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SYSTEMES POUR BUREAUX CENTRAUX DE
TELECOMMUNICATIONS
L'invention se rapporte à des établissements automatiques des fiches dans le système pour bureaux centraux de télécommunications.
On a supposé jusqu'à présent que l'établissement automatique des fiches serait appliqué à tous les appels passant à travers les circuits de communication avec lesquels l'équipement automatique des fiches est associé. Cependant il se pose la question d'utiliser l'équipement pour obtenir des enregistrements détaillés d'appels à longues distances faits par certains abonnés même dans le réseau ou le oomptage automatique technique de la durée et de la zone a lieu.
On a aussi trouvé qu'en général pas plus que 15% du nombre total d'a -bonnes d'un réseau utilisent des appels à longues distances, et donc
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à ce point de vue, l'équipement d'établissement automatique des fiches pour des appels à longues distances doit être seulement prévu pour ce pourcentage de 15% d'abonnés connus
Il se peut aussi qu'une compagnie qui possède un bureau privé annexe automatique désire avoir des enregistrements détaillé$ de tous les appels à longues distances faits par de bureau. Un des buts de l'invention est de prévoir des moyens par lesquels l'enregistrement automatique des fiches est possible seulement pour un nombre limité d'abonnés ou pour une classe particulière d'appels.
La question de avoir si oui ou non un enregistrement automatique est nécessaire pour un certain appel, dépend non seulement de la destination de l'appel mais aussi de son origine. Par exemple si l'équipement d'enregistrement automatique des fiches est placé au oentre interurbain d'un réseau à bureaux multiples, la plupart des appels passant à travers ce centre et le centre interurbain d'un autre réseau quelconque à bureaux multiples devront être enregistrés* Pour d'autres appels, cependant, à cause de la proximité des bureaux appelé et appelant, aucun ticket ne devra être fait. Un autre but de l'invention est dono de rendre l'enregistrement automatique; seulement valable pour certains appels déterminés par les marques d'identité des abonnés appelant et appelé.
Le fait prinoipal de l'invention oomprend un système pour bureau central automatique de télécommunications dans lequel un équipement pour l'établissement automatique des fiches commun à un certain nombre d'abonnés est prévu. Cet équipement est caractérisé par un dispositif distinctif arrangé pour amener en usage l'équipement pour des appels d'une certaine classe ou pour des appels faits par des abonnés d'une certaine classe.
Suivant un autre fait caractéristique de l'invention un sys -tème pour bureau central automatique de télécommunications comprend un équipement pour l'établissement automatique des fiches caractérise par un dispositif qui distingue l'identité de l'abànné appelant et l'identit'é de l'abonné appelé. et qui détermine si un équipement pour l'établissement automati que des fiches doit être utilisé avec cet appel ou non.
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Dans le brevet anglais No. 10.560/38 on a décrit un équipement pour déterminer le tarif à appliquer à différents appels, cette détermination étant faite en concordance avec l'identité du bureau '. appelant et l'identité du bureau appelé. Un tel équipement peut être adapté à .la présente invention.
L'invention est mieux comprise de la description suivante de certaines de ses/formes de réalisation montrées sur les dessins ci-joints. Sur ceux-ci:
La figure 1 montre schématiquement le plan géographique d'un réseau téléphonique à bureaux multiples dans lequel l'invention est appliquée ;
La figure 8 montre des circuits enregistreurs de fiches additionnels pour un groupe d'abonnés d'un bureau central principal, ces circuits/étant mis en usage lors du marquage sur le disque numéroteur d'un ou plusieurs chiffres distinctifs d'une certaine classe d'appels comme par exemple des appels interurbains ;
La figure 3 montre des arrangements de circuits pour bureaux privés annexes destinés à prévoir des facilités d'enregistrement automatique des fiches pour les appels extérieurs qui sont des appels interurbains;
Les figures 4 et 5 montrent respectivement deux arrangements de circuits modifiés pour bureaux privés annexes;
La figure 6 montre l'application de l'équipement pour l'éta- -blissement automatique des fiches à l'extrémité vers le bureau central des lignes de jonction du bureau privé annexe;
La figure 7, subdivisée en 7A et 7B, est un circuit détaillé en concordance avec la figure 2'
La figure 8, subdivisée en SA, 8B, et SC, représente un circuit détaillé semblable à celui de la figure 3.
Sur la figure 1, on a montré quatre réseaux téléphoniques contigus A, B, C, D, ayant chaoun son centre interurbain propre.
Les réseaux A et B sont des réseaux à bureaux multiples, tandis que les réseaux C et D sont des réseaux à simple bureau. Le centre in- terurbain de B sert comme bureau international et tandempar rapport à tout le système,. Dans la pratique générale, le tarif d'appel
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pour des appels téléphoniques faits des réseaux A vers B ou A vers C ou A vers D sont tous les mêmes en regard des parties situées dans les réseaux A et B ou A et C ou A et D.
Donc l'équipement imprimeur de tickets est placé dans le centre interurbain d'un téseau téléphonique, et comme règle générale, afin de déterminer si un ticket est requis ou non, il est seulement nécessaire en concordance avec l'invention de considérer à l'équipement imprimeur l'identité du réseau interurbain distant/auquel l'appel est destiné, cette indication étant obtenue du premier chiffre reçu ou des deux ou trois premiers chiffres reçus.
Cependant, en plus dans certains pays il existe un règlement par lequel des abonnés téléphoniques dans certains bureaux centraux ne peuvent appeler que des abonnés se trouvant à une certaine distance, même si ces abonnés se trouvent dans un réseau différent,ce genre d'appel étant désigné sous le nom de tarif à taxe locale. pour des appels de ce genre aucun ticket n'est nécessaire.
Cela peut, par exemple, être le cas pour les bureaux centraux montrês en "al" et "cl" placés respectivement dans les réseaux A et C.
Puisqu'il n'est pas toujours possible d'avoir des lignes entre ces deux bureaux pour assurer le trafic local, celui-ci doit être dirigé via les deux bureaux centraux A et C, et même à travers le bureau tandem B ainsi que cela est montré. Pour des raisons économiques, des petits bureaux locaux tels que "al" et "cl" ne sont pas pourvus d'équipement leur permettant de transmettre et de trouver dans quel cas une taxe locale est seulement due pour des appels lancés vers d'autres réseaux interurbains, particulièrement puisqu'il peut se faire que quelques-uns de ces bureaux n'ont seulement pas cette condition pour un mais pour plusieurs cas appartenant même à des réseaux interurbains différents. Tout cela dépend de la position géographique du bureau central.
Dans ces conditions, il est évidemment désirable qu'un équipement imprimeur de tickets centralisé soit apte à déterminer l'origine d'un appel afin de décider si un ticket est nécessaire ou non. Dans certains cas, cela peut se faire par la détermi -nation des lignes de jonction d'arrivée aux bureaux centraux inter -urbains lesquels transmettent l'appel reçu. Cela est évidenment
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simple quand tous les bureaux centraux sont connectés directement au centre interurbain, mais dans le cas d'un trafic tandem une telle distinction devient très compliquée sinon impossible.
Des moyens ont donc été prévus pour déterminer l'origine d'un appel en transmettant le premier chiffre, ou les deux ou trois prémiers chiffres du numéro identifié qui -est reçu à l'équipement dans le but d'établir le ticket quand celui-ci est requis. Ainsi, l'équipement recevant les chiffres sera pourvu d'un translateur com- biné lequel :
1 ) transmettra différents chiffres du numéro appelé, cette transmission étant souvent nécessaire pour diriger l'appel et déterminer la taxe,
2 ) reoevra et transmettra différents chiffres du numéro identifié ou appelant, cette transmission déterminant l'origine de l'appel,
3 ) donnera une troisième traduction de ces,deux premières indications et décidera si un ticket doit être établi ou non.
