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MINISTERE DES AFFAIRES ECONOMIQUES ROYAUME BELGIQUE MINISTERE DES AFFAIRES ECONOMIQUES ROYAUME DE BELGIQUE ET DES CLASSES MOYENNES ROYAUHE BELOOUE
Direction Générale de l'industrie etdu Commerce
Administration du Commerce
Service de la
Propriété Industrielle et Commerciale
N 437. 719
LE MINISTRE DES AFFAIRES ECONOMIQUES ET DES CLASSES MOYENNES,
Vu l'arrêté-loi du 8 juillet 1946, prorogeant, en raison des événements de guerre les délais en matière de propriété industrielle et la durée des brevets d'invention ;
Vu la requête introduitele 18 juin 1947 par Asso.ciated Telephone & Telegraph Company
Vu la publication de cette requête au Moniteur Belge d u 6 février 1948
Considérant qu'aucune réclamation n'a été introduite, dans le délai réglementaire, à la suite de cette publication ;
Considérant qu'il résulte des justifications fournies à l'appui de la requête que le brevet No la.37.719 pour .
Systèmes téléphoniques n' a pu être exploité , par suite de l'état de guerre, pendant une période équivalent à cinq années d'exploi- tation normale ;
Considérant, d'autrepart, que le maximum de prolongation prévu par l'arrêté-loi du 8 juillet 1946 est fixé à cinqans;
ARRETE:
ARTICLE PREMIER. - La durée du brevet No 437.719 pour : Systèmes téléphoniques . accordé à Associated Téléphone & Telegraph Cy pour prendre cours le 18 janvier 1940 est prolongée de cinq années.
ART. 2. - La prolongation est accordée sous condition du paiement, dans le mois de son octroi, de la taxe spé- ciale prévue à l'art. 6 de l'arrêté-loi du 8 juillet 1946 précité.
ART. 3. - Le présent arrêté sera annexé au titre du brevet.
Bruxelles, le 29 fevrier 1952.
AU NOM DU MINISTRE :
Le Fonctionnaire délégué, @
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"Jystèmes téléphoniques".
La présente invention est relative à des systèmes de téléphonie, elle concerne plus particulièrement des systèmes ayant la possibilité d'imprimer automatiquement les informations se rapportant à une communication.
Dans le dispositif qui a été proposé jusqu'à pré- sent, l'identification des abonnés dont les indicatifs sont enregistrés a été faite suivant un code numérique et s'il ne peut surgir aucune difficulté au sujet du nu- méro de l'abonné appelant, il n'est pas évident que le code numérique employé pour désigner le réseau ou la zone et le réseau pourra être compris immédiatement par l'abonné
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et,un objet de la présente invention est d'imprimer l'in- dicatif du bureau auquel est raccordé l'abonné demandé sous une forme qui puisse en permettre une identifica- tion immédiate.
L'objet de la présente invention est de procurer une disposition permettant d'imprimer un certain nombre de lettres du nom du bureau ou de la zone en lieu et place ou en supplément de l'indication du code numérique de ce bureau ou de cette zohe.
Suivant une caractéristique de l'invention, on procure un dispositif de traduction qui à la réception de chiffres représentant une zone ou un bureau effectue une opération de transformation affectant un certain nom- bre de lettres du nom du bureau ou de la zone et ayant pour résultat l'impression par la machine à imprimer de ces lettres en lieu et place de chiffres.
Suivant une autre-caractéristique de l'invention, un dispositif de sélection destiné à être amené en un certain nombre de positions, chacune d'elles représentant un bureau ou une zone différente, provoque l'impression par la machine à imprimer du nom ou d'une partie du nom du bureau ou de la zone correspondant à la position prise par le dispositif de sélection.
Suivant une autre caractéristique de l'invention, les différents termes constituant l'information requise sont transmis sous la forme d'impulsions codifiées vers un dispositif enregistreur qui comprend des organes ser- vant à la traduction des impulsions reçues et un disposi- tif de commutation comprenant au moins un commutateur à deux mouvements qui est mis en position en concordance avec le groupe de chiffres désignant le bureau ou la zone
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de l'abonné demandé et qui sert à commander le fonction- nement de la machine qui doit imprimer un certain nombre de lettres représentant le nom du bureau ou de la zone.
L'invention sera mieux comprise par la description qui va suivre d'un cas d'application pour laquelle on se reportera aux plans annexés.
