these wings are interrupted, at least over part of their width, at the places where they surmount the transverse half-boxes.
Other features and details of the invention will become apparent from the description of the drawing appended hereto, which schematically represents, and by way of example only, one embodiment of a hanger according to the invention.
This drawing is a perspective view, after partial breakage, of a hanger according to the invention as well as longitudinal and transverse reinforcements put in place for the production of a concrete structure in this hanger.
The hanger shown is intended for the production of a concrete structure, and must include longitudinal ribs and transverse ribs integral with a slab which surmounts them.
The concrete intended to form the longitudinal ribs is placed in boxes formed by twin beams such as 2 and 5 having towards each other a rim designated respectively by 4 and 5. These two rims are juxtaposed so forming the bottom of a longitudinal box 6 open upwards. The side walls 2 and 3 of the boxes 6 are integral with side wings 7 which constitute the bottom of the slab.
Le'cintre shown further comprises transverse half-caissons 8 and 9 respectively secured to the twin beams 2 and 3, These half-caissons are intended to receive the concrete from the transverse ribs of the structure.
To make it possible to make the transverse ribs, which play the role of intermediaries between the longitudinal ribs,
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integral with each other by means of reinforcements such as 10, openings 11 are provided in the lower part of the side walls 2 and 5 of the longitudinal boxes.
Other transverse reinforcements, such as 12, are placed in the concrete of the slab. Longitudinal reinforcements, such as 13 and 14, are provided respectively at the lower part of the boxes 6 and above them. In addition, the reinforcements of the caissons are advantageously anchored in the concrete, cast on site, so as to achieve good solidarity between the caissons and the concrete which is poured thereon.
In order to allow the easy placement of the concrete in the transverse caissons 9, the lateral wings 7 of the longitudinal caissons 6 are interrupted over part of their width at the places where they surmount the transverse half-caissons. In other words, notches, such as 15, are made in the side wings above the transverse boxes,
When the concrete is placed in the longitudinal boxes 5 and the transverse boxes 8 and 9, as well as above the wings 7, the hanger according to the invention is incorporated into the structure. The reinforcements, such as 10, 12, 13 and 14 are embedded in the concrete, possibly at the same time as the stirrups which connect them and which have not been shown, nor the concrete trap poured in place.
The hanger according to the invention may be produced by means of a material which may or may not be pre-stressed and the structure in which it is incorporated may also be of a material which may or may not be pre-contracted. The transverse boxes must not ne-
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these; ja, j¯rtu: .. cnt be a subject u: lon6ré D.
Although, in general, the longitudinal and transverse boxes are made of concrete, the transverse boxes, in particular, can be made of another material, for example of wood. In this case, the parts of
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The timber which constitutes these transverse boxes are nevertheless integral with the longitudinal boxes.
It is obvious that the invention is not exclusively limited to the embodiment shown and that many modifications can be made in the form, the arrangement and the constitution of some of the elements involved in its realization, without outside the scope of this patent, provided that these modifications do not contradict the subject matter of each of the following claims. The nature of the work produced by means of a hanger according to the invention matters little.
This work can be, for example, an arch, an arch, a tunnel, a beam.
CLAIMS
1. Hanger for concrete work, intended to be incorporated into the work after placing the fresh concrete, characterized in that it comprises, at a certain distance from each other, twin beams having one towards the other a rim forming the bottom of a box open upwards in which the concrete is to be placed.
@ Hanger for concrete structures made up of ribs integral with a slab which surmounts them, the said hanger being intended to be incorporated into the structure after placing the fresh concrete and comprising, for each rib, a box open upwards and, for the slab, a bottom carried by the ribs, characterized in that the side walls' des caissons are integral with side wings which constitute the bottom of the slab.
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