<EMI ID=1.1>
L'invention se rapporte à une machine à coudre les bouton-
nières. On sait Que les machines à coudre les boutonnières sont
parmi les machines à coudre les plus compliquées qui existent, de
sorte que si les machines de cette espèce. construites jusqu'ici,
sont méritoires à beaucoup de points de vue, elles ne répondent
cependant pas à toutes les exigences que l'on peut poser pour une
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chine à coudre les boutonnières dans la mesure du possible de la
perfection théorique d'une telle machiner haut rendement. Elle
est arrivêeà la constatation que l'on doit pour cela poser des
conditions indispensables de différents ordres qui, comme on l'a
déjà dit, ne peuvent être complètement satisfaites par les machines
à coudre les boutonnières connues.
La plus grosse difficulté est le logement ou montage des nombreux organes de transmission et de commande absolument indispensables et cela de telle sorte qu'en particulier, en vue du cas où
l'on doit travailler des pièces de grandes dimensions, on doit .
disposer d'un porte-étoffe, c'est-à-dire d'un support pour l'étoffe
ou matière analogue, de grandeur suffisante dans tous les cas,lisse
et ininterrompue, si l'on veut éviter des stagnations de la pièce
travaillée lors de la progression du travail, par lesquelles un \, temps et un travail précieux seraient gaspillés.
Mais il ne suffit pas de loger ou monter les organes de
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combrant,s, et en évitant le danger d'une blessure de l'ouvrier par des pièces mobiles, nais on doit encore combiner avec cela la plus grande réduction praticable des trajets de transmission et de commande et une grande accessibilité des pièces, en particulier des pièces à régler ou manoeuvrer s. la main, et enfin
il est particulièrement important et difficile de supprimer les oscillations et chocs exagérés , auxquels précisément la machine à boutonnières est, comme on le sait, tout particulièrement sujette.
Dans ce sens, on a pris pour la nouvelle machins les mesures suivantes qui coopèrent et s'interpénètrent.
On a tenu compte suivant l'invention des plaintes souventformulées quant au fait que dans les machines à coudre les boutonnières existantes, pour autant qu'elles ne soient pas tout à fait anciennes,la plaque porte-étoffe n'est pas tout entière
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organes moteurs ou de transmission s'y trouvent montés, en laissant complètement exempt de tout agrégat et de toute percée ou interruption l'espace situé au-dessus de la plaque porte-étoffe, depuis l'aiguille jusqu'au montant ou bâti du bras .'pour atteindre ce résultat, on a monté tous les organes servant à ac-
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dispositif que l'on appelle parfois pince-étoffe ou transporteur est appelé ci-après "entraîneur"), non plus au-dessus ou en dessous de la plaque de base de la machine, mais bie.n sur le bras en porte-à-faux et sur le montant qui le porte, grâce à quoi toute la surface porte-étoffe est maintenue libre pour
les pièces à travailler.
En outre, on disposera la majeure partie des organes de
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montant de la machine ou à proximité immédiate de celui-ci, afin d'éviter ou diminuer les vibrations ou les chocs nuisibles. Dans le même' but, toutes les pièces transmettant le mouvement excentrique à la brimbale ou levier oscillant de la tige . porte-aiguille, telles que barres de traction, leviers, coulisses etc., sont logées verticalement dans le montant de la machine, au lieu de l'être comme jusqu'à présent horizontalement dans le bras.de la machine. Le disque à cames muni d'une comman- <EMI ID=8.1>
chements ou manoeuvres, qui jusqu'ici était le plus souvent logé en dessous de la. plaque porte-étoffe, est placé sur la paroi latérale droite du montant de la machine en position verticale, , donc avec son axe horizontal, et est facilement accessible, ce qui permet d'éviter l'ouverture que T'on devait sinon pratiquer dans la plaque de base pour permettre le réglage de la 'longueur des boutonnières. Ce mode de réalisation a en outre l'avantage que la plaque de base n'est pas aussi fortement'ajourée ou
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Déplus,'il ne peut plus arriver que des déchets d'étoffe ou des instruments de travail tombent dans l'ouverture laissée ouverte par mégarde et que des dégâts soient causés par là aux organes moteurs. Dans le montage du disque à cames sur,le montant du bras on a naturellement pris soin de placer les différentes' cames sur le disque à cames de façon réglable, rendant ainsi possible un réglage précis et une mise au point convenable des
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verrouillage, au coup de couteau, au changement de sens de forma-
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de la machine.
On utilise pour transmettre la commande de l'arbre ou axe principal au disque à cames un renvoi par vis sans fin avec roues dentées de transmission, qui forme un groupe ou mécanisme séparé; Qui est placé- de façon amovible sur le bras de la machine de telle manière que les roues de transmission sont librement accessibles en vue de leur remplacement.
Il arrive souvent que le' disque à cames doive pouvoir
être mis à même de tourner sur son arbre indépendamment de la commande de la machine. Dans ce but, le mécanisme de transmission comprend une manivelle avec accouplement à roue libre placé en avant. Le mécanisme'pour la transmission de la commande du disque à cames au cadre de l'entraîneur d'étoffe est suspendu au bras de la machine de façon à être facilement accessible.
