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Perfectionnements aux systèmes de téléphonie.
C.I. Demande de brevet de Grande Bretagne N 435 déposée le 6 janvier 1937 par John William McCLEW et Austin Hugh WILLIAMS dont la demanderesse est l'ayant droit-
La présente invention est relative à des-systèmes de téléphonie, elle concerne plus particulièrement les sys- tèmes dans lesquels on emploie des répétiteurs d'impulsions' du type prévu pour recevoir un train d'impulsions déformées dans un dispositif enregistreur et pour le retransmettre vers un commutateur suivant dans une forme correcte au point de vue du rapport entre les périodes d'ouverture et de fermeture du circuit et au point de vue de la vitesse d'émission.
Des dispositions spéciales, dans lesquelles on faisait usage de tels répétiteurs d'impulsions, ont déjà été proposées,
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celles prévoyaient que l'abonné appelant serait taxé au prorata-
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de la durée de/communication. Ce comptage à la durée exige habituellement l'emploi d'un commutateur rotatif pas à pas, propre à chaque répétiteur, qui, au moment où l'appelé ré- pond, avance d'un pas sous la commande d'un équipement commun donnant des impulsions à des moments bien définis, dans le but de mesurer la longueur de l'intervalle de temps déter- miné pris par la conversation et alloué pour chaque unité de taxation payable par l'abonné appelant ou portée à son compte.
L'objet principal de l'invention est de procurer un dispositif perfectionné dans lequel la régénération des impulsions et la détermination de la durée de la conver- sation peuvent être effectuées par le même organe de telle sorte qu'une économie importante soit réalisée sur le nombre des appareils.
L'invention peut être appliquée avec un avantage tout particulier en faisant usage d'un répétiteur d'impulsions mécanique du type décrit dans le Brevet N 415.894.
Suivant une des caractéristiques de l'invention, dans un système de téléphonie utilisant des émetteurs-enregistreurs adjoints à des circuits de jonction sortants, les organes d'enregistrement qui fonctionnent sous l'action de trains d'impulsions entrants, ne sont actionnés qu'après l'établis- sement de la connexion nécessaire pour la mesure de la durée de la conversation dans le but de déterminer la redevance à payer.
Suivant une autre caractéristique de l'invention, dans un système de téléphonie employant un répétiteur d'impulsions pour la régénération des impulsions qui doivent être trans- mises sur un circuit de jonction sortant, après que les im- pulsions régénérées ont été retransmises, les organes sont mis en service pour contrôler le comptage ou toute opération similaire, à des intervalles déterminés.
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Une autre caractéristique de l'invention consiste en ce que dans un système de téléphonie employant un régénéra- teur d'impulsions du type dans lequel une pièce mobile est mise en mouvement sous l'action d'impulsions entrantes et s'éloigne d'une autre pièce qui se déplace vers la première pour retransmettre des impulsions correspondantes régénérées, on a prévu les moyens permettant à la première pièce de s'é- loigner, à intervalles réguliers, de la deuxième pièce et produisant, dès qu'elle a parcouru une distance déterminée, des modifications de circuit donnant le contrôle du comptage ou de toute autre opération semblable.
L'invention sera mieux comprise par la lecture de la description d'une de ses applications pour laquelle on se reportera aux plans annexés comprenant les fig. 1 et 2 qui doivent être disposées côte à côte pour former un circuit complet. Ces figures représentent un groupe de relais, du bureau de départ, modifiés comme l'indique l'invention et qui sont adjoints à une jonction exploitée dans les deux sens,
Dans le circuit représenté, les appareils nécessaires ont été prévus pour permettre la distinction entre les com- munications sortantes émises par les abonnés ordinaires et celles émises par les postes à prépaiement, de telle sorte qu'à la fin de chaque période de taxation, pendant la communication, la répétition du comptage prévu s'effectue dans le premier cas,
mais que dans'le deuxième cas la conversation soit coupée si une nouvelle taxe n'est pas payée sur le champ. De plus, si le groupe de relais est mis en service par un bureau éloigné, les appareils du dispositif à temps ne sont pas mis en service aucun puisque comptage n'est requis, celui-ci étant effectué au bureau d'origine. pour que le dispositif enregistreur puisse accomplir sa double fonction, une légère modification a été apportée
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à l'appareil décrit dans le Brevet N 415.894. de telle manière que les contacts qui sont ouverts lorsque l'appareil est en position normale, s'ouvrent également quand le disque récepteur a tourné de 37 à 40 pas au-delà de la position du disque émetteur.