Des unités spéciales de 100 lignes comprenant des présé- lecteurs et des commutateurs d'identification seront prévues, les préséleoteurs ayant des balais additionnels dans des buts d'identification. Les chercheurs d'identification seront des commutateurs de 100 points à simple ou double mouvement. L'identification aura lieu au moyen de méthodes à courant continu.
Les formes de réalisation montrées sur les dessins fonctionnent aveo une distinction numérique des groupes d'abonnés séparés, mais si on le désire on peut appliquer l'établissement des fiches à des abonnés pris au hasard. La distinction des classes des abonnés sera obtenue en marquant un potentiel sur un balai supplémentaire du présélecteur ou sur des contacts correspondants d'un balai supplémentaire du chercheur de lignes. L'équipement distinctif ou disoriminateur peut être arrangé pour aotionner l'équipement d'établissement des fiches seulement si les deux conditions suivantes sont remplies, à savoir que l'abonné appelant fait partie d'une olasse particulière, et qu'un appel interurbain est demandé.
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Sur la figure 2 un groupe séparé d'abonnés d'un bureau oentral est pourvu de groupes spéciaux de présélecteurs ISK et IISK en parallèle avec les groupes normaux IVK et II VK prévus pour les autres abonnés. Les commutateurs ISK sont pourvus de balais supplémentaires , pour l'identification de l'abonné appelant, tandis que les commutateur IISK sont pourvus d'un oommutateur marqueur discriminateur Ms et d'un relais répéteur d'impulsions polarisé et de haute résistance, non montré, mais connecté en parallèle au circuit normal à impulsions pour la manoeuvre du commutateur marqueur. Le relais polarisé est connecté dans le circuit du disque numéroteur au moment ou le conducteur "o" est fermé.
Le marqueur MS est utilisé pour deux buts : il enregistre le premier chiffre marqué au disque, et quand cela est fait si ce chiffre est zéro il recherche de la 10e borne un circuit imprimeur libre TC et un imprimeur PR d'un groupe connecté aux positions 1 à 8 du commutateur. Si ce chiffre n'est pas un zéro, il déconnecte le relais polarisé immédiatement du circuit de conversation et retourne à sa position normale, laissant le deuxième préséleoteur dans la condition ordinaire comme pour un présélecteur régulier. Les - sélecteurs primaires de groupes IGK sont du type régulier et ne subissent aicune modification.
L'appareil imprimeur de tickets a la forme de circuits additionnels sans avoir à interférer aveo l'équipement existant. Les imprimeursPR sont assooiés avec les circuits d'établissement des fiohes TC qui sont communs à un groupe de 100 lignes. Comme expliqué précédemment on suppose qu'un imprimeur est choisi, s'il est requis, dans l'espace de temps s'écoulant entre les chiffres qui vient après le premier chiffre zéro. Il enregistrera alors tous les chiffres mar -qués au disque successivement. S'il n'y a aucune indication quand la conversation commence et si le comptage a lieu seulement à la fin de la conversation, il est impossible de déconnecter le mécanisme imprimeur de chiffres comprenant aussi le relais polarisé au deuxième présélecteur, immédiatement que l'abonné appelé répond.
Dans ces conditions, un arrangement à temps est prévu dans le circuit imprimeur, lequel déconnecte le mécanisme imprimeur de chiffres et le relais polarisé après un lapse de temps de 15 secondes après que la dernière
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impulsion est reçue.
Quand l'abonné appelant raccroche, cela amène le circuit compteur de durée et de zone à envoyer le nombre d'impulsions de comptage accumulées pendant la durée de l'appel. Cela sera rassemblé et enregistré à l'imprimeur sur le mécanisme imprimant le tarif,
Simultanément, le circuit imprimeur actionnera le chercheur identificateur IF dont seulement un est prévu pour un groupe d'imprimeurs, et ce chercheur IF sera amené vers la borne de l'abonné appelant dû au fait que la ligne de cet abonné est maintenue ausi longtemps que le comptage a lieu. Une fois que le chercheur identificateur a été placé sur cette borne, la ligne de l'abonné peut être libérée pourvu que le comptage soit fini. Alors l'imprimeur obtiendra le numéro de l'abonné appelant du chercheur identificateur.
Les impulsions pour ce but sont envoyées du circuit du chercheur iden -tificateur,
On suppose qu'au moment on un premier chiffre 0 est marqué au disque, aucun circuit imprimeur libre n'est trouvé. Le commutateur dans le deuxième présélecteur recherche jusqu'à ce qu'il ait atteint la 9e borne de son arc. Des imprimeurs peuvent être connec- tés dans la position normale et jusqu'à la position No.8, de sorte qu'un max mumde 9 imprimeurs peut être utilisé par groupe de 100 lignes. Quand le commutateur s'arrêta dans la 9e position, il connec- tera un signal auditif d'occupation à la ligne de l'abonné apposant et évite toute autre manoeuvre du disque numéroteur. De cette manière il est impossible d'obtenir un appel interurbain sans avoir fait un enregistrement de tickets.
Donc, si le chercheur identificateur est occupé, un abonné appelant sera maintenu jusqu'à ce qu'il devienne libre.
La méthode de fonctionnement décrite ci-dessus suppose qu'il n'y a aucun signal de réponse de'l'abonné dans le premier séleoteur de groupes et qu'il n'y a aucun oomptage au commencement de la conversation. Il peut cependant'arriver qu'une impulsion de comptage est réellement donnée au commencement de la conversation. Cela est requis par certaines administrations qui désirent cette impulsion afin que les appels qui sont abandonnés au bout de dix secondes soientcompté,
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Dans ce but il est nécessaire de donner la première impulsion de comptage aussitôt que l'abonné appelé a répondu,.car il faut aussi que l'abonné appelant puisse raccrocher à un moment quelconque dans la durée de dix secondes, et ne puisse retarder cette première impulsion de comptage.
Si on suppose qu'une impulsion de comptage est donnée au com mencement de la conversation, alors elle peut être utilisée pour déconnecter le mécanisme recevant les chiffres comprenant aussi le relais polarisé et provoquant l'identification. Celle-ci clans ce cas aura lieu pendant la conversation. On doit obscrv r que l'imprimeur imprime le nombre d'impulsions de comptage en chiffres, et que l'imprimeur au moyen duquel cela a lieu, limite le nombre de comptage par conversation à 100.
Bureau privé annexe exigeant un enregistrement d'appels interurbains de sortie automatiques.
La connexion d'un circuit de controle aux lignes de jonction de sortie d'un bureau privé annexe présente les problèmes suivants:
1) Circuit ce contrôle connecté trop tard.
Si l'abonné commence le numérotage par le chiffre zéro avant qu'un circuit de contrôle ne soit connecté, et si le bureau central est prêt à recevoir l'entièreté du numéro, un appel interurbain peut être fait sur lequel seulement une partie du premier chiffre sera recue au circuit de contrôle. Cela indiquera donc une conn xion locale et le rétablissement aura lieu. Cela est empêché en arrangeant le oircuit à la jonction de sortie d'une manière telle que le circuit de controle est connecté avant que le circuit appelant ne soit complété vers le bureau central.
2) Circuit de contrôle prêt avant le bureau central.