Les déplacements longitudinaux du cadre de l'entraîneur d'étoffe sont commandés par un coulisseau ou tiroir mobile dans le sens de la direction d'avancement, auquel le porte-entraîneur d'étoffé en forme de levier est suspendu par une articulation, ce coulisseau étant articulé d'autre part à un levier oscillant
courbe
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construction résulte un agencement particulièrement efficient pour le réglage de la longueur de boutonnière par déplacement
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lant à l'aide d'un dispositif de serrage facilement accessible, que l'on peut déplacer dans une fente curviligne du levier oscillant .
Pour abaisser le, cadre de l'entraîneur d'étoffe sur. la pla-
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tige de presse-étoffe , qui est engagé parallèle- <EMI ID=15.1>
de guidage ménagée dans 1'entraîneur d'étoffe.
Le déplacement du champ de piquage de la brimbale de la tige porte-aiguille en vue de la confection de la deuxième chenille est obtenu de la manière suivante dans la nouvelle machine,
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porte-aiguille se fait à partir d'un arbre secondaire entraîné par l'arbre principal dans le l'apport 1:2 et par l'intermédiaire
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un levier double 4 intercalé dans la commande par coulisse est monté sur un bouton excentrique d'un tourillon de telle manière qu'en faisant tourner le tourillon on déplace le centre de rotation du levier double.
Le réglage des largeurs de point des points de chenille,
de bride et de fixation-; tout en maintenant constant l'intervalle prévu entre les chenilles pour le coup de couteau, s'obtient en déplaçant le point d'articulation sur le levier double de la tige de traction ou bielle, reliant le levier double au mécanisme d'entraînement de la brimbale de/tige d'aiguille.
Pour la transmission des moments de commande, des couronnes de commande et des taquets ou cames de commande du disque portecames au système de leviers de la commande à coulisse et du déplacement de la tige porte-aiguille , il est prévu, des tigespoussoirs horizontales traversant le montant de la machine, Qui agissent sur les leviers verticaux servant à la commande de la rotation de la coulisse et du déplacement du levier double par l'intermédiaire de butées que l'on peut régler dans ces leviers.
Selon l'invention, la gradation de vitesse indispensable pour les machines de cette espèce se fait également d'une nouvel-
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sente tout de même beaucoup de dérangements à l'emploi, la machine est pourvue d'une commande'par courroie unique . La. commande
à deux courroies, qui servait à imprimer deux vitesses différentes, a le désavantage que les courroies s'allongent de façon inégale et que l'on n'obtient pas ainsi la vitesse réduite prévue, ou bien il arrivait fréquemment que les courroies,que l'on tient assez courtes, se rompaient, ce qui avait pour effet de diminuer le rendement régulier de la machine. La remise en place de ces deux courroies demandait toujours, un certain entraînement et, quand elle n'était pas faite de façon précise, donnait lieu
à toutes sortes de dérangements.
En vue d'obtenir une commande par courroie unique répondant au but poursuivi, celle-ci est réalisée suivant l'invention par l'intermédiaire d'un mécanisme de changement de vitesse <EMI ID=19.1>
Le mécanisme de changement de vitesse comprend outre l'arbre moteur principal, un arbre auxiliaire qui lui est parallèle et est
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que trois poulies à gorge montées sur l'arbre principal , dont l'une , en tant que poulie de marche à vide, est montée folle
sur lui, tandis, que la suivante, en tant que premier échelon de vitesse,est rigidement fixée à cet arbre, tandis que la troisième,
est et
en tant que deuxième échelon de vitesse-, /montée folle sur lui,/est accouplée à l'arbre auxiliaire par une paire de roues dentées.
Pour faire l'économie d'un arbre, on peut utilement employer comme arbre auxiliaire du mécanisme de changement de vitesse l'arbre-secondaire existant pour la commande du mouvement de la
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Avec le changement de vitesse coopère un dispositif de freinage et de déplacement de courroie dans,lequel le levier de frein et le levier de déplacement de courroie sont reliés à un levier de manoeuvre commun de telle manière qu'au premier stade ou échelon d'embrayage le levier de frein est retiré de sa'position de freinage, avant que la fourche dé courroie soit passée de la poulie de marche à vide sur le premier- échelon 'de vitesse, qu'aux deuxième stade d'embrayage et au premier stade de débrayage seule la fourche de courroie est déplacée et qu'au deuxième stade de débrayage la courroie se trouve déplacée sur le disque de marche à vide, avant que le levier de frein ne soit mis en position de: fonctionnement.
A cet effet,le levier de frein et le levier de la fourche
de courroie, attirés l'un vers l'autre par des moyens élastiques,, enserrent entre eux à la manière d'une pince, un disque à cames,
<EMI ID=22.1>
ment les deux leviers l'un de l'autre sous l'action d'un levier de manoeuvre relié au-disque à cames.
