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Perfectionnements aux machines à meuler.
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La présente invention concerne des perfectionnements aux machines à meuler telles qu'utilisées par exemple pour former des filets de vis sur des vérificateurs, des tarauds et autres articles filetés, en agissant sur la pièce d'ouvrage au moyen d'une meule de forme appropriée. L'objet principal de l'invention est une machine prfectionnée et simplifiée à feuler les filets, dans laquelle on évite tout jeu et dans laquelle le plateau ou tête portant la pièce d'ouvrage à meuler reçoit un mouvement de rotation de manière très simple et effective.
On se rend compte que dans la formation de filets de vis par meulage, il est nécessaire de prévoir des moyens, grdce auxquels la vitesse d'actionnement du porte-ouvrage de la machine peut être modifiée.de temps à autre pour se conformer aux différents diamètres de la pièce d'ouvrage en
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fabrication. Jusqu'ici cette variation de vitesse a été obtenue en se servant de moteurs électriques à vitesse variable, ou de changements à engrenages, ou de commandes à courroie à vitesse variable, ou de deux ou plusieurs de ces moyens.
Tous ces dispositifs sont non seulement encombrants et ineffectifs dans une certaine mesure, mais de plus ils ne servent qu'à la fonction individuelle en question et ne s'adaptent pas facilement d'eux-mêmes à l'exécution simplifiée des autres fonctions de la machine. En conséquence, un objet de l'invention concerne des moyens simples et effectifs pour actionner le porte-ouvrage d'une machine à meuler à la vitesse désirée, moyens qui tendent aussi facilement d'eux-mêmes à l'exécution de certaines autres opérations désirables ou même nécessaires de la machine.
D'après la caractéristique principale de la présente invention, un moteur à liquide, de préférence du type rotatif, est utilisé pour actionner le porte-ouvrage, ce moteur étant alimenté de liquide sous pression d'une alimentation de liquide telle qu'une pompe, qui est actionnée de manière appropriée de la commande principale de la machine ou au moyen d'une commande séparée, suivant que désiré.
Une sou plusieurs soupapes appropriées sont prévues pour contr8ler la quantité de liquide débité au moteur à liquide et en conséquence pour contrôler la vitesse à laquelle la pièce d'ouvrage tourne.
Comme dans une machine à meuler les filets, il n'est pas indiqué de dégager l'écrou de la vis-mère de cette vismère lors du rappel de la pièce d'ouvrage, il est avantageux de prévoir des moyens grâce,auxquels la direction de rotation du porte-ouvrage et en conséquence le mouvement axial de la pièce d'ouvrage peuvent être inversés dans le but de ramener cette pièce à sa position initiale après qu'
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elle a passé en travers du bord de la meule.
Avec une commande par moteur à liquide pour le porteouvrage, ainsi que décrit ci-dessus. il est possible d'employer un moteur à liquide réversible et de prévoir une soupape pour renverser l'écoulement de liquide au moteur, de façon à renverser la direction de rotation de la pièce d'ouvrage. Une semblable disposition est parfaitement satisfai- sante, mais un autre objet de l'invention est relatif à une méthode perfectionnée pour renverser la direction de rotation du porte-ouvrage. méthode qui comporte l'avantage que le renversement peut être effectué sans modifier aucunement le réglage du moteur à liquide actionnant normalement le porte-ouvrage.
D'après cette caractéristique de. l'invention, on prévoit un moteur séparé pour inverser la pièce d'ouvrage,. ce moteur additionnel, ainsi que le moteur à liquide actionnant normalement le porte-ouvrage étant disposes pour actionner la vis-mère par un différentiel commun., dont la cage est en liaison opérante avec la vis-mère.
Le moteur à liquide employé pour actionner la vismère dans la direction avant actionne l'une des roues latérales du différentiel dans une direction, tandis que le moteur d'inversion séparé (qui peut être un moteur électrique et sera appelé dans la suite le "moteur électrique-) est disposé pour faire tourner l'autre roue latérale du différentiel dans la direction opposée* Normalement le moteur électrique est coupée et dans ce cas la vis-mère est actionnée de la cage dans la. direction avant. mais lorsqu'on dé- sire renverser la course de la pièce d'ouvrage, le moteur électrique est mis en circuit pour faire tourner la roue latérale du différentiel à une vitesse plus grande que celle à.
laquelle l'autre roue latérale est actionnée et dans la
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direction inverse. Le résultat est que la cage et en conséquence la vis-mère sont actionnées dans la direction inverse, à une vitesse qui dépend de la différence de vitesse des deux roues latérales du différentiel. Comme la vitesse à laquelle le moteur' électrique actionne son côté du différentiel peut être très élevée sans aucun effet nuisible (car il ne se produit pas de coupe sur cette course), il en résulte que la pièce d'ouvrage peut être rapidement ramenée à sa position initiale, prête pour la coupe suivante, pourvu que la meule et la pièce d'ouvrage aient été séparées avant que le moteur électrique entre en action.
De plus, comme le renversement dépend seulement de la différence de vitesse des deux moteurs, il est évident que le moteur à liquide peut continuer à tourner de manière normale pendant le renversement , et que dès que le moteur électrique est coupé, le moteur à liquide se charge immédiatement de la commande et fait avancer la pièce d'ouvrage à la vitesse prédétermi- née. Toute nécessité d'un nouveau réglage du moteur à liquide après chaque renversement est en conséquence supprimée, et de plus il n'est pas nécessaire que le moteur à liquide appartienne à un type susceptible d'être renversé.
Il est avantageux de comprendre dans le circuit du moteur électrique un conjoncteur-disjoncteur qui n'est fermé que lorsque la meule a été complètement retirée hors de sa position opérante. De cette manière on évite tout risque que la pièce d'ouvrage soit inversée pendant qu'elle est encore engagée avec la meule.