On étudiera maintenant le fonctionnement du dispositif, et pour les besoins de la description on considèrera en premier lieu le cas d'une communication sortante directe émise par un abonné ordinaire, en l'occurence le groupe de relais est mis en service par l'intermédiaire des fils négatif, positif et P. Dès lors la boucle formée par les fils négatif et posi- tif provoque l'attraction du relais A sous l'action de ses enroulements extrêmes connectés en série ; relais B est alimenté à travers le contact al.
Le relais B fait donc attirer les relais IP et BR par l'intermédiaire du contact b2; au contact b3, il prolonge une terre de garde jusqu'au fil entrant P2 venant des sélecteurs entrante il fait attirer le relais ALC au contact b5 ; contact b6, il prolonge une terre de garde, par l'intermédiaire de l'enroulement inférieur de faible résistance TE, jusqu'au fil P associé aux sélecteurs ordinaires et aux sélecteurs desservant les postes à prépaie- ment.
Quand le relais BR attire, au contact br4, il connecte une terre au fil commun ST de démarrage du groupe générateur de l'impulsion régulière pour préparer le comptage des unités de conversation; les contacts br2 et b4 ferment une boucle, comprenant les enroulements des relais D et I et les ressorts d'impulsion IMP, aux bornes du circuit de jonction sortant pour préparer les organes du bureau éloigné à la réception des impulsions. Le relais I attire alors et polarise le relais D, à shunt magnétique, par l'intermédiaire de son enroulement droit, cet enroulement n'étant pas actif dans ces conditions. Le relais AL, au contact a13, provoque
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l'excitation du relais BB par l'intermédiaire de son enroule- ment inférieur, ces relais n'effectuent aucune fonction pour l'instant.
Par raison de convenance, le dispositif d'enregistre- ment est représenté schématiquement dans le circuit par les disques R, P et S et on admettra, après s'être reporté au Brevet de base pour l'étude des détails, que le disque-récep- teur R tourne pas à pas sous l'action des impulsions reçues et qu'il porte un levier de marquage qui est libéré à la fin de chaque train d'impulsions pour pousser une broche déter- minée, à travers la plaque P, sur le parcours du disque-émet- teur S. Pour chaque chiffre reçu, une broche déterminée est poussée à travers la plaque P, elles servent à régler le dé- placement du disque-émetteur S qui commande la régénération des impulsions sortantes.
Le relais A bat au rythme des impulsions du premier train reçu, à son contact al il répète les impulsions reçues vers l'électro-aimant RM, du dispositif d'enregistrement, et le relais C en parallèle; les relais B et C restent attirés pendant l'envoi des impulsions par suite de l'effet de leur bague. Lorsque le relais C attire, au contact cl, il excite l'électro-aimant MM du dispositif d'enregistrement pour re- pousser le levier de marquage porté par le disque R, en dé- hors du champ des broches.
Les impulsions reçues par l'é- lectro-aimant RM font tourner le disque R pas à pas, au premier déplacement de ce disque les ressorts qui n'étaient pas ac- tionnés quand l'appareil était au repos, ferment leurs con- tacts, au contact N1 divers circuits se préparent et une terre est prolongée vers le plateau à broches P,
A la fin de l'envoi du train d'impulsions, le relais A reste attiré continuellement, quand le relais C relâche, après sa période de retard, le circuit de l'électro-aimant
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de marquage MM s'ouvre, cet électro-aimant revient au repos et provoque la libération du levier porté par le disque R, ce levier repousse une broche déterminée sur le parcours du disque S.