Le bloc de frein, qui coopère avec une gorge radiale du disque de frein, est monté sur le levier de frein de façon à pouvoir tourner et est articulé de la manière connue à une barre de traction qui peut être déplacée dans le sens longitudinal du levier
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due par un fort ressort de traction. Four amortir les mouvements
de rotation pendulaires gênants du disque de frein consécutifs au freinage, il est prévu deux ressorts supplémentaires, qui s'appuient de part et d'autre contre 1-!articulation entre le bloc de frein et la barre de traction.
<EMI ID=24.1> <EMI ID=25.1>
d'un boulon de commande qu'elle déplace horizontalement à l'encontre de la pression d'un ressort; ce boulon agit par en dessous sur la tige de commande du couteau au point d'accouplement de celle-ci avec le levier de transmission qui la commande, alternativement par l'intermédiaire d'un manchon fixe et par l'intermédiaire d'un anneau libre appuyé élastiquement sur lui, de telle manière que, pour déclencher le mouvement du coup de couteau,
la tige de commande du couteau, tombe entre l'anneau libre et le manchon fixé, en écartant l'anneau libre,
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coupent sous l'effet de la traction d'un ressort et sont
commandés par une came de guidage à trois flancs, un oblique
et deux droits, avec intervention d'un encliquetage , de telle manière que d'abord, lors du mouvement rétrograde des ciseaux et du mouvement en avant de l'entraîneur d'étoffe,le porte-ciseaux glisse sur le flanc oblique de la came, de telle façon que les ciseaux sont amenés en dehors du champ d'oscillation de l'aiguille et que le cliquet s'introduit dans le tringlage des ciseaux,
ce qui fait que la tige de ciseau soumisse, traction du ressort
est maintenue fixée dans une position déterminée, tandis que les ciseaux , dans leur mouvement progressif vers l'extérieur, s'ouvrent sous l'action combinée des deux flancs de la came obliques l'un par rapport à l'autre et de la cheville entraînée contre le deuxième de ces flancs et le long de celui-ci;après.achèvement de la boutonnière et du mouvement des ciseaux vers l'extérieur, le cli-
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l'action du ressort; lors de ce mouvement, les ciseaux se ferment par la butée de la cheville fixée à leur partie supérieure contre le troisième flanc et coupe donc le fil de dessus.
Une telle came de guidage est connue en soi, mais ce qui est nouveau c'est sa coopération avec le ressort de traction et le cliquet . Il est vrai qu&on emploie aussi un ressort de traction dans les réalisations connues, mais non pas pour:.amener les ciseaux au voisinage de l'aiguille dans le but de couper le fil, comme c'est le cas dans l'invention, mais au contraire pour retirer les ciseaux de la zone de l'aiguille. Dans ces réalisations,
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deuxième came, ce qui, outre un renchérissement de la construction,,a l'inconvénient que cela entraîne une perte de temps dans le mouvement des ciseaux et que .de plus la pression du pied sur la pédale correspondante doit être plus grande que dans le cas de l'emploi d'un ressort tirant automatiquement les ciseaux dans la
<EMI ID=29.1> Un des organes de commande du levier de détendeur de tension pourvu de crochets pour retirer le fil, doit être conçu comme un cliquet et être en prise avec la came montée sur un arbre commandé par une pédale, de telle manière qu'après une rotation partielle de cette, came le cliquet se dégage automatiquement et que dès lors le relâchement du fil supérieur ou fil de dessus,nécessaire avant le début, de la couture, se fait déjà avant'le sectionnement du fil.de dessus ou fil supérieur.
Enfin, il est prévu un levier de sécurité entraîné par le levier de frein qui empêche à la fois : lorsqu'on fait tourner
<EMI ID=30.1>
dre de l'entraîneur d'étoffe est soulevé, la mise en marche de la machine et lorsque la machine est en marche, le soulèvement du cadre de l'entraîneur d'étoffe.
Le dessin représente un exemple de réalisation de la machine à coudre'les boutonnières suivant l'Invention.
