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Agencement pour mesurer la tension d'une matière laminée en ruban. un connaît un agencement pour mesurer la tension de matière laminée en ruban, lors du laminage, au moyen d'un dispo- sitif de mesure de tension placéentre deux cagesde laminoir ou entre une cage et un dévidoir et appliqué contre le ruban laminé, sous pression, agencement dans lequel pour la surveillance de la répartition uniforme de la tension de la bande sur la largeur de celle-ci, on a placé des deux côtés du ruban laminé chaque fois un dispositif de mesure de tension et ces dispositifs influencent en commun un dispositif différentiel de mesure
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et d'indication.
Dans ce tagencement; les extrémités libres de leviersqui sont placés sous la pression, de ressorts et portant un galet de mesure s'étendant sur toute la largeur du ruban, agissant chacune sur une armature d'un dispositif de bobines d'induction a noyaux de fer a trois branches; dont l'enroulement primaire, sur la branche médiane, est raccordé à une source de courant alternatif et dont les enroulements secondaires, sur les deux branches extérieures, sont reliés a l'instrument de mesure différentiel et a un autre appareil de mesure et d'indication pour la surveillance ce la tension de traction d'ensemble moyenne du ruban, à maintenir constante.
La présente invention a pour but de prévoir à la place de ce dispositif de bobines d'induction à. noyaux de fer une réalisation plus simple qui emploie seulement des pièces usuelles dans le commerce. ce résultat est atteint, suivant la présente invention, par le fait que les leviers a. ressortsportant le galet de mesure transmettent leur mouvement aux contacts de prise mobiles de deux résistances de division de tension raccordées a la même tension, et par le fait qu'on prévoit comme dispositif différentiel de mesure et d'indication;
, un mesureur de tension monté entre les contacts de prise de ces résistances de division de tension. outre l'instrument différentiel de mesure et d'indication, on a raccordé aux contacts de prise des résistances de division de tension deux résistances de même grandeur; au point de liaison de ces deux résistances et à la liaison de celles des extrémités des résistances de division de tension sur lesquelles les contacts de prise viennent se placer lorsque les galets de mesure sont déchargés, on a raccordéLui mesureur de tension pour la surveillance de la tension de traction moyenne, a. maintenir constante, du ruban.
La tension moyenne de traction, à maintenir constante, du ruban est réglable au moyen d'une autre résistance de divi-
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sion de tension raccordée à la même tension que les deux résis- tances- de division de tension commandées par le alet de mesure.
Le dessin représente un exemple de réalisation de l'inven- tion. La matière laminée 10 est conduite du laminoir"3 en passant sur le galet de mesure 17 porté par les leviers à ressort 20,21, au dévidoir 2 qui est actionné par le moteur de dévidoir 13. Les extrémités libres des leviers 20 et 21 sont reliées chacune au contact de prise d'un potentiomètre Pl ou P2, ces potentiomètres étant raccordés à la même tension, dans le cas présent les bornes d'induit d'une machine excitatrice EM. L'instrument de mesure différentiel 31 est monté directement entre les deux contacts de prise des potentiomètres et est excité par conséquent par la différence de la tension réglée par les leviers 20 et 21 aux potentiomètres P1 et P2.
Lorsque la tension de traction dans la matière laminée est répartie uniformément sur la largeur du ruban laminé, les deux leviers 20 et 21 sont abaissés par le galet 17 de mêmes quantités et les contacts de prise des deux potentiomètres se trouvent alors à la même hauteur et ils prennent la même tension, de sorte qu'à l'instrument démesure e 31 il n'y a pas de différence de tension et que l'aiguille sectrouve dans une position moyenne de zéro. En cas de répartition non uniforme de la .traction sur la largeur du ruban laminé, des tensions de grandeur différente sont prises par les contacts de prise des deux potentiomètres Pl et P2 et l'instrument 31 dévie vers l'un coté ou l'autre suivant que la tension de traction l'emporte sur un coté ou sur l'autre coté du ruban laminé.
L'instrument démesure 31 peut êtrepourvu, des deux côtés de la position de zéro, de contacts qui, lors du dépassement d'une différence déterminée des tensions,sont fermés par l'aiguille et agissent au moyen de relais et de commutateurs automatiques sur les moteurs de réglage du laminoir dans un sens tel que la répartition non-uniforme de la traction sur- la largeur du ruban laminé est supprimée.
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L.n û raccordé en outre aux contacts de prise der- rière l'instrument de mesure 31, chaque fois une extrémité d'une résistance de même grandeur '.il et W2 respectivement,
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ces résistances étant reliées ensemble à leurs autres extré- mités de telle manière qu'en ce point de liaison se présente la valeur moyenne des tensions soutirées par 1 deux contacts de prise de potentiomètre Pl et P2. Cette valeur moyenne des tensions; qui correspond à la trac tien d'ensemble moyenne exercée sur la matière laminée, est indiquée par l'instrument de mesure 32.