En même temps, les contacts mm, commandés par l'é- lectro-aimant de marquage, se ferment et établissent le cir- cuit du relais ON qui attire et se bloque par l'intermédiaire du contact onl et des contacts Nl pour toute la durée de l'é- tablissement de la connexion. Le relais ON ferme également le circuit d'excitation du relais AP, qui comprend: la terre, fixe les contacts Nl, le plateau/P en contact avec la broche qui est restée en saillie après l'appel précédent, la broche de remise en place,du disque S,qui porte contre cette broche et qui empêche donc le déplacement du disque, le contact on5, les contacts sm, l'enroulement du relais AP, le négatif;
aux contacts on6 et on7 les enroulements des relais D et I sont court-circuités, les ressorts IMP de l'enregistreur sont connectés directement dans la boucle sortante et les conden- sateurs QA et QB sont mis hors circuit pour améliorer les caractéristiques de transmission des impulsions du circuit d'envoi. Quand le relais AP attire, le relais IP est mis hors-circuit, au contact ap2, et le circuit d'excitation de l'électro-aimant d'émission SM est préparé au contact apl.
Le temps de relaxation du relais IP est de l'ordre de 600 millisecondes de telle sorte que la pause entre les trains successifs d'impulsions, qui est déterminée par cette valeur, est suffisante pour permettre aux sélecteurs de rechercher une jonction libre vers l'étage suivant.
Quand le relais IP relâche, au contact ipl, il provoque l'excitation de l'électro-aimant SM, il en résulte que la broche qui aurait été déplacée à la fin de l'appel précédent est repoussée en dehors du parcours du disque S mais par suite de l'échancrure prévue dans la tête de la broche de
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remise en place, le disque n'est pas libéré immédiatement et il reste bloqué jusqu'à ce que l'électro-aimant SM ne soit plus exoité. Aux contacts sm, l'électro-aimant SM, met le relais AP hors-circuit ce qui ouvre le circuit de l'électro- aimant et, ainsi qu'il a été décrit en détail dans le Brevet de base, le disque émetteur S est libéré, il tourne jusqu'à ce qu'il vienne buter contre la broche qui marque la fin du premier train d'impulsions.
Pendant la rotation du disque S les impulsions du premier train d'impulsions entrantes sont régénérées par l'intermédiaire des ressorts d'impulsion IMP commandés par le dispositif d'enregistrement, ces impul- sions servent à mettre en position le commutateur du bureau éloigné. Lorsque le relais AP relâche, il fait de nouveau attirer le relais IP pour préparer le temps de pause entre chacun des chiffres, après l'envoi du train d'impulsions.
Pendant ce temps d'autres trains d'impulsions peuvent être reçus par le disque récepteur, les deux fonctions de réception et de transmission pouvant s'effectuer simultanément mais indépendamment l'une de l'autre. Quand le disque S vient buter contre la broche marquant la fin du premier train d'im- pulsions, le relais AP attire de nouveau et le relais IP relâche et par conséquent l'électro-aimant d'émission s'excite de nouveau momentanément pour libérer de nouveau le disque S et pour engendrer le deuxième train d'impulsions de la manière qui a été décrite déjà.
Quand tous les chiffres reçus ont'été retransmis, le disque-émetteur S rattrape le disque récepteur R et les con- tacts Nl s'ouvrent et empêchent tout fonctionnement ultérieur du relais AP, le relais ON relâche et introduit de nouveau les relais D et I dans le circuit de la boucle sortante.
Quand l'appelé répond, les polarités de la batterie sont renversées de la manière bien connue dans la partie du
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circuit situé du côté de l'appelé,et ceci provoque de nouveau le fonctionnement du relais D, à shunt magnétique, qui au contact dl ferme le circuit du relais DD. Au contact ddl, le relais DD fait attirer le relais DR, aux contacts dd2 et dd3 il renverse le sens du courant dans les fils entrants, pour les besoins de la supervision ; aucontact dd4, il con- necte une terre, par l'intermédiaire de l'enroulement droit du relais DA, au fil d'impulsion S aboutissant à la machine génératrice des impulsions de comptage qui est prévue pour donner des impulsions négatives aux fils S et Z suivant une relation bien définie.