Le moteur électrique peut être démarré et arrêté au moyen d'un interrupteur à main, ou au moyen de conjoncteursdisjoncteurs appropriés, disposés de façon à être actionnés par des arrêts à réglage préalable portés par le porte-ou- vrage ou. autre partie appropriée aux extrémités de la course.
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Le liquide employé pour le moteur à liquide est de préférence de l'huile, et d'après une autre caractéristique de l'invention, la pression d'huile tirée de la pompe action nant le moteur à liquide est également utilisée pour actionner le porte-ouvrage et pour maintenir une pression constan- te sur la vis-mère,.
D'après une autre caractéristique de l'invention, la pression d'huile est employée non suelement pour amortir le coulisseau de la meule.* mais aussi pour assurer le t'onction.. nement de ce coulisseau, ainsi que décrit dans la suite.
Cet amortissement à huile des parties non seulement supprime effectivement le jeu, mais assure aussi un grais- sage convenable des parties.
D'autres caractéristiques de la présente invention seront explicitement décrites dans la suite.
Afin d'assurer la parfaite compréhension de l'inven- tion elle sera décrite en se reportant auxddessins ci-Joints qui représentent, à titre d'exemple, une forme d'exécution de 1+invention, et dans lesquels:
La fig.l est une élévation de ;face de l'ensemble de la machine.
La fig.2 est une élévation de bout de cette machine.
La fig.3 est une vue en plan de la machine.
La fig. 4 est, à plus grande échelle, une élévation de face de la vis-mère et de la, partie de poupée,
La fig.5 est une coupe suivant la ligne 5-5 de la fig.4.
La fig,6 est une coupe verticale centrale de la vismère et de la botte d'engrenages, et
La fig.7 est une coupe verticale centrale de cette boite.
La fig.8 est une coupe suivant la ligne 8-8 de la
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fig.6 et montre la construction du compensateur à barre de , sinus.
La fig.9 est une élévation en bout de la poupée.
La fig.10 est un plan, partie en coupe de la forme préférée de mécanisme de renversement pour inverser la di- rection de rotation de la pièce d'ouvrage à la fin de sa course en travers de la meule.
La fig.ll est une coupe suivant la ligne 11-11 de la fig.10 et montre la commande du moteur électrique menant au différentiel, et
La fig.12 est une coupe suivant la ligne 12-12 de la fig.10 et montre la commande du moteur à liquide menant au différentiel.
La fig.13 est une élévation de face du dispositif de contre-poupée.
La fig.14 est une vue en plan de ce dispositif, et
La fig.15 est une coupe suivant la ligne 15-15 de la fig. 13,
La fig.16 est une vue partie en coupe et montre la disposition de l'arbre de meule.
La fig.17 est une élévation en bout de la lyre de la meule et de l'assemblage de réaction de couple.
La fig.18 est une coupe verticale centrale de l'as- semblage de la barre- de coulisseau de la meule.
La fig.19 est une vue et montre le montage du carter de la meule.
La fig.20 est une élévation de face du mécanisme de réglage de la meule pour des angles de pas différents.
La fig.21 est une vue en plan de ce mécanisme.
La fig.22 est une vue semblable à. la fig. 20 et montre la meule réglée pour un angle de pas très différent.
La. fig.23 est une élévation de face quelque peu sché-
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matique d'une partie de la machine et montre une forme de mécanisme automatique d'arrêt et de renversement dans une position, et
La fig.24 est une vue semblable et montre ce mécanisme dans son autre position*
La fig*25 est une coupe de la forme préférée de valve de renversement hydraulique pour contrôler le mouvement du coulisseau de meule, et
La fig.26 est une vue semblable et montre le piston de la valve dans l'autre position.
La fig.27 est une élévation de face de la poupée et montre un dispositif pour dépouiller des tarauds, et
La fig. 28 est une vue en plan quelque peu schématique et montre le réglage de la machine pour meuler des filets coniques.
La fig. 29 est un schéma et montre le système fluide de la machine.
La fig.30 montre le circuit des connexions électriques.
En se reportant aux dessins, et plus particulièrement aux fig.l à 5, on voit que la machine, à meuler les filets comprend une base 100 dont le sommet porte un lit 101, la base et le lit étant d-'épaisseur et de poids notables, pour éviter toute vibration pendant le fonctionnement de.la ma- chine. Pour isoler encore plus le lit 101 contre toute vibration susceptible de lui être transmise de la base 100, des rondelles en caoutchouc ou autre matière élastique peuvent être insérées, entre le lit et la base! de façon à éviter tout contact de métal sur métal entre ces parties.
On a montée sur un côté de la base 100 le moteur électrique 102, qui actionne une pompe à fluide 103 montée sur le coté oppose de la base. Cette pompe à fluide 103 est disposée pour
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débiter le fluide, de préférence de l'huile de graissage, sous pression pour le fonctionnement de la machine. Dans le but de maintenir une pression d'huile constante, la pompe 103 est pourvue d'une soupape de détour 103a (fig.29), qui peut être incorporée dans le carter de la pompe et qui est disposée pour détourner, si nécessaire, l'huile de retour au réservoir alimentaire principal 104. De l'huile sous pression est amenée de la pompe 103 au moteur rotatif à fluide 105 qui est utilisé pour actionner la vis-mère et pour faire tourner la pièce d'ouvrage, ainsi qu'il va être décrit.
La vis-mère et le dispositif de rotation de la pièce d'ouvrage (fig.4 à 9).
Le coulisseau sur lequel la poupée et la contre-poupée sont montées comprend une barre circulaire 106, en acier ou autre matière appropriée, qui s'étend d'un c8té à l'autre du lit 101. A l'extrémité de droite, ainsi que représenté sur les dessins, la barre 106 s'étend dans un cylindre 107, dont le rôle sera décrit dans la suite, tandis qu'à l'extrémité de gauche et ainsi que représenté sur les dessins, la barre 106 passe par un large palier 108 rigidement fixé au lit 101 dans un carter 109 qui loge la vis-mère 110. La vismère 110 s'étend dans la barre, qui est percée pour la recevoir, et sur l'extrémité de la barre on a disposé le levier de vis-mère et l'écrou 111.