On suppose un arrangement dans lequel le circuit de contrôle est connecté avant l'appel du bureau central. Dans ce cas il est possible de marquer au disque un chiffre 1 dans le circuit de contrôle avant que cela ne puisse être reçu au bureau central. Le circuit de contrôle sens encore libéré, après quoi l'abonné reut continuer en marquant un zéro et effectuer un appel interurbain de sortie. cela est évité en prévoyant un délai dans le circuit de jonction du bureau
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central commençant au moment où le circuit fermé de l'abonné est oomplété vers ce bureau central. Pendant ce délai aucune impulsion ne peut être transmise soit au circuit de contrôle ou soit au bureau central. Ce délai sera suffisant pour couvrir la connexion d'un .premier sélecteur de groupes au bureau central.
3) L'abonné peut déranger le circuit de contrôle en libé- rant la connexion vers le bureau central sans libérér le circuit de jonction P. B.X.
On peut imaginer qu'un abonné commence par marquer au dis- que un appel local vers le bureau central, puis se libère en pro- duisant une rupture dans le circuit du disque numéroteur pour un temps qui est suffisant pour libérer la connexion du bureau central, mais qui est insuffisant pour libérer le bureau privé annexe. Dans ce oas la ligne de jonction de sortie peut rester dansla condition dans laquelle il n'y a plus d'appels pour le circuit de contrôle, et l'abonné est libre de commencer un appel vers- le bureau central com- mençant avec zéro. Pour empêcher cette possibilité de fraude, un ar- rangement est prévu dans le circuit de jonction du bureau central qui limite le nombre de chiffres marqués au disque à 7 si le premier chiffre nest pas un zéro.
4) Si le comptage a lieu seulement à la fin de la oonver- sation il est nécessaire de maintenir le circuit de jonction du bu- reau central et son circuit de contrôle après le rétablissement de la connexion pendant un temps suffisant pour couvrir le délai jus- qu'à ce que les impulsions de comptage arrivent du bureau central .
Cela suppose que le bureau central passera les impulsions de compta- ge vers le P.B.X. par des impulsions de 50 cycles d'une manière sem- blable à oelle utilisée pour des indications de taxe.
5) L'imprimeur prévoit de préférence un moyen par lequel la durée est imprimée pour chaque appel, et la durée est aussi impri- mée chaque fois que le compteur de service fonctionne.
Pour des établissements de tickets pour P.B.X. des impul- sions de 5 secondes peuvent être prévues du bureau central à travers une ligne de jonction séparée. Pour l'identification de l'abonné appelant, on a proposé de prévoir des circuits de jonction séparés
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et dérivés pour des appels interurbains automatiques de sortie.
Cela donne la possibilité de fonctionner en dehors d'un schéma uniforme pour toutes sortes de bureaux privés annexes, soit du type Hotary ou du type pas-à-pas sans devoir ohanger quelque chose dans l'équipement existant du bureau privé annexe. Cela est vrai pourvu que le bureau privé annexe utilise des chercheurs de lignes et non des préséleoteurs . Avec les présélecteurs le schéma exigera l'addition d'un relais et de deux résistances par station et certain nouveau câblage des circuits de lignes existants.
Considérant maintenant la figure 3, des chercheurs de lignes dérivés KF donnent accès à des lignes de jonction CJ vers le bureau central à travers des présélecteurs OK, et sont en parallèle avec les circuits de jonction locaux LK. Quand une sous-station appelle, un dercheur KF recherche d'abord et connecte ensuite la ligne. Les chercheurs réguliers de lignes de LK recherchent le potentiel d'essai de la ligne appelante fourni par KF. Le nombre de commutateurs KF par groupesde 100 lignes dépend de la quantité d'appels locaux aussi bien que d'appels vers le bureau central puisqu'ils sont maintenus à travers les connexions du bureau central pour environ 2,5 à 3 secondes pour chaque appel local.
Quand un abonné envoie un appel local, le premier chiffre est reçu par le circuit de connexion local et par un relais polarisé de haute résistance dans le circuit KF, ce qui amène aussi l'enregistrement du chiffre sur un commutateur MS faisant partie du cheroheur K. Dans le cas considéré, la connexion est complétée à travers le circuit de liaison local car aussitôt que le premier chiffre a été raquai chercheur K, celui-ci peut être libéré. Si le premier chiffre marqué par l'abonné est celui requis pour atteindre une ligne du bureau central (ordinairement 0) le chercheur K amène le circuit local LK d'être libéré en appliquant une tterre sur le conducteur "c", et en même temps un présélecteur OK associé avec le chercheur K connecte une ligne de jonction libre CJ vers le bureau central.
On doit donc noter qu'une ligne de jonction vers le bureau central sera seulement choisie pour un appel réel vers ce bureau et non pour chaque appel local.
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Le deuxième chiffre marqué au disque est le.-premier au bu- reau central, et quand celui-ci est un des chiffres 1 à 9 indiquant un appel local du bureau central, rien d'autre ne se produit. Le deuxième chiffre est reçu sur un deuxième commutateur marqueur MFS faisant partie du chercheur K, et dans le cas d'un chiffre 1 à 9, ce marqueur revient simplement à la position normale. Si le deuxième chiffre était un zéro, indiquant un appel interurbain automatique,le deuxième marqueur MFS agit immédiatement pour rechercher un enregis- treur imprimeur PR qui sera connecté pendant l'intervalle entre les chiffres après le deuxième chiffre. Il y a un espacement pour con- neoter jusqu'à 9 imprimeurs par 100 stations d'abonnés .
Si aucun imprimeur libre n'est trouvé, le commutateur s'arrêtera sur la posi- tion 9 et provoquera un signal auditif, d'occupation vers l'abonné appelant. L'appel vers le bureau central est rompu.
Si on suppose qu'un Imprimeur est trouvé, les chiffres sui- vants marqués au disque sont enregistrés sur l'imprimeur..L'identi-. fication a lieu de la manière décrite aussitôt que la première impul -sion de comptage est reçue. Si cela a lieu à la fin de la conver- sation, la ligne de l'abonné appelant sera maintenue pour un temps suffisant pour assurer l'arrivée de la première impulsion de comptage à partir du moment oû l'abonné appelant a raccroché, Si l'équipement . du bureau central est arrangé pour donner déjà une impulsion de oomp -tage au commencement de la conversation, l'identification a lieu pendant la conversation.
Le relais polarisé au chercheur K est déconnecté du circuit de conversation soit au commencement de la conve'rsation lors de la réception de la première impulsion de comptage, ou dans le cas où aucune impulsion de comptage n'est reçue au commencement de la con- versation par suite d'un retard qui est prévu au chercheur K. L'ar -rangement peut être tel que l'équipement dérivé est seulement utilisé pour des appels interurbains, les appels vers le bureau central étant dirigés à travers des lignes de jonction séparées accessibles à traver l'équipement commutateur régulier automatique du PBX, l'établissement d'appels interurbains à traver ces jonctions étant empêché.
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Un tel arrangement est mont ré sur la figure 4. EE est un équipement P.A.B.X. normal, tandis que AE est un équipement additionnel. Des circuits de jonction locaux et dérivés sont connectés dès l'envoi d'un appel. MS dans le circuit dérivé et IGS répondent au premier chiffre. Si le premier chiffre est zéro, PS choisit une ligne de jonction libre TJ Le chiffre suivant est reçu par MFS.
S'il désigne un appel interurbain, le circuit de liaison local est libéré et la connexion se prolonge via TJ. Si le deuxième chiffre dénote un appel local aveo le bureau central, le chemin dérivé est libéré et la connexion est prolongée à travers le circuit de liaison local LK et la ligne de jonction LJ. il est possible aussi de diriger tous les appels vers le bureau central à travers le chemin dérivé qui a accès à un groupe de jonctions pour les appels locaux au bureau cen -tral et à un groupe séparé de lignes de jonction pour tous les appels interurbains via le bureau central. Un tel arrangement est montré sur la figure 5.