Au moment de l'émission de l'impulsion S suivante, le relais DA attire, au contact dal, il prépare le circuit du relais DB qui est excité, après un certain intervalle de temps convenable, par l'impulsion Z, en série avec l'enroule- ment médian du relais DA. Le relais DA reste bloqué sous l'action de son enroulement gauche jusqu'à ce que le relais DB fonctionne sous l'action de l'impulsion 1 quand le circuit d'excitation et le circuit d,, blocage du relais DA s'ouvrent, mais il reste attiré, sous l'action de son enroulement médian connecté en série avec l'enroulement gauche du relais DB, pendant tout le temps que dure l'impulsion Z.
Pendant l'envoi de cette impulsion le relais J est connecté, par l'intermédiaire des contacts da6 et db2, au fil MP d'impulsions de comptage, il fonctionnera dans ce circuit, une ou plusieurs fois, suivant la distance séparant les deux abonnés en communication. Le relais J, au contact jl, connecte le négatif de la batterie d'appoint au fil entrant P, à travers le fil commun 10, de manière à actionner le compteur de l'abonné le nombre de fois voulu. A la fin de l'impulsion Z, le relais DA relâche pour empêcher tout fonctionnement ultérieur du relais J, le relais DB reste attiré, en série avec la résistance YA, par l'inter-
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médiaire de la terre et à travers les contacts bb3, dbl et brl.
Le relais DB, au contact db5, connecte l'électro-aimant de réception RM du dispositif d'enregistrement au fil commun 12 auquel une impulsion positive de courte durée est connec- tée, par le générateur de l'impulsion régulière, toutes les' 4,5 secondes. Au moment de la réception de l'impulsion suivante l'électro-aimant RM est alimenté en parallèle avec le relais C, ce relais, au contact cl, ferme le circuit de l'électro-aimant de marquage MM. A la fin de cette impulsion, l'électro-aimant RM relâche et comme il travaille au moment où il revient au repos, le diqque récepteur R tournera d'un pas.
Les ressorts du régénérateur, qui sont ouverts quand l'appareil est au repos, se ferment maintenant, le contact Nl complète le cir- cuit du relais ON par l'intermédiaire du contact dr3 puisque les contacts mm de l'électro-aimant de marquage MM sont encore ouverts, Au moment de la libération du relais C, après le court intervalle de son retard, le circuit d'excitation de l'électro-aimant de marquage s'ouvre mais l'électro-aimant reste attiré sous l'action du courant réduit qui circule à travers les contacts dr4, t3 et la résistance YB. Au moment de l'envoi des impulsions suivantes, l'électro-aimant RM seul fonctionnera puisque le circuit du relais C est coupé maintenant aux contacts on4 et dr2.
Le disque R du régénérateur tournera donc pas à pas pour mesurer la période de temps réservée à la conversation et allouée pour le premier enregistrement de l'unité de comptage.
Un peu avant la fin de cette période, dont la durée est de l'ordre de trois minutes, on s'arrange pour qu'un signal audible soit transmis vers l'abonné appelant pour l'informer de ce qu'il doit terminer sa conversation à moins qu'il ac- cepte de payer le prix d'une unité supplémentaire. Dans ce ,
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but on s'est arrangé pour qu'après que le disque R a tourné de 37 pas au-delà de la position du disque d'émission ( qui reste bloqué par la broche qui a été déplacée à la fin de l'envoi du dernier chiffre) les ressorts, qui sont ouverts quand l'appareil est au repos, s'ouvrent donc et enlèvent le court-circuit placé aux bornes du relais T. Ce relais attire maintenant en série avec lesrelais ON et Ap en parallèle dans un circuit comprenant les contacts db6 et on2, les relais ON et AP restent attirés dans ce cas.