La fig. 1 représente une vue de devant de la machine à. l'ar-
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nière. (point de chenille et de bride et déplacement du point de chenille); la fig. 5, une vue de devant du mécanisme de mise en marche et d'arrêt de la machine en position de fonctionne-
<EMI ID=32.1> fig. 7, une coupe longitudinale de la machine; .la fig. 8, une vue arrière de la machine (sans le dispositif de mise en marche et d'arrêt ) avec vue sur la transmission par roues dentées (couvercle enlevé); la fig. 9, une vue du dessus de la machine avec <EMI ID=33.1>
des représentations détaillées du dispositif de sectionnement du fil supérieur avec les différentes positions des ciseaux*'
Construction et Organisation de la machine :; qui, comme toute machine à coudre les boutonnières,est une machine à coudre en zigzags':
Dans le porte-mécanisme supérieur, constitué par le montant ou bâti 1, le bras 3 et la tête 5, .se trouve monté l'arbre principal d'entraînement 4, et dans le porte-mécanisme inférieur
<EMI ID=34.1>
A l'extrémité avant de l'arbre principal 4 se trouve, dans la tête de machine 3, la manivelle 12 qui entraîne la tige porteaiguille 13 et le pose-fil ou porte-fil 14. A l'extrémité avant de l'arbre de boucleur 6 se trouve le boucleur de point redoublé
15 qui fait deux révolutions à chaque tour de l'arbre principal et la boite à canette 16. Sur l'extrémité arrière de l'arbre principal 4 se trouve un mécanisme d'entraînement ou de commande qui communique à l'arbre principal 4 deux vitesses différentes au moyen d'une commande par courroie unique, en combinaison
<EMI ID=35.1>
lèlement à l'arbre 4 et relié à celui-ci par des couples de roues dentées 17,18 - 19,20 . Le mécanisme d'entraînement est constitué par trois poulies à gorge 22,25,24; la poulie médiane
23 est solidaire de l'arbre 4, tandis que les deux autres sont montées folles sur lui. La poulie 24 est liée rigidement à la roue dentée 17 montée folle sur l'arbre 4 ou sur un manchon de
le
cet arbre. Cette roue dentée a/même diamètre que la roue dentée
18. La roue dentée 19 montée sur l'arbre 4 engrène avec la roue
<EMI ID=36.1>
l'entraînement de la tige porte-aiguille oscillante 13 depuis l'arbre 21. La gradation de vitesse prévue pour éviter la mise en marche de la machine à pleine vitesse et l'arrêt à pleine
<EMI ID=37.1>
Si l'on fait glisser la courroie 25 (fig. 1) de la.poulie
<EMI ID=38.1>
la machine tournera au premier échelon de vitesses, dans le cas présent par exemple à 1300 tours et l'arbre.21 entraîné dans le rapport de transmission 1:2 (couple de roues dentées 19,20) tournera à 650 tours à la minute. Les:pignons'17,18 qui engrènent l'un avec l'autre dans le rapport de transmission 1:1 , tournent également à 650 tours. Si maintenant on fait glisser
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reçoit une augmentation de vitesse qui porte celle-ci à 2600 tours de l'arbre principal 4, et cela du fait que l'arbre 21, par la transmission de 1300 tours par l'intermédiaire des pignons 17,18, possède cette même vitesse et communique à l'arbre 4, par suite du rapport de transmission 2-1 (couple de roues'den-
<EMI ID=40.1>
capital de la machine est le disque de commande à cames 26,monté sur la paroi latérale droite du montant 1, en position verticale, c'est-à-dire avec son axe de rotation horizontal. Il influence soit directement soit indirectement les dispositifs ou.les processus de travail ou de mouvement suivants de la
<EMI ID=41.1> 1. Renversement du mouvement pendulaire de la tige porteaiguille suivant la largeur des points de chenille-et des points de bride èt inversement.
2. Déplacement du point de. -chenille avant le'commencement de la première bride pour l'exécution de la seconde �henille,
<EMI ID=42.1>
gueur de boutonnière.
4. Modification du nombre de points par longueur de boutonnière par accélération ou ralentissement de la vitesse de marche du disque à cames.
5. Coups de couteau.
6. Détente de la tension.
<EMI ID=43.1>
,le étant en position relevée .
En ce qui concerne:1. Le mouvement pendulaire de la tige
<EMI ID=44.1> porte-mécanisme inférieur 5. Dans le guidage, courbe du bras
<EMI ID=45.1>
<EMI ID=46.1>
rieure la manivelle oscillante '40; qui,au moyen.d'un coulisseau
48. monté fou sur son tourillon 41, s'engage dans le chemin de guidage 43 de la brimbale de la. tige porte-aiguille . Sur l'arbre
<EMI ID=47.1>
manoeuvre à une branche 4ô, qui est articulé à la coulisse 32 par l'intermédiaire de la barre de transmission 47. Le levier
<EMI ID=48.1>
réglage de la. largeur dès points de chenille et de bride, la vis supérieure 48 étant prévue pour le réglage de la largeur des chenilles . L'amplitude de l'écart du levier de commande 46 pour la rotation de la coulisse 32 en vue d'obtenir les trois exécutions de points de chenille, de b�ide, et de fixation est déterminée par le disque de commande 26 Celui-ci est muni sur sa face intérieure de deux couronnes de commande 50,51 (fig. 1,4), dont l'une, 50, est reliée à la vis de réglage 48 par une tige-poussoir 52 montée dans le montant 1 de façon à pou-
<EMI ID=49.1>
nière que le levier de commande 46 est tiré, avec sa vis de réglage 48, contre la tige-poussoir 52 par un ressort 53 fixé, d'une part, au montant 1 et, d'autre part, à la barre 47. De ce fait, la tige-poussoir 52 est pressée contre la couronne 50,avec son galet 54 (réglage de la largeur de point de la chenille).
<EMI ID=50.1>
de commande 46 par deux cames 55, 56 prévues sur le disque de commande 26 (fig. 1) en liaison avec la tige-poussoir 57 montée dans le montant 1 de façon à pouvoir y coulisser longitudinalement, et par l'intermédiaire d'une vis de réglage 49. On obtient les points de fixation destinés à coudre le bout de fil après achèvement de la boutonnière et exécutés sous forme d'un point droit, .du fait que le levier de commande 46 prend, par suite d'une dépression dans la couronne de commande intérieure 50,une position telle que la coulisse 32 ou son axe:, - soit perpendiculaire à l'axé' ' longitudinal de la barre ou bras 30.