L'écrou de vis-mère est pourvu d'une surface sphérique 112, qui s'engage dans l'extrémité conique ou sphérique il} de la percée de la barre 106, de sorte que la vis-mère et l'écrou s'alignent automatiquement par rapport à la barre 106 et que toute faible imprécision est automatiquement compensée. Le levier de vis-mère et l' écrou 111 sont rigidement fixés à la partie de levier de barre de sinus au moyen de vis 115, tandis que ce levier est également fixé à la barre 106 au moyen des vis 116, qui,
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ainsi que représenta sur la fig.8, sont capables du léger mouvement nécessaire.
La poupée 117 est serrée sur la barre 106 à la. partie désirée au moyen du collier 118 et est pourvue d'une patte dépassante 119 qui s'étend sur le bord du lit 101 et est flanquée sur 1+un et l'autre coté par des oreilles 120 qui servent à entraîner dans le mouvement de la poupée une étroi. te plaque de portée 121 située sur le bord du lit. La plaque 121 comporte des tétons verticaux 122 établis à cet effet entre les oreilles 120. Une vis de réglage 122a, vissée à travers la barre 119 sert au réglage préalable de précision de la position de la poupée 117 sur la barre 106, cette vis attaquant la plaque 121.
La vis 122a est particulièrement utile lorsque la machine doit être employer au dépouillement de tarauds. ainsi que décrit dans la suite*
La. poupée est pourvue de deux logements 123 et 124, qui sont parallèles l'un à 1* autre (fig.5) et sont horizontalement espaces l'un de l'autre. Le logement interne 123 porte un manchon rotatif 125 dont l'extrémité avant porte rigidement la pointe de poupée 126. Le manchon 125 porte aussi à son extrémité avant un pignon 127 et le bras usuel 128 pour la rotation de la pièce d'ouvrage.
L'entre logement 124 contient aussi un manchon rotatif 129 dont l'extrémité avant porte rigidement un pignon 130 engrenant avec le pignon 12? du manchon 125. Mais le man- chon rotatif 129 est claveté sur un arbre de commande 131 de façon à pouvoir se mouvoir axialement le long de cet arbre.
L'arbre de commande 131 est relié par un joint sphérique 132 à un manchon d'accouplement de commande 133 (l'emploi des accouplements sera décrit dans la suite), qui est pourvu d'une roue à chaîne 134 disposée pour être actionnée par une chaîne 135 du moteur à fluide 105 par le mécanisme
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de changement de forme spéciale de l'invention, qui sera décrit dans la suite.
A son extrémité éloignée, le manchon 133 est relié au moyen d'un joint sphérique 135 à un court arbre 137 qui s'étend dans la bopite d'engrenages 138.
Le manchon 133 est ainsi porté entre les arbres 137 et 131, et on se rend compte que les joints sphériques 132 et 136 assurent une commande convenable tout en compensant tout défaut d'alignement des parties.
A l'intérieur de la botte 138 l'arbre 137 est pourvu d'une roue dentée 139 qui est disposée pour actionner par l'intermédiaire du train de roues 141 une roue dentée 142 fixée à l'extrémité de la vis-mère 110, où elle s'étend dans la boîte d'engrenages 138. Le train de roues 141 et les roues dentées 139 et 142 sont, si on le désire, interchangeables, dans le but de pouvoir modifier la vitesse à laquelle la vis-mère 110 tourne, afin de tailler des filets de différents pas. Pour tailler des filets à pas à gauche, une roue dentée folle (non représentée) peut être interposée entre les roues dentées 139 et 141.
On voit donc que lorsque la roue à chaîne 134 est ac- tionnée, la pièce d'ouvrage tourne au moyen du manchon 133 et de l'arbre 131, tandis que la vis-mère 110 tourne au mo- yen de l'engrenage et déplace en travers de la machine la barre 106 portant la poupée et la pièced d'ouvrage.
La roue à chaîne 134 est actionnée par le moteur à fluide 105 de sorte qu'en commandant la quantité de fluide fournie au moteur, on peut modifier de manière simple et effective la vitesse de rotation de la pièce d'ouvrage et la vitesse de passage de cette pièce dans la machine.
Le carter 109, dans lequel est logée la vis-mère, peut si on le désire, être rempli d'huile de façon à assurer
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un graissage convenable de la vis-mère 110.
Il est fréquemment requis de cueillir un filet sur une pièce déjà filetée ou de réduire le diamètre effectif d' un filet en formation* Dans ce but il est évidemment néces- saire que la pièce d'ouvrage soit placée de manière très précise par rapport aux rainures de la meule. Avec les machines à meuler actuelles, on se heurte dans ce cas à de notables difficultés, mais avec la disposition de vis-mère de l'invention, cette mise en position s'effectue très facile- ment;. Le moyen destina à assurer ce réglage comprend une vis micrométrique 143 commandée par la. manette 144, et ea vissant dans le palier de bout 145 de la vis-mère 110, dans la botte 138. L'extrémité de cette vis 143 attaque une bielle 146 qui s'engage avec l'extrémité de la vis-mère.
On se rend compte qu'en faisant tourner la vie-mère, l'ensemble de la barre et de la poupée peut être déplacé dans la. machine et lapièce d'ouvrage peut être réglée avec précision par rapport à la meule de façon à pouvoir cueillir un filet.
Une fois réglée, la vis 143 peut être fixée en position au moyen de vis de serrage 147.
Le compensateur à barre de sinus...