Le relais T, au contact t2, déconnecte le circuit d'impulsion de l'électro-aimant de réception RM; au contact t3, il ouvre le circuit de blocage de l'électro-aimant de marquage, ce qui provoque la chute du levier porté par le disque récepteur R vers le plateau P et déplace donc la broche en face de laquelle il était en position sur le parcours du disque émetteur S. Ceci sert à donner une position de repos vers laquelle le disque émetteur S tournera ultérieurement, au moment du rappel en position normale des organes, soit qu'on prépare la mesure d'une autre période, soit qu'on prenne une autre communication. Le re- lais T, au contact tl, connecte également l'enroulement droit du relais CD au fil commun 14 du générateur de l'impulsion régulière auquel une impulsion positive est connectée chaque 12 secondes.
Au moment de la réception de l'impulsion suivante, le relais CD attire sous l'action de son enroulement droit qui est exactement suffisante pour fermer le contact préli- minaire cd1. A la fin de l'impulsion, le shunt est enlevé des bornes de l'enroulement gauche du relais CD, ce relais attire à fond sous l'action de ses deux enroulements connectés en série à travers les contacts cd2 et db6. Le fil 14 est prolongé alors, à travers le contact cd2, jusqu'au relais CO qui est un relais fonctionnant en deux temps, de plus l'élec- tro-aimant d'émission SM attire dans le circuit comprenant
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les contacts ipl, apl et cd3, il ouvre le circuit de blocage du relais AP aux contacts sm.
Quand le relais AP relâche, il coupe le circuit d'alimentation de l'électro-aimant d'émis- sion, de ce fait, le disque-émetteur est libéré de la manière normale, il tourne jusqu'à ce qu'il rattrape le disque récep- teur dont une broche a été déplacée par suite du fonctionne- ment du relais T. Pendant cette rotation du disque S, les ressorts d'impulsion IMP sont sans action car ils sont oourt- oirouités au contact cd6. Au contact cd4, le relais CD établit un circuit qui envoie une tonalité d'avertissement vers l'a- bonné appelant, ce signal emprunte un circuit comprenant le transformateur mis à la terre et connecté au fil commun 11, le condensateur QC, l'enroulement médian du relais A et la terre.
Ce signal est ensuite transmis par induction aux enroulements extérieurs de ce relais, il est donc envoyé sur les fils entrants négatif et positif d'un Circuit équili- bré. Pendant la courte période qui suit, l'appelant doit dé- cider s'il va conclure et terminer la communication ou s'il va accepter de poursuivre sa communication pendant une nou- velle période unitaire.
A la fin d'un nouvel intervalle de 12 secondes, le relais CO attire, dans le circuit comprenant le fil 14,d'une manière similaire à celle du relais CD et coupe le circuit de la tonalité au contact co3. Des dispositions ont été prises pour permettre la répétition immédiate du comptage ou pour donner une période de répit de 12 secondes. Si les bornes 15 et 17 ont été reliées, quand le relais CO attire la terre est prolongée par l'intermédiaire du contact 004 pour court-circuiter et faire relâcher le relais DB qui jus- qu'à ce moment a été bloqué sous l'action de son enroulement droit en série avec la résistance YA, mais si les bornes 15
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et 18 ont été .reliées le relais DB ne sera pas libéré jusqffi
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ce que l'impulsion positive suivante soit reçue par l'inter- médiaire du fil 14.
Si, quand le relais DB relâche, l'abonné appelant n'a pas encore raccroché son récepteur, le comptage s'effectue de nouveau au moment de l'envoi de l'impulsion l suivante et la deuxième période unitaire de conversation com- mence, La libération du relais DB provoque celle des relais CD et CO, quand le relais DB attire de nouveau, des impulsions sont de nouveau envoyées vers l'électro-aimant de réception RM par l'intermédiaire du fil 12.
A la fin de la conversation, quand l'abonné appelant raccroche son récepteur, on supposera en premier lieu que le dispositif réglant la durée des unités de conversation n'a pas encore terminé la mesure d'une unité. Quand le relais A re- lâche, le relais B commence à relâcher également et pendant sa période de relaxation le relais C attire et les relais AL, BB, BR, DD, AP, ON, DB, D et I ainsi que l'électro-aimant de marquage MM fonctionnent déjà. Quand le relais B relâche, la boucle s'ouvre pour libérer les commutateurs du bureau éloigné, de ce fait, les relais D, I et DD relâchent de telle sorte que le circuit d'impulsion vers l'électro-aimant RM s'ouvre au contact dd6 pendant que les relais BR et C, qui sont retardés à la libération par l'action de leur bague, commencent à re- lâcher.