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Au point de liaison des deux résistances \'11 et 'N2 se trouve raccordée en outrel'une des extrémités d'une bobine SP2 dont l'autre extrémité est reliée au contact de prise d'un
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troisième -potentiomètre P3 réglable à la main, directement ou par une commande à- distance, lequel potentiomètre sert éi i% éa- liser une traction d'ensemble moyenne désirée dans le ruban
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laminé.
La bobine SP2' qui peut tre la bobine de commande d'un régulateur Tirill ou, comme dans le cas représenté, la bobine
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de commande d'un l'émulateur '13:oma , est excitée par la dif1'Ó- rence de lavaleur moyenne des tensions des deux potentiomètres P1 et P2, valeur moyenne indiquant la trac tien d'ensemble moyenne qui se présente effectivement dans le ruban laminé, et de
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la tension au i.Dci-(,i7ii:içxilètre P3 correspondant à la valeur désirée de la tension de traction d'ensemble moyenne, 8t elle peut être utilisée pour commander l '2,ctioD:.'l.cnent du moteur du dévidoir, de te lle manière que la valeur nominale réglée au moyen du potentiomètre 1>3 pour la traction d'ensemble moyenne soit conser- vée .
Le champ 13b du moteur de dévidoir est excité de façon constante par la machine excitatrice EM. La machine excitatrice est actionnée avec un nombre de tours constant par le moteur-transformateur UM et es montée s ur le. même arbre
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qu'une génératrice Léonard LG pour l'alimentation de l'induit du moteur de dévidoir. Pour faire varier le nombre de tours du moteur de dévidoir, on modifie le champ FG de , la génératrice Léonard par le régulateur à résistance R dont le balai B est accouplé au piston rotatif K d'un régulateur Thoma Th. Le piston rotatif K est commandé par une soupape de distribution V qui relie l'un ou l'autrecoté du piston rotatif à un tuyau d'amenée ZR de liquide sous pression.
La soupape V est commandée d'une manière connue par deux bobines d'aimant SP1 et SP2parmi lesquelles la bobine SP1 est excitée de façon constante et maintient, lorsque l'aimant SP2 n'est pas excité, le piston de la soupape eontre le ressort F dans une position médiane pour laquelle les deux c6tés du piston rotatif K sont coupés de la conduite d'amenée ZR.
Lorsque la bobine SP2 est parcourue par le courant dans le'même sens que la bobine SP1, son champ vient en aide. au champ de la bobine SP1 et par conséquent le piston de la soupape est déplacé vers le haut à partir de la position médiane, de sorte que le côté de gauche du piston rotatif K est relié au liquide sous pression dans.¯le tuyau d'amenée ZR et le coté de droite est relié à l'échappement, tandis que, lors de l'excitation de la bobine SP2 en sens inverse, le piston de soupape est déplacé vers le bas et le côté de droite du piston rotatif est relié au liquide sous pression.
pour l'explication du fonctionnement de la commande représentée pour maintenir automatiquement la traction d'ensemble moyenne désirée, réglée par le potentiomètre P3, dans le ruban laminé, on supposera d'abord que le ruban laminé se meut du la- minoir 3 vers le dévidoir 2 par lequel il est enroulé, un supposera en outre que le moteur de laminage non représenté n'est pas mis en circuit et que le potentiomètre P3 se trouve dans la positien la plus élevée représentée pour laquelle la traction réglée est égale à zéro.
Toutes les autres pièces prendront la position
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représentée au. dessin.Lorsqu'alors lepotentiomètreP3 est déplacé vers le bas pour le réglage d'une traction d'ensemble désirée dans le ruban laminé, une tension plus faible est prise par le contact de prise du potentiomètre P3 que celle appliquée aux contacts de prise des potentiomètres P1 et P2 et il s'établit par conséquent un écoulement de courant de la borne pas itive de la machine excitatrice par les contacts de prise des poten- tiomètres P1 et P2, les résistances W1 et W2, la bobine SP2, vers le contact de prise, se trouvant à une tension plus petite, du potentiomètre P3 ;
ce courant s'écoule dans la bobine Sp2 en sens inverse du courant de la bobine spi et affaiblit par consé- quent le champ de celle-ci, de sorte que le piston de soupape V est attiré vers le bas par le ressort :±1'. En conséquence, le côté de droite du piston rotatif K est relié au liquide sous pression dans le tuyau ZR et le piston est mis en rotation dans le sens de rotation desaiguilles d'une montre; tandis qu'il déplace dans le même s ens le balai B du régulateur à résistance R. De ce fait; le champ FG de la génératrice Léonard LG est relié à la tension et la génératrice Léonard LG produit une tension qui est appli- guée à l'induit du moteur 13 du dévidoir.