On a prévu un compensateur à barre de sinus pour le réglage de précision du pas dU filet. en cours de taille. Des compensateur à barre de sinus ont déjà été prévus dans les machines à meuler actuelles, mais les dispositions de vismère de la présente invention tendent d'elles-mêmes à une construction simple et très effective de compensateur à barre de sinus. Ce dispositif est prévu à l'intérieur du carter 109, qui est pourvu d'une rainure ou¯ ouverture 148 recouver- te par une plaque 149.
La barre de sinus 151 est pivotée en son centre au côte inférieur de ce couvercle en 150; cette barre comporte une section en forme de gouttière et est pour-
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vue, vers son extrémité.. de vis de réglage 152 traversant le côté du couvercle. En réglant ces vis, on peut régler la barre de sinus. Les rainures arquées 153 du couvercle coopèrent avec des tétons 400 pour indiquer le réglage de la barre de sinus. Le levier 111 portant l'écrou de vis-mère est pour- vu d'un prolongement 154 portant une bille 155 qui se trouve dans la barre de sinus 151.
On se rend compte que par le réglage de la barre de sinus et la coopération de cette barre avec la bille ou rotule 155, la pièce d'ouvrage peut être disposée pour avancer ou retarder légèrement sur le pas réel de la vis-mère 110.
L'amortissement hydraulique de la vis-mère.
Il a été indiqué ci-dessus que l'emploi d'un moteur à fluide actionné par de l'huile ou un liquide équivalent sous pression est avantageux pour d'autres opérations et fonctions de la machine. Une de ces utilisations additionnelles de l'huile sous pression est l'amortissement hydraulique de la vis-mère et du coulisseau porte-ouvrage, et la suppression de leur jeu. 0'est dans ce but qu'on se sert du cylindre 107 ci-dessus mentionné. L'huile sous pression est transportée de la pompe par le tuyau 156 au cylindre 107 à travers l'orifice 157, de façon à y maintenir une pression d'huile constante. La barre 106 coulisse dans le cylindre et hors du cylindre au fur et à mesure de la course de la pièce d'ouvrage et agit comme un piston.
Mais en tous temps la barre 106 est soumise axialement dans une direction à la pression de l'huile dans le cylindre et cette pression est transmise par la barre 106 à la vis-mère 110 et au levier 111 pour absorber tout jeu. La vis-mère attaque constamment un seul flanc du filet de l'écrou de vis-mère. L'amortisse- ment à huile de la barre 106 assure encore un autre avantage en tant que de légères fuites d'huile du cylindre 107 grais-
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sent la barre 106 sur sa.portée etvempêchent le dépôt de poussières de moulage et de métal sur cette barre.
Le mécanisme de 'renverSem$nt (fig.l0 18).
On a indiqué ei...dessus, t11 est désirable de prévoir un mécanisme de renversement pour la commande de la viscère de sorte que la pièce d'ouvrage peut être ramenée à sa. pool-
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tion initiale âpres zne ta.3..e, sans qu'il soit nécessaire de dégager lécroc âe vis.,re de le, vie-mère. Un moyen pour obtenir ce résultat consiste & utiliser comme moteur à fluide 105 un moteur réversible et¯,µ prévoir une valve au moyen de laquelle l'écoulement de fluide sous pression au moteur 105 est inverse. Bien qu'à certains points de vue une semblable disposition soit tout fait satisfaisante (et il faut noter
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que l'invention prévoit aussi cette disposüion) elle compor te néanmoins certains inconvénients.
Par exemple une sembla- ble disposition comprend essentiellement une modification du
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réglage de la valve de commande de fluide 10õ (fin.29) et un nouveau réglage de cette valve à sa position initiale aprés que l'inversion a été effectuée* En conséquence, il est préférable d'employer le mécanisme de renversement représente
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sur les fig*10 k 12 qui supprime ces inconvénients.
Dans eeb te disposition on se sert d'un moteur électrique sépare 158, en plus du moteur à fluide 105, à l'effet d'inverser la piè- ce d'ouvrage,,
La chaîne 135 qui actionne la roue à chaîne 134 passe sur une roue à chaîne 159 portée par la. cage 160 d'un. diffé.
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rentiel i6i, Une roue latérale 162 de ce différentiel est ao.... tionnée par une roue vis sans fin I63 du moteur à fluide 105, tandis que l'autre roue latérale 164 est actionnée par une roue à vis sans fin 165 du moteur électrique 1581 le moteur à fluide 105 et le moteur électrique 158 sant portés, leurs arbres étant parallèles, sur un prolongement du lit 101.
Un palier de butée réglable 166 peut être prévu pour empêcher tout jeu en bout dans l'arbre du moteur électrique,
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jeu qui tendrait à. empêcher la bonne marche de la roue à vis sans fin 165.
Pendant l'opération de coupe, la roue latérale 164 du différentiel est stationnaire et le carter 160 tourne ainsi à la demi-vitesse de ltautre roue latérale 162 du différen- tiel et actionne la roue à chaîne 134 par la chaîne 135. La vitesse à laquelle la roue 162 du différentiel tourne est évidemment contrôlée en réglant l'alimentation liquide au moteur 105 et peut re ster inchangée si on le désire, une fois réglée à la vitesse optimum pour un type particulier quelconque de filet à meuler.
La roue latérale 162 du différentiel tourne continuellement à la même vitesse pendant le fonctionnement de la machine*
Lorsqu'on désire inverser la pièce d'ouvrage, la meule est d'abord retirée de cette pièce de la manière ci-dessous décrite et le moteur électrique 158 est ensuite mis en circuit pour faire tourner la roue latérale 164 du différentiel à une plus grande vitesse que la roue 162 et dans la direction opposée. Le moteur électrique 158 utilise la roue latérale 162 tournant constamment, comme une réaction, et on se rend. compte que le carter 160 et en conséquence la roue à chîne 134 sont actionnés dans la direction inverse, la vitesse étant la moitié de la différence de vitesse des deux roues latérales 162 et 164.