Pendant la période de relaxation du relais BR, la terre de garde est déconnectée des fils entrants P et P2 ce qui per- met la libération du train précédent de commutateurs qui peut être remis en service pour une autre communication avec un minimum de retard, quand le' relais BR relâche la terre de garde est reconnectée jusqu'à ce que le relais BB ait relâché quand le dispositif enregistreur est ramené ultérieurement en posi- tion normale. Quand le relais C relâche, le circuit de blocage du relais DR s'ouvre et quand ce relais relâche, après un court instant, l'électro-aimant d'émission SM reçoit une
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excitation momentanée par action combinée avec le relais AP.
De ce fait, le disque émetteur S est libéré et en même temps l'électro-aimant de marquage relâche, il repousse une broche pour donner une position de repos au disque S qui atteint oelle-ci par rotation. La libération du relais AP parssuite du fonctionnement de l'électro-aimant d'émission SM provoque la libération des relais DB et AL, mais le relais BB reste attiré dans le circuit passant par le contact on3. Quand le disque émetteur S rattrape le disque récepteur R, le relais ON revient en position de repos, par suite de l'ouverture des contacts Ni, et il ouvre le circuit de blocage du relais BB.
Quand celui-ci relâche, le groupe des relais est revenu complè- tement en position normale, il est disponible pour une autre communication.
Si l'abonné appelant raccroche pendant la période qui suit l'envoi de la tonalité d'avertissement, le relais CD attire en plus des relais dont il a été question précédemment, le disque émetteur est libéré et tourne jusqu'à ce qu'il rat- trape le disque récepteur. Quand le relais B relâche, le fono- tionnement du circuit est exactement le même que celui qui a été décrit précédemment.
Dans le cas où l'appelant raccroche juste avant le commencement d'une nouvelle période, c'est-à-dire quand les relais ON, AP et DB sont encore en position normale, la libé- ration et la garde s'effectuent de la manière suivante. Pen- dant le temps de relaxation du relais B, le relais C attire en parallèle avec 1'électro-aimant de réception RM, il en ré- sulte que 1'électro-aimant de marquage MM attire également.
Quand le relais B relâche, l'électro-aimant RM n'est plus alimenté et le disque R tourne donc d'un pas du fait qu'il travaille au moment où il est libéré, quand le relais 0 re- lâche,ensuite l'électro-aimant de marquage relâche et déplace
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une broche du disque P. Le relais ON attire quand les contacts
Nl se femment, et provoque l'attraction du relais AP; la libéra- tion s'effectue donc d'une manière normale.
Dans le cas où l'abonné coupe la connexion prématurément, c'est-à-dire, s'il raccroche son récepteur pendant l'émission des impulsions, tous les chiffres enregistrés dans le dispo- sitif enregistreur sont envoyés sur un circuit ouvert; alors qu'on remarquera que puisque le relais IP ne peut pas attirer à chaque libération du relais p pendant le retour en position de repos puisque le relais B est en position normale, il n'y aura aucune pause nécessaire entre l'émission de chaque chiffre.
Le groupe de relais sera donc libéré et remis à la disposition d'autres appels dans le minimum de temps.
Si on suppose maintenant qu'un appel sortant est émis par un abonné parlant d'un poste à prépaiement, on peut voir qu'il sera acheminé vers le groupe de relais par l'intermédiaire d'un sélecteur réservé aux postes à prépaiement et ayant accès aux fils négatif, positif et P tels qu'ils sont utilisés dans la connexion qui vient d'être décrite. Quand le relais B fonc- tionne, le fil entrant P est gardé par l'intermédiaire du con- tact b6, de l'enroulement de faible résistance du relais TE et le contact da5 comme précédemment.