Ces plans comprennent : la fig. 18 et les fig. 52 à 68 et 71 à 73 et les fig. 18, 52 à 68 et 69 correspondant les à des figures portant les mêmes numéros dans spécifications de brevets déposés antérieurement.
Plus spécifiquement, la fig. 18 montre le code employé pour la transmission des divers termes de l'infor- mation. Les fig. 52 à 67 représentent les circuit du dis- positif de commande de la machine à imprimer et de cette machine elle-même qui ont été décrits dans les brevets mentionnés ci-dessus, mais modifiés pour travailler en liaison avec le dispositif de traduction montré aux fig.
70 et 71 et qui est nécessaire pour imprimer sur le ticket les trois ou quatre premières lettres désignant le bureau ou la zone. Ces figures doivent être assemblées comme le demande la fig. 69. Enfin la figure 68 montre un ticket imprimé fournissant les indications particulières relati- ves à une communication téléphonique.
Une description détaillée de tous ces circuits ne sera cependant pas faite ici puisqu'une description de ce genre a été donnée dans les brevets mentionnés ci-dessus.
Dans la présente spécification une description détaillée des circuits ne sera faite que pour autant que le mode de fonctionnement soit différent de celui expliqué dans les spécificationsde brevets dont il a été question ci-dessus, mais une brève description sera donnée du fonctionnement
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général du circuit considéré dans son ensemble.
Le dispositif de commande de la machine à imprimer est mis en service à la fin de l'établissement d'une com- munication par l'intermédiaire d'un circuit de contrôle d'une ligne interurbaine. Le circuit de contrôle de la ligne interurbaine a enregistré l'information suivante :
1. Le numéro de l'abonné appelant.
2. Le numéro de l'abonné appelé.
3. Le taux de base pour le coût de la communication.
4. La durée de la communication.
5. Un indication spéciale si l'abonné appelant désire avoir connaissance à la fin de la com- munication du prix total de celle-ci -
L'information en question est enregistrée sous forme de code dans le circuit de contrôle de la ligne interurbaine et au moment de la mise en service du dispo- sitif de commande de la machine à imprimer, elle est trans- férée vers un groupe de relais enregistreurs de ce disposi- tif ainsi que l'indication de l'heure et du jour dans le mois. Ce transfert s'effectue par l'intermédiaire des balais 1348 à 1351 du commutateur IP2 (Fig.52). Les con- tacts de banc correspondant à ces balais sont connectés chacun à un relais dans un groupe de quatre relais d'en- registrement.
Le contact 1 du balai 1348 est donc con- neoté au relais 1 du groupe d'enregistrement XXI; le con- tact 1 du balai 1349 est connecté au relais 2 du groupe 'd'enregistrement XXI et ainsi de suite. Parmi ces grou- pes ceux marqués XXI, XXII, XXIII, I, VI, VII et XIII sont représentés complètement, les autres ayant été omis pour éviter lacômpliation du plan.
Le premier terme de l'information à transférer est le taux de base pour le coût de la communication, celui-ci
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est enregistré dans le groupe XXI. La durée de la com- munication en dizaines et unités de minutes est enregis- trée dans les groupes XXII et XXIII et dès que cette indi- cation est enregistrée un commutateur calculateur à deux mouvements parmi le groupe TD5, TD6 et TD7 est sélectionné conformément au fonctionnement des relais du groupe XXI, le commutateur RS7 commandant la sélection du commutateur à deux mouvements ainsi que celle des balais appropriés du commutateur sélectionné.
Le terme suivant qui doit être enregistré dans le dispositif de commande de la machine à imprimer est le nu- méro de l'abonné appelant qui est enregistré dans les grou- pes I à V. Après celui-ci vient le numéro de l'abonné appelé qui comprend sept chiffres, le chiffre initial 0 n'étant pas enregistré, il est enregistré dans les groupes VI à XII. Parmi ces groupes d'enregistrement ceux numé- rotés VI et VII sont représentés en détail à la fig.72 et il faut noter que chaque groupe de relais d'enregistrement en plus de ce qu'il possède des contacts de blocage comman- de aussi une pyramide*de contacts qui sert à décoder l'in- formation enregistrée.
Dès que le troisième chiffre émis a été enregistré par le groupe VII un circuit s'établit comme suit : terre, contacts 1639, 1643, 1648 ou 1654 (fig.