On peut voir les trois positions différentes de la coulisse pour les points de chenille, de bride et de fixation sur les fig. 3 et 4 du dessin, la fig. 3 montrant la position de la coulisse pour les points de chenille , et la fig. 4, les positions pour les points de bride et de fixation (coulisse dessinée respectivement en trait plein
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Les fig. 3 et 4 montrent des dispositifs différents pour
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points de chenille et des points de bride . Tandis que dans la réalisation suivant la fig. 4 la largeur du point de surjet est réglée par déplacement de l'extrémité inférieure de la barre 37 dans le guidage courbe 35 (vers l'intérieur :point plus petit; vers l'extérieur : point plus grand), le réglage de la largeur du point de surjet s'opère , dans le cas de la réalisation suivant la fig. 3, en vissant ou en dévissant les deux'vis à tête
<EMI ID=53.1> <EMI ID=54.1>
du champ d'oscillation de la brimbale 44 de la,tige porte-siguille. ^déplacement de la formation des- points pour la formation de la.deuxième chenille) et en même temps l'espace entre
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réglé. La liaison par pression de la branche de levier 64.avec. la branche de levier 65 est obtenue du fait qu'un ressort de traction 70 fixé au bras '66 et au montant 1 presse constamment la branche 65 contre la branche de levier 64*
<EMI ID=56.1>
fe 71 (fig, 1, 7) qui a la forme.d'un cadre rectangulaire et
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en 73 et 74, et le support est relié de façon mobile par la
vis d'articulation 75 au support 76,77 en forme de levier à deux branches . Ce -dernier' est monté sur la cheville 78 de la tête
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de tige cylindrique,'lequel est guidé dans les oeillets ou
<EMI ID=59.1> rigidement reliés avec lui, les deux branches de levier 91
(fig. 7) et 92 (fig. 8). On fixe à la branche de levier 92
un organe de traction (chaîne ou analogue) dont l'extrémité inférieure est attachée ou accrochée à une pédale. Lorsqu'on actionne celle-ci après achèvement d'une boutonnière, le levier
91 entre en liaison par pression avec le bras 77, à la suite
<EMI ID=60.1> d'étoffé 71 se trouve écarté de l'étoffe .Ce cadre est alors déplacé à la main pour l'exécution de la boutonnière suivante. Lorsqu'on relâche ensuite la pression du pied sur la pédale, le cadre entraîneur d'étoffe 71 est pressé élastiquement sur la piece de travail et celle-ci est maintenue lors du mouvement de vaet-vient pendant le travail. La pression élastique sur le cadre entraîneur d'étoffe est exercée par un ressort à boudin ré-
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ment à l'extrémité inférieure d'une tige de presse-étoffe 93,
et s'engage par ses bords chanfreines des deux côtés dans une rigole de guidage 94 de profil correspondant(fraisure prismatique) ménagée dans la face supérieure de la branche de support 76, qui reçoit ainsi pendant son mouvement de va-et-vient (avancement
en avant et en arrière de l'entraîneur d'étoffé ) un guidage précis et sûr.
,Le réglage de la longueur de boutonnière désirée dans chaque cas se fait par le levier oscillant 87 (fig. 1) en liaison avec la tige de tiroir 84. Celle-ci est pourvue à cet effet d'une entaille circulaire 87t dans laquelle s'engage la vis de serra-
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oscillant courbe, plus grand est son angle d'oscillation et,par-
<EMI ID=63.1>
ments des pièces précitées seront réduits. On peut de cette manière confectionner à volonté des boutonnières plus grandes ou plus petites . Le réglage est facilement et convenablement exécutable de la place occupée par la personne qui dessert la machi-
munie ,
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de boutonnière dépend de la vitesse de rotation du disque de commande 26, qui est entraîné de la manière suivante .
La vis sans fin 95 montée sur l'arbre, principal 4 (fig. 7) engrène avec la roue hélicoïdale 96 montée sur l'arbre 97 (fig. 2) qui porte à son extrémité postérieure la roue dentée droite 98.
<EMI ID=65.1>
sur l'arbre 100, portant à son extrémité antérieure un accouplement à roue libre 101, 102 (.pièce de calage 101 et arrêt ou cliquet à rouleaux 102) (fig. 1) avec la roue dentée droite 103, qui est en prise avec la couronne dentée 104 du disque de commande
26 monté pour tourner sur l'arbre 105 lui-même monté dans le montant 1. Ce disque est, lors de la mise en marche de la machine, mis en rotation dans le sens indique par la flèche depuis l'arbre principal par.l'intermédiaire de la,transmission. par roues.den-
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particulier de permettre de faire éventuellement tourner le disque de commande à la main., A cet effet; une manivelle 106 est
<EMI ID=67.1>
action pour les raisons connues (l'arrêt à rouleaux 102 est soulevé et la roue 103 tourne à vide sur la pièce de calage 1Q1). La
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il doit être réglé, à nouveau par exemple par suite d'un changement de canette de fil inférieur ou fil de dessous.