L'équipement du chemin dérivé comprend un marqueur MS qui détermine du premier chiffre marqué au disque si l'appel est local vers le P.A.B.X. , et dans ce cas l'équipement dérivé est libéré. Si l'appel est pour le bureau central, LK est libéré et les deux présélecteurs LPS et TPS prolongent les connexions vers des lignes de jonc -tion LJ T TJ Dans ce dernier cas, MS détermine,d'après le deuxième chiffre et en concordance avec sa valeur, le rétablissement de LPS ou de TPS, ainsi que la ligne de jonction correspondante.
La principale idée des deux arrangements montrés sur les figures 4 et 5 est que les abonnés ne peuvent frauder par suite du fait que les appels interurbains de sortie ne peuvent avoir lieu qu' à travers certaines lignes de jonction, qui sont continuellement pour -vues d'imprimeurs de tickets. Donc, toute tentative de l'abonné de passer par un équipement fautif sera toujours enregistrée par l'imprimeur qui mentionne les chiffres exacts qui ont été marqués au dis -que . Cela n'est pas possible dans l'arrangement montré figure 3, car on peut voir qu'avec cet arrangement il est possible pour un abonné d'envoyer un appel en commençant avec les chiffres pour un appel local, puis de raccrocher pendant un temps suffisant pour
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pour abandonner la connexion du bureau central sans rompre les airouits dérivés au P.B.X.
Puisque l'imprimeur sera seulement engagé pour des appels interurbains, cela a été abandonné aussitôt que le deuxième chiffre indique que l'appel n'est pas interurbain. Donc, dans un tel cas, l'abonné peut commencer un nouvel appel vers le bureau central à travers le chemin dérivé en commençant avec le chiffre zéro indiquant un appel interurbain sans qu'un imprimeur soit attaché. Cela résulte du fait que les circuits dérivés sont encore dans la condition pour laquelle ils n'exigent pas un imprimeur quand les chiffres sont marqués au disque, cette condition n'étant supprimée que par un rétablissement complet des circuits.
Pour éviter ce genre de fraude, un autre arrangement est proposé sur la figure 6. Dans ce cas, les imprimeurs de tickets PR sont placés au bureau central et il est alors possible d'obtenir un imprimeur de tickets chaque fois qu'une connexion aveo le bureau central est réalisée même si cela a lieu sans rétablissement de l'équipement P.B.X. On évite aussi que les appels interurbains soient établis sans être marqués sur l'imprimeur. Cela n'est pas possible en plaçant l'imprimeur PR au bureau privé annexe car il n'y a aucune indication à ce bureau que les circuits avec le bureau central ont été ou non libérés. On doit noter qu'avec cet arrangement il est en- core possible de combiner des appels réguliers et des appels interurbains sur le même groupe de lignes de jonction allant du P.
B.X. au bureau central, de sorte qu'aucun changement ne doit être fait au P.B,X.
La figure 7 montre en détail un deuxième présélecteur adap -té pour choisir un imprimeur de tickets quand cela est déterminé par la classe de l'appel. Sur le côté gauche supéreur du dessin sont montrés les balais et arcs du premier prés électeur I.K ainsi qu'un arc du chercheur identificateur IF qui est utilisé pour déterminer la position de ce chercheur. Les autres arcs du chercheur fonctionnent en coopération avec l'imprimeur de tickets et n'ont pas été montrés.
Sur le côté droit du dessin le deuxième présélecteur II.SK est représenté, tandis que sur le côté gauohe inférieur sont montrés l'électro-aimant et les arcs du commutateur MS, qui remplit
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le double but d'aider la vérification du premier chiffre marqué au disque par l'abonné appelant et de choisir un imprimeur de tickets libre quand cela est indiqué par le premier chiffre.
DESCRIPTION DES CIRCUITS.
La condition de non-occupation du deuxième présélecteur se caractérisée par la présence d'une terre sur l'arc "o" de I.SK,cette terre passant par br4, a3, et les résistances R1 et R2. L'effet d'un premier présélecteur testant sur cette terre est que son relais de ligne et de coupure combiné fonctionne, déconnectant le relais de ligne du circuit de l'abonné et connectant celui-ci à travers les balais "a".et "b" du premier présélecteur I.SK. Le relais polarisé Po s'excite: batterie, enroulement Po, contacts de repos b2 et dol, résistance R3, conducteur "a", balai "a" de I.SK, conducteur "b" du circuit de l'abonné, balai "b" de I. SK, contact de repos dc3, résistance R4 et terre au contact de repos bl.
L'enroulement de Po a une résistance comparativement haute et ce relais est très sensible, de manière qu'il peut fonctionner en parallèle avec un relais de supervision qui peut être connecté simultanément au circuit de l'abonné sans que ces relais ne s'affectent réciproquement. Il s'ensuit qu'au moment maintenant considéré, Po est le seul connecté au circuit d'abonné car le relais de ligne est déjà déconnecté et le relais de supervision au premier sélecteur de groupe n'est pas à présent connecté. Afin d'établir des conditions convenables de fonctionnement et de rétablissement pour Po dans ces circonstances,il est connecté en série avec la résistance R3 au conducteur "a" La résistance R4 est prévue dans le conducteur "b" afin d'obtenir une condition équilibrée pendant l'avancement.
Po actionne Ip, et quand il ferme son contact de travail il introduit aussi son deuxième enroulement, qui est connecté en série avec un condensateur et une résistance. Le but de ce deuxième enroulement est qu'au moment de la fermeture du contact de travail, le courant chargeant le condensateur contribue à l'établissement du flux dans le relais empêchant ainsi toute vibration de son contact de tra- -vail.
Le fonctionnement de Ip résulte d'abord de Lb, et deuxièment
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de Ih à travers ipl au travail et al au repos. Le contact lb3 double la terre au conducteur "o" via les résistances Rl et R2, de sorte que cela a lieu indépendamment du relaisA. Ce dernier re- lais fonctionne à travers 1b2m kd2, ih2 Le relais A ouvre le air -cuit du relais Ih, mais celui-oi se bloque à travers ih4, lbl,kd5 à la terre fournie par le commutateur MS en position normale et via son arc "a". On peut voir que dans cette condition Ih dépend entiè- rement du circuit de blocage via ih4 et qu'il ne peut stexoiter de nouveau quand il s'est neutralisé.
On doit noter qu'au moment où Lb s'excite, une terre reliée, à lb2 s'étend via kd2 et ih2 à l'en -roulement de Do, si on suppose que Ih ne stest pas excité quand Lb ferme son contact de travail. Le relais Do ne doit pas fonctionner dans oes conditions, et dans ce but il a été pourvu d'un enroulement oourt-cirouité, contrôlé par un de ses contacts du repos.
Un autre résultat du fonctionnement de'Ih et A est que B s'excite via lm2, al et ipl. Le but de ce relais est d'introduire un enroulement de la bobine de retardation RC .dans ohaoun des con- ducteurs "a" et "b" en série aveo le relais polarisa po et la résis- tance R4. Cela a pour but de réduire la perte de transmission de la connexion aussi, longtemps que le relais polarisé est connecté dans le circuit et qu'aucune manoeuvre du disque n'a lieu.
De plus, Ih amène le commutateur II.SK à rechercher un sé- leoteur primaire de groupe libre. L'électro-aimant de ce oommuta- teur est excité via son interrupteur et ih5 à la terre au contact de repos du relais d'essai Jt, Ce relais est connecté au balai "d" et à une terre fournie via br4 et a3.