70) contacts de fermeture avant rupture associésau ressort 1655, contact 1656, enroulement de l'électro d'ascension 1612 du commutateur à deux mouvements TD8 (fig. 71) négatif.
L'électro d'ascension 1612 s'excite et fait monter les ba- lais d'un pas ; aucontact 1659, il connecte la terre à l'en- roulement du relais 1608. Le relais 1608 fonctionne et au contact 1655 ouvre le circuit de l'électro d'ascension qui vient d'être décrit. L'électro d'ascension et le relais
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1608 continuent leur action réciproque jusqu'à ce que le balai vertical 1614 atteigne un contact auquel est connectée une terre, transmise par l'intermédiaire de la "pyramide" de contacts commandée par les relais du groupe VI, en tenant compte du chiffre enregistré par ce groupe.
Quand ceci se produit, le relais 1609 fonctionne et au ressort 1656 et à son contact de repos il ouvre le cir- cuit de l'électro d'ascension 1612, au contact de travail il ferme le circuit de l'électro de rotation 1613 du com- mutateur à deux mouvements TD8 par l'intermédiaire du con- tact 1658. Ltélectro de rotation 1613 s'excite et ferme le circuit du relais 1608, au contact 1660 ; ce fait une action réciproque intervient entre l'électro et le relais d'une manière identique à celle qui a été décrite pour l'électro d'ascension 1612.
Cette action réciproque se poursuit jusqu'à ce que le balai 1615 du commutateur TD8 ait atteint le contact qui a été connecté à la terre par l'intermédiaire de la "pyramide"de contactscommandée par les relais du groupe VII en tenant compte du chiffre enregistré par ce groupe. Le relais 1610 fonctionne donc, au contact 1658 il ouvre le circuit de l'électro de rota- tion 1613. Le commutateur à deux mouvements a donc été mis en position en concordance avec les deuxième et troi.:- sième chiffres émis par l'abonné appelant, c'est-à-dire conformément à la désignation de la zohe à laquelle appar- tient l'abonné appelé, il s'ensuit que la position prise par les balais est caractéristique de cette zone et d'au- cune autre.
Par conséquent, au moyen de connexions croi- sées établies entre les balais 1616,1617 et 1618 et les fils A, B, C.... X, Y, Z qui commandent les électro-aimants alphabétiques de la machine à imprimer, on pourra imprimer trois lettres du nom de la zone au lieu des deux chiffres représentant cette zone. La conception du commutateur à deux mouvements est donc celle d'un dispositif de
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traduction.
La mise en position du commutateur TD8, la sélec- tion et la mise en position d'un des commutateurs TD5, TD6 et TD7 et l'enregistrement des autres termes de l'informa- tion par le dispositif de commande de la machine à imprimer s'effectuent simultanément. Le relais 1308 (fig.63) fonc- tionne à la fin du mouvement de rotation du commutateur sé- lectionné parmi TD5, TD6 et TD7 et quand le commutateur TD8 a aussi été mis en position, le circuit suivant s'établit : terre, contact 1657 (fig.70), contact 1433 du relais 1308 (fig.63) enroulement inférieur du relais 1303, négatif.
Le. relais 1303 fonctionne et se bloque par l'intermédiaire du contact 1419; au contact 1418 il ferme le circuit sui- vant : terre, balai 1352 du commutateur IP2 (fig.56) balai 1363 du commutateur TS sur la deuxième partie de son banc (fig.58) contact 1416 en position de travail, contact 1411, fil 1463, enroulement du relais 1508, négatif. Quand le relais 1508 fonctionne il met en action le distributeur AL qui associe une machine à imprimer au dispositif de comman- de de celle-ci ; ce fait, le circuit suivant s'établit : terre, contact 1532 (fig.66) enroulement du relais 1505, balai 1512, fil 1462, enroulement du relais 1302, contact 1418, contact de banc et balai 1362, résistance et négatif.
Le relais 1505 du chercheur de machine à imprimer PF et le le relais 1302 du dispositif de commande fonctionnent; au contact 1414, le relais 1302 établit un nouveau circuit pour l'alimentation du relais 1304, générateur d'impulsions, ce circuit prenant une terre au contact 1437; au contact 1677, le relais 1302 prépare en un point le circuit d'alimentation de l'électro 1393 du commutateur GT. De plus au contact 1675, le relais 1302 prépare le circuit du relais 1662.