Pour modifier la vitesse de rotation du disque de commande
<EMI ID=69.1>
les deux roues dentées 98,99 par d'autres ayant le rapport de transmission voulu. On dispose à cet effet d'une série suffisante de paires de roues dentées de rechange.
La roue hélicoïdale 96, les roues de transmission 98,99 de l'accouplement à roue libre 101, 102, la manivelle 106 et le carter 99''recevant ces pièces sont réunis . en un ensemble fermé, <EMI ID=70.1>
En. ce qui concerne 5: La barre ou tige porte-couteau 108
(fig. 8) qui porte le 'couteau 107 (fig. 10) et qui est guidée verticalement dans la tête de machine/est reliée par accouplement coulissant.au levier coudé 113,Ils par l'intermédiaire d'un organe
<EMI ID=71.1>
qui. subit l'action du ressort 115 et qui porte à son autre extrémité, le nez' 117 et l'encoche 118. La tige ou* cheville de commande
<EMI ID=72.1>
à pouvoir coulisser transversalement à l'axe longitudinal de la machine ; elle est pressée en permanence vers le disque de comman-
<EMI ID=73.1> ci sert, en combinaison avec le nez 117 (fig. 8) à maintenir la tringle de commande Ils déclenchée du levier coudé d'entraînement
<EMI ID=74.1>
mis en mouvement par l'intermédiaire de la bielle 127 et de l'excentrique de commande 128 monté sur l'arbre Si. Le nez 117 de
la tringle de commande 116 repose pendant la couture, lorsque le
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déplacée par la came 121, qui entre en action, sur une distance telle que le nez 117 vienne reposer sur le manchon fixe 122. Peu avant l'achèvement de la boutonnière, la tige de commande 119 est
<EMI ID=76.1>
trograde de la branche de levier 125, le mouvement d'entaillage du couteau 107 a alors lieu, après le déplacement de la courroie
<EMI ID=77.1>
à demi-vitesse.
Par ce mouvement, le nez 117 libère de nouveau l'anneau
<EMI ID=78.1>
pu. Le ressort 115, fixé d'une part à la tête de machine 3 et d'autre part à la vis d'articulation qui relie la tringle de com-
<EMI ID=79.1>
est réglable peur qu'on puisse obtenir un accouplement précis de la tringle de commande 116 avec le bloc d'entraînement 130 dans <EMI ID=80.1> . ainsi <EMI ID=81.1>
<EMI ID=82.1> <EMI ID=83.1> <EMI ID=84.1>
du fil supérieur I et -II (fig. 1) avec leurs disques de tendeurs
<EMI ID=85.1>
glable,I correspond à la tension principale et II à la tension auxiliaire. La tension principale est prévue pour le travail de boutonnières habituel avec points de boutonnières saillants, la tension secondaire pour la fixation des points finals.
Avant l'achèvement de la boutonnière, c'est-à-dire lors de .
<EMI ID=86.1>
après achèvement de la'boutonnière et arrêt de la machine, on doit,en vue du commencement d'une nouvelle boutonnière,dérouler' de la bobine de fil une longueur convenable de fil supérieur
<EMI ID=87.1>
et mobile autour du pivot fileté 140, dont la branche-141 agit sur la tige de détente de tension et par là sur les disques de
<EMI ID=88.1>
Pour faire cesser la tension secondaire et extraire -la fil supérieur , on se sert du dispositif suivant : .
Le levier d'écartement à deux branches 145, 146 est monté en 144 sur le bras de machine-2,; sa branche 145 a la forme d'une, languette à son extrémité libre en vue de son'introduction entre les disques tendeurs 139, tandis que sa branche 146 est reliée
<EMI ID=89.1>
Un cliquet 151 .est articulé au bras 150' et est en prise. sous la pression du ressort 151', avec la came 152 calée sur l'axe
90, de telle sorte qu'une pression exercée sur la pédale correspondante (pédale gauche) est transmise par l'organe de traction
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cartement 145 est muni d'un crochet d'extraction de fil 153, qui déroule une petite longueur,de fil supérieur de la bobine, en coopérant avec l'oeillet:/154 fixé à la tête de machine 3, lors de l'écartement des disques de tendeurs 159. Le relâchement du fil ainsi réalisé sur son trajet entre les disques tendeurs 139 et l'aiguille a pour but d'empêcher un glissement
du fil hors de la pince des ciseaux. Suivant l'invention,le relâchement du fil a lieu avant le sectionnement du fil,du fait que le cliquet 151,. à cause de sa forme particulière et de son enclenchement avec la came 152,se dégage automatiquement déjà après une rotation partielle de cette dernière.
La tension auxiliaire est de nouveau rétablie après la libération de la pédale,du fait que le ressort 147 retire la bran'che de levier d'écartement 145 d'entre les disques tendeurs 139, de telle manière qu'après l'embrayage de la machine les points initiaux,de la boutonnière suivante sont fixés de façon durable exactement de la même manière que les points finals de la boutonnière précédente.
Les disques 138 pour la tension principale se referment dès que la came 143 a libéré la branche 142 du levier d'écartement à la suite de la rotation du disque de commande 26, ce qui arrive après quelques points.