Le oommutateur II.SK se met maintenant en mouvement pour se mouvoir automatiquement jusqu'à ce que le relais d'essai JT s'excite. Cela introduit l'enroulement à basse résostance du relais d'essai en série: avec l'enroulement aussi à basse résistance de Jh dans le circuit d'essai, empêchant d'autres circuits d'essayer le même sélecteur primaire de groupes, et arrête le commutateur sur la bornessayée, Le fonctionnement de Jh a lieu seulement dans le cas où aucun double essai ne se produit. quand Jh s'excite, Sw suit et se connecte à travers les conducteurs "a" et "b". de sorte que le circuit de l'abonné est maintenant prolongé vers
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le relais de supervision au sélecteur primaire de groupes .
simulta- nément la résistance R3 en série avec le relais polarisé Po est court-circuitée, de sorte que ce dernier relais peut être maintenu en parallèle avec le relais de supervision.SW ferme un circuit de blocage pour A, et une fois de plus double la terre au balai "c" de I.SK Il prolonge aussi le balai "C" de II. SK vers le relais compteur Mt.
L'abonné peut maintenant commencer la manoeuvre de son disque. Le relais Po s'avance en unisson avec les impulsions reçues en parallèle aveo le relais pas à pas au sélecteur primaire de groupes. Au moment du rétablissement, au commencement de chaque impulsion, la fonction de l'enroulement en série avec le condensateur sur ce relais est maintenant qu'une décharge du condensateur aide en réduisant le flux dans le relais puisque le courant de décharge est opposé en direction avec celui pour lequel le relais est excité Le relais Ip suit aussi les impulsions du disque, mais Lb se bloque.
Pour chaque impulsion reçue, un pas est effectué par le commutateur MS, qui reçoit une terre en ipl à travers un enroulement de LM et ihl. Le circuit de blocage pour Ih est transféré, dès le moment ou le commutateur MS quitte la première borne, à travers ih4, lbl, kd5, lml. Le relais Lm se bloque aussi longtemps qu'un train d'im -pulsions continue, et il ouvre le circuit de B, de sorte que ce relais se neutralise rapidement, oourt-oirouitant encore les deux enroulements de la bobine de retardation RC pour connecter Po direotement dans le circuit pas à pas sans être influencé par la présence de cette impédance. Quand le premier chiffre a été envoyé, Lm se neutralise et coupe le circuit de Ih. Une vérification est mainte -nant faite pour le chiffre marqué au disque.
Dans la description suivante on suppose que le premier chiffre zéro indique qu'un imprimeur de tickets doit être connecté,puisque ce chiffre précède tous les appels interurbains pour lesquels un établissement de chiffres est requis. pour des appels commençant avec un autre chiffre quelconque aucun imprimeur de tickets n'est utilisé.
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a) Premier chiffre autre que zéro.'
Si le commutateur MS a parcouru moins que 10 pas quand Ih se neutralise, un circuit sera fermé pour Dc: ih2, kd2, 1b2 Do se bloque à la terre à travers do4 et sw2, et déconnecte Po du conducteur "a", ainsi que la terre à travers la résistance R4 du conducteur "b" Le oommutateur se rétablir à la normale à travers le circuit suivant :
enroulement MS ihl, interrupteur de MS kdl, arc "a", bornes 1 - 8 de l'arc "a", et balai "a" à la terre. quand il arrive à la borne 9, la terre de "a" se prolonge via kel au repos, de sorte que le commutateur avance aussi à travers cette position. En position 10, la terre/est prolongée via ih3, et le commutateur passe à sa posi -tion normale dans laquellé il s'arrête sans remplir d'autres fonctions. Le circuit est maintenant en condition normale pour une conversation locale, tous les relais étant libérés excepté Jt,Jh, Sw et Do. Quand le comptage a lieu, le relais Mt s'excite via le balai "c" de II,SK et court-circuite la résistance R2, qui amène le fonctionnement du compteur de service de l'abonné. b) Premier chiffre marqué est le chiffre zéro.
Au moment ou MS arrive à sa dixième position, o.à.d. quand la dixième impulsion est passée, maisavant que Lm ne se rétablisse, un circuit est fermé pour Kd à travers ih3 et la borne 10 de l'arc "a" de MS. Le relais Kd se bloque à travers lb2, de sorte qu'il res -te bloqué après le rétablissement de Ih, qui a lieu quelque moment après le rétablissement de Lm. Le circuit de Do est maintenant ouvert en kd2 au repos, de sorte que Po reste dans le circuit. De plus, le circuit de rétablissement de MS est aussi ouvert en kdl au repos , mais au lieu de cela un circuit est/maintenant fermé pour ce oommutateur sous le contrôle du relais d'essai Pt : enroulement de MS, ihl, interrupteur MS, kdl, brl, ptl.
Le oommutateur MS recherche un circuit imprimeur libre, les imprimeurs 'étant connectés en position normale et en positions 1-8 de ce oommutateur aux arcs "b" "c" et "d" Un imprimeur libre est caractérisé par la présenoe d'un potentiel de batterie dans l'arc "d" de MS, 'et quand MS arrive sur une telle borne, le relais d'essai Pt fonctionne à travers le balai "d" 'et kd3." , MS est arrêté et Pc fonctionne. Ce relais introduit
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l'enroulement à basse résistance de Pt en série avec la basse résistance de Id dans le circuit d'essai, rendant l'imprimeur occupé pour les autres circuits de recherche. Id est un relais marginal et n'opère pas en série avec le potentiel d'essai régulier.
Il opère roua le contrôle du circuit imprimeur de tickets au moment ou l'identification doit commencer, et prépare une batterie via l'arc "d" de I.SK, qui est relié à l'arc du chercheur d'identification IF vers la borne correspondant à l'abonné appelant. Quand le chercheur d'identification sous le contrôle du circuit imprimeur recherche l'abonné appelant, il trouve cette batterie et s'arrête sur cette borne.
Quand l'abonné continue la manoeuvre du disque numéroteur, le circuit de Lm est complété en ke2, le relais Ke ayant été action -né de kd4 au travail. Par conséquent, pour chaque chiffre marqué, Lm fonctionne et se bloque pendant les impulsions dues au disque.
Il libère alors le relais B pour court-circuiter la bobine de retar -dation RO. Cette bobine est introduite dans le circuit chaque fois que la manoeuvre du disque a lieu. Les impulsions dues au disque pour tous les chiffres après le premier sont maintenant transmis au circuit imprimeur de ip2 sur chaque rétablissement, à travers po4 et le balai "b" de MS vers le circuit imprimeur. Quand les impulsions de comptage sont reçues, elles sont aussi transmises dans le circuit imprimeur sur chaque action de mtl à travers pol au travail et le balai "c" de MS. Le fonctionnement du relais compteur Mt assure en même temps le fonctionnement de De de sorte que dès ce moment Po est déconnecté et plus aucune impulsion due au disque ne peut être reçue à l'imprimeur.
On suppose que le comptage a lieu au commencement de la conversation, cela met hors de service la réception des impulsions dues au disque commençant au moment ou l'abonné appelé répond. En sup -posant que le comptage a lien à la fin de la conversation, un arrangement à temps est prévu au circuit imprimeur de tickets par lequel une terre est connectée après un délai d'environ 15 secondes à l'arc "o" de MS, pour amener le fonctionnement de Do. Donc cela empêche la réception des impulsions dues au disque en cas d'un délai dans la manoeuvre du disque d'environ 15 secondes, et déconnecte le relais polarisé du circuit de oonversation.