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Le relais 1662 a été adjoint au circuit du dispositif de oommande de la machine à imprimer dans le but de permettre l'impression, si nécessaire, d'un astérisque sur le ticket pour indiquer que l'abonné désire connaître sans délai le prix de la communication. Précédemment, la commande de cette impression était contrôlée par le contact 1 associé au balai 1371 du commutateur OP2. On doit comprendre que puisque trois lettres au moins doivent être frappées au lieu de deux chiffres comme on l'avait prévu dans l'arran- gement antérieur, une position supplémentaire est requise dans le banc associé aux balais 1371 et 1372. En utili- sant le relais 1362 pour commander l'impression de l'asté- risque, une position supplémentaire a été rendue disponible dans le banc de contacts associé au balai 1371.
Si on suppose que l'astérisque doit être frappé, le relais 1300 aura été excité par l'intermédiaire du com- mutateur IP2 amené en position 4 et par conséquent au moment du premier fonctionnement du relais 1304, sous l'action du circuit décrit ci-dessus, une terre est connectée au fil 1469, aboutissant à l'électro d'impression de l'astérisque, suivant le parcours comprenant : le ressort 1422 (fig.63), le contact 1417 en position de travail, les contacts 1413, 1666 et 1407. L'astérisque est donc imprimé sur le ticket.
De plus, au moment du premier fonctionnement du relais 1304, le circuit d'alimentation da l'électro 1393 du commutateur GT se ferme comme suit : terre, contacts 1412,1421, 1677, 1676, enroulement de l'électro 1393, négatif. Enfin au moment du premier fonctionnement du relais 1304, le circuit du relais 1662 s'établit comme suit: terre au contact 1412, contacts 1421,1675, 1665, enroulement du relais 1662, négatif. Le relais 1662 est un relais à deux temps, il ferme son contact
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"X" 1667 seul à ce moment. Quand le relais 1304 retombe, le relais 1662 fonctionne à fond sous l'action des deux enroulements connectés en série et par l'intermédiaire de son contact "X" 1667 et de la terre prise en 1427.
Au contact 1666, le relais 1662 ouvre le circuit qui connecte une terre au fil 1469 de telle sorte que l'électro corres- pondant dans la machine à imprimer ne soit plus alimenté.
De plus, au ressort 1665 et à son contact de repos, le re- lais 1662 ouvre s'on circuit d'alimentation initial, au con- tact au travail il prépare le circuit de l'électro 1396 du commutateur OP2, ce circuit s'établissant au moment du fonctionnement complet du relais 1304. Aux contacts 1663 et 1669, les paires de balais 1371,1372 et 1373, 1374 du commutateur OP2 sont connectées à la terre sous le contrôle des contacts 1420 et 1421, respectivement, du relais 1304, générateur d'impulsions. On remarquera que l'utilisation des contacts 1663, 1664 et 1665 a rendu le fonctionnement du commutateur OP2 impossible jusqu'à ce que l'impression de l'astérisque ait été effectuée.
Enfin le relais 1662, au contact 1676, ouvre le circuit de l'électro 1393 du com- mutateur GT qui a été décrit ci-dessus, cet électro retombe et fait donc avancer les balais en position 2.
Quand le relais 1304 fonctionne pour la deuxième fois, l'électro 1396 s'excite comme il a été dit ci-dessus et prépare l'avancement des balais du commutateur OP2.
Puisque les balais du commutateur GT sont maintenant sur le contact 2, les relais de transfert 1310 à 1313 ont fonctionné en concordance avec le fonctionnement des re- lais du groupe d'enregistrement I. Par conséquent, quand la terre est connectée au contact 1 par l'intermédiaire du balai 1371 elle se prolonge par l'intermédiaire de la
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la "pyramide"de contactscontrôlée par les relais de trans- fert des fils appropriés aboutissant aux électron-aimants de la machine à imprimer. De plus, l'électro 1393 du commutateur GT est alimenté de nouveau au moment du deuxi- ème fonctionnement du relais 1304, mais cette fois le cir- cuit emprunte le balai 1373 du commutateur OP2 placé sur le contact 1.