En ce qui concerne 7; Lors de la description du mécanisme de transmission, on a déjà signalé que l'on communique d'abord à la machine une vitesse moyenne (1000 tours) en faisant passer la courroie d'entraînement 25 de la poulie folle 23 sur
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en faisant glisser la courroie plus loin, sur la poulie à gorge
24. Le déplacement de la courroie pour la mise en marche de la machine se fait en abaissant une pédale (pied droit), son déplacement dans la position de marche à vide et par là le débrayage de la machine et le freinage qui lui succède immédiatement ontlieu automatiquement par le dispositif/prévu à cet effet et décrit ci-après, en coopération avec le disque de commande
<EMI ID=93.1> . Le levier d'embrayage coudé 155, 156, relié/par un organe de traction à une pédale non représentée,.peut tourner librement sur l'axe 158 du porte-coussinet 159 prévu contre le carter de la machine et repose dans sa position de repos, par sa branche 156,contre le porte-coussinet 159, sous l'action du ressort 150 fixé d'une part au montant. 1. et d'autre part à la branche 156. Sur l'axe 158 du porte-coussinet se trouve , en outre le cliquet ou loquet de calage 161, 162 avec le ressort
163, qui y est fixé en 162, tire constamment le cliquet 161 contre le doigt ou cheville d'entraînement 164 du bras 155 du levier d'embrayage, et est fixé par son autre extrémité au levier
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de commande a deux branches 165, 166/, de telle manière que le ressort 165 attire également la branche de levier 165, munie
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la butée 171 munie du nez 170, butée qui vient en contact avec la came 172 du disque de commande 26 chaque fois qu'il tourne., Enfin, sur le tourillon 158 se trouve encore calé un disque
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-rois 176 qui peut osciller autour de l'axe 175 du porte-coussi-' net 159, et la plus :petit et 174, vers le levier de frein 178, mobile sur l'axe 177 du support 159, Les deux leviers 176 et .
177'sont tirés l'un vers l'autre par le ressort 179 et s'appuient dès lors par l'intermédiaire de leurs galets 180, 181, contre les cames 173 et' 174, respectivement. Dans le levier de frein 178 <EMI ID=97.1>
d'un côté, un fort ressort à lame 189 (fig. 11) fixé au levier de frein 178 et, de l'autre coté et un peu plus bas, la tige ou
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rêt de la machine.
Lors de l'embrayage de la machine par abaissement partiel de la pédale de droite, le levier 155, 156 tourne et par suite
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le levier de commande de la courroie, 176, et le levier de frein
178 sont écartés l'un de l'autre à rencontre de l'action du
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le galet 180. De ce fait, le levier '. de frein 178 est d'abord retiré de la rainure du disque de frein 182, de telle sorte que l'accouplement d'arrêt est débrayé ;la courroie de transmission
<EMI ID=101.1> poulie motrice 23. Dans cette position du disque à cames 173, 174, le cliquet 161 a subi une rotation telle qu'il vient en prise avec l'encoche de la dent supérieure 168 au levier de commande
165, 166. La machine tourne à la vitesse initiale (par exemple
à demi-nombre de tours) . Par la rotation plus complète du disque à cames 173, 174, obtenue en abaissant la pédale à fond, la grande came 173 écarte le levier de commande de courroie 176 encore davantage, de telle sorte que la courroie 25 est glissée sur las poulie à gorge 24. La machine tourne à la vitesse maximum . En même temps, le cliquet 161 tombe élastiquement dans l'encoche de la dent d'arrêt inférieure 169, ce qui a pour effet de décharger le pied de la personne qui dessert la machine.
Peu avant l'achèvement de la boutonnière, c'est-à-dire
peu avant la fin d'une révolution du disque de commande 26, la
successivement
came 172 heurte/de sa face avant et de sa face arrière, le nez
170 de la branche 166 du levier de commande, et supprime ainsi
la prise entre la branche de levier 165 et le cliquet 161, ce
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sa position initiale sous la tension libérée des ressorts 160,
165, 179, 184, que la fourche du levier de commande de courroie 176 repousse la courroie 35 sur la poulie de marche à vide
22 en passant par la poulie réductrice de vitesse 23, et que le
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rainure du disque de frein 182. La machine est arrêtée et peut être mise en marche en vue de la confection d'une nouvelle boutonnière, après que l'on a soulevé le presse-étoffe sn abais-
<EMI ID=104.1> . sur la pièce tance des boutonnières et remis le presse-étoffe!, en cessant la pression du pied. Comme conséquence des rapports de bras de leviers extrêmement favorables,le maniement du système de mise en marche ou embrayage est grandement facilité et évite dès lors des phénomènes de fatigue de la couturière.