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Quand Do fonctionne, les relais Pc Ip et Lb se neutrali- sent. Kd reste excité à travers kd2 et id2 en parallèle avec do5.
Le relais Do assure que l'imprimeur de ticket n'est pas déconnecté jusqu'à ce que le séleoteur primaire de groupes a fini l'envoi des impulsions de oomptage. Le relais Kd assure que l'imprimeur de ti- ahets n'est pas déconnecté du préséleoteur secondaire et de la ligne de l'abonné appelant jusqu'à ce que l'identification est finie, ce dernier cas supposant que l'identification n'est pas finie quand le temps de comptage est passé. L'identification a lieu sous le contrc -le du circuit imprimeur de tickets, partant du moment où la première impulsion de comptage a été reçue. A ce moment, il y aura un poten- tiel accru sur le balai "d" de MS pour actionner le relais marginal Id.
Cela créa le potentiel d'essai pour le chercheur d'identifica -tion via l'arc "d" du premier sélecteur sur la borne correspondant à l'abonné appelant comme déjà décrit. Deuxièmement il maintient le relais Kd excité, indépendamment du circuit de l'abonné appelant et des séleoteurs primaires de groupes. Cela maintient aussi les oir- ouits fermés pour le relai d'essai Pt et pour le relais de soutien @ Pc Ce dernier relais maintient une terre connectée au conducteur "c" de l'abonné via les résistances R1 et R2, empêchant la ligne de ,, . l'abonné appelant de devenir libre jusqu'à ce que l'identification soit finie. c) Le premier chiffre marqué au disque est zéro mais aucun imprimeur de tiokets n'est libre.
Quand MS arrive à sa dixième position après que le premier chiffre zéro a été marqué, il commence à rechercher un imprimeur de tiokets libre ainsi que cela a été décrit dans le paragraphe "b" Si aucun imprimeur n'est libre, il arrive finalement sur la borne 9.
Un circuit est fermé pour Br à travers la terre, le balai "a" de MS, la borne 9, les contacts kel et pc3, l'enroulement de Br, et la batte- fie, Le relais Br est à aotion rapide, de sorte qu'il peut arrêter, MS en position 9 en ouvrant brl. Le fonctionnement de Br neutralise Sw'de sorte que le sélecteur primaire de groupe peut revenir au repos.
Il s'ensuit que le sélecteur primaire de groupe éloigne la batterie de l'arc "d" de II.SK, et Jt et Jh se neutralisent. Jt ne peut
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s'exciter à nouveau au sélecteur primaire de groupes quand cela arrive dans la position normale, car la terre à l'enroulement à haute résistance de Jt est rompue en br4 au travail. De plus,Br maintient la ligne de l'abonné occupée en prévoyant une terre à l'arc "c" de I.SK et connecte la source de signal auditif d'occupation avec une terre de retour au circuit del'abonné via br2 et br3.
Le circuit est maintenant maintenu sous le controe de Po, qui est excité sur la ligne de l'abonné en série avec R3 et R4 jusqu'à ce que l'abonné appelant raccroche. Le relais A est aussi maintenu excité indépendamment de Sw à travers a2, brl et ptl. Quand l'abon -né appelant raccroche, Po, Ip, Lb, Kd, Ke et Br se neutralisent consécutivement. Le dernier relais mentionné libère aussi A. Celui -ci est à rétablissement lent de sorte qu'il ferme le circuit en a3 fournissant une terre au balai "c"de I.SK seulement quelque temps après que ce circuit a été ouvert en br4 au travail. Cela permet le rétablissement du relais d'essai du présélecteur primaire.
La figure 8 montre en détail un premier chercheur de lignes dérivé et un circuit de connection comme dans la Figure 4 adaptés pour un appel avec imprimeur de tickets réalisant l'enregistrement de certains appels complété à travers le chemin dérivé, suivant la classe de l'appel. Dans le coin supérieur gauche du dessin, l'équipement de ligne d'abonné et le chercheur primaire de lignes pour un équipement commutateur régulier sont représentés. La ligne de l'abonné est multipliée dans l'arc du chercheur dérivé KF. Sur le côté supérieur droit du dessin, un commutateur OK est indiqué dont les arcs sont connectés à des lignes de jonction de sortie. Le circuit est destiné a être utilisé dans un P.B.X. ayant un accès automatique aux lignes du bureau central pour une partie ou pour tous les abonnés.
La méthode de fonctionnement est telle que quand un abonné transmet un appel, le premier de tout le groupe de chercheurs KF recherche la ligne appelante, et quand un de ces chercheurs a trouvé-la ligne, les chercheurs primaires réguliers de lignes des circuits de connexion locaux reoherchent la même ligne. Un signal auditif de manoeuvre du disque est donné du circuit de liaison local, et quand l'abonné manoeuvre son disque, le premier chiffre reçu peut indiquer un appel
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local à l'intérieur du P.B.X., ou un appel versée bureau central.
Dans le circuit décrit, on a supposé qu'un appel vers le bureau central est indiqué par le premier chiffre zéro. On suppose que le pre -mier chiffre est autre que zéro. Le chercheur dérivé KF et son équipement associé sont abandonnés et l'abonné est laissé/connecté seule- -ment au circuit de connexion local à travers lequel il peut maintenant compléter la connexion de la manière régulière. Si le premier chiffre est zéro, le circuit de connexion local est abandonné et l'abonné reste connecté seulement au chemin dérivé qui choisit alors une ligne de jonction vers le bureau central. Quand l'accès a été obtenu/au bureau central, le signal auditif de manoeuvre du disque est envoyé pour indiquer que ce bureau est prêt à recevoir l'indicatif de l'abonné appelé.
On peut supposer maintenant que certains appels vers le bureau central peuvent être faits sans exiger un enregistrement quelconque sur un imprimeur automatique de tickets,mais que d'autres appels, par exemple ceux oommençant aveo le chiffre zéro, sont des appels interurbains et doivent être enregistrés. Dans ce dernier cas, un imprimeur de tickets sera choisi pendant l'intervalle entre/les chiffres suivant le premier chiffre zéro, et tous les chiffres restants seront enregistrés sur l'imprimeur ainsi que le nombre d'impulsions de comptage reçues du bureau central et l'identité de l'abonné àppelant au P.B.X.
DESCRIPTION DES CIRCUITS.
Une station appelante provoque le fonctionnement du relais de ligne L et du relais de démarrage St du groupe de chercheurs KF auquel elle est connectée. Le relais d'aide Os fonctionne et ferme sur ses contacts individuels un circuit pour chacun des chercheurs KF du groupe ; t au repos , os, kd2, ih5, col, al, KF.
Quand un des chercheurs KF teste, son relais T fonctionne et introduit l'enroulement à basse résistance du relais d'essai en série aveo H, qui fonctionne seulement après qu'une double condition d'essai a été satisfaite, et qui excite A, L'introduction de l'enroulement à basse résistance du relais d'es -sai shunte St, de sorte que les chercheurs restants KF s'arrêtent aussi. Le fonctionnement de H connecte le potentiel d'essai via le balai "d" de JF à la borne d'essai du chercheur primaire de lignes
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régulier correspondant à la station appelante. Simultanément le même potentiel est prolongé à travers une résistance à un relais de démar- -rage commun non montré qui excite les chercheurs réguliers de lignes.