Quand le relais 1304 retombe l'électro 1396 retombe à son tour et fait avancer les balais du com- mutateur OP2 sur le contact 2 et le circuit de l'électro 1393 du commutateur GT est coupé lui aussi au moment de la libération du relais 1304' de telle sorte que les balais soient amenés sur le contact 3. Cette action réciproque entre le relais 1304 et les électro-aimants des commutateurs OP2 et GT se poursuit jusqu'à ce que les balais du commuta- teur OP2 aient été amenés sur le contact 6, à ce moment les chiffres enregistrés dans les groupes I à V des relais d'enregistrement et comprenant le numéro de l'abonné appe- lant ont été imprimes sur le ticket.
Les balais 1371 du commutateur OP2 étant en position sur le contact 6 et dès que le relais 1304 fonctionne, la terre est connectée au fil 1467 aboutissant à la machine à imprimer de manière à provoquer le fonctionnement du mécanisme d'entraînement.
Les balais du commutateur GT n'avancent cependant pas dans ce cas. Le contact 7 associé au balai 1371 est laissé neutre dans le banc de manière à donner au mécanisme d'en- trainement un temps suffisant pour l'accomplisseznent de sa fonction. Les contacts 8, 9 et 10 associés au balais 1371 sont connectés aux balais 1616,1617 et 1618 du commutateur TD8, donc quand le commutateur OP2 passe sur ces positions, la terre est connectée à chacun des balais à son tour pour provoquer l'impression des trois premières lettres du nom
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bureau ou de la zone.
On remarquera que pendant ce temps les balais du commutateur GT doivent passer au- dessus de deux contacts qui dans la disposition antéri- eure effectuaient le transfert des chiffres enregistrés dans les groupes VI et VII vers les relais de transfert 1310 à 1313. Par conséquent, quand le balai 1373 du com- mutateur OP2 est sur les contacts 10 et 11 une terre est donnée par l'intermédiaire de ce balai pour provoquer le fonctionnement de l'électro 1393 du commutateur GT. On remarquera qu'on peut aussi modifier le câblage des bancs du commutateur GT dans le but d'éviter la présence de deux contacts inutilisés.
Dans certains cas, si les trois premières lettres du nom de deux zones sont les mêmes, il sera nécessaire d'imprimer les quatre premières lettres de ces noms. Le fait que le quatrième chiffre du numéro de l'abonné appelé doit être imprimé sous forme de chiffre ou de lettre est déterminé suivant l'état dans lequel se trouve le relais 1611. Le fonctionnement de ce relais dépend du fonction- nement d'un ou de plusieurs contacts des relais du groupe d'enregistrement VI. Si le deuxième chiffre émis par l'abonné appelant est 2 ou 3 le circuit suivant s'établit: terre, contact 1620, contact 1626 ou 1630, enroulement du relais 1611, négatif. Quand le relais 1611 fonctionne, il prépare, au contact 1661, un circuit qui se complète quand le balai 1371 du commutateur OP2 s'avance sur le contact 11.
Ce circuit est le suivant : terre au balai 1371 sur le contact 11, contact 1661 vers la "pyramide" de contactscontrôlée par les relais de transfert 1310 à 1313.
Dans ce cas, le troisième chiffre émis par l'abonné appe- lant est imprimé sur le ticket sous forme d'un chiffre
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puisque les relais de transfert ont fonctionné, par l'in- termédiaire des balais du commutateur GT placé sur le con- tact 9, en concordance avec l'état des relais du groupe d'enregistrement VIII.
Cependant, si le relais 1611 n'a pas fonctionné, une terre est envoyée par l'intermédiaire du balai 1371 placé sur le contact 11, du contact 1661 en position de repos et des balais 1619 vers l'enroulement de l'électro- aimant alphabétique approprié. Une quatrième lettre est donc imprimée dans ce cas et bien que lesrelais de trans- fert fonctionnent de nouveau en concordance avec le fonc- tionnement du groupe d'enregistrement VIII, ceci n'a au- cun effet puisqu'il n'y a pas de terre connectée aux con- tacts contrôlés par les relais de transfert.
Quand les balais du commutateur OP sont amenés sur le contact 12, une terre est de nouveau connectée au balai 1371 et aux contacts contrôlés par les relais de transfert dans le but d'imprimer les termes restant de l'information requise, comme il est décrit dans les spécifications de brevets mentionnées antérieurement. Une nouvelle descrip- tion de cette opération n'est cependant pas considérée comme nécessaire pour la bonne compréhension de la présente invention.