On a prévu, outre le système de débrayage automatique, un système de débrayage à la main, de façon à pouvoir à tout moment arrêter la machine si c'est nécessaire. A cet effet, on a monté <EMI ID=105.1> abaissement à l'encontre de l'action du ressort 194, opère l'arrêt de la machine . Dans la position de repos, le levier à poignée 193 s'appuie contre. le moyeu du levier oscillant 87. Il est muni du cliquet 196 qui est monté sur le pivot 195 et qui,
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mis en prise avec les deux encoches 197, 197' d'une petite plaque fixée sur le levier de commande 165, 166 ou s'en dégage . Dans la position de repos le cliquet 196, tiré vers le haut par le
<EMI ID=107.1> <EMI ID=108.1>
quelle raison, la machine doit âtre arrêtée pendant le.travail, on pousse rapidement .deux- fois l'une après l'autre sur le levier
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de levier-1.65 et le cliquet 161. L'effet de cette opération
sur le dispositif de freinage de là machine est déjà.décrit ci-dessus.
Le dispositif de sectionnement du fil supérieur fonctionne comme suit : .après l'achèvement de. chaque boutonnière, le fil supérieur est coupé de la boutonnière par un dispositif 'analogue des ciseaux et est en même temps pincé par.un ressort monté sur les oiseaux. Lors de la remise en marche de la-machine, les
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Ensuite,les ciseaux s'ouvrent, ce qui.libère le fil du ressort
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<EMI ID=113.1> direction'de l'aiguille. La tige de ciseaux:206 est montée sur le,bloc cylindrique 315, lui-même suspendu pendulairement suivant
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telle manière que la tige de ciseaux peut recevoir, en même temps que le bloc cylindrique 215,un mouvement suivant la direction de l'axe longitudinal de la machine, un mouvement de bascule autour de la cheville ou pivot 216, et, en même
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la forure du bloc 215. La tige 206 est munie du cliquet ou loquet 219 mobile autour de la vis d'articulation 318;,lequel est maintenu par le ressort 220 dans sa position haute; dans cette position il est en contact avec la goupille 2'-Il prévue
à la face inférieure de la tige 206. Le loquet 219 est soumis à l'action du levier 222 calé sur l'axe:, de levée de l'entraineur d'étoffé,90. Les mouvements longitudinaux de la tige 206 et, partant, des ciseaux 201, 202, ^ résultent de ce que le bloc
215 est relié au levier coudé 133, -134 par la tringle 223 et
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au levier de frein 178, qui provoque, lors de la mise en marche
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à l'arrêt de la machine, un mouvement de la tige 206 vers l'avant, ce qui a pour conséquence que les ciseaux sont respectivement écartés et rapprochés de l'aiguille . La rotation de la tige 206, provoquée sous l'action du ressort 213 (fig. 13) a pour but de rapprocher les ciseaux du fil pour le couper et de fixer le bout du fil. Pour éviter que, lors du soulèvement du cadre entraîneur d'étoffe 71, les oiseaux 201, 202 ne viennent heurter l'aiguille et ne l'abîment ou ne la cassent, le porteoiseaux 204 est écarté de l'aiguille par pivotement. Ceci résulte de ce que, lors du mouvement de l'entraîneur d'étoffe,
71 vers le haut, le porte-ciseaux 204, qui est guidé dans une
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le.
Le mode de fonctionnement du dispositif de sectionnement est le suivant :
Lors de la mise en marche de la machine, le levier de frein 178 est écarté de sa position de freinage et, de ce
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ciseaux et les ciseaux 201, 202 sont déplacés vers l'arrière, c'est-à-dire du côté de la commande de la. machine. En même
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l'axe longitudinal de la machine, de la came 212, le long de laquelle glisse le porte-ciseaux 204. De ce fait, le poste ou emplacement de couture est libéré et le fil d'aiguille pincé
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ceau de fil extrait est recouvert par des points de chenille, auprès que le cadre entraîneur d'étoffé 71 a commencé son mouve-
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surface de guidage oblique 226 le porte-ciseaux 204- avec les . ciseaux'301, 202, sur le côté et,dans ce mouvement^la goupille de butée'311 de'la partie supérieure mobile 202 des oiseaux vient
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des ciseaux cesse et le morceau de fil pincé est libéré.
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Comme conséquence de l'enclenchement du cliquet 219 qui se
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térieur), la tige 206 est maintenue dans sa position et la came
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d'étoffe 71, plus d'influence sur la position latérale des oiseaux 201', 202 . Lors du débrayage de la machine, les ciseaux sont dé nouveau ramenés vers l'avant' à portée de l'aiguille
<EMI ID=128.1>
de levée 90 du presse-étoffe est déplacé vers le haut et libère
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oiseaux 204 avec les ciseaux vers l'aiguille . Comme les oiseaux sont ouverts ils embrassent d'abord le fil : par la. continuation du rapprochement, la goupille 211 vient 'frapper la paroi 228 de
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fermeture des ciseaux et le pincement du fil.
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supplémentaire, -qui agit de la manière suivante
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plus haut,remplit, outre la fonction citée, deux autres fonctions, à savoir : d'une part, d'empêcher que la machine ne puisse. âtre mise en marche tant que le cadre entraîneur d'étoffe est le-
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maintenue , et d'autre part d'empêcher de soulever le cadre entraîneur d'étoffe tant que la machine est en marche.
Lors de l'arrêt de la machine, le levier 133, 134 prend la position visible sur la fig. 8 du dessin, dans laquelle le
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