Comme le moteur électrique 158 peut être réglé pour faire tourner la roue 164 à une vi- tesse relativement élevée sans aucun inconvénient, car ancune coupe n'a lieu lors de la course de renversement, la pièce d'ouvrage peut être ramenée rapidement initiale sans perte de temps inutile.
Dès que le moteur électrique 158 est en circuit, le moteur à liquide 105 se charge de nouveau de la commande par sa roue 162 pour faire avancer la pièce d'ouvrage à la vites-
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se prédéterminée
Il est avantageux de comprendre dans le circuit du moteur électrique 15S un conjoncteur-disjoncteur qui n'est fermé que lorsque la meule a été complètement retirée de sa position opérante. On décrira dans ce qui va suivre une disposition appropriée, et le fonctionnement d'un semblable conjoncteur-disjoncteur, et on verra qu'on évite ainsi tout risque d'inversion, de la pièce d'ouvrage pendant qu'elle est encore en engagement avec la meule*
La contre-poupée et la pointe (fig.13 à 15).
La contre-poupée 170 est elle aussi montre sur la barre de porte-ouvrage 106 et y est serrée au. moyen du collier 171. La contre-poupée est équipée de manière analogue à la poupée d'une patte dépassante 172 flanquée sur l'un et l'autre côté par des oreilles 173, et la patte 172 porte une vis de mise en position réglable 174, disposée pour s'engager avec une plaque de portée 175 coulissant sur le lit 101 de la machin,, la plaque de portée étant pourvue de tétons 176 qui attaquent les oreilles 173 et font que la plaque de portée suit le mouvement de la contre-poupée.
Dans la contre-poupée 170 est monté et coulisse un plongeur 177 qui porte à son extrémité avant la pointe de contre-poupée 178 et qui s'étend par son aytre extrémité dans un cylindrehydraulique 1?9, monté sur la contre-poupée.
De l'huile sous pression est amenée au cylindre 179 par la pompe 103 au moyen du tuyau 180., Le plongeur 177 agit comme un piston dans le cylindre 179,.et la pression constante de l'huile dans le cylindre 179 assure une charge constante de la contre-poupée, ce qui est désirable. Un robinet à deux voies 181 est comprit dans. le tuyau 180, de sorte que lors** qu'on désire couper la pression du cylindre 179 on peut y procéder,, tandisnque le fluide déjà contenu dans le cylindre
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est vidé par le tuyau 182. Un ressort de compression 183 est prévu dans le cylindre 179 et s'applique sur le plongeur 177 de sorte que la pièce d'ouvrage est légèrement maintenue, même lorsque le système hydraulique n'opère pas.
Cet action- nement hydraulique assure non seulement une pression constan- te sur la pointe de la contre-poupée et la sûreté de fonc- tionnement mais de plus les faibles fuites du cylindre 179 autour du piston 177 assurent un graissage convenable de la tige ou barre et écarte de cette barre les poussières de la meule et les poussières métalliques,
La commande à la main de la contre.-poupée dans le but de monter et d'enlever la pièce d'ouvrage est assurée au mo- yen du. levier à main 184, qui est pivoté dans une console 185 prévue sur le cylindre 179 et qui comporte une tige 186 s'étendant à travers l'extrémité du cylindre. A l'intérieur du cylindre, la tige 186 est pourvue d'une tête 187 s'enga- géant dans une rainure 188 du plongeur 177.
On se rend compte que la contre-poupée peut être retirée au moyen du levier 184 lorsqu'on le désire.
Le montage de la meule.
On a disposé de l'avant à l'arrière du lit 101 de la machine, la barre de glissière 189 de la meule, barre qui de même que la barre 106 de la pièce d'ouvrage est de forme cir- culaire et de diamètre approprié. Cette barre 189 s'étend à l'arrière dans un cylindre hydraulique 190, auquel de l'huile sous pression peut être amenée par l'orifice 191, de sorte que la barre agit comme un piston dans ce cylindre. A son extrémité avant la barre 189 s'étend dans un cylindre semble- ble 192, auquel de l'huile sous pression est amenée par 1' orifice 193.
On voit que lorsque de l'huile sous pression est admise au cylindre 190, mais non pas au cylindre 192, la barre de meule 189 et les parties qutelle porte sont ac-
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tionnées en avant dans la machine, et que lorsque de l'huile Bous pression est admise au cylindre 192, et non pas au. cylindre 190, la barre- 189 est actionnée en arrière:.
Une vis d'arrêt réglable 194 traverse l'extrémité du cylindre hydraulique arrière 190 pour limiter le mouvement en arrière, tandis que le cylindre 192 situe sur l'avant de la machine est pourvu d'une vis de réglage micrométrique 195 actionnée par la manette 196 et pourvue d'une bague graduée 197, de sorte qu'on obtient un réglage très précis de la position avant de la barre 189.
Lors du mouvement de cette barre en avant,, la meule est engagée avec la pièce d'ouvrage, de sorte qu'en réglant la- vis 195 on peut obtenir une profondeur de coupe désirée quelconque. La. force maintenant la meule en engagement avec la pièce d'ouvrage est, comme on se rend compte, la pression régnant dans le cylindre 190, et comme cette pression est la pression, constante fournie par la pompe 103, la meule attaque toujours la pièce d'ouvrage à une pression constante, De plus* les faibles fuites d'huile des cylindres assurent un graissage convenable de la barre comme dans le cas de la barre 106.
Sur la barre 189 est serrée la console 198 qui porte la meule et toutes! ses parties associées* Dansce but, la console 198 est pourvue: à son extrémité supérieure d'un pa- lier 199 disposa pour recevoir un prolongement 200 s'étendans sur l'arrière du. logement 201 pour la meule 202. Le pro- longement 200 s'adapte exactement dans le. palier 199 et la disposition est telle que l'axe du palier 199 passe par le centre: de la meule 202.