Dans le cas présent cepen- dant, une impulsion négative momentanée est appliquée au fil P par le sélecteur réservé aux postes à prépaiement, il en résulte que le relais TE attire; celui-ci au contact te2 provoque l'at- traction du relais CB qui se bloque au contact cbl et complète le circuit de blocage du relais TE par l'intermédiaire de son enroulement supérieur. Le circuit fonctionne ensuite de la manière normale jusqu'au moment où la tonalité d'avertissement est envoyée vers l'abonné appelant qui doit alors décider s'il va terminer la communication ou s'il va payer une nouvelle fois la taxe unitaire.
Le relais TG attire alors sous l'action de
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son enroulement inférieur en série avec le transformateur des tonalités, mis à la terre, et par l'intermédiaire des contacts ob4, cd4 et ces, il se bloque par l'intermédiaire de son en- roulement supérieur et par l'intermédiaire des contacts cb3, tel et tgl, le relais TE ayant été libéré quand le relais DA a attiré au commencement du cycle.
Le relais TG, au contact tg2, établit le circuit de blocage du relais A sous la dépen- dance de la terre procurée par les-contacte db4 et bb4, on remar- quera donc que le relais TG doit être revenu en position de re- pos avant que le relais DB soit libéré à la fin de la période précédant la coupure, s'il en était autrement le relais A aurait été libéré et la conversation en cours aurait été coupée. si l'abonné appelant utilisant un poste à prépaiement paye la valeur de la taxe unitaire, au moment considéré, une impulsion négative momentanée est de nouveau lancée sur le fil entrant p venant du sélecteur réservé aux postes à prépaiement, de ce fait le relais TE attire et se bloque comme il a été dit précédemment; pendant le fonctionnement du relais 00, le relais TG reste attiré pour maintenir la terre qui alimente le relais A.
La conversation peut alors se poursuivre pendant une autre période de temps déterminée sans qu'on ait à payer d'autres taxes. on peut voir que si la borne 17 est raccordée à la borne 16 au lieu de la borne 15, il en résultera qu'un abonné ordinaire pourra obtenir une communication d'une longueur il- limitée pour la valeur de la taxe unitaire alors qu'un abonné parlant d'un poste à prépaiement devra effectuer un paiement supplémentaire à la fin de chaque période déterminée. En pra- tique, une disposition convenant parfaitement bien, consisterait à relier les bornes 15 et 17, 16 et 18 et à connecter le contact co4 à la terre à travers un contact normalement fermé du re- lais CB.
Ceci signifie que les deux classes d'abonnés seraient
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taxées sur la même base, mais que l'abonné utilisant les postes à prépaiement disposerait d'une période supplémentaire de 12 secondes ce qui lui permet de chercher et d'insérer d'autres pièces de monnaie dans l'appareil,
Si le groupe de relais est mis en service par un sélecteur entrant placé à l'arrivée d'une jonction venant d'un bureau éloigné; cette mise en service s'effectuera à travers les fils négatif, positif et P entrants. Quand le relais de com- mutation du sélecteur entrant fonctionne, la terre de garde, normalement prolongée pendant le temps de relaxation du relais R, fait attirer le relais J par l'intermédiaire de son enroulement gauche alors que les relais A et B du groupe fonctionnent de la manière normale.
Quand le relais B fonctionne, une terre de garde est amenée du contact b3 jusqu'au fil P2, cette terre maintient le relais J attiré par l'intermédiaire des contacts da3 et j4. AU contact j3, le circuit du relais DA est coupé, donc quand l'abonné appelé répond et que les relais D et DD sont attirés de la manière habituelle, il n'existera pas de circuit pour faire attirer le relais DA et pour faire démarrer le cycle de comptage. cette disposition est préconisée car la mise en service du mécanisme réglant les temps n'est pas requise, elle implique d'ailleurs une usure anormale qui n'est pas nécessaire, il est entendu que la tonalité spéciale est alors envoyée sur la ligne où elle gêne la conversation.
Dans le but d'effectuer des économies en circuits de jonction, on a prévu dans le circuit représenté au plan que si le groupe de relais est mis en service par l'intermédiaire des fils négatif 1 et positif 1, le commutateur entrant au bureau distant connectera l'appel vers un deuxième groupe de relais et, par conséquent, sous l'action des mêmes chiffres émis aiguillera l'appel dans une direction différente.