Comme le champ 13b est excité de façon constante, le moteur de dévidoir exerce un moment de rotation par lequel le dévidoir 2 est mis en rotation dans le sens de l'enroulement et le ruban laminé est tendu. De ce fait, les leviers 20 et 21 sont refoulés versle bas et avec eux les contacts de prise des potentiomètres P1 et P2.
Ceci se produit jusqu'a ce (due les potentiomètres P1 etP2 occupent la même position en hauteur e t prennent la même tension que le contact de prise du -potentiomètre P3 La bobine SP2 devient alors sans courant et le pis ton de soupape V revient dans la position de blocage représentée et le piston rotatif K reste par conséquent dans la position prise en dernier lieu, Lorsqu'alors le moteur de laminage est mis en circuit et que le ruban laminé est déplacé vers le dévidoir 2, le moteur de dévidoir se met aussia tourner et il pro- duit une force contre-électro-motrice par laquelle le courant
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d'induit et par conséquent son moment de rotation sont aff'aiblis.
La traction dans le ruban laminé diminue par conséquent et les contacts de prise des potentiomètres P1 et P2 sont de nouveau déplacés quelque peu vers le haut par les ressorts 20 et 21, de sorte que la bobine SP2 est de nouveau parcourue par le courant en sens opposé du courant de la bobine Spl. Le piston de soupape V est de nouveau attiré vers le bas et le pistai, rotatif K est tourné davantage dans le sens des aiguilles d'une montre, de sorte que par le balai B une plus grande partie de la résistance est mise en court-circuit dans le circuit de chanp de la génératrice Léonard.
Par conséquent, la tension produite par la génératrice Léonard est augmentée et un plus grand courant d'induit est envoyé dans le moteur de dévidoir 13, de sorte que son moment de rotation et par conséquent la traction dans le ruban laminé s'élèvent de nouveau jusqu'à ce que les p otentiomètres P1 et P2 prennent de nouveau la même position que le potentiomètre P3 et que par conséquent la traction d'ensemble réglée à ce potentiomètre soit de nouveau atteinte dans le ruban laminé.
Le même agencement est prévu, dans un laminoir à inver- sion, également au dévidoir de déroulement. Lorsqu'alors, à l'arrêt, le potentiomètre P3 est déplacé vers le bas pour établir par réglage une traction désirée, le régulateur R est déplacé vers la gauche exactement de la manière qui a été décrite pour 1''agencement du dévidoir d'enroulement , à partir de la position de repos représentée, et le moteur du dévidoir de déroulement tend à tourner dans le sens de l'enroulement en exerçant une trac tien sur le ru- ban Jusou'à ce que les potentiomètres P1 et, il 2 établissent la même tension que le potentiomètre P3.
Lorsqu'alors le moteur de laminoir est mis en marche, le moteur du dévidoir de déroulement est actionné contre son moment de rotation et il fonctionne par conséquent comme génératrice. De ce fait, le courant dans son circuit d'induit est renforcé et la traction exercée sur le ruban laminé est également augmentée de sorte qu'alors les potentiomètres Pl et P2 sont déplacés vers le bas au-delà de la position corres-
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pondant au potentiomètre P3.
Par conséquent, une tension plus élevée est prise alors au potentiomètre P2 qu'au potentiomètre P3 et le courant dans la bobine SP2 renverse sa direction, de sorte qu'alors le piston de soupape est déplacé vers le haut et le coté de gauche du piston rotatif est mis en commu- nication avec le liquide sous pression.
Le piston rotatif fait tourner le balai B du régulateur K dans le sens du retour 'vers la position dezéro. Lorsqu'on marche avec un nombre de tours suffisamment bas pour que la tension induite pour le moteur 13 de dévidoir suffise pour faire passer le courant dans le circuit d'induit en surmontant la résistance ohmique, le balai B est ramené par rotation jusque dans la position de zéro et mis à l'arrêt dans cette position.
Dans le cas d'un nombre de tours plus élevé du moteur de laminage, le courant d'induit est renforcé par l'effet de génératrice de la machine de dévidoir, au point que le balai B est amené par rotation du côté droit de la position de zéro, de sorte que le champde la gé- nératrice Léonard LG estinversé et que par conséquent la génératrice Léonard est actionnée comme moteur. De ce fait; le courant d'induit est abaissé et la traction dans le ruban laminé diminue. Ceci continue jusqu'à ce que les potentiomètres P1 etP2 soient de nouveau parvenus à la même hauteur que le potentiomètre P3.
R e v e n d i c ati ons.
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