La meule 202 est actionnée!! par un arbre 203 monte dans un palier 204 d'un manchon. 205, qui. est serré dans un tube externe 305 boulonna au logement de meule 201. L'avantage du montage de la meule 202 et du manchon 205 dans le
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tube externe 305 consiste en ce que la position de la meule peut être réglée dans le rapport désiré avec l'axe du palier 199 quelle que soit ,sa. largeur. L'arbre 203 est actionné par un moteur électrique 264 au moyen de la commande à courroie 265, les poulies 206 étant réglables dans le but de faire varier la vitesse de rotation de la meule.
Le moteur électrique 264 est monté en un point seulement à chaque extrémité sur des rondelles de caoutchouc portées dans des consoles 207 portées par le tube 305 et le logement de la meule, et une tige de réaction de couple 208, en caoutchouc ou chargée par ressort., s'étend d'une console 209 située sur l'avant du logement ou tube, à un point près du sommet du moteur 264 dans le but de stabiliser ce dernier.
On obtient ainsi une suspension flottante pour la. commande du moteur.
On voit que l'assemblage de le meule et du moteur électrique est porté dans le palier 199 et que cette dispo- sition. est très avantageuse pour régler la meule à des angles de pas différents. Dans ce but on a prévu à. l'arrière de la machine un arbre 210 pourvu à. son extrémité externe d' une manette de commande 211 et à son extrémité interne d'une vis sans fin 212 actionnant un pignon 213, qui est porté par un arbre 214 s'étendant sur l'avant de la machine dans un palier 215. . son extrémité interne, l'arbre 214 est pourvu d'un bras 216 comportant un téton sacilant 217.
Le téton 217 est logé dans une rainure 218 d'une plaque graduée arquée 219, boulonnée ou fixée d'autre manière au manchon 205. on se rend compte que par la¯commande de l'arbre 210 la plaque graduée 219 peut être soulevée ou abaissée de façon à faire osciller dans le palier 199 l'ensemble de l'assemblage de meule. On obtient ainsi un réglage de précision de la meu.., le 202 pour l'angle de pas désiré. Après réglage de la meule,
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le prolongement 200 est serré dans le palier 199, et la plaque graduée 219 est Serrée 'en position au moyen du boulon 291. Il est évident qu'on peut employer sans s'écarter de la portée de l'invention, tout autre moyen pour faire osciller l'assemblage de meule dans le but de régler l'angle de pas.
Il a été indique ci-dessus qu'il est désirable d'indure un conjoncteur**disjoncteur dans le circuit du moteur électrique 158 actionnant le mécanisme de renversement, de sorte que ce moteur ne peut être mis en circuit qu'après que la meule 202 a. été complètement retirée de la pièce d' ouvrage. Le mouvement de la console 198 logeant la meule, ou de la barre 189, peut être utilisa à cet effet de manière appropriée quelconque. Par exemple, on peut prévoir sur l' extrémité de la barre 189 une tige de contact traversant lecylindre hydraulique 190 et disposée pour relier une paire de contacts, lorsque la meule a été complètement retirée.
Dans une variante, la. lyre 198 de la meule peut être articulée à un interrupteur de manière que cet interrupteur ne soit fermé que lorsque la meule a atteint sa position de retrait complet,
Pour façonner ou dresser la meule il est préférable de se servir de la méthode décrite dans la demande de brevet anglais n 5217/37, méthoded'après laquelle un rouleau de dressage comportant un filet hélicoïdal est monte dans la position de la pièce d'ouvrage et est pressé contre la meule, les deux tournant à la même vitesse périphérique, ou à peu près.
Dans la mise en oeuvre de cette méthode avec la machine de la présente invention, il est avantageux de couper le moteur électrique 264 et de visser une manivelle amovible 220 dans ltune des poulies 206, de sorte que lorsque le rouleau façonneur a été pressé en engagement avec la meule, cette
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meule peut être actionnée à faible vitesse à la main*
Le mécanisme de renversement manuel ou automatique.
Ce mécanisme est représenté sur les fig.23 à 26 des dessins etcoomprend un levier à main 221 pivoté en 222 sur le lit de la machine et s'étendant au dessous du pivot où il est fixé au plongeur d'une valve de renversement .hydraulique.
Cette valve, dont la construction est représentée sur les fig.25 et 26, est employée pour contrôler l'admission d'huile sous pression aux cylindres hydrauliques 190 et 192, et l'évacuation d'huile de ces cylindres. Il a été indiqué que dans le contrôle du mouvement de l'assemblage de meule, il est nécessaire dtadmettre de l'huile sous pression alternativement aux cylindres hydrauliques 190 et 192 pour permettre l'évacuation de toute huile contenue dans le cylindre qui n'est pas alimenté. Cette opération est effectuée par la valve de renversement hydraulique qui comprend un corps de valve 223 monté de manière appropriée sur le lit de la machine.
Dans la percée centrale de ce corps coulisse le plongeur 224: qui est relié par son extrémité avant au levier à main 221 et qui est pourvu de creux périphériques espacés 225 et 226. De l'huile sous pression provenant de la pompe est conduite par un tuyau. 227 à l'orifice d'admission 223 du corps de valve, et deux orifices de sortie espacés 229 et 230 se trouvent sur l'un et l'autre c8té de l'admis- sion 228. L'orifice de sortie 229 est relié au cylindre hy- draulique avant 192, tandis que l'orifice de sortie 230 est relié au cylindre hydraulique arrière 190.
Le corps de valve est percé d'un passage de sortie 231 qui est relié par un tuyau 232 au réservoir d'huile, ce passage communiquant avec deux orifices 233 et 234 espacés et débouchant dans la percée centrale du corp s de valve.