Quand le groupe de relais est mis en service, le relais LD attire sous
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l'action de son enroulement gauche en série avec le relais A qui attire également; au moment où le relais BB attire de la manière normale, le relais LD se bloque par l'intermédiaire de son enroulement droit et la terre prise à travers les contacts ld1, c2 et bb4; son enroulement gauche est oourt-oirouité au contact bb5 pour empêcher que l'induction de cet enroulement vienne gêner l'envoi des impulsions vers.le relais A. Quand le relais LD fonctionne, il connecte la terre des contacts ld2 et ld3 aux fils négatif et positif de la jonction sortante pour faire fonctionner un relais différentiel du sélecteur entrant du bureau éloigné, ce relais se bloque alors et provoque la commutation à travers le deuxième groupe de balais.
Au moment de la réception du premier train d'impulsions, l'électro-aimant RM répond de la manière habituelle et le relais C, au contact c2, ouvre le circuit de blocage du relais LD qui relâche donc, le fonctionnement du circuit se prolonge de la manière normale.
Dans le cas où le dispositif d'enregistrement ne fonc- tionne pas correctement dans l'une ou l'autre de ses applications, une ou deux alarmes différées sont mises en marche et le groupe de relais est marqué à l'occupation. La supervision est arran- gée pour couvrir le fonctionnement des circuits, des électro- aimants de réception, de marquage et d'émission, des contacts ouverts quand l'appareil est au repos, du circuit d'alimentation du relais AP et dans le cas où l'appareil ne peut pas démarrer ou ne peut pas revenir au repos après la mise en position par suite d'une déconnexion dans l'un quelconque des circuits ou par suite d'une faute mécanique, une alarme spéciale sera envoyée.
Par exemple, si le mécanisme ne peut pas retransmettre les impulsions enregistrées, les relais ON et p restent excités.
Quand le relais B relâche, lorsque l'appelant raccroche pour pouvoir émettre un nouvel appel, le relais BB reste sous tension
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par l'intermédiaire du contact on3, il garde le groupe de relais contre toute mise en service pour d'autres appels, alors qu'une terre est prolongée à travers les contacts brl et on8 pour ali- menter la lampe de supervision LP en série avec l'équipement d'alarme différée connecté au fil commun 13.
Si le mécanisme ne revient pas au repos alors qu'il se trouve dans une position quelconque comprise entre les positions 37 et 40, au moment où le relais B relâche et puisque le relais ON est déjà revenu en position normale par suite de l'ouverture des contacts N1, le relais AL reste excité et maintient le relais BB sous tension pour qu'il effectue une garde, l'alarme différée est alors émise par l'intermédiaire du contact a12. Un résultat identique est obtenu si le disque récepteur R ne peut pas tourner du fait d'une faute quelconque mécanique ou électrique.
Si on considère maintenant un appel entrant sur la jonction travaillant dans les deux sens, on peut voir qu'au moment de la mise en service du sélecteur entrant la terre de garde connectée au fil P provoque l'excitation du relais BB sous l'action de son enroulement supérieur, ce relais garde donc le groupe de relais et, par conséquent la jonction,contre toute mise en service par un appel sortant.
Les bornes de test TJ qui donnent accès à divers points de contrôle du circuit sont prévues pour faciliter le travail du personnel d'entretien.
Les résistances de valeurs élevées connectées aux bornes des fils QA et QB dans le circuit de transmission servent à éliminer les bruits microphoniques ; les condensateurs et les résistances qui leur sont adjointes, connectées en parallèle aux bornes des divers circuits d'impulsion empêchent la destruction des contacts par les aras de rupture.
De la description qui précède on comprendra que dans les réseaux où le comptage à la durée est requis pour les
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communications à grande distance, l'application de l'invention permet d'incorporer au circuit les avantages de la régénération des impulsions sans frais supplémentaires et que dans les réseaux où on exige le comptage à la durée et la régénération des impulsions l'invention procure une solution complète, économique et d'un excellent rendement.