En ce qui concerne la..libération des organes supplé- mentaires, on peut voir que les relais d'enregistrement seront libérés au moment où le relais 1306 retombera, ainsi qu'il a été décrit déjà. En ce qui concerne le retour en position de repos du commutateur à deux mouvements TD8, la libération des commutateurs à deux mouvements TD5, TD6 et TD7 s'effectue ainsi qu'il a été décrit dans les spéci- fications rappelées ci-dessus, au moment où le relais 1306 retombe quand la terre du contact 1428 est amenée aux enrou- lements des électros de libération des trois commutateurs
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en parallèle. On s'est arrangé pour que la même terre soit également connectée, par l'intermédiaire des res- sorts d'arbre 1665, à l'électro de libération 1664 du commutateur TD8 dans le but de ramener celui-ci en po- sition de repos.
On doit comprendre que l'application décrite ci- dessus est donnée comme exemple seulement et que l'inven- tion peut être utilisée d'autres façons. Par exemple, il peut se faire que le code du bureau ou de la zone comprend trois chiffres au lieu de deux comme cela se présente dans le district de Londres. Un des modes opé- ratoires dans ce cas serait d'employer un commutateur à deux mouvements qui fonctionnerait sous l'action des im- pulsions du premier chiffre et qui rechercherait alors automatiquement un deuxième commutateur à deux mouvements qui fonctionnerait sous l'action des deuxième et troisième chiffres. Le contrôle des fils d'impression pourrait alors être effectué par l'intermédiaire des balais de l'un ou des deux commutateurs.
On doit comprendre que le type de dispositif tra- ducteur qui est employé peut être changé. La propriété essentielle du dispositif de traduction est qu'il doit avoir une position caractéristique pour chaque bureau ou chaque zone. Il pourrait donc être possible de disposer plusieurs commutateurs à simple mouvement de telle sorte que sur chacun d'eux soit enregistré un des chiffres re- présentant le nom du bureau ou de la zone et que des indi- cations soient envoyées de ces commutateurs vers des con- tacts de bancs d'un chercheur quiseratmis en service pour rechercher ces indications et pour commander le fonction-
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nement de la machine à imprimer par l'intermédiaire d'un des balais.
En alternative, un code numérique représentant le nom du bureau peut être converti en un code alphabé- tique représentant le nom du bureau par des modifications apportées au traducteur enregistreur qui fonctionne d'abord sous l'action des impulsions envoyées par l'abonné appelant et qui au lieu d'envoyer sur les lignes des impulsions correspondant au code numérique, pour lequel un maximum de dix combinaisons serait requis, @ enverrait sur la li- gne un code alphabétique pour lequel un maximum de trente- six combinaisons serait requis. Actuellement, les lettres Z et Q n'étant pas utilisées, seules trente-quatre combinai- sons sont nécessaires.
Les organes de réception qui, éventuellement, font fonctionner la machine à imprimer devraient être modifiés en conséquence, de telle sorte qu'ils soient capables de recevoir un code alphabétique et de le transférer vers la machine à imprimer.
On remarquera que trois et même quatre lettres peuvent ne pas être suffisamment distinctives et peuvent conduire à certaine confusion, mais il n'y a aucune raison pour que d'autres lettres ne puissent pas être employées, tout e qui est nécessaire étant de prévoir plus de balais sur le commutateur TD8. Ceci sera habituellement suffi- sant si celles-ci sont limitées à quatre ou cinq et ne sont pas nécessairement les premiers caractères du nom du bureau.
Par exemple, les quatre premières lettres ne permettront pas d'effectuer une distinction entre des noms de bureaux tels que : Waltham Cross, Walthamstow et Walton-on-Thames, mais Waltham Cross peut être représenté
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par les lettres "WLTX"; Walthamstow pourrait être re- présenté par "WLTMW" et Walthon-on-Thames par "WLTNT"
De plus pour réduire le nombre des fils reliant le dispositif de commande de la machine à imprimer et cette machine elle-même, la commande entre les deux circuits pourrait s'effectuer par code. Un code à 6 chiffres pourrait probablement être suffisant et six fils seulement relieraient les deux circuits pour ef- fectuer l'impression des lettres.
Des relais destinés à la traduction du code devraient alors être prévus dans la machine à imprimer et les électro-aimants d'impression devraient être commandés par l'intermédiaire des contacts ,de ces relais.