Lorsque le plongeur 224 se trouve dans la position
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représentée sur la fig.25, de l'huile sous pression coule
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de l'orifice d'admission 22S autour du creux 226 et sort de 1 * orif',o 234., de sorte quelle passe an. cylindre @ydranli- que arrière* En même temps. l'orifice 233 relié au cylindre
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hydraulique avant cet Mif3 en communication avec le passage de sortie 231 par l'orifice 233 fit le creux 225e et toute bulle contenue dans le, cylindre hydraulique avant peut être
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évacuée de cette manière.
En conséquence la meule est mise en engagement avec la pièce d'ouvrage* Lorsque le plongeur 224 est amené à son entre position représentée sur la fIS6 26, l'opération est inversée* Le cylindre hydraulique arrière
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peut se vider par l'orifice zut?, le creux 226e l'orifice bzz et le passage 251, pendant que de l'huile soue pression est amenée an cylindre hydranlicpie avant 192 par l'admission 223 le creux périphérique 225 et l'orifice 229 La meule est alors retirée de la pièce cllouvrage.
Sm conséquence il suffit d'actionner la loanette eg1 d'une position à l'autre pour contrôler la meule* ¯ ¯ Cette opération de ch=gement peut,, si on le désire se faire automa-tiquement anx extrémités de la. course de la pièce d'ouvrage? Pans ce but une barre 235peut être pivotée
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au levier a main 221*, cette barre s'étend le long: de l'avant du lit de la. machine et traverse un soNlisseao. ou. oeillet 236 fird b. la plaque de portée 121 associée à la poupée.
On a monte sur la barre 235, un sur chaque cote de l'oeillet
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236j, deux arrêts réglables 2:3? qui sont règles: de façon à. correspondre; a la course: désirée de la pièce deotmrage, Com- me l'oeillet 236 est obligé de suivre le mouvement de la poupée, il attaque les arrêts 23? juste avant la fin de sa
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course et actionna ainsi 1& valve de renversement hydrauli- que.
On. se rend aisément compte' qu'il est désirable que le
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plongeur soit maintenu fermement dans se s deux positions ex- trémes et qu'il se meuve brusquement à. sa position finale dès exécution d'un certain degré de mouvement. Dans ce but on a prévu un dispositif très semblable à un dispositif de "contre-pointe". La barre 235, au lieu d'être simplement pivotée sur la cheville 500 portée par le levier à main 221, est pourvue d'une rainure oblongue 501 par laquelle elle s' engage sur la cheville 500.
Le levier à main 221 est ainsi susceptible d'un certain degré de mouvement dans l'une ou l' autre direction par rapport à la barre 235, On a monté sur le pivot 222 du levier à main 221 un levier de renvoi 502, dont une branche s'étend vers le haut et vers la cheville 500 et dont l'autre branche 503 s'étend vers l'extérieur à partir du côté du levier 221 et est pourvue d'un bec pointu 504. Avec ce nez 504 coopère un bras 505 pourvu lui aussi d'un nez pointu 506, le bras 505 étant pivoté en 507 sur la chapelle 223. Un ressort de tension 508 relie le pivot 222 et une cheville 509 portée par l'extrémité supérieure du bras 505, de façon à. maintenir les deux nez en engagement mutuel.
On supposera que les parties se trouvent dans la position représentée sur la fig.23 et que la barre 235 se meut vers la gauche. Au moment exact l'extrémité de droite de la rainure 501 de la barre 235 attaque la cheville 500 et commence à faire osciller le levier à main dans une direction négative. Dans ce mouvement,la surface supérieure du nez 504 chevauche sur la surface inférieure du nez 506, en séparant ainsi le levier 221 et le bras 505 et en augmentant la tension exercée sur le ressort.
Ce mouvement continue jusqu' à ce que les pointes des nez se rencontrent$ sur quoi le ressort 508 entre en action pour rabattre brusquement le levier jusqu'à ce que la cheville 500 s'engagge avec l'extrémité de gauche de la rainure oblongue 501, et ceci assure le chan-
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gement rapide du plongeur de soupape 22µ.¯La surface inférieure du. nez 504 attaque maintenant la surface supérieure
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du nez 506, ainsi que représenté pur la fig*24, et le res- sort 508 maintient la. soupape dans sa. nouvelle position, En passant de la position de la fig.24 à la position de la fig.
23 Inaction inverse a lieu, ainsi qu'on se rend aisément compte.
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Si on le désirée la,'barre 235 peut être reliée à une branche d'un levier de renvoi :pivoté 238 dont l'autre branche est reliée hun interrupteur 239*-Cet interrupteur est eonnect6ddane le circuit du moteur électrique do. mécanisme de renversement et n'est ferme que lorsque la soupape de renversement est réglée pour retirer la meule. De même, lorsque
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la soupape de renversement est rlée " 1 autre position pour faire avancer la meule sur la pièce d'ouvrageo, 19inter- rupteur 239 est ouvert et ceci constitue une sûreté addition- nelle pour empêcher la pièce d'ouvrage d'être inversée peudant qu'elle est engagée avec la.meule.
On se rend compte que le fonctionnement automatique de la soupape de renversement n'a pas besoin d'être provoque par une action mécanique directe provenant du mouvement de la, poupée ainsi que décrit ci-dessus. Par exemple,, la poupée
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ou une partie quelconque associeee cette poupée peut être disposée pour fermer une paire de contacts électriques à chaque extrémité de sa.course, ces contacts étant compris
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dans les circuits de solehoïdes disposée pour actionner le plongeur de soupape 224 en arrîère et en avant suivant que requis.
L'un des i3ol6zioKcles peut aussi être remplace par un ressorte ou un autre moyen quelconque peut évidemment être utilise pour assurer le fonctionnement automatique de la ,soupape de renversement, sans s'écarter de la portée de l'in- vention. De plus la soupape de changement peut, si on le
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désire être montée à. l'intérieur de la machine.