Quand un de ceux-ci essaie le potentiel offert via hl au travail, le relais de démarrage est shunté et tous les chercheurs s'arrêtent, La ligne de jonction régulière locale fermera le conducteur "c" pour actionner le relais de coupure de l'abonné, et quand cela a lieu le relais de ligne L se neutralise. Les relais T et H se neutralisent aussi. On suppose qu'à ce moment le relais a dans le chercheur primaire dérivé peut se bloquer via un contact de travail ih6 de Ih, qui s'est excité comme cela sera décrit par la suite. Le circuit de KF est ouvert une fois de plus et introduit le relais polarisé Po et la résistance Rl sur les conducteurs "a" et "b" Po s'excite via le circuit de l'abonné en parallèle avec le relais de ligne, et à son tour ferme le circuit de Ip, qui excite Lb.
De plus, Ih s'excite à travers ipl au travail et so2, So étant un relais à action lente qui s'excite un moment plus tard de Ibl au travail. Le relais Ih se bloque à travers ih5, kel, lb2, et la terre fournie dans la position normale de MS via son balai "a". On peut voir que Ih est fait pour se bloquer via son propre contact de travail, de sorte qu'une fois libéré il ne peut s'exciter à nouveau. Quand l'abonné reçoit le signal de manoeuvre du disque des circuits locaux, il commence à actionner son disque, mais le relais PO dans le chercheur primaire dérivé de lignes agit en unisson avec le relais pas à pas des circuits réguliers locaux.
Le relais Ip suit ces impulsions et les retransmet à ipl à travers l'enroulement de Lm et via ihl au tra -vail vers MS MS parcourt un certain nombre de pas correspondant au premier chiffre marqué. Aussitôt que MS quitte sa position normale, le relais Ih trouve un circuit de blocage à travers ih5, kel, lb2, lml. Le relais Lm reste excité pendant la manoeuvre du disque pour chaque chiffre. Quand le premier chiffre est envoyé, Lm se neutralise et amène le rétablissement de Ih, qui maintenant amène une vérification du premier chiffre tel qu'enregistré sur le commutateur MS.
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Le premier chiffre-est autra que zéro.
Dans ce cas, quand le marquage du chiffre a eu -lieu et que Ip s'excite après la dernière rupture produite par le disque, aucun circuit n'est fermé pour quelque relais d'essai et le seul résultat est que Lm se neutralise et amène la neutralisation de Ih. Il s'en- suit en premier lieu que le circuit de blocage de A est ouvert. Po est déconnecté du circuit de l'abonné et ce relais se neutralise amenant le rétablissement de Ip, Lb et So. Le circuit est mainte- nant libre et peut être utilisé pour d'autres appels. L'abonné est connecté seulement au circuit de connexion local. Le commutateur @ MS revient au repos.
Le premier chiffre est zéro.
Dans ce cas, quand la dixième rupture se produit sous l'ac- tion du disque, Ip se neutralise et un circuit est fermé quand MS est encore à sa neuvième position (il avance seulement à sa dixième position quand Ip s'excite à nouveau) ce qui excite le relais Kd; ip2, td4, kf2, balai "b" de MS, ih4. Le relais Kd se bloque en lbl au travail, et. en kd6 au travail il ferme un circuit de blocage pour A indépendamment de Ih, de sorte que A ne se .neutralise pas quand Ip opère et que Lm et Ih se neutralisent. Par conséquent le chercheur primaire de lignes dérivé ne se rétablit pas, mais reste maintenu sous le contrôle de Po. Le relais Kd oonneote aussi une terre via le balai non de KF au conducteur "c" de l'abonné appelant .
Cette terre est d'abord reliée directement à sl, le relais Sl étant excité dès que le circuit passait par kd5 au repos et lbl au travail. Quand Kd fonctionne, Sl se rétablit lentement et après un certain temps dé- connecte la terre du conducteur "c". qui cependant est maintenant main -tenu via, une résistance R2, qui'est calculée de manière que le re- lais de coupure sera maintenu, rendant la ligne de l'abonné en con- dition d'occupation pour les sélecteurs finals. Le but de la conne- xion temporaire d'une terre totale au conducteur "c" de l'abonné est de romp re le circuit de connexion local
Le résultat suivant du fonctionnement de Kd est que le oom- mutateur OK reche rche une ligne libre vers le bureau central.
Un oirouit .est fermé pour l'électro-aiman/moteur de ce oommutateur via
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son propre interrupteur et les contacts ke6 au travail et jt au re -pos : Ke excité à travers kdl au travail, to 6et l'arc et le balai "a" de MS en dehors de sa position normale. Le relais Ke ayant connecté une terre à l'enroulement à haute résistance du relais d'essai Jt, quand OK arrive sur une ligne de jonction libre, Jt s'excite , arrête le oommutateur , et introduit l'enroulement à basse résistance en série avec Jh. Le relais Jh s'excite après avoir exécuté un double essai , et excite Sw. Celui-ci se connecte à travers les conducteurs "a" et "b" de la ligne de l'abonné à la ligne de jonction du bureau central ou une batterie et une terre sont prévues à travers un relais pas à pas.
L'appel est alors prolongé vers la ligne du bureau central à l'équipement recevant les impulsions. Le relais Po reste bloqué au circuit de l'abonné en parallèle avec le relais pas 'à pas au circuit de jonction du bureau central.
L'abonné, en recevant le signal auditif de manoeuvre du disque du bureau central, ,continue à marquer les chiffres voulus pour obtenir la connexion désirée. Deux cas peuvent être considérés. L'abonné appelle un autre abonné du bureau central ou il effectue un appel interurbain automatique. On suppose que les appels interurbains automatiques se distinguent des appels réguliers du fait que le premier chiffre marqué au disque au bureau central est le chiffre zéro.
Afin de distinguer cela, le premier chiffre marqué est enregistré par le chercheur primaire dérivé sur le commutateur MFS. On peut voir que Po, étant encore connecté au circuit fermé de l'abonné, suivra les impulsions dues au disque, et par conséquent Ip s'avance en unis -son. Cette fois, il dirigera des impulsions de terre vers l'élec- tro-aimant de MFS, à travers ipl, Lm, ihl, ke4. Suivant le nombre de pas effectué, les cas suivants peuvent être considérés: Le premier ohiffre marqué au disque au bureau central est autre que zéro.
Quand le commutateur MFS effectue son premier déplacement, il rompt le court-circuit à travers l'enroulement inductif de Kf, qui empêchait jusqu'à ce moment l'excitation de ce relais. Ce court -circuit peut être tracé comme suit : enroulement non inductif Kf, kf4 au repos, kd3 au travail, contact normal et balai "a" de MFS,
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kf2 au repos, balai "b". borne 10 de MS et terre. Le circuit pour
Kf passe par la batterie, ses deux enroulements et la-terre en ke2 au travail. Il se bloque à travers ses deux enroulements kfl et sol au travail, indépendamment de Ke.
Quand Lm se neutralise après le premier chiffre, un air- ouit est fermé pour Co à travers lml au repos, kf3 au travail, tcl au repos . Ce relais se bloque à travers cc2 et sw3 au travail.
Le relais A est libéré en oa3 si une terre est prévue pour bloquer le ligne die l'abonné via le balai "c" de KF. Le circuit de KF est ouvert en ccl au travail, ce qui est nécessaire à cause que le ré- tablissement 'de A refermerait autrement le circuit de KF à l'appel suivant. Le relais A déconnecte Po et la résistance Rl du circuit d'abonné.' Par conséquent Po se neutralise suivi de Ip,Lb, So, Kd et Kf.
Le relais Sw se bloque à travers br3 au repos, jh'au travail et les ,relais Jh et Jt restent excités à travers la ligne de jonction du bureau central., Des impulsions de comptage reçues du bureau peuvent être transmises de la ligne de jonction via le balai toit de OK et les contacts sw5 au travail de Mt; le compteur de service KSM fonctionna via le balai "f" de KF, Le premier' chiffre marqué au disque du bureau central est zéro.
Dans ce cas au moment ou Ip se neutralise pour la dixième fois, o.à.d. avec MFS excité et encore dans sa neuvième; position, un circuit est fermé: ip2 au repas, td4 au repos, balai "a" sur la borne 9 de MFS,ke3 au travail, cc4 au repos, relais To qui s'ex- cite et se bloque en sol au travail. Quand Ip s'excite à nouveau à la fin de la dixième i.mpulsion, MFS avança à sa borne dix. Un circuit est de. nouveau fermé pour ce commutateur du fait que Ke s'est neutralisé car son circuit était ouvert en tc6 au travail. Le'circuit de MFS est le suivant : batterie, résistance,ke4 au repos, MFS, tc3 au travail, brl au repos, et terre au contact de repos du relais d'es- sai Pt.
La fonction de MFS est de rechercher un imprimeur libre, les imprimeurs étant connectés dans la position normale et en positions 1-8 de ses arcs "b", "c" et "d".Un imprimeur libre est caractérisé @ par un potentiel de batterie donné à travers une résistance sur l'arc "b" de MFS, et quand ce oommutateur arrive dans la position corres--
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-pondant à un imprimeur libre, le relais d'essai Pt s'excite à tra- vers la terre en tc2 au travail, l'enroulement à haute résistance de Pt, le balai "b" et la borne "b" de MFS. Quand MFS arrive en posi- tion normale, un circuit est fermé pour Td : batterie,Td, to4 au travail, kf2 au travail, balai "a", borne normale de MFS, kd3, kf4, et terre.
Le but du fonctionnement de Td est de placer une terre sur le balai "a" du commutateur à travers tdl au travail et kf2 au travail au moment ou il atteint encore la position normale. Le re- lais Td se bloque à cette terre à travers to4 au travail.
Supposons qu'un imprimeur libre est essayé. Alors Pt s'ex- oite avec son relais d'aide Po, et cela introduit l'enroulement à basse résistance de Pt en série avec Id. On rend ainsi le circuit de l'imprimeur occupé pour d'autres circuits chercheurs. Id, qui est un relais marginal, ne fonctionne: pas à moins qu'un heut potentiel ne soit placé sur le balai "b".de MFS du circuit imprimeur. Il ne doit pas fonctionner dans le circuit normal d'essai.
Po complète des cirouits aux balais "c" et "d" de l'imprimeur à savoir : au balai , "c" un circuit à travers ip2 au repos, td4 au travail, po3 au tra- vail, via lequel tous les chiffres suivants marqués au disque sont envoyés dans l'imprimeur ou ils sont enregistrés ; balai "d" un circuit à travers mt2 au travail, po4 au travail, via lequel des im- pulsions de comptage reçues du bureau central sont envoyées à l'im- primeur où elles sont enregistrées.
Un arrangement est prévu par lequel une bobine de retardatior RC est connectée avec un de ses enroulements chacun en série avec le relais Po et la résistance Rl vers le circuit de l'abonné aussi long- temps qu'aucune manoeuvre du disque n'a lieu. Aussitôt qu'un chiffre est reçu , Lm s'excite. Cela provoque le rétablissement de B, qui a pour but de court-circuiter les deux enroulements de RC. Un circuit pour Lm est prévu après que l'imprimeur de tickets a été connecté à travers une batterie passant par une résistance reliée à td3 au tra- vail.
Comme on ne sait oombien de chiffres l'abonné marquera au disque pour compléter l'appel, l'imprimeur automatique de tickets et la chercheur primaire dérivé de lignes restent dans la condition pour
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laquelle le chiffre marqué peut être enregistré jusqu'à ce que le comptage commence, pourvu que le comptage ait lieu au/commencement de la conversation. Alternativement, si le comptage a lieu seule- ment à lafin de la conversation, un arrangement est prévu par lequel le circuit imprimeur de tickets compte le temps après chaque chiffre, et après un laps de temps de 15 secondes un signal est envoyé pour déconnecter l'équipement enregistreur de chiffres.
Si le premier cas mentionné a lieu, on peut voir que quand des signaux de comptage sont reçus de la ligne de jonction du bureau central, le relais Mt s'excite et répète ces impulsions au compteur KSM du circuit de la ligne d'abonné aussi bien qu'à l'imprimeur de tickets à travers mt2, po4 et le balai "d" de MFS. En même temps, il amène le fonctionne- ment de Co, qui se bloque en sw3 au travail, et ouvre en cc3 au tra- , vail le circuit de blocage de A avec le circuit de KF. Le rétablisse- ment de A déconnecte Po, de sorte'que ce relais se neutralise, suivi par Ip et Lp. SQ reste excité et maintient Tc et Kf car une terre est prévue en sw6 au travail, ce qui prévoit aussi un circuit de bloc age pour Kd. Le relais Td se bloque via tc4 au travail.
Si.on suppose que le comptage a lieu à la fin de la oonver -sation, le circuit imprimeur de tickets place une terre au balai "d" de MFS, qui a le même but d'actionner Ce, avec le résultat prévu précédemment.
Quand l'abonné raccroche, le relais de supervision dans le circuit de jonction du bureau central se neutralise, ce qui éloigne la batterie de blocage des relais Jt et Jh. Ce dernier ouvre le cir- cuit de Sw, ce qui ramène le circuit à la condition normale pourvu qu'il ne soit pas maintenu par le circuit imprimeur de tickets pour l'identification de l'abonné appelant.
Quand le circuit imprimeur de tickets attend pour identifier l'abonné appelant, il applique un haut potentiel de batterie via le balai "b" de MFS, qui excite le relais marginal Id. Ceci place un potentiel de batterie sur idl au travail et le balai "e" de KF sur la boarne d'essai du chercheur identificateur associé avec le groupe d'abonnés dans lequel se trouve l'abonné appelant. Cette borne cor- res pond au numéro de l'abonné appelant.
En même temps les contacts
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id2 au travail prévoyent un circuit de blocage pour So et les au -tres relais qui bloquent l'imprimeur de tick ets On doit noter que pendant que cette terre de blocage est prévue, la ligne de l' abonné est maintenue occupée et le chercheur KF ne peut quitter cette ligne du fait que les contacts cce au travail prévoyent une terre au balai "c" et ouvre 1'électro-aimant moteur.
Le premier chiffre envoyéau bureau central est zéro mais aucun imprimeur de tickets n'est disponible.
Si on se réfère à la description du dernier paragraphe on voit que quand MFS manoeuvre pour chercher un imprimeur libre, et quand il arrive en position normale, un circuit est fermé pour Td, qui relie une terre au balai "a" de MFS Quand MFS ne trouve pas un imprimeur libre, les imprimeurs étant connectés à la position normale et en positions 1-8, il passe à travers la position 9 et arrive finalement à la position 10. Pour celle-ci la terre à travers le balai "a" provoque l'excitation de Br à travers pc2 au repas et td2 au travail. Br ouvre le circuit de MFS de sorte que celui-ci s'arrête en position 10.
Il ouvre aussi le circuit de Sw, ce qui rétablit et déconnecte la ligne de jonction.L'appel du bureau central est donc libéré et l'abonné est laissé connecté seulement au ohercheur primaire dérivé qui est maintenu sous le contrôle de Po. Br connecte aussi une source de signal auditif d'occupation et une terre via des condensateurs de petites capacités aux conducteurs "a" et "b" indiquant à l'abonné appelant qu'aucune connexion ne peut être obtenue et qu'il doit raccrocher . Quand cela a lieu, Po se neutralise, et cela amène le retour du circuit à la condition normale.
REVENDICATIONS.
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