Le dispositif de dépouille de taraude.
La machine de la présente invention tend d'elle-même au dépouillement de taraude lors de leur meulage. Le mécanisme de dépouille de tarauds comprend une bague 240 fixée à 1' arbre 131 du mécanisme de vis-mère de façon à tourner avec lui, cette bague étant pourvue de trous 241 dans lesquels des chevilles 242 sont insérées de manière appropriée pour le taraud particulier en meulage. Une cheville 243 s'étend sur l'oreille de droite 120 de la poupée, et sur cette cheville est pivoté un bras 244 s'étendant sous la bagne 240 de façon à être attaqué par les chevilles 242. Ce bras s'applique sur la plaque de portée 121 au moyen de la bille 245, qui doit être réglée au moyen de la vis de réglage 246, et est ensuite serrée an moyen de la vis de serrage 247.
On se rend compte que lorsque la bague tourne, les chevilles s'engagent avec la base 244 et font osciller ce bras sur la bille 243. Comme la cheville 243, sur laquelle le bras 244 est pivoté à la poupée, se trouve sur le côté éloigné de la bille 245, l'ensemble de la poupée subit une torsion pour obtenir l'effet désiré. L'emploi de la barre circulaire 106 permet à. la poupée de se mouvoir facilement car elle tourne simplement dans ses paliers. La vis de ré- glage 122 limite le mouvement de retour de la poupée et fait qu'elle revient toujours à sa position exacte. On peut évidemment modifier le degré de dépouille dn taraud en réglant la vis de réglage 246.
Dans une variante de dépouillement de tarauds d'après l'invention, une plaque--came appropriée (ou uneplaque avec des tétons) est actionnée par le dispositif de rotation de l'ouvrage et actionne un élément entraîné pivoté, qui est articulé à la manette 196, ou à la vis 195 (fig.18) de façon
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à desserrer cette dernière pour permettre & la meule d'aven-
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cer. Dans le but de faciliter le retour de Ia, vis 195 et de la meule à la position normale de taille, un léger dégagement de la pression dans le cylindre peut être automatique-
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ment assuré amc mOlrie11t8f rC#Q't.E.
De, plu%$ la maettne de l'invention peut être facilement disposée pour le meulage de filets coniquesà car, ainsi que représente sur la fig.28 il. suffit de faire tourner la contre-poupée sur la 'barre circulaire bzz pour obtenir un cône désire quelconque, ¯ ¯ Le système fluide de la machine, de l'invention est
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représenté sur 1a f'ï.g9 de marnes signes de référence étant utilises pour désigner des parties 6@m?Qp])es, et la fig.30 montre les dispositions de circuit électrique;
250 désigne l* interrupteur actionne par le mouvement de la lyre de la meule., ¯ ¯ z ¯ ¯ ¯ ¯ Les accouplements prévus sur le manchon d'accouplement
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133 ci"dea8us décrit peuvent être employés pour dégager de la boite d'engrenages la commande de la via-"mëret dans le butde meuler des frai,sec hélicoderl.esa et aussi pour dêcouplier la commande du moteur fluide,# de façon à pouvoir f ai- re tourner à la main un rouleau de façonnage dans le but de redresser la meule.
La machine et la disposition de la présente invention peuvent être utilisées dans d'autres applications. Par exemple, lorsque la pièce d'ouvrage en cours de travail est un taraud ou une pièce filetée similaire,, le système fluide de l'invention peut être commodément employé pour accélérer la rotation de la pièce d'ouvrage entre les plats. Une méthode
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commode pour obtenir cette accélération consiste a prévoir une came qui est actionnée directement ou indirectement par la rotation de la pièce d'ouvrage et qui par l'intermédiaire
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de bielles ou leviers appropriés, ou de solénoïdes électriques, contrôle le fonctionnement de la soupape principale commandant le débit de fluide au moteur à fluide.
La came comporte une forme telle que tandis que les parties à travailler se trouvent en face de la meule, elle maintient la vitesse de rotation du porte-ouvrage à la valeur prédéterminée, tandis que lorsque les parties qui ne doivent pas être travaillées se trouvent en face de la meule, elle ouvre la commande de la soupape de renversement ci-dessus indiquée dans sa pleine mesure et provoque ainsi la rotation du porteouvrage à sa vitesse maximum en direction avant. Juste avant qu'une partie à travailler se trouve en face de la meule, la came agit pour réduire la vitesse de rotation du porteouvrage à la valeur prédéterminée. De cette manière, on obtient un moyen très simple et effectif pour accélérer le meulage de tarauds et d'éléments filetés similaires.
De plus, le système de la présente invention peut être employé pour assurer une avance automatique du coulisseau porte-meule à l'aide d'un dispositif connu quelconque, tel qu'une roue à rochet ou roue libre, actionnée par la course variable d'un piston dans un cylindre à l'une ou aux deux extrémités de la course de l'ouvrage. La variation de la course est contrôlée par une soupape de contrôle et par le facteur temps, ou par des arrêts réglables. On peut employer la pression d'un ressort ou d'un liquide, ainsi que décrit ci-dessus, pour actionner le levier du mécanisme de roue à rochet dans l'une ou les deux directions.
Les caractéristiques de la présente invention peuvent être incorporées dans une machine à tarauder, en procédant à des modifications appropriées du porte-meule et du porte- ouvrege.
On peut,prévoir des formes appropriées quelconques
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de réfrigérant, débité par une pompe extérieure ou par une pompe prévue sur la machine.
Bien que la présente invention soit particulièrement destinée aux machines à. meuler les filets, elle est applicable à la fabrication de fraises hélicoïdales et d'autres articles pourvus de rainures ou gorges